Quand on enseigne en supérieur, on est confronté à toutes sortes d’individus comme à toutes sortes de comportement.
On a devant soi de jeunes adultes qu’on suit avec affection, et tendresse même parfois.
Il arrive cependant que des dérives surviennent, dépassant affection et tendresse … mais nous restons entre adultes consentants, et jamais je ne cautionnerais ceux qui parfois abusent de leur position, de leur situation, pour séduire, ou pire encore parfois contraindre certains et certaines à céder à leurs faveurs.
Je me souviens particulièrement d’une très jolie étudiante qui avait à mon égard des comportements et des attitudes qui me mettaient constamment mal à l’aise.
En classe, Annabelle puisque c’est son nom, aimait se placer dans la première rangée où elle me donnait l’impression de suivre mes paroles avec passion.
Plus encore, quand je m’arrêtais pour observer la classe ou pour interroger les élèves, la plupart du temps, je la surprenait me fixant en affichant un petit sourire.
Mais c’est lors des périodes de rédactions que son comportement me troublait davantage. Pour ces périodes, Annabelle portait chaque fois une mini-jupe très courte, qui laissait voir ses dessous dès qu’elle se déplaçait sur sa chaise : il m’était alors assez difficile de ne pas plonger régulièrement mon regard sous sa table.
Chaque fois que je le faisais, j’essayais d’être le plus discret possible, mais j’avais toujours l’impression qu’Annabelle percevait mon regard, puisque chaque fois alors elle bougeait légèrement les jambes, de telle sorte que je voyais une petite culotte de dentelle noire, une autre fois un dessous de satin rouge… Ces petites séances se terminaient rapidement par un échange de regards avec Annabelle, qui me souriait alors de manière fort ingénue.
Après deux travaux pour lesquels elle avait reçu des résultats plutôt médiocres, en tout cas en deçà de ce dont elle avait l’habitude, Annabelle a demandé à me voir en rendez-vous afin de mieux
comprendre ses erreurs.
La journée du rendez-vous, elle portait encore une fois une mini-jupe très courte, de ces petites jupes à plis qui font de si belles jambes aux jeunes filles.
Arrivée à mon bureau, , elle s’est assise à côté de moi, sur une chaise de bois, afin que nous puissions ensemble observer sa copie: je me surprenais à baisser régulièrement les yeux pour savourer la beauté de ses jambes entièrement dénudées.
Cette fille était vraiment une beauté : pas très grande, mince, les cheveux châtains et ondulés tombant au milieu du dos, les yeux noirs, et ce regard toujours provocateur…
Au bout d’une trentaine de minutes, elle s’est levée en me remerciant des explications, mais au lieu de prendre ses affaires et de sortir, elle a montré de la tête ma bibilothèque et m’a demandé : cela vous derange ?
Bien entendu, je lui ai dit que non, et me suis re-assis derrière mon bureau, la regardant : elle s’et approchée pour fureter de droite à gauche, de haut en bas, sur les rayons de ma bibliothèque, effleurant de ses mains les tranches des livres, en retirant un ici et là et le replaçant, tout en me parlant du plaisir qu’elle éprouvait à lire … surtout la littérature érotique se plut-elle à rajouter !
En parcourant les rayons, elle s’étirait par moments, au point de dévoiler la rondeur de ses fesses et la dentelle rouge de sa petite culotte: j’étais de plus en plus excité par la présence de cette jeune fille juste à côté de moi.
Quand elle a fait allusion à la littérature érotique, je lui ai rétorqué que son allure plutôt sexy devait faire tourner bien des têtes, ce à quoi elle m’a répondu par son sourire. Puis, d’une démarche nonchalante, elle est revenue vers moi est s’est assise sur une petite table roulante ; face à moi, une jambe devant, et l’autre pendant sur le coté, cote assise sur une seule fesse .. ainsi, elle gardait presque négligemment les jambes légèrement écartées… Je n’en pouvais plus. Je ne pouvais rien louper du spectacle de sa vulve bombée, et des fines lèvres qui découpaient littéralement la satin de son string tel la fente d’un abricot.
Je me suis levé, ai contourné mon bureau et me suis approché d’elle, sans cesser de la regarder dans les yeux ; Arrivé près d’elle, alors qu’elle tenait fièrement mon regard, j’ai glissé mes mains sur ses cuisses, en montant tranquillement vers son sexe, mais j’ai arrêté le mouvement juste au bord.
Elle s’est alors levée puis s’est appuyée sur ma jambe gauche en approchant sa bouche de la mienne.
J’ai alors glissé mes mains sous sa petite jupe pour commencer à la caresser.
Quelques minutes plus tard, je lui ai demandée de monter sur mon bureau.
J’ai verrouillé la porte du bureau et j’ai commencé à caresser le corps d’Annabelle qui s’était installée à quatre pattes sur le bureau. J’ai joué avec ses seins, ses fesses, son sexe ; avec mes mains, je parcourais frénétiquement son corps, glissant mes doigts partout, entrant sous le tissu rouge de la petite culotte, frottant mes doigts sur le sexe humide, remontant vers l’anus, pénétrant le sexe et l’anus. Pendant tout ce temps, silencieusement, Annabelle se trémoussait dans mes mains.
Puis j’ai plongé mon visage sous sa jupe en étreignant ses hanches de mes mains pour que mon visage presse son sexe. Quand je lui ai retiré sa petite culotte, celle-ci était tout humide. J’ai replongé mon visage sous la jupe, léchant la raie du petit cul, descendant vers les lèvres chaudes et glissant ma langue à l’intérieur.
Annabelle jouissait contre ma bouche, je la sentais trembler et inonder ma bouche, et je me concentrais sur cette tâche en espérant ne pas éclater dans mon pantalon, parce que je souhaitais finir cette séance dans la bouche de la jeune demoiselle…
Après quelques minutes de pause, Annabelle s’est agenouillée devant moi, a descendu la fermeture éclaire de mon jeans, a retiré mon sexe durci qu’elle a commencé à lécher, à embrasser délicatement et enfin à prendre entre ses lèvres. Devant moi, une superbe fille à genoux suçait mon sexe érigé, le bouffait littéralement.
Lorsque mon sexe a éclaté, Annabelle a tout pris dans sa bouche, avalant le liquide et léchant le sexe pour qu’il n’en reste rien.
Moi, j’étais épuisé, vidé, et contenté comme jamais. Le plus étrange, c’est que pendant un mois, Annabelle a refait ce manège à raison de deux fois par semaine. Parfois, elle se présentait au bureau à la fin d’un cours simplement pour me détendre, disait-elle : elle m’adossait alors à la porte de mon bureau dès que nous l’avions franchie, ouvrait mon pantalon, en sortait mon sexe qu’elle portait à sa bouche jusqu’à ce que j’éclate. Au bout d’un mois, malheureusement, le jeu a pris fin : Annabelle ne voulait pas que l’expérience aille plus loin, et elle voulait se consacrer à un autre (un étudiant cette fois ci) m’avait-elle tout bonnement annoncé.
C’est sans doute mieux ainsi, mais j’en garde un délectable souvenir.
Merci à lui ....
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