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Je coupe le contact. « Somewhere I belong » des Linkin Park s’arrête. Jusqu’à présent, tu chantonnais avec eux
pour prendre un air dégagé et ne pas révéler ta nervosité. Le parking est rempli de voitures, pourtant il est désert. Les néons brillent dans la nuit.
Prête ?
Oui, réponds-tu après une légère inspiration que tu veux discrète.
Je te souris, je sens bien l’angoisse dans tes yeux. Je te caresse la cuisse et je me penche pour t’embrasser. Tu attrapes mon cou de la main droite et tes lèvres se plaquent contre les miennes.
Ta langue parcourt la mienne très vite, ton souffle s’accélère. Ton baiser est passionné, digne d’un adieu. Tu te pends toujours à mon cou. Nous nous séparons et tu me gratifies d’un sourire
inquiet.
J’ouvre la portière, un léger souffle frais s’engouffre dans la voiture surchauffée. Je ferme la voiture à clef et je me précipite vers toi, pour te prendre par la taille et te serrer contre
moi.
Nous arrivons devant la porte, sombre, petit judas et œilleton derrière une grille. Je sonne. La grande porte sombre s’ouvre. Un colosse
nous gratifie d’un grand sourire et nous salue d’un geste de tête. C’est toi qui réponds, immediatement..
Bonsoir ! Je sens que ta voix trahit encore l’anxiété.
Bonsoir Messieurs Dames ! Si vous vulez bien, c’est par ici… nous indique l’homme.
Nous nous approchons de la seconde porte, la poussons. La musique nous frappe de plein fouet. La lumière, les sons, les couleurs, tout contraste avec l‘extérieur. Ton regard détaille la salle
devant nous et finit dans le mien. Un sourire naît doucement sur ton visage parfaitement maquillé.
On y va ?
Ton sourire s’élargit et tu me réponds avec un hochement de tête timide. Nous sommes devant le vestiaire ou officie une magnifique brune qui ne semble avoir froid ni aux yeux ni au
reste !
Donne-moi ton manteau.
Doucement je t’aide à retirer ton manteau, et vais le tendre, avec ma veste à la belle jeune femme.
Déjà, je sens que des regards guettent ce moment et nous scrutent. Ta robe très courte, apparaît aux yeux dede et fière. Je te scrute. tous. Je suis ravi. Je me retourne pour t’observer. Tu es très droite, gran
Tes talons donnent un galbe incroyable à tes jambes fuselées délicieusement recouvertes de bas noirs et fins. Ta robe noire au dos nu est un rêve pour moi.
Tu t’affiches en public pour la première fois avec. Nouée autour du cou, elle laisse apparaître une grande partie de ton dos cambré, de tes épaules cuivrées dont je raffole. Elle se finit très haut sur tes cuisses, presque à la limite de tes bas.
Je continue à t’observer. Tu donnes l’air si sûre de toi, si imperturbable.
J’admire ta force car je sais que tu n’es pas loin de la panique. Je reviens vers toi par derrière, pose mes mains sur tes épaules.
Doucement, tu tournes ta tête, cherchant un baiser que je te donne avec bonheur.
Viens
Je t’indique le bar et nous traversons les tables basses presque toutes remplies par des couples. Des regards lourds se posent sur toi sur ton passage. Je vois bien les têtes se retourner. Toi,
toujours aussi droite tu avances, fière, presque froide, semblant les ignorer. Je t’admire, comme toujours tu me prouves ce que ta volonté peut faire. Je t’indique un tabouret haut sur lequel tu
glisses en un seul mouvement lent et sensuel. Je m’installe à tes côtés. Je lance à la serveuse qui s‘approche :
Deux coupes de champagne, s’il vous plait.
Nos regards se promènent dans la salle. Des tables basses entourées de poufs et petits fauteuils moelleux aux couleurs criardes. Les murs blancs alternent entre le marbre et les tentures.
Sur le côté une piste de danse sur laquelle personne n’ose s’aventurer. Les estrades sont vides, la cabine du DJ aussi.
Au bout d’un moment, mes yeux s’accoutumant aux spots et à la pénombre qui règne derrière, je remarque des cages en hauteur.
Tout autour de la piste, les murs sont couverts de miroirs. Sur le côté, un escalier en colimaçon permet dedescendre.
Les coupes de champagne nous sont servies. Je te tends la tienne puis je saisis la mienne. Nos regards se croisent pendant que nous
approchons nos verres.
Je t’aime
Ton sourire revient au moment où nos verres se rencontrent. Tes yeux sont toujours ancrés dans les miens. Je suis si bien. Je profite de ces instants de bonheurs, ces instants où nous nous
retrouvons.
Çà va ?
Oui
N’oublie pas, rien n’est obligatoire ici, la seule chose qui compte c’est nous… c’est toi !
Je sais, me réponds-tu
Sur le côté je m’aperçois qu’un couple nous observe. Elle est brune, cheveux longs, pas maquillée.
Elle porte une robe noire proche de la tienne, peut-être un peu plus longue, avec des bottes. Sa peau est bronzée, son sourire timide et ses yeux très noirs.
Lui est châtain, cheveux plus longs que les miens, coiffés en mèches dressées par du gel. Rasé de près, son nez en pointe surplombe un
sourire ravageur à la Tom Cruise avec des dents très blanches. Il porte une chemise blanche déboutonnée sur le haut, révélant un torse imberbe, bronzé. Ses manches sont relevées, il porte un jean
bleu très serré. Je m’aperçois que tu les observe aussi à l’aide d’un miroir.
Tu vois, que ce n’est pas aussi glauque, te dis-je avec un sourire.
Etonnée, tu me souris et me fais un clin d’œil. J’ai l’impression d’avoir surpris une petite fille qui vient de faire une bêtise. Je suis amusé, j’attrape ta main et je commence à te caresser
l’avant bras. Tu te penches, mendiant un baiser pardonneur. Je t’embrasse et te glisse à l’oreille :
Ils sont pas ma, eux ?
Toujours muette, tu me réponds par un léger hochement de tête et un sourire coquin. Je m’aperçois que ton verre est déjà vide.
Je fais signe à la serveuse de nous servir à nouveau deux coupes.
Détendue, tu engages la conversation sur les lieux, la décoration. Je me sens de mieux en mieux. Notre complicité devient câline, nous échangeons des sourires, des clins d’œil.
Nous quittons le bar pour nous installer sur une table. Je vois bien que le couple continue à te regarder. Installés dans les fauteuils moelleux, tu te colles contre moi, je t’enlace avec un bras, ma main caressant ta hanche. Souvent notre conversation s’interrompt et nous profitons des ces instants passés tous les deux.
Sur la piste de danse, quelques couples commencent à danser, accompagnés de trois ou quatre hommes seuls. Nous nous moquons d’un couple aux allures vulgaires se trémoussant maladroitement.
Elle a une tenue en sky blanche, des collants résilles rose et une couleur de cheveux jaune, des chaussures plateau. Le bilan est sévère, et comme souvent tu l’es plus que moi.
Beaucoup de personnes ici jouent avec le ridicule. Je te fais remarquer que c’est pareil dans toutes les boîtes.
Parmi eux, nous tombons toutefois d’accord sur un grand black, métisse, crane rasé, musclé et charmeur. Il porte un pantalon très
moulant en cuir noir et un T-shirt transparent noir. Il est très sûr de sa beauté et joue au milieu de la piste des regards qui se posent sur lui. Après un moment, la piste se remplissant de plus
en plus, je te demande à plusieurs reprises de venir danser. Finalement, tu attrapes ton verre dont tu vides d’un coup le reste et tu m’accompagnes.
Nous commençons à danser, l’un contre l’autre. Nos gestes dégagent un érotisme qui me rend fou. Mes mains parcourent ton corps, tes seins libres sous ta robe, tes fesses. Je cherche les traces
d’un string mais dois me résoudre à l’évidence : finalement, tu n’as rien mis. Coquine ! A cette pensée, je ressens des picotements dans le bas de mon ventre.
Les danses s’enhardissent, je sens que tu te laisses aller, bercée par le désir et l’alcool. Autour de nous, il en est de même : les couples se chauffent, des caresses sont échangées, dans une cage, une dame déjà âgée entame une danse assez grossière, les seins nus.
Mais, paradoxalement, j’ai l’impression d’être seul avec toi. Comme invisibles, nous dansons, sans se préoccuper des autres. Nos baisers
deviennent endiablés, nos langues se mêlent fougueusement. Je suis aux anges, la soirée pourrait se poursuivre ainsi tellement je suis bien près de toi.
Des couples commencent à emprunter l’escalier au bout de la piste suivis par d’autres couples ou des hommes. Nous continuons à danser. Tu ondules et tournes comme je ne t’avais jamais vu faire.
Nos caresses se font plus marquées plus suggestives. Tu te colles contre moi de dos. Tes mains, derrière, caressent mon sexe tendu sous mon pantalon. Le black se rapproche de nous. Il danse très
bien et son regard ne se détache plus de toi.
Souvent il te frôle, profitant de mouvements qui ne doivent rien au hasard. Tu fermes les yeux et te laisses faire. Je m’aperçois qu’il est plus grand que moi.
De près, il est impressionnant et son T-shirt laisse deviner sa musculature, taillée mais pas exagérée.
Plus que jamais, nos baisers sont violents presque indécents. Le DJ se défoule mais arrive le moment où il entame une série de slows.
Plusieurs hommes t’invitent mais tu refuses. Le black a disparu. Nous nous enlaçons durant deux slows. Puis, nous nous éloignons de la piste. Je suis surpris de voir ton visage détendu qui n’arrive pas à effacer un doux et subtil sourire. Je vois dans tes yeux que le champagne a doucement commencé à faire son effet. Je te demande si tu veux boire quelque chose. Toujours muette, tu me fais signe que non de la tête. Tu attrapes ma main et tu m’entraînes vers les escaliers.
Surpris je te suis, incrédule ne sachant pas ce que tu voulais. Désir, curiosité, voyeurisme…
Nous descendons dans une pénombre feutrée, la musique semble s'éloigner. Seuls quelques éclairages rouges parsèment les murs recouverts de tissus et de miroirs. Les escaliers découchent sur un couloir donnant sur plusieurs pièces. Nous avançons doucement.
Les deux premières chambres sont vides, uniquement remplies d’un grand lit, de fauteuils contre les murs. Au plafond, des miroirs. Seules les couleurs changent. A la troisième nous retrouvons le couple qui nous avait fais rire. Madame est attachée à un mur, nue avec seulement ses bas roses et un porte-jarretelles violet. Monsieur est à quatre pattes, léchant ses bottes blanches. Deux hommes sont debout près d’eux, les pantalons sur les chevilles en train de se masturber. Nous ne restons pas longtemps à contempler ce spectacle grotesque.
Plus loin, nous découvrons des scènes diverses dont certaines retiennent notre attention. D’abord, un couple qui se livre à un 69 devant un autre couple qui se caresse sur un canapé à leur coté. Ensuite, deux femmes emmêlées se caressent et se lèchent devant leurs maris (enfin nous le supposons). L’une des deux est particulièrement belle. Nous nous installons un moment devant l’entrée de la chambre observant ce spectacle lesbien, très excités. Des gens nous frôlent, des mains nous touchent. Dans mes bras, je te sens onduler, fondre. Puis le couple que nous avions observé à notre arrivée se pose à nos côtés. Nous n ‘échangeons qu’un regard, puis nous retournons au show que les deux filles rendent de plus en plus chaud.
Soudain je te sens respirer de plus en plus fort, et j’entends un très faible gémissement. Je m’aperçois que la femme du couple a commencé à te caresser les seins à travers le tissu de ta robe. Je te serre plus fort contre moi. Je suis dans ton dos. Avec ta main tu cherches à agripper ma nuque, réclamant un baiser. Tu bascules ta tête en arrière. Nos langues se mêlent encore une fois sauvagement. La femme s’est mise en face de toi, et parcours ton corps de ses deux mains, descendant le long de tes hanches, de tes cuisses jusqu’à tes chevilles. Lentement, elle remonte, ses mains sur tes bas, glissant sous ta robe. A la secousse de ton corps, je comprends qu’elle est arrivée à ton sexe. Ton corps se relâche puis se tend brusquement par à coups, tu gémis, ton souffle s’accélère. Je t’embrasse dans le cou, mon excitation est à son comble. Beaucoup dede nous bousculer. personnes se sont approchées, matant les différents spectacles qui s’offrent à eux. Des hommes se collent contre nous, presque au point
Ta partenaire se redresse, son visage se rapproche du tien et elle pose un baiser sur tes lèvres. Puis elle prend la main de son mari et
s’éloigne, vraisemblablement gênée par le monde à proximité. Je me penche vers ton visage :
Alors ?
Çà fait bizarre, arrives-tu à me murmurer
Çà t’a plu ?
Oui …
Nous décidons de quitter aussi cet endroit, nous dirigeant vers le fond du couloir passant devant une autre pièce vide. Le couloir débouche sur un grand salon dans lequel plusieurs couples se
mélangent. Beaucoup dede te faire l’amour.
Je n’en peux plus d’être spectateur te dis-je. spectateurs, plus ou moins actifs s’alignent contre les murs. Nous regardons un instant, mais nous ne
parvenons pas à nous laisser prendre au jeu. Le désir m’a envahit et je ne contrôle plus mon envie
D’accord
Nous nous retournons, et de la tête, je te désigne la pièce vide à côté. Tu t’engages dans cette chambre, garnie d’un immense lit rond entouré de banquettes.
Tu t’arrêtes devant le lit, je me mets derrière toi, je te caresse les épaules et je fais glisser ta robe révélant ton corps cuivre et marqué des traces de maillot, nu mais recouvert uniquement de tes bas aux larges jarretières.
Je me baisse pour enlever tes chaussures et tu te couches sur le lit. Je me déshabille à mon tour et te rejoins. Mon sexe, soulagé par sa libération, se dresse, à la limite de la douleur. Nous nous enlaçons, nous embrassons fougueusement pendant de très longs moments.
Rapidement, des spectateurs remplissent les banquettes. Je suis impressionné, plus d’une dizaine dedent. Il y a 4 couples dont la femme
de l’un d’eux a entamé une fellation sur son compagnon. Trois ou quatre hommes seuls se sont installés. Deux se masturbent. Je me retrouve sur le dos, tu me chevauches. Tu embrasses ma poitrine,
mon ventre descendant lentement sur mon sexe. Quand ta bouche se referme sur lui, je ne peux retenir un long râle, persuadé que j’allais craquer immédiatement. Tu commences un lent va et vient
qui m ‘emporte dans des doux frissons de plaisirs. Tu te mets à quatre-pattes en angle droit avec mon corps continuant ta pipe appliquée. Tu offres une magnifique vue sur ton sexe aux veinards
qui sont du bon côté. Certains, moins chanceux se déplacent rapidement pour s’accaparer les quelques places bien placées restantes. Ma main gauche descend le long de ton corps jusqu'à tes petites
fesses. Lentement, mes doigts se glissent dans ton sexe inondé. Je monte et je descends entre ton clitoris et ton anus. Je te sens frémir sous mes caresses.
J’aimerai que cet échange dure toujours mais ta bouche continue de provoquer une tempête dans tout mon corps. Je me retire pour me positionner derrière toi et te pénétrer en levrette. Des petits
cris t’échappent alors que je commence à aller et venir en toi. En face de nous, je croise le regard troublé et rempli de désir du black. personnes nous
regar
Il n’est pas indifférent à ton corps. Je me demande si tu as les yeux ouverts et si tu le vois. Je ne sais si tu lui as fait un signe ou s’il réagit à une pulsion, mais je le vois qui se lève. Autour de nous, tous les couples ont entrepris des ébats. Je vois cet homme qui se rapproche et qui déboutonne son pantalon pour attaquer une masturbation lente sur son sexe dressé haut. Son sexe est dur, bandé, marbré de 2 veines turgescentes … il n’est pas énorme, mais toutefois plus gros (plus large) que le mien. Son gland est lisse, un peu rosé. Je sais qu’il doit te plaire. Il se rapproche doucement de toi.
Je ne crois pas mes yeux, quand je vois ta main saisir son sexe. Après quelques caresses et une prise en main ferme, je vois ton visage et lui s’approcher mutuellement. Rapidement, l’homme se retourne et saisit un préservatif dans une des jattes qui se trouvent dans chaque pièce. Rapidement, il le déroule sur son membre et reviens près de toi … son gland vient buter doucement sur ta joue, à la commissure des lèvres. Tu ne sembles pas rebutée et au contraire, tu engloutis son sexe. Une seconde, interloqué, je ne te reconnais pas.
Mais très rapidement, ce sentiment est chassé par un moment de plaisir. Je sais que tu te lâches, que tu vis pleinement ton plaisir. Tous tes tabous et tes réticences s’effondrent, seuls comptes nos plaisirs et nos jouissances. Je continue mes mouvements, plus rapides et plus musclés. Tu gémis et quelques instants, je songe que j’aimerais être à la place de cet homme. Je sais que tes gémissements étouffés subliment ta fellation et transmettent des vibrations de son sexe jusque dans tout son corps.
La maladresse subite de tes mouvements prouve que tu es prête à jouir. Je sens que le plaisir monte rapidement et croise le regard du black qui semble être lui aussi au bord de l’explosion. Je prends le temps tout de même de lui glisser ‘’pas dans sa bouche’’.
Nous restons encore plusieurs moments dans cette position où nous bougeons en cadence. Nous mélangeons tous les trois nos râles et nos
gémissements. Dans une parfaite harmonie nous explosons tous les deux en même temps. Le black a juste le temps de se retirer pour jouir à nos côtés. Il s’est retiré doucement du fourreau de ta
bouche et je vois des jets puissants et blanchâtres venir gonfler le réservoir. Tes bras s’effondrent et tu rentres la tête dans le matelas. Des papillons noirs brouillent ma vue, je ne sens plus
mes forces et je m’affale à tes côtés.
Je caresse tes seins, tes cheveux. Le black promène ses mains sur ton dos et tes fesses. Je sens que comme moi, tu n’as pas envie de bouger. Après quelques instants le black se lève et se
s’eclipse, non sans nous avoir gratifié d’un merci étouffé dans un sourire. Autour de nous les couples s’effacent également.
Je retrouve tes lèvres et commence des baisers que tu me rends avec fougue et passion. Impossible de dire le temps qui a passé, pendant
lequel nous sommes restés là, collés à nous embrasser.
Lentement, nous nous levons et je t’invite à me suivre vers les sanitaires qui se trouvent en face de la chambre qui fut témoin de nos ébats. Pendant que nous prenons nos douches, je te demande
tes impressions.
Presque timidement, tu me dis que tu as vécu une des meilleures expériences sexuelles.
Notre dialogue est fréquemment interrompu, encore et toujours, par nos baisers. Séchés, nous nous rhabillons. Bêtement je ne sais plus quoi faire. Je te propose de continuer le tour des pièces. Tu repasses ta robe fourreau, rechausse tes escarpins. Je me rhabille aussi.
D’exhibitionnistes, nous redevenons voyeurs. Nous passons du temps devant les différents spectacles que les couples présents nous offrent. Il y a pêle-mêle une femme qui se soumet aux assauts de cinq hommes, deux couples se livrant à un échange bisexuel, des couples seuls ou accompagnés par un autre homme. Tu te blottis dans mes bras, confortement calée, tu deviens chatte.
Très rapidement, l’excitation me gagne à nouveau et mes mains recommencent à parcourir ton corps. Je m’amuse sur tes seins, tes fesses puis mes doigts s’attardent sur ton visage et tes lèvres. Je m’aperçois que tu réponds à mon désir. Nous continuons nos jeux. Une porte fermée à nos côtés retient mon attention. Je l’ouvre et m’aperçoit qu’-elle donne sur une petite pièce intime, avec un lit mais, à la différence des autres, il n’y a aucune chaise pour des éventuels spectateurs. Je te montre la pièce avec un sourire amusé. En même temps, je me rends compte que le couple de tout à l’heure est en face de nous et nous fixe.
L’homme caresse sa femme pendant qu’elle ne te lâche pas des yeux. Je t’attire dans la pièce et je commence à te déshabiller à nouveau. Je ne pourrais jamais me lasser de la surprise de découvrir ton corps si beau et sexy à chaque fois.
De même, tu entreprends de me retirer mes vêtements. Lentement, le couple pénètre également dans la pièce. L’homme referme la porte à clef derrière lui.
Inquiet, je guette ta réaction. Imperturbable, tu continues de me caresser et tu m’attires sur le lit. Nous recommençons nos jeux
amoureux. Le couple entame son effeuillage également et s’allonge à nos côtés. Je m’assois dos au mur et tu t’installes contre moi me tournant le dos. Je peux te caresser les seins, le ventre et
le sexe. Tu es toujours inondée et le moindre de mes mouvements provoque en toi des frissons et des sursauts. Je ferme les yeux, inondé de bonheur. Quand je les ouvre, je vois que la femme,
superbe, s’est approchée de toi. Lentement elle approche ses lèvres de ton sexe pour commencer un cunnilingus expert. Je suis surpris de ne pas te voir réagir. Tu t’abandonnes à ton plaisir et
tes mains s’agrippent dans les cheveux de ta nouvelle compagne sexuelle. Je continue à m’attarder sur tes seins, pendant que j’observe l’homme qui ne rate pas une seconde de votre spectacle tout
en se caressant le sexe.
Je sens ton corps se tordre de plus en plus rapidement. Tes yeux sont fermés, ta bouche est entrouverte avec un rictus d’où s’échappent des gémissements lents. La femme continue de plonger dans
ton sexe pendant qu’elle se masturbe de la main droite. Soudain, tu te cabres en poussant un cri témoin de ta jouissance.
Maladroitement, tu me couches sur le dos et tu m’enfourches pour t’empaler rapidement sur mon sexe qui te réclame. Je vois que tes yeux sont toujours fermés, tes mains s’appuient sur mon torse, appui qui te permet d’entamer un mouvement rapide de va et vient. Lentement, la femme enfourche mes jambes et se colle à toi en plaquant ses seins dans ton dos. Tu te redresses pour se coller au maximum contre elle. Ses bras t’entourent pour malaxer tes beaux seins tendus de plaisir.
Lentement sa main droite descend sur ton sexe, et ces doigts jouent avec ton clitoris et mon propre sexe. Je vois que ta tête tombe lentement à la renverse. Ta bouche s’ouvre grand pour accueillir le baiser de notre partenaire. Je vois vos langues se mêler tendrement. Là encore, j’aimerai fixer ce moment à l’infini.
Pour la seconde fois de la soirée, je sens monter en moi les prémices d’une jouissance incroyable. Tes gémissements se font plus fermes
et accélèrent progressivement. Quand je jouis, j’entends à peine ton cri. Je sens ton corps s’écrouler sur le mien, j’ai juste la force de te serrer dans mes bras. Nous restons là, l’un sur
l’autre pendant que le couple entame ses ébats. Rien ne compte, seul m’importe de sentir ton souffle contre ma peau. Sentir ton corps détendu preuve d’une fatigue bienfaitrice, d’un abandon total
à ton plaisir.
Je sais que tu es allée au-delà de ce dont tu te croyais capable, mais que ton plaisir a été décuplé par le franchissement des barrières que tu avais érigées.
A côté de nous, le couple a fini ses ébats et se retire lentement de la pièce. Nous prenons le temps de revenir sur terre. Dans les bras de l'autre, nous savourons ces instants de douce folie.
Par WonderfullTime
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