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Vendredi 10 octobre 5 10 /10 /Oct 13:50

L’origine de ce billet n'est pas son histoire, comme c'est l'usage habituellement, mais cette fois, la photo qui l'illustre !
Elle nous inspira le titre du billet, et nous entreprîmes alors de rechercher les mots qui pourraient l’accompagner …

 

Sous le même titre que celui que nous avions imaginé, nous découvrîmes le texte que nous vous présentons, et que nous n’avons que légèrement remanié pour qu’il coïncide plus avec son illustration …

 

 

Les charmes discrets de la Bourgeoisie

 

 

Cette histoire remonte à loin, très loin. J’avais 19 ans, et j'avais trouvé un job pour le mois de juillet pour m'occuper de deux enfants, les garder et leur donner des courts de maths pendant le mois de juillet. (NDLR : ce n’est donc pas autobiographique ! J J)

La famille m'avait donné rendez-vous le dimanche, à l’heure de la sortie de la messe.

Dès qu'ils étaient sortis de l’église, avec leurs enfants, j'avais été fasciné par la beauté très aristocratique de cette femme.

 

Elle était venue me saluer, sur un ton incroyablement hautain, elle m'avait dit : 'Bonjour ! Vous êtes F., je présume ? Bien … et bien mon cher F., c'est donc vous qui allez avoir la charge de nos enfants'.

 

Grande et mince, elle était vêtue d'une veste rouge carmin négligemment décolletée pour quelqu’un qui sort de la messe, les jambes couvertes d’une longue jupe noire couvrant de très belles bottes qui semblaient hautes, tandis que ses cheveux blonds étaient remontés en un savant chignon, surmonté d’un petit bibi. 

 

Le mois s'était passé, comme dans un rêve, dans cette grande maison bourgeoise. Mon hôtesse s’était révélée, bien que très dirigiste, beaucoup plus avenantes que lors du premier contact. La journée était agrémentée, quand je ne travaillait pas, de longues promenade dans le parc, de discussions sur la terrasse pendant que les enfants jouaient et que les domestiques s'affairaient.

Nos regards parfois, suis souvent se croisaient silencieusement, elle répondait à mes émotions quelle devinait par le rougissement timide de mes joues par des sourires complices et emplis d'une profonde sollicitude.

 

Le dernier jour, elle était venue me voir pendant que je faisais ma valise dans ma chambre. Elle s'était approchée de moi et avait pris ma main :

'Mon cher F, vous allez donc nous quitter ! Laissez moi vous dire combien moi et les enfants vous regretterons ! Mais vous pourrez revenir nous voir quand vous le voudrez'.

De la terrasse, son mari l'appela pour lui signaler que le déjeuner était servi.

Sans lâcher ma main, elle lui répondit par la fenêtre ouverte de ma chambre. Elle jeta vers moi un regard fiévreux, elle serra fortement ma main et sans rien me dire, elle l'a plaqua sur sa poitrine. Elle caressa ses seins avec ma main ; à travers son chemisier je devinais ses seins lourds, libres et ses tétons durcis.

Je sursautai quand son mari l'appela à nouveau, mais elle se tourna vers la fenêtre et lui répondit que nous arrivions tout de suite d'une voix qui ne laissait rien trahir de ses émotions.

 

Elle descendit ma main qu'elle tenait toujours fermement et l'utilisa pour masser son ventre ferme. Elle se remit à me parler, elle me re-dit, comme pour meubler cet instant lourd de sens, qu'elle était tout à fait satisfaite du travail que j’avais fait auprès de ses enfants, que ces derniers avaient fait de nets progrès, etc … .

Puis remontant de l'autre main le pan de sa jupe, elle entraîna ma main dans son intimité. Je sentis à travers sa culotte, la chaude humidité de son sexe. Elle faisait aller et venir ma main contre son sexe, tout en continuant de complimenter mon travail d'une voix hachée qui trahissait maintenant son émoi.

Elle écarta légèrement ses jambes et accéléra frénétiquement le mouvement de ma main.

Je la vis fermer ses jolis yeux, sa main se crispa sur la mienne et je sentis à travers le léger tissu de ses dessous un flot d'humidité. Elle se cambra légèrement puis teint durant un instant ma main immobile contre la chaleur humide de son sexe.

Quand elle rouvrit ses yeux, elle me sourit, puis lâchant ma main et remettant en place sa jupe, elle me dit : 'nous devrions nous presser, si nous ne voulons pas faire attendre mon cher mari !'.

 

Le lendemain, quand je partis, elle avait revêtu la même tenue que le jour où elle m’avait accueillie. C’était dimanche, ils me déposeraient à la gare en se rendant à la messe … Nous parcourûmes un peu l’allée, tandis que son mari se préparait ; puis elle pris appui sur le capot de la belle anglaise, se troussa et me révéla un sexe nu cette fois, une magnifique toison et des bas tenus par des porte jarretelles rouge ! Je n’en croyais pas mes yeux … Je garde en tête cette vision fugace, ce petit air apeuré où elle guette du coin de l’œil la sortie de son mari ou d’un quelconque serviteur …







Merci à Albion69 pour la trame du texte ...
Par Libertins49
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