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Un petit clin d'oeil à un coquin prenommé Yann ...
Debut sur : Il pleuvait sur Brest ce jour là ...
et la suite ...
- Chuuut… Tu vas te calmer…. On n’est pas pressé…
Comme elle a raison….
J’ai pendant un temps un peu perdu la tête oubliant tout à coup, nos amis et l’endroit même ou nous sommes ce
soir.
- Masse moi un peu !
Ce n’est pas un ordre dans la bouche d’Anna… mais plutôt… Une attente... Apprécier doucement seconde par seconde l’ambiance de ce lieu… Se laisser
peu à peu couler vers le désir.
Elle se met sur le ventre. Assis à ses cotés, je passe sur son dos une éponge de mer chargée d’eau
parfumée.
Claire s’est allongée, sur le ventre elle aussi, et Jean, tout comme moi s’occupe de sa femme. Il masse ses
épaules jouant tantôt des mains et tantôt de l’éponge…S’en allant sur son dos, remontant vers son cou, descendant sur ses reins, s’attardant sur ses fesses, glissant vers l’intérieur des cuisses
accueillantes…
Moi, j’en fait de même avec Anna, imprimant ça et là de savantes caresses qui font onduler son corps,
provoquent l’impatience et font jaillir le plaisir que je sais non feint…
Jean me fait signe alors… Juste un signe de tête, il se lève, tranquille, me tend son éponge et saisit la
mienne. Je rentre dans le jeu, me lève à mon tour, déposant un baiser tendre et chaud dans le cou de ma femme… Dans un petit rire, elle murmure…
- A tout à l’heure, amour ….
Claire, les yeux fermés, soupire langoureusement quand j’arrive près d’elle. Un long frisson fripon fait vibrer
tout son être quand mes mains maladroites se posent sa peau…
Quel sentiment étrange, troublant et terriblement excitant. Je découvre un autre corps…
Un autre désir s’éveille sous mes doigts… Encouragé alors par les soupirs de Claire, je laisse choir l’éponge
et seules mes deux mains courent à l’aventure.
Me laissant emporter je voudrais tout savoir de ces courbes affolantes et je glisse partout, devant dessus
dessous… puis je ralentis, le galbe de la cuisse, l’arrondi de la fesse, j’ose aller plus loin suivant le doux sillon qui s’ouvre sous mes yeux. Mes doigts encore timides effleurent son secret,
chaud, humide, accueillant et gorgé de désir… Je glisse sur ces lèvres savamment épilées et trouve le bouton, objet de convoitise qui durcit d’un seul coup entre pouce et index….
Anna se cambre; ainsi je devine Jean qui explore sa chatte
ouverte elle aussi, avide de ces doigts qui lui fouillent le ventre.
- Allons nous mettre à l’aise en salle de repos me glisse doucement Claire….
En passant près de Jean, je vois la main d’Anna emprisonner son sexe dans un lent va et vient…
Nos regards se croisent, embués de plaisirs et d’amour partagé. Je bande de la voir cette verge à la
main ; elle brûle pour moi me voyant suivre Claire. Ses yeux ne trompent pas…
Mon hôtesse s’allonge, tel un chat, sur le skaï recouvert d’une serviette éponge soyeuse… Je me laisse glisser
doucement vers la belle et sa bouche charnue vient épouser la mienne… Le baiser est fougueux, ardent plein de promesses. Ma langue doucement quitte ce doux écrin et part à l’aventure vers
d’autres horizons… Le lobe de l’oreille, le cou, l’épaule, la naissance d’un sein. Je m’attarde un moment sur les mamelons bruns qui, sous ce baiser gonflent … Je joue de l’un à l’autre
embrassant et léchant, caressant, mordillant faisant monter ce feu qui soulève sa poitrine. Mes lèvres assoiffées reprennent leur chemin vers l’intime inconnu…
Je m’arrête un instant autour de son nombril et je glisse à nouveau, toujours un peu plus bas. Je frôle maintenant son peu de poils pubien comme un dernier rempart. Mes mains se sont lovées
doucement sous ses fesses… Je peux, tout à loisir, explorer maintenant son jardin délicat.
Je trouve sa corolle trempée rosé… J’embrasse cette vulve ruisselante d’amour, fouillant et refouillant ses
chairs, huilées, offertes. Son bouton turgescent frissonne sous ma langue et lui arrache un cri plus qu’un gémissement.
Le bruit de la porte me fait lever la tête et Anna apparaît, rayonnante, divine, suivi de très près par son
nouveau complice visiblement très excité... Son regard émeraude, intense et pétillant glisse sur mes épaules et les cuisses de Claire. Elle sait la caresse que je peux prodiguer pour avoir tant
de fois succombée sous ma bouche. Je sais qu’elle s’imagine, ouverte devant moi, recevant les tourments de mes lèvres gourmandes collées à son minou affolé de plaisir…La braise de ses yeux se
plante dans les miens.
Sans un mot, elle enjambe la margelle du jacuzzi et doucement se love dans cette eau cristalline. Jean s’assoit
à son tour sur le rebord bleuté de l’accueillant bassin. Anna vient près de lui... Elle passe tranquillement, ses mains sur les cuisses de l’homme, ses prunelles fixées sur le membre imposant qui
se présente à elle. Elle s’approche doucement et dépose un baiser sur le sommet du dard… Celui-ci tressaillit, se relève un peu plus.
Elle, comme un prédateur jouerait avec sa proie, envoie deci delà des petits coups de langues sur la hampe de chair. D’un mouvement de tête soudain, elle gobe le gland, l’aspire, le laisse s’échapper et l’aspire à nouveau. Elle pompe, elle suce l’immense sucre d’orge, l’enserrant dans ses lèvres ou glissant tout le long. Elle lèches les bourses désertées de tout poils, mordille alors le pieu, remonte vers sa cime et l’engloutit encore faisant tourné sa langue autour de cette prune tendue par le désir….
Claire, tout comme moi regarde cette scène. Elle semble subjuguée par le balai brûlant de ces amants d’un
soir.
- Lèche moi encore dit elle
sans les quitter des yeux.
Sa chatte coule, s’inonde de désir, s’ouvre, m’appelle, m’attire… Je reprends ma caresse avec avidité. J’aspire
sont bouton, le repousse, le reprends, je tire doucement l’excroissance de chair pour le lécher plus fort.
- Ouiii… Bouffe moi, mord, aspire, suce moi... Plus fort...
Ouiiiii...
Elle se cambre. Son bassin devient fou et bouge dans tout sens. Ma langue se déchaîne, tourne, frotte, pénètre.
Je laisse son vagin pour écarter ses fesses et pour mieux savourer cet abricot juteux. Elle relève ses jambes. Elle s’offre encore plus. Ma bouche grande ouverte est collée à sa vulve. Je lèche
ici le clit, ou là le périnée, je glisse un peu plus bas… Un frisson savoureux vient secouer son ventre et ma langue furieuse se plante dans l’anus jusque là délaissé.
- Doigte
moi !
Ses deux mains sous ses fesses, elle écarte elle-même les deux globe de chair. Profitant de son jus devenu
abondant, je lubrifie l’entrée et pousse doucement un doigt puis un deuxième.
Ils glissent dans sa chair attisée par les vents du plaisir qui s’annonce.
Elle pousse un autre râle. J’ose un troisième intrus qui disparaît aussi sans difficulté….
D’autres gémissements se mêlent à ceux de Claire… Je me relève alors et je peux voir Anna, accoudée sur le bord du jacuzzi, prise en levrette par notre ami. J’ai un doute … mais non, lors
d’une de ses sorties, je distingue clairement l’anneau du préservatif qui enserre le sexe de notre complice. Le membre de Jean coulisse à merveille dans son sexe trempé. Les mouvements sont
lents, mais profond et virils, comme les aime Anna. Il accélère alors, elle se mord les lèvres, tous son corps se durcit.
Lui pousse des râles qui annoncent un plaisir sur le point d’exploser… Elle se cambre encore, se relève sur ses bras, et en prenant appuis sur la faïence bleue vient à la rencontre des coups de boutoir de son amant... Elle halète, elle gémit... Une longue plainte s’échappe de sa bouche pour finir dans un cri.
C’est un OUI gigantesque qui résonne partout...
Elle a planté ses yeux turquoise dans les miens et se laisse envahir par les vagues infinies de l’orgasme qui l’emporte.
Au moment le plus fort, je peux lire sur ses lèvre « je t’aime »…
Jean, a lui aussi atteint le nirvana. S’agrippant comme un fou aux hanches de ma belle, il s’est laissé glisser vers la jouissance extrême.
Subjugué par la scène et par l’intensité de leur plaisir commun, j’en aurais presque oublié Claire. Elle n’est
pas en reste, pendant que mon regard croisait celui d’Anna, elle s’est retournée et m’a pris dans sa bouche. Mes doigts, toujours agiles, lui fouillent encore la chatte. La succion imprimé sur
mon gland et trop forte pour retenir le feu qui coule dans mon ventre. L’explosion attendue déferle dans mon corps en m’arrachant un cri. Mon plaisir est violent, très long. Les images d’Anna
prise par son amant accompagnent l’orgasme qui me terrasse alors.
Claire enserre ma bite secouée par les spasmes qui font tordre sont corps de plaisir et de rage… Les yeux
encore révulsés, elle lâche mon dard et se laisse tomber, lascive, exténuée, heureuse d’avoir pris « un pied phénoménal » dira elle plus tard…
Jean est allé chercher nos coupes de champagne et dans le jacuzzi nous trinquons de bon cœur.
- A cette soirée... pour une première, elle est délicieuse … Et appelle déjà la
prochaine ?
Anna me surprendra toujours….
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