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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 11:57
Une bien belle histoire, dont on remercie son auteur .... N'hesitez pas à lui laisser vos commentaires, il aura plaisir à les lire, et peut être à vous les commenter !

Quand à nous, si ce recit nous a plu, c'est aussi parce qu'il peut être très bien illustré de magnifiques videos un brin coquine tirées du film L'Amour Propre (puisqu'on vous le dit !!!! ... sachant toutefois que le titre complet est ''L'Amour Propre ne le reste jamais très longtemps"), tiré de la BD eponyme de M. Veyron



"L’histoire que je vais vous raconter est totalement vraie, du début à la fin… Tout s’est déroulé il ya maintenant une dizaine d’années. J’étais alors âgé de vingt-deux ans, j’étais à l’époque célibataire et je vivais au jour le jour sans me poser de questions. Ce fut le début d’une longue histoire, pas vraiment d’amour mais surtout de sexe.


Je m’appelle Fred, et j’avais fait la connaissance de Mélanie lors d’un entretien de travail, dans une grande société lyonnaise. Je recherchais du travail en tant que cadre dans le domaine de l’électricité, et elle était l’une des responsables d’affaires avec qui je serais chargé de travailler si mon profil convenait.


Dès le premier regard, j’étais tombé sous le charme. Ce petit brin de femme d’un mètre soixante à tout casser avait les cheveux blonds coupés très court, ce qui lui donnait un look agressif et très dynamique. Mais il faut l’avouer, ce qui sautait aux yeux lors qu’on la voyait, c’était ses seins. Je ne suis pas spécialiste des tailles de bonnets mais comparé à sa taille, ils paraissaient vraiment énormes. Je sus par la suite qu’elle faisait du 95D, ce qui ne me parlait pas encore beaucoup mais qui vous aidera peut-être à vous faire une image…


Pour mettre en valeur sa poitrine, qui n’en avait pas vraiment besoin, elle portait un joli pull décolleté, assorti à un pantalon très simple mais qui lui moulait les fesses à ravir. Bref, le genre de fille devant laquelle il est difficile de rester indifférent.


J’avoue que j’ai pensé à elle pendant quelques jours, en me disant que si j’avais la chance de pouvoir travailler avec elle, je tenterais bien de l’inviter à boire un verre. Je ne connaissais pas son âge ni sa situation mais après tout, pourquoi ne pas tenter…


J’eus la bonne surprise, quelques jours après, de me voir accepté pour le poste. J’appris donc que j’allais travailler assez régulièrement avec elle, ce qui m’enchantait. De fil en aiguille, j’appris donc qu’elle s’appelait Mélanie, qu’elle avait la trentaine ans et que malheureusement pour moi, elle vivait avec un compagnon, plus âgé qu’elle et qu’ils venaient d’acheter une maison.


J’abandonnai donc l’idée de l’inviter un soir, mais cela n’entacha en rien notre relation, ni professionnelle ni personnelle, car au bout de quelques semaines elle m’invita à venir manger chez elle.


Je fis donc la connaissance de Bernard, son concubin, médecin généraliste dans une petite ville des environs. Un gars très sympa, plutot bonhomme mais souvent débordé par son boulot et qui avait acheté une maison énorme à rénover, sans avoir aucune connaissance en bâtiment, ni réellement le temps de faire ces travaux.


Ayant baigné depuis toujours dans les rénovations de maison (c’est un peu une passion chez nous), je leur proposai alors de venir leur donner des coups de main le weekend et certains soir de la semaine, pour les guider un peu et avancer dans les travaux.

Je ne vous cache pas que c’était pour moi une excuse pour voir un peu plus Mélanie, en dehors du cadre professionnel. Cet espoir fut un peu abandonné quand, au fur et a mesure de mes soirées et weekends de travaux, je ne vis Mélanie qu’une ou deux fois. Elle finissait assez tard les soirs, et quand elle ne travaillait pas, elle préférait faire du shopping plutôt que du béton…


Mais ça ne m’empêchait malheureusement pas de fantasmer sur elle et (je l’avoue) sur ses gros seins. Elle était toujours d’allure très féminine, mais toujours en pull et pantalon, sans vraiment d’originalité.


C’est d’ailleurs de ce détail que tout a démarré…


Invité un soir, je venais (pour une fois) juste pour le repas et non pas pour empiler des briques ou couler une chape…

Ravi à l’idée de passer une bonne soirée en la compagnie de la douce Mélanie et bien sûr de Bernard, je me présentai à l’heure prévue avec une bouteille de vin blanc.


Quelle ne fut pas ma surprise de voir la porte s’entrouvrir sur une Mélanie encore plus belle que d’habitude… mais en chemise et en minijupe ! Je vous avoue que mon sang n’a fait qu’un tour et que je suis resté quelques secondes la bouche ouverte comme un idiot, à ne pas savoir quoi dire.


Amusée, Mélanie me fit entrer, et au moment où je me penchais pour lui faire la bise, je ne pus poser mes yeux ailleurs que dans son décolleté. Sa chemise était ouverte sur trois boutons et j’avais une vision merveilleuse sur la naissance de ses seins, qui tenaient dans un soutien-gorge rouge prêt à exploser.


Mélanie remarqua mon trouble (je devais être rouge pivoine) et me fit un petit sourire en coin. Pas le sourire gêné qui indique qu’elle a vu que je regardais et que ça la flatte, mais un sourire assuré, qui m’a fait comprendre que je voyais exactement ce qu’elle voulait que je voie !


Quelques minutes après, Bernard descendit de l’étage où il rangeait quelques outils, pour me serrer la main et me pria de m’asseoir, pour entamer l’apéritif. Le salon était assez petit car rempli de cartons, d’outils divers et de matériaux, ce qui fait qu’ils n’avaient pu y caser qu’une table basse et trois fauteuils.


Mélanie s’assit donc en face de moi, jambes croisées et décolleté plongeant dans mon champ visuel. Troublé, j’essayai de ne pas trop la regarder mais il m’était impossible de ne pas poser un œil sur ses jambes gainées de noir, en me demandant si c’était des bas ou un collant, ou sur ses seins magnifiques qui ne demandaient qu’à sortir du chemisier. Je me demandais aussi si sa culotte était assortie à son soutien-gorge rouge, et laissais un peu mon esprit divaguer…


Chaque fois qu’elle se penchait pour prendre son verre, ses seins penchés en avant, je n’arrivais pas à éviter d’y plonger le regard. Et tout de suite après je jetais un œil du côté de Bernard, pour voir s’il ne m’avait pas surpris en flagrant délit de reluquage… Mais chaque fois, il regardait ailleurs, ou alors faisait semblant de ne pas voir.


Le repas suivit tranquillement l’apéro. Nous parlions de tout et de rien, du travail, de la maison et du beau temps. Chaque fois que Mélanie se levait pour aller chercher quelque chose à la cuisine, je ne pouvais m’empêcher de poser les yeux sur ses fesses, et, l’alcool aidant, plus la soirée s’avançait, plus je m’imaginais en train de lui enlever sa jupe, de lui caresser les seins, ou même bien plus…





Quelle ingénue, cette Corinne T !!!

Superbe, le :

- "Mais chérie, je suis trout trempé" ....

- "Pfff ... Moi aussi"


Choqué par mes pensées et mon manque de respect envers Mélanie et bien entendu Bernard, je décidai d’arrêter de penser à tout ça, et de finir le repas tranquillement.


Après le dessert, nous nous sommes réinstallés dans le fauteuil, pour boire un café. Mélanie prit un capuccino, Bernard et moi un café simple. Quelques minutes après nous être installés, le téléphone retentit. C’était une patiente de Bernard qui avait quelques soucis et qui malgré l’heure tardive voulait absolument que ce soit lui qui vienne, et non les pompiers. S’excusant auprès de nous, Bernard partit prendre soin de sa cliente, en nous disant qu’il n’en aurait pas pour plus d’une demi-heure.






- "tu utilises toujours des mouchoirs en tissu, toi ... excellent !


Je restai donc seul avec Mélanie, toujours aussi radieuse, les jambes croisées sur le fauteuil en face de moi, son capuccino à la main. Nous parlâmes de travail quelques minutes, puis un petit silence s’installa. J’étais tellement troublé par son décolleté et ses jambes que je ne savais pas trop de quoi parler. Elle dut le voir, car elle me demanda si tout allait bien… Je lui répondis alors que oui, et que je la trouvais magnifique ce soir, dans une tenue dans laquelle je n’étais pas habitué à la voir.


- Il est vrai, me répondit-elle, je que ne m’habille pas souvent comme ça. Ça fait très vite jaser au boulot si une femme arrive en minijupe et en chemisier… Du coup j’essaie d’avoir des tenues assez neutres. Tu aimes ?

- Oui, beaucoup, lui répondis-je un peu gêné.

- J’ai vu que ça t’as surpris quand tu es arrivé, me lança-t-elle avec un petit clin d’œil. Je me doutais que ça ferait son petit effet. C’était le but d’ailleurs…


- Le but ? lui rétorquai-je un peu surpris.


- Oui le but, me répondit elle avec un grand sourire. Je voulais te surprendre, et quoi de mieux pour ça que de laisser entrevoir mes seins ?

Ne sachant quoi répondre, je commençais à bafouiller un peu… elle reprit aussitôt :


- Car je sais que tu aimes regarder mes seins n’est-ce pas ? Je te vois souvent poser les yeux dessus lorsqu’on est au bureau. Et ce soir tu ne les as pas lâchés. Ou alors, si… pour regarder mes jambes. Tu essaies de voir si j’ai une culotte ?

J’étais abasourdi. Je ne voulais pas répondre une bêtise et qu’elle le prenne mal… J’essayai donc de me justifier tant bien que mal :

 
- Euh, oui… C’est vrai… Je regarde tes seins, mais comment faire autrement avec un tel décolleté ? Et pour ta culotte, je me doute que tu en as une, mais je t’avoue que je me demandais plutôt si tu avais des bas ou un collant.

Je ne revenais pas moi même de la réponse que je venais de lui faire. Elle ne parut pas choquée pour autant, et décroisa les jambes doucement, se penchant en avant. Je faillis tressaillir quand mes yeux se posèrent sur ses seins offerts à ma vue.


- Regarde par toi-même,
me dit-elle en remontant légèrement sa jupe. Tu m’imagines avec un collant ? Quelle horreur ! Bien sûr que non… Ce sont des bas, c’est tellement plus sexy.

Et en joignant le geste à la parole, elle remonta encore un peu plus sa jupe, jusqu’à la lisière du bas. Je voyais sa peau nue juste au-dessus, et cette vision eut un effet immédiat, je me mis à bander !


- Et en ce qui concerne la culotte,
répondit-elle, oui j’en ai une. Et elle se remit au fond du fauteuil, les jambes écartées afin que je voie sa petite culotte rouge, assortie à son soutien-gorge.

Je serrai les jambes pour essayer de masquer mon érection, mais son regard me fit comprendre que ça ne servait à rien. Gêné, je ne savais plus quoi dire…


Au bout de quelques secondes, elle me regarda dans les yeux et me posa une question qui me laissa sans voix.


- Tu t’es déjà masturbé en pensant à moi ?

Voyant que je ne savais quoi répondre, elle enchaîna :


- Moi oui. Souvent je me branle en pensant que c’est ta main. Ça m’arrive même de le faire au bureau, quand j’ai passé un peu de temps avec toi. Je m’enferme dans les toilettes, je m’installe et je me caresse en pensant à toi.

Joignant le geste à la parole, elle s’enfonça encore un peu dans le fauteuil et se mit à se caresser les seins. Totalement abasourdi, ne sachant quoi faire, je la regardai passer ses mains sous son chemisier, prenant ses seins à pleines mains, les caressant et les comprimant.


- D’ailleurs, tu vois, en ce moment même, j’ai envie de me caresser. J’adore ça, c’est plus fort que moi. En général je le fais deux ou trois fois par jour, ça me fait un bien énorme.

Elle retroussa un peu sa jupe, et posa sa main sur sa culotte.


- Et puis, si ça ne te dérange pas, je vais me faire du bien maintenant, j’en ai besoin.

Elle commença alors à se caresser par dessus la culotte, dans de petits mouvements rotatifs, pendant que, de sa deuxième main, elle sortait un sein de son soutien-gorge, le téton dressé. Elle commença à soupirer doucement, se caressant de plus en plus fort…


- Tu ne m’as pas répondu,
dit-elle entre deux souffles, tu te branles en pensant à moi ? À mes seins… à mon cul ? Ou même ma chatte ?

Voyant la tournure que prenaient les choses, je perdis alors le peu de timidité que j’avais, et me lançai :


- Oui, lui répondis-je très gêné. Oui ça m’arrive. Je fantasme énormément sur tes seins…

Son visage se teinta alors d’un grand sourire, pendant que sa main s’activait de plus en plus sur son clitoris.


- Je m’en doutais, lâcha-t-elle dans un souffle. La façon dont tu les regardes en dit long. Et tu préférerais quoi ? Les caresser ? Les lécher ?

Et sans me laisser le temps de lui répondre, elle ajouta :


- Ou que je te branle avec ? C’est ça que tu veux hein, une bonne branlette espagnole !

Gêné, je lui répondis oui d’un signe de la tête. Ma queue était prête à exploser dans mon pantalon. J’avais devant moi la fille dont je rêvais depuis un petit moment, les seins à l’air en train de se masturber ouvertement. Elle continua quelques instants, puis me lâcha d’un ton autoritaire :


- Sors ta queue. Je veux la voir, sors-la.

Abasourdi, je bégayai que son amipouvait revenir d’un moment à l’autre et que ça me gênait de sortir mon sexe devant elle.


- Allons… Ne fais pas ton timide ! me répondit-elle. Je connais Bernard, il est parti voir sa maîtresse. Il en a pour une bonne heure. Sors ta queue ou j’arrête de me branler !

Et pour m’encourager elle se remit à se masturber de plus belle. La bouche ouverte, les yeux dans le vague… Elle gémissait.


- Sors ta queue et tu pourras te branler entre mes seins, je sais que tu en as envie !

Ne voulant pas que tout s’arrête, mais ne sachant pas trop non plus dans quoi je m’engageais, je défis alors les boutons de mon pantalon, baissai légèrement mon boxer et sortis mon sexe, qui était au garde à vous depuis un bon moment maintenant.


- Bien, tu vois quand tu veux. Montre-moi maintenant comment tu te branles en pensant à moi…

Sans me poser plus de question, je pris ma bite dans la main et commençai alors un va-et-vient, les yeux fixés sur Mélanie qui avait écarté sa culotte sur le côté et était en train de se doigter pendant que son autre main caressait son clitoris avec vigueur.


- Huum, c’est bon,
lâcha-t-elle dans un râle. C’est le pied. Continue ! Branle-toi bien… Si tu savais depuis combien de temps j’en ai envie. Regarde ça, je suis trempée.

Les yeux fixés sur sa chatte, je me branlais de plus en plus vigoureusement. Avec toutes ces émotions, j’avais du mal à me contenir et si ça continuait, l’éjaculation ne serait pas bien loin.


Mélanie se pencha alors en avant, prit la cuillère qui était posé à côté de ma tasse de café, et la porta à sa bouche. Elle la lécha langoureusement, puis la mis dans sa bouche, mimant une fellation.


- Imagine que c’est ta queue,
me dit-elle en me regardant. Tu aimerais que je te suce comme ça, n’est pas ? Regarde comme ma langue te ferait du bien.

Après quelques secondes de ce traitement, elle la sortit de sa bouche et l’approcha de sa chatte.


- Regarde ce que tu pourrais faire si c’était ta bite ? Tu pourrais me la mettre bien au fond.
Et d’un coup sec, elle l’enfonça dans sa chatte grande ouverte.

Elle entreprit alors un grand mouvement de va-et-vient, sa deuxième main se caressant les seins. Devant cette vision folle, je m’activais de plus en plus vite sur ma bite, qui était prête à exploser.


- Tu sais ce que l’on va faire, me dit-elle en continuant à se branler, on va jouir chacun de notre côté, ça nous rappellera comment on aime se branler en pensant l’un à l’autre. Comme ça la prochaine fois que tu te masturberas, tu auras de vraies images de moi, en train de prendre mon pied. Vas-y, continue mon chéri, branle-toi et préviens-moi quand tu sens que ça va venir.

Nous continuâmes alors notre manège pendant quelques minutes. Elle avec ses doigts et sa cuillère, moi avec ma main. Puis sa respiration se fit de plus en plus rapide, elle sentit qu’elle allait jouir.


- Tu en es où, mon chéri ? Moi je vais jouir, ça ne va pas tarder… Je sens que ça vient.


- Moi aussi, lui répondis-je, je ne vais plus tenir.


- Prends ma tasse me dit-elle dans un sursaut. Prend ma tasse et finis-toi dedans !

Sans vraiment réfléchir à ce que je faisais, je pris sa tasse et la positionnai devant ma queue. Quelques secondes après, elle fut secouée de spasmes.


- Ho putain, je jouis ! Je jouis, mon chéri, je jouis. Hooo, c’est bon,
lâcha-t-elle, les jambes arquées sur les rebords du fauteuil. Vas-y branle-toi, branle-toi et lâche tout ! Je jouiiis !

Je ne pus me retenir plus. La vision de Mélanie en train de jouir m’acheva et je lâchai tout mon sperme dans sa tasse.

Je n'étais pas au bout de mes surprises et la vit se relever, prendre la tasse et en recuperer un peu de ma semence dans la cuillère ... elle se preparait à la gouter goulument ...




Je la connaissais un peu crue, voire vulgaire, mais sur le moment elle dépassait tout ce que j’imaginais d’elle.


À moitié mort, je m’affalai dans le fauteuil avec un soupir de plaisir, fermant les yeux pendant quelques minutes


Je fus sorti de ma torpeur par une chaleur humide sur mes doigts. Elle était en train de recueillir le sperme qui m’avait coulé sur la main, me léchant les doigts avec avidité, ses beaux yeux verts plongés dans les miens.

 
- Je n’aime pas le gaspillage, me dit-elle, faisant tourner sa langue toute blanche dans sa bouche.


- Quel pied, lui répondis-je… La vache, je ne te pensais pas aussi… aussi…


- Chaude ? me dit-elle en finissant ma phrase.

- Salope, lui répondis-je, sûr de ne pas la choquer.


- Comme quoi… je cache bien mon jeu, me dit-elle avec un clin d’œil.

Elle allait poursuivre quand tout un bruit de voiture se fit entendre dans le jardin.


- Merde, Bernard ! m’exclamai-je complètement abasourdi. Je l’avais oublié.

Elle se jeta dans le fauteuil, remit son soutien-gorge correctement, reboutonna son chemisier et défroissa sa jupe. Je me dépêchai, de mon côté, de reboutonner mon pantalon et je posai sa tasse sur la table, reprenant la mienne comme si de rien n’était.


Bernard franchit la porte quelques secondes après, l’air dépité.


- Un déplacement de fait… dit-il. Une vieille dame qui avait un peu de fièvre, rien de méchant. Je vois que vous avez repris un café, je vais m’en faire un moi aussi.

Il se rassit dans son fauteuil quelques minutes après, son café à la main. Je bus alors le mien, pour donner le change, mais le café froid c’est horrible, ce qui me fit faire une grimace. Mélanie me regarda alors amusée et me tendit ma cuillère en disant :


- Tu as oublié de mélanger le sucre. Tiens, prend ta cuillère ça ira mieux.

Et pendant que Bernard se penchait pour prendre la sienne, elle se lécha le bout des lèvres, d’un air coquin, pour me faire comprendre que c’était la cuillère dont elle s’était servie pour se masturber.


Je la léchai alors doucement, essayant de savourer le goût de sa chatte, ce qui me redonna aussitôt une érection d’enfer.

De son côté elle prit sa tasse sur la table, avalant de grande gorgée de son capuccino froid, coupé avec mon sperme. Elle se lécha les lèvres une fois de plus, et ses yeux dans les miens, lança :


- Délicieux ce capuccino. J’en reprendrai volontiers encore un peu…

La soirée se termina ainsi. Je partis de là quelques dizaines de minutes plus tard, avec une gaule d’enfer et l’envie de revoir Mélanie le plus vite possible. Elle me fit la bise comme si de rien n’était, si ce n’est qu’elle laissa glisser sa main de façon discrète sur mon sexe, en me susurrant un petit « à demain ».


Je repris ma voiture et rentrai chez moi, la tête pleine d’images toutes plus excitantes les unes que les autres… C’est comme ça que ma relation avec Mélanie commença. Une relation basée sur le sexe et des expériences plus torrides les unes que les autres.

Belle histoire non ???

Laissez lui les commentairtes qu'il merite, et incitez le à poursuivre cette très belle histoire

Par Libertins49 - Publié dans : En video
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