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Nous sommes en automne et avons décidé de passer ce samedi dans le vignoble.
Il est très tôt dans la matinée, C. et moi nous nous préparons pour cette journée.
Nous préférons plutôt une tenue citadine mais toujours sexy pour ma femme avec des dessous très séduisants : un ensemble soutien-gorge, string et porte-jarretelles couleur champagne qui retient ses bas noirs et avec par dessus petit bolero qui épouse parfaitement sa silhouette, faisant ainsi ressortir ses seins et son sublime cul. Un chemisier largement ouvert et une jupe marron au dessus du genou, fendue à l’arrière couvrent le tout. Nous choisirons des chaussures à haut talons en daim marron. Je dis nous car elle me demande toujours mon avis, et je l’en remercie.
Une délicate touche de maquillage vient couronner l’ensemble ; elle est magnifique, ses yeux verts brillent, ses lèvres aussi soulignées d’un peu de gloss.
Nous voici donc installé dans la voiture, moi au volant, ma femme à mes côtés prêts à prendre le départ pour cette ballade.
Les kilomètres défilent, m’offrant une vue imprenable sur les cuisses de mon épouse ; Sa jupe légèrement remontée, laisse apercevoir les agrafes de son porte-jarretelle où sont accrochés ses bas. Je ne suis pas toujours le seul à en profiter car ce panorama fait aussi le bonheur de ces routiers qui perchés au volant de leur camion et parfois arrêtés à coté de nous aux feux rouge, admirent la beauté du paysage.
Parfois pour exciter ces messieurs, en toute complicité avec C., je lui passe la main entre les cuisses. J’adore ces moments, car prise d’un soupçon de pudeur, ses pommettes virent souvent au rouge.
Aux portes du Layon, l’ayant bien échauffée avec mes caresses, nous décidons de faire une pause un instant dans les vignes, nous permettant ainsi de patienter avant l’ouverture des caves que nous aimerions visiter afin d’y gouter et déguster quelques crus de la région : Coteaux du Layon, Quart de Chaume … peut être pousserons nous jusqu’à Bonnezeau.
Il est évident que l’un comme l’autre pensons à la même chose : faire quelques calins sur les sièges de la voiture, vu la médiocrité du temps à l’extérieur. Dans une voiture, ce n’est pas toujours facile, mais bougrement excitant.
A chaque instant, nous pouvons être surpris en pleine action, ce qui n’est pas pour nous déplaire.
Je bascule son siège, avec ma main gauche, je prends sa cheville droite et lui remonte la jambe afin de la poser sur le tableau de bord ; docile, et la tête penchée en arrière, yeux mi clos, elle s’abandonne. J’écarte alors doucement sa cuisse gauche, pour me positionner face à son sexe, où les lèvres de sa vulve débordent de son string.
Je commence à lui caresser le mont de Venus, bien en évidence sous le triangle du string, puis vient délicatement embrasser ses cuisses … remontant depuis le genou, mes lèvres parcourent d’abord la nylon, puis la bande de dentelle du bas, s’amusent avec l’agrafe de la jarretelle avant de venir s’égarer plus loin dans l’aine charnue … elle respire plus fort … très vite, je n’en peux plus et entreprends de lui caresser la vulve de mon menton, de mon nez … j’adore son odeur de femme, de femelle devrais-je dire tant elle se livre à moi … son string n’est bientôt plus que liquide, mélange de ma salive et de sa cyprine … J’écarte doucement le string, pour découvrir cette petite chatte que j’aime tant … maintenant dénudée de presque tous ses poils, ne laissant qu’un mince ticket de métro … elle est offerte … son sexe lui, ses lèvres sont gonflées et rouges du desir qui fait également jaillir son petit bouton … je fait glisser l’étoffe sur ses hanches, et le roulant sur ses cuisse et lui écartant plus encore la cuisse, lui dégage une seule jambe. Ma femme miaule telle une chatte en chaleur, masquant le bruit de la pluie qui tombe. J’assure l’écartement de ses cuisses avec mes mains qui lui maintiennent fermement ses chevilles en hauteur et empêche son string de redescendre le long de son bas. Cette position m’offre son vagin grand ouvert pour une bonne et profonde pénétration qu’elle me demande sans me prier. La pluie ayant cessée momentanément de tomber, c’est elle qui m’entraine, sortant de la voiture elle vient se positionner devant le capot et m’offre son dos et son cul, les mains posées bien à plat sur le capot encore chaud, la croupe tendue et le dos cambré … comme elle est bandante !
Sans trop de préliminaires, je lui enfourne ma verge … ou plutôt, elle vient se saisir de mon sexe, d’une main passée entre ses cuisses et s’est littéralement elle qui se la met. Je la bourre profondément et bestialement ; elle est comme folle, et m’excite telle une salope en manque avec des :
« oh oui … vas y encore, bourre moi plus fort, défonce moi! Oh … j’aime ta queue … elle est bonne»
J’exécute ses ordres sans rechigner, en mettant encore plus d’ardeur qu’elle ne peut espérer. Nous jouissons tout les deux.
L’intensité de cette partie de jambes en l’air a toutefois fait une victime, un bas qui n’a pas résisté à la violence de nos ébats. Contrariée par son bas filé, C. soucieuse de son allure BCBG, décide de repartir à Angers en acheter une paire. Pendant le trajet, et alors que son string reste en boule à ses pieds, elle me dit sentir ma semence couler hors de sa chatte … elle se caresse, et je sens bien vite ma bite reprendre de la vigueur … elle récolte un peu de mon sperme sur ses doigts, et porte goulûment ses doigts vers ses lèvres tout en fichant son regard dans le mien … qu’il est dur de rester concentrer sur la conduite …
Il est onze trente du matin, et en arrivant sur le parking, C me demande d’attendre … elle prend une lingette dans la boite à gant et délicatement s’essuie l’entrejambe … Un homme qui longe notre voiture, doit l’avoir vue car il se retourne, comme estomaqué par le spectacle … il est avec sa femme qui marche d’un bon pas et ne s’arrête pas … A notre tour, nous entrons dans un centre commercial et nous nous dirigeons vers le rayon lingerie, où ma femme trouve son bonheur. Je lui conseille de prendre deux paires, car la journée n’étant pas terminée, nous pouvons certainement en avoir besoin. Nous achetons les deux paires de bas, une paire de bas couture avec pointes talons, et une résille fine et profitons pour jeter un coup d’œil au rayon lingerie. Le même homme que tout à l’heure passe en tête de gondole … il me semble qu’il cherchait quelque chose … nous, peut être ? Oui, c’est cela … le voilà qui revient et vient à notre rencontre …
C. est en train de jauger d’une très belle guêpière blanche …elle ne l’a pas vu … Quand il passe pres de nous, il ralentit et glisse « cela vous irait à merveille … vous être très jolie … merci pour le spectacle » … elle se retourne, interloquée, mais vraisemblablement trop timide, l’homme a continué son chemin … elle m’interroge du regard et dit « quel spectacle ? » … je lui révèle que je pense que cette homme l’a vu s’essuyer le sexe nu, tout à l’heure … elle rie, tandis que de nouveau, ses joues virent au rouge !
Nous repartons, et de retour dans le vignoble, trouvons un restaurant pour déjeuner. Ma femme se rend aux toilettes pour remplacer ses bas. Le menu entre les mains, je m’interroge ; lesquels va-t-elle choisir ? J’imagine la scène, mon épouse en train de raccrocher ses bas au porte-jarretelles. C’est un instant magique, qui me fascine toujours, et que j’aimerai partager … mais qui retarderai certainement le service ! Je m’imagine, la prendre sur le plan de toilette avec l’angoisse qu’une personne qui rentrerait.
La démarche toujours aussi bandante, Marie-Paule regagne la table … je vois quelques regards masculins qui la suivent … elle a mis les bas couture. En s’asseyant, sa jupe dévoile le haut de ses bas, tendus par les jaretelles …
Nous passons commande.
A l’aise, les jambes croisés, ma partenaire très aguichante, fait admirer aux autres couples présents, les fines dentelles en haut de ses bas et parfois même le teint encore hâlé de ses cuisses.
Très sensuellement, elle déchausse une chaussure, et vient avec son pied sous la table me caresser au niveau de la braguette. Le bruit et le va et vient de son bas sur le pantalon m’excite. Elle peut sentir ma bite qui raidit sous l’effet de ses caresses.
Après m’avoir fait bien bander, elle se retire avec un sourire et une langue humidifiant ses lèvres en signe d’intime complicité.
Ravie de son acte, elle poursuit le repas et j’en fais de même. Le repas est divin, les mets nous paraissent sublimés par l’ambiance érotique, le désir qui nous entoure … mos mains se touchent, nos doigts s’entrecroisent, nous nous lançons des œillades mais résistons à l’envie de caresses trop charnelles.
Le repas terminé, nous quittons la table et partons déguster quelques vins. A Rablay, nous faisons un arrêt dans une cave que je connais pour y être déjà venu. La maîtresse des lieux très sympathique nous accueille et nous propose de déguster, ce que nous faisons volontiers. Mon épouse et moi, nous nous asseyons et tenons une conversation intéressante sur les vendanges actuelles. Maintes fois, je surprends les yeux de la propriétaire fixant les cuisses de ma compagne, qui comme à l’habitude croise ses jambes, se qui laisse entrevoir qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelle. J’ose imaginer ce que peut penser cette personne d’apparence très chaste et réservée, face à un tel spectacle.
N’étant absolument pas gêné par le petit jeu de ma femme, je demande à cette brave dame encore troublée, si l’on peut visiter la cave. Ce qu’elle nous accorde bien volontiers, appellant son mari. Nous pénétrons, le vigneron en tête suivi de mon épouse et moi. Dans les grands couloirs voûtés où les bouteilles et barriques sont entreposées, la faible lumière dégagée par les ampoules illuminent mon imagination sexuelle.
Le propriétaire nous devançant de quatre à cinq mètres et ne se doutant de rien , nous donne quelques détails sur la manipulation de son délicieux breuvage tandis que je stoppe C, me positionne derrière elle et lui fait sentir mon sexe bien raide sur son cul à travers sa jupe. Très vite elle comprend et comme moi, aimerai que je la baise dans cette cave, en lui mouillant la chatte au Layon, un cérémonial que tous les deux avons déjà pratiqué.
Nous re-sortons, retournons au caveau et achetons trois caisses, en souvenir de cette journée, avec quelques demi bouteilles pour agrémenter nos petites soirées érotiques.
Il est bientôt dix-huit heures, nous quittons les coteaux et, encore bien émoustillés, prenons le chemin du retour. Je sais l’effet qu’à un peu de – bon – vin sur la libido de C, et ceci me laisse augurer d’une bonne soirée.
Nous faisons halte dans un délicieux restaurant, en bord de Loire … où nous prenons notre temps. Toujours avec une envie féroce de sexe, nous blaguons sur les personnes qui nous entourent, nous taquinant, se posant mutuellement des questions sur leur vie sexuelle et bien sûr, sur la façon que nous aurons de terminer la soirée?
Demain, c’est dimanche nous rentrons tranquillement. Même si la route n’est pas longue, toujours affamés de cul, nous ne pouvons attendre si longtemps. La maison semble trop loin pour nos désirs. Je me dirige dans un petit chemin, nous conduisant, à la lisière d’un bois, où j’arrête la voiture et éteints les phares.
C. m’arrache le pantalon, détourne mon slip et me taille une pipe d’une extrême vigueur. Ma verge est prisonnière de sa bouche, l’ardeur qu’elle met à me sucer le gland est impressionnante, elle agite fermement mon membre dans tous les sens et chaque aller retour dans le creux de sa main, orchestré par la dextérité de son poignet, me donne envie d’éjaculer. Je résiste, m’accroche à sa chevelure, et me contorsionne pour lui rendre la pareille. Ma main se faufile, de mes doigts, je lui écarte les lèvres, et caresse sa chatte déjà trempée … je me lèche trois doigts, et les lui bourre au fin fond du vagin. Je les remue à l’intérieur de son gouffre, telle une pieuvre avec ses tentacules. Elle chancelle de plaisirs, et finis par libérer ma queue de sa bouche.
Les sièges vite mis en couchette, je la bascule sur la banquette arrière, sort mes doigts humides que je suce un par un, et je lui dévore la moule. Elle jouit, me retient la tête contre son sexe qui dégage une agréable odeur de cul. Je lui enfile profondément mon pouce dans l’anus, elle crie telle une salope … je la désire.
Elle est en chaleur, et se retourne, à quatre patte sur la banquette
Prêt pour la prendre en levrette, sa croupe bien tendue, me prenant la bite, c’est vers son œillet qu’elle me dirige et frotte lentement mais fermement ma verge … elle fait des allers-retours sur sa vulve et chaque passage est l’occasion d’humidifier sa raie. Le gland bien enflé, je laisse glisser un peu de salive dans sa fente que j’écarte largement.
Sous la pression inculquée par son poignet, je me sens la pénétrer, son anus se refermant sur mon gland. Je la pilonne, les coups de butoir que je lui inflige claquent sur ses fesses. La respiration haletante, accompagnée de gémissements, elle prononce quelques mots :
Va s’y yyyy ! bourre moi encore ! Défonce moi ! Oh ouiiii ! J’aime ta queue , j’aime ta bite dans mon cul !
Après avoir bien que j’ai bien limé son cul, toujours pas rassasiée, elle se retourne et prends la position du missionnaire. Je prends une capote dans mon portefeuille, elle s’en saisis et la déroule sur mon étendard … elle en profite pour me malaxer fermement les couilles … Les cuisses très ouvertes m’offrent ses lèvres béantes, son clitoris saillant. Je saisis ses chevilles et les maintiens fermement pour garder l’ouverture, et la bourre de ma bite. Nous gueulons tous les deux de plaisirs, je m’acharne à la faire jouir intensément. Je lui lèche les bas le long de ses jambes. La violence de nos actes, décroche les bas de son porte-jarretelles. J’en remonte un à hauteur de sa cheville accompagné de son string, les mets successivement dans la bouche pour m’imprégner de l’odeur dégagée par ma femme durant toute cette journée entre ses cuisses et son sexe. Je me ravis de ce léger parfum musqué et continue à la défoncer. Je la couvre de mots doux :
Tiens salope ! Prends ça ! Ca te plait ! T’en redemandes ! Saaaalope va !!!
Oh oui ! Tu aimes que ta femme soit une salope ! Hein ! Gros cochon ! Allez bourre moi encore!
Baise moi encore !!! Encore ! Encore ! Enncoore ! Ah ouiii, je jouiiii !!!
Ah ! Ouii ! Moi aussiii ! Tiens prends ça … oh, putain, je t’inonde !
Et je lui décharge une grande quantité de sperme sur son ventre avec lequel elle frotte sensuellement sa chatte, accompagnant son regard qui en dit long sur notre complicité sexuelle.
Avec quelques lingettes, nous nous essuyons tant bien que mal, C. raccroche ses bas à son porte-jarretelles, qui soit qui cette fois, n’ont aucun mal, à part quelques décorations blanchâtre de mon sperme, sortes de souvenir de cette magnifique journée.
Cette fois nous rentrons chez nous et demain nous récupérerons et, recommencerons.
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