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L’histoire racontée avec force détails croustillants par un lecteur (voir : La mère de mon ami ... souvenirs charmants) qui nous avait confié comment il avait été déniaisé par la mère de son ami, fantasme répandu chez les jeunes hommes, m’a poussé à vous raconter ma propre expérience tout aussi délicieuse, et mettant aussi une femme d’experience dans le role de l'initiatrice …
J’avais alors un peu moins de 18 ans et je vivais toujours chez mes parents.
Un matin, au mois d'octobre, on sonna. Mes parents n'étant pas là, je descendis ouvrir croyant au facteur. J'ouvris la porte, en me cachant derrière car j’étais en caleçon ; c'était une de nos voisine qui rapportait une montagne de livres que ma mère lui avait prêté.
C’était une femme dans la quarantaine, mariée, 2 enfants dont l’un était ami avec ma sœur, brune avec de longs cheveux, très belle. J’avais fantasmé plusieurs fois sur une relation, sans bien sûr y croire. Mais ce fantasme m’avait fait mouiller mes slips quelquefois …
Elle croulait sous le poids, et je ne pus faire autrement que la faire rentrer. Elle entra dans le salon, et posa la cathédrale de bouquin sur la table. Alors qu’elle repartait, non s’en m’avoir ‘’jaugé’’ en échangeant deux – trois banalités du genre « tes parents ne sont pas là ? … bla bla » , je lui demandais poliment si elle voulait un café, ce qu'elle accepta.
Elle s’assit dans le salon, et je filais dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, je revins avec nos tasses de café. Alors que je lui tendais la sienne, elle me heurta le bras, la tasse se déroba et son contenu arriva sur mon caleçon. Elle s'excusa, confuse, je lui disais que ce n'était rien du tout que ca arrivait. J’avait toutefois déjà bondit car je sentais la chaleur très forte et craignais une vraie brulure toutefois Je me dirigeais vers la salle de bain pour me changer, sans fermer la porte au verrou.
Je baissais mon caleçon, et prit un gant froid pour me laver et refroidir la zone. Quelques secondes plus tard, je l’entendis s’approcher et derrière la porte me demandait si elle ne m’avait pas brulé, sa main agrippa la poignée … croyait-elle la porte verrouillée, toujours est-il que celle-ci s’ouvrit et que me retournant, je la vis me faire face. J'étais nu. Je me sentis rougir, et du constater un vrai début d'érection. Ma voisine s’excusa et s’effaça, retournant m'attendre dans le salon. En la rejoignant, ayant enfilé un jean, je me sentais gêné. Il régnait un silence de cathédrale, quand je me rassis près d’elle.
C’est elle qui brisa ce silence, me disant:
tu as un très beau corps, tu sais ? …
???
et un très joli sexe !
Moi, redevant rouge cramoisi, je lui dit (je l’entends encore, comme si c’était hier !)
C'est gentil !
Elle se leva, et me fit un bisou sur le front, puis se repenchant en posa deux sur mes joues, tout en glissant sa main le long de mes cuisses. Ses caresses me procuraient une nouvelle érection. Elle me regarda, baissa les yeux et me dit doucement:
Dis moi, tu as déja fais l'amour ?
Moi tout penaud, la gorge sèche, je serrais mes cuisses, et je répondis par la négative.
Et là, un sourire sur son visage, elle me dit :
Tu veux que je t’apprenne ?
Je n'en croyais pas mes oreilles, je fis un OUI tout timide.
Elle me prit par la main, et on se dirigea vers ma chambre.
Elle s’assit sur le bord de mon lit ; je restais gauche, debout devant elle … elle me fit m’approcher, baissa mon caleçon dont jaillit mon sexe dur comme du bois. Tout en me regardant fixement, elle me décalotta doucement, fit quelques aller retour dans sa main, et alors que mon gland venait de briller d’une goutte, elle prit ma verge dans sa bouche.
Quel bonheur ? ma première pipe ? J’en avais rêvé, vues maintes fois sur des revues porno qu’on se passait au lycée (il n’y avait pas internet !)
Et avec cette femme, quasi inaccessible dans mes meilleurs rêves !
C'était si chaud, si bon, qu'au 3 ou 4ème coup de langue je joui subitement dans sa bouche. Elle avala tout, avant de me dire:
Eh ! tu aurais pu me prévenir !
?? je ne savais toujours rien répondre
Elle rit, et me dit :
Ne t’en fait pas, c’était très bon tout en se léchant les lèvres.
Elle se releva, enleva son chemisier, son soutien gorge et découvris une poitrine aux tétons tout bruns et tout bandés. Puis ce fut autour de sa jupe ; dessous, elle portait un collant couleur chair et manifestement … pas de culotte car je découvris en transparence une épaisse toison toute noire ; elle se rassit, enleva son collant et pivotant sur les fesses, s'allongea sur le lit et me tendit la main. Je vins poser un genou sur le bord de mon lit ; elle m’attira a elle et me fit passer mon T-Shirt par-dessus la poitrine et la tête : j'étais complètement nu.
Elle écarta ses cuisses rebondies, et de 2 doigts ses lèvres intimes. Elle m’offrait son sexe : j'apercevais une humidité qui y perlait, et même coulait vers son périnée ; elle me dit:
Tu vois dans quel état tu me mets, approche ton nez, viens sentir mon excitation
Je fis selon ses désirs
Voila, mets ta langue, goute mon suc
Je me lançais, un peu intimidé dans mon premier cunni mais bien vite je fus pris dans le rythme qu’elle m’imposait de ses déhanchements
Oui chéri c’est bien … oui … n'oublie pas mon clito ! ici, oui ici …. chéri, hum que c'est bon, je vais jouir mon amour, ca y est, ahhh oui
et là, un flot de mouille bien épaisse réchauffa ma gorge.
Tu m'as fait jouir comme une folle mon amour ! Allonge toi à ton tour, je vais te dépuceler ".
Dans un cours moment de lucidité, réalisant que je n’avais pas de capote, je lui dis:
Vous avez des préservatifs ?
Et toi ?
Je dus lui répondre par la négative, persuadé que ceci mettrait un terme à ce qui semblait être un rêve … je m’en voulais (et depuis, j en ais toujours !!!)
Je n'en ai pas non plus, mais tant pis, je ne suis pas en ovulation !
Elle mit sa main chaude sur mon sexe, le décalottant, le recallotant, parfois le mettant dans sa bouche, puis au bout de 2 minutes, elle vint sur moi, prenant dans sa main mon sexe et le guida à l'entrée de sa grotte
Petit à petit, le gland passa la barrière de ses lèvres que je voyais s’arrondir et venir épouser ma tige.
En me regardant droit dans les yeux, elle se baissa et vint s'assoir sur ma bite puis ne bougea pas pendant quelques secondes:
Ca va?
Oui, .. c'est chaud !
C'est toi qui me mets dans cet état
Et doucement, elle fit des va et vient, puis accéléra le rythme.
Dans un dernier regard, me dit:
Comme tu es gros, je te sens bien dans mon ventre, je veux ton sperme en moi, jouis je t'en supplie, jouis en moi
Et dans un râle ultime je sentis une nouvelle jouissance me submerger
Je sens ton sperme, c'est chaud, ouiiiii....
Après cette étreinte bouillonnante, elle me fit plein de petits bisous et me dit :
Tu as aimé?
Je fis OUI de la tête
Tu m'as bien fait jouir, te voila homme maintenant
Elle s’était redressée et me faisait face ; je voyais mon sperme ressortir de son sexe et perler sur les draps et sur ma cuisse
Tu vois comme tu m'as remplie !
Elle passa une main sur sa poitrine, pinça un téton tandis que son autre main s’aventurait sur sa toison poisseuse ; Elle vint vite à se mettre deux doigts et commença à se caresser devant moi …
Alors là, j’étais scotché ; je n’en croyais pas mes yeux. Devant moi se déroulait le film X que je m’étais plusieurs fois déroulé lors de mes branlettes nocturnes. Je sentais mon sexe qui commençait à se raidir de nouveau.
Oh, petit salaud ! Mais tu bandes encore ?!!!
Elle se saisit de ma bite, et entreprit une nouvelle branlette …
Mais que va-t-on faire de cela ?
??? que répondre ?
Tu ne voudrais pas m'enculer ?
???
Après mes yeux, c’était mes oreilles qui ne croyaient pas ce qu’elles vivaient ….
Elle se mit à 4 pattes, passant un doigt sur son vagin afin d'y recueillir mon sperme et sa cyprine mélangés, dont elle commença à s'humidifier l'anus
Je suis prête, Viens ! prends moi ! Mais, rentre doucement hein ? c'est fragile
Je vins à quatre patte derrière elle, et approcha mon sexe. Je posais mon gland à l'entrée de son cul. Sa main vint saisir ma tige, et moi poussant, elle m’accompagnant, je senti très vite son œillet s’arrondir autour de mon gland qui disparu au fond de ses fesses.
Quand il fut passé, et alors que je ne savais comment m’y prendre, c’est elle qui recula brutalement, s’empalant jusqu’à mes couilles sur mon sexe. Je n’en revenais pas
Lime moi bien, rentre bien au fond … oui c'est ca !
Je sentais la jouissance monter de nouveau ; elle devait sentir les soubresauts annonciateurs car je me sentais hyper serré dans son cul, comme dans un préservatif trop petit
Tu vas jouir, hein ? C'est ca, vas y mon chéri … si tu jouis, enlève toi de mon cul, et viens dans mon ventre … oui, voila !
et d'une seule poussée je me glissais dans son sexe béant.
Jouis mon amour, ouiiiii
Et pour la 2ème fois, je lui balançais tout dans son ventre.
Quelle leçon !! Elle s’avança, se libérant de mon sexe, se leva, me fit un baiser, et alla se douecher.
Revenue toute propre, elle se rhabilla. Je l'accompagnais jusqu'à la porte, où elle me dit:
Je t'aime, tu m'as fait l'amour comme un dieu !
Je me pris à espérer, mais quelques jours après, elle revint me voir et reprenant sa place de voisine, m‘expliqua qu’il fallait mieux que nous en restions là, que c’était un très beau souvenir, qu’elle espérait qu’il en allait de même pour moi (tu penses ?!!), mais que eu égard à nos différences d’âges, la proximité avec mes parents, son mari, ma sœur amie avec son fils, etc … nous prendrions de trop gros risques.
J’ai du m’y résoudre, et toutes mes tentatives, softs, ont été doctement repoussées … nous sommes en revanche restés très proches, et je n’oublierais jamais, elle le sait, ce qu’elle m’a fait découvrir ce jour là !!!
Je pense qu’elle a influée sur une nature déjà assez portée sur le sexe, en me révélant - les histoires que vous pouvez lire sur ce site et sur d’autres en témoignent (toutes ne sont pas simples élucubrations) en témoignent - que tout est possible a qui sait saisir sa chance, et parfois l’initier. En tout cas, beaucoup est permis à qui est attentif aux autres et aux nombreux plaisirs que nous offrent la vie et chaque jours qui passent ;
N’oublions pas non plus que nous pouvons espérer recevoir, dans la durée, qu’à la hauteur de ce que nous savons donner … l’altruisme, le tact, la générosité, la douceur et la tendresse sont des valeurs essentielles
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