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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 02:24
Ceci c’est passé il y a quelques années. Je travaillais dans une grande entreprise, et le midi je déjeunais avec les collègues dans le restaurant destiné au personnel.


Ensuite, nous nous dirigions vers le bar-tabac le plus proche pour y prendre le café.


De temps en temps et de manière assez régulière, une jeune femme d’une trentaine d’années nous côtoyait.

 

Elle devait travaillait non loin de là. De jour en jour, j’avais sympathisé avec elle, ce qui ne manquait pas de provoquer les railleries, un tant soit peu jalouses, de mes collègues.

 

C’est pourquoi, un jour, souhaitant y mettre fin tant pour moi que pour elle, je lui ai proposé de la rencontrer dans un autre café, quelques rues plus loin.

 

Elle était d’accord. Ainsi nous eumes la paix et primes le temps de nous découvrir. J’aimais sa présence et c’était chaque jour, quelques petites mn de bonheur de la retrouver et de converser avec elle. On discutait de tout, de rien, comme ça, tranquillement pendant 20’ / une demi-heure en buvant notre café.
Nous parlâmes de nous, de nos jobs, de nos familles (tous deux mariés, moi avec enfants, elle non), de notre enfance et adolescence (elle dans la région, moi loin, …) etc …
Au fil du temps, j’appris qu’elle habitait dans le quartier à 10 mn à pied, mais que mangeant seule chez elle le midi, elle aimait s’arréter prendre le café dans l’ambiance et de brouhaha d’un café, avant de rejoindre le magasin de vêtements où elle ne reprend qu’à 15 h.
Un jour, sachant que je suis pas mal bricoleur, elle me demanda si le lendemain, au lieu de prendre le café au lieu convenu, je ne pouvais pas la rejoindre chez elle car, après avoir bougé son téléviseur la veille, elle n’avait plus d’image.


Je n’y vois, alors, pas malice et lui dit que ce sera avec plaisir, que j’essaierai. Elle ne donne l’adresse, et m’explique où est-ce. C’est effectivement tout près, dans des petits immeubles assez coquets. Le lendemain, je sonne en bas de chez elle : elle me donne le code, et m’indique, 2ème à gauche.


C’est l’été, il fait chaud. Elle m’attend dans la porte entrouverte; elle est habillée de manière assez charmante, mais c’est assez souvent le cas, et rien ne me laisse supposer la suite. Après coup, je me dirais que son chemisier était bien entrouvert … M’accueillant, elle prend ma veste et l’accroche au porte manteau. Je jette un bref coup d’œil : un couloir, à gauche la cuisine et ce qui semble être la salle de bain, en face la chambre dont la porte est ouverte. Au droite, le séjour.
Elle me fait entrer, et m’invite à m’asseoir sur le canapé. Elle reste debout, allume la télé qui s’emplit de neige, caractéristique … Elle quitte la pièce, me disant qu’elle rapporte le café. J’ai tout de suite compris que l’antenne était débranchée, et d’un saut je suis vers son écran, le pivote, rebranche. Le problème a été vite résolu.
Elle revient avec les deux tasses, sucre et s’exclame … déjà ! Oh c’est super un homme comme toi ! Et s’assoit sagement à côté de moi.

 

On a discuté un peu, comme d’habitude. Nos tasses étant vides, elle me demande si je suis pressé. Je lui réponds que non … alors, se saisissant des tasses, elle me dit attends moi, je passe un autre truc et j’arrive … j’imagine qu’elle va descendre avec moi … tandis qu’elle est sortie, je me lève et regarde l’étagère à CD


Après quelques minutes d’absence, je l’entends revenir, ses talons claquent dans le couloir et s’arrêtent … je me retourne ……. Elle est nue, devant moi, simplement chaussée de très belles sandales à talons !

Ouahou ! Je me sens comme le loup de Tex Avery.

 

Il faut dire qu’elle est très belle ainsi, pas très grande mais fine, 1 m 60, 45 kg, une toison noire bien fournie, des petits seins aux tétons arrogants !

 

En 10 ans, je n’ai jamais trompé ma femme, modèle du même âge, un peu plus grande et aussi belle, me donnant entière satisfaction.

 

Je crois que je me suis fait bêtement piéger. Je n’ai rien vu venir !! Pour moi ce n’était qu’une simple copine que j'allais dépanner …


Je sentis toutefois mon sexe instantanément gonfler à la vue de cette beauté.

 

Elle est venue près de moi, m’a embrassé en me glissant Merci pour la télé et a mis une main bien appuyée sur la bosse qui déformait mon pantalon.

 

De mon côté je n’ai pas pu résister à la tentation de caresser ses seins. Je les sentais durcir et les tétons s’ériger ; j’y ai porté mes lèvres ce qui lui a tiré un gémissement. Elle a dégrafé mon pantalon, puis ouvert ma braguette. Par l’ouverture du boxer, elle a fait jaillir mon sexe déjà bien tendu et luisant d’une goutte d’excitation.

Passant une main entre ses cuisse, je m’aperçu qu’elle était déjà trempée.

 

Je décidais de me rassoir, l’attirant vers moi. Je choisi le fauteuil qui était le plus proche. Elle vint se mettre à genoux à mes pied, avant de ses saisir de mon sexe, de jouer un peu , de le promener sur ses joues, dans son cou avant de l’emboucher. Sa bouche était chaude et douce, et elle savait y faire. Dans ma naïveté, je ne l’aurais pas cru aussi salope … Elle se montra très gloutonne, pompant mon dard au maximum, excitant le gland du bout de la langue et caressant mes couilles. Son action fait durcir et augmenter un peu plus la longueur de ma tige et la dimension de mon gland gland. Elle se saisit de mes jambes et les passa sur les accoudoirs. Elle me fit alors ce qu’aucune ne m’avait jamais faite : elle vint tout en me branlant le gober les testicules, et parfois sa langue vint s’immiscer plus bas, jusqu’à mon anus. J’adorais cela. J’avais l’impression que ma bite n’avait jamais été aussi grosse : elle lui comble la bouche. Pourtant elle l’ouvre en grand et elle va tellement loin que par moment elle manque de s’étouffer.

 

Nous changeons de position et me me couche avec elle sur le tapis qui est devant les fauteuils. Ainsi, à moitié en 69, je me mets à titiller son clito tout en introduisant 2 doigts que je fais aller et venir dans son vagin plein de mouille. Son sexe est adorable, et en écartant les lèvres velues, je peux admirer les chairs roses de l’entrée. Sentant toutefois qu’à ce régime je ne pourrais pas tenir longtemps, je la repousse. Je ne veux pas jaillir dans sa bouche, car j’ai de plus en plus envie de la prendre.
Elle se retourne et se met à califourchon face à moi, au-dessus de mon pieu, le prend en main est s’embroche doucement. Penchée en avant, elle monte et descend, me faisant disparaître dans son ventre. Je bute au fond du vagin, la sensation est extraordinaire. Elle mouille abondamment, son jus coule sur mes couilles. Son vagin est étroit, je sens qu’elle le contracte, mais je coulisse facilement à l’intérieur, c’est bon.
Tout absorbé à la limer, soudain je sens comme une présence. Je lève les yeux et vois un mec dans l’encadrement de la porte !

Je suppose que c’est le mari dont elle m’a parlé en tout il ressemble à la dsecription qu’elle ma faite. Il n’a pas l’air très heureux et en l’espace d’une seconde je comprends dans quelle situation nous nous trouvons …

Tout à notre plaisir, on ne l’a pas entendu arriver, je ne sais pas depuis combien de temps il nous observe. Il ne bouge pas et regarde sa femme en train de baiser. Il a ouvert son pantalon et astique son braquemart en érection (un sacré morceau) puis, se rendant compte que je l’ai vu, s’avance vers nous l’engin en main. Elle continue ses va et vient, elle ne se doute de rien, tournant le dos à la porte et savourant son plaisir, yeux fermés. Arrivé sans bruit derrière elle, d’une main il appuie sur son cou pour l’aplatir sur moi et l’immobiliser. Surprise, elle pousse un cri et essaye de se dégager, mais elle est emmanchée sur ma bite, et en bougeant offre son cul à la pine qui se présente en face de son petit trou. Sans ménagement il écarte les fesses, force l’entrée, l’empale d’un seul coup, s’enfonce jusqu’aux couilles, la faisant crier. Puis, la tenant fermement par les hanches et l’écrasant sur moi, il commence ses va et vient sans tenir compte de ses protestations.

Elle a beau crier Non, arrête ! tu me fais mal, arrête Aie …  arrête.

 

A chaque coup de butoir, il lui replique tiens garce prends ça  et il la burine de plus en plus fort.

Elle crie, pleure, le supplie d’arrêter, le traite de salaud, mais rien n’y fait, il a décidé d’aller jusqu’au bout. Lui aussi l'injurie ...


Elle est aplatie sur moi, à genoux, jambes écartées au maximum. Je suis toujours dans son sexe, je ne bouge plus. Je ne sais que faire, et serait de toute façon bien en peine de bouger !

L’acharnement de ce mec dans son cul la fait aller d’avant en arrière. Ce pilonnage me fait coulisser en elle au même rythme que ce mec qui se déchaîne dans son cul. Je sens sa queue frotter la mienne au travers des fines parois du vagin et du rectum. Sensation que je n’avais jamais connue auparavant. Je ne peux plus tenir, mon sexe est à l’étroit dans ce fourreau chaud et humide, il gonfle et en quelques soubresauts, j’envoie plusieurs giclées de foutre au fond du préservatif qu’elle m’avait habilement passé. Il la pilonne de plus en plus vite, se bloque au fond, s’arrête. Dans un long râle, il décharge dans ses entrailles, s’immobilise quelques instants, redonne plusieurs coups de butoir pour terminer l’assaut. Il transpire, halète, me regarde, a l’air de se calmer.
Puis tout s’accélère. Il sort sa queue du cul de sa femme, la bascule et la fait tomber sur le sol au pied du canapé. Elle est en larmes, recroquevillée par terre.

Lui est furieux et la traite de putain. Elle lui répond  salaud, tu m’as enculée . Je me lève précipitamment. Je tiens mon pantalon pour qu’il ne tombe pas à mes pieds. Il est devant moi, la bite toujours dressée, ne dit rien, m’attrape par la chemise. A voir sa tronche, je m’attends à prendre son poing dans la gueule.

Penaud, mal à l’aise, je le regarde droit dans les yeux, la bite et les couilles toujours à l’air. Il me toise de la tête aux pieds et, sans ménagement, me pousse dans le couloir, prend ma veste, ouvre la porte, et d’un coup de pied dans le bas du dos m’expédie sur le palier en y jetant ma veste.

Heureusement qu’il n’y avait personne à ce moment là ! Pas fier, j’ai remis en place l’objet du délit revenu rapidement et piteusement au repos, fermé le pantalon, enfilé la veste, mis un peu d’ordre dans ma tenue.

 

J’ai redescendu les escaliers quatre à quatre pour évacuer la pression.

 

Je l’avais échappé belle ! Je suis rentré au bureau.

 

J’ai quitté la veste puis je me suis rendu aux toilettes, pris du papier essuie main au dévidoir. J’en ai mouillé un et je l’ai enduit de savon liquide. Un autre simplement mouillé et un 3ème sec. Je me suis enfermé et, assis sur le siège, je me suis lavé et rincé soigneusement la queue et les couilles. Ensuite je me suis essuyé avec le papier sec. J’avais l’impression d’avoir sur moi une forte odeur de sexe. Je crois l’avoir fait disparaître. Je ne voulais pas que mes collègues et surtout ma femme se doutent de quelque chose.


Le soir, peut être parce que je me sentais coupable de m’être laissé entraîner dans cette aventure, mais surtout parce que j’en avais très envie, j’ai fait l’amour à ma femme comme au début de notre rencontre. Nous avons joui en même temps, c’était sublime.


Finalement, ça a été une journée mémorable, mais que ce serait-il passé si on en était venu aux mains. Comment expliquer une tête au carré en rentrant à la maison ? Je me sentais vraiment fautif, n’ayant pas su résister à la tentation. Je n’ai pas réagi quand il m’a attrapé pour me flanquer dehors.

 

La situation était plutôt compromettante, je reconnais avoir manqué de courage. Je n’étais pas fier, j’étais chez lui, surpris en train de baiser sa femme...

 

Mais que faire quand on a la bite à l’air et le pantalon qui risque de tomber sur les chaussures ?

Heureusement que le mec n’était pas trop vindicatif. Il avait peut-être trouvé l’occasion d’assouvir un fantasme, car je pense que sa femme, aussi douée et coquine ait-elle été, devait être rester vierge du cul ?

 

Par contre je ne connais pas sa réaction après mon départ.

Il y a sûrement eu une explication mouvementée.


La semaine suivante, je suis retourné là où nous avions l’habitude de nous voir. Elle n’est pas venue. J’y suis retourné, j’ai essayé de la voir dans le magasin où elle m’avait dit travailler. Je ne l’ai jamais revue… puis j’ai changé de job et de région.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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