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C’était il y a quelques années … J’étais en IUT dans une petite ville du centre de France. D’habitude, je rentrais chez ce qui me servait de chez moi à pied, quand je n’avais pas de voiture.
Exceptionnellement, ce jour, voyant le bus arriver en même temps que j’arrivais à la hauteur de l’arrêt, je décidais de me laisser transporter … je ne savais pas jusqu’où … !
Je montais dans le bus et allais vers l’arrière m’asseoir en vis à vis de ce que notre compagnie nationale appellerait un carré, 4 sièges se faisant face. Je n’avais qu’un siège en face de moi, et avais allongé les jambes.
Assis (pour ne pas dire affalé), je commençais plus ou moins à somnoler quand deux ou trois stations après, une femme assez belle, 35 ou 40 ans, monte et se dirige vers moi. Elle est assez grande, des formes soulignées sans être ronde, une petite jupette à volant, de longues jambes déjà bronzées et de belles sandales qui claquent sur le revetement du bus.
J’étais seul vers l’arrière du bus et retirais prestement les jambes que j’avais étendues devant moi. Mais bien sûr, voyant les 4 sièges libres, elle se met comme moi, dans le sens de la marche, mais de l’autre coté du couloir.
Un homme d’un certain âge (la cinquantaine) est monté derrière elle … pourtant il reste sur la plateforme, se dandinant d’un pied sur l’autre …
Arrivée à ma hauteur, elle met un pied sur le rebord du siège et se penche pour refaire le laçage de sa sandale. De biais, j’eu une vue assez libre sur son décolleté et ses petits seins que rien ne couvrait.
Elle me regarda et échangea un sourire ; Sa bouche était ourlée de rouge, et ses yeux joliment maquillées ; je me dis que j’avais bien fait de prendre le bus ce soir.
Quand elle s’assit, l’homme se décida à venir et il s’assit en face d’elle (il tournait le dos à la marche).
La belle s’était assise contre la glace et avait extrait un magasine de son sac … elle se mit à le lire en posant une jambes tendue sur le siège, l’autre légèrement remontée et le pied appuyé sur le rebord …
Je n’étais pas au bout de mes surprises ; en effet, il ne faisait aucun doute que cette position permettait à un voyeur bien positionné de se rincer l’œil … Mon voisin semblait avoir compris, mais il restait trop en biais … il avait beau faire semblant de chercher dans sa pochette, je ne sais ce qu’il vu mais il était rouge cramoisi … pas que de chaleur !
Il du descendre un peu plus loin (et moi j’aurais déjà du quitter le bus … mais je restais là comme hypnotisé … je ne savais comment m’y prendre, mais je voulais voir.
Aussi, je me levais et feins de regarder le plan des lignes sur la plateforme centrale, puis ke revins vers ma belle …De loin, j’avais effectivement pu voir que le vue devait être sympathique J
Quand je revins, je me rassis à la place de l’homme. Elle m’accueillit par un nouveau sourire et posa le magazine sur sa droite …Elle souffla, sa lèvre inférieure guidant le flot d’air qui fit battre ses mèches … Et elle prit les volants de sa jupe et se mit à les agiter pour se faire de l’air tout en me glissant « pfouuuh … qu’est-ce qu’il fait chaud ce soir ! … »
J’eu alors la confirmation que ce que je supputais était vrai … cette belle femme était nue sous ses vêtements, elle n’avait pas mis de culotte non plus !
Elle arborait une touffe châtain clair (alors même qu’elle virait sur le blond, ses cheveux étant pour la plupart teints en mèches blondes …). Je vis les poils frisottés et ce qu’ils semblaient cacher … Cela avait été fugace, tellement je fus surpris et me senti gêné. J’aurais pu maintenir mon regard mais ne le fis point, malgré le fait qu’elle continuait à s’aérer comme si de rien n’étais. Elle passa un regard circulaire vers l’arrière du bus et dus constater que nous étions seuls puis elle m’interpella « cela ne vous plait pas ? »
Je fis mine de ne pas comprendre, mais elle ne se laissa pas démonter
« ce que vous avez aperçu jeune homme … cela ne vous plait pas ? »
Je dus balbutier un « si … si … »
Elle se leva et vint s’asseoir sur mes jambes …. Je rêvais … elle fit mine de s’intéresser à ce que je lisais aussi (des cours d’électro-technique … on fait plus sexy .. mais cela devait me servir d’alibi).
Elle se réajusta quasi immédiatement, ce qui eu pour effet, volontaire, de lui faire remonter sa jupe qui vint épouser mes jambes et le bas de mon ventre … elle était fesses nues sur mon short … et je ressentais une érection douloureuse …
Elle me dit alors
« ah … me voilà rassurée ... je croyais que je vous laissais indifférent » tandis que d’une main experte elle venait me branler dans mon short léger … je crus défaillir et en tout cas décharger dans mon slip … elle du le sentir, car sure d’elle-même, elle me le serra assez fort et me dis
« Voyons … retenez vous, jeune home … nous avons mieux à faire »
Ce faisant elle m’avait dezippé et était en train de me branler dans mon caleçon, qui contrairement à un slip ne retenait rien de mon érection … elle trouva assez vite la fente du caleçon et extirpa mon membre … Ceci étant, ce n’est pas une chose facile que de l’extirper dans ces conditions-là, amis tous les deux nous nous y employons …
Nous n’échangeons aucun mots … mais ses yeux, son visage, sont expressifs … elle semble aimer, et me regarde profondément parfois, tandis que parfois elle semble s’abandonner au loin
Je ne savais que faire, et n’avais qu’une crainte … m’en mettre partout ! J’avais une co-location avec un copain, et deux filles de Tec de Co, et je ne voyais pas rentrer souillé, d’autant que plus que le bus au rythme de ses arrêts filait et m’éloignait de chez nous …
Je n’avais pas grande expérience, mais senti à la douceur que je sentis sur ma verge, qu’elle m’avait conduit devant son sexe … Il devait être humide car je le sentais chaud et glissant …
Après tout, nous étions seuls dans cet arrière de bus, et je me dis que … qui ne tente rien, n’a rien : je lui passe ma main sous sa jupe. Son sexe dégouline, et effectivement je sent mon gland sur lequel elle est en train de se caresser.. Elle est trempée, elle mouille un maximum ! Moi, je ne tiens plus ! Mon Dieu, comme c’est bon ! Pendant quelques instants, je reste avec un air béat et je ne sais plus quoi faire.
Au début, le mien se frotte au sien. Elle aime, elle adore. Je ne suis pas en reste pour autant car j’apprécie énormément cette position.
Toujours assise sur mes genoux, elle décide de simuler relacer ses chaussures. Elle se baisse, ce qui me permet d’avoir une vue merveilleuse du un cul adorable … sa fente est rose, gorgée de plaisir, luisante de désir … mon gland aussi.
Quand elle fait mine de se rasseoir, elle saisit ma hampe à la base de sa main et vient présenter mon sexe à l’entrée de son orifice. Elle descend doucement ; je la pénètre, elle est dégoulinante.
J’ai quand même un peu de mal à rentrer : est-ce la position ? Toujours est-il que je fini par rentrer, complètement … en fait, c’est plutôt elle qui s’est assise sur ma bite !
Dans un bus, il n’est pas facile de bouger sans éveiller les soupçons.
Je la vois regarder vers l’avant, assez souvent tandis que moi, je me dis que pris pour pris, autant en profiter … elle me dit « il n’y a presque plus personne, et ils regardent tous vers l’avant ». C’est comme un aveu, comme un signal qu’elle veut poursuivre, encore et encore.
Pour simuler les mouvements, elle trouve une combine qui consiste à faire semblant de se réajuster. Dans ce mouvement là, mon sexe l’empale de plus belle. Elle aime. J’adore. Je suis au bord de la jouissance, mais je me retiens.
Quand, à un moment, elle me glisse « le chauffeur regarde souvent dans son retro … il doit soupçonner quelquechose ! » … Je me dis que c’en est fini de la chevauchée fantastique, que la belle va me quitter et que je resterais jusqu’au soir avant de me finir à main !
Mais pas du tout ! J’ai a faire à une vraie nymphomane (l’était-elle habituellement, ou bien vivait-elle là exceptionnellement un fantasme à fond ??? je ne l’ai jamais revue sur la ligne dont j’étais devenu un habitué en fin d’a-midi …)
Elle se lève légèrement (pas trop, cela met on cul et ma tige à l’air !) et vient présenter mon engin à l’entrée de son petit trou, par derrière. Je n’y crois pas … cette femme, de celles qui peuplent mes fantasmes de jeune homme, et en train de me donner son cul. Ce n’est pas ma première sodomie, peut être la seconde seulement (je ne me rappelle plus … la première étant avec une copine, quelques mois plutôt qui avait voulu ‘’essayer’’)
Elle se rassoit, ni surprise, ni effarouchée. Cette fois-ci la aussi, la pénétration s’annonçait difficile. Deux fois peut être, mon gland se « tordit » légèrement à l’entrée de son étoile qui ne voulait se faire déflorer. Mais elle maintint la pression, et assez sure d’elle-même, elle continue à pousser : mon gland fit son entrée dans son anus, comme s’il franchissait une étape (je me le rappelle comme si c’était hier !).
Elle pousse encore. Une partie de mon sexe vient encore de s’enfoncer dans son anus, et elle m’utilise par des rotations de droite à gauche, comme si je la taraudais ..
Pendant ce temps, elle a saisi ma main qui était restée sous sa jupe et m’a guidé ; en fait, elle se branle à travers moi : ma main titille son clitoris qui roule entre mon pouce et mon index.
Tant que j’y suis, les autres doigts de ma main en profitent pour passer le long des lèvres. De temps à autres, l’un de mes doigts s’aventure entre les lèvres et pénètre aussi profondément que possible son vagin.
Je vois qu’elle a beaucoup de mal à ne pas crier. Elle se mord les lèvres pour ne pas le faire, mais quand je donne un grand coup de rein pour enfoncer complètement mon sexe dans son petit trou serré et que je joui en elle, elle pousse un petit cri ; j’ai l’impression que tout le monde va avoir entendu, et jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule, je vois effectivement une dame d’un certain age marquer ce qui semble de l’étonnement. Je pense qu’elle n’a pas compris … en revanche, je croise le regard du chauffeur, qui lui a du saisir ce qui se passait !
Je sens le rouge me monter aux joues, et voit qu’il en est de même pour elle.
Je sors délicatement de son anus. Du sperme doit couler le long de ses jambes lorsqu’elle se met debout, pour se rasseoir à sa place car elle passe un doigt sur sa cuisse pour le ramasser et se délecte de ce doigt humide. Une vraie salope (ce terme est élogieux pour moi, et j’admire ces femmes à la sexualité animale, dont la touche masculine s’exprime.
Entre temps, je te tente de rentrer mon sexe dégoulinant de sperme et de mouille dans mon caleçon, ce qui provoque immédiatement une tache sur mon short … en fait, je pense que tout autant que les secrétions de ma tige, c’est la mouille qui a dégouliné du sexe de ma belle quand elle me chevauchait qui m’a trempé.
Aïe. Comment vais-je rentrer quitter le bus dans cet état ?
Un arrêt est en vue, et elle se précipité soudainement vers l’avant pour écraser le bouton ‘’arrêt demandé’’ tout en me lançant « Je descends là ! »
Je me demande si ce n’est pas un rêve … mais non, mon short reste là pour en témoigner.
Quand le bus redémarre, nous la dépassons et elle me fait de nouveau un très beau sourire et un petit signe de main ….
Cette femme a sans nul doute participé à ma recherche du plaisir charnel, à ce coté cérébral qui m’habite.
Je ne sais si elle était coutumière du fait … après j’ai flippé, car nous étions au début des années Sida et nous avions eu cette relation sans préservatifs … Test HIV, nouveau test trois mois après … rien … ouff ! il ne reste de que merveilleux souvenirs !
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