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Mardi 12 juin 2 12 /06 /Juin 01:59
Bonjour

nous vous livrons cette belle histoire qui nous a bien plu à tous les deux. Espérant qu'il en soit de même pour vous ...
Bonne lecture

F&C

Mélodie s'est levée tôt ce matin, réveillée par le soleil qui traçait déjà de grandes zones de lumière sur le parquet du séjour.

Elle déguste un grand bol de céréales au lait, assise sur un tabouret haut, une cuisse sur le bois verni, l'autre jambe pendante. Elle a négligemment enfilé une courte nuisette, histoire de ne pas être complètement nue. Elle rêve encore, ses cuisses écartées, légèrement engluées d’une fine pellicule qui marbre sa peau , encore douloureuses de la nuit passée. Matthieu dort encore, d'un sommeil récupérateur...

 

Mélodie travaille dans un labo de la ville, elle est grande, brune au teint mat et affiche avec assurance et fierté ses 26 ans. Matthieu est visiteur médical et passe très régulièrement au labo afin de s'assurer d'une logistique parfaite.

 

La veille, en ce bel après-midi de juin, Mélodie lui semblait comme une déesse, elle avait osé sa jupe ultra courte et un chemisier suggestif drapé de soie à reflets dorés lui sublimant sa silhouette et ses jambes halées. Il en était dingue, fou dingue ; qui n'eut pu l'être ?

Depuis quelques semaines déjà, il s'installait entre eux une certaine complicité. Ce n'était plus un démarcheur lambda, mais une personne attachante. Elle prêtait de plus en plus attention à ce beau jeune homme élégamment vêtu d'un costume sombre de grande marque.

Leurs regards se croisent, quelque chose de coquin larmoyait dans ses yeux. Mélodie desserra les lèvres qui s'entrouvrent laissant darder le bout de sa langue. Les yeux de braise, Matthieu avait saisi ce signe ; ils étaient sur la même longueur d'onde. Elle, conquise, respirait une grande bouffée qui lui gonflait les seins, dont les pointes marquaient l'étoffe.

- Puis-je te retenir ce soir ?  lui suggéra-t-il

Ce regard, ce tutoiement, Mélodie fondit, ne sachant que répondre, elle acquiesça d'un clignement des yeux...

- 19h au Maharadjah...

Et il s'en allait. Elle le regarda partir... qu'il était beau.

Le reste de l'après-midi lui sembla affreusement long, les secondes sur la pendule s'égrènent trop lentement. Elle quitta enfin le labo, passa faire deux, trois courses et s'arrêta devant sa parfumerie préférée. Son amie Sylvie saurait sûrement la conseiller sur un parfum sensuel, celui qui dope et fait craquer les hommes. Elle se rendit au restaurant. Matthieu était déjà assis à une table un peu à l'écart des autres. Un baisemain presque ringard apportait une touche très voluptueuse à ce début de soirée. Le repas se déroula merveilleusement, l'ambiance orientale, des épices inconnues achevèrent de transporter Mélodie dans un autre monde qui la fit littéralement flotter... que lui arrive-t-il ? Ils ne pouvaient se quitter comme cela... le rêve ne pouvait s'arrêter ainsi et elle l'invita chez elle.

La porte de l'appartement se referma, Matthieu la suivait, la collant presque. Il la prit délicatement par les hanches, dégageant la soie de son épaule droite et posa ses lèvres dans le bas du cou. Mélodie surprise, bascula la tête pour mieux apprécier cette attention. Son parfum le subjugua, il ferma les yeux, frotta lascivement sa joue contre son cou. Il bandait, droit comme un i dans son string de coton léger et tout naturellement se cala dans la raie qui sépare le postérieur de Mélodie.

Elle glissa sa main le long de son corps, de ses fesses à la rencontre de cette virilité pour en apprécier la forme, descendit et massa très délicatement ses bourses. Matthieu enserra la taille de ses deux mains puis remonta doucement vers les seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge, la coquine. Cette caresse lui transmit un frisson de bonheur. Elle gonfla sa poitrine. Il lui massait ces deux pamplemousses, puis délicatement entre les index et majeurs il lui pinçait les bouts qui s'érigeaient fièrement. La respiration se fit haletante. Une rapide volte-face les plaça face à face, yeux dans les yeux qui en dirent long sur leur désir. Elle leva les bras. D'un mouvement ascendant, tout en frôlant sa poitrine Matthieu enleva cette étole qui ne la rendit que plus désirable.

Mélodie avec grande délicatesse lui ouvrit la chemise, glissa sa main douce bien à plat puis lui retira cet écran. Elle défit la ceinture, ouvrit les boutons et laissa choir le pantalon à ses pieds

Il fit glisser le zip de sa jupe. Elle portait un string de dentelle mauve qui contrastait à merveille sur sa peau halée. Ils s'enlacèrent, et s'étreignirent de manière fusionnelle. Elle lui griffa les fesses ; en réaction il contractait ses biceps et ses abdos, qui la firent fondre. Elle se sentait bien, protégée par cet homme fort et viril, lui malaxant ses bras musclés. De ses mains puissantes, il pétrissait doucement le postérieur de Mélodie. Un doigt jouait avec l'élasticité de la dentelle, faisant rayonner des ondes de volupté. Sa queue lui faisait mal, à l'étroit, coincé contre le ventre plat de la belle. Elle avait gardé ses escarpins sachant très bien qu'un homme fond à la simple vue du galbe fuselé d'un mollet tendu. Un baiser profond unit leurs langues et leurs salives leur faisant oublier ce monde pour un temps.

Doucement, en écartant les cuisses dans un exercice reptilien elle se glissa, tout en gardant le contact de sa peau avec le corps musclé ; ses ongles lui rayent le thorax puis les abdominaux. Inconsciemment Matthieu écarta légèrement les jambes d'aise et de stabilité. La bouche de la belle était maintenant à la hauteur de son membre. De sa main, au travers du rideau de coton, délicatement elle apprécia sa longueur, sa vigueur. Elle inclina la tête et mordit la bête à travers le tissu.

Ses mains s'agrippaient à l'arrière des genoux de Matthieu puis remontèrent le long des cuisses musclées ; elles épousèrent la forme concave de ses fesses et glissèrent sous l'élastique du string qu'elle tira vers le bas. La verge restait coincée dans l'étoffe puis bondit à la figure de Mélodie tel un boomerang. Matthieu se sent libéré, fier et tendu dans un garde à vous respectueux devant la belle.

Elle fit de ses lèvres un rond d'admiration qui mimait la satisfaction. Deux doigts cerclèrent le membre à la base du gland puis d'un lent mouvement en arrière, elle le serra et coulissa vers la base décalottant ce gland tant désiré. La tête jaillit hors de son fourreau. Les lèvres goulûment prirent le relais. Matthieu banda ses muscles fessiers, ce qui n'avait pour effet que de projeter plus en avant ce membre partiellement englouti. Une main de la belle glissa sous les bourses lourdes et pleines qu'elle empoigna, soupesa, et glissa un doigt vers l'anus qu'elle titilla. Elle glissa son autre main le long de son ventre plat puis dans son petit triangle de dentelle, la plaquait sur cette zone élargie par le compas ouvert de ses cuisses. De son majeur, elle excitait son clitoris protubérant puis s'engouffra dans son antre avide et moite. La belle se donna du plaisir tout comme ses lèvres serrées sur la hampe transcendaient Matthieu. Elle se délectait de ce membre qui coulissait plus et moins entre ses lèvres voluptueuses. Matthieu n'en pouvait plus, sa verge palpitait au rythme de son cœur, il était au bord de l'effondrement. Il sentait sa jouissance proche et se plia en deux. La belle en profita pour extraire les doigts de sa chatte dégoulinante et les introduisit dans la bouche de Matthieu qui les suça avidement. Elle continua de manière beaucoup plus effrénée le va-et-vient, ouvrant sa bouche salivante pour reprendre sa respiration. Elle sortit la verge dure dans un bruit de succion, lécha la veine bleue qui palpitait et prit une à une ses bourses pleines dans sa bouche, des figues mûres qu'elle dégusta. De sa main droite tantôt lente tantôt rapide, elle secouait le membre érigé. Matthieu haletait à ne plus pouvoir respirer, et brusquement lâcha un premier jet de semence sur le visage et les seins de Mélodie. Gloutonne, elle s'empressa d'introduire le membre dans sa bouche pour n'en perdre aucune goutte. Elle pompa jusqu'à la dernière semence ; le nectar lui coulait par les commissures des lèvres. Lui se sentit flotter, les jambes molles, il allait s'évanouir.

Mélodie se leva brusquement pour le retenir, étreignit ce corps désarticulé, plaquant sa poitrine gluante contre son thorax et lui offrit un baiser divin. La semence se mélangeait à la salive, les langues virevoltaient, se délectèrent. Puis les deux s'affalèrent sur le tapis velouteux du séjour, cuisses entremêlées comme si ces deux corps n'en faisaient qu'un.

La nuit était tombée et la lampe du salon sublima la scène. Matthieu glissa le long du corps de la belle. Il explora chaque partie, léchant les traces de son jus, mordillant par parcelles les chairs nues. Il suça ses seins un par un arrachant à la belle un râle évocateur, il glissa plus bas, caressa de sa paume cet entrejambe large et accueillant. Sa main droite glissa le long du ventre puis le l'index et le majeur pénétrèrent la cavité humide. Elle cambra ses fesses laissant le mâle lui retirer le dernier rempart de dentelle. De ses doigts effilés aux ongles soigneusement vernis elle écarta ses lèvres d'où la cyprine s'écoulait abondamment. La langue très doucement touche le bouton d'amour qui darde puis lui offre un baiser. Sa langue fit de légères arabesques tout autour de la zone puis, d'un mouvement fellateur, le suça. La belle se déhancha de manière incontrôlée, ses fesses tressautaient, la respiration se faisait rapide, la poitrine gonfla au rythme du bonheur que lui offrit Matthieu. Les doigts écartèrent plus largement encore cette vulve qui offrit l'antre béant à sa langue, à sa bouche. Il s'y perdit, le visage maculé. Le mordillement des petites lèvres excitées et du bouton dilaté et décapuchonné arrachait un cri long et profond de la gorge de la belle, sa tête oscillant de gauche à droite.

Matthieu se redressa sur ces genoux observant Mélodie gisante à demi inconsciente le visage irradié de jouissance. Dieu qu'il était tendre et qu'il savait s'y prendre pensera-t-elle par la suite.

- J'en veux encore, donne-moi tout, pénètre-moi... je t'appartiens...

Plus rien ne paraissait important que l'aboutissement à l'extase, et elle se coucha sur le ventre en offrant la vue de sa croupe sublime. Matthieu se pencha, prit les globes dans ses mains et les pétrit. De sa bouche, il les embrassa, de ses dents, il les mordilla, de ses mains, il lui infligea des tapes qui la portait dans une volupté incontrôlée.

- Que c'est bon, touche-moi, masse-moi, j'adore, j'aime, je te veux...

Elle glissa une main dans son dos à la rencontre de l'organe du mâle qui à sa grande satisfaction avait repris toute sa vigueur, mais quel homme ne le put en telle présence ! Le pouvoir excitant de son parfum mêlé aux effluves de l'amour eut un effet catalyseur sur sa vigueur. Toujours dans un état quasi second, elle se cambra en levrette sa tête reposant sur le tapis, la croupe largement ouverte, prête à tous les assauts :

- Matthieu, prends-moi, prends-moi par derrière, encule-moi, enfonce-toi, enfonce-la, laisse-moi la sentir, écartèle-moi, vite, vite...

Surpris par ces propos crus, ses index et majeur avaient tôt fait de se frayer un passage dans son petit trou inondé par les jus mélangés.

- Oui, ta queue, oui ... mon amour... supplia-t-elle.

Il approcha sa hampe puissante et conquérante. Une légère pression sur la rosette l'entrouvrit. Il poussa jusqu'au passage du gland, sa forme conique écartait puissamment le fourreau juste qu'à son introduction complète. La belle pousse râle, mélange de douleur et de bonheur, puis :

- Ooh oui, tu es bon, elle est si bonne... pousse, mets-la-moi bien, fais-moi jouir, jouir ...

Matthieu pousse, il s'agrippe aux hanches de la belle, son grain de peau le subjuguait, quel bonheur ; cette femelle en voulait, il y avait un rien d'animal, de rut... ses bourses cognaient contre sa vulve. Extase absolue ; il se retira pour l'entendre supplier :

- Non, pilonne-moi fort, serre-moi, fais-moi mal, déchire-moi tu es trop bon...

Il la limait profondément et à chaque pénétration ces bourses frappaient ses lèvres et irradiaient son clitoris. Elle était anale, clitoridienne, jouisseuse ; une femme une vraie femme, avide. Ses va-et-vient ardents se poursuivirent de longues minutes, ses hanches étaient griffées de ses prises. Toute son âme, tout son corps ne se concentraient plus que sur cette volupté ... Elle était prête à jouir et lui fait savoir :

- ... Matthieu, mon salaud, je viens, je viens, vite un dernier coup et ... Aaah

Matthieu se cambra pour une dernière et puissante poussée et expédia dans l'anus de la belle de longs et puissants jets. Son sphincter se serra comme un étau pour en extraire toute la richesse.

Il se retira et se coucha à côté de la belle laborantine tout inondée et gluante ; la lampe reflétait sur son visage illuminé de bonheur. Ils s'endormirent d'un sommeil profond, jusqu'au prochain assaut ...


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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