Cette histoire, très coquine, nous a été écrite par Marie France, une charmante coquine des environs de Marseille. Cette histoire est le miroir de celle décrite par Sylvie, habitant la Région parisienne, que vous pourrez relire ici.

Marie France nous décrit aussi dans un second post, une autre de ses charmantes mésaventures de ‘’sans-culotte’’. Qu’il fait bon regarder les feux d’artifices et être pompiste avec d’aussi charmantes coquines ….

 
Vous pouvez lui témoigner de votre plaisir à avoir lu son histoire par vos commentaires sur l’histoire … nous les lui ferons passer.

 
Merci à elle pour sa gentillesse …

 
Nous étions en vacances dans les Landes en Juillet où nous faisions du naturisme.

Nous avons décidé d'aller voir le feu d'artifice à Biarritz.

Je m'étais vêtue d'une simple petite robe de plage très courte et de mules à hauts talons, complètement nue dessous.

Après avoir passé la soirée dans un restaurant, nous sommes allés sur la corniche comme le soir tombait.

Il y avait déjà énormément de monde. Nous avons trouvé de la place le long d'une barrière métallique sur laquelle je me suis appuyée. Bientôt, nous étions entourés par la foule. J'ai commencé à sentir des frôlements sur mes fesses.

Discrètement, j'ai dit à mon mari qu'on me pelotait les fesses. Amusé, il m'a répondu de me laisser faire. Devant ma passivité, bientôt ces frôlements se sont faits plus précis. Les mains étaient carrément plaquées sur mes fesses.

Il n'a pas fallu longtemps pour que ces mains passent sous ma robe. Je ressentais une sensation bizarre. Quelqu'un que je ne connaissais pas me pelotait les fesses sous la robe.

 
J'étais à la fois gênée et très excitée. La main commençait à me fouiller entre les jambes que j'écartais machinalement.

Un doigt me pénétrait. Je devenais une vraie fontaine ce qui ne laissait aucun doute sur l'effet que me procurait ces caresses.

 
Le feu d'artifice n'intéressait plus que mon mari. Quand le spectacle s'est terminé, j'ai constaté que mon peloteur était un petit jeune de 25 ans, j'en avais 35...

 
J'étais un peu gênée, lui aussi apparemment. Mais quel délice, j'en garde un souvenir inoubliable.

 
Mon mari aussi d'ailleurs car je l'ai quasiment violé lors du retour...