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Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 00:00

Presque chaque samedi, je la croise au supermarché.

Elle ne passe pas inaperçue, c'est une très belle femme, de celles qui me font fantasmer …

Plusieurs fois, nous nous sommes croisés dans les rayons, échangeant quelques banalités (pardon ! excusez-moi ! ce n’est rien ! …)  mais je serais surpris si, comme pour moi, ces rencontres l’ont marquée.

La quarantaine, assez BCBG, elle est toujours en jupe ou en robe, assez bien maquillée, aucun cheveu qui ne dépasse, le genre de femme d’allure stricte, qui ne m'attire que par le fantasme … Et si derrière ce masque hautain, se cachait une bourgeoise sensuelle, voire dépravée ?

Ce matin-là, je ne sais pas pourquoi, j'ai tout de suite remarqué les plis que faisait le voile sur ses chevilles. Mon sang ne fait qu’un tour : Madame porte des vrais bas, et non pas de simples bas ‘’modernes’’ fait de lycra qui épouse parfaitement la jambe … et quand on se donne la peine de revêtir de tels atouts, je parierais bien qu’elle a revêtu un porte-jarretelles !

À cette idée, une légère érection envahit mon pantalon. J'ai instantanément décidé de la suivre pour tenter de vérifier mon hypothèse et de répondre à cette question devenue essentielle en ce début de journée : mais que fait cette bourgeoise en bas et porte-jarretelles (j’en suis convaincu, il reste maintenant à en être sûr) ce samedi, de si bon matin ?

Oubliant ma liste de courses, je la suis à distance, ce qui me permet de la détailler plus qu'à l'habitude. De taille moyenne, elle est mince et élégante, elle porte une jupe au-dessus du genou et un chemisier de soie blanche qui laisse deviner une poitrine ni petite ni grosse mais dont le léger balancement n'est pas sans effet sur mon sexe. Elle porte un imperméable beige fendu derrière qu'elle a rapidement ouvert du fait de la température agréable du magasin. Je la suis dans les différents rayons, en chargeant mon Caddie avec tout ce qui me tombe sous la main. Au détour d'un rayon, je rencontre Jacques, un ami que je n'ai pas vu depuis quelques semaines. J'essaie vainement d'abréger notre conversation, lui faisant comprendre que je suis pressé … Trop tard je l'ai perdue ! ! !

Le magasin est vaste et ma recherche risque de prendre du temps !

La chance me sourit toutefois : Au détour d'une allée par laquelle je décide de couper au plus court, nos Caddies se heurtent ! Nos regards se croisent, et nous échangeons un sourire … Charmé, je bredouille des excuses et file en essayant de paraître le plus naturel possible ; j'ai eu le temps de remarquer qu'elle avait posé son imper sur le chariot.

Un peu plus loin, je me retourne et mes yeux restent posés sur cette silhouette dont la vue est très agréable. Je décide de faire immédiatement demi-tour et de trouver enfin réponse à ma question.

En me rapprochant, je remarque que sa jupe noire est assez fluide, croisée devant, et les petites déformations sur les côtés me confirment qu'elle est en porte-jarretelles. Un coup d'œil à sa croupe m'informe que, soit elle porte un string minimaliste, soit elle ne porte rien ! ! ! !

Je sens mon sexe se dresser quasi instantanément et tendre mon boxer comme s’il avait décider de le faire exploser … Une érection puissante … heureusement, ce matin là, je suis en jean, ce qui minimise un peu la vision qui transparaît de mon entrejambe sous pression … Toutefois, une bosse virile vient déformer mon bas ventre, qui ne laisserait aucun doute à un œil acéré !

La question des bas étant tranchée, celle du tissu recouvrant la croupe de cette charmante créature m’obsède maintenant : C'est au moment où mon imagination fertile balance entre string et nudité que ma petite bourgeoise, voulant attraper un paquet de pâtes, manque faire tomber toute la rangée.

Elle reste là sur la pointe des pieds, essayant d'éviter la chute des boîtes … en un éclair, je me jette à l’eau et je m'approche afin de l’aider à retenir cet équilibre instable ! Ce faisant, je manque à mon tour te tomber, et reprends équilibre d’une main sur la gondole, de l’autre sur sa hanche … J’ai senti la matière du serre-taille ! Etonnée, elle se retourne, vraisemblablement furieuse, mais (est-ce en me reconnaissant !?) son visage d’abord fermé s’éclaire d’un nouveau délicieux sourire !

-        Je voulais vous aider !

      -        Mais, Monsieur, vous le pouvez encore, car rien n’est      solutionné là haut ! me répondit-elle en montrant le haut du rayonnage d’un geste du menton !

Prenant alors bien soin de me coller derrière elle, je l'aidai à stabiliser la pile de boite afin d’éviter leur chute. À cet instant, mon sexe en érection étant appuyé contre le galbe de ses fesses, elle ne pouvait pas ignorer l'effet qu'elle me produisait. Les pâtes rangées, elle me remercia, en jetant rapidement un œil à la bosse de mon pantalon. De nouveaux remerciements,  et elle poursuivit ses achats. Il m’avait toutefois semblé voire le rouge lui monter aux pommettes !

Nonchalamment, je la suivi … au premier retour de gondole, elle me regarda (elle avait du sentir ma présence …). Il me sembla alors que sa démarche se faisait plus féline. Elle marchait comme pour un défilé de mode, faisant onduler sa croupe sur ses longes jambes gainées de nylon et perchées sur de beaux escarpins.

Aussi, je ne fus que moyennement surpris quand une boîte chuta de son chariot. Je me précipitais pour le ramasser, mais elle avait été plus rapide que moi et, prenant soin de ne pas plier les genoux, elle se pencha pour la ramasser. Le spectacle qu'elle m'offrit était très agréable. Par son geste, la jupe en remontant, dévoila le haut de ses bas, les jarretelles et la naissance de ses petites fesses. Nos regards se croisèrent de nouveaux, brûlants cette fois et c'est à ce moment-là que je décidai de ne plus la lâcher et de ne pas m’en cacher.

Elle le comprit très vite et se dirigea vers le rayon des sous-vêtements féminins. Elle prit soin de choisir dans la lingerie la plus sexy : quelques strings, une guêpière, un porte-jarretelles. À une ou deux occasions, sa maladresse me permit d'assister au même spectacle de ses cuisses dénudées. Alors qu’elle était accroupie, jambes tournées dans l’axe de l’allée pour fouiller plus à son aise le présentoir et trouver sa taille, ses jambes subrepticement écartées m’avaient laissé entr’apercevoir une jarretelle et la tension si caractéristique que fait l’attache sur le revers du bas ! L’ambiance était moite, électrique … ce fut elle qui repris l’initiative

Soudain, elle fit demi-tour dans ma direction et me demanda :

- Voulez-vous me donner votre avis sur mon choix ?

Je m'apprêtai à lui répondre, quand elle me devança :

- Venez avec moi !

Et elle se dirigea vers les cabines d'essayage.

Après avoir laissé mon chariot, je la suivis.

À cette heure matinale, les cabines étaient désertes et l'employée préposée au rayon s'affairait à ranger les vêtements abandonnés la veille par les clients.

Ma belle bourgeoise s'engouffra dans une cabine et, quelques instants plus tard, sa tête apparut entre les rideaux. Elle me fit signe d'approcher.

Je n'en pouvais plus d’attendre et, lorsque je passai la tête pour la voir, mon sexe était au plus fort de son érection et mon boxer avait beaucoup de mal à le contenir.

Le spectacle que je découvris allait au-delà de ce que j'avais pu imaginer quelques instants avant. Elle avait ôté sa jupe et son chemisier et enfilé la guêpière rouge et noire. Elle était là devant moi, face à moi, resplendissante de provocation. La guêpière soutenait sa poitrine qui n'en avait certainement pas besoin, ses tétons dressés pointaient fièrement dans ma direction. Ce vêtement lui faisait une taille fine au dessus d'une chatte partiellement épilée, surmontée d’une fine toison taillée en triangle pointe vers le bas, comme une invite vers son clitoris turgescent ; ses lèvres, gonflées, avaient du mal à cacher le plaisir et le désir. Les jarretelles tombaient sur de longues jambes et ses chaussures hautes leur donnaient encore plus de finesse. Je n'en pouvais plus ! ! ! !

- Qu'en penses-tu ?

Déconcerté par le ton familier et parfaitement neutre de sa question, je ne trouvais d'autre réponse que de pénétrer dans la cabine pour l'embrasser fougueusement. Elle approuva visiblement cette initiative et profita de cette étreinte pour promener ses mains sur la bosse proéminente de mon pantalon. Mes mains n'arrêtaient plus de parcourir son corps, de lui peloter les seins, de fouiller sa chatte dont l'humidité confirma l'état de son désir.

En quelques secondes elle m'ôta mon pantalon et, après avoir découvert le boxer que je portais, elle commença à masturber mon membre qui, à l'étroit dans le tissu, commençait à bouillir. Elle s'agenouilla et écarta le tissu, libérant mon sexe. Sa langue commença des allers et retours sur ma hampe et, alors qu'elle découvrait mon gland de sa main experte, elle engloutit la totalité de mon sexe dans sa bouche. Elle prit très rapidement un rythme soutenu et en quelques minutes je sentis le plaisir envahir ma chair. D'un geste expert, elle tira mes testicules vers le bas, provoquant une légère douleur, mais surtout l'arrêt net d'une éjaculation qui allait devenir inévitable.

Elle se redressa et, me posant les mains sur les épaules, m'indiqua ouvertement que mon tour était venu de lui procurer du plaisir. Je posai ma langue sur son sexe imberbe et commençai par de petits coups à titiller ses lèvres, puis son clitoris qui, bien que déjà gonflé de plaisir, se raidit encore. Elle enfouit ma tête entre ses cuisses et sa respiration devint plus haletante.

Alors que je la sentais au bord de l'orgasme, elle se retourna et prenant appui sur le banc de la cabine, elle m’exhiba ce cul que je reluquais depuis que je l’avais croisé ce matin là. Le spectacle était de toute beauté, la guêpière lui soulignait la taille, deux jarretelles marbraient une croupe parfaite, très lisse et très ferme pour l’age que je lui avait attribué … sa peau était couverte de chair de poule, traduisant son excitation et parsemée d’un fin duvet blond et quasi invisible ! Sur l’arrière de ses cuisses s’arrêtait la dentelle de ses bas.

Elle écartait ses fesses, assez impudiquement et je pus alors découvrir ses mains, auxquelles je n’avait pas prêté attention jusqu’alors … très fines, les ongles manucurés, elles témoignaient elles aussi, du soin qu’apportait cette Bourgeoise à son corps et à son apparence.  Sans un mot, dans un silence religieux, elle m'invitait ainsi à la pénétrer. J’aurais voulu prendre du temps, me repaître de la vision de ce derrière si impudiquement offert à mes regards, à mes assauts, … mais n’y tenant plus et de crainte que le rêve ne se brise, je présentai mon sexe sur sa vulve chaude et humide et la pénétrai par petites saccades. Je fis plusieurs aller-retour, alternant douceur et vigueur, puis, alors que m'étais complètement retiré, je la défonçai d'un seul coup, provoquant un cri de surprise et de plaisir. À partir de cet instant, il ne nous fallu que quelques secondes pour qu'après de grands coups de butoir au plus profond de son sexe, nous éclations ensemble dans un orgasme monstrueux qui nous avait fait oublier où nous nous trouvions.

Après quelques instants, ayant repris nos esprits et réajusté notre tenue, ce qui me permit de constater qu’elle ne portait aucun sous vêtement autre que SG, PJ et bas, nous quittâmes ensemble la cabine. Elle remit nonchalamment à la vendeuse l’ensemble de la lingerie qu’elle avait choisi en ma présence, lui précisant :

-    Ce n'est pas tout à fait mon style

La vendeuse, qui ne pouvait plus ignorer notre manège depuis le témoignage sonore de notre jouissance ultime, n’en revenait pas … C’est à ce moment que le portable de ma belle Bourgeoise sonna …

-   Allo ?

-   … 

-   Oui, c’est cela …

Elle me fit un petit geste de la main, et s’éloigna pour poursuivre la conversation en toute discrétion. J’entendis quelques bribes de conversation

-    Oui, je rentre …

-    

-    Là maintenant ?

-   

-     oK, si c’est nécessaire, j’y vais … mais tu sais, j’avais rempli le chariot et vais devoir le laisser si je dois faire aussi vite !

Elle ne manquait pas de répartie, et cela me la rendait encore plus sensuelle, encore plus salope ! Elle venait de se faire tringler dans une cabine de supermarché, et elle culpabilisait celui qui, semblait-il, lui reprochait son retard et lui demandait de la rejoindre au plus vite !

Elle laissa son Caddie et fila vers l’entrée … En un éclair, je pris la même décision …

La suivant sur le parking, d’un pas rapide car elle semblait vraiment pressée, mon regard fut attiré par une imperfection  qui venait gâcher la vue sur ses jambes … Il me fallu un bref instant de réflexion pour comprendre que cette tache qui s’élargissait vers le bas, sur son mollet … était une trace du sperme que je lui avais puissamment déchargé dans la vulve.

Elle semblait ne pas l’avoir remarqué, et marchait toujours d’un pas décidé, faisait claquer ses talons … Que faire ? La laisser ainsi, ou bien profiter de l’occasion pour recoller à elle … En quelques foulées, je fus derrière elle, tout près :

-        pardon !

-        Oui !?

-        Vous ne pouvez partir comme cela ?

-        Si Monsieur ! Au revoir

Elle n’avait pas compris ! Je la saisi par l’épaule et surprise, elle fut obligé de s’arrêter et de se retourner de trois quarts.

-        Excusez-moi d’insister … mais je parlais de ça …

dis-je en lui indiquant la traînée blanchâtre qui marquait son bas !

-        Oh ! fit-elle, ses joues se recouvrant du même rouge que tout à l’heure

Je pus remarquer que maintenant, ces cheveux n’étaient plus aussi strictement maintenus que lorsque je l’avais détaillée à son arrivée … d’austère, elle me paraissait même belle maintenant !

Se retournant, et jetant un coup d’œil circulaire, voyant qu’il n’y avait que moi assez près pour voir en détail, elle se baissa légèrement et vint de son index racler cette semence laiteuse qui tachait son bas … Mon sperme représentait une émulsion visqueuse, qui maintenant lui coulait sur le doigt et allait lui maculer la main. Comme dans un rève, je la vis porter son index rapidement à la bouche et le sucer avec application

Mon étonnement devait être palpable, car elle me lança :

-        Et bien quoi ? Vous aviez un mouchoir, vous ?

Et elle reprit sa course. Elle s’engouffra dans un magnifique petit coupé cabriolet, non sans m’avoir gratifié d’un très beau ciseau de jambes en prenant place sous le volant … avant qu’elle ne démarre, je la vis tirer un mouchoir de la boite à gant, et essuyer consciencieusement l’arrière de son mollet … et prenant appui sur ses talons, elle vint jusque sous ses fesses et avec un autre mouchoir, s’épongea le string et la vulve !

Je l'ai laissée là, partant du parking du supermarché dans un léger vrombissement ; Je ne sais rien d'elle, ni son prénom, ni son adresse, rien ...... mais je l’ai vue si souvent, je m’imagine pas qu’elle puisse changer de supermarché ! Vivement Samedi prochain !

 

Rendons à César ce qui lui appartiens … la trame de ce texte est issue de Revebebe, récit 09602. J’ai remanié légèrement certaines parties du texte. Que son auteur, que je vous invite à découvrir en lisant ses textes sur Revebebe, m’en pardonne !

 
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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