Libertinage Anjou et Pays de Loire
La découverte de nouvelles sensations, l’expérimentation de nouveaux jeux et scenarios est un moyen de briser la routine qui inéluctablement a tendance à s’installer dans un couple. Certains ‘’spécialistes’’ du couple prétendent même que la passion s’efface en moyenne au bout d’un maximum de 3 ans, pour laisser place à l’Amour, la tendresse, un cheminement ensemble mais où la
flamme des premiers temps, cette étincelle pétillante qui vous fait gouter à tout, être capable de tant, s’étiole lentement et subrepticement.
Il est alors nécessaire d’innover, de surprendre, de parler, de partager, de vivre ensemble d’autres aventures plus ou moins conventionnelles pour que le mari redevienne l’amant, et la femme, parfois la maman, garde ou retrouve sa place de maitresse torride …
Pascal et Marie, un très beau couple de l’Est Parisien nous livrent une partie de leur méthode, des jeux qu’ils pratiquent, essentiellement autour de l’exhibition, de ce gout de l’interdit
transgressé, de cette soif qu’on souvent les hommes (ne dites pas le contraire Messieurs !!) de montrer, d’exhiber leur femme, leur Amour … ils aiment l’imaginer dévorée des yeux, ils aiment
la jalousie que leur chance inspire aux voyeurs présents, ils ressentent la fierté d’avoir une telle Femme … Quand la dite femme y prend gout, c'est alors un immense plaisir partagé !
Mais laissons-leur la plume ….
Depuis longtemps je rêvais que Marie offre sa nudité à des voyeurs.
Le chemin pour y parvenir a été tortueux, mais depuis trois ans nous goûtons ce nouveau jeu.
Au début, il ya eu de timides séances photos en forêt, puis nous nous sommes risqués sur les chemins.
Bientôt, elle a franchi une étape, osant se dénuder au milieu des carrefours forestiers.
Le défi de poser nue en pareil endroit lui faisait surmonter la crainte d'être surprise.
Peu à peu Marie a pris suffisamment d'assurance et de plaisir pour accepter de se dévoiler dans les parcs public du Val de Marne.
Un soir du mois d'août, au parc de Créteil, un joggeur qui passait derrière la grille du parc, a surpris Marie dans une pose suggestive : sa jupe retroussée sur les hanches, penchée en avant
croupe à l'air.
Voyant notre gêne, pour détendre l'atmosphère, il a entrepris la conversation nous disant combien il avait apprécié.
Il était sympa. Alors, sans trop y croire, j'ai insisté pour qu'elle prenne une nouvelle pose en sa présence.
Marie savait très bien où je voulais l'entrainer. Après quelques instants d'hésitation, à ma grande surprise et à celle du joggeur qui
décidemment avait bien fait de passer par là, Marie a déboutonné le haut de sa robe et lui a aussi dévoilé sa poitrine
Le gars a bafouillé des compliments sur ses seins. Marie était amusée, flattée de l’effet produit et en confiance.
C'est donc le plus naturellement du monde qu'elle a fini de déboutonner sa robe et se laisser mater.
Je remercie encore ce joggeur.
Cette première expérience réussie nous a permis d'entrer dans le jeu de l'exhibition.
Depuis nous avons joué d'autres parties : Au bois de Vincennes, en forêt de Ferrières, dans la voiture, dans un cinéma porno pour couples, dans les sous-bois d'une plage naturiste,
….
Voilà la description que fait cette fois Marie de leur experience en cinema libertin :
Il existe à Paris un cinéma porno* qui organise des soirées pour les couples.
Pascal a réussi à m’y entraîner une première fois. L’accueil convivial et l’ambiance détendue nous a plu. Au début, un peu dans l’expectative, nous étions assez timorés mais très vite nous nous y
sommes sentis à l’aise et comme la plupart des couples nous ne sommes pas restés inactifs : La main dans mon string, Pascal m’a fait jouir.
J’avoue que l’expérience de ce petit jeu dans une salle de cinéma entourée d’inconnus ne m’a pas déplu. Nous y sommes retournés
récemment, et voilà ce qui s’est passé :
A notre arrivée, une dizaine de couples avaient déjà pris place. Nous nous sommes installés dans le milieu de la
salle.
Dans notre rang, il y avait déjà un couple ; un siège nous séparait d’eux. Les lumières étaient déjà éteintes quand un nouveau
couple est venu s’installer juste devant nous.
Le film a démarré, et Pascal n’a pas résisté longtemps. Après avoir libéré son sexe qui sans aucun doute ne méritait pas de rester plus longtemps à l’étroit, il a déboutonné mon chemisier pour
libérer mes seins qui étaient libres : il s’est mis à les caresser, à les mordiller. Excitation exquise qui m’amène parfois à la jouissance.
Quand il s’est interrompu au bout de quelques instants, la pudeur reprenant le dessus, j’ai cherché à ramener les pans de mon chemisier. Mais Pascal a protesté. Il voulait que je me laisse
mater.
Déjà bien chauffée, mon excitation a pris le dessus sur l’appréhension d’être ainsi exhibée poitrine à l’air au milieu d’une salle de cinéma.
Car croyez-moi la lumière réfléchie par l’écran était largement suffisante pour permettre à mes voisins de se rincer l’œil. Et ils ne se gênaient pas.
Celui assis juste devant moi, se retournait régulièrement, il me caressait de son regard. J’appréhendais qu’il ne finisse par me
caresser tout court. Je fixais l’écran pour ne rien laisser paraître.
La jeune femme de notre rang était restée décente mais son visage ne laissait aucun doute sur son état ; les yeux fermés elle se mordait les lèvres ; je vis la main de son mari entre les cuisses
…
Pascal a posé sa main sur mon genou et a commencé à caresser mes cuisses, de tendres caresses qui n’en finissaient pas. Il sait que jamais je ne reste insensible à ce genre de
sollicitations !
Très vite mon sexe réclama sa part ! Aussi, je m’avançais au bord du siège de manière à pouvoir écarter
suffisamment mes cuisses. Ce mouvement a eu pour effet de remonter ma jupe, de sorte que je me suis retrouvée toison à l’air, entrejambe ouverte. Pascal ne s’est pas fait prier pour enfin
entreprendre mon sexe.
Mais l’homme de devant s’est retourné à nouveau, et instinctivement mes cuisses se sont refermées sur la main de Pascal.
Même prisonnier, il n’était toutefois pas à court d’argument : il continuait à jouer avec mon clitoris. Je n’y résiste pas.
Lorsqu’il m’a demandé à l’oreille d’offrir la vue de mon sexe, après une courte hésitation, rassemblant mon courage, je me suis lancée.
Lentement j’ai écarté mes genoux jusqu’à ouvrir largement mes cuisses, allant jusqu’à poser un pied sur le siège de
devant (celui de mon coquin de voyeur) afin de me dévoiler au mieux. Je restais dans cette position laissant nos voisins me mater à volonté pendant que Pascal continuait de me donner du
plaisir.
Pascal me masturbait depuis un bon moment, et j’étais déjà bien partie quand il a ôté mon chemisier en le faisant glisser sur mes épaules ; Sans attendre, conscient de mon
état, il me demanda de me soulever pour retirer ma jupe. En me rasseyant le contact du skaï du fauteuil sur mes fesses nues m’a rappelé à la réalité : j’offrais ainsi ma nudité à notre
entourage.
Mon clito m’avait portée à un tel degré d’excitation, que me retrouver entièrement nue se révéla une délivrance. J’étais dans un tel état de bien être, excitée à souhait, mon corps libéré de
toutes entraves, que j’acceptais cette situation sans sourciller.
Je me calais confortablement dans mon siège, mes pieds prenant appui sur les sièges de devant. Pascal a repris possession de mon clito qui dans cette position percevait de mieux en mieux la
pression de son doigt.
Le couple de devant, tourné vers nous ne ratait rien du spectacle.
Rapidement, je ne fus plus vraiment maître de moi et peu à peu je me suis abandonnée au plaisir qui m’envahissait. J’avais oublié où je me trouvais.
Entièrement livrée au plaisir, je suis complètement partie.
Pascal est passé à la vitesse supérieure ; ses doigts ont abandonné mon clito pour pénétrer mon sexe qui les enserrait merveilleusement.
Je l’encourageais à aller plus profond en m’arqueboutant et en écartant mes cuisses autant que je pouvais.
Dès que la première jouissance m’a traversée, dans un sursaut de lucidité, j’ai retiré sa main. Je savais avoir atteint la zone de non-retour, passé ce cap, je n’étais pas sûre de me contrôler :
partagée entre le besoin intense d’être prise et la raison qui me l'interdit.
Les regards de nos voisins étaient braqués sur moi. L’homme à ma droite me dévisageait, si je puis dire car il ne s’intéressait pas qu’à mon joli minois. Sa femme était penchée sur son sexe, elle
le suçait.
Quant au couple de devant, il semblait plus intéressé par mon corps que par le film, tournés vers moi et amusés, ils me souriaient.
J’ai encore fait le spectacle quelques instants en restant nue tout le temps que je suçais pascal pour le faire jouir.
Vous l’avez compris, j’ai beaucoup apprécié ce nouveau jeu et nous sommes décidés à le réitérer.
* sauf erreur, il s'agit du :
Cinéma Beverley
14 rue de la Ville Neuve
75002 Paris
Tel : 01.40.26.00.69
Le 1er Vendredi de chaque mois SEANCE COUPLES A 22h45 ( 2+1)
Jeudi & Samedi à 23h Soirées réservées aux couples
Quand à nos amis coquins, si comme nous vous avez aimé, ce texte et les superbes photos de leurs petits jeux, vous
pouvez le leur témoigner ici ! Ils en seront ravis !
Merci encore pour ces très beaux recits et l'illustration qui en est donnée ...
je les encourage à continuer
mais surtout des photos de madame en foret extraordinaire
vous etes tres tres belle madame