Libertinage Anjou et Pays de Loire
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Tout a commencé par une discussion dans un salon sur internet.
J’ai sympathisé avec une femme mariée qui avait envie de vivre autre chose, de pimenter sa vie, par trop monotone
Elle avait une envie irrésistible de s’abandonner entièrement à un homme.
Apres avoir longuement discuté et échangé sur de nombreux sujets, je lui ai proposé de dîner au restaurant. Lors de ce dîner, elle devrait faire exactement ce que je lui ordonnerais sans pouvoir
discuter mes ordres.
Elle accepta sans hésiter.
Nous nous sommes donné redez vous dans une boutique d’habillement pour femmes.
C’était la première fois que nous nous rencontrions physiquement, elle était très belle et je ne lui déplaisais pas.
Je l’ai obligée de suite à enlever son grand manteau, que je porterai pour faciliter les essayages.
Elle avait mis une toute petite jupe et des bas, je la sentais gênée mais ravie de me plaire. Je lui ai fait ôter ses sous-vêtements
lors du premier essayage, qu’elle a rangé dans son sac à main. Nous avons essayé de nombreux vetements et chaque fois elle
devait me les montrer en dehors de la cabine.
Notre choix s’est arrêté sur une toute petite jupe plissée noire et un chemisier blanc cintré. Ce n’est qu’à la sortie du magasin que je lui ai rendu son manteau car c’était en janvier et il
faisait très froid à Paris.
Nous avons pris un taxi, je lui ai demandé de se changer dans le taxi, sous son manteau, elle a retiré son manteau et je l’ai aidé à se cacher du chauffeur, sans moi-même regarder. Ce fut
très rapide mais j’ai pu toutefois admirer ses jambes parfaites que la petite jupe plissée avait beaucoup de mal à cacher. Son chemisier blanc était superbe et montrait le galbe de ses
seins, et leur pointe turgescente. Sans la toucher de tout le voyage, je l’ai obligée à se cambrer, à ne pas
croiser les jambes, à mettre les mains dans le dos pour son plus grand plaisir et le mien. Elle se sentait terriblement nue et j’en jouais avec délice.
Une fois arrivés au restaurant, nous avons donné nos manteaux et nos sacs au groom à l’accueil, j’ai juste gardé un petit sac, puis celui-ci nous a dirigés vers la table réservée, cette
table était dans un coin sombre et feutré, nous devions traverser la salle principale, et je m’aperçus que toute la salle voyait le haut de ses bas.
Elle prit, presque par réflexe la place qui ne fait pas face à la salle, par pudeur sans doute, mais c’était sans compter sur la présence d’un grand miroir juste en face d’elle.
Elle était magnifique et fière, raffinée et intelligente et déterminée. Nous avons commencé par un apéritif puis je lui ai annoncé qu’elle devait défaire immédiatement sans discuter un bouton de
son chemisier sans jamais pourvoir le remettre. Elle s’exécuta immédiatement, elle y prit tellement de plaisir que je lui fis remarquer…
Puisqu’elle adorait cette situation, alors je lui ordonnai de défaire encore un bouton pour calmer ses ardeurs, je commençai à deviner
sa poitrine, car le deuxième bouton se trouvait presque en dessous des seins. Nous commencions à dîner, puis entre deux plats, je lui demandai de retirer encore un bouton, ce fut assez difficile
à exécuter, elle essaya de me faire plier par quelques suppliques mais finit par le retirer.
Je voyais clairement sa peau jusque en dessous de sa poitrine, son excitation était visible, elle était confuse car elle se voyait impudique dans le miroir mais fière de le faire.
La chemise très cintrée qu’elle avait choisie avec mon aide machiavélique jouait contre elle, de temps en temps, le plus discrètement possible elle refermait les pans de sa chemise pour ne rien laisser voir, à chaque fois je lui demandais de bien se redresser, ce qu’elle faisait fièrement.
A la fin du plat je lui ai demandé d’aller se caresser les seins aux toilettes et de les asperger d’eau très froide car je ne les voyais pas assez à mon goût, en échange elle pouvait remettre sa petite culotte. Je la rassurais en lui disant que le pire arriverait après !
Elle s’exécuta, se leva en tenant le plus maladroitement du mode sa chemise, elle se dirigea aux toilettes qui étaient assez proches.
Elle revint quelques minutes plus tard sa chemise toujours ouverte et ses tétons étaient durs et bien visibles, pourtant aucunes taches d’eau ne marquaient sa chemise ! Elle m’avoua qu’elle
avait retiré sa chemise car les toilettes disposaient d’un lavabo et fermaient à clef.
Je lui demandai de retirer le bouton situé au nombril, et de bien tendre sa chemise pour ne laisser qu’un fin filet de peau, elle était obligée de se tenir très droite, je faisait venir le
serveur pour des futilités, l’eau, le vin etc.…
Lors de son escapade aux toilettes, j’avais disposé un écrin sur la table, Cette boite l’intrigua énormément, je lui annonce que j’ai réservé une chambre dans un hôtel somptueux juste à coté dans
le 16éme.
Ses yeux me donnèrent la réponse et son désir est bien visible, je lui offre ce bijou si elle accepte de se donner à moi attachée. Elle accepte d’un regard en se redressant et ne cachant plus son désir.
Je lui explique que c’est un bijou un peu spécial et que c’est pour cela que je lui ai demandé de remettre sa petite culotte, elle ouvre la boite et découvre un oeuf avec des bagues en or et une
petite perle en or, superbe. Elle n’avait jamais vu un tel objet auparavant et je lui explique avec patience et sans précipitation qu’il contient une petite bille de métal et que la bille va lui
donner des sensations lorsqu’elle marchera, comme des boules de Geisha dont elle ignorait également l’existence.
Elle se rendit encore une fois aux toilettes pour mettre l’œuf en place. Elle se tenait très droite, la boite contre sa poitrine pour dissimuler l’ouverture, sa jupe ne cachait alors plus rien et
les bas étaient bien visibles.
Pour la récompenser de tous ses efforts, je lui permisde reboutonner deux boutons, elle refusa et me signala que l’œuf était bien en place mais qu’elle ne le sentais pas vraiment. Je ne répondis
pas et lui demanda toutefois de bien reprendre sa posture qui se relâchait un peu, alors que j’avais failli apercevoir un sein. Elle se regardait dans le miroir, la chemise entre-ouverte lui
allait à ravir et son excitation était au paroxysme.
Je sortis la télécommande, et la posai sur la table, elle me demanda ce que c’était ; Je lui répondis que c’était une télécommande, cette réponse semblait la satisfaire
sans se douter un instant de la suite. Lorsque le serveur arriva pour prendre la commande des desserts, et lorsque son tour vint de répondre, j’actionnai l’œuf sur une petite vitesse très
douce ; la surprise fut totale, ses yeux me tuèrent littéralement, elle venait de comprendre … le serveur
lui, impassible et intéressé, attendait la réponse et ne pouvait s’empêcher de plonger ses yeux dans la chemise ouverte. Elle
balbutia sans réfléchir le premier dessert de la liste pour faire partir le serveur. Pourtant, comble de malheur, ce dessert était épuisé et elle du poursuivre sa recherche : je n’ai pas pu
m’empêcher de faire vibrer l’œuf un peu plus fort. Enfin elle indiqua son choix au serveur qui partit.
L’étonnement disparut et fut remplacé par un plaisir qu’elle ne dissimilait presque plus. Chaque fois que le serveur
venait apporter quelque chose, je jouais avec la télécommande, mode aléatoire de fort à faible. Jamais
son dessert ne fut aussi délicieux. Elle ne pouvait plus penser à autre chose, elle se tortillait très
légèrement sur la chaise de plaisir. J’ai pris mon temps, nous reprîmes chacun un café et je jouais avec les touches, elle n’avait qu’une seule envie, tout son cerveau était focalisé sur son
corps qui lui donnait un plaisir confus par le lieu et la situation.
Nous avons quitté le restaurant j’avais toujours la télécommande en main, nous avons marché jusqu'à l’hôtel.
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J’ai malencontreusement égaré le lien sur lequel j’ai glané cette histoire et son (sa) rédacteur (trice) … qu’il / elle veuille bien nous en excuser.