Libertinage Anjou et Pays de Loire

Cela ne vous a pas si mal réussi jusqu’alors ! et puis, un homme qui se soucie de durer, c’est agréable !

L'histoire dans sa totalité :
Début :
5:33 ... Angers-Massy
suite : 5h33 ... Angers-Massy (suite)
part 3 :
5h33 ... Angers-Massy (suite - Part3)
Part 4 : 5h33 ... Angers-Massy (suite - Part4)

 

Pfouhhh. Quatrième direct

 

Je disais donc : tout à l’heure quand il m’a été donné de distinguer la fine tulle blanche qui recouvre …

 

Et bien ! vous regardez sous les jupes des dames, vous ?

 

Seulement quand on m’y incite … mais je disais que la fine tulle qui recouvre une aussi magnifique toison, ne me laissait aucunement imaginer la présence de bijou intime auquel cette alliance ai pu être accrochée !

 

Et bien, vous alors ? Vous ne manquez pas d’imagination … mon alliance portée ainsi ! Jamais je n’y aurais pensé !

 

Il n’est pas trop tard, mais n’est-ce pas vous qui tout à l’heure regrettiez de me voir aussi conventionnel ?

 

Si, mais je dois avouer que là,  je suis comblée au-delà de mes espérances.

 

Et nous n’en sommes qu’au verbe !

 

Ses yeux pétillaient maintenant … ses pommettes avaient pris une légère teinte rosée du plus bel effet … j’étais sûr qu’elle mouillait. Moi en tout cas, je bandais comme un taureau à toutes ces évocations.

 

Frederic, tout ceci n’est pas raisonnable. Nous sommes mariés, l’un et l’autre, et ce matin nous devions nous reposer dans ce train

 

Elle disait sans convictions. Cette phrase participait à la joute verbale

 

Je l’eu été, et me serais certainement reposé, si vous n’étiez pas apparue telle une muse affriolante, au volant de cette voiture qui colle tellement à votre personnalité

 

Que voulez vous dire ?

 

Qu’elle est comme vous, fougueuse, racée, avec du tempérament, de belles reprises, et une superbe carrosserie !

 

Flatteur ! C’est vrai qu’elle est puissante, et j’aime ça ! dit-elle, non sans se passer fort érotiquement, la pointe de la langue sur les lèvres

 

Que voulez-vous dire ?

 

Et bien, que j’aime son feulement, ses accélérations …

 

Non, Non ! Je ne parlais pas de ça !

 

Et bien de quoi, alors ?

 

De votre langue et de vos lèvres, magnifiques … Que vouliez-vous me dire en faisant ce geste tellement suggestif

 

Ses yeux se plantèrent dans les miens … Je vous laisse imaginer !

 

Vous êtes sure ? Ne craignez-vous donc pas mon imagination, et ce qu’elle pourrait engendrer ?

 

Non, je ne la crains pas … au contraire glissa t’elle dans un souffle, tandis qu’elle commençait une reptation pour se lever … ce faisant, elle ne faisait plus rien pour se cacher, et c’est un point de vue irremplaçable que j’eu sur son entrejambes, les cuisses fuselées, les attaches de ses jarretelles, et là … un anneau surmonté d’un petit brillant ! Je savais maintenant !

 

Je sais !

 

Je sais que vous savez … mais je vous ai aidé !

 

Elle s’était mise debout ! et me glissa … je vais me dégourdir les jambes. L’espace est vraiment trop étroit dans ces trains … Je la vit partir dans l’allée ! Quelle démarche, quelle allure, quelle croupe aussi ! Ainsi donc la coquine portait son alliance glissée sur une des jarretelles, maintenue par celle-ci fermée sur le bas ! Original !

 

Je me demandais si elle n’allait que faire les 100 pas et cherchait comment garder le contact. Peut être allait-elle passer en voiture bar, la suivante. Dans ce cas, je me lèverais pour aller lui offrir une boisson, chaude ou froide (après tout, nous étions déjà bouillants !). Elle fit effectivement deux, trois A/R dans l’inter wagon, passant un texto, puis manifestement me chercha du regard … elle n’eu pas beaucoup à faire tant je ne la quittais pas des yeux. Au travers des portes vitrées, elle me fit signe qu’elle passait aux toilettes.

Etait-ce un besoin réel, un subterfuge, une invitation ! Je ne pouvais rester dans le doute … au pire, une porte fermée …

Je me levais le plus naturellement du monde, si ce n’est que j’imaginais que mon érection devait se voir comme le nez au milieu de la figure … et ce d’autant plus que je remontais le wagon  auprès de gens assis !

Je franchis la porte vitrée, puis resta 45 sec à 1 mn, en jouant (si on m’avait suivi du regard, je voulais donner le change) avec mon portable. Puis, après avoir jeté un regard derrière moi, je posais la main sur la poignée. Moment de vérité ! Ma main s’enfonça … et tandis que je poussais maintenant, je ne sentis aucune résistance … comme si il n’y avait personne !


A suivre … peut être (il y eu une suite !)

Espérant que ce petit voyage vous ai plu ... Dites le nous ? et si vous avez de l'imagination, imaginez la suite ! Nous verrons si vous étes proches de la réalité

 

Ven 5 sep 2008 6 commentaires
pfffffffffffff, comme j'aimerai avoir été à la place de "frederique", une si belle rencontre...Vraiment ce n'est pas humain de nous laisser sans la fin de cette histoire.....il nous faut une fin..Merci, vraiment, c'est bien écrit
scalabrune - le 05/09/2008 à 23h08
Très joliment raconté!
Ancien abonné du Paris-Lyon, je ne puis que regretter n'avoir jamais vécu rien de tel, si ce n'est en rêve!
A quand la suite?
Au fait, bravo pour votre site!!!
harold - le 06/09/2008 à 11h54
Tout d'abord un grand merci pour votre com qui est adorable!
Et puis, nous avons hâte de lire la suite de ce récit, nous avons bien des idées pour la suite mais nous nous tâtons ;o)
Biz des Vertigiens
vertige - le 07/09/2008 à 12h23
merci de votre passsage... ;)
Satheen - le 07/09/2008 à 12h57
L'attente sera trop insuportable !!!
Juju - le 07/09/2008 à 20h56
Mais que c'est long d'attendre!!! A la suite et fin de ce récit magniquement dressé? Superbe dame et superbe voyage... je prends le train dès demain moi !
Matt - le 18/09/2008 à 13h33