Libertinage Anjou et Pays de Loire
Nous avons envie de partager avec vous, avec ces coquins qui ont l'envie de voir leurs
femmes, leur complice, leur moitiée, l'Amour de leur vie, la mère de leurs enfants mais celle qui reste leur maitresse, s'abandonner dans les bras d'un autre, mais aussi avec vous coquines, qui
plus ou moins hardies nous lisez, cette belle histoire glanée au fil de nos visites virtuelles ...
Elle nous est proposée, et rédigée, par des coquins du plat pays ... qu'ils en soient ici remerciés ....
Un samedi soir tandis que nous rentrons d'un souper chez des amis, un arrêt pipi s'impose, sur une aire d'autoroute prés de Tournai en Belgique.
Je sors du véhicule et tandis que je me soulage, remarque à l'entrée du petit bois qui borde l'endroit où nous stationnons plusieurs hommes regardant dans notre direction. L'endroit doit être réputé mais nous n'en savions encore rien; Soudain, 2 hommes s'approchent et commencent à se masturber.
Mon épouse revient des sanisettes, les remarque et indignée se précipite vers la voiture, en m'obligeant à la demarrer au plus vite. Alors que nous quittons le parking, ma main sur sa cuisse, je la caresse pour la rassurer ... je ne sais que penser, partagé entre réelle indignation de sa part, ou bien posture, liée avec toutefois une certaine excitation d'avoir saisie cette scènes, ces sexes masculins ... progressivement, je remonte sous la petite robe qu'elle porte ce jour là; bientôt, et sans qu'elle ne proteste, je rejoins la limite de ses bas auto fixant, qui alors laissent place à un doux morceau de peau que je caresse ... remontant encore plus haut, je sens l'humidité de son sexe. Mon doute n'est plus permis ...
- Cela t'as fait de l'effet on dirait…
- Non pas du tout…
- Mais pourtant ça chauffe on dirait !
- Non non !! me répond-elle
Nous poursuivons notre route avec toujours ma main sur sa cuisse qui remonte à la lisière de son adorable petite culotte.
Je ne lui revèle rien, mais j'ai comme l'impression qu'une voiture nous a suivie ... je ne veux pas l'affoler !
Après plusieurs kms un parking est annoncé, je m'y engage, me gare prudemment ...
- Que fais-tu ?
- j'ai envie de toi ...
- là, maintenant ?
- oui ....
Nous sommes garés, je l'ai enlacée et tout en l'embrassant fievreusement, baiser auquel elle répond amoureusement,je reprends mes caresses sur ses jambes : je lui relève le bas de sa robe et lui retire son joli petit slip de dentelle afin d'accéder à son sexe, quand soudain mon regard est attiré à l'extérieur.
Un des deux hommes de tout à l'heure, vraisemblablement conducteur de la voiture que je pensais nous avoir suivi, se regalait de la scène qui se déroulait sous ses yeux ... il avait re-sorti son membre, et se caressait.
Elle ne put l'ignorer, et son regard suivant le mien, elle fut d'abord prise de panique et remis machinalement sa robe sur ses cuisses ...
Je repris mon baiser, qu'elle me rendis, et repris mes caresses ... elle se laissait faire aussi je parvins à lui remonter et recommença mes caresses sur son adorable petit abricot qui s'humidifiait de plus belle.
Rassuré sans doute par notre acceptation tacite, l'homme s'approchât de la vitre de son coté et se masturba de plus belle en contemplant ma femme qui feignait alors de l'ignorer, se laissant caresser par son mari devant lui...
Pourtant, assez vite elle tourna la tête ... Je surpris le regard de ma femme sur ce membre, et alors qu'elle le regardait jaillir et disparaitre dans la paume de l'homme, je lui demandait si elle voulait ouvrir la porte ! Ce fut trop ... elle me menaça de tout arrêter, je repris donc mes caresses mais je sentais toutefois l'excitation monter en elle ... Très vite, je me penchais sur elle, et tandis qu'elle écartait les jambes sous la pression de mes mains, je vins plonger mon visage sur son mont de venus à la douce toison ... je commencais à jouer avec ses lèvres, cherchant à saisir de la pointe de ma langue son petit bouton ... Elle se laissait aller, je la sentais avancer son bassin !
Quelques instants plus tard, je reformulais ma demande : toujours un refus mais cette fois, son regard ne quittait plus ce membre a quelques centimentre de son visage. Je decidais donc d'ouvrir un peu sa fenêtre ... idée qu'elle ne repoussa pas ...
Aussitôt , habilement une main vint s'approcher de son visage et commença à lui caresser la joue alors qu'entre ses jambes, je lui dégustais son sexe trempé de cyprine.
Après quelques dizaines de sec, une ou deux mn peut être, j'ouvris complètement la vitre de façon à laisser plus d'aise à ce jeune homme qui s'empressa de passer la tête afin de la prendre dans ses bras et de la caresser plus ouvertement, tandis que je restais entre ses cuisses pour lui procurer du bien être. Toutefois, relevant la tête souvent, je ne pouvais m'empecher de la regarder yeux mi-clots, tête rejetée vers l'arrière, poitrine ondumlant au rythme d'une respiration rapide. Je fixais également les mains de cet homme avec lequel nous n'avions pas échangé un mot, je les regardais prendre peu à peu possession des seins de ma femme.
Tendrement, sans la brusquer, il lui avait ouvert quelques boutons afin de découvrir son soutien gorge et ainsi avoir le privilège de passer ses doigts en dessous pour mettre à nus sa magnifique poitrine dont les pointes s'érigeaient, signe de son abandon et de sa volonté de jouir de ces 4 mains qui parcouraient son corps sublime .
Notre complice ouvrit la portière afin d'être plus à l'aise dans ses caresses et aussitôt mon épouse, la mère de mes enfants, empoigna son membre bandé pour le branler. Je sus que nous venions de franchir une étape quand, alors que je lui tendais un preservatif, elle s'employa à le dérouler sur la tige qui lui faisait face ...
Moi, je m'assis sur mon siège et les contemplais : les mains de l'homme descendirent entre ses jambes et il la masturba, de deux doigts plantés dans ce petit vagin que je connais si bien et qui s'ouvrait maintenant à d'autres mains.
Habile, tendre et très coquin, il débusqua rapidement son clitoris et su si bien le caresser qu'elle se mit à gemir, juste sous mes yeux pendant qu'elle le suçait en cadence ... mais déjà d'autres curieux arrivèrent
- Je connais un endroit plus calme si vous voulez, nous dit-il.
Je regardais ma femme haletante, la main de l'homme toujours enfouie entre ses cuisses et elle avec sa queue bien en main alors que, surprise, elle avait cesser de le sucer.
- Tu as envie ? lui demandais-je ?
Elle se défendit mollement ... il comprit que celà pouvait être un accord, et me glissa les consignes ... il partirait, sortirais à la première, tandis que nous continuerions jusqu'à la suivante ... la route allait suivre la 4 voies, et il convergerais vers nous ... il était convenu que nous nous retrouvions à la station Esso que nous ne pouvions manquer, ceci afin de perdre d'eventuels curieux ...
Le stratagème marcha, et bien qu'elle ai feint un remords me demandant de rentrer, je suivis la route indiquée et nous le retrouvames ... nous le suivimes ensuite quelques kilometres et en bordure d'un canal, il stoppa, moi derrière lui.
L'endroit était effectivement désert, même un brin lugubre ... je crains que ceci ne la refroidisse rapidement aussi sans tarder, et alors qu'il nous avait rejoins, nous reprimes nos caresses sur son corps dénudé : une main entre les cuisses de ma femme, il repris sa masturbation mais très vite, fit comme je le faisais auparavant, il s'agenouilla, et vint plaquer son visage sur ses cuisses ... étonné, et terriblement excité, je la vis lui faciliter la tache, se tournant vers lui ... tandis qu'elle se penchait, prenant place tant bien que mal entre l'aumonière et le levier de frein à main pour m'honorer de sa bouche. Je pu ainsi admirer ma femme, lui la tête entre ses cuisses largement écartées, se faisait brouter par un inconnu pendant qu'elle me suçait.
Puis, voulant changer de position, je m'extirpais et sorti ... faisant le tour de la voiture, et alors qu'il s'était aussi relevé, je lui tendis le bras et elle se deploya ... lui était appuyé sur la portière, le sexe au garde à vous; il était en train de se derouler un capuchon. Manifestement, il avait quelques idées derrière la tête, et voyant celà, moi aussi !
Je la positionnais de telle manière qu'elle se penche sur sa verge tout en me tendant sa croupe et c'est ainsi que ma petite femme sage se mit à le sucer tandis que moi derrière, je prenais profondément son vagin détrempé ...
Elle semblait avoir mis au placard toutes les inhibitions qu'elle pouvait montrer jusqu'alors ... désirant prendre le petit plaid et nous allonger, je quittais son fourreau humide et alla vers le coffre de la voiture. Même si je n'avais pas mis longtemps, je fut surpris de la retrouver dos à lui, se faisant prendre debout, sa queue profondément enfoncé dans sa petite chatte.
Elle était cambrée vers moi, ses grands yeux semblant implorer mon assentiment, comme pour chercher un semblant d'absolution : tu vois, je l'ai fais ... mais ce n'est pas moi, cest toi qui l'a voulu ...
Elle savait bien que j'étais aux anges ! Ma femme, là, devant moi, se faisait baiser pour mon plus grand bonheur
Cette aventure, dont elle reconnu qu'elle avait pris un enorme plaisir, sans doute encore grisée par les bons vins que nous avaient servis nos amis (s'ils savaient ...), nous donna une complicité sans égal et surtout nous fit connaitre bien d'autres aventures avec en prime toujours plus d'Amour ..
Merci à leurs auteurs, qui nous excuserons d'avoir légerement remanié ce texte pour en assurer quelques transitions ...
A bientôt ... Claudie ne vous fera pas attendre trop longtemps ...
Elle nous est proposée, et rédigée, par des coquins du plat pays ... qu'ils en soient ici remerciés ....
Un samedi soir tandis que nous rentrons d'un souper chez des amis, un arrêt pipi s'impose, sur une aire d'autoroute prés de Tournai en Belgique.
Je sors du véhicule et tandis que je me soulage, remarque à l'entrée du petit bois qui borde l'endroit où nous stationnons plusieurs hommes regardant dans notre direction. L'endroit doit être réputé mais nous n'en savions encore rien; Soudain, 2 hommes s'approchent et commencent à se masturber.
Mon épouse revient des sanisettes, les remarque et indignée se précipite vers la voiture, en m'obligeant à la demarrer au plus vite. Alors que nous quittons le parking, ma main sur sa cuisse, je la caresse pour la rassurer ... je ne sais que penser, partagé entre réelle indignation de sa part, ou bien posture, liée avec toutefois une certaine excitation d'avoir saisie cette scènes, ces sexes masculins ... progressivement, je remonte sous la petite robe qu'elle porte ce jour là; bientôt, et sans qu'elle ne proteste, je rejoins la limite de ses bas auto fixant, qui alors laissent place à un doux morceau de peau que je caresse ... remontant encore plus haut, je sens l'humidité de son sexe. Mon doute n'est plus permis ...
- Cela t'as fait de l'effet on dirait…
- Non pas du tout…
- Mais pourtant ça chauffe on dirait !
- Non non !! me répond-elle
Nous poursuivons notre route avec toujours ma main sur sa cuisse qui remonte à la lisière de son adorable petite culotte.
Je ne lui revèle rien, mais j'ai comme l'impression qu'une voiture nous a suivie ... je ne veux pas l'affoler !
Après plusieurs kms un parking est annoncé, je m'y engage, me gare prudemment ...
- Que fais-tu ?
- j'ai envie de toi ...
- là, maintenant ?
- oui ....
Nous sommes garés, je l'ai enlacée et tout en l'embrassant fievreusement, baiser auquel elle répond amoureusement,je reprends mes caresses sur ses jambes : je lui relève le bas de sa robe et lui retire son joli petit slip de dentelle afin d'accéder à son sexe, quand soudain mon regard est attiré à l'extérieur.
Un des deux hommes de tout à l'heure, vraisemblablement conducteur de la voiture que je pensais nous avoir suivi, se regalait de la scène qui se déroulait sous ses yeux ... il avait re-sorti son membre, et se caressait.
Elle ne put l'ignorer, et son regard suivant le mien, elle fut d'abord prise de panique et remis machinalement sa robe sur ses cuisses ...
Je repris mon baiser, qu'elle me rendis, et repris mes caresses ... elle se laissait faire aussi je parvins à lui remonter et recommença mes caresses sur son adorable petit abricot qui s'humidifiait de plus belle.
Rassuré sans doute par notre acceptation tacite, l'homme s'approchât de la vitre de son coté et se masturba de plus belle en contemplant ma femme qui feignait alors de l'ignorer, se laissant caresser par son mari devant lui...
Pourtant, assez vite elle tourna la tête ... Je surpris le regard de ma femme sur ce membre, et alors qu'elle le regardait jaillir et disparaitre dans la paume de l'homme, je lui demandait si elle voulait ouvrir la porte ! Ce fut trop ... elle me menaça de tout arrêter, je repris donc mes caresses mais je sentais toutefois l'excitation monter en elle ... Très vite, je me penchais sur elle, et tandis qu'elle écartait les jambes sous la pression de mes mains, je vins plonger mon visage sur son mont de venus à la douce toison ... je commencais à jouer avec ses lèvres, cherchant à saisir de la pointe de ma langue son petit bouton ... Elle se laissait aller, je la sentais avancer son bassin !
Quelques instants plus tard, je reformulais ma demande : toujours un refus mais cette fois, son regard ne quittait plus ce membre a quelques centimentre de son visage. Je decidais donc d'ouvrir un peu sa fenêtre ... idée qu'elle ne repoussa pas ...
Aussitôt , habilement une main vint s'approcher de son visage et commença à lui caresser la joue alors qu'entre ses jambes, je lui dégustais son sexe trempé de cyprine.
Après quelques dizaines de sec, une ou deux mn peut être, j'ouvris complètement la vitre de façon à laisser plus d'aise à ce jeune homme qui s'empressa de passer la tête afin de la prendre dans ses bras et de la caresser plus ouvertement, tandis que je restais entre ses cuisses pour lui procurer du bien être. Toutefois, relevant la tête souvent, je ne pouvais m'empecher de la regarder yeux mi-clots, tête rejetée vers l'arrière, poitrine ondumlant au rythme d'une respiration rapide. Je fixais également les mains de cet homme avec lequel nous n'avions pas échangé un mot, je les regardais prendre peu à peu possession des seins de ma femme.
Tendrement, sans la brusquer, il lui avait ouvert quelques boutons afin de découvrir son soutien gorge et ainsi avoir le privilège de passer ses doigts en dessous pour mettre à nus sa magnifique poitrine dont les pointes s'érigeaient, signe de son abandon et de sa volonté de jouir de ces 4 mains qui parcouraient son corps sublime .
Notre complice ouvrit la portière afin d'être plus à l'aise dans ses caresses et aussitôt mon épouse, la mère de mes enfants, empoigna son membre bandé pour le branler. Je sus que nous venions de franchir une étape quand, alors que je lui tendais un preservatif, elle s'employa à le dérouler sur la tige qui lui faisait face ...
Moi, je m'assis sur mon siège et les contemplais : les mains de l'homme descendirent entre ses jambes et il la masturba, de deux doigts plantés dans ce petit vagin que je connais si bien et qui s'ouvrait maintenant à d'autres mains.
Habile, tendre et très coquin, il débusqua rapidement son clitoris et su si bien le caresser qu'elle se mit à gemir, juste sous mes yeux pendant qu'elle le suçait en cadence ... mais déjà d'autres curieux arrivèrent
- Je connais un endroit plus calme si vous voulez, nous dit-il.
Je regardais ma femme haletante, la main de l'homme toujours enfouie entre ses cuisses et elle avec sa queue bien en main alors que, surprise, elle avait cesser de le sucer.
- Tu as envie ? lui demandais-je ?
Elle se défendit mollement ... il comprit que celà pouvait être un accord, et me glissa les consignes ... il partirait, sortirais à la première, tandis que nous continuerions jusqu'à la suivante ... la route allait suivre la 4 voies, et il convergerais vers nous ... il était convenu que nous nous retrouvions à la station Esso que nous ne pouvions manquer, ceci afin de perdre d'eventuels curieux ...
Le stratagème marcha, et bien qu'elle ai feint un remords me demandant de rentrer, je suivis la route indiquée et nous le retrouvames ... nous le suivimes ensuite quelques kilometres et en bordure d'un canal, il stoppa, moi derrière lui.
L'endroit était effectivement désert, même un brin lugubre ... je crains que ceci ne la refroidisse rapidement aussi sans tarder, et alors qu'il nous avait rejoins, nous reprimes nos caresses sur son corps dénudé : une main entre les cuisses de ma femme, il repris sa masturbation mais très vite, fit comme je le faisais auparavant, il s'agenouilla, et vint plaquer son visage sur ses cuisses ... étonné, et terriblement excité, je la vis lui faciliter la tache, se tournant vers lui ... tandis qu'elle se penchait, prenant place tant bien que mal entre l'aumonière et le levier de frein à main pour m'honorer de sa bouche. Je pu ainsi admirer ma femme, lui la tête entre ses cuisses largement écartées, se faisait brouter par un inconnu pendant qu'elle me suçait.
Puis, voulant changer de position, je m'extirpais et sorti ... faisant le tour de la voiture, et alors qu'il s'était aussi relevé, je lui tendis le bras et elle se deploya ... lui était appuyé sur la portière, le sexe au garde à vous; il était en train de se derouler un capuchon. Manifestement, il avait quelques idées derrière la tête, et voyant celà, moi aussi !
Je la positionnais de telle manière qu'elle se penche sur sa verge tout en me tendant sa croupe et c'est ainsi que ma petite femme sage se mit à le sucer tandis que moi derrière, je prenais profondément son vagin détrempé ...
Elle semblait avoir mis au placard toutes les inhibitions qu'elle pouvait montrer jusqu'alors ... désirant prendre le petit plaid et nous allonger, je quittais son fourreau humide et alla vers le coffre de la voiture. Même si je n'avais pas mis longtemps, je fut surpris de la retrouver dos à lui, se faisant prendre debout, sa queue profondément enfoncé dans sa petite chatte.
Elle était cambrée vers moi, ses grands yeux semblant implorer mon assentiment, comme pour chercher un semblant d'absolution : tu vois, je l'ai fais ... mais ce n'est pas moi, cest toi qui l'a voulu ...
Elle savait bien que j'étais aux anges ! Ma femme, là, devant moi, se faisait baiser pour mon plus grand bonheur
Cette aventure, dont elle reconnu qu'elle avait pris un enorme plaisir, sans doute encore grisée par les bons vins que nous avaient servis nos amis (s'ils savaient ...), nous donna une complicité sans égal et surtout nous fit connaitre bien d'autres aventures avec en prime toujours plus d'Amour ..
Merci à leurs auteurs, qui nous excuserons d'avoir légerement remanié ce texte pour en assurer quelques transitions ...
A bientôt ... Claudie ne vous fera pas attendre trop longtemps ...
Dim 9 nov 2008
2 commentaires
belle histoire,la rencontre inopinée avec un inconnu...
coralie Gathor - le 11/11/2008 à 23h56
Un récit qui laisse bien deviner l'émoi de cette femme qui se laisse peu à peu abandonner aux désirs qui deviennent les plus forts. Joli moment et trés érotique.
plein de baisers
Armandie
plein de baisers
Armandie
Armandie - le 12/11/2008 à 16h21