Libertinage Anjou et Pays de Loire

D'une pierre, deux coups (euhhh ... on vous vois, là, étouffer un sourire ... mais vous voyez les sous-entendus fripons partout vous ... pas nous !)

Nous disions donc ... d'une pierre, deux coups ...

D'une part vous faire découvrir le très beau blog d'Aurélie et Franck .... superbe !!! Dommage qu'il soit en sommeil, cependant !
Ceci dit, un blog ne vit bien que grace à la ''pèche'' de ses auteurs ... si elle disparait, du moins au regard de l'activité particulière qu'est le blog (car on espère, et on ne doute pas un instant qu'ils l'ont gardée, ces coquins) , disparait avec elle l'inventivité, l'imagination, cette forme d'art que represente la mise en scène, en image, et en texte ...
Mieux vaut alors prendre une respiration ...

Leur oeuvre passée reste ... tant mieux ... espérons qu'ils ne l'effacent pas un jour, comme d'autres de nos superbes découvertes ont disparues.
Nous comptons sur vous pour leur temoigner de ce qu'ils vous inspirent ...

D'autre part, faire tendrement un clin d'oeil coquin à nos complices Y & C ... ils comprendront ...

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Un après midi surprise

 

Les instructions glissées dans l’enveloppe étaient aussi claires que surprenantes :

« Aurélie rendez vous ce soir 18h à l’hôtel des palmes; Sur place présente toi au réceptionniste, il te remettra un colis et une enveloppe que tu ouvriras afin de suivre la suite des instructions - bisous coquins ».

Quelles instructions ? Quel colis ? Aurélie n’arrivait pas à imaginer à quel jeu Franck voulait la faire participer ... une seule chose était sûre, le connaissant, cela allait sûrement être très charnel.

17 heures:  il est temps de prendre la voiture pour se rendre à l’hôtel. L’enveloppe rangée dans le sac, l’esprit tout tourné à ses rêveries, Aurélie ne vit pas passer les 45 minutes qui la séparait de sa destination.

L’hôtel, 4 étoiles, s’ouvrait sur un immense hall richement décoré, dans lequel attendait 3 réceptionnistes qui s’affairaient derrière leur comptoir. Après quelques secondes, et à l’énoncé de son nom,  l’un d’entre eux lui remit un colis et une enveloppe.

L’enveloppe portait la mention à ouvrir en premier :

« bonsoir Aurélie, je te propose de commencer par te rendre au bar, y commander un planteur et à ouvrir le colis dans lequel tu trouveras la suite des instructions ».

Aurélie avait décidé de se montrer docile et de répondre aux injonctions sans aucune résistance. Installée en terrasse, le planteur était déjà bien entamé, quand Aurélie se décida à ouvrir le colis.

Là encore une enveloppe et une clé étaient posées sur un tissu qui cachait le reste du contenu :

« Une fois que tu auras fini ton verre, tu pourras te diriger vers la suite N°202. Une fois dans la chambre, je t’invite à te prélasser dans un bon bain avant d’enfiler les vêtements que contient cette boite. Une fois vêtue, tu pourras alors simplement faire sonner mon téléphone pour me signaler que tu es prête. A ce moment là, il sera temps pour toi d’enfiler le bandeau sur tes yeux et d'attendre. Attention la règle est simple : interdiction d’enlever le bandeau, et de prononcer un mot … Le jeu ne prendra fin qu’au moment où ton téléphone sonnera de nouveau, pour t’autoriser à retirer ton bandeau !».

 

18h30, Aurélie pénétra dans la suite décorée de meubles modernes dans les tons verts et marrons.

1/2 heure plus tard, le bain et le planteur avaient fait leur effet, Aurélie se sentait parfaitement détendue et prête à vivre cette expérience où elle serait les yeux bandés, et dans le silence; ainsi seuls les sens du touché seraient en action ... hum !

En quelques minutes, elle enfila son soutien gorge, ses bas dim et ses talons hauts. Le bandeau dans une main, le téléphone dans l’autre, Aurélie se dit que c’était maintenant le moment, une pression sur le clavier, le numéro se composa automatiquement :

Allo ... C’est moi je suis prête !

Ok, alors passe le bandeau et installe toi, mais n’oublie pas… pas un mot ni un coup d’œil !

Compris ?

Oui

alors, à tout à l’heure !

Finalement, Aurélie n’avait pas choisit le lit, elle y avait préféré un superbe fauteuil club qui lui rappelait d’autres moments érotiques.

2 minutes plus tard, le bruit du mécanisme de la porte se fît entendre.

Franck était là, il ne se contenta pas de l’observer, il la photographia ! Le silence et le l'obscurité lui permirent de ressentir les vibrations de la pièce, elle senti qu’elle était observée, qu’on lui tournait autour. Dans cette situation, elle senti aussi qu’elle provoquait une intense envie chez son visiteur.

Enfin une main se posa sur ses épaules; Aurélie avait tellement envie que le jeu prenne enfin corps que ce simple contact provoqua chez elle une montée de chaleur. En passant doucement le long de ses épaules, de sa nuque, en redescendant dans son dos, c’est tout son corps qui demandait des caresses.

Et là, alors qu’elle sentit que son sexe commençait à s’inonder d’un liquide de plaisir, Aurélie senti son souffle se couper: deux mains dans le dos, alors qu’elle en était sure, une autre s’était furtivement posée sur le contour de ses seins, comme pour dire « alors quelle direction veux tu que vous prenions » !

Dix milles idées lui traversèrent l’esprit alors que son corps, lui, resta immobile un temps.

C’était surprenant! Deux idées principales s’entrechoquèrent.

La première était conventionnelle mais raisonnable: il y avait une personne de trop et il fallait qu’elle parte.

La seconde qui lui dictait que finalement puisque c’était Franck qui le lui proposait, et que cela pouvait être « marrant », alors pourquoi pas !

Aurélie se détendit à nouveau et d’un jeu de jambe très subtil se fit comprendre de Franck et de son accompagnateur. Les caresses reprirent de plus belle, les mains passant sur la totalité de son corps tout en évitant volontairement les zones les plus sensibles.

Limitée dans l’utilisation des ses 5 sens, Aurélie se focalisa sur le touché et les odeurs.

Alors qu’aucun acte sexuel ne s'était encore produit, elle distingua pourtant cette odeur si caractéristique qui lui laissa penser que les 2 corps qui l’entourait étaient, eux aussi, en pleine ébullition.

D’ailleurs elle en eu rapidement confirmation dans la minute qui suivit; 2 mains dirigèrent les siennes vers une destination qu’elle imagina par avance !

Les 2 sexes érigés fièrement dans ses paumes, elle découvrit là une sensation nouvelle qui ne serait pas la dernière de cette soirée:  les 2 sexes lui semblèrent de taille et de diamètre sensiblement identiques, aussi il lui fut dans un premier temps impossible de savoir si Franck était à ce moment là dans sa main gauche ou dans sa droite !

Commença alors un jeu de masturbation entre les trois participants, Aurélie au centre profitant de caresses de plus en plus amplifiées en fonction de la vigueur qu’elle mit dans ses mains.

Après quelques minutes, l’un deux 2 sexe se déroba de ses mains afin de l’inviter à se lever. D’un geste sûr, elle senti une main dénouer son soutien gorges et celui-ci glisser le long de ses bras.

Même plongée dans le noir, Aurélie ne souhaita pas être la seule dévêtue, et entreprit du coup de retirer les boxers de ses 2 assaillants.

C’est dans cette tenue, allongés sur le lit qu’ils ont alors alterné avec envie les baisers coquins. Elle découvrit le bonheur de sucer un sexe tout en sentant le sien couvert d'attentions, de doux baisers, la main pleine d'une autre verge ..., là encore une sensation nouvelle !

Au fil du temps, aidée de ses mains, mais aussi de ce qu'elle avait pris en bouche, elle s’était secrètement faite une idée d'où était Franck et où était l’inconnu et l’étape suivante le lui confirma facilement;  Le premier passa derrière elle et le second vint s’allonger face à elle, le sexe ... couvert d’un préservatif.

Et ce fût alors une nouvelle sensation qui lui irradia le corps,.. être pénétrée tout en faisant une fellation !

Ce petit jeu dura quelques instants dans diverses positions pour se finir dans un murmure de plaisir difficilement retenu par les deux hommes.

Puis en quelques instants, la pièce se vida, toujours sans bruit et sans lumière, la porte s’ouvrit et claqua…

2 minutes plus tard le téléphone sonnait: Aurélie retira son bandeau, encore secouée par ce quelle venait de vivre, fait d'intenses sensations puisqu’elle n’avait rien vu, ni entendu !

Coucou, c’est moi.

Coucou toi

Tu peux retirer ton bandeau !

C’est fait, remonte vite !

 

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Qu'importe que cette délicieuse idée soit maintenant devoilée, nous en trouverons d'autres ...
Nous la trouvons toutefois merveilleuse, aussi la barre est haute, Y .... !!!


(Merci à Aurelie et Frank de l'emprunt qui leur a été fait ... en espérant qu'ils n'en prennent pas ombrage !)