Libertinage Anjou et Pays de Loire

Ils n'étaient pas confortables, mais ... leur promiscuité forcée, souvent genante, pouvait aussi offrir de bien jolis points de vue ...

Selon les cas, selon l'esprit de la belle, elles se montraient choquées, génées (arborant un rouge aux joues du plus bel effet !!) , ou amusées, voire parfois même complices ...

N'allez pas en déduire que nous vivions dans les années 40 ! :)

Il y a une quinzaine d'années, seulement, lors de voyages quotidiens Austerlizt - Orleans Les Aubrais .... Souvenirs, souvenirs !



Mais, jamais nous n'allâmes jusqu'aux toilettes ! 

Il n'est jamais trop tard ! ...

Quand, lors des grands départs, quand la SNCF nous fait la desagréable surprise d'avoir augmenté ses cadences au moyen de trains que nous croyions oubliés, vous verrez peut être ceci comme une belle opportunité !
Soyez attentifs !
Lun 16 mar 2009 5 commentaires
Aaaaaaaaaaah les voyages en train, que de souvenir et de fantasme. Nous regrettons aussi la disparition des compartiments, nous étions trop jeune pour en profiter pleinement. Aujourd'hui il en serait autrement...
Hélaura & yohan - le 16/03/2009 à 10h49
Les compartiments des trains ont toujours un charme réel, cette espace restreint permet beaucoup de choses.
Juju - le 17/03/2009 à 10h24
merci pour ce petit rappel de souvenirs piquants en images, oui j'ai des souvenirs de compartiments aussi entre austerlitz et bordeaux.

baisers a vous

Armandie
armandie - le 17/03/2009 à 15h47
Vous, belle Armandie ?? ... entre Austerlitz et Bordeaux ... peux être nous sommes nous croisés, voire même cotoyés ... sans se voir, sans s'aborder ... timidité de l'époque, yeux baissés devant telle beauté ...
Aujourd'hui serait different .. nous vous aborderions !
Bisous
Libertins49
la demoiselle est charmante, possède une belle chatte qu'il doit être agréable de remplir surtout dans ces circonstances
matou - le 19/03/2009 à 22h50
Je peux témoigner que les compartiments n'ont pas tous disparus... encore la semaine dernière j'ai croisé de bien jolies jeunes femmes dans un compartiment où nous n'étions que deux.

Quant aller jusqu'aux toilettes... c'est une toute autre histoire...
sourires
Maître Décadent - le 30/03/2009 à 12h37