Libertinage Anjou et Pays de Loire

Une histoire que nous venons de découvrir ... fantasme de ma chère et tendre !!!

Je me nomme Delphine, j’ai 31 ans et je suis mariée à Greg de 14 ans mon aîné. Je suis à ce qu’on dit une très jolie femme brune de 1 m 70 pour 56 kg, et mon atout principal est une généreuse poitrine qu’emprisonnent des soutiens gorge de taille 95 C.

L’été dernier, Greg organisa notre soirée, en me proposant d’aller voir un festival de jazz qui se déroulait pendant une semaine dans un ancien prieuré attenant à la cathédrale.

Nous devions nous y rendre pour 20 h 45 en cette soirée de semaine. Ce qui n’était pas prévu, c’est que mon métier de secrétaire de direction ne m’astreignait pas souvent à des horaires fixes. Bien entendu ce soir là n’échappa pas à la règle.

Je prévenais Greg lors de la pause de la réunion que je serais certainement en retard et que le mieux serait que l’on se retrouve sur place, d’autant que je ne travaillais qu’à à peine 1 km du lieu du festival.

La réunion se termina à 20 h 30 passé. Inutile de me stresser me dis-je, quoique je fasse je serais en retard. Je pris donc mon temps en retournant dans mon bureau pour ranger les papiers et les notes que j’avais pris lors de la réunion, puis je me dirigeais vers les toilettes afin d’ajuster mon maquillage. Si j’avais eu le temps de rentrer à notre appartement je me serais changée dans une tenue plus cool, mais c’est ainsi, et j’allais garder jusqu’à la fin de la soirée, mon tailleur bleu dont la jupe ne couvre que la moitié de mes cuisses, un chemisier blanc, un soutien gorge et une culotte blanches à dentelle ainsi que des bas auto fixant.

Cette tenue allait certainement dénoter parmi le public, mais qu’importe ! Et puis je n’ai pas le choix.

Je sortais de l’immeuble et je décidais de me rendre à pied au festival, pensant que j’irai plus rapidement ainsi, plutôt qu’en voiture, où une place de parking serait plus qu’hypothétique. Vingt minutes plus tard, après avoir essuyé quelques sifflements et quolibets sur mon physique, j’arrivais à l’entrée du prieuré.

Dans l’enceinte du festival, je téléphonais à Greg afin qu’il me guide pour le retrouver. Malgré la sono très forte, nous parvîmes à nous retrouver derrière une arcade du déambulatoire, assez loin de la scène. Après que nous nous soyons embrassé, Greg me fit part de la demi heure que j’avais manqué.

Ne voyant pas très bien la scène d’où nous étions, je demandais à Greg de bien vouloir m’aider à monter sur le rebord de l’arcade située 50 cm plus haut. Il y avait très peu de personnes autour de nous, c’est ainsi que sans pudeur et dans l’obscurité, je retroussais ma jupe pour escalader cette bordure. Greg m’aida en me soutenant par la taille, puis lorsqu’il s’assura que je me tenais seule, il me lâcha.

Quelques minutes passèrent lorsque je sentis sa main caresser mon mollet. Quelques secondes passèrent avant que sa main remonte sous ma jupe entre mes cuisses. Je le laissais faire tant je trouvais délectable ses doigts qui complimentaient mes chairs entre le haut de mes bas et ma culotte. Nous étions dans la pénombre des arcades à l’égard de regards indiscrets pensais-je, sinon Greg ne se serait pas aventuré à ce jeu.

Ses doigts se glissèrent sous ma culotte et flattèrent mon pubis et mes lèvres boursouflées Il resta un moment à cette caresse tant il aimait mon sexe entièrement épilé. Un doigt s’insinua dans la commissure déjà humide. Il s’enfonça entièrement, puis il ressortit lentement. De sa phalange repliée, il crocheta ma culotte qu’il tira le long de mes jambes pour qu’elle finisse sa course sur mes chaussures. Sa main remonta le long de mes cuisses et ses doigts s’infiltrèrent à nouveau dans mon ventre. Je commençais à ne plus vraiment écouter le concert tant le plaisir qu’il me donnait, captivait tous mes sens. Ses doigts allaient en va et vient, ou bien ils astiquaient mon clitoris devenu turgescent. Ses doigts lubrifiés par le liquide de mon plaisir, glorifièrent la rosette de mon anus. Greg connaissait la jouissance que m’apportait toute pratique de cet orifice bénit des Dieux, aussi, après l’avoir encensé de sa caresse, son doigt s’y enfonça totalement ainsi qu’un autre dans mon vagin. Sa main s’était transformée en fourche et ses doigts me baisaient et me sodomisaient en même temps au milieu d’une foule inconsciente de la jouissance qui me secoua le corps.

Comme pour remercier Greg et aussi le tempérer je posais ma main sur ses cheveux. Mon corps se raidit et se glaça aussi vite que l’éclair ! La chevelure que ma main effleurait était grasse et gominée de gel, alors que mon mari a des cheveux bouclés et frisés. Je n’osais me retourner et regarder la personne que j’avais pris pour Greg. Je jetais un vif coup d’œil sur le côté. Greg était parmi les spectateurs à quelques mètres de nous.

Les doigts continuèrent leur va et vient. Jusqu’à cette usurpation d’identité je prenais du plaisir, devait-il s’arrêter parce que ces caresses n’étaient pas prodiguées par l’homme que j’imaginais ? A ce jour, je n’avais encore jamais trompé mon mari, mais involontairement c’était fait. La seule excuse que je me donnais, c’est que c’était involontaire, pourtant j’avais pris du plaisir !

Pourquoi me torturer l’esprit ? N’avais-je pas le droit de prendre du plaisir en dehors qu’avec mon mari ? Ma main avait cessé de contenter le crâne de l’homme que je croyais être celui de mon mari. L’homme continuait à tarauder mon intimité. Je n’étais plus réceptive malgré et à cause des antagonismes qui persécutaient ma frivolité.

Lentement je m’accroupissais pour être à sa hauteur. Ses doigts poisseux coulèrent de mes intimités tout en restant au contact de ma croupe. A son souffle chaud et haletant, je compris que mon visage était à la hauteur du sien. Je tournais la tête vers lui afin de découvrir la physionomie de l’homme qui m’apporta tant de plaisir avant que je ne découvre la supercherie.

Malgré la noirceur de l’endroit, je découvrit un homme d’une cinquantaine d’années, assez petit et très rondouillard, les cheveux gominés et plaqués en arrière. Un filet de moustache soulignait un visage de type méditerranéen, accentué par un costume gris à rayure.

- Mes doigts me disent que vous avez aimé, mais les vibrations de votre corps, elles me confirment que vous n’avez pas atteint la plénitude.

Je ne savais que répondre. Sans attendre sa main se plaqua sur mes fesses tandis que l’autre me saisit sous l’aisselle. Je décollais de mon rebord pour retrouver illico presto face à lui, ma culotte traînant à mes pieds. Je la ramassais immédiatement et la glissais dans la poche de mon tailleur. Mon regard se baissa vers lui, je le dépassais d’une demi tête.

- Merci de m’avoir aidez à descendre, je vais rejoindre mon mari, lui dis-je presque idiotement. Puis, encore plus idiotement je lui tendis la main pour le quitter.

Je fis un brin de toilette et je réajustais ma tenue. Quelques minutes plus tard je rejoignais Greg.

- C’est super, non ? me m’interrogea-t-il.

J’acquiesçais de la tête tout en pensant au plaisir que j'avais pris.
Cette première fois que je n’ai jamais avoué à mon mari fut le début d’une longue série de libertinage, où souvent le plaisir fut au rendez-vous.

Posté par Delphine
Mer 28 jun 2006 1 commentaire
j adores tes aventures dans tout les sens du terme, je mets ton site dans mes liens , gros bisous , la louve
severine - le 22/08/2006 à 07h08