Libertinage Anjou et Pays de Loire

Je m'appelle F., j'ai 38 ans, je suis châtain aux yeux marron. J’avais alors 28 ans, et étais le représentant des copropriétaires dans l’immeuble où je résidais .

Ce jour-là, je rentre du travail à 18h. J'arrive dans le hall, un peu préoccupé par un problème professionnel. Je décide de prendre les escaliers plutôt que l'ascenseur histoire de me vider un peu l'esprit et de faire un peu d'exercice. Et puis le quatrième ce n'est pas la fin du monde !

Dans les marches, tout à mes pensées, montant les marches 2 à 2, je me heurte à ma voisine du dessous, une jolie femme frisant la quarantaine, divorcée, seule avec ses deux enfants, des jumeaux, âgés d'une dizaine d'années. Je la retiens en bafouillant une excuse qui la fait sourire. Elle ne semble pas aussi déstabilisée que moi, me jette un bonjour en plantant ses grands yeux verts dans les miens comme si elle cherchait à me transpercer et me rassure d’un ‘’ce n’est rien’’. Elle file. Je me retourne sur son passage envoûté et enivré par son parfum. J’ai eu le temps de la détailler, des pieds à la tête. Hum, quelle femme ! De belles jambes gainées de noir, une mini-jupe qui arrive à mi-cuisses, un petit chemisier assorti révélant une belle poitrine que j’imagine maintenant, lourde et généreuse. Elle doit sentir mon regard dans son dos, car elle se retourne et me lance un petit sourire en coin. Pris en faute, je me sens rougir et reprends mon ascension. Je rentre chez moi et mets une musique de fond pendant que je me replonge dans ce dossier ramené du bureau. Pris dans mes réflexions, je ne vois pas l'heure avancer.

Mon estomac crie famine, aussi je décide de sortir manger une pizza. Je prends mon blouson, et saute dans l'ascenseur qui semblait m’attendre. La descente commence mais très vite s'arrête à l'étage en dessous. Les portes s'ouvrent et je vois ma belle voisine monter dans l'ascenseur me saluant d'un autre superbe sourire. Elle est encombrée d'un gros carton qui semble bien lourd. Elle engage la conversation :

- Vous êtes moins pressé ? (Sourire, auquel je réponds) et elle continue : C’est bien vous le représentant des copropriétaires ? me demande-t-elle.

- Oui, c’est cela. Pourquoi, vous avez des problèmes

- Ah oui ? j’ai de gros problèmes avec la régulation du chauffage.  Serait-il serait possible d'en parler ?

- Oui sans problème, je suis à votre disposition ; nous pouvons prendre un rendez-vous quand vous voulez !

- oK, me dit-elle avec son joli sourire, je vais planifier ça.

L'ascenseur arrive au rez-de-chaussée. Les portes s'ouvrent. Je m’efface pour la laisser sortir, la voyant peiner avec son carton.

 
- Vous allez loin avec ce carton ?

- Loin non, je vais jusqu'à ma cave ranger ces vieux livres.

- Laissez-moi vous aider, lui dis-je en lui prenant le carton des mains.

Elle paraît surprise.

- Merci, c'est très gentil...

Elle passe devant et me guide dans les sous-sols de l'immeuble. Je la suis portant le carton et m'arrête juste derrière elle quand elle ouvre la porte de sa cave et allume la lumière. Elle me laisse passer devant elle.

- Posez ça sur l'étagère là-bas, s'il vous plaît, ce sera parfait.

Je pose le carton et me retourne ; elle est juste derrière moi.

- Vous êtes très gentil, me dit-elle, et... très séduisant aussi.

Je sens mes joues s'enflammer et une chaleur m'envahir.

- Je vous remercie, vous êtes une très belle femme aussi et si je, enfin... non rien, excusez-moi.

Je bafouille comme un gamin pris en faute, mais dans cette cave, je perds tous mes moyens devant cette femme splendide que je commence à désirer plus que tout. Je m'avance pour sortir de la cave quand elle me barre le passage.

- C'est quoi ton prénom ? me demande-t-elle en adoptant le tutoiement.

- F... et vous ? enfin toi ?

- Moi c'est Cathy.

- Enchanté Cathy...

- Tu sais F., cela fait des mois que je n'ai plus d'homme dans ma vie... Et des soirs comme ce soir, cela me manque cruellement, me dit-elle en refermant doucement la porte de la cave et en la fermant à clé.

Je ne peux y croire, cette femme superbe qui me fait fantasmer depuis des mois me fait des avances dans sa cave. Doucement nos visages se rapprochent, nos lèvres s'effleurent. Puis une bourrasque nous emporte, nos langues s'emmêlent, nos mains frôlent nos corps brûlants, faisant naître une excitation croissante.

 
Son manque d'homme se fait aussitôt sentir, car ses mains descendent directement se poser sur mon pantalon emprisonnant mon sexe gonflé à travers le tissu. Doucement, je retire ses mains.

- Non, ne me touche pas, enfin pas encore, laisse-moi faire, lui dis-je entre deux baisers.

- Oh oui, fais-moi du bien ! me lance-t-elle dans un souffle.

Je la colle dos au mur. Je plaque ses mains au mur de chaque côté de sa tête. Je me recule un peu et l'observe, elle est belle, collée au mur mains et jambes écartées me regardant de ses yeux humides. Je m'approche d'elle et lentement je pose ma bouche sur son cou. Doucement mes mains dégrafent son chemisier laissant apparaître ses seins prisonniers dans leurs bonnets. Puis je sens une main serrer mon sexe. Elle ne peut pas s'empêcher de le tâter. Malgré la douceur de la caresse, je repousse sa main et m'écarte d'elle. Je fouille dans la cave et trouve ce que je cherche. Une ficelle. Sous un drap, en dessous de l'étagère sur laquelle j'ai posé le carton, trône un fauteuil de salon. Je retire le drap et la fais asseoir sur le fauteuil. Un support de l'étagère pend au-dessus du fauteuil, je passe la ficelle dedans. Puis lentement je retire le chemisier et le soutien-gorge de Cathy qui se laisse faire en essayant par tous les moyens de toucher mon sexe bandé.

- Cathy, lève les mains, n'aie pas peur, je vais t'attacher les mains vu que tu ne peux t'empêcher de me toucher. Je ne veux te faire aucun mal, juste te faire un maximum de plaisir...

Elle semble hésiter, puis obéit.

- Ne serre pas trop, s'il te plaît, je n'ai jamais fait ça.

Je l'attache donc solidement, mais pas trop serré.

- Ça va comme ça ?

- Oui, répond-elle.

Elle est magnifique... La poitrine nue, les jambes écartées, sa mini-jupe relevée sur ses cuisses les mains attachées au dessus de la tête. Je m'approche d'elle et reprends mes baisers, je suce sa langue, ses lèvres, puis lentement je descends dans son cou en lui caressant les cheveux. Le bout de ma langue descend dans son cou, puis passe entre les deux seins, en prenant bien garde de ne pas les toucher (malgré l'envie que j'aie de pétrir cette superbe poitrine), puis arrive sur son ventre que j'embrasse, et lèche, faisant tourner ma langue dans son nombril, son ventre se creuse sous mes coups de langue et mes baisers, son souffle devient court.

Pendant que ma langue joue sur son ventre, mes mains pétrissent son dos, ses hanches, puis descendent sur ses jambes. Je lui caresse les chevilles et lentement remonte, massant les mollets, puis ses cuisses que je pétris sous sa mini-jupe. Mes mains passent sur les côtés et massent ses fesses. Elle se soulève pour que je puisse faire glisser sa jupe. Je découvre un joli string brodé assorti au soutien-gorge. Du bout de la langue je suis le contour de son string orné d'une tache de mouille qui semble s'élargir. Mon nez se frotte à la tâche en prenant garde de ne pas trop toucher son sexe brûlant, cela lui arrache un soupir d'extase, je la sens vibrer comme une pile électrique.

- F., touche-moi, s'il te plaît... F. huuuumm.

Pendant que mes mains font glisser son string, je lèche doucement l'intérieur de ses cuisses frôlant son sexe humide. Ma langue remonte sur son ventre, puis se dirige vers ses seins qui pointent de désir. Je mets des petits coups de langue au mamelon, puis n'y tenant plus, je les mordille, lui arrachant un râle de plaisir. Je prends un sein dans chaque main et le pétris, je fais rouler les bouts entre mes doigts, je les suce, les aspire... hummm ils durcissent entre mes lèvres.

Cathy se cambre, m'offrant sa poitrine à dévorer, geignant de plus en plus fort. Pendant que mes doigts continuent de rouler ses seins, ma langue redescend vers son puits d'amour, faisant creuser son ventre au passage, lentement je frôle ses lèvres trempées de mouille du bout de ma langue, puis lentement ma langue se fait plus pressante écartant peu à peu les lèvres en feu jusqu'à ce que ma bouche se colle à son sexe. Durcissant ma langue je la rentre le plus profondément possible la faisant tournoyer dans sa vulve inondée. Le souffle de Cathy devient de plus en plus court, son sexe dégoulinant de jus d'amour se colle à ma bouche. Une de mes mains délaisse ses seins et descend sur son ventre du pouce je frotte doucement son clito bandé comme un petit pénis, puis ma langue sort de sa vulve et remonte léchouiller son clito pendant que je rentre un doigt, puis deux dans son sexe brûlant. Doucement je lèche le clito, le suce, l'aspire entre mes lèvres hummm il grossit dans ma bouche. Cathy commence à gesticuler dans tous les sens et se tord de plaisir sous l'action conjuguée de ma bouche et de mes doigts qui lui fouillent le sexe.

- Ouiiiiiii bouffe-moiiiii la moule, hummm hoooo doigte-moi bien à fond ouiiiiii c'est boooon aaaaaaaahhhhhhh.

Un orgasme la cloue sur le fauteuil, elle gémit longuement, je lui suce un sein pendant que je continue de la doigter lentement. Puis je retire mes doigts de son sexe empli de cyprine et les lèche avant de l'embrasser goulûment. Elle tente de défaire ses liens en tirant dessus, mais elle est bien attachée. Elle se tortille.

- Viens maintenant, mets-la-moi maintenant j'en ai envie s'il te plaîiit, je tiens plus ! Je mouille comme une vielle salope ! Je te veux ! Mets-moi ta queue, je veux la sentir ! Tu me rends folle ! Baise-moi !

Son langage cru m'excite, je vois qu'elle est à bout et qu'elle désire plus que tout être comblée. Je me mets debout devant elle et baisse mon pantalon, puis mon boxer. Ses yeux humides se posent immédiatement sur mon sexe bandé de désir. Je me mets debout dans le canapé en lui tenant la tête pour ne pas qu'elle puisse toucher mon sexe de sa bouche qui essaye de l'attraper au passage. Puis tenant mon sexe devant ses yeux, je me masturbe lentement devant elle à quelques centimètres de son visage. Ses yeux ne quittent pas ma main allant et venant sur mon sexe tendu.

- Cathy... J'ai envie de commencer par baiser ta bouche...

- Oui viens, donne-moi ta queue, je veux te sucer jusqu'à la moelle.

Je m'approche un peu plus et lui caresse les joues de ma queue bandée, je frotte le bout de ses seins, puis je remonte et effleure ses lèvres brillantes de salive avant de rentrer lentement ma queue dans sa bouche chaude et humide. Quel délice ! Dès qu'elle a ma queue en bouche, elle la pompe en gémissant comme si sa vie en dépendait. Elle aspire mon gland, fait tourner sa langue autour, va et vient dessus comme une affamée. À ce régime, je ne vais pas tenir longtemps. Je me retire de sa bouche qui essaye de reprendre mon sexe, mais je m'écarte. Elle me regarde de ses yeux suppliants. Je prends sa tête entre mes mains et renfourne mon sexe au chaud dans sa bouche. Je lui maintiens la tête, puis je commence à aller et venir lentement entre ses lèvres, nous gémissons de plaisir.

À nouveau je me retire. Je descends du canapé et dirige mon gland baveux vers son sexe inondé et bouillant. Ses cuisses luisent de mouille et sont écartées au maximum.

- Hummm Cathy je vais enfin te la mettre depuis le temps que j'en rêve !

- Oui viens mon salaud, tu m'as trop fait attendre, bourre-moi, défonce-moi, je suis tellement trempée que j'ai l'impression d'avoir pissé partout comme une chienne.

Son langage me rend fou de désir. Doucement je frotte mon gland sur ses lèvres gonflées de désir, je titille son clito de mon gland, puis reviens écarter les lèvres doucement. Très lentement, je fais rentrer mon sexe en elle centimètre par centimètre. Un long râle de plaisir accompagne ma pénétration. Lorsque ma queue est entièrement en elle, un spasme la secoue. Elle me regarde dans les yeux, je vois une larme couler sur sa joue, cela m'attendrit et je lui offre un baiser. Puis mes yeux plantés dans les siens, je commence à aller et venir lentement. Mon sexe sort presque entièrement et replonge aussitôt dans son volcan fusion, ses râles se font de plus en plus longs, mes mouvements s'accélèrent, je relève ses cuisses et pose ses mollets sur mes épaules, je la pilonne de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus loin. Elle râle maintenant sans discontinuer, mes coups de reins sont de plus en plus forts, mes mains pétrissent ses seins et torturent ses tétons gonflés, tout en la besognant, je dénoue la ficelle qui lui retenait les mains.

Aussitôt libérée, elle pose ses mains sur mes fesses en gémissant et guide mes coups de reins, je sens le plaisir monter et commence à geindre de plaisir, sa tête tourne dans tous les sens ses mains se crispent sur mes fesses nos gémissements et le bruit mat de mon sexe qui plonge dans le sien remplissent la cave, je sens la sève monter en moi.

- Hummm Cathyyyy je vais venir Hooooo c'est trop boooooooon !

- Ouiiiiiii vas-y, lâche ta purée mon amour ! Putain qu'est-ce que tu me mets !

Un deuxième orgasme terrasse Cathy, je me retire dans un râle de plaisir alors que les premières giclées sortent de mon sexe éclaboussant la poitrine et le visage de Cathy, qui voyant mon sexe à portée de main le saisit et le branle avec application en continuant de gémir, extirpant jusqu'à la dernière goutte de ma semence onctueuse et chaude. Puis alors qu'elle entreprend un nettoyage en règle de ma verge avec sa bouche et sa langue, elle me demande entre deux succions et en me faisant un clin d'œil :

- Quand est-ce qu'on peut prendre rendez-vous alors pour mon chauffage ?

Je prends son visage entre mes mains et l'embrasse tendrement pour toute réponse.


Très beau texte, lègèrement remanié, glané sur Revebebe ... que son auteur, Diablotin soit ici remercié
Lun 25 sep 2006 Aucun commentaire