Libertinage Anjou et Pays de Loire
Qu'elle soit en tout ca sremerciée pour le plaisir que nous avons eu à la lire, plaisir que nous souhaitons partager avec vous ...
J'ai 45 ans, et je suis mariée à un homme que j'aime.
Voilà quelques mois, c’était l’automne, je me suis fait draguer dans un magasin par un jeune homme d’une trentaine d’année, ans et je me suis sentie flattée. L’aventure qui s’en est ensuivie m’a fait redécouvrir des besoins sexuels que j’avais refoulés … et je me prends à fureter sur internet, à acheter des lectures polissonnes … j’ai découvert la joie que me procure la lecture d’histoires érotiques, et vais à mon tour vous conter cette histoire qui m’a révélée.
Jusqu’il y a peu, ma vie se résumait à une sourde monotonie, basée autour de mon rôle d’épouse et de mère et de femme très prise professionnellement aussi; nous faisions l'amour de temps en temps avec mon mari, mais sans grande fantaisie et je dois dire que cela ne me manquais pas, pas plus que je n’en demandais plus.
Son approche n'était ni vulgaire ni brutale: C’était les soldes, et j'étais entrain de regarder et de comparer deux robes dans le rayon d’un grand magasin, quand j'entendis une voix douce me disant que la bleu était très belle , assortie à la couleur de mes yeux et que je devais l'essayer. Mais que l’autre, vu sa coupe, devrait elle aussi très bien m’aller (elle était très échancrée dans le dos, assez sexy je dois dire …).
Surprise, mon regard croisa alors celui d'un charmant jeune et je ne sus quoi répondre. Sa façon de m’aborder, ses remarques, témoignaient pourtant de son bon gout !
Il s'excusa d'abord pour m'avoir importuné, que c'était plus fort que lui, mais que c'était réellement ce qu'il pensait.
A cet instant, j'étais séduite, un peu sous le charme, et lui répondit timidement et sans savoir vraiment pourquoi, que je n'avais plus qu'à me rendre vers les cabines d'essayage pour voir s'il disait vrai.
S'engagea alors un dialogue ludique et amusant, voire assez coquin, et j'avais la sensation d'être complètement en phase avec lui.
Je m’entends encore lui proposer de m'accompagner vers les cabines pour être sure de faire le bon choix.
Je me dirigeais alors vers les cabines et il me suivi. A peine entrée dans la cabine, je fus surprise de le voir me suivre. Avant même que j’ai pu ouvrir la bouche, un de ses doigts se posait sur mes lèvres, tandis que je sentis son autre main sur mes épaules me caresser doucement.
J'aurais dû réagir et me rebeller mais prise de frissons sur tout mon corps, je restais là paralysée. Sentant mon ‘’abandon’’, son autre main vint rejoindre la première puis les deux descendirent dans mon dos, sur mes hanches.
Il décrocha habilement le haut de ma robe qui tomba sur ma taille, puis le long de mes jambes. Je fais un 90B et mes seins tiennent encore, et ce jour là j’étais seins nus sous cette petite robe. Un reflexe me fit croiser les bras sur ma poitrine, tandis que contournant mes hanches, ses doigts s'immisçait vers mon ventre puis vers le haut de ma petite culotte.
Je lui demandait d'arrêter, lui expliquant en chuchotant que je pouvais pas , que j'étais une femme mariée , qu'il y avait du monde a l'extérieur … mais il n'avait que faire de mes remarques. Naïve que j’étais, je compris plus tard que ces scrupules n’avaient du que renforcer son désir et sa détermination.
Soucieuse de na pas lui laisser franchir la mince barrière de ma culotte, je dus découvrir mes seins et lui saisir une main.
Se faisant toutefois plus pressant, il me retourna pour m'enlacer et m'embrassa fougueusement. Je sentais alors mes seins nus s’écraser contre son blouson de cuir et je dois avouer que l’incongruité de la situation m’a excitée.
Consciente de mes actes, je me contentais alors de subir ses assauts sans vraiment me poser de questions, et je me rendis compte bien vite que ce ‘’beau gosse’’ était en train de révéler en moi un désir intense .
Je fis mine toutefois, sans grande conviction je pense, de me dégager mais saisissant mes poignets qui cherchaient à le repousser, il me retourna une nouvelle fois pour me plaquer contre la paroi de la cabine. Très vite, et habilement, une de ses mains descendit sur mon mont de venus, par-dessus la mince barrière d’étoffe , tandis que son autre main s'affairait à me caresser les seins .Je sentis que s’en était fini, que je m’abandonnais … Je ne saurais traduire le mélange des idées qui alors m’ont traversé la tête, mélange de mère attentive, d’épouse aimante et docile qui devait se refuser à cette audace, et de la femme qui sommeillait en moi et que ce petit salaud reveillait.
Je me souviens qu’un souffle de plaisir s'échappa de ma gorge ; Tous mes sens étaient en émoi et mon corps réagissait à ces attouchements . Je sentais mes pointes de seins darder, excitée qu’elle était par la situation et le froid de la paroi.
Il avait glissé sa main sous ma culotte, et déjà une doigt s’affairait sur mon clitoris … je me sentais fondre, ou plus exactement couler … j’avais l’impression que mon sexe était fontaine … je ne me souvenais pas avoir mouillé aussi vite.
Je me mis à me dandiner, lui susurrant combien sa main était bonne, combien il était doué, le suppliant de mettre fin à ce doux supplice. Je savais que ma respiration s'accélérait et témoignait certainement du contraire. Il me dit qu'il avait envie de me prendre, là , debout dans la cabine, et ajouta, un brin pervers, qu'il était sur que j'en crevais d'envie ! Il avait bien sûr raison.
Ma seule réponse fut de lui demander avec un sentiment de culpabilité de me faire jouir seulement avec ses doigts.
J'avais chaud et je n'avais plus toute ma lucidité, et je le laissais faire. Son index, expert, tournait autour de mon bouton, tandis majeur et annulaire m’avaient investis …
Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour, je vivrais une expérience comme celle-ci ; j'entendais les gens non loin de nous qui déambulaient, certains prenaient des cabines toutes proches de la notre et j'avais peur de quelqu'un nous entende et ne nous surprenne. Je pense que cet interdit a participé à mon excitation (et à la sienne …).
Quand il colla sa bouche à mon oreille pour me demander si j'aimais çà , j'étais honteuse mais lui répondis que oui, j’aimais ca, et maintenant je lui demandait de ne pas s'arreter
Les yeux fermés, je m'abandonnais tellement c était bon. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas gémir, je n en pouvais plus, il continuait à me malmener et j'affichais pleinement mon désir en cambrant les fesses, m'offrant pourtant à un homme autre que le mien. Pourtant, je n’avais pas le sentiment de le tromper.
J'avais perdue toute pudeur, le désir l'avait emporté sur la morale.
Il devenait presque brutal : il était fort et parfois allait jusqu’à me soulever presque de terre sur ses deux doigts … je sentais mes talons quitter mes fines sandales d’été.
Ce jeu, qu'il contrôlait fièrement me rendait de plus en plus folle.
Je ne me reconnaissais plus. Je l'entendais doucement me traiter de salope, que je devais être bonne, il écarta mes jambes en me disant que mon cul était "appétissant" et qu'il méritait que l'on s'occupe de lui. Il sorti ses doigts de mon sexe et de manière assez obscène, je l’imaginais tout en le sentant, les remonta dans ma raie … il me massa l’anus, et je dois dire que je me surpris à y prendre plaisir. Jamais, je n’aurai imaginé qu’un jour, je goûterais à ce plaisir là, mais à cet instant, alors que mon mari ne m’avait jamais touché là, et que mon anus restait un peu tabou, j’ai une envie quasi insolente qu’il continue. Mais il me demanada de s'occuper de lui. Me retournant, je me rappelle avoir fièrement planté mon regard dans le sien tandis qu’une de mes main allait malaxer on entrejambe. Il portait un pantalon de toile , et de découvris cette verge qui me semblait de bonne taille car il était venue la plaquer sur ma croupe tandis qu’il me tenais contre la paroi et me promettait les pires sévices et bonheurs mélangés.
Il portait un pantalon de toile, et effectivement je sentis un sexe de belle taille, comme une grosse carotte me dis-je alors ! Pourquoi cette idée ? Aujourd’hui encore, je ne sais pas mais cela a fait son petit bonhomme de chemin, et j’ai essayé plus tard avec ce légume qu’il me plait de croquer après que je me sois donné du plaisir avec ….
Je déboutonnais les boutons de son pantalon, et fis descendre sa braguette ; Ce n’étais pas facile, et il me fallait les deux mains, car le zip était très tendu par son erection. Je m’était donc accroupie, et j'appréhendais le moment ou j'allais faire jaillir son sexe. Devrais-je le prendre dans ma main, devais-je m’abandonner plus encore et le sucer … Je ne savais que faire, tout en fouillant fébrilement son caleçon.
Je le regardais ; lui aussi me regardait avec un sourire d'ange, en disant qu'il aimait les femmes qui savaient ce qu'elles voulaient, puis il demanda avec insolence :
Qu'est que tu fais, là? Dépêche-toi, j'ai trop envie de me faire sucer
Il avait ainsi répondu à mes interrogations. Le choix m’était dicté. Mes mains avaient mis à jour une fort belle verge, tendue à bloc et dont le gland était luisant. Je m'exécutais sans répondre. J'ouvris d'abord timidement la bouche avec une certaine appréhension; c’était la première fois que j’allais sucer une autre bite que celle de mon mari, et encore, à avec lui, cela faisait déjà quelques temps que nous ne nous étions plus adonné à de tels ‘’ecarts’’ ; j'embrassais doucement son gland, mais il insista
Fais moi voir ce que tu sais faire, appliques toi pour que je profite de ta petite bouche de salope
Ses paroles directes et crues me faisaient un drôle d'effet ; M’abandonnant à cet homme qui abusait de moi et me traitait ainsi de salope et de suceuse, j'avais vraiment l'impression d'en être une.
Je le suçais doucement et je sentais ses mains qui me tenaient fermement par l’arrière de la tète ; il caressait mes cheveux et donnait un rythme. J’avais l’impression excitante de n'être qu'un objet entre ses mains, qu'il se servait de moi à sa guise . Je le sentais super excité, il marquait ma fellation de :
Oui comme ça, c'est bien… j'étais sur que tu voulais te régaler , allez profite , fais toi plaisir
Il me semblait que je le suçais comme jamais j’avais sucé, sans me poser de question.
Bien que loin d'être une experte de la fellation, il vantait mes mérites et j'exécutais ses moindres désir :
... sers toi de ta langue, t'arrêtes pas ma belle , lâche toi ,... t'es une sacrée bonne suceuse tu sais...
J'avais perdu toute pudeur, c’était bon, je ne pensais plus à rien , juste à ce morceau de chair qui me rendait folle.
Toutes les frontières de mon éducation s'était envolées, mon mari était loin, mes enfants un instant oubliés.
Il me disait qu'il aimait ma bouche et quand il m'annonça qu'il voulait jouir dans ma bouche, je voulus me retirer mais il m'en empêcha fermement m'expliquant que j'allais vivre un moment inoubliable (vrai remarque de mec, non ?), que je devais l’avaler, que c'était ma récompense (sic).
Je n'avais jamais laissé mon mari me faire subir un tel traitement, car quand je m’abandonnais à la fellation avec lui, sentant son plaisir venir, je le laissais se vider sur mon cou, ou déglutissais rapidement dans un mouchoir la semence dont il m’avait tapissé le palais.
Je me sentais tout autant humiliée par cet homme qui faisait de moi sa chose, et en même temps je vivais un moment intense dépassant les limites que je m’étais jusqu’alors autorisées.
Assez bestialement, me tenant fermement la tête sur son pieu, il explosa en un long râle puissant ; un première vague de semence m’inonda jusqu'a la gorge, puis un deuxième jet puis un troisième, je crus qu’il n’arrêterait jamais. J’avais la bouche pleine de son foutre, et me plus ne pouvant recracher, et hésitant encore à avaler, à la faire tourner dans ma bouche … Sa semence était âpre, d’une consistance assez épaisse … Je me dit qu’en fait, il avait raison, j’aimais ça ! Il gémit encore, tendant ses hanches vers mon visage comme pour un dernier aller-retour, et me félicita de ma prestation.
Ma bouche était remplie de son sperme chaud, dont un filet, je le sentais, s'écoulait sur mon menton. Je m’essuyais du dos de la main, tandis que j’avalais. Il y en avait tellement que je me rappelle avoir eu un léger haut le cœur … mais ce n’était pas désagréable.
Je repris doucement mes esprits et réalisait peu à peu ce que je venais de subir : je venais de faire jouir un homme dans ma bouche et j'y avais pris du plaisir.
Jamais je n'aurais imaginé un jour vivre une telle expérience et je n'arrivais pas à expliquer mon geste.
J’arrêterais là mon histoire … la suite en est une autre, et les découvertes que celle-ci m’ont poussé à faire seront peut être prochainement couchées sur papier.
Je répète ma phrase d’introduction … J'ai 45 ans, et je suis mariée à un homme que j'aime. J’avoue que cette liberté découverte a aussi remis un peu de piment dans notre couple : mon mari ne s’en plaint pas … il peut maintenant jouir dans ma bouche, et je lui ai fait cadeau de mon anus (car je crois que jamais de lui-même, il n’y serait venu … Poids de nos éducations, des préjugés … cela a été une découverte forte pour nous deux, et il m’a confié queje lui avait fait un superbe cadeau ….)
En revanche, je ne sais comment lui faire découvrir bons nombres de fantasmes que je nourris maintenant et que je voudrais réaliser avec lui … j’ai peur qu’il ne comprenne pas, qu’il me prenne pour ce que je ne suis pas, même si je veux maintenant assumer ma quête du plaisir pleinement.
Bravo,continue et viens m'en raconter d'autres, et peut être à Vannes
je t'attends,surtout si tu es une belle bourgeoise prête à tout
à bientôt
Marcel, artiste peintre