Libertinage Anjou et Pays de Loire
Ce soir là, un vent de fatigue était passé sur la maison….
C. était rentrée tard d’un déplacement de deux jours sur Brest, et moi, après une journée assez stressante, je m’étais occupé des enfants, de la maison, du repas du soir tandis qu’elle arrivait … bref, ce qu’elle faisait souvent ! J’aimais me retrouver confronté à ces moments, car ils me rappelaient alors combien C. ’’assurait’’ d’habitude !… devoirs pour les plus grands, bain pour les trois, pyjama, repas du soir quand C. nous avait rejoint …
Vers 22 heures, tout retomba dans un semblant de calme. Nous avions mangé, les enfants étaient couchés et nous avions pris place sur les canapés du salon.
C. s’était allongée sur le canapé rouge, enroulée dans un plaid polaire et regardait d’un œil le téléfilm de ce lundi soir d’hiver.
Je m’étais calé, moi aussi, et feuilletant nonchalamment une magazine, je jetais de temps à autre un œil, intéressé par l’intrigue assez complexe de ce policier à tendance mystérieuse…
A la fin du film, je regardais tendrement mon épouse. Elle s’était endormie, épuisée …
Belle, calme, paisible, blottie sous l’étoffe polaire, je n’osais la réveiller de suite.
Je n’avais pas vraiment sommeil, et, ayant pris soin de baisser le son de la télé, je zappais sur les programmes du soir.
C’est ainsi, en ‘’remontant’’ les chaines, que je tombais sur une chaîne adulte, qui diffusait des films à caractère pornographique pendant la nuit.
Les seins d’une magnifique blonde avaient envahis l’écran, seins pleins, fermes et généreux qui glissaient leurs pointes turgescentes sur le gland violacé d’une bite imposante. La blonde incendiaire emprisonnait maintenant le pieux de chair tendu dans ses globes parfaits et imprimait sur se dard le plus affolant des va et vient… elle se laissa glisser, et ses lèvres charnues, rouge d’un gloss brillant vinrent englober le membre vigoureux. Sa langue tourbillonnait autour du capuchon, descendait sur la tige, s’attardait sur les bourses, léchait le périnée, et remontait sans cesse sur le mat de son amant. La queue disparaissait lentement dans cette bouche avide, comme si elle eue voulu l’avaler en entier.
La caméra tournait autour des tourtereaux de circonstance, faisant voir ça et là la pipe magistrale, ou parfois un zoom sur l’abricot de la belle, ouverte de plaisir qui semblait ruisseler de bonheur et dans la fente duquel s’agitaient des doigts fins et agiles ….
L’effet de ces images sur moi ne se fit pas attendre… Mon sexe s’éveilla, se leva, s’étira et me dit gentiment que, si ma femme dormait, lui était bien en forme…
Je m’installais plus confortablement, non pas sans avoir vérifié la véracité du sommeil de C. en l’appelant doucement, une main sur l’épaule.
Sa réponse fut claire et précise : « Bzzzzzz »… Elle était belle et bien dans les bras de Morphée.
Je m’installais donc le mieux possible avec quelques coussins qui me soutenaient tandis que je me couchais. Allongé sur le coté, appuyé sur un bras, j’avais pris soin de retirer mon pantalon pour être tout à fait à l’aise.
Les yeux rivés sur l’écran, je voyais la fellatrice blonde, engloutir le pénis tout luisant de salive, et doigter doucement l’anus de l’homme offert.
Ma main commença à s’agiter sur le doux tissu de mon boxer. Je sentais ma verge tendue, emprisonnée par l’étoffe, légèrement orientée à droite. Je la caressais du bout des doigts, montant le long de la veine que je sentais, venant parfois emprisonner mes couilles dans la paume de ma main. J’aime me caresser et nous ne faisons parfois ensemble, C. et moi, s’exhibant mutuellement par notre quête du plaisir. Très vite, mon sexe franchi la barrière de l’élastique et vint se dérouler sur mon bas ventre. Je retirais mon boxer pour être à l’aise. Maintenant, ma main courait autour de ma bite dressée, je caressais mes bourses, suivais les mouvements de la blonde du film, j’imaginais C. s’afférant sur mon ventre…
Comme s’est excitant de se branler doucement sur de telles images, tout à côté de celle que l’on aime et qui peux à chaque instant sortir de sa torpeur. Mon érection n’en était que plus vive. Voulant vivre un très beau et bon moment, je me levais pour aller chercher le flacon d’huile essentielle avec lequel nous avons plaisir à jouer, de temps à autre. De retour, je me réinstallais confortablement, et enduit ma main de l’onguent avant de venir emprisonner ma verge. Quelle délicieuse sensation que de la sentir coulisser dans le fourreau crée par ma main ; Elle était, ma main aussi, beaucoup plus douce, plus chaude et glissante…
Je regardais tantôt le sexe qui s’affichait sur l’écran, magnifique, ouvert et perlant de désir avide, tantôt ma verge turgescente qui glissait dans mes doigts.
Rien d’autre n’existait plus que ce désir de jouir, ce plaisir solitaire que je sentais venir et que je retardais pour l’apprécier plus fort. L’actrice avait vraiment un très beau sexe, comme un fruit mur, qui se serait ouvert sous les rayons d’un soleil d’été. Ses lèvres étaient ourlées, ouvertes de chaque coté de l’ouverture de son vagin comme pour en marquer l’entrée, comme deux triangles de chair rosées et vraisemblablement tellement bons à prendre dans sa bouche. Nous aimons beaucoup des jeux là, avec C. et il me plaisait d’imaginer ce cunnilingus que j’aurais tant aimé faire. Plus haut, au sommet de cette fourche, se cachait un adorable petit clitoris qui semblait – réalité ou simulation de l’actrice ? – extrêmement réactif à en juger par les gémissements qu’elle lâchait à chaque fois qu’elle sollicitait son petit bouton.
Toute mon énergie était concentrée sur ma queue, tendue sur mon ventre et qui dans ma main, grossissait encore sous mes caresses. Mon ventre me brûlait, ma tête était remplie des râles et des images des acteurs sur l’écran. Je me voyais baiser C. sans retenues, sans aucune pudeur, du sexe à l’état pur.
Les phrases les plus folles me venaient sur les lèvres.
Tu la sens, ma bite ? tu sens comme elle est dure ? Tu aimes que je te prenne comme celà ? Ohhhh, ouiiii ! Je vais exploser tout au fond de ton ventre...
ou encore, lui prenant la tête et se beaux cheveux
Oui. Suce moi encore, aspire bien mon gland…
Elle me répondait :
Oui, F., prend moi… écarte moi… Baise moi…J’aime ta bite, j’aime quand tu me laboures comme ça
ou encore…
Fais moi jouir de ta langue… Bouffe moi la chatte…C’est bon, je te sens bien… Tu veux que je te doigte mon amour ?
Toute ma fantasmatique était à fleur de peau…
Les vagues de plaisir arrivaient lentement, je ralentissais le mouvement régulier de ma main sur mon sexe… ne pas jouir tout de suite, me laisser emporter seulement quand je l’aurais désiré, maîtriser cet orgasme qui s’annonçait violent… Des gouttes perlaient sur le sommet de mon gland, des gouttes d’un liquide tellement doux qu’il vaut toutes les huiles … Je venais recouvrir mon gland pour le décalotter ensuite, renouvèlement le lubrifiant de ma hampe.
C’est un mouvement presque imperceptible qui me ramena à la réalité. Quelque chose avait bougé dans la pièce, mais quoi ?...
J’arrêtais ma branlette et le souffle court, je restais immobile …
Et si C. s’était réveillée ?... je n’osais me tourner vers elle... Non ! je l’aurais senti de suite… je regardait néanmoins dans sa direction, et ne vit que sa silhouette dans la pénombre de la pièce… Elle dormait encore…
Cette sensation était bizarre : comme si je craignais d’être pris en flagrant ‘’délit’’ par la femme que j’aimais tant et avec qui nous vivions une tellement belle relation, d’Amour, de désir, de passion, d’une sensualité délicieuse et d’une sexualité dont il nous plaisait d’aller découvrir quelques zones restées encore bien secrètes. Pourtant, je me sentais comme un adolescent craignant d’être surpris en train de se masturber devant son premier livre porno.
Lentement je repris ma caresse : cette fois sur l’écran, la bite du jeune homme forçait en gros plan et sans mal les petites lèvres imberbes de l’abricot juteux…
Encore une fois, comme un léger murmure, quelque chose bougea. Mais cette fois le bruit fut plus précis, comme un frottement de tissus… Il me sembla que C.… La scène à la télé avait encore changée ce qui augmenta un peu la clarté du salon… Je tournais lentement la tête vers le canapé rouge.
A ma grande surprise, C. ne dormait plus. Elle s’était relevée, face à moi, le regard embué, les cuisses grandes ouvertes, elle se caressait. Malgré la pénombre, ses yeux plongèrent dans les miens et elle commença à bouger le bassin dans ma direction… Je voyais parfaitement ses doigts agacer son clito, le pinçant doucement, le frottant de mouvements circulaires de son majeur; elle s’écartait les petites lèvres de son autre main, comme pour m’offrir ce spectacle, et ne s’arrêtait que pour plonger ses phalanges expertes dans son puit de bonheur. Sa chatte toute gonflée ruisselait de désir et semblait m’appeler.
Sans un mot, je glissais du canapé et m’avançais à quatre pattes, par terre, jusqu'à ce que mon visage soit à dix centimètres de la vulve trempée. De ces deux mains, elle remonta ses petites lèvres qui eurent pour effet de faire surgir son bouton d’amour, plus en avant encore.
La scène qui auparavant se jouait sur l‘écran s’étalait maintenant devant moi, devant les yeux ébahis … je pouvais sentir l’odeur acre de son suc, ressentir le plaisir qu’elle ressentait, cambrée en arrière, toute à son activité coquine.
L’invitation était trop belle et, lui entourant l’arrière des cuisses de mes mains, je me rapprochais jusqu’à venir poser ma bouche affamée sur cette grotte divine. Ma langue n’eu aucune difficulté à trouver son petit capuchon érectile que j’entrepris de sucer avec le plus grand soin. Ses mains s’accrochèrent dans mes cheveux, son bassin se colla à mes lèvres et j’entendis avec surprise et un bonheur immense…
Oui… oui comme ça… oui, bouffe moi… ooouui !!! Oh F. bouffe moi la chatte… fais moi jouir…encore… aah, c’est bon… aahhh je t’aime mon Amour…
Elle étouffa un cri, et je senti le liquide chaud de sa jouissance couler sur mon visage, tandis que son bassin partait dans tous les sens ; elle s’abandonnait à l’orgasme dévastateur qui explosait son ventre…
Quelques secondes après, elle se rassit dans le canapé rouge, et me releva fermement ; Je me retrouvais alors debout devant elle, la bite à la hauteur de sa bouche gourmande et je senti sa langue glisser sur le méat du gland, puis la chaleur torride de ses lèvres pulpeuses qui aspirait la hampe de mon membre tendu.
De quelques doigts fripons elle caressait mes bourses, et pétrissait mes fesses d’une autre main coquine.
Je voyais dans la pénombre sa tête aller et venir, et je sentais ma queue de plus en plus sensible tourmenté par sa bouche, elle posait ses lèvres sur le somment humide de mon brugnon rosé et les laissait couler autour du pieux de chair, remontait doucement et descendait encore toujours un peu plus loin….
Elle se passa les doigts dans sa chatte encore chaude pour prendre sur ses doigts son liquide soyeux et vint me caresser d’abord le périnée puis, un peu plus audacieuse, elle massa délicatement mon petit trou …Au moment même ou elle englouti ma bite dans une aspiration folle, elle poussa son index au plus profond de moi… Ce fut mon tour alors de me lâcher enfin
Ah, mon cœur, que c’est bon. Qu’est ce tu me suces bien… Oui. Aspire doucement… Oui…Tu vas me faire jouir…
Elle se releva, et me poussa à m’asseoir sur la table du salon. M’enjambant d’un mouvement rapide et sensuel comme dans une scène digne des plus beaux films X, elle vint s’empaler sur mon épée de jade…
Sa bouche se souda à la mienne et tout éclata autour de nous… L’orgasme fut si violent que j’en aurais hurlé, Les vagues déferlaient plus puissantes chaque fois, de plus en plus brûlantes, incontrôlables et folles… Elle s’écoula enfin tout contre mon épaule me serrant dans ses bras.
Si nos corps aient eu leur compte d’émotions, nos cœurs étaient encore à se dire
Je t’aime,
et nos baisers restaient aussi fougueux et passionnés….
Tendrement, main dans la main et les yeux dans le vague, nous éteignirent la télé, et allâmes nous coucher, épanouis et heureux. Le lendemain matin, alors que nous n’avions que peu de temps, je la sentis, chatte, venir se lover en petite cuillère contre moi. L’érection matinale aidant, et guidé de ses doigts agiles qui emprisonnèrent mon gland alors qu'elle me glissait, mutine :
Alors, toujours prêt !?
je vins me planter en elle … elle bougeait son adorable petit cul, tendait sa croupe pour ressentir plus encore la pénétration … Son cocon d’amour était encore chaud, encore humide de nos ébats de la veille. J’aimais cette sensation, imaginer glisser dans un mélange de foutre et de son excitation. C’était chaud, doux, autour de mon sexe. Je la pris par la taille pour la besogner plus encore. Ce matin là, elle était très animale, voulant sentir mes assauts. Plus je la sentais venir vers moi, et plus j‘avais envie de la prendre, fort , de manière un peu rustre. Et quand elle me supplia :
Viens ! Viens mon Amour, baise moi … Baise moi, je suis à toi, je suis ta femme, ta maitresse … Viens, arrose moi ! Couvre-moi de ton jus. J’ai envie de te sentir en moi. J’aime être salope …
Ces derniers mots, qui restent gravés en moi comme le plus beau des bijoux resterait dans son écrin, finirent de me faire perdre pied. Je sentis la vague du plaisir monter, dans le haut de mes cuisses pour rayonner dans mon bas ventre … J’eu l’impression d’éjaculer un nombre incalculable de fois (ah ces mecs, toujours vantards !!! :) ) tandis qu’elle me malaxait les couilles comme pour en leur faire sortir le maximum de jus.
Elle n’était pas venue, mais se lova contre moi et nous échangeâmes de doux baisers, de tendres calins … bien vite, le quotidien repris le dessus et nous dumes nous lever et courir pour préparer les enfants …
La vie quotidienne, après ce délicieux intermède, reprenait son rythme infernal.
Pourtant, cet après midi là, elle m’envoya un SMS :
Si tu passais passais par le vidéoclub, peut être peux tu y prendre un film …
Librement adapté et personnalisé sur la base d’un très beau récit de Mick, coquin du Var. Merci à lui
J'adore.
c'est toujours un plaisir de lire ces textes!
Merci pour ces petits moments de détente ( enfin pas partout!)