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Bienvenue !
Bonjour ! Vous êtes nombreux, coquins et coquines a être venus vous encanailler ici ! On espère que celà vous plait. Enthousiastes ou décus, dites le nous ! Un comm' ne prend que quelques secondes, mais c'est notre carburant et le moyen de s'améliorer. Biz
Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement
mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !
A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle
plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de
nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.
Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais
aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …) de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de
famille.
Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse
route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …
Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X !
seul importe ce qu’il en ressort).
Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait
pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne
sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire
…
A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...
Bisous coquins et libertins d'Angers !
PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous
voyageons beaucoup et régulièrement ...
Si les personnes possédant les copyrights sur les photos ou les textes ne souhaitent pas les voir figurer dans ce site, qu'elles nous préviennent, nous les
retirerons. Copyrights of all articles and images belong to the respective copyright holders. No infringement of their copyrights are intended. If the copyright holders do not wish to have
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Un petit clin d'oeil pour un ami qui nous est cher ... en
espérant qu'il lui arrive à temps ...
(desolé pour les 1ers lecteurs ... un pb avec Firefox nous a zappé le texte ...)
20 heures…le cœur à 2000 je m’engouffre près d’Anna dans la voiture. La clé dans le contact je souffle un grand
coup.
- Ca va ? me dit
Anna tout bas
- Oui, juste un peu de trac …
- On laisse faire les choses et nous verrons bien … elle esquisse un sourire
- Pourquoi souris-tu ?
- Oh, pour rien … ou plutôt si : je trouve un brin cocasse que je
doives te rassurer pour quelque chose que tu voulais
- Oui, c’est vrai … tu es plus objective que moi…
Un petit crachin d’hiver macule le pare brise et nous traversons tranquillement la ville par cette nuit froide
de décembre… En contrebas, les silhouettes sombres des navires de guerre font de larges taches, sinistres.
On a quitté la ville, longeons les boulevards et nous arrivons maintenant sur les hauteurs de l’agglomération,
sur la route du Conquet.
Une route étroite, un lotissement et l’impasse « des lauriers roses » (original ici, pas sur qu’il en pousse
beaucoup !) décrite par Claire…
- N’oublie pas la tarte aux pommes ! me dit Anna en
refermant sa portière...
Le petit portail de fer forgé blanc est ouvert et le perron allumé. Nous franchissons rapidement les quelques
mètres qui nous séparent de l’entrée et sans même avoir frappé, la porte s’ouvre sur le sourire radieux de Claire…
- Vous êtes pile poil à l’heuredit elle ravie.
- Bonsoir… Claire… Enchantée
C’est une très belle femme d’une quarantaine d’années, de taille moyenne et pulpeuse à souhait, sobrement
maquillée, cheveux blonds coupés au carré, elle porte un petit pull noir et une micro jupe de skaï laisse voir des jambes magnifiques gainées de bas résille…
- Entrez vite, il fait
un froid de chien …
- Bonsoir… !La voix grave et posée de Jean résonne dans le hall
- Allez on se fait la bise … rajoute t’il avec un large
sourire…
Nous nous embrassons tous les quatre comme des amis de toujours.
Il fait bon chez eux. Dans le salon aux lumières soigneusement tamisées, deux grands canapés de velours rouge
entourent une vaste cheminée de pierres blanches ou quelques flammes ardentes lèchent lascivement une bûche de chêne.
- Je vous débarrasse de vos manteaux, je vais les poser dans notre chambredit Claire
- Moi je sert l’apéritif, asseyez vous… Champagne ?
Anna prends place près de moi et saisit délicatement la coupe tendue par Jean.
Les coussins sont très moelleux et le canapé assez bas, Anna tire doucement sur sa robe de laine noire pour
recouvrir un peu ses cuisses que la position a à un moment, dévoilés jusqu à la lisière de dentelle de ses bas.
Claire de retour de sa chambre est passé par la cuisine pour en ramener des pâtisseries orientales dorées et
parfumées.
- J’espère que vous aimez … l’exotismedit elle en souriant.
- Ah ! glisse Anna vous jouez sur la corde sensible, nous adorons aussi ce genre de douceurs.
- Voilà déjà quelques chose que nous partageons
Les deux femmes éclatent de rire.
Claire contourne la table et passe devant nous.
- Excusez moi un instant. Elle glisse d’un pas félin, de coté, en prenant soin de nous dévoiler un infime partie de ses atouts. Elle se penche légèrement pour poser ces mets fins et je peux contempler
de très près le galbe de ses cuisses parfaites, l’arrondi de ses fesses à peine cachées par la seconde peau de sa trop courte jupe. Elle s’enveloppée d’un Guerlain enivrant et sensuel aux
fragances suaves.
Jean, souriant, me jette un regard complice en me tendant une coupe…
Un peu troublé, je saisis avec maladresse le verre, tout en remerciant Jean, ce qui a pour effet de faire rire
Claire. Elle se retourne vers moi. Son regard s’allume et ses yeux pétillants et coquins plongent dans les miens…
- C’est vrai…. C’est une première pour vous…En quelque sorte presque un baptême…dit elle…
- Votre champagne est excellent
- Merci répondit Jean
- Au travers de nos
rencontres libertines, nous avons eu le plaisir de le découvrir grâce à des vrais connaisseurs. Depuis, il nous accompagne et nous le partageons à notre tour…Une autre coupe ?
Claire a pris place auprès de son époux, elle lève son verre à l’amitié coquine et à notre
avenir.
- A cette soirée qui s’annonce ...
Jean est bel homme, ses cheveux poivre et sel trahissent quarante belles années, peut être un peu plus, et son teint halé laisse deviner un amoureux de la mer. Une chemise rose pastel, un
pantalon de toile, un soupçon d’Anthéus ; il affiche l’image d’un homme responsable, courtois et posé.
Pendant quelques minutes, le silence se fait… Un silence fait de promesses… De non dit ?…
Anna serre toujours ma main, elle boit son champagne par petites gorgées, un sourire coquin brille dans ses
yeux verts.
Claire s’est rapprochée de Jean… Un éclair passe dans son regard mutin.
- Servez vous ! Je vous en prie … usez et abusez de ces pâtisseries… Le Maroc est un pays ou les plaisirs sont raffinéselle se love contre son
mari - Nous y avons également découvert les vertus du hammam et à notre retour de vacances, Jean m’a fait ce cadeau extraordinaire, un espace détente FA BU
LEUX avec hammam tout en faïences, jacuzzi et salon de repos… Ca vous dit ?
La question est directe.
Ca commence là me dis-je… Mon cœur bat la chamade et je regarde
furtivement Anna comme pour chercher une quelconque approbation… Elle, elle se lève déjà…
- J’en rêve…. Vraiment ?
- mais bien sûr …
- Alors, c’est avec plaisir
- Je vous fait visiter ?… Vous ferez attention à l’escalier, il est un
peu raide…
Anna emboîte le pas de Claire et je passe devant Jean pour suivre notre charmante hôtesse. La montée des
marches derrière ces deux femmes, à la vue de ces 4 magnifiques jambettes prometteuses est un régal …
L’espace détente est grand, magnifique…. Les faïences des murs chantent dans les bleus et les ocres, un tapis
de coco recouvrent totalement le sol ou quelques coussins et poufs tranchent de leur rouge brun. Posé à même le sol, pratiquement au milieu, trône un matelas épais recouvert de skaï blanc de deux
mètres sur deux.
Dans l’angle, le jacuzzi. Il semble sortir de terre encadré par quelques plantes verte.
- Il a une capacité de quatre à cinq places, l’eau à 35°, on y est très bien
A peine un mètre à droite de ce bain bouillonnant, une porte de verre laisse deviner le hammam
attendu.
Claire nous tend deux grands draps de bain pêche et nous invite à passer derrière un paravent indonésien pour
nous mettre à l’aise.
Nous nous déshabillons en hâte et enroulé de nos nouveaux attraits nous rejoignons Claire et Jean.
Claire nous attend. Jean, lui, est déjà dans la pièce chaude.
- Entrez ! soyez à l’aise …
D’un geste rapide elle ôte la serviette qui lui sert maintenant de robe et ouvre le sésame provocant un nuage
de vapeur parfumé aux huiles essentielles. Nous la précédons dans la chaleur humide.
Une seule applique diffuse une lumière rouge orange. On devine plus que l’on voit et j’avance à petits pas dans
cette douce obscurité.
Il me faut quelques minutes pour que mes yeux s’habituent à cette nouvelle luminosité.
Le hammam, de dimensions modestes, offre néanmoins de larges plages de repos…
Jean s’est installé sur la plus haute. A demi allongé sur le coté, nu, presque impudique, il dévoile un corps
svelte, musclé et entretenu… On peut voir son sexe de dimensions plus qu’honorable, à la pilosité soignée, encore endormi, reposant sur sa cuisse.
Claire se colle presque dans mon dos, je sursaute, un étrange frisson parcourt tout mon corps…
- N’ayez pas peur… ce n’est que moi !
Elle rejoint féline son amant de toujours et, lui tournant le dos, s’allonge contre lui.
J’admire sa silhouette gracile, sa cambrure affolante, ses seins lourds, généreux, son petit ventre rond… C’est
une femme femme… Et les années passées n’ont fait qu’embellir ce corps fait pour l’amour…
Anna me regarda avec beaucoup de tendresse, elle me sourit, coquine, me prend la main et m’entraîne sur le coté
du hammam presque face à nos hôtes.
Claire chuchote quelques mots à son mari et s’enfonce un peu plus dans ses bras.
Lui, masse doucement les épaules de son épouse, ses mains descendent, glissant jusqu’au poignet, remontent
jusqu’au cou et repartent encore…. L’une passe alors sous le bras de Claire et délicatement vient souligner son sein, s’égare sur le ventre allant jusqu'à frôler le tout petit triangle qui orne
son pubis savamment épilé. Puis, repart en suivant une hanche, revenant sur le ventre ou taquinant encore la fine toison blonde.
Claire ronronne. Un sourire accroché sur ses lèvres pulpeuses. Elle tourne la tête et la bouche de Jean se
colle à la sienne. Je vois les doigts de l’homme courir sur tout son corps essayant ça et là de trouver un passage. Claire relève sa jambe imperceptiblement permettant à l’intruse d’atteindre
sont minou. La main de son époux se fait plus insistante et ne quitte que peu son doux mont de vénus.
La chaleur qui monte n’est pas seulement due au bain de vapeur…
Sans les quitter des yeux, ma main suit la courbe de la cuisse d’Anna. Comme par réflexe, elle resserre ses
jambes. Je me tourne alors vers elle, déposant un baiser trop sage sur sa joue.
Ces yeux coquins brûlent de mille et une flamme... Nos bouches se cherchent… Elle joue un moment, ses lèvres
sur les miennes refusant à ma langue l’accès à son palais… Je glisse et re glisse sur l’émail de ses dents quand dans un mouvement elle me serre contre elle et aspire ma bouche dans un baiser
ardant. Mes mains courent partout sur ce corps alangui mais ne peuvent toucher ni les seins ni le sexe. Anna rit, me taquine, empêche toutes caresses...
- Chuuut… Tu vas te calmer…. On n’est pas pressé…
Comme elle a raison….
Dans l'attente de la suite .... et en souhaitant bonne
soirée à notre complice ...
Nous avons envie de partager avec vous, avec ces coquins qui ontl'envie de voir leurs
femmes, leur complice, leur moitiée, l'Amour de leur vie, la mère de leurs enfants mais celle qui reste leur maitresse, s'abandonner dans les bras d'un autre, mais aussi avec vous coquines, qui
plus ou moins hardies nous lisez, cette belle histoire glanée au fil de nos visites virtuelles ...
Elle nous est proposée, et rédigée, par des coquins du plat pays ... qu'ils en soient ici remerciés ....
Un samedi soir tandis que nous rentrons d'un souper chez des amis, un arrêt pipi s'impose, sur une aire d'autoroute prés de Tournai en Belgique.
Je sors du véhicule et tandis que je me soulage, remarque à l'entrée du petit bois qui borde l'endroit où nous stationnons plusieurs hommes regardant dans notre direction. L'endroit doit être
réputé mais nous n'en savions encore rien; Soudain, 2 hommes s'approchent et commencent à se masturber.
Mon épouse revient des sanisettes, les remarque et indignéese précipite vers la voiture, en m'obligeant à la demarrer au plus vite. Alors que nous quittons le parking,
ma main sur sa cuisse, je la caresse pour la rassurer ... je ne sais que penser, partagé entre réelle indignation de sa part, ou bien posture, liée avec toutefois une certaine excitation d'avoir
saisie cette scènes, ces sexes masculins ... progressivement, je remonte sous la petite robe qu'elle porte ce jour là; bientôt, et sans qu'elle ne proteste, je rejoins la limite de ses bas auto
fixant, qui alors laissent place à un doux morceau de peau que je caresse ... remontant encore plus haut, je sens l'humidité de son sexe. Mon doute n'est plus permis ...
- Cela t'as fait de l'effet on dirait…
- Non pas du tout…
- Mais pourtant ça chauffe on dirait !
- Non non !! me répond-elle
Nous poursuivons notre route avec toujours ma main sur sa cuisse qui remonte à la lisière de son adorable petite culotte.
Je ne lui revèle rien, mais j'ai comme l'impression qu'une voiture nous a suivie ... je ne veux pas l'affoler !
Après plusieurs kms un parking est annoncé, je m'y engage, me gare prudemment ...
- Que fais-tu ?
- j'ai envie de toi ...
- là, maintenant ?
- oui ....
Nous sommes garés, je l'ai enlacée et tout en l'embrassant fievreusement, baiser auquel elle répond amoureusement,je reprends mes caresses sur ses jambes : je lui relève le bas de sa robe et
lui retire son joli petit slip de dentelle afin d'accéder à son sexe, quand soudain mon regard est attiré à l'extérieur.
Un des deux hommes de tout à l'heure, vraisemblablement conducteur de la voiture que je pensais nous avoir suivi, se regalait de la scène qui se déroulait sous ses yeux ... il avait re-sorti
son membre, et se caressait.
Elle ne put l'ignorer, et son regard suivant le mien, elle fut d'abord prise de panique et remis machinalement sa robe sur ses cuisses ...
Je repris mon baiser, qu'elle me rendis, et repris mes caresses ... elle se laissait faire aussi je parvins à lui remonter et recommença mes caresses sur son adorable petit abricot qui
s'humidifiait de plus belle.
Rassuré sans doute par notre acceptation tacite,l'hommes'approchât de la vitre de son coté et se masturba de plus belle en contemplant ma femme qui feignait alors de l'ignorer,
se laissant caresser par son mari devant lui...
Pourtant, assez vite elle tourna la tête ... Je surpris le regard de ma femme sur ce membre, et alors qu'elle le regardait jaillir et disparaitre dans la paume de l'homme, je lui demandait si elle
voulait ouvrir la porte ! Ce fut trop ... elle me menaça de tout arrêter, je repris donc mes caresses mais je sentais toutefois l'excitation monter en elle ... Très vite, je me penchais sur elle,
et tandis qu'elle écartait les jambes sous la pression de mes mains, je vins plonger mon visage sur son mont de venus à la douce toison ... je commencais à jouer avec ses lèvres, cherchant à saisir
de la pointe de ma langue son petit bouton ... Elle se laissait aller, je la sentais avancer son bassin !
Quelques instants plus tard, je reformulais ma demande : toujours un refus mais cette fois, son regard ne quittait plus ce membre a quelques centimentre de son visage. Je decidais donc d'ouvrir un
peu sa fenêtre ... idée qu'elle ne repoussa pas ...
Aussitôt , habilement une main vint s'approcher de son visage et commença à lui caresser la joue alors qu'entre ses jambes, je lui dégustais son sexe trempé de cyprine.
Après quelques dizaines de sec, une ou deux mn peut être, j'ouvris complètement la vitre de façon à laisser plus d'aise à ce jeune homme qui s'empressa de passer la tête afin de la prendre dans ses
bras et de la caresser plus ouvertement, tandis que je restais entre ses cuisses pour lui procurer du bien être. Toutefois, relevant la tête souvent, je ne pouvais m'empecher de la regarder
yeux mi-clots, tête rejetée vers l'arrière, poitrine ondumlant au rythme d'une respiration rapide. Je fixais également les mains de cet homme avec lequel nous n'avions pas échangé un mot, je les
regardais prendre peu à peu possession des seins de ma femme.
Tendrement, sans la brusquer, il lui avait ouvert quelques boutons afin de découvrir son soutien gorge et ainsi avoir le privilège de passer ses doigts en dessous pour mettre à nus sa magnifique
poitrine dont les pointes s'érigeaient, signe de son abandon et de sa volonté de jouir de ces 4 mains qui parcouraient son corpssublime.
Notre complice ouvrit la portière afin d'être plus à l'aise dans ses caresses et aussitôt mon épouse, la mère de mes enfants, empoigna son membre bandé pour le branler. Je sus que nous venions de
franchir une étape quand, alors que je lui tendais un preservatif, elle s'employa à le dérouler sur la tige qui lui faisait face ...
Moi, je m'assis sur mon siège et les contemplais : les mains de l'homme descendirent entre ses jambes et il la masturba, de deux doigts plantés dans ce petit vagin que je connais si bien et qui
s'ouvrait maintenant à d'autres mains.
Habile, tendre et très coquin, il débusqua rapidement son clitoris et su si bien le caresser qu'elle se mit à gemir, juste sous mes yeux pendant qu'elle le suçait en cadence ... mais déjà
d'autres curieux arrivèrent
- Je connais un endroit plus calme si vous voulez, nous dit-il.
Je regardais ma femme haletante, la main de l'homme toujours enfouie entre ses cuisses et elle avec sa queue bien en main alors que, surprise, elle avait cesser de le sucer.
- Tu as envie ? lui demandais-je ?
Elle se défendit mollement ... il comprit que celà pouvait être un accord, et me glissa les consignes ... il partirait, sortirais à la première, tandis que nous continuerions jusqu'à la
suivante ... la route allait suivre la 4 voies, et il convergerais vers nous ... il était convenu que nous nous retrouvions à la station Esso que nous ne pouvions manquer, ceci afin de perdre
d'eventuels curieux ...
Le stratagème marcha, et bien qu'elle ai feint un remords me demandant de rentrer, je suivis la route indiquée et nous le retrouvames ... nous le suivimes ensuite quelques kilometres et en bordure
d'un canal, il stoppa, moi derrière lui.
L'endroit était effectivement désert, même un brin lugubre ... je crains que ceci ne la refroidisse rapidement aussi sans tarder, et alors qu'il nous avait rejoins, nous reprimes nos caresses sur
son corps dénudé : une main entre les cuisses de ma femme, il repris sa masturbation mais très vite, fit comme je le faisais auparavant, il s'agenouilla, et vint plaquer son visage sur ses cuisses
... étonné, et terriblement excité, je la vis lui faciliter la tache, se tournant vers lui ... tandis qu'elle se penchait, prenant place tant bien que mal entre l'aumonière et le levier de frein à
main pour m'honorer de sa bouche. Je pu ainsi admirer ma femme, lui la tête entre ses cuisses largement écartées, se faisait brouter par un inconnu pendant qu'elle me suçait.
Puis, voulant changer de position, je m'extirpais et sorti ... faisant le tour de la voiture, et alors qu'il s'était aussi relevé, je lui tendis le bras et elle se deploya ... lui était
appuyé sur la portière, le sexe au garde à vous; il était en train de se derouler un capuchon. Manifestement, il avait quelques idées derrière la tête, et voyant celà, moi aussi !
Je la positionnais de telle manière qu'elle se penche sur sa verge tout en me tendant sa croupe et c'est ainsi que ma petite femme sage se mit à le sucer tandis que moi derrière, je prenais
profondément son vagin détrempé ...
Elle semblait avoir mis au placard toutes les inhibitions qu'elle pouvait montrer jusqu'alors ... désirant prendre le petit plaid et nous allonger, je quittais son fourreau humide et alla vers le
coffre de la voiture. Même si je n'avais pas mis longtemps, je fut surpris de la retrouver dos à lui, se faisant prendre debout, sa queue profondément enfoncé dans sa petite chatte.
Elle était cambrée vers moi, ses grands yeux semblant implorer mon assentiment, comme pour chercher un semblant d'absolution : tu vois, je l'ai fais ... mais ce n'est pas moi, cest toi qui l'a
voulu ...
Elle savait bien que j'étais aux anges ! Ma femme, là, devant moi, se faisait baiser pour mon plus grand bonheur
Cette aventure, dont elle reconnu qu'elle avait pris un enorme plaisir, sans doute encore grisée par les bons vins que nous avaient servis nos amis (s'ils savaient ...), nous donna une complicité
sans égal et surtout nous fit connaitre bien d'autres aventures avec en prime toujours plus d'Amour ..
Merci à leurs auteurs, qui nous excuserons d'avoir légerement remanié ce texte pour en
assurer quelques transitions ...
A bientôt ... Claudie ne vous fera pas attendre trop longtemps ...
On ne le pensait pas comme ceci, animé du fantasme du candaulisme !
Tout attaché au plaisir de sa belle et tendre, il ne cessait de trouver de nouveaux moyens pour lui faire gouter de nouvelles sensations, pour atteindre de nouveaux Graal !
et pourtant, un jour, un brin desemparé, il lui glissa .... Jaloux ! je suis jaloux ....
Surprise, et bien soucieuse tant elle ne pensait pas telle aveu possible, elle l'entoura de toute sa tendresse, le rassurant ... de quoi, de qui pouvait-il être jaloux !
et elle éclata de rire quand elle comprit de quoi il était jaloux !
Et oui ! Il lui avoua que dans une vie posterieure d'Androïde, il serait ainsi équipé ....
Ainsi donc, il était jaloux d'un Sex Appeal (!), rose, vibrant, et ma foi fort bien doté !
Sacré coquin, délicieux rêveur !!!
Bisous ...
euh ! si vous savez où vous procurer ce delicieux joujou (n'en doutons pas !), nous sommes preneurs !!!
Gourmands nous sommes, gourmands nous resterons !
Voilà bien un post un brin decalé sur ce site qui d'habitude se veut le chantre d'une forme d'erotisme et
sensualité (rien que ça !! :) ) axé autour de la Feminité, que celle-ci s'exprime sous la forme de petites histoires, de belles images, de clins d'oeils à nos amis, ou de bien belles videos
trouvées ici ou là ...
Oh bien, sûr, parfois quelques entorses, quelques respirations ... de celles qui nous font rire, genre caméras cachés ... pour ceux qui ne voient pas, cherchez, il y en a quelques unes et d'autres
à venir
Et là, nous direz-vous ! Les Libertins verseraient-ils dans le SM ???
Au risque de vous decevoir, nous déclinons ! non, nous n'avons ni l'envie ni le fantasme de s'abandonner dans de tels scenarios ... peut être gouterons-nous à une forme soft de soumission, et
encore !!! Ce n'est pas ce qui nous caractérise le plus !!
Non, là nous avons voulu, grace à un anonyme complice, vous devoiler tout le plaisir que peut garantir le
fouet !
Un conseil, mesdames ! Lors des premiers usages, allez-y d'un tempo moindre que celui que vous inculquèrent vos mamans pour monter les blancs en neige !
Toute ressemblance avec des faits ou personnes ayant reellement existé est bien évidemment fortuite ... les responsables de ce blog ne sauraient etre tenu responsable
d'un mauvais usage de l'appareil (batteurs électriques déconseillés !)
.../... Elle s’agenouilla, pris son sac, fouilla dedans avec une dextérité impressionnante, se releva et
entrepris de déchirer une petite pochette ! puis, elle se retourna vers moi et avec douceur, le regard conquérant (hummmm !) planté dans le mien, elle me déroula le préservatif sur le
sexe qui pointait vers elle !
Et elle se retourna, remonta sa jupe sur ses hanches, me révélant une croupe magnifiquement dessinée et
arborant une minimaliste trace de bronzage ; Elle repris appui, de sa main droite, sur la bordure de la vasque en cambrant ses fesses … Elles étaient magnifiquement soulignées par les
jarretelles qui les marbraient, sur l’arrière des hanches. Ses jambes étaient légèrement écartées, comme les bords d’une flèche me dessinant le chemin à emprunter !
Perchée sur ses talons, elle était presque trop grande … je dus légèrement hausser les talons pour amener ma
verge à la hauteur de la fente qu’elle me suggérait … Tandis que je la sentais gémir, je me rendis compte que sa main gauche s‘activait sur son Mont de Vénus et son clitoris … Ce fut cette main
qui entre ses cuisses s’empara de moi et vint me plaquer le sexe contre le sien.
Elle haleta :
Prends-moi ! J’en ai trop envie !!! (et moi donc !)
Puisque tel était son désir, je lui saisi les hanches et d’un coup de reins, je me fichais en elle ! Mon
bassin vint s’écraser sur ses fesses et j’accentuais encore la pression ! Puis je commençais un lent va et vient …. Notre tempo fut rythmé des Rhann, ou Huuum … qu’elle poussait
quand je venais buter au fond d’elle … le rythme s’accéléra … et de nouveau je sentis le plaisir monter …
Je vivais un rêve comme jamais je n’aurais imaginé le vivre ! Je décidais de refréner mon envie, et de me
concentrer sur la délicieuse créature qui s’offrant ainsi à moi, m’offrait aussi le plus beau des cadeaux …
Elle avait à peine fini de supplier :
Noooon ! Ne t’arrête pas, je t’en prie ! Reviens …
que ses plaintes furent remplacées par d’autres gémissements …
Je m’étais agenouillé derrière elle, et massant ses globes fessiers, je mes avais écarté et était venu plaquer
mon visage dessus … l’odeur était âpre, tant elle sentait déjà l’Amour, mais elle était mélangée d’un délicat parfum très féminin : son savon, ou un lait dont elle s’était enduit quelques
heures seulement auparavant, au petit matin ! C’était divin ! Ma langue ne fut pas longue (!) à venir entourer sa petite corolle … je m’en régalais, m’en enivrait tandis qu’elle
gémissait, en oscillant sur ses longues jambes fuselées … parfois je sentais l’extrémité de ses doigts venir me toucher la lèvre inférieure, le menton … elle se caressait furieusement ! Dieu
que cette femme était belle !!!
Je sentis de manière quasi imperceptible mais bien réelle son étoile se relâcher, s’ouvrir … la pointe dardée
de ma langue s’aventurait plus loin … je sentais qu’elle avait vaincu un ou deux mm de l’intimité de Solange ! Je décidais de la remplacer par mon majeur qui fut comme avalé par ma
belle ! et surprise, tandis que j’accompagnais l’aventure, je me pris à rencontrer les siens qui bougeaient en cadence dans son vagin … nos doigts n’étaient séparés que par une mince
paroi ! Quel plaisir ! Ses gémissements changeaient d’intonation, devenant un peu plus rauque, plus rapide aussi … ses doigts la fouillaient de manière rapide et régulière … plus vite
que je ne le faisais, prenant garde à ne pas lui faire mal !
Elle ne me regardait plus, elle ne se regardait plus, dans la glace …. Ses yeux étaient fermés, sa tête
légèrement penchée en arrière ! Sentant qu’elle aussi montait, semblait sur le chemin d’une belle apogée, je rapprochais mon bassin … Toujours à cause de cette différence de morphologie
(dotée de jambes interminables, bien que plus petite que moi, juchée sur ses talons, son bassin était plus haut que le mien !), je ne pu approcher mon gland de là où mes doigts
s’activaient …. et je dus lui signifier par une petite pression que je comptais prendre sa place … elle ne se fit pas prier, et ce fut sa main gauche, et en particulier son index qui vint me
remplacer ! Nous jouions ensemble une partition parfaite, mon sexe la fouillant tandis qu'à travers sa fine matrice je sentais son index la fouiller et ma masser la verge. C'était divin ...
j'avais une vue plongeante sur sa croupe offerte, sa main qui bientôt coquine vint glisser un deuxième doigt au coté du premier … Nous étions là, haletants, à savourer notre plaisir quand la
poignée de la porte s’enfonça ! .../...
Le voyage n’est pas terminé … mais nous approchons ... de Massy !
La fin devrait venir plus vite (elle est même déjà écrite mais chuuut !!! à bientôt)
D’ici là, nous retrouverons Claudie si vous le voulez bien !
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