Puis, après avoir jeté un regard derrière moi, je posais la main sur la poignée. Moment de vérité ! Ma main
s’enfonça … et tandis que je poussais maintenant, je ne sentis aucune résistance … comme si il n’y avait personne !
L'histoire dans sa totalité :
Début : 5:33 ... Angers-Massy
suite : 5h33 ... Angers-Massy (suite)
part. 3 : 5h33 ... Angers-Massy (suite -
Part3)
part. 4 : 5h33 ... Angers-Massy (suite - Part4)
part. 5 : 5h33 ....
Angers-Massy (suite - Part 5)
La porte se dérobait sous ma poussée … je l’ouvris doucement n’en croyant pas mes yeux … la
coquine !
Hasard encore, nous étions dans la première voiture, où les toilettes sont prévues pour handicapés, et donc
beaucoup plus vastes que les cagibis à disposition dans d’autres voitures …
Quand la porte fut ouverte de 30%, je vis l’étoffe de son string en tulle qui ornait le bord de la vasque inox
… il était mise de telle manière que je ne pouvais ignorer la tache qui traduisait qu’il était humide à l’entrejambe … et le rendait presque transparent ! Décidemment, j’allais de découverte
en découverte … Je me glissais à l’intérieur et là le spectacle me laissa sans voix …
Elle était là, ingénument assise sur le siège, comme si elle ne faisait qu’assouvir un petit besoin naturel …
pourtant, il y avait cette porte, laissée ouverte, ce string comme une offrande, ces cuisses sur lesquelles la jupe était troussée largement et qui laissaient apparaitre la jarretière et les
attaches de bas … Elle gardait pourtant les cuisses serrées, et les mains posées sur le haut de celle-ci … L’image avait tout d’une gravure coquine.
Je me retournais, et j’actionnais le loquet ! Nous étions maintenant protégés par cette porte, et le
désir se lisait dans les yeux de Solange (comme il devait se lire dans le mien, et plus pragmatiquement dans mon pantalon de fine flanelle !)
Ah ! je craignais que votre éducation ne vous empêche de me rejoindre !
Mon éducation !? Cela n’a rien à voir avec mon éducation. La timidité peut être …
Ce faisant, elle m’avait attiré vers elle, et déjà une main s’était posée sur la bosse qui ornait mon
entrejambe
Tuutt ! La timidité, la timidité, elle a bon rôle. Je ne vous sens pas très timide mon
brave fit-elle en accentuant la pression de sa main !
Elle était là, assise, et moi devant elle … elle levait la tête et plongeait ses yeux dans les miens … si
l’endroit n’avait rien de merveilleux, l’instant lui l’était !
Je vis briller son alliance d’un éclat sur le haut de sa cuisse …
Elle n’était pas restée inactive et d’une main experte, faisait sauter le bouton et glisser ma
fermeture. Puis, d’une main posée sur mes fesses, elle m’attira plus encore vers elle, tandis que sa main droite d’une reptation habile se glissait dans l’ouverture ainsi créée … elle entreprit de repousser l’élastique de mon boxer ! Je sentis la douceur indescriptible de ses doigts qui découvraient
mon sexe, mon gland, et s’en amusait … je sentais sa chaleur sur ma verge. Elle eut tôt fait de l’extraire et celle-ci jaillit alors comme un guignol de son théâtre !
Oh ! Mais si Monsieur est timide, il n’en est pas moins vigoureux !
… !!! (je ne savais que dire, persuadé de vivre en rêve … pourtant, tout me laissait à penser que ce n’en
était pas un !)
Je peux gouter ?? Il vous aurait fallu voir son visage, un petit sourire enjoué, des yeux malicieux, et sa délicieuse petite voix lorsqu’elle osa cette
phrase ! Je jurais qu’elle était elle-même stupéfaite de son audace … mais notre joute verbale se poursuivait
Mais, faites donc, si tel est votre désir ? …
Avant que je n’ai pu terminer ma phrase, je vis sa tête s’incliner, sa bouche s’arrondir et s’ouvrir et
je sentis la chaude douceur de ses lèvres quant elle les posa sur mon gland où perlait une goutte d’excitation … la pointe de sa langue vint la cueillir, et tandis qu’elle gobait mon nœud, elle
laissa échapper un petit gémissement d’aise !
… mais que me vaut pareil traitement ?
Hmmumm … fut la seule réponse qu’elle me
concéda !
Qu’elle était belle, innocemment assise sur cette cuvette, ces beaux cheveux ondulant entourant son visage et
venant parfois délicatement toucher ma verge, m’électrisant comme si j’avais senti la caresse douce d’une plume.
Elle avait un nez fin, de belles pommettes, d’autant plus que parfois mon gland venait gonfler sa joue
…
Sa bouche, ourlée d’un peu de rouges à lèvre carmin, laissait des traces du plus bel effet sur ma
verge !
La scène était torride ! De ses mains, elle fit glisser mon pantalon qui tomba sur mes mollets, et elle
baissa mon boxer … puis, tandis qu’une main vint se poser sur mes fesses, l’autre vint délicatement d’ abord s’occuper de mes bourses ! La coquine savait s’y prendre. Elle les prenait à
pleine main, les faisant rouler l’une contre l’autre (comme les osselets de notre enfance !), parfois remontait sur la base de ma hampe et simulait une masturbation tandis que de sa bouche
avide elle continuait à gouter à ce sucre d’orge ! Parfois aussi, sa main se faisait plus mutine et venait me caresser l’entre
cuisse, entre scrotum et anus …. Mais elle n’alla pas plus loin.
Je sentais que je n’allais pas tenir, soumis à tel traitement … aussi, je pris l’initiative de me retirer
doucement, de saisir la main qui s’occupait de moi et, lui impulsant une petite traction, de l’attirer vers moi …
Debout, l’un contre l’autre, nous échangeâmes un baiser torride … sa langue était délicieuse, entourant la
mienne, fouillant ma bouche … quelle gourmande (je comprenais mieux, goutant à ce jeu de langue, pourquoi le supplice auquel elle m’avait soumis était si bon !) …
Elle pris soin toutefois de tenir son ventre éloigné du mien …. Comprenant que je m’en étonnais, elle me
dit :
Excuse moi, mais je ne voudrais pas tacher ma jupe … je pars travailler !
Elle n’avait pas tort … mon sexe était tendu, et de nouveau le gland arborait une goutte de liquide séminal
qui aurait fait le plus mauvais effet sur le bel ensemble de Solange…
Je la guidais dans une lente rotation, à laquelle elle se prêta de bonne grâce. Alors qu’elle se penchait
d’elle-même sur la vasque inox sur laquelle trônait toujours son string, je la vis brutalement disparaitre : elle s’agenouilla, pris son sac, fouilla dedans avec une dextérité
impressionnante, se releva et entrepris de déchirer une petite pochette ! puis, elle se retourna vers moi et avec douceur, le regard conquérant (hummmm !) planté dans le mien, elle me
déroula le préservatif sur le sexe qui pointait vers elle !
Il lui fallu moins de temps pour ceci qu’il m’en fallu pour écrire ce paragraphe et vous pour le
lire !
.../...
Nous espérons que cette suite vous plait !
Elle n'est pas terminée, mais la suite devrait venir plus vite que celle-ci, si tel est votre désir !
Commentaires