Bonjour,
pour ceux qui ne prendraient pas le temps d'aller visiter Revebebe, vous trouverez ci-après le texte que j'y ai posté et qui me vaut depuis, ce n'est pas le moindre des avantages, une correspondance endiablée avec une charmanate et craquante personne du nom de Solalnge ... Inconvénient : elle habite la banlieue de ... Montreal ...
Mais après tout, les limites ne sont-elles pas faites pour être dépassées !?
Bonne lecture et n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires
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Je me délecte de vos histoires, certaines probablement des fantasmes et
d'autres tellement vraisemblables qu'elles en sont envoûtantes, désirables...
J'approche de la quarantaine, je suis marié et amoureux de ma femme, coquine
à souhait quand elle sait se défaire d'un zeste d'éducation judéo-chrétienne
qui, sans la rendre prude, ne lui a toutefois permis que récemment d'être
vraiment à l'aise avec le sexe et le plaisir, et ce, de manière de plus en plus
libérée...
Ce n'est pas d'elle dont je vais vous parler maintenant mais d'une jeune
femme qui m'a bouleversé et m'a fait tromper celle que j'aime tant...
Il y a quelques temps, j'ai dû rester à l'improviste sur Lyon pour cause de
grève des contrôleurs du ciel. Mon avion était annulé. Ayant quitté un collègue
sur un salon, je me dépêchai de le rappeler pour lui signifier ma présence ce
soir-là ; il m'avait dit qu'il organisait un repas sympa avec collègues et
ami(e)s. Nous devions retrouver F. le soir, afin de nous rendre à l'hôtel
qu'ils partageaient (???) sur Chasse, puis rejoindre les autres. Compte tenu du
bazar consécutif à cette grève, j'avais réservé, avec peine, un hôtel sur
Vénissieux, et la navette entre hôtels, resto, etc... promettait d'être longue
et fastidieuse.
J'en étais à me demander ce que je foutais là quand je vis, ou plutôt
distinguai, une très agréable silhouette dans la 307 qui nous avait rejoint.
Conversant au téléphone avec mon pote, la demoiselle avait le langage direct et
franc des femmes qui bossent dans l'industrie et qui, par conséquent, ont pris
l'habitude de ne pas se faire marcher sur les pieds par les machos
environnants. C., tout en roulant, m'explique qu'il connaît F. depuis
longtemps, qu'ils se sont également vus en famille dernièrement, bla bla...
Arrivés à leur hôtel, la première impression se confirme... Jolie jeune
femme, la trentaine, enjouée, sympa... Pendant qu'ils prennent leurs chambres,
j'arrange une location au Mercure voisin, ce qui simplifiera au moins la
navette hôtel en sortant du resto.
Les revoilà. Décidemment, F. est mimi ! Un charme fou... On se connaît à
peine et déjà elle partage mon apéro, alors que C. piaffe d'impatience pour
repartir vers notre point de rendez-vous. On part. Elle est assise derrière,
les bras accoudés sur chacun des sièges et son visage est proche de nous...
J'aime son parfum...
On arrive au resto, le Bureau au sud de Lyon, et là, déception : il reste
trois places, deux face à face, que prennent C. et F. et une, à l'opposé, sur
laquelle je m'asseois... Au milieu, cinq gusses et une femme, amie de C.. Les
autres sont des clients à elle.
Galère !
Heureusement, F. m'interpelle de temps à autre, avec un très joli sourire...
Et le moment vient où, à la faveur d'un changement de place, je me retrouve en
face d'elle. Elle me parle d'elle, de sa famille, de sa Chartreuse... Moi, je
fais de même. Ses yeux brillent, et je me dis que cela peut être dangereux...
Ce resto est
très sympa et deux frères, bons chanteurs, font régner une super ambiance (à
priori, le jeudi, avis aux Lyonnais), enchaînant tubes sur tubes. C. ne danse
pas, aussi nous sommes souvent, F. et moi, seuls à danser, avec les autres qui
peu à peu s'éclipsent, nous laissant seuls au milieu de nombreux autres
danseurs de tous âges, mais chez qui règne une vraie bonne humeur, décontractée
et classe.
Arrive la série de slow. J'invite F. à danser. Je peux alors la serrer dans
mes bras, et je sens sous un chemisier fin, une peau que j'imagine douce,
quelques petites rondeurs charmantes - au niveau des hanches et, toujours, ce
parfum qui m'enivrait dans la
voiture... Je pense que l'un comme l'autre, nous avions alors
envie de nous jeter l'un contre l'autre, de nous serrer et de ressentir notre
envie charnelle, sexuelle. Mais il n'en a rien été, hormis peut-être lors
d'étreintes un peu serrées, zouk aidant ! C. est là et je le connais à peine,
quant à F., je ne sais pas exactement quelles sont leurs relations...
Nous repartons, tard vers les hôtels. Nous devons nous lever tôt, eux pour
un salon, moi pour filer prendre mon avion à Saint-Exupéry !
Ils me déposent au Mercure. Bisous appuyés à F. et un regard... Je les vois
s'éloigner.
Je monte dans ma chambre et ne peux résister : j'ai, en début de soirée,
noté le numéro de portable de la belle sur le kit main libre de C.. Je lui
envoie un petit message, pour la remercier.
« Merci pour cette charmante soirée... L'heure est venue et Cendrillon s'en est
retournée... Quand pourrais-je la revoir, pour me perdre dans la profondeur de
ses yeux ? »
J'écris cela pensant "profondeur de ses yeux", oui, mais aussi
"de son décolleté", "rondeur de sa croupe" moulée dans un
jean qui lui allait à merveille... J'ai envie d'elle...
Le portable vibre, annonçant un SMS en retour :
« Bonsoir beau Prince Charmant... Bonne nuit, à moins que vous ne retrouviez
mon soulier de vair ? »
Je suis à pieds ! Comment faire ? Avec une voiture, je serais déjà en bas de
son hôtel !
« Il me semble en avoir un, qui pourrait être de votre pointure... Mais
comment vous le faire passer ? Peut-être pourriez-vous venir vous rendre compte
de visu ? Sinon, bonne nuit, je le garderai par-devers moi pour une prochaine
rencontre »
L'attente n'est pas longue !
« Chambre 218 ? »
La coquine : elle avait noté mon numéro de chambre quand je les ai quittés
dans le hall !
Le message en retour n'est pas long non plus !
« Oui, à tout de suite... »
Je me prends à douter : que va-t-elle faire ? Hésiter, comme je le fais et
téléphoner par exemple ? Ou bien vais-je avoir la surprise d'entendre frapper ?
Vite, j'extirpe de ma valise ma trousse de toilette et file me passer un peu
d'eau et me brosser les dents.
On frappe, je suis à la salle d'eau. Je lui dis d'entrer. Je sors de la
salle de bains, elle est là, assise sur le lit. Elle s'est changée et arbore un
adorable petit tailleur qui me permet de découvrir de bien belles jambes,
gainées de noir, terminées au pied par de magnifiques escarpins (chausseur
italien ?) du plus bel effet.
Il me semble que la veste est boutonnée à même la peau. De mon coté, je
suis en pantalon à pinces, gris anthracite et en chemise blanche.
L'atmosphère est lourde, chaude, comme un soir d'été avant l'orage. Cette
chambre sent l'amour...
Je lui tends la main pour qu'elle se relève et la fais tourner pour profiter
du spectacle qu'elle sait m'offrir en s'étant parée ainsi ! Alors qu'elle
tourne au bout de mon bras, je repose mon autre main sur la croupe effleurée
précédemment... Alors qu'elle finit son tour, ma main a pu se rendre à
l'évidence : j'ai senti, sous la fine jupe, la ceinture si caractéristique d'un
porte-jarretelle... Coquine, la demoiselle ! Elle a senti ma manuvre, m'adresse
un regard de chatte et son plus joli sourire... Nous n'en pouvons plus et nos
visages se collent l'un à l'autre dans un baiser torride qui n'en finit pas.
Nous finissons, les lèvres humides de notre ferveur, par basculer sur le lit.
Elle m'enserre les jambes des siennes et, dans la chute, sa jupe est
remontée. Une de ses cuisses est repliée sur les miennes, exhibant la dentelle
du bas et l'attache de la jarretelle tendue sur le haut de sa cuisse.
Quel délicieux instant... Nous continuons nos embrassades fougueuses. Elle
s'emploie à ouvrir ma chemise pendant que je lui malaxe l'extérieur des cuisses
et les fesses.
On roule sur le lit et là, elle se donne, renversée sur le dos, cuisses
légèrement abandonnées. Je peux glisser ma main entre elles, remonter sur un
bas, en franchir la
lisière... Découvrir la douceur de la peau nue, sentir que la
belle frissonne alors que la main remonte vers l'aine... J'arrive à la fourche
de ses cuisses et suis surpris de ne rencontrer aucun tissu. Le string doit
être mini-mini, me dis-je, avant de constater qu'en fait de string, F. a tout
simplement oublié tout tissu ! Je sens une toison douce, vraisemblablement
taillée avec soin, tant en longueur que dans sa forme (C'est ce que j'adore :
je ne suis pas de ceux qu'un sexe imberbe fait délirer, loin de là ! J'aime
qu'une belle toison, soignée, dévoile peu à peu les secrets qui s'y cachent).
J'ai hâte de voir ça ! Ses lèvres sont chaudes et déjà gonflées de désir...
F. a saisi mon sexe, tendu à l'extrême dans mon pantalon fin. J'ai un
caleçon qui ne cache rien de ma virilité et F. semble satisfaite d'avoir ce
bâton de chair dans la
main. Elle s'active sur ma braguette, ma ceinture et ce
maudit bouton, avant de faire jaillir ma queue dressée devant elle...
Elle la prend en main, fait quelques allers-retours dans le fourreau doux de
sa main et joue avec la petite goutte de sperme translucide qui perle sur le
gland. Elle me dit d'une voix douce :
- J'adore ça !
Avant de plonger sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Elle suce
divinement bien (J'en étais sûr, depuis longtemps déjà !), alternant longues
succions et coups de langue. Elle joue avec mes couilles aussi, les prenant
dans la main, les griffant de ses ongles... Elle est ainsi à genoux en travers
de moi et j'ai pu faire remonter sa jupe sur ses hanches.
Elle m'exhibe son magnifique cul strié par les jarretelles noires qui
tendent ses bas Cette image est reflétée par la glace qui est sur le mur et
elle est tellement abandonnée que ses fesses sont très légèrement écartées,
laissant apparaître une délicieuse rosette (On est à Lyon !). Moi qui adore les
feuilles de rose, je m'en délecte d'avance !
Je masse ses fesses, ses seins aussi, qui jaillissent d'un balconnet ajusté
(Elle a quitté prestement sa veste de tailleur, ne voulant pas la tacher de
sperme quand elle s'est jetée sur moi pour m'emboucher) et la fais pivoter. Un
de ses genoux m'enjambe et nous nous retrouvons en 69. Elle a des jambes
magnifiques et j'aime à faire crisser les bas sous mes caresses.
Je lui bouffe littéralement la chatte, en écartant ses lèvres pour y plonger
ma langue dardée. Je titille son petit bouton d'amour qui a jailli de son
capuchon, tantôt avec mes doigts trempés de sa mouille, tantôt avec ma langue
ou la pointe de mon nez. Je passe ma langue, inquisitrice, de son mont de Vénus
au périnée, en venant titiller son anus. La belle me pompe de plus belle, tout
en poussant de petits gémissements quand ma langue vient humidifier sa raie et
la jolie corolle, qui se contracte parfois à quelques centimètres de mes yeux.
Je darde mon pouce dans sa chatte trempée et, avec le plat, entreprend de lui
masser le pourtour de l'anus... Un « Hohhh, c'est boooon » me laisse à penser
que F. est aussi très anale...
Me sentant venir et ne voulant pas m'arrêter aussi vite, je lui demande de
ralentir sa cadence... Elle comprend et me dit :
- Viens, baise-moi, j'ai envie de ta queue dans mon ventre...
Elle se couche sur le dos.
Je lui fais face, la
surplombant. Elle est belle, avec de beaux seins qui
magnifient son buste, une petite toison effectivement taillée avec soin en un
triangle parfait. Je m'approche et glisse ma queue entre ses seins, qu'elle
saisit immédiatement pour les refermer sur ce sexe qui va et qui vient à
quelques centimètres de sa gorge. Elle malaxe ses seins, titille ses pointes
qui sont turgescentes. Elle voudrait que je vienne :
- Gicle sur mes seins, sur mon visage... J'ai envie de lécher ton sperme, de
l'étaler sur mon ventre...
Nous ne sommes plus de deux bêtes assoiffées de sexe et du plaisir qu'il
procure...
Je me glisse vers le bas, venant effleurer son mont de Vénus de mon sexe. Je
caresse son sexe avec le mien. Elle saisit mon chibre pour se caresser le
clitoris avec mon gland. Elle gémit... Je suis aux anges ! Que c'est beau, une
femme qui se donne du plaisir !
Et puis, un peu brutale, elle dirige ce sexe vers sa grotte et s'y empale
vigoureusement, d'un fort mouvement du bassin.
Je la besogne et nous prenons tous les deux beaucoup de plaisir. Je lui
demande si elle aime la
levrette. Elle me dit que oui et me demande si j'ai envie...
Elle se retourne, la tête dans l'oreiller, les fesses tendues vers moi.
J'ai, une fois encore, une vue magnifique sur son cul qui, cette fois, est
humide de ses secrétions... La peau est luisante, recouverte de mouille... Je
ne peux résister et, empoignant les deux hanches, je plonge mon visage. Cette
fois, je lui bouffe le cul. Tendrement d'abord, puis vigoureusement, je lui
humidifie le pourtour de l'anus avec ma langue, je la darde et ne tarde pas à
sentir le sphincter se relâcher. Ma belle gémit de plus belle et maintenant ma
langue fait des allers-retours de quelques millimètres au sein même de ce joli
cul, en assouplissant sa circonférence. Je me délecte à l'idée que je vais
enculer ma partenaire. Remplaçant ma langue par mon pouce, je continue à
assouplir le pourtour de l'anis puis j'essaie un doigt...
Quelle n'est pas ma surprise de sentir F. se contracter, brusquement ! Elle
me dit :
- Vas-y doucement, c'est la première fois...
Je suis touché par cet aveu, par cette virginité à laquelle il y avait
longtemps que je n'avais pas été confronté... Aussi je lui fais répéter !
Elle m'explique :
- J'ai déjà essayé, avec mon mari, mais chaque fois, cela m'a fait mal,
alors je n'ai plus cédé... Mais cette fois, c'est différent, je te sens plus
doux et plus attentionné...
Elle me pose des questions sur mes autres partenaires. Tout en continuant à
lui masser l'anus et, cette fois-ci en réussissant à lui glisser l'index, je
lui parle de ma femme, qui a découvert, après beaucoup de réticences, le
plaisir anal, de la douceur avec laquelle cette relation doit être menée, de la
volonté des deux partenaires, dans une recherche de vrai plaisir et non pas
simplement pour satisfaire l'autre...
Elle me dit :
- Je veux essayer, avec toi...
Quel honneur, mon orgueil de mâle en est flatté, mais quelle responsabilité
aussi...
Je m'accroupis à nouveau devant elle pour bien l'humidifier de ma langue et
de ma salive et puis reviens doucement frotter mon gland contre son sexe,
l'humidifiant entre ses lèvres, pour le faire remonter en plusieurs va-et-vient
sur sa raie. Je marque d'un appui plus prononcé chaque passage sur l'anus. F.
gémit doucement. Je remarque, à deux ou trois légères griffures sur mes
couilles, qu'elle a glissé une main entre ses cuisses et qu'elle est en train
de se masturber avec frénésie. J'adore...
Je m'avance sur les genoux, derrière elle et viens effectuer quelques
va-et-vient dans la chatte trempée. J'approche mon gland de sa rondelle...
Coquine et, vraisemblablement, un peu peureuse, c'est de sa main enserrant mon
sexe qu'elle va imprimer la pression sur son muscle...
Je le sens se relâcher, je sens que son cul va bientôt s'ouvrir à mon
gland... Ca y est, j'ai le gland fiché dans son anus... Nous ne bougeons
plus... Je lui demande si je lui fais mal. Elle me dit :
- Ca tire, mais c'est bon aussi !
Je lui demande si elle veut que je me retire... Sa réponse fuse :
- Non, j'ai envie de te sentir, je sens que l'appréhension passée, ça va
être bon... Apprends-moi !
Alors, doucement, je reprends ma poussée. Mon sexe s'enfonce lentement dans
son fourreau. Elle a tourné la tête vers moi et se mord la lèvre supérieure...
L'image est torride.
Quand je suis enfoncé à fond, je lui caresse le dos, remontant jusqu'à la
nuque et lui demande comment ça va :
- Huuum, bien... me répond-elle.
- Veux-tu que je continue ?
- Oui, vas-y bourre-moi, bourre-moi bien, fais-moi jouir du cul...
Ces mots, cet encouragement, me font la reprendre par les hanches et entamer
lentement, mais bientôt puissamment, un aller-retour contre son cul... A la
fin, nous ne sommes que deux bêtes en rut et la chambre est ponctuée de nos
râles et des claquements que font mes cuisses sur sa croupe...
Elle gémit de plus en fort, des « Ouiiii, aaaahhh, ouiiiii... Ohhh c'est
boooon ».
F. est une femelle en chaleur qui se lâche, oubliant mari et enfants, toute
à son plaisir...
Elle me dit :
- J'aime tes couilles qui battent contre ma chatte...
Et effectivement, la main qui était en train de la caresser vient les
emprisonner pour les frotter contre sa vulve...
Bientôt, c'est dans un ultime râle qu'elle s'écroule sous moi, les jambes
lâchant et poussant un cri « Aaaahhhh ». Je la suis, ne voulant pas sortir de
cette emprise si douce et, après deux ou trois va-et-vient, me libère aussi
dans son anus... Elle me dit :
- C'est bon, je sens les jets de foutre chaud dans mon cul, ohhhh je sens
battre ta belle queue au fond de moi !
Nous nous embrassons, elle se retourne... Son sphincter, en se refermant,
fait entendre le petit bruit caractéristique qui gène toutes celles qui
découvrent ce plaisir... Elle est comme une chatte dans mes bras, pleurant et
riant en même temps.
- Merci de m'avoir faite jouir ainsi, de m'avoir fait découvrir combien
c'est bon par-là aussi...
Je lui dis qu'elle pourra ainsi s'offrir à son mari sans plus de craintes...
Elle n'en est pas sûre, doutant de la nécessaire tendresse que celui-ci
mettrait aux préliminaires...
C'est alors qu'on écoute des coups dans la paroi et une voix de femme nous
interpelle :
- Voilà, maintenant que vous avez bien pris votre pied, on pourrait peut
être dormir !?
Nous éclatons de rire, et lui souhaitons bonne nuit, la remerciant de sa
compréhension... Il est près de 4:00 du matin !
(Très vite, mais il était déjà trop tard, je me suis reproché d'avoir manqué
d'à-propos... Nul doute que cette femme avait été « chauffée à blanc », peut
être même s'était-elle masturbée en nous entendant... J'aurais dû lui proposer
de nous rejoindre... Après tout, qui ne demande rien n'a rien !)
Après un câlin réparateur et une douche que nous essayons de prendre le plus
discrètement possible, F. doit repartir... Non sans m'avoir resucé comme une
reine, à genoux devant la douche, après m'avoir vigoureusement nettoyé la verge
avec des gestes qui ressemblaient plus à une branlette, pour me faire reprendre
forme. Elle fait vite, et je n'atteins pas le point de non-retour... Elle se
relève et me dit :
- J'en garde pour la prochaine fois...
Nous ne savons si et quand nous nous reverrons.
Le plus cocasse est qu'elle est partie en m'empruntant un slip, craignant
que quelques écoulements malheureux ne viennent tacher la jupe de son tailleur
(D'habitude les hommes sont friands de récupérer culotte ou string de Madame.
Là c'est le contraire qui s'est produit...)
Quelques heures après, je prenais l'avion et rentrais. F. était sur le
salon, un peu « dans les nuages », m'a-t-elle dit, en ayant « un peu mal au cul
» aussi, m'a-t-elle avoué de sa plus jolie voix. Ce terme cru dans sa bouche,
en-dehors du contexte de nos ébats de la nuit, m'a fait rebander instantanément
!
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