Une bien belle histoire ... de Patrice ...
Stay tuned ... je vous rédige un délicieux récit d'une aventure que je vient de connaitre... je ne sais si l'histoire le sera, mais l'aventure est charmante ....
Encore un voyage pour Roznov, petite ville industrielle de la république Tchèque. Décidément je passe beaucoup de temps dans les aéroports et les chambres d'hôtel depuis quelques années. Parti de Toulouse 2 heures plus tôt, me voilà à Roissy CDG, dans la salle d'embarquement du vol CSA pour Prague. Ce soir, nuit à l'hôtel, puis il faudra me lever à 5h30 pour attraper le vol d'Ostrava sur un petit bimoteur. Il fait beau, je passe le contrôle des bagages à main et m'installe dans la salle d'embarquement.
Les sièges de plastique ont été remplacés par des banquettes recouvertes de velours bleu, disposées en demi-arc de cercle. Lisant distraitement un journal, j'aperçois face à moi une femme en tailleur noir, chemisier blanc, haut talons, un collant couleur champagne, assise les jambes croisées bien haut. Je la trouve gonflée, elle montre la moitié de ses cuisses. Cheveux longs noirs, des lunettes mode, un beau visage aux yeux en amande, elle aussi lit une revue. Moi qui ai toujours été attiré par les femmes d'allure classe, je ne peux détacher mon regard, ses cuisses pleines m'attirent. Elle doit le sentir, car elle jette un coup d'oeil vers moi, plonge ses yeux dans les miens, puis m'ignore royalement. Peu importe, je continue à la fixer, le jeu m'amuse.
On nous appelle pour l'embarquement. Je la laisse se lever avant moi. Son attachée-case à la main, la lanière du sac sur une épaule, un foulard rouge noué autour du cou, juchée sur ses escarpins faisant ressortir de jolies jambes, elle a vraiment beaucoup d'allure, et surtout, des formes de femme : une poitrine bien ronde, des fesses moulées par la jupe serrée. Je la trouve vraiment superbe. Entrant dans l'avion pour prendre place en business class, le jeu prend une tournure à laquelle je ne m'attendais pas : dans la même rangée que moi, de l'autre côté de l'allée centrale, cette femme ! Déjà assise, toujours les jambes croisées exhibant la moitié de ses cuisses pulpeuses, elle m'ignore toujours, le regard plongé dans ses documents. Pendant tout le trajet jusqu'à Prague, je ne cesse pas de la regarder en coin. Elle s'en fiche complètement, du moins c'est l'impression que je ressens. Une hôtesse ravissante distribuant les boissons s'aperçoit de mon manège et m'adresse un sourire coquin.
Nous arrivons enfin. La femme a disparu après avoir passé le contrôle de police. Je cherche un taxi pour le Hilton, et finit par l'oublier complètement. Cet hôtel est magnifique. Situé sur les bords de l'Elbe, en plein centre, un immense lobby décoré de très hautes plantes vertes, ma chambre est située au 11ème étage, vue directe sur le fleuve. Après avoir dîné, plutôt que de regarder la télé seul dans ma chambre, je m'installe dans un des recoins du lobby, deux banquettes en L entourées de plantes. La luminosité a été diminuée, donnant une atmosphère douce dans ce hall immense.
Soudain, je vois passer la femme, celle de l'avion. Elle s'arrête, se dirige vers moi, et avec un grand sourire, s'exclame :
- Vous êtes là !
Stupéfait, je réponds en bafouillant un peu :
- Oui, bonsoir. Vous aussi vous êtes descendue dans cet hôtel ?
- On y est bien. J'aime cet hôtel, les chambres sont vraiment très spacieuses.
- Et la vue est splendide, sur le fleuve et les bâtiments baroques.
- Je m'appelle Marie. Vous venez souvent à Prague ?
Et elle s'installe près de moi, sur l'autre côté de la banquette, toujours en croisant les jambes, bien haut ! Cette petite garce m'a ignoré pendant tout le voyage, et la voilà engageant la conversation sur la ville de Prague, me posant des questions sur la raison de mon voyage. Je lui propose une coupe de champagne, qu'elle accepte avec un large sourire. Elle a ajouté des boucles d'oreille, assorties à un lourd pendentif. Le foulard de soie rouge est toujours là, noué autour du cou. Cette fois-ci, elle ne fait plus hautaine du tout. Je la trouve très séduisante, attirante, de plus en plus. Elle est volubile, agite les mains en parlant. Assise dans la banquette profonde, sa jupe a encore remonté. Après deux coupes de Gosset (un délicieux champagne, elle m'a félicité pour mon choix) je m'amuse maintenant franchement : je mate ses cuisses pleines sans vergogne. Et ça semble l'amuser beaucoup, elle ne se gène pas pour croiser et décroiser les jambes. Je commence à croire sérieusement qu'elle cherche à m'allumer. Mais ce genre de situation n'arrive que dans les films. Et puis, je dois me lever tôt demain matin. Elle me dit travailler dans l'industrie automobile, et doit rencontrer des concessionnaires locaux. Egayés par l'alcool, notre conversation dérive vers les dessous féminins. Je lui avoue aimer les jambes gainées par des bas fin en voile. Elle me sourit :
- Vous n'aimez pas les collants ?
- J'ai horreur de ça. Est-ce grave, docteur ?
Son rire crépite, elle semble vraiment très à l'aise. Elle se lève et m'annonce :
- Je reviens dans cinq minutes. Commandez-moi une autre coupe de ce merveilleux champagne, et surtout attendez-moi !
Que répondre à cela ? Je suis des yeux sa silhouette tandis qu'elle se dirige vers les ascenseurs, faisant claquer ses talons sur le dallage en marbre, balançant les fesses à chaque pas. Elle m'excite, cette belle femme. Pas jolie comme un mannequin, non, d'ailleurs ça ne m'aurait pas intéressé, mais son allure la rend vraiment belle, très féminine. De sa silhouette émane une sensualité à fleur de peau.
Dix minutes plus tard, personne. Bien, elle m'a allumé, elle s'est bien amusée ! Il est temps de me coucher moi aussi. A l'instant où j'allais me lever, je la vois arriver. Quelle délicieuse vision : son chemisier est ouvert, deux boutons ont été défaits, le tiers de ses seins est dénudé, son soutien-gorge a disparu, elle est débordante de sensualité. Elle ne sourit plus, j'ai l'impression de voir un léger tremblement dans sa main lorsqu'elle saisit sa coupe. Elle s'assoit, croise les jambes comme à l'accoutumée, et découvre ce morceau de peau si chaud et si tendre, au-dessus de la lisière des bas tendus par les lanières d'un porte-jarretelles blanc ! Le contraste est magnifique, troublant. Mon coeur bat à tout rompre. Elle s'est remaquillée les yeux, sa bouche est recouverte d'un rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum m'enivre. Cette fois-ci je n'ai plus de doute. Je sens ma verge se tendre dans mon pantalon. Elle boit une nouvelle gorgée de liquide, se cambre, tourne le buste vers moi, m'exhibant la moitié de ses seins nus. Avec un léger sourire, elle me dit d'une voix rauque:
- Ca vous plait ?
- Quoi donc Marie ? Je lui rétorque, m'efforçant de garder une voix assurée.
- Ce que vous regardez.
Sidéré par son audace, je marque un temps avant de lui répondre. Pour garder le contrôle de la situation, je fixe mon regard sur ses cuisses si joliment gainées, puis ses seins. Je veux qu'elle comprenne que je n'ai absolument pas honte de la regarder. Elle respire vite, soulevant sa poitrine à chaque bouffée d'air.
- Vous n'avez pas cessé de me mater dans l'avion. Alors maintenant, je vous en offre un peu plus !
- Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses. Vraiment très sexy !
Elle rit, nerveusement, un rire qui vient du plus profond de sa gorge. Profitant de la lumière tamisée du hall, je pose une main sur sa joue. Nous sommes bien, abrités par les rangées de plantes vertes qui entourent notre banquette. Alors j'en profite. Je laisse glisser mes doigts le long de son cou, descends jusqu'au sillon de ses seins, dégrafe un autre bouton de son chemisier, qui s'ouvre jusqu'au ventre. Ma main empaume un des globes nus, durcis par l 'excitation. Elle soupire, cherche de l'air, les lèvres entrouvertes, mais elle se laisse faire. Délaissant son sein, je pose la main sur son genou, remonte lentement le long de sa cuisse, faisant crisser mes doigts sur le tissus fin du bas. Elle décroise les jambes, redresse la tête, plonge ses yeux dans les miens, me défiant fièrement du regard. Mes doigts franchissent la lisière du bas, atteignent la chair nue, là où le grain de peau est si fin, électrisant ma paume. Elle écarte légèrement les genoux. J'en profite pour glisser la main entre les cuisses, là où la peau est chaude, ferme et tendre à la fois, une peau de femme, délicieuse à toucher, à caresser. Une fine culotte transparente recouvre, ou plutôt découvre, sa vulve. Pas un poil ne déborde, elle est entièrement épilée.
- Retirez votre main, on va nous voir. S'il vous plait, arrêtez !
- C'est vous qui avait provoqué ce jeu, maintenant il faut assumer !
- Non, je vous en prie, je suis trop excitée.
Nous nous levons. Elle referme sa veste, me regarde encore, les yeux flous. En étant debout, elle se rend compte qu'elle est affreusement mouillée. Le tissus de la culotte colle à sa vulve. En la suivant, je ne vois que ses fesses plantureuses étroitement moulées par le tissus de la jupe. Dans l'ascenseur qui monte à mon étage, je caresse son cul. En gémissant, elle se colle enfin à moi, me tend ses lèvres, et m'embrasse fougueusement.
Reprenant son souffle, elle avoue :
- Salaud, vous m'avez excité comme une folle dans cet avion. Je sentais vos yeux fixés sur moi, je ne savais vraiment plus où j'en étais. Rarement un homme ne m'avait déshabillée du regard comme vous l'avez fait, j'en avais les jambes qui tremblaient. J'avais terriblement envie de vous. Je sentais votre regard qui me brûlait, j'aurais voulu être prise, là, au milieu de tous ces gens.
- Vous m'avez plu tout de suite. J'aime votre allure si classe, vos formes.
- Oh, taisez-vous ! J'ai tellement envie d'un homme, de vous.
Arrivés au 11ème étage, la prenant par la taille, je l'entraîne dans ma chambre. Elle se colle encore contre moi, nous cognant contre le chambranle de la porte. Sa langue s'enfonce dans ma bouche, tourne, virevolte. Je lui rends son baiser avec passion, pétrit ses fesses à travers le tissus de la jupe. D'un coup de pied, je referme la porte.
Fou de désir, mes mains se ruent à l'assaut de son chemisier, l'ouvre. Ses seins jaillissent enfin. Des seins de femme, pas parfaits mais ça la rend plus humaine, plus excitante. Ils sont fermes, durcis par l'excitation. Longtemps je les caresse, les tripote. Des gouttes de transpiration, semblables à de la rosée, roulent dans le sillon séparant les deux globes. Ses aréoles, terminées par des mamelons épais, tendus, me donnent envie de la téter. Les reins cambrés, elle me les offre, le regard flou, enserrant mon visage de ses mains.
Pour la calmer, je délaisse sa poitrine, l'embrasse tendrement. Mes mains caressent son dos nu, descendent le long des reins. Je lui fais sentir mon désir en appuyant ma verge contre son pubis. Le brusque silence la trouble. Fuyant mon regard, elle remonte sa jupe au niveau des reins, offrant ses fesses à la caresse de mes mains. Je saisis les deux globes de chair vivante, les pétris, insinuant un doigt le long du bord du slip.
Ivre d'envie, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse, quelques instants seulement, avant de se ruer vers ma ceinture qu'elle défait maladroitement, les doigts tremblants d'excitation. Ses doigts bagués saisissent mon membre, le dégagent du slip. Mon coeur bat à tout rompre. Elle fixe ma queue au gland mauve qu'elle fait saillir dans sa paume.
Mes doigts suivent le contour de sa culotte, atteignent sa vulve à peine recouverte par le tissu fin. De la mouille englue mes doigts, elle coule.
- Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre.
Je lui baisse son slip, jusqu?au niveau des genoux. Ses jambes tremblent. Ma main s?infiltre, deux doigts suivent le contour des petites lèvres, les pinçant légèrement, atteignent le clitoris turgescent, l?effleurant à peine. Elle pousse un gémissement, tend sa chatte à la rencontre de mes doigts qui, brusquement, s?enfoncent dans le con gluant.
- Je vais vous baiser, Marie !
- Oh, vous me dites des choses, vous... vous me parlez comme à une ...c'est... ça m'excite !
Mes mots sales fouettent l'excitation de la femme qui ferme les yeux. Elle tend le bras, cherche ma tige en tâtonnant, sa main l'empoigne, la serre à m'en faire crier. Elle soupire, j'en profite pour la plaquer contre le bureau. Mon gland cogne contre son pubis, froisse les nymphes enflées de sa vulve. Elle écarte les jambes autant que lui permet sa culotte qui lui scie les cuisses. En pensant à ce que ce type lui fait faire, quelques plaintes filent entre ses lèvres, elle étouffe des gémissements sourds en plaquant sa bouche dans mon cou.
- Prenez-moi, s'il vous plait, vite !
- Vous voulez quoi, Marie ?
- Vous sentir, en moi.
- Je n'ai pas bien compris, Marie. Vous voulez quoi, et où ?
- Oh, vous êtes si vicieux ! je veux votre queue ! dit-elle dans un souffle.
- vous voulez ma queue ? C'est ça, vous la voulez, bien profond ?
- Ouiii, profond, loin, je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu'elle me remplisse !
Maladroitement, elle tente de se débarrasser de son slip, réussit finalement à le faire glisser jusqu'à ses chevilles. Je l'attrape par la taille, l'asseoie sur la console, bousculant au passage le combiné du téléphone. L'agrippant sous les genoux, je soulève ses cuisses. Ses jambes gainées par le voile fin des bas me rendent dingue. La vulve est enflée, gorgée de jus. Pour me provoquer, elle l'ouvre à deux mains. Mes narines s'enivrent de l'odeur qui s'en échappe. Elle me rend fou, je ne sais plus où porter mon regard. Ses jambes, ses seins, son sexe offert, ses yeux vitreux, un demi-sourire un peu moqueur sur les lèvres. Posant sa main sur mon crane, elle plaque ma bouche sur ses lèvres molles qui s'écartent sur les muqueuses intimes. Je lèche sa fente à l'aveuglette, fouille les replis de sa chatte. Sous ma langue, je sens un petit bout de chair très dur : le bouton. Elle pousse un cri aigu, de surprise et de plaisir. J'aspire son clitoris entre mes lèvres, le titillant avec ma langue. Elle pousse un râle rauque, en soulevant son bassin. Pour jouir si rapidement, elle doit en avoir autant envie que moi.
Mais le désir est trop fort, un désir incontrôlable. Je me redresse, et mes yeux plongés dans les siens, je courbe ma queue contre sa chatte.
- Vous êtes belle Marie, terriblement obscène et belle. Vous êtes une magnifique femelle.
Les yeux vagues, elle se laisse aller en arrière, et m'attire sur elle en murmurant dune voix sourde :
- Oh, enfilez moi.
Mon membre dérape entre les replis de la vulve, puis brusquement, violemment, s'enfonce dans le con brûlant. Elle est très ouverte, son vagin est étroit et chaud, émettant de petits flots de mouille et de pisse mêlés. Je suis bien en elle, je sens ses chairs souples sous mes mains.
- Vous me sentez, Marie ?
- Ouiii, elle me remplit votre queue. Bourrez moi fort, allez-y.
Je la trouve trop passive. Pour l'exciter, je lui glisse dans l'oreille :
- Ta chatte me suce la bite, Marie, c'est délicieux.
Les mots sales que je lui susurre fouettent ses sens. Elle pousse un cri, attrape mes fesses et me serre contre elle. Des mots sans suite s'échappent de ses lèvres. Elle gémit, sentant la jouissance monter du creux de ses cuisses, provoquant d?interminables secousses dans son ventre. A chaque mouvement des reins, mes couilles frappent son cul. Nos bouches se cherchent, nos dents s?entrechoquent, nos langues s?emmêlent dans un ballet infernal. Ses seins couverts de sueur s?écrasent contre mon torse. Je l?agrippe sous les cuisses, écartant ses fesses qui remplissent bien mes mains.
- Tu sens mes doigts qui ouvrent ton cul ?
- Oh, quand même mais oui, continuez !
Je n'en peux plus. Hors de moi, je m'enfonce encore plus profond, à chaque va-et-vient mon bassin frappe le sien, provoquant un claquement de chairs humides. Son attitude de femelle en manque me rend fou. Soudain, elle pousse un long cri aigu. Je sens une giclée chaude brûler ma queue.
- Marie, ma belle, je vais jouir, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.
Le regard vague, la voix tremblante, elle dit en criant presque :
- Attends, je veux ton sperme sur mes seins.
Me séparant d'elle, je laisse retomber ses jambes. Elle descend du meuble, s'agenouille, tend ses yeux brillants vers les miens :
- Viens, vas-y, donne-moi tout de toi.
Un spasme secoue mon bas-ventre, mon sperme fuse, éclabousse ses seins, son ventre. Je m'affaisse sur elle, dans ses bras chauds.
Nous dormons l'un contre l'autre, elle le dos tourné, bien calée contre mon torse. Je l'entoure de mon bras, emprisonnant un de ses seins. Le lendemain, lorsque le réveil sonne, elle n'est plus là. Seule l'odeur chaude de son corps a laissé son empreinte dans les draps. Marie a disparu.
Merci Patrice ... que ceux qui veulent le remercier, l'encourager, m'écrive ... je ferais passer
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