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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


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Samedi 21 octobre 6 21 /10 /Oct 02:20

Ce soir là, nous recevions Yannick, un ami de longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé que de coutume.

Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine. Celui de mon épouse étant plus qu' avantageux (95D), je le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, C. se mit à rougir, gênée. Yannick, répliqua qu'elle ne devait surtout pas en avoir honte et qu'il m'enviait de pouvoir faire l'amour à une femme avec d'aussi jolies seins.

A cet instant, étant placé juste à coté d'elle, je déposais un baiser dans son cou. L'alcool aidant et ayant ma petite idée derrière la tête, je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier, ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face d'elle. Très excité par la situation, je continuai mes caresses et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant ce spectacle, Yannick n'en croyait pas ses yeux et ne savait trop quoi faire.

Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d'habitude très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter devant un autre homme. Les petits soupirs qu'elle poussait prouvaient d'ailleurs le désir qui montait en elle. Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et en peu de temps je libérais sa poitrine devant les yeux de Yannick, ravi du spectacle et commençant à se douter de la fin de la soirée que j'envisageais. La respiration de C.. s'était faite haletante et ses tétons pointaient comme jamais : Je me mis à les sucer à tour de rôle.

Je sentais Yannick partagé entre la gêne et l'excitation et je lançais "Ce serait dommage d'avoir deux bouches et deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ?".

La réponse de mon épouse me stupéfia : " Et surtout deux bonnes queues."

Je fis alors lever C. et la conduisit vers le canapé en faisant signe à Yannick de nous rejoindre. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs. Yannick s'en donnait à coeur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons. De ma main libre, je commençais à lui caresser l'intérieur des cuisses tout en soulevant sa jupe. Sa culotte en dentelle était déjà humide et en l'écartant, je découvrais une chatte toute poisseuse d'excitation dans laquelle j'introduisis deux doigts.

Comme si c'étais le signal du départ, elle commença à masser nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant plus largement les cuisses. Yannick s'agenouilla alors devant elle, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement, ne lui laissant que ses collants et escarpins vernis.

 

« Faites moi jouir » nous dit alors C., d'une voix tellement excitée que j'eu du mal à la reconnaître.

Ne se le faisant pas dire deux fois, Yannick enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses seins tout en l'embrassant dans le cou. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin que Yannick puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Je remarquais qu'il en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou. «Montre-lui ton cul» lui ordonnais-je alors, tout en sortant ma queue de mon pantalon.

Yannick m'avait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de l'admirer dans cette posture. Se mettant à quatre pattes et se cambrant au maximum, C. présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans l'anus. Dans le même temps, je me glissais sous mon épouse, en position de 69, et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus d'amour me dégoulinait littéralement dans la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment. Jamais elle ne m'avait si bien sucé, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.

Ma queue fut bientôt rejointe par celle de Yannick qui s'était enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland violacé par le désir. Mon épouse se mit alors à nous sucer à tour de rôle puis se cantonna à la bite de Yannick, me faisant ainsi comprendre qu'il serait peut être temps de me servir de la mienne. Je me plaçais donc derrière elle et commençais à l'enfiler lentement, faisant pénétrer ma verge centimètre après centimètre.

Alors qu'une demi-heure auparavant nous discutions autour d'un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus, en train de faire tous l'amour sur le canapé, les gros seins de ma femme se balançant au rythme soutenu de mes coups.

Jamais je n'avais connu son sexe aussi trempé. J'avais l'impression d'enfiler une fontaine et mon sexe en ressortait tout brillant de mouille. A chacun de mes va et vient, un bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de mes couilles claquants contre ses fesses.

C. se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos. Aussitôt, elle vint s'empaler sur ma queue tout en continuant à sucer la verge de Yannick. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que je m'empressais de peloter. Placé comme je l'étais, je ne pouvais pas en rater une miette et je voyais distinctement le sexe de mon ami Yannick aller et venir dans la bouche de ma femme. La voir se conduire comme la dernière des salopes m'excitait énormément et je devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.

Instinctivement, je me mis à lui caresser le trou du cul qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de Yannick. En effet, c'est sans grand effort que je put faire pénétrer un doigt, puis un deuxième, encouragé par C. qui me demandait de l'élargir en des termes peu raffinés et que je n'avais pas l'habitude d'entendre de sa bouche. Soudain, entre deux gémissements de plaisir, C. s'exclama « Je vous veux tous les deux en même temps, prenez-moi par les deux trous ».

Comprenant son désir, Yannick, vint présenter son sexe à l'entrée de son anus déjà dilaté. Lorsqu'il la pénétra, sans difficultés, je sentis distinctement sa queue aller et venir à travers les parois de son vagin. C. n'était plus qu'un objet sexuel entre nos mains, et nous la remplissions ainsi alternativement à tour de rôle. Elle était en nage, déchaînée. Prise en sandwich, pilonnée en rythme par nos queues, elle eut deux orgasmes successifs.

Brusquement, Yannick se retira, se leva et vint présenter son sexe devant la bouche de C... A ma grande surprise, elle entreprit immédiatement de sucer ce sexe qui sortait pourtant à peine de son cul. Très excité par ce que je voyais, je laissais tomber sa chatte et pris la place de mon ami afin de l'enculer à mon tour. Son anus ressemblait à un cratère béant et je n'eu aucun mal à m'y enfoncer jusqu'à la garde. Yannick se plaça alors sous elle et se mit à lui bouffer la chatte pendant que continuais mon va-et-vient dans le cul de ma femme. C'est à ce moment là qu'elle eut son troisième et dernier orgasme.

En quelques secondes, Yannick jouit à son tour et déversa une giclée de sperme dans la bouche de C. qui en recracha une partie qui dégoulina sur le canapé. Quant à mon tour je dis que j'allais venir, elle me dit « Viens, je veux boire ton jus ».

Ce n'était plus ma femme que j'avais en face de moi, c'était une belle salope, avide de sexe et qui en redemandait. Je lui enfilais donc ma verge dans la bouche sans ménagement et au moment de jouir, je lui maintins la tête pour qu'elle n'en recrache pas une goutte. « Avale, salope...ma petite salope à moi », dis-je en balançant mon foutre au fond de sa gorge.

Jamais je n'aurai osé me conduire de la sorte avec elle avant ce soir là mais il était évident qu'elle prenait un grand plaisir à se faire ainsi avilir par deux hommes en même temps. De plus, j'avoue que ce changement qui s'opérait chez elle n'était pas pour me déplaire, me dévoilant des horizons nouveaux.

Elle qui avait toujours refusé de participer à un trio, pourtant mon plus grand fantasme, venait d'être particulièrement gâtée pour une première. Son sourire encore tout barbouillé de sperme était pour moi la plus belle des récompenses ainsi que la promesse de futurs alléchants.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 02:29

Nous sommes en automne et avons décidé de passer ce samedi dans le vignoble.

 

Il est très tôt dans la matinée, C. et moi nous nous préparons pour cette journée.


Nous préférons plutôt une tenue citadine mais toujours sexy pour ma femme avec des dessous très séduisants : un ensemble soutien-gorge, string et porte-jarretelles couleur champagne qui retient ses bas noirs et avec par dessus petit bolero qui épouse parfaitement sa silhouette, faisant ainsi ressortir ses seins et son sublime cul. Un chemisier largement ouvert et une jupe marron au dessus du genou, fendue à l’arrière couvrent le tout. Nous choisirons des chaussures à haut talons en daim marron. Je dis nous car elle me demande toujours mon avis, et je l’en remercie.

Une délicate touche de maquillage vient couronner l’ensemble ; elle est magnifique, ses yeux verts brillent, ses lèvres aussi soulignées d’un peu de gloss.

Nous voici donc installé dans la voiture, moi au volant, ma femme à mes côtés prêts à prendre le départ pour cette ballade.
Les kilomètres défilent, m’offrant une vue imprenable sur les cuisses de mon épouse ; Sa jupe légèrement remontée, laisse apercevoir les agrafes de son porte-jarretelle où sont accrochés ses bas. Je ne suis pas toujours le seul à en profiter car ce panorama fait aussi le bonheur de ces routiers qui perchés au volant de leur camion et parfois arrêtés à coté de nous aux feux rouge, admirent la beauté du paysage.

Parfois pour exciter ces messieurs, en toute complicité avec C., je lui passe la main entre les cuisses. J’adore ces moments, car prise d’un soupçon de pudeur, ses pommettes virent souvent au rouge.

Aux portes du Layon, l’ayant bien échauffée avec mes caresses, nous décidons de faire une pause un instant dans les vignes, nous permettant ainsi de patienter avant l’ouverture des caves que nous aimerions visiter afin d’y gouter et déguster quelques crus de la région : Coteaux du Layon, Quart de Chaume … peut être pousserons nous jusqu’à Bonnezeau.

Il est évident que l’un comme l’autre pensons à la même chose : faire quelques calins sur les sièges de la voiture, vu la médiocrité du temps à l’extérieur. Dans une voiture, ce n’est pas toujours facile, mais bougrement excitant.

A chaque instant, nous pouvons être surpris en pleine action, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Je bascule  son siège, avec ma main gauche, je prends sa cheville droite et lui remonte la jambe afin de la poser sur le tableau de bord ; docile, et la tête penchée en arrière, yeux mi clos, elle s’abandonne. J’écarte alors doucement sa cuisse gauche, pour me positionner face à son sexe, où les lèvres de sa vulve débordent de son string.

Je commence à lui caresser le mont de Venus, bien en évidence sous le triangle du string, puis vient délicatement embrasser ses cuisses … remontant depuis le genou, mes lèvres parcourent d’abord la nylon, puis la bande de dentelle du bas, s’amusent avec l’agrafe de la jarretelle avant de venir s’égarer plus loin dans l’aine charnue … elle respire plus fort … très vite, je n’en peux plus et entreprends de lui caresser la vulve de mon menton, de mon nez … j’adore son odeur de femme, de femelle devrais-je dire tant elle se livre à moi … son string n’est bientôt plus que liquide, mélange de ma salive et de sa cyprine … J’écarte doucement le string, pour découvrir cette petite chatte que j’aime tant … maintenant dénudée de presque tous ses poils, ne laissant qu’un mince ticket de métro … elle est offerte … son sexe lui, ses lèvres sont gonflées et rouges du desir qui fait également jaillir son petit bouton … je fait glisser l’étoffe sur ses hanches, et le roulant sur ses cuisse et lui écartant plus encore la cuisse, lui dégage une seule jambe. Ma femme miaule telle une chatte en chaleur, masquant le bruit de la pluie qui tombe. J’assure l’écartement de ses cuisses avec mes mains qui lui maintiennent fermement ses chevilles en hauteur et empêche son string de redescendre le long de son bas. Cette position m’offre son vagin grand ouvert pour une bonne et profonde pénétration qu’elle me demande sans me prier. La pluie ayant cessée momentanément de tomber, c’est elle qui m’entraine, sortant de la voiture elle vient se positionner devant le capot et m’offre son dos et son cul, les mains posées bien à plat sur le capot encore chaud, la croupe tendue et le dos cambré … comme elle est bandante !

Sans trop de préliminaires, je lui enfourne ma verge … ou plutôt, elle vient se saisir de mon sexe, d’une main passée entre ses cuisses et s’est littéralement elle qui se la met. Je la bourre profondément et bestialement ; elle est comme folle, et m’excite telle une salope en manque avec des :

« oh oui … vas y encore, bourre moi plus fort, défonce moi! Oh … j’aime ta queue … elle est bonne»

J’exécute ses ordres sans rechigner, en mettant encore plus d’ardeur qu’elle ne peut espérer. Nous jouissons tout les deux.

L’intensité de cette partie de jambes en l’air a toutefois fait une victime, un bas qui n’a pas résisté à la violence de nos ébats. Contrariée par son bas filé, C. soucieuse de son allure BCBG, décide de repartir à Angers en acheter une paire. Pendant le trajet, et alors que son string reste en boule à ses pieds, elle me dit sentir ma semence couler hors de sa chatte … elle se caresse, et je sens bien vite ma bite reprendre de la vigueur … elle récolte un peu de mon sperme sur ses doigts, et porte goulûment ses doigts vers ses lèvres tout en fichant son regard dans le mien … qu’il est dur de rester concentrer sur la conduite …

Il est onze trente du matin, et en arrivant sur le parking, C me demande d’attendre … elle prend une lingette dans la boite à gant et délicatement s’essuie l’entrejambe … Un homme qui longe notre voiture, doit l’avoir vue car il se retourne, comme estomaqué par le spectacle … il est avec sa femme qui marche d’un bon pas et ne s’arrête pas … A notre tour, nous entrons dans un centre commercial et nous nous dirigeons vers le rayon lingerie, où ma femme trouve son bonheur. Je lui conseille de prendre deux paires, car la journée n’étant pas terminée, nous pouvons certainement en avoir besoin. Nous achetons les deux paires de bas, une paire de bas couture avec pointes talons, et une résille fine et profitons pour jeter un coup d’œil au rayon lingerie. Le même homme que tout à l’heure passe en tête de gondole … il me semble qu’il cherchait quelque chose … nous, peut être ? Oui, c’est cela … le voilà qui revient et vient à notre rencontre …
C. est en train de jauger d’une très belle guêpière blanche …elle ne l’a pas vu … Quand il passe pres de nous, il ralentit et glisse « cela vous irait à merveille … vous être très jolie … merci pour le spectacle » … elle se retourne, interloquée, mais vraisemblablement trop timide, l’homme a continué son chemin … elle m’interroge du regard et dit « quel spectacle ? » … je lui révèle que je pense que cette homme l’a vu s’essuyer le sexe nu, tout à l’heure … elle rie, tandis que de nouveau, ses joues virent au rouge !

 

Nous repartons, et de retour dans le vignoble, trouvons un restaurant pour déjeuner. Ma femme se rend aux toilettes pour remplacer ses bas. Le menu entre les mains, je m’interroge ; lesquels va-t-elle choisir ? J’imagine la scène, mon épouse en train de raccrocher ses bas au porte-jarretelles. C’est un instant magique, qui me fascine toujours, et que j’aimerai partager … mais qui retarderai certainement le service ! Je m’imagine, la prendre sur le plan de toilette avec l’angoisse qu’une personne qui rentrerait.

La démarche toujours aussi bandante, Marie-Paule regagne la table … je vois quelques regards masculins qui la suivent … elle a mis les bas couture. En s’asseyant, sa jupe dévoile le haut de ses bas, tendus par les jaretelles …

Nous passons commande.

A l’aise, les jambes croisés, ma partenaire très aguichante, fait admirer aux autres couples présents, les fines dentelles en haut de ses bas et parfois même le teint encore hâlé de ses cuisses.

Très sensuellement, elle déchausse une chaussure, et vient avec son pied sous la table me caresser au niveau de la braguette. Le bruit et le va et vient de son bas sur le pantalon m’excite. Elle peut sentir ma bite qui raidit sous l’effet de ses caresses.

Après m’avoir fait bien bander, elle se retire avec un sourire et une langue humidifiant ses lèvres en signe d’intime complicité.

Ravie de son acte, elle poursuit le repas et j’en fais de même. Le repas est divin, les mets nous paraissent sublimés par l’ambiance érotique, le désir qui nous entoure … mos mains se touchent, nos doigts s’entrecroisent, nous nous lançons des œillades mais résistons à l’envie de caresses trop charnelles.

Le repas terminé, nous quittons la table et partons déguster quelques vins. A Rablay, nous faisons un arrêt dans une cave que je connais pour y être déjà venu. La maîtresse des lieux très sympathique nous accueille et nous propose de déguster, ce que nous faisons volontiers. Mon épouse et moi, nous nous asseyons et tenons une conversation intéressante sur les vendanges actuelles. Maintes fois, je surprends les yeux de la propriétaire fixant les cuisses de ma compagne, qui comme à l’habitude croise ses jambes, se qui laisse entrevoir qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelle. J’ose imaginer ce que peut penser cette personne d’apparence très chaste et réservée, face à un tel spectacle.

N’étant absolument pas gêné par le petit jeu de ma femme, je demande à cette brave dame encore troublée, si l’on peut visiter la cave. Ce qu’elle nous accorde bien volontiers, appellant son mari. Nous pénétrons, le vigneron en tête suivi de mon épouse et moi. Dans les grands couloirs voûtés où les bouteilles et barriques sont entreposées, la faible lumière dégagée par les ampoules illuminent mon imagination sexuelle.

Le propriétaire nous devançant de quatre à cinq mètres et ne se doutant de rien , nous donne quelques détails sur la manipulation de son délicieux breuvage tandis que je stoppe C, me positionne derrière elle et lui fait sentir mon sexe bien raide sur son cul à travers sa jupe. Très vite elle comprend et comme moi, aimerai que je la baise dans cette cave, en lui mouillant la chatte au Layon, un cérémonial que tous les deux avons déjà pratiqué.

Nous re-sortons, retournons au caveau et achetons trois caisses, en souvenir de cette journée, avec quelques demi bouteilles pour agrémenter nos petites soirées érotiques.

Il est bientôt dix-huit heures, nous quittons les coteaux et, encore bien émoustillés, prenons le chemin du retour. Je sais l’effet qu’à un peu de – bon – vin sur la libido de C, et ceci me laisse augurer d’une bonne soirée.

Nous faisons halte dans un délicieux restaurant, en bord de Loire … où nous prenons notre temps. Toujours avec une envie féroce de sexe, nous blaguons sur les personnes qui nous entourent, nous taquinant, se posant mutuellement des questions sur leur vie sexuelle et bien sûr, sur la façon que nous aurons de terminer la soirée?

Demain, c’est dimanche nous rentrons tranquillement. Même si la route n’est pas longue, toujours affamés de cul, nous ne pouvons attendre si longtemps. La maison semble trop loin pour nos désirs. Je me dirige dans un petit chemin, nous conduisant, à la lisière d’un bois, où j’arrête la voiture et éteints les phares.

C. m’arrache le pantalon, détourne mon slip et me taille une pipe d’une extrême vigueur. Ma verge est prisonnière de sa bouche, l’ardeur qu’elle met à me sucer le gland est impressionnante, elle agite fermement mon membre dans tous les sens et chaque aller retour dans le creux de sa main, orchestré par la dextérité de son poignet, me donne envie d’éjaculer. Je résiste, m’accroche à sa chevelure, et me contorsionne pour lui rendre la pareille. Ma main se faufile, de mes doigts, je lui écarte les lèvres, et caresse sa chatte déjà trempée … je me lèche trois doigts, et les lui bourre au fin fond du vagin. Je les remue à l’intérieur de son gouffre, telle une pieuvre avec ses tentacules. Elle chancelle de plaisirs, et finis par libérer ma queue de sa bouche.

Les sièges vite mis en couchette, je la bascule sur la banquette arrière, sort mes doigts humides que je suce un par un, et je lui dévore la moule. Elle jouit, me retient la tête contre son sexe qui dégage une agréable odeur de cul. Je lui enfile profondément mon pouce dans l’anus, elle crie telle une salope … je la désire.

Elle est en chaleur, et se retourne, à quatre patte sur la banquette

Prêt pour la prendre en levrette, sa croupe bien tendue, me prenant la bite, c’est vers son œillet qu’elle me dirige et frotte lentement mais fermement ma verge … elle fait des allers-retours sur sa vulve et chaque passage est l’occasion d’humidifier sa raie. Le gland bien enflé, je laisse glisser un peu de salive dans sa fente que j’écarte largement.

Sous la pression inculquée par son poignet, je me sens la pénétrer, son anus se refermant sur mon gland. Je la pilonne, les coups de butoir que je lui inflige claquent sur ses fesses. La respiration haletante, accompagnée de gémissements, elle prononce quelques mots :

Va s’y yyyy ! bourre moi encore ! Défonce moi ! Oh ouiiii ! J’aime ta queue , j’aime ta bite dans mon cul !

Après avoir bien que j’ai bien limé son cul, toujours pas rassasiée, elle se retourne et prends la position du missionnaire. Je prends une capote dans mon portefeuille, elle s’en saisis et la déroule sur mon étendard … elle en profite pour me malaxer fermement les couilles … Les cuisses très ouvertes m’offrent ses lèvres béantes, son clitoris saillant. Je saisis ses chevilles et les maintiens fermement pour garder l’ouverture, et la bourre de ma bite. Nous gueulons tous les deux de plaisirs, je m’acharne à la faire jouir intensément. Je lui lèche les bas le long de ses jambes. La violence de nos actes, décroche les bas de son porte-jarretelles. J’en remonte un à hauteur de sa cheville accompagné de son string, les mets successivement dans la bouche pour m’imprégner de l’odeur dégagée par ma femme durant toute cette journée entre ses cuisses et son sexe. Je me ravis de ce léger parfum musqué et continue à la défoncer. Je la couvre de mots doux :

Tiens salope ! Prends ça ! Ca te plait ! T’en redemandes ! Saaaalope va !!!

Oh oui ! Tu aimes que ta femme soit une salope ! Hein ! Gros cochon ! Allez bourre moi encore!

Baise moi encore !!! Encore ! Encore ! Enncoore ! Ah ouiii, je jouiiii !!!

Ah ! Ouii ! Moi aussiii ! Tiens prends ça … oh, putain, je t’inonde !

Et je lui décharge une grande quantité de sperme sur son ventre avec lequel elle frotte sensuellement sa chatte, accompagnant son regard qui en dit long sur notre complicité sexuelle.

Avec quelques lingettes, nous nous essuyons tant bien que mal, C. raccroche ses bas à son porte-jarretelles, qui soit qui cette fois, n’ont aucun mal, à part quelques décorations blanchâtre de mon sperme, sortes de souvenir de cette magnifique journée.

 

Cette fois nous rentrons chez nous et demain nous récupérerons et, recommencerons.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 01:45

Je m'appelle F., j'ai 38 ans, je suis châtain aux yeux marron. J’avais alors 28 ans, et étais le représentant des copropriétaires dans l’immeuble où je résidais .

Ce jour-là, je rentre du travail à 18h. J'arrive dans le hall, un peu préoccupé par un problème professionnel. Je décide de prendre les escaliers plutôt que l'ascenseur histoire de me vider un peu l'esprit et de faire un peu d'exercice. Et puis le quatrième ce n'est pas la fin du monde !

Dans les marches, tout à mes pensées, montant les marches 2 à 2, je me heurte à ma voisine du dessous, une jolie femme frisant la quarantaine, divorcée, seule avec ses deux enfants, des jumeaux, âgés d'une dizaine d'années. Je la retiens en bafouillant une excuse qui la fait sourire. Elle ne semble pas aussi déstabilisée que moi, me jette un bonjour en plantant ses grands yeux verts dans les miens comme si elle cherchait à me transpercer et me rassure d’un ‘’ce n’est rien’’. Elle file. Je me retourne sur son passage envoûté et enivré par son parfum. J’ai eu le temps de la détailler, des pieds à la tête. Hum, quelle femme ! De belles jambes gainées de noir, une mini-jupe qui arrive à mi-cuisses, un petit chemisier assorti révélant une belle poitrine que j’imagine maintenant, lourde et généreuse. Elle doit sentir mon regard dans son dos, car elle se retourne et me lance un petit sourire en coin. Pris en faute, je me sens rougir et reprends mon ascension. Je rentre chez moi et mets une musique de fond pendant que je me replonge dans ce dossier ramené du bureau. Pris dans mes réflexions, je ne vois pas l'heure avancer.

Mon estomac crie famine, aussi je décide de sortir manger une pizza. Je prends mon blouson, et saute dans l'ascenseur qui semblait m’attendre. La descente commence mais très vite s'arrête à l'étage en dessous. Les portes s'ouvrent et je vois ma belle voisine monter dans l'ascenseur me saluant d'un autre superbe sourire. Elle est encombrée d'un gros carton qui semble bien lourd. Elle engage la conversation :

- Vous êtes moins pressé ? (Sourire, auquel je réponds) et elle continue : C’est bien vous le représentant des copropriétaires ? me demande-t-elle.

- Oui, c’est cela. Pourquoi, vous avez des problèmes

- Ah oui ? j’ai de gros problèmes avec la régulation du chauffage.  Serait-il serait possible d'en parler ?

- Oui sans problème, je suis à votre disposition ; nous pouvons prendre un rendez-vous quand vous voulez !

- oK, me dit-elle avec son joli sourire, je vais planifier ça.

L'ascenseur arrive au rez-de-chaussée. Les portes s'ouvrent. Je m’efface pour la laisser sortir, la voyant peiner avec son carton.

 
- Vous allez loin avec ce carton ?

- Loin non, je vais jusqu'à ma cave ranger ces vieux livres.

- Laissez-moi vous aider, lui dis-je en lui prenant le carton des mains.

Elle paraît surprise.

- Merci, c'est très gentil...

Elle passe devant et me guide dans les sous-sols de l'immeuble. Je la suis portant le carton et m'arrête juste derrière elle quand elle ouvre la porte de sa cave et allume la lumière. Elle me laisse passer devant elle.

- Posez ça sur l'étagère là-bas, s'il vous plaît, ce sera parfait.

Je pose le carton et me retourne ; elle est juste derrière moi.

- Vous êtes très gentil, me dit-elle, et... très séduisant aussi.

Je sens mes joues s'enflammer et une chaleur m'envahir.

- Je vous remercie, vous êtes une très belle femme aussi et si je, enfin... non rien, excusez-moi.

Je bafouille comme un gamin pris en faute, mais dans cette cave, je perds tous mes moyens devant cette femme splendide que je commence à désirer plus que tout. Je m'avance pour sortir de la cave quand elle me barre le passage.

- C'est quoi ton prénom ? me demande-t-elle en adoptant le tutoiement.

- F... et vous ? enfin toi ?

- Moi c'est Cathy.

- Enchanté Cathy...

- Tu sais F., cela fait des mois que je n'ai plus d'homme dans ma vie... Et des soirs comme ce soir, cela me manque cruellement, me dit-elle en refermant doucement la porte de la cave et en la fermant à clé.

Je ne peux y croire, cette femme superbe qui me fait fantasmer depuis des mois me fait des avances dans sa cave. Doucement nos visages se rapprochent, nos lèvres s'effleurent. Puis une bourrasque nous emporte, nos langues s'emmêlent, nos mains frôlent nos corps brûlants, faisant naître une excitation croissante.

 
Son manque d'homme se fait aussitôt sentir, car ses mains descendent directement se poser sur mon pantalon emprisonnant mon sexe gonflé à travers le tissu. Doucement, je retire ses mains.

- Non, ne me touche pas, enfin pas encore, laisse-moi faire, lui dis-je entre deux baisers.

- Oh oui, fais-moi du bien ! me lance-t-elle dans un souffle.

Je la colle dos au mur. Je plaque ses mains au mur de chaque côté de sa tête. Je me recule un peu et l'observe, elle est belle, collée au mur mains et jambes écartées me regardant de ses yeux humides. Je m'approche d'elle et lentement je pose ma bouche sur son cou. Doucement mes mains dégrafent son chemisier laissant apparaître ses seins prisonniers dans leurs bonnets. Puis je sens une main serrer mon sexe. Elle ne peut pas s'empêcher de le tâter. Malgré la douceur de la caresse, je repousse sa main et m'écarte d'elle. Je fouille dans la cave et trouve ce que je cherche. Une ficelle. Sous un drap, en dessous de l'étagère sur laquelle j'ai posé le carton, trône un fauteuil de salon. Je retire le drap et la fais asseoir sur le fauteuil. Un support de l'étagère pend au-dessus du fauteuil, je passe la ficelle dedans. Puis lentement je retire le chemisier et le soutien-gorge de Cathy qui se laisse faire en essayant par tous les moyens de toucher mon sexe bandé.

- Cathy, lève les mains, n'aie pas peur, je vais t'attacher les mains vu que tu ne peux t'empêcher de me toucher. Je ne veux te faire aucun mal, juste te faire un maximum de plaisir...

Elle semble hésiter, puis obéit.

- Ne serre pas trop, s'il te plaît, je n'ai jamais fait ça.

Je l'attache donc solidement, mais pas trop serré.

- Ça va comme ça ?

- Oui, répond-elle.

Elle est magnifique... La poitrine nue, les jambes écartées, sa mini-jupe relevée sur ses cuisses les mains attachées au dessus de la tête. Je m'approche d'elle et reprends mes baisers, je suce sa langue, ses lèvres, puis lentement je descends dans son cou en lui caressant les cheveux. Le bout de ma langue descend dans son cou, puis passe entre les deux seins, en prenant bien garde de ne pas les toucher (malgré l'envie que j'aie de pétrir cette superbe poitrine), puis arrive sur son ventre que j'embrasse, et lèche, faisant tourner ma langue dans son nombril, son ventre se creuse sous mes coups de langue et mes baisers, son souffle devient court.

Pendant que ma langue joue sur son ventre, mes mains pétrissent son dos, ses hanches, puis descendent sur ses jambes. Je lui caresse les chevilles et lentement remonte, massant les mollets, puis ses cuisses que je pétris sous sa mini-jupe. Mes mains passent sur les côtés et massent ses fesses. Elle se soulève pour que je puisse faire glisser sa jupe. Je découvre un joli string brodé assorti au soutien-gorge. Du bout de la langue je suis le contour de son string orné d'une tache de mouille qui semble s'élargir. Mon nez se frotte à la tâche en prenant garde de ne pas trop toucher son sexe brûlant, cela lui arrache un soupir d'extase, je la sens vibrer comme une pile électrique.

- F., touche-moi, s'il te plaît... F. huuuumm.

Pendant que mes mains font glisser son string, je lèche doucement l'intérieur de ses cuisses frôlant son sexe humide. Ma langue remonte sur son ventre, puis se dirige vers ses seins qui pointent de désir. Je mets des petits coups de langue au mamelon, puis n'y tenant plus, je les mordille, lui arrachant un râle de plaisir. Je prends un sein dans chaque main et le pétris, je fais rouler les bouts entre mes doigts, je les suce, les aspire... hummm ils durcissent entre mes lèvres.

Cathy se cambre, m'offrant sa poitrine à dévorer, geignant de plus en plus fort. Pendant que mes doigts continuent de rouler ses seins, ma langue redescend vers son puits d'amour, faisant creuser son ventre au passage, lentement je frôle ses lèvres trempées de mouille du bout de ma langue, puis lentement ma langue se fait plus pressante écartant peu à peu les lèvres en feu jusqu'à ce que ma bouche se colle à son sexe. Durcissant ma langue je la rentre le plus profondément possible la faisant tournoyer dans sa vulve inondée. Le souffle de Cathy devient de plus en plus court, son sexe dégoulinant de jus d'amour se colle à ma bouche. Une de mes mains délaisse ses seins et descend sur son ventre du pouce je frotte doucement son clito bandé comme un petit pénis, puis ma langue sort de sa vulve et remonte léchouiller son clito pendant que je rentre un doigt, puis deux dans son sexe brûlant. Doucement je lèche le clito, le suce, l'aspire entre mes lèvres hummm il grossit dans ma bouche. Cathy commence à gesticuler dans tous les sens et se tord de plaisir sous l'action conjuguée de ma bouche et de mes doigts qui lui fouillent le sexe.

- Ouiiiiiii bouffe-moiiiii la moule, hummm hoooo doigte-moi bien à fond ouiiiiii c'est boooon aaaaaaaahhhhhhh.

Un orgasme la cloue sur le fauteuil, elle gémit longuement, je lui suce un sein pendant que je continue de la doigter lentement. Puis je retire mes doigts de son sexe empli de cyprine et les lèche avant de l'embrasser goulûment. Elle tente de défaire ses liens en tirant dessus, mais elle est bien attachée. Elle se tortille.

- Viens maintenant, mets-la-moi maintenant j'en ai envie s'il te plaîiit, je tiens plus ! Je mouille comme une vielle salope ! Je te veux ! Mets-moi ta queue, je veux la sentir ! Tu me rends folle ! Baise-moi !

Son langage cru m'excite, je vois qu'elle est à bout et qu'elle désire plus que tout être comblée. Je me mets debout devant elle et baisse mon pantalon, puis mon boxer. Ses yeux humides se posent immédiatement sur mon sexe bandé de désir. Je me mets debout dans le canapé en lui tenant la tête pour ne pas qu'elle puisse toucher mon sexe de sa bouche qui essaye de l'attraper au passage. Puis tenant mon sexe devant ses yeux, je me masturbe lentement devant elle à quelques centimètres de son visage. Ses yeux ne quittent pas ma main allant et venant sur mon sexe tendu.

- Cathy... J'ai envie de commencer par baiser ta bouche...

- Oui viens, donne-moi ta queue, je veux te sucer jusqu'à la moelle.

Je m'approche un peu plus et lui caresse les joues de ma queue bandée, je frotte le bout de ses seins, puis je remonte et effleure ses lèvres brillantes de salive avant de rentrer lentement ma queue dans sa bouche chaude et humide. Quel délice ! Dès qu'elle a ma queue en bouche, elle la pompe en gémissant comme si sa vie en dépendait. Elle aspire mon gland, fait tourner sa langue autour, va et vient dessus comme une affamée. À ce régime, je ne vais pas tenir longtemps. Je me retire de sa bouche qui essaye de reprendre mon sexe, mais je m'écarte. Elle me regarde de ses yeux suppliants. Je prends sa tête entre mes mains et renfourne mon sexe au chaud dans sa bouche. Je lui maintiens la tête, puis je commence à aller et venir lentement entre ses lèvres, nous gémissons de plaisir.

À nouveau je me retire. Je descends du canapé et dirige mon gland baveux vers son sexe inondé et bouillant. Ses cuisses luisent de mouille et sont écartées au maximum.

- Hummm Cathy je vais enfin te la mettre depuis le temps que j'en rêve !

- Oui viens mon salaud, tu m'as trop fait attendre, bourre-moi, défonce-moi, je suis tellement trempée que j'ai l'impression d'avoir pissé partout comme une chienne.

Son langage me rend fou de désir. Doucement je frotte mon gland sur ses lèvres gonflées de désir, je titille son clito de mon gland, puis reviens écarter les lèvres doucement. Très lentement, je fais rentrer mon sexe en elle centimètre par centimètre. Un long râle de plaisir accompagne ma pénétration. Lorsque ma queue est entièrement en elle, un spasme la secoue. Elle me regarde dans les yeux, je vois une larme couler sur sa joue, cela m'attendrit et je lui offre un baiser. Puis mes yeux plantés dans les siens, je commence à aller et venir lentement. Mon sexe sort presque entièrement et replonge aussitôt dans son volcan fusion, ses râles se font de plus en plus longs, mes mouvements s'accélèrent, je relève ses cuisses et pose ses mollets sur mes épaules, je la pilonne de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus loin. Elle râle maintenant sans discontinuer, mes coups de reins sont de plus en plus forts, mes mains pétrissent ses seins et torturent ses tétons gonflés, tout en la besognant, je dénoue la ficelle qui lui retenait les mains.

Aussitôt libérée, elle pose ses mains sur mes fesses en gémissant et guide mes coups de reins, je sens le plaisir monter et commence à geindre de plaisir, sa tête tourne dans tous les sens ses mains se crispent sur mes fesses nos gémissements et le bruit mat de mon sexe qui plonge dans le sien remplissent la cave, je sens la sève monter en moi.

- Hummm Cathyyyy je vais venir Hooooo c'est trop boooooooon !

- Ouiiiiiii vas-y, lâche ta purée mon amour ! Putain qu'est-ce que tu me mets !

Un deuxième orgasme terrasse Cathy, je me retire dans un râle de plaisir alors que les premières giclées sortent de mon sexe éclaboussant la poitrine et le visage de Cathy, qui voyant mon sexe à portée de main le saisit et le branle avec application en continuant de gémir, extirpant jusqu'à la dernière goutte de ma semence onctueuse et chaude. Puis alors qu'elle entreprend un nettoyage en règle de ma verge avec sa bouche et sa langue, elle me demande entre deux succions et en me faisant un clin d'œil :

- Quand est-ce qu'on peut prendre rendez-vous alors pour mon chauffage ?

Je prends son visage entre mes mains et l'embrasse tendrement pour toute réponse.


Très beau texte, lègèrement remanié, glané sur Revebebe ... que son auteur, Diablotin soit ici remercié
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mercredi 28 juin 3 28 /06 /Juin 02:15
Une bien belle histoire ... de Patrice ...

Stay tuned ... je vous rédige un délicieux récit d'une aventure que je vient de connaitre... je ne sais si l'histoire le sera, mais l'aventure est charmante ....

Encore un voyage pour Roznov, petite ville industrielle de la république Tchèque. Décidément je passe beaucoup de temps dans les aéroports et les chambres d'hôtel depuis quelques années. Parti de Toulouse 2 heures plus tôt, me voilà à Roissy CDG, dans la salle d'embarquement du vol CSA pour Prague. Ce soir, nuit à l'hôtel, puis il faudra me lever à 5h30 pour attraper le vol d'Ostrava sur un petit bimoteur. Il fait beau, je passe le contrôle des bagages à main et m'installe dans la salle d'embarquement.

 

Les sièges de plastique ont été remplacés par des banquettes recouvertes de velours bleu, disposées en demi-arc de cercle. Lisant distraitement un journal, j'aperçois face à moi une femme en tailleur noir, chemisier blanc, haut talons, un collant couleur champagne, assise les jambes croisées bien haut. Je la trouve gonflée, elle montre la moitié de ses cuisses. Cheveux longs noirs, des lunettes mode, un beau visage aux yeux en amande, elle aussi lit une revue. Moi qui ai toujours été attiré par les femmes d'allure classe, je ne peux détacher mon regard, ses cuisses pleines m'attirent. Elle doit le sentir, car elle jette un coup d'oeil vers moi, plonge ses yeux dans les miens, puis m'ignore royalement. Peu importe, je continue à la fixer, le jeu m'amuse.

On nous appelle pour l'embarquement. Je la laisse se lever avant moi. Son attachée-case à la main, la lanière du sac sur une épaule, un foulard rouge noué autour du cou, juchée sur ses escarpins faisant ressortir de jolies jambes, elle a vraiment beaucoup d'allure, et surtout, des formes de femme : une poitrine bien ronde, des fesses moulées par la jupe serrée. Je la trouve vraiment superbe. Entrant dans l'avion pour prendre place en business class, le jeu prend une tournure à laquelle je ne m'attendais pas : dans la même rangée que moi, de l'autre côté de l'allée centrale, cette femme ! Déjà assise, toujours les jambes croisées exhibant la moitié de ses cuisses pulpeuses, elle m'ignore toujours, le regard plongé dans ses documents. Pendant tout le trajet jusqu'à Prague, je ne cesse pas de la regarder en coin. Elle s'en fiche complètement, du moins c'est l'impression que je ressens. Une hôtesse ravissante distribuant les boissons s'aperçoit de mon manège et m'adresse un sourire coquin.

 

Nous arrivons enfin. La femme a disparu après avoir passé le contrôle de police. Je cherche un taxi pour le Hilton, et finit par l'oublier complètement. Cet hôtel est magnifique. Situé sur les bords de l'Elbe, en plein centre, un immense lobby décoré de très hautes plantes vertes, ma chambre est située au 11ème étage, vue directe sur le fleuve. Après avoir dîné, plutôt que de regarder la télé seul dans ma chambre, je m'installe dans un des recoins du lobby, deux banquettes en L entourées de plantes. La luminosité a été diminuée, donnant une atmosphère douce dans ce hall immense.

Soudain, je vois passer la femme, celle de l'avion. Elle s'arrête, se dirige vers moi, et avec un grand sourire, s'exclame :

 

- Vous êtes là !

 

Stupéfait, je réponds en bafouillant un peu :

 

- Oui, bonsoir. Vous aussi vous êtes descendue dans cet hôtel ?

- On y est bien. J'aime cet hôtel, les chambres sont vraiment très spacieuses.

- Et la vue est splendide, sur le fleuve et les bâtiments baroques.

- Je m'appelle Marie. Vous venez souvent à Prague ?

 

Et elle s'installe près de moi, sur l'autre côté de la banquette, toujours en croisant les jambes, bien haut ! Cette petite garce m'a ignoré pendant tout le voyage, et la voilà engageant la conversation sur la ville de Prague, me posant des questions sur la raison de mon voyage. Je lui propose une coupe de champagne, qu'elle accepte avec un large sourire. Elle a ajouté des boucles d'oreille, assorties à un lourd pendentif. Le foulard de soie rouge est toujours là, noué autour du cou. Cette fois-ci, elle ne fait plus hautaine du tout. Je la trouve très séduisante, attirante, de plus en plus. Elle est volubile, agite les mains en parlant. Assise dans la banquette profonde, sa jupe a encore remonté. Après deux coupes de Gosset (un délicieux champagne, elle m'a félicité pour mon choix) je m'amuse maintenant franchement : je mate ses cuisses pleines sans vergogne. Et ça semble l'amuser beaucoup, elle ne se gène pas pour croiser et décroiser les jambes. Je commence à croire sérieusement qu'elle cherche à m'allumer. Mais ce genre de situation n'arrive que dans les films. Et puis, je dois me lever tôt demain matin. Elle me dit travailler dans l'industrie automobile, et doit rencontrer des concessionnaires locaux. Egayés par l'alcool, notre conversation dérive vers les dessous féminins. Je lui avoue aimer les jambes gainées par des bas fin en voile. Elle me sourit :

 

- Vous n'aimez pas les collants ?

- J'ai horreur de ça. Est-ce grave, docteur ?

 

Son rire crépite, elle semble vraiment très à l'aise. Elle se lève et m'annonce :

 

- Je reviens dans cinq minutes. Commandez-moi une autre coupe de ce merveilleux champagne, et surtout attendez-moi !

Que répondre à cela ? Je suis des yeux sa silhouette tandis qu'elle se dirige vers les ascenseurs, faisant claquer ses talons sur le dallage en marbre, balançant les fesses à chaque pas. Elle m'excite, cette belle femme. Pas jolie comme un mannequin, non, d'ailleurs ça ne m'aurait pas intéressé, mais son allure la rend vraiment belle, très féminine. De sa silhouette émane une sensualité à fleur de peau.

 

Dix minutes plus tard, personne. Bien, elle m'a allumé, elle s'est bien amusée ! Il est temps de me coucher moi aussi. A l'instant où j'allais me lever, je la vois arriver. Quelle délicieuse vision : son chemisier est ouvert, deux boutons ont été défaits, le tiers de ses seins est dénudé, son soutien-gorge a disparu, elle est débordante de sensualité. Elle ne sourit plus, j'ai l'impression de voir un léger tremblement dans sa main lorsqu'elle saisit sa coupe. Elle s'assoit, croise les jambes comme à l'accoutumée, et découvre ce morceau de peau si chaud et si tendre, au-dessus de la lisière des bas tendus par les lanières d'un porte-jarretelles blanc ! Le contraste est magnifique, troublant. Mon coeur bat à tout rompre. Elle s'est remaquillée les yeux, sa bouche est recouverte d'un rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum m'enivre. Cette fois-ci je n'ai plus de doute. Je sens ma verge se tendre dans mon pantalon. Elle boit une nouvelle gorgée de liquide, se cambre, tourne le buste vers moi, m'exhibant la moitié de ses seins nus. Avec un léger sourire, elle me dit d'une voix rauque:

 

- Ca vous plait ?

- Quoi donc Marie ? Je lui rétorque, m'efforçant de garder une voix assurée.

- Ce que vous regardez.

 

Sidéré par son audace, je marque un temps avant de lui répondre. Pour garder le contrôle de la situation, je fixe mon regard sur ses cuisses si joliment gainées, puis ses seins. Je veux qu'elle comprenne que je n'ai absolument pas honte de la regarder. Elle respire vite, soulevant sa poitrine à chaque bouffée d'air.

 

- Vous n'avez pas cessé de me mater dans l'avion. Alors maintenant, je vous en offre un peu plus !

- Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses. Vraiment très sexy !

 

Elle rit, nerveusement, un rire qui vient du plus profond de sa gorge. Profitant de la lumière tamisée du hall, je pose une main sur sa joue. Nous sommes bien, abrités par les rangées de plantes vertes qui entourent notre banquette. Alors j'en profite. Je laisse glisser mes doigts le long de son cou, descends jusqu'au sillon de ses seins, dégrafe un autre bouton de son chemisier, qui s'ouvre jusqu'au ventre. Ma main empaume un des globes nus, durcis par l 'excitation. Elle soupire, cherche de l'air, les lèvres entrouvertes, mais elle se laisse faire. Délaissant son sein, je pose la main sur son genou, remonte lentement le long de sa cuisse, faisant crisser mes doigts sur le tissus fin du bas. Elle décroise les jambes, redresse la tête, plonge ses yeux dans les miens, me défiant fièrement du regard. Mes doigts franchissent la lisière du bas, atteignent la chair nue, là où le grain de peau est si fin, électrisant ma paume. Elle écarte légèrement les genoux. J'en profite pour glisser la main entre les cuisses, là où la peau est chaude, ferme et tendre à la fois, une peau de femme, délicieuse à toucher, à caresser. Une fine culotte transparente recouvre, ou plutôt découvre, sa vulve. Pas un poil ne déborde, elle est entièrement épilée.

 

- Retirez votre main, on va nous voir. S'il vous plait, arrêtez !

- C'est vous qui avait provoqué ce jeu, maintenant il faut assumer !

- Non, je vous en prie, je suis trop excitée.

 

Nous nous levons. Elle referme sa veste, me regarde encore, les yeux flous. En étant debout, elle se rend compte qu'elle est affreusement mouillée. Le tissus de la culotte colle à sa vulve. En la suivant, je ne vois que ses fesses plantureuses étroitement moulées par le tissus de la jupe. Dans l'ascenseur qui monte à mon étage, je caresse son cul. En gémissant, elle se colle enfin à moi, me tend ses lèvres, et m'embrasse fougueusement.

Reprenant son souffle, elle avoue :

 

- Salaud, vous m'avez excité comme une folle dans cet avion. Je sentais vos yeux fixés sur moi, je ne savais vraiment plus où j'en étais. Rarement un homme ne m'avait déshabillée du regard comme vous l'avez fait, j'en avais les jambes qui tremblaient. J'avais terriblement envie de vous. Je sentais votre regard qui me brûlait, j'aurais voulu être prise, là, au milieu de tous ces gens.

- Vous m'avez plu tout de suite. J'aime votre allure si classe, vos formes.

- Oh, taisez-vous ! J'ai tellement envie d'un homme, de vous.

 

Arrivés au 11ème étage, la prenant par la taille, je l'entraîne dans ma chambre. Elle se colle encore contre moi, nous cognant contre le chambranle de la porte. Sa langue s'enfonce dans ma bouche, tourne, virevolte. Je lui rends son baiser avec passion, pétrit ses fesses à travers le tissus de la jupe. D'un coup de pied, je referme la porte.

 

Fou de désir, mes mains se ruent à l'assaut de son chemisier, l'ouvre. Ses seins jaillissent enfin. Des seins de femme, pas parfaits mais ça la rend plus humaine, plus excitante. Ils sont fermes, durcis par l'excitation. Longtemps je les caresse, les tripote. Des gouttes de transpiration, semblables à de la rosée, roulent dans le sillon séparant les deux globes. Ses aréoles, terminées par des mamelons épais, tendus, me donnent envie de la téter. Les reins cambrés, elle me les offre, le regard flou, enserrant mon visage de ses mains.

Pour la calmer, je délaisse sa poitrine, l'embrasse tendrement. Mes mains caressent son dos nu, descendent le long des reins. Je lui fais sentir mon désir en appuyant ma verge contre son pubis. Le brusque silence la trouble. Fuyant mon regard, elle remonte sa jupe au niveau des reins, offrant ses fesses à la caresse de mes mains. Je saisis les deux globes de chair vivante, les pétris, insinuant un doigt le long du bord du slip.

Ivre d'envie, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse, quelques instants seulement, avant de se ruer vers ma ceinture qu'elle défait maladroitement, les doigts tremblants d'excitation. Ses doigts bagués saisissent mon membre, le dégagent du slip. Mon coeur bat à tout rompre. Elle fixe ma queue au gland mauve qu'elle fait saillir dans sa paume.

Mes doigts suivent le contour de sa culotte, atteignent sa vulve à peine recouverte par le tissu fin. De la mouille englue mes doigts, elle coule.

 

- Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre.

 

Je lui baisse son slip, jusqu?au niveau des genoux. Ses jambes tremblent. Ma main s?infiltre, deux doigts suivent le contour des petites lèvres, les pinçant légèrement, atteignent le clitoris turgescent, l?effleurant à peine. Elle pousse un gémissement, tend sa chatte à la rencontre de mes doigts qui, brusquement, s?enfoncent dans le con gluant.

 

- Je vais vous baiser, Marie !

- Oh, vous me dites des choses, vous... vous me parlez comme à une ...c'est... ça m'excite !

 

Mes mots sales fouettent l'excitation de la femme qui ferme les yeux. Elle tend le bras, cherche ma tige en tâtonnant, sa main l'empoigne, la serre à m'en faire crier. Elle soupire, j'en profite pour la plaquer contre le bureau. Mon gland cogne contre son pubis, froisse les nymphes enflées de sa vulve. Elle écarte les jambes autant que lui permet sa culotte qui lui scie les cuisses. En pensant à ce que ce type lui fait faire, quelques plaintes filent entre ses lèvres, elle étouffe des gémissements sourds en plaquant sa bouche dans mon cou.

 

- Prenez-moi, s'il vous plait, vite !

- Vous voulez quoi, Marie ?

- Vous sentir, en moi.

- Je n'ai pas bien compris, Marie. Vous voulez quoi, et où ?

- Oh, vous êtes si vicieux ! je veux votre queue ! dit-elle dans un souffle.

- vous voulez ma queue ? C'est ça, vous la voulez, bien profond ?

- Ouiii, profond, loin, je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu'elle me remplisse !

 

Maladroitement, elle tente de se débarrasser de son slip, réussit finalement à le faire glisser jusqu'à ses chevilles. Je l'attrape par la taille, l'asseoie sur la console, bousculant au passage le combiné du téléphone. L'agrippant sous les genoux, je soulève ses cuisses. Ses jambes gainées par le voile fin des bas me rendent dingue. La vulve est enflée, gorgée de jus. Pour me provoquer, elle l'ouvre à deux mains. Mes narines s'enivrent de l'odeur qui s'en échappe. Elle me rend fou, je ne sais plus où porter mon regard. Ses jambes, ses seins, son sexe offert, ses yeux vitreux, un demi-sourire un peu moqueur sur les lèvres. Posant sa main sur mon crane, elle plaque ma bouche sur ses lèvres molles qui s'écartent sur les muqueuses intimes. Je lèche sa fente à l'aveuglette, fouille les replis de sa chatte. Sous ma langue, je sens un petit bout de chair très dur : le bouton. Elle pousse un cri aigu, de surprise et de plaisir. J'aspire son clitoris entre mes lèvres, le titillant avec ma langue. Elle pousse un râle rauque, en soulevant son bassin. Pour jouir si rapidement, elle doit en avoir autant envie que moi.

 

Mais le désir est trop fort, un désir incontrôlable. Je me redresse, et mes yeux plongés dans les siens, je courbe ma queue contre sa chatte.

 

- Vous êtes belle Marie, terriblement obscène et belle. Vous êtes une magnifique femelle.

 

Les yeux vagues, elle se laisse aller en arrière, et m'attire sur elle en murmurant dune voix sourde :

 

- Oh, enfilez moi.

 

Mon membre dérape entre les replis de la vulve, puis brusquement, violemment, s'enfonce dans le con brûlant. Elle est très ouverte, son vagin est étroit et chaud, émettant de petits flots de mouille et de pisse mêlés. Je suis bien en elle, je sens ses chairs souples sous mes mains.

 

- Vous me sentez, Marie ?

- Ouiii, elle me remplit votre queue. Bourrez moi fort, allez-y.

 

Je la trouve trop passive. Pour l'exciter, je lui glisse dans l'oreille :

 

- Ta chatte me suce la bite, Marie, c'est délicieux.

 

Les mots sales que je lui susurre fouettent ses sens. Elle pousse un cri, attrape mes fesses et me serre contre elle. Des mots sans suite s'échappent de ses lèvres. Elle gémit, sentant la jouissance monter du creux de ses cuisses, provoquant d?interminables secousses dans son ventre. A chaque mouvement des reins, mes couilles frappent son cul. Nos bouches se cherchent, nos dents s?entrechoquent, nos langues s?emmêlent dans un ballet infernal. Ses seins couverts de sueur s?écrasent contre mon torse. Je l?agrippe sous les cuisses, écartant ses fesses qui remplissent bien mes mains.

 

- Tu sens mes doigts qui ouvrent ton cul ?

- Oh, quand même mais oui, continuez !

 

Je n'en peux plus. Hors de moi, je m'enfonce encore plus profond, à chaque va-et-vient mon bassin frappe le sien, provoquant un claquement de chairs humides. Son attitude de femelle en manque me rend fou. Soudain, elle pousse un long cri aigu. Je sens une giclée chaude brûler ma queue.

 

- Marie, ma belle, je vais jouir, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.

 

Le regard vague, la voix tremblante, elle dit en criant presque :

 

- Attends, je veux ton sperme sur mes seins.

 

Me séparant d'elle, je laisse retomber ses jambes. Elle descend du meuble, s'agenouille, tend ses yeux brillants vers les miens :

 

- Viens, vas-y, donne-moi tout de toi.

 

Un spasme secoue mon bas-ventre, mon sperme fuse, éclabousse ses seins, son ventre. Je m'affaisse sur elle, dans ses bras chauds.

 

Nous dormons l'un contre l'autre, elle le dos tourné, bien calée contre mon torse. Je l'entoure de mon bras, emprisonnant un de ses seins. Le lendemain, lorsque le réveil sonne, elle n'est plus là. Seule l'odeur chaude de son corps a laissé son empreinte dans les draps. Marie a disparu.



Merci Patrice ... que ceux qui veulent le remercier, l'encourager, m'écrive ... je ferais passer
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mercredi 28 juin 3 28 /06 /Juin 02:10
Une histoire que nous venons de découvrir ... fantasme de ma chère et tendre !!!

Je me nomme Delphine, j’ai 31 ans et je suis mariée à Greg de 14 ans mon aîné. Je suis à ce qu’on dit une très jolie femme brune de 1 m 70 pour 56 kg, et mon atout principal est une généreuse poitrine qu’emprisonnent des soutiens gorge de taille 95 C.

L’été dernier, Greg organisa notre soirée, en me proposant d’aller voir un festival de jazz qui se déroulait pendant une semaine dans un ancien prieuré attenant à la cathédrale.

Nous devions nous y rendre pour 20 h 45 en cette soirée de semaine. Ce qui n’était pas prévu, c’est que mon métier de secrétaire de direction ne m’astreignait pas souvent à des horaires fixes. Bien entendu ce soir là n’échappa pas à la règle.

Je prévenais Greg lors de la pause de la réunion que je serais certainement en retard et que le mieux serait que l’on se retrouve sur place, d’autant que je ne travaillais qu’à à peine 1 km du lieu du festival.

La réunion se termina à 20 h 30 passé. Inutile de me stresser me dis-je, quoique je fasse je serais en retard. Je pris donc mon temps en retournant dans mon bureau pour ranger les papiers et les notes que j’avais pris lors de la réunion, puis je me dirigeais vers les toilettes afin d’ajuster mon maquillage. Si j’avais eu le temps de rentrer à notre appartement je me serais changée dans une tenue plus cool, mais c’est ainsi, et j’allais garder jusqu’à la fin de la soirée, mon tailleur bleu dont la jupe ne couvre que la moitié de mes cuisses, un chemisier blanc, un soutien gorge et une culotte blanches à dentelle ainsi que des bas auto fixant.

Cette tenue allait certainement dénoter parmi le public, mais qu’importe ! Et puis je n’ai pas le choix.

Je sortais de l’immeuble et je décidais de me rendre à pied au festival, pensant que j’irai plus rapidement ainsi, plutôt qu’en voiture, où une place de parking serait plus qu’hypothétique. Vingt minutes plus tard, après avoir essuyé quelques sifflements et quolibets sur mon physique, j’arrivais à l’entrée du prieuré.

Dans l’enceinte du festival, je téléphonais à Greg afin qu’il me guide pour le retrouver. Malgré la sono très forte, nous parvîmes à nous retrouver derrière une arcade du déambulatoire, assez loin de la scène. Après que nous nous soyons embrassé, Greg me fit part de la demi heure que j’avais manqué.

Ne voyant pas très bien la scène d’où nous étions, je demandais à Greg de bien vouloir m’aider à monter sur le rebord de l’arcade située 50 cm plus haut. Il y avait très peu de personnes autour de nous, c’est ainsi que sans pudeur et dans l’obscurité, je retroussais ma jupe pour escalader cette bordure. Greg m’aida en me soutenant par la taille, puis lorsqu’il s’assura que je me tenais seule, il me lâcha.

Quelques minutes passèrent lorsque je sentis sa main caresser mon mollet. Quelques secondes passèrent avant que sa main remonte sous ma jupe entre mes cuisses. Je le laissais faire tant je trouvais délectable ses doigts qui complimentaient mes chairs entre le haut de mes bas et ma culotte. Nous étions dans la pénombre des arcades à l’égard de regards indiscrets pensais-je, sinon Greg ne se serait pas aventuré à ce jeu.

Ses doigts se glissèrent sous ma culotte et flattèrent mon pubis et mes lèvres boursouflées Il resta un moment à cette caresse tant il aimait mon sexe entièrement épilé. Un doigt s’insinua dans la commissure déjà humide. Il s’enfonça entièrement, puis il ressortit lentement. De sa phalange repliée, il crocheta ma culotte qu’il tira le long de mes jambes pour qu’elle finisse sa course sur mes chaussures. Sa main remonta le long de mes cuisses et ses doigts s’infiltrèrent à nouveau dans mon ventre. Je commençais à ne plus vraiment écouter le concert tant le plaisir qu’il me donnait, captivait tous mes sens. Ses doigts allaient en va et vient, ou bien ils astiquaient mon clitoris devenu turgescent. Ses doigts lubrifiés par le liquide de mon plaisir, glorifièrent la rosette de mon anus. Greg connaissait la jouissance que m’apportait toute pratique de cet orifice bénit des Dieux, aussi, après l’avoir encensé de sa caresse, son doigt s’y enfonça totalement ainsi qu’un autre dans mon vagin. Sa main s’était transformée en fourche et ses doigts me baisaient et me sodomisaient en même temps au milieu d’une foule inconsciente de la jouissance qui me secoua le corps.

Comme pour remercier Greg et aussi le tempérer je posais ma main sur ses cheveux. Mon corps se raidit et se glaça aussi vite que l’éclair ! La chevelure que ma main effleurait était grasse et gominée de gel, alors que mon mari a des cheveux bouclés et frisés. Je n’osais me retourner et regarder la personne que j’avais pris pour Greg. Je jetais un vif coup d’œil sur le côté. Greg était parmi les spectateurs à quelques mètres de nous.

Les doigts continuèrent leur va et vient. Jusqu’à cette usurpation d’identité je prenais du plaisir, devait-il s’arrêter parce que ces caresses n’étaient pas prodiguées par l’homme que j’imaginais ? A ce jour, je n’avais encore jamais trompé mon mari, mais involontairement c’était fait. La seule excuse que je me donnais, c’est que c’était involontaire, pourtant j’avais pris du plaisir !

Pourquoi me torturer l’esprit ? N’avais-je pas le droit de prendre du plaisir en dehors qu’avec mon mari ? Ma main avait cessé de contenter le crâne de l’homme que je croyais être celui de mon mari. L’homme continuait à tarauder mon intimité. Je n’étais plus réceptive malgré et à cause des antagonismes qui persécutaient ma frivolité.

Lentement je m’accroupissais pour être à sa hauteur. Ses doigts poisseux coulèrent de mes intimités tout en restant au contact de ma croupe. A son souffle chaud et haletant, je compris que mon visage était à la hauteur du sien. Je tournais la tête vers lui afin de découvrir la physionomie de l’homme qui m’apporta tant de plaisir avant que je ne découvre la supercherie.

Malgré la noirceur de l’endroit, je découvrit un homme d’une cinquantaine d’années, assez petit et très rondouillard, les cheveux gominés et plaqués en arrière. Un filet de moustache soulignait un visage de type méditerranéen, accentué par un costume gris à rayure.

- Mes doigts me disent que vous avez aimé, mais les vibrations de votre corps, elles me confirment que vous n’avez pas atteint la plénitude.

Je ne savais que répondre. Sans attendre sa main se plaqua sur mes fesses tandis que l’autre me saisit sous l’aisselle. Je décollais de mon rebord pour retrouver illico presto face à lui, ma culotte traînant à mes pieds. Je la ramassais immédiatement et la glissais dans la poche de mon tailleur. Mon regard se baissa vers lui, je le dépassais d’une demi tête.

- Merci de m’avoir aidez à descendre, je vais rejoindre mon mari, lui dis-je presque idiotement. Puis, encore plus idiotement je lui tendis la main pour le quitter.

Je fis un brin de toilette et je réajustais ma tenue. Quelques minutes plus tard je rejoignais Greg.

- C’est super, non ? me m’interrogea-t-il.

J’acquiesçais de la tête tout en pensant au plaisir que j'avais pris.
Cette première fois que je n’ai jamais avoué à mon mari fut le début d’une longue série de libertinage, où souvent le plaisir fut au rendez-vous.


Posté par Delphine
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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