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Bonjour ! Vous êtes nombreux, coquins et coquines a être venus vous encanailler ici ! On espère que celà vous plait. Enthousiastes ou décus, dites le nous ! Un comm' ne prend que quelques secondes, mais c'est notre carburant et le moyen de s'améliorer. Biz

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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 00:00

Fantasme de ma muse Québécoise … Je l’adore ! (vous verrez quelques expressions bien de là bas, c’est tellement craquant !)

Si vous avez aimé, dites le moi,  je lui ferais part de vos messages … et qui sait, vous aussi aurez peut être la joie d’entamer une relation coquine avec cette belle Québécoise, prénommée Solange !

 

Comme  tous les soirs, à mon arrivée à la maison après le travail, je me dévêts et me mets à l’aise.

Petit gilet blanc à bretelles et string.

Je vais au salon prendre les messages téléphoniques;  à ce moment de la journée, le soleil entre pleinement dans cette pièce. J’ouvre en totalité les rideaux pour laisser les rayons envahir la pièce.

En les ouvrant, je te remarque sur le balcon de l’édifice en face du mien, et qui est un hôtel:  un bel homme, la quarantaine, assis, sirotant une bière. Ta cravate et les premiers boutons de ta chemise sont défaits. Sûrement un homme d’affaire en visite dans notre ville, me dis-je.

 

Je me tourne et vais au répondeur qui affiche des messages en attente. Je me penche et presse sur le bouton. Je ne me soucie pas de mes gestes, puisque qu’ils sont naturels et répétés tout les soirs. Je ne me rends pas compte immédiatement que tu as une vue imprenable sur mes fesses quasi nues et ainsi cambrées quand je note les messages ; elles te sont ainsi offertes !

 

Je vais à la cuisine me préparer un petit repas, que je viens déguster au salon devant le téléviseur qui diffuse le bulletin d’informations.

Je pose mon assiette sur la table du salon et m’assoie dans le fauteuil.

Je me penche sur mon assiette pour en savourer son contenue.

Encore une fois, je ne me doute pas, que penchée ainsi, je te laisse libre vue à la naissance de mon buste.

 

Repas et informations terminés, je me lève pour éteindre le téléviseur et c’est à cet instant que je te remarque :  A la porte fenêtre de ton balcon, jumelles positionnées sur tes yeux et dirigées vers ma porte fenêtre. Eh là, tu m’espionnes ?

Non, je comprends que plutôt tu me mates les seins et les fesses.

Sur le coup, je suis mal à l’aise mais me sens très excitée de me sentir matée ainsi.

Je ne te laisse pas savoir que j’ai découvert ton manège, car je prends plaisir de me sentir regardée ainsi par un inconnu.

 

Je file à la douche et en ressort trempée : je ne m’essuie pas, enfile le même petit gilet blanc à bretelle et le string qui sied à merveille avec le gilet. Le gilet moule mon corps mouillé et laisse la transparence voulue. Je retourne au salon m’asseoir pour feindre d’écouter la télévision. Cette fois ci, je m’assois sur le divan qui fait face à la porte balcon. Au travers de ce gilet enduit d’eau, tu peux facilement distinguer la rondeur de mes seins et leurs larges auréoles foncés, qui sont à semi érigés par le froid que procure l’eau et par mon excitation de te les dévoiler ainsi. Bien calée dans le divan, mon petit gilet remonte sur mon ventre, laissant apparaître mon nombril. Mon string déjà translucide à sec, me colle au pubis ainsi humecté d’eau. La seule parcelle de poils ras, en forme de triangle sur mon pubis est nettement voyante.

 

Je feins toujours de visionner la télé. De temps à autre, je bouge pour feindre de trouver une position plus confortable. En bougeant, j’écarte un peu plus les jambes, puis les referme, quelques instants plus tard, juste assez de temps pour que tu puisses apercevoir mon entrejambes et la ficelle qui se perd entre mes fesses. La fois suivante, je bouge afin que le triangle qui recouvre mon pubis, s’introduise un peu à l’extrémité de ma fente. Tu distingues nettement, le début de mes grandes lèvres lisses. Je suis excitée de te laisser entrevoir ces parties intimes de mon corps.

 

Sans avertissement, j’écarte les jambes et enfouie au maximum le devant de mon string entre mes lèvres. Mon index vient flatter mes grandes lèvres tout en les admirant. Je fais ce mouvement longuement. Dring Dring…le téléphone stoppe mes caresses. Je me lève, vais au téléphone, je te fais dos. Mon petit derrière nu à ta vue. C’est une copine à moi, la discussion se prolonge et lorsque je raccroche, tu n’es plus là. Déçue, mais une folle envie de me donner plaisir est toujours là. Au lit, je me caresse et me donne plaisir par mes doigts. Longuement et jouissivement, j’atteins un bon orgasme, puis m’endors.

 

Le lendemain, à mon arrivé à l’appart, je ne me dévêts pas immédiatement : Je me sers une coupe de vin rosé, et vais la déguster au balcon. Tu y es, bière en main. Je porte une jupe et un chemisier. Mon soutien gorge à balconnets relève mes seins et les enserre pour laisser un sillon prolongé de mes seins. Le chemisier assez plongeant laisse voir cette beauté. Ayant presque terminé mon apéro, ta voix retentit :

 

    * Belle journée, n’est pas !

    * Effectivement, très belle journée ! Vous êtes ici par affaires ?

    * Oui, encore pour deux jours, ensuite je retourne de l’autre coté de l’océan.

    * Et bien, bonne fin de séjour dans notre ville.

    * Merci et au plaisir……

 

(au plaisir ??? que voulait-il dire ? )

 

Sur ce, j’entre dans l’appart et vais à la chambre me mettre à l’aise. Toute la journée, je n’ai que pensé à ce moment. L’excitation a été présente en moi, une bonne partie de cette longue et interminable journée. J’enfile un gilet à bretelles rosée et un string de la même couleur. Je vais au salon, prends mes messages, passe à la cuisine me préparer un repas que je déguste au salon devant les nouvelles, la routine quoi !

 

Ensuite, je me cale dans le divan.

 

Tu es là avec tes jumelles.

 

Et bien ce soir, mon cher voyeur tu en auras plein la vue.

 

J’allume la radio, une musique douce et érotique envahi mon salon. Lentement, je glisse ma main sous mon gilet pour me flatter le ventre. Progressivement cette main remonte vers mon sein droit. Je le flatte, le masse. Mon autre main empoigne la bas de mon gilet pour le relever et laisser ce sein à jour avec ma mains qui le caresse. Je retire ma main pour te le laisser voir dans toute sa splendeur. Doucement, je dévoile son jumeau. Mon gilet positionné sur le haut de mes seins, les compresse vers le bas. Beau tableau. Mes deux mains, viennent sur chacun d’eux et les caressent. J’appuie ma tête sur le dossier du divan et savoure ces délicieuses caresses. Le bout de mes doigts font des cercles sur mes mamelons qui s’érigent de plus en plus. J’arrive à les faire rouler entre mes doigts. Je les pinces. Les tires. Hummm…. Je reviens masser mes seins et alterne avec les caresses de tétons.

 

Au bout d’un certain moment, ma main droite aventureuse quitte mon sein et glisse sur mon ventre pour venir s’introduire sous mon string. Je caresse longuement mon pubis et mes grandes lèvres. J’écarte un peu les jambes, puis lentement, mon index s’introduit entre mes lèvres pour en caresser mes plus petites lèvres. Je suis si excitée que la quantité de cyprine est abondante. Humm…. Je vois très bien que tu ma mates, mais aussi que tu as ton sexe en main. WOWWWWW…….cela stimule encore plus mon désir de jouir et que la fougue s’empare de mon corps, moi qui habituellement préfère de longues et langoureuses masturbations. Te voir me mater en te masturbant m’excite tellement que je crois pouvoir jouir sans me toucher.

 

Ma main s’active dans mon sexe mouillé. Je te fixe et ta main coulisse sur ton membre. Ton autre main maintient les jumelles positionnées sur tes yeux. Ma main s’active en moi, mon autre main vient écarter le string de mon pubis pour le diriger vers mon aine. Tu peux maintenant bien voir les doigts dans mon antre mouillé, qui vont et viennent. De mon pouce, je me clitoune.

 

Tu te branles encore plus vite, je ne peux pas te détailler aussi facilement que toi, mais tu m’excites tellement. Mes doigts s’agitent encore plus dans mon sexe, ma tête bascule vers l’arrière, mon corps se raidit et le plaisir m’envahit. Un long et orageux orgasme transperce mon corps. Je le savoure longuement. Puis tempête, terminée, j’ouvre les yeux pour apercevoir le dernier jet de sperme surgir de ton sexe. Tu te termine en beauté.

 

Je me lève, t’envoie un léger un bisou de ma main et glisse le rideau. J’eus beaucoup de difficulté à trouver le sommeil ce soir là. Au petit matin, à mon départ pour le travail, je décide de laisser une petite enveloppe qui t’est destinée à la réception de l’hôtel :

 

‘’ Si vous désirez assister et participer à un autre spectacle, et ce de plus près, sans jumelles, je vous invite ce soir 20h00. Confirmation sur mon e-mail : solxxx@hotmail.com ‘’

 

Dans la matinée, tu me confirmes ta présence.

 

Pendant la journée, je t’envoie quelques messages coquins. Tu m’en envois aussi. Ils deviennent de plus en plus chauds et de plus en plus personnels. Tu as apprécié mes seins et leurs larges auréoles foncés. Encore plus lorsqu’ils sont fripés. J’avoue que moi, je n’ai pas eu cette chance de te voir de plus près et qu’il me tarde de faire connaissance de ton membre masculin. Nous discutons de nos préférences, de ce qui nous fait craquer etc…….

tu m’avoues avoir bandé pendant la journée à chaque instant où tu pensais à cette soirée.

Je te confirme que je saurai être une hôtesse à la hauteur !

 

Je suis très très échauffée, pour cette soirée !

 

J’arrive à la maison, et en attendant ta visite, je prends une bonne douche. Je me poupoune, crème, parfume, remonte mes cheveux en chignon, enfile un body de dentelles string noir, des bas attachés aux jarretelles et des escarpins à talon !

Sur ce, j’enfile une robe noir courte et moulante.

 

Tu sonnes, ponctuel … Tu as un magnifique bouquet dans les bras. Sourires échangés, nous nous faisons la bises, et je file vers la cuisine chercher un vase … je sens ton regard dans mon dos

 

Puis nous passons au salon :

 

    * Donc, vous êtes en voyage d’affaires dans notre ville ?

    * Oui, je termine demain, je m’envole pour la France en fin de journée

    * C’est donc votre dernière soirée dans notre pays

    * Et oui, et en charmante compagnie en plus.

 

Tout en discutant, je suis assise dans le fauteuil et lui sur le divan. La jambe croisée et le bas de ma robe courte remonte un tantinet. Il peut apercevoir le haut de mes bas et deviner qu’ils sont jarretelles.

 

    * Espionnez-vous souvent les gens, comme vous l’avez fait hier soir ?

    * Dès qu’une occasion aussi charmante que celle d’hier soir se présente, je ne peux y résister. Et vous êtes vous souvent exhibitionniste comme hier soir ?

    * Non, en fait, c’était la première fois. Parfois à la plage, mais pas aussi érotiquement.

    * Vous étiez très bandante !

    * Vous transportez toujours vos jumelles avec vous ?

    * Certain, au cas où, en plus lorsque je loge à l’hôtel, s’il y a lieu, je prends une chambre qui à fenêtre sur un autre chambre ou pièce, comme la vôtre.

    * Désirez-vous quelque chose à boire.

    * Avec plaisir.

 

Je me rends à la cuisine en me dandinant le petit derrière.

 

Je reviens au salon, te présente ton verre, bien assis dans le divan et moi debout, ta main vient glisser sous ma jupe, pour confirmer ce que tu doutais.

 

    * Je m’en doutais, aucune couture apparente au travers de ta robe. Un petit string ?

    * En fait, oui un string mais un peu spécial.

    * Spécial, humm…tes fesses sont d’une douceur……

 

Ta main continue de flatter mes fesses…..

 

    * tu es vraiment excitante dans cette tenue !

    * Je suis heureuse de pouvoir t’exciter, bel homme, dis-je en déboutonnant ta chemise.

 

Je retire ta chemise, la retire, abaisse ton pantalon pour découvrir ton boxer bien rempli par ton sexe érigé. Tu te lèves pour retirer entièrement ton pantalon.

 

    * À mon tour de découvrir tes dessous…..

 

Nos regards sont soudés, tu remontes le bas de ma robe et doucement la fait glisser au dessus de ma tête.

 

Tu me fais reculer et nous nous admirons l’un et l’autre. Je pivote sur moi pour te laisser voir mes fesses. Tu fais de même. Quelles paires de fesses tu as. Tu te diriges vers ton sac et en retire un appareil photo :

 

    * oh ! non mon chéri, je ne peux pas !

    * Laisse moi t’immortaliser ! Revenu chez moi, je les dégusterai à plusieurs reprises.

    * À une seule condition, je ne veux pas que mon visage apparaisse sur aucune photo.

    * Promis ma belle.

 

Tu prends une première photo de mon corps ainsi debout devant toi. Tu me demandes de me pencher vers l’avant pour prendre un bon plan de la fente de mes seins enserrés par le haut de mon body. Ainsi compressée, la fente s’allonge.

Tu me demandes de me retourner et prends un cliché de dos. Je me penche et la : clic -  un plan de mes fesses nues. Tu m’indiques d’écarter mes fesses avec mes mains pour voir la ficelle entre mes fesses. Clic. Puis tu me dictes de prendre cette même ficelle et de la diriger sur ma fesse droite pour laisser la vue à la lentille de ma raie et de mon cul nu. clic

 

Tu me demandes de m’asseoir sur le fauteuil, toi à genoux devant moi avec ta caméra. Clic, je pose une jambe sur l’appui bras. Clic, cette jambe sur l’appui bras te laisse voir la ficelle qui de la fin de ma raie continue dans ma fente pour venir s’élargir sur mon pubis. Clic.

 

Je m’empare de la caméra. Tu es debout, sexe semi durcit, bien caché dans ton boxer moulant. Clic. Tu pivotes, belles paires de fesses . Clic.

 

Je te demande de t’asseoir sur le divan. Clic. Je viens sortir la moitié de ta queue de ton boxer sur ton ventre, elle est encore tout entière vêtue. Clic. Je sors une couille sur le coté de ton boxer. Clic. Je me permet de dévêtir juste le tout bout de ton gland. Clic. Le dévêt à demi. Clic et re clic, je ne veux vraiment pas rater cette photo, c’est trop beau. Je te masturbe un peu par dessus ton boxer pour te rendre entièrement bandé. Clic. Je tire ton prépuce pour laisser la totalité de ton gland nu. Clic et re clic. Je te masse un peu encore pour laisser surgir une grosse goutte de liqueur sur le somment de ton méat. Clic re clic et re clic. Je mouille trop beau. J’étale cette goutte pour rendre ton gland entièrement luisant. Clic clic. Oufffff…

 

Mes mains tremblent à cette vue. Je dépose la caméra. Et ma bouche se dirige vers ton gland irrésistible dans cet état. Je dépose mes lèvres serrées sur le tout bout. Tenant mes lèvres légèrement serrées, je fais une succion pour l’introduire graduellement dans ma chaude bouche. Humm. Une fois ton gland dans ma bouche, ma langue valse tout autour lentement, tout en continuant de lui prodiguer une légère succion. Une main masse tes couilles, une dévêtue et l’autre encore cachée. Je te suçote et te caresse la base de ton gland avec ma langue longuement. Puis sans retirer ma bouche de son bonbon, je prends ton boxer sur tes hanches et tu soulèves légèrement le bassin pour que je puisse le retirer et qui se retrouve au niveau de tes genoux. Rendu là, tu fais en sorte avec tes jambes et tes pieds, de le retirer.

 

Te voilà entièrement nu, la base de ta queue et tes couilles libres aux caresses. Je laisse temporairement ton gland, ma langue et ma bouche explore la totalité de ton membre et tes couilles, allant même au périnée et dans ta raie. Revenant à tes couilles, je les enrobe de ma bouche tour à tour pour les sucer doucement. Ma mains enrobe ta queue à sa base et lui procure un très petit va et vient. Tu sembles bien. Tes soupirs me le confirment.

 

C’est tellement bon. Tu goûtes ce qu’il y a de meilleur. Je commence lentement à m’affoler. J’adore ton sexe. Mes lèvres reviennent lentement vers ton gland en bécotant et léchant la longueur de ton membre. Le bout de ma langue vient pénétrer et farfouiller ton méat. Une main te masturbe la base de ta queue et l’autre masse tes couilles. J’insiste encore un peu sur ton méat, puis mes lèvres encore une fois enserrées se posent sur le bout de ton gland pour l’aspirer plus fortement cette fois dans ma bouche, continuant sur ton membre pour qu’il se retrouve entièrement dans ma bouche dévoreuse. Je te suce de longs et lents va et vient. Tu gémis ton appréciation. Je te suce très longuement à ce rythme régulier.

 

Tu t’excites un peu plus, je le sens. Je freine le tout en venant doucement t’embrasser, puis revient t’aspirer la queue plus fortement. Ma cadence augmente un peu. Tu râles. Et m’encourage en paroles. Je te suce encore plus. Tes gémissements sont plus prononcés. Une main te masse le périnée, et ma bouche te suce encore et encore. Ton gland frappe le fond de ma gorge à chaque aller. Ma main quitte ton périnée, et viens à la source de ma chatte pour s’y humidifier. Je te dévore la queue et mes doigts humides cherchent ton petit anneau fripé. Ils le trouvent, le massent un peu, il se distend rapidement pour accueillir mon doigt en lui. À ce moment, ma bouche débute un pompage en règle et mon doigt des va et vient réguliers. Tu grognes ton plaisir, tu m’y encourages. Voilà ma bouche vorace te pompe d’une façon effrénée. Je te sens tout près, ta queue sursaute, je m’applique encore plus. Puis le premier jet atteint le fond de ma gorge, puis un autre et s’en suit les autres. Je t’avale littéralement à ta grande satisfaction.

 

Lentement, la cadence diminue. Je retire lentement mon doigt de ton petit cul. Ma bouche nettoie lentement ta queue, ma langue ne laisse aucune parcelle pas nettoyé, même le repli de ton prépuce où j’insiste un peu plus longuement.

 

Je me relève et viens me blottir dans tes bras. Nous restons ainsi un bon moment. J’admire ton sexe revenir à son état de repos. C’est magnifique le corps humain et tellement génial à regarder ces phases.

 

    * Tu m’as sucé comme une diablesse !

    * J’adore ta queue, mon chéri !

    * Et moi je t’adore tout simplement !

 

Nous nous embrassons longuement.

 

    * Tu veux quelque chose à boire !

    * Avec plaisir !

 

Sur ce, je me lève et te fais un clin d’œil. je te regarde un peu, bien calé dans le divan, couilles reposantes sur le coussin du divan, queue amollie sur ta cuisse, humm.. je saisis la caméra. Clic. Je te fais un bisou et me dirige à la cuisine, toujours vêtue de mon body, bas et escarpin. En chemin, je mes dandine les fesses nues à ta vue. Je fais un écart vers la chambre pour te préparer une petite surprise…..

 

Je reviens au salon et t’offre ton verre. Je bois une gorgé du mien et le dépose sur la table. Tu as la caméra en main. Je sais très bien ce que tu veux. Debout devant toi, j’abaisse ma bretelles droite sur mon bras. Clic. Je la retire. Je fais le même manège avec ma bretelle gauche. Clic. Je descends le haut du body sur le tout haut de mes seins. Clic. Puis un peu plus, laissant apparaître le tout haut de mes mamelons. Clic. Dévoile la moitié de ceux-ci. Clic. Puis les voici, heureux d’être photographier, bien excités. Clic. Un peu plus de seins. Clic. Puis les voilà en entier. Clic.

 

Je lèvre les bras au dessus de ma tête, positionnant mes mains derrière ma tête pour gonfler le torse et te les offrir dans leur splendeur. Clic, clic. je me penche vers l’avant pour les laisser pendre dans le vide. Clic. Je les enserre ainsi pendant. Clic. Je les sépare. Clic. Mes pouces et index pincent mes tétons. Clic. Toujours pendant dans le vide, je tire mes tétons vers le bas. Clic. Je tire un peu plus, ce qui difforme mes seins pendant. Clic.

 

Je reviens en position debout. Clic. Mes tétons sont encore plus bandés. Clic. Je me mets de coté. Clic. De l’autre coté. Clic. Je reviens face à toi et abaisse mon body sur mon ventre laissant apparaître mon nombril. Clic. Je retire mes escarpins. Clic. Mes mains viennent détacher mes bas. Clic. Je roule le bas droit sur ma cuisse. Clic. Puis l’autre. clic. Je les retire. Clic. Je te tourne le dos et te laisse voir le mi dos, fesses et derrières des cuisses nus. Clic.

 

Je reviens face à toi. J’abaisse encore un peu le body à la naissance du pubis. Clic. Puis encore un peu pour entrevoir la base de mon triangle poilu. Clic. Encore plus, voici mon joli petit triangle et à limite de ma fente. Clic. Un peu plus, demie grandes lèvres apparentes. Clic. Puis voilà, je laisse choir le body à mes pieds. Clic. Clic. Clic.

 

Je remarque que ta queue a repris un peu de volume. Je présente mon corps à la caméra, mais tout en restant soft. Clic. Clic. Clic. Debout devant toi, j’écarte un peu les jambes, laissant la vue de mes petites lèvres curieuses, dépassant de mes grandes. Clic. Tu peux maintenant apercevoir la surprise que je voulais te faire. Une ficelle blanche pend entre mes jambes. Clic. clic .

 

De derrière, je te présente ma croupe. Clic. Mon étoile. Clic. Me penche encore un peu, mon sexe à demi ouvert et mes petites lèvres bien apparentes et luisante par mon excitation de poser pour toi et toujours cette ficelle qui sort de mon vagin Clic. Clic. Je dandine un peu mes fesses pour faire mouvoir les boules en moi. C’est le silence total, donc tu peux entendre un son sourd de mes boules qui se frappent en moi. Re-debout devant toi, je bouge mon bassin plus fortement pour vraiment faire frapper un peu plus fort ces boules qui me donne un certain plaisir. Clic.

 

Je vais m’asseoir sur le fauteuil et pose une jambe sur l’appui bras, ce qui a pour effet d’écarter un peu mes lèvres. Clic. La ficelle repose sur le banc du fauteuil. Clic. Mon index et majeur en V viennent écarter légèrement le haut de ma fente pour laisser surgir mon clito. Clic. Il est bien ainsi sorti de sa cachette, sa couleur rosé luisante lui donne du charme. Clic. Je pose l’index de mon autre main dessus et le masse doucement. Clic. Je soupire. Clic. Je laisse mon clito pour l’instant. Mes index et majeurs de chaque mains viennent se poser sur mes grandes lèvres et graduellement les écarte. Clic. Clic. Encore un peu. Clic. La caméra peut maintenant bien capter mon sexe béant ouvert et luisant de cyprine. Clic.

 

Cette ficelle. Clic. Mes pouces et index empoignent mes petites lèvres et les font glisser entre ceux ci. Clic. J’étire mes petites lèvres vers l’avant. clic. J’étire encore. Clic. Puis toujours en les tenant bien tendu, je les écarte vers l’extérieur. clic. Tu peux très bien distinguer l’entrée de mon vagin d’ou cette ficelle cache quelques chose. Clic. Re clic.

 

Mes doigts viennent prendre cette ficelle blanche et la tirer un peu. Clic. Un peu plus. Clic. On peut apercevoir le sommet de la première boule. Clic. Elle est marbrée de bleu et de blanc. Clic. (pour la beauté des photos, j’ai enfilé mes plus grosses boules ) Je tire un peu. Clic. Mon vagin s’élargit. clic. La moitié de la boule est apparente. Clic. Vagin distendu et demi boule luisante. Clic. J’enlève mes doigts de la ficelle pour laisser encore mieux voir. Clic. Ainsi positionné, je fais sortir la boule sans tirer sur la ficelle, juste une contraction de mes muscles vaginaux font surgir l’autre moitié de la boule qui vient pendre au bout de la ficelle qui la relie à sa jumelle encore en moi. Clic. Clic.

 

Pour le besoin d’une photo, je me lève debout, fléchi un peu les genoux, écarte les jambes. Ainsi, une boule dans le vide entre mes jambes, retenue par une ficelle qui sort de mon vagin. Clic.

 

Je retourne m’asseoir, pose les deux jambes sur les appuis bras, écarte mon sexe et saisis la ficelle pour faire surgir tout aussi lentement que la première, la deuxième boule. Clic. Clic. Clic. Les deux boules sortis, mon vagin légèrement ouvert et trempé. Clic.

 

Afin de te rappeler que tu as toi même vécu cette séance de photos, tu t’approches de moi. Caméra à la main droite, ta main gauche vient se poser sur mon pubis. Clic. Tu flattes mes lèvres lisses. Clic. Tu caresses le débordement de mes petites lèvres qui sont très luisantes. Clic. Afin de te faciliter la tâche, car ta main droit n’est pas disponible, j’écarte mes lèvres. Clic. Ton index caresse mon clito. Clic. Descend dans ma fente ruisselante. Clic. Tu t’amuses avec mes petites lèvres. Clic.

 

Ton index se positionne à l’entrée de mon vagin. Clic. Il y entre doucement. Clic. Clic. Clic. En ressort maculé de ma mouille. Clic. Clic. Tu y prends goût et y retourne. Clic. Tu fais des ronds avec celui ci à l’intérieur. hummm…je soupire. Tu lèves les yeux, je me masse les seins. Clic. Me triture les tétons. Clic.

 

Tu reviens à ta main. Tu m’enfiles ton index en ajoutant ton majeur. Clic. Tu les ressors. Clic. Tu les entres et sorts plus rapidement. Clic. Tu tentes un troisième doigts … hummm.. Clic. Je gémis. L’index de ma main gauche vient dans l’objectif de la caméra, pour me clitouner. Clic. Clic. Clic. Tes doigts ressortent et viennent enduire mes grandes lèvres douces de mouille. Clic. Tu les enduis encore et encore. Elles sont parfaitement mouillées et brillantes. Clic. Tu me fais écarter encore plus. Tu dirige mon bassin à la limite du siège du fauteuil. Écartelée ainsi, tout est accessible. Tu caresses ma raie avec de mon jus. Clic. Tu humectes maintenant mon anneau fripé. Clic. Il frissonne sous tes doigts. Clic.

 

Quelle position et état impudiques. Largement écarté, grandes lèvres brillantes, vulve trempée, raie et étoile bien dorés. Clic. Ton index se place en position sur mon anus. Clic. Le tout bout y entre. Clic. Un peu plus. Clic. Tu fais des ronds pour distendre encore plus. Clic. Tu y entre ton doigt en entier. Clic. Je gémis de plaisir. Tu me pistonnes un peu plus. Clic.

 

Je suis dans une excitation extrême, sous tes caresses et tes clics de caméra. Tu assouplies encore plus mon petit trou Clic. Une main avec la caméra et l’autre un doigt fiché dans mon petit trou que tu pistonnes et qui me donne de bonnes sensations. Ma main droite descend vers ma vulve en feu. Mes doigts s’agitent en elle, en alternant sur mon clito si réceptif. Clic clic. Mon autre main malmène mes seins et mes tétons. Lentement, mais sûrement, cette double pénétration doigtale me mène au sommet d’un long orgasme.

 

Clic. Clic. Je récupère lentement de ce plaisir. Clic clic.

 

    * C’était si bon !

    * Tu es si belle lorsque tu jouis !

    * La jouissance est un plaisir indescriptible, dont je ne peux me passer !

 

La soirée ne fait que commencer……

Par Libertins49 & Solange, sa Muse - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 00:00

Presque chaque samedi, je la croise au supermarché.

Elle ne passe pas inaperçue, c'est une très belle femme, de celles qui me font fantasmer …

Plusieurs fois, nous nous sommes croisés dans les rayons, échangeant quelques banalités (pardon ! excusez-moi ! ce n’est rien ! …)  mais je serais surpris si, comme pour moi, ces rencontres l’ont marquée.

La quarantaine, assez BCBG, elle est toujours en jupe ou en robe, assez bien maquillée, aucun cheveu qui ne dépasse, le genre de femme d’allure stricte, qui ne m'attire que par le fantasme … Et si derrière ce masque hautain, se cachait une bourgeoise sensuelle, voire dépravée ?

Ce matin-là, je ne sais pas pourquoi, j'ai tout de suite remarqué les plis que faisait le voile sur ses chevilles. Mon sang ne fait qu’un tour : Madame porte des vrais bas, et non pas de simples bas ‘’modernes’’ fait de lycra qui épouse parfaitement la jambe … et quand on se donne la peine de revêtir de tels atouts, je parierais bien qu’elle a revêtu un porte-jarretelles !

À cette idée, une légère érection envahit mon pantalon. J'ai instantanément décidé de la suivre pour tenter de vérifier mon hypothèse et de répondre à cette question devenue essentielle en ce début de journée : mais que fait cette bourgeoise en bas et porte-jarretelles (j’en suis convaincu, il reste maintenant à en être sûr) ce samedi, de si bon matin ?

Oubliant ma liste de courses, je la suis à distance, ce qui me permet de la détailler plus qu'à l'habitude. De taille moyenne, elle est mince et élégante, elle porte une jupe au-dessus du genou et un chemisier de soie blanche qui laisse deviner une poitrine ni petite ni grosse mais dont le léger balancement n'est pas sans effet sur mon sexe. Elle porte un imperméable beige fendu derrière qu'elle a rapidement ouvert du fait de la température agréable du magasin. Je la suis dans les différents rayons, en chargeant mon Caddie avec tout ce qui me tombe sous la main. Au détour d'un rayon, je rencontre Jacques, un ami que je n'ai pas vu depuis quelques semaines. J'essaie vainement d'abréger notre conversation, lui faisant comprendre que je suis pressé … Trop tard je l'ai perdue ! ! !

Le magasin est vaste et ma recherche risque de prendre du temps !

La chance me sourit toutefois : Au détour d'une allée par laquelle je décide de couper au plus court, nos Caddies se heurtent ! Nos regards se croisent, et nous échangeons un sourire … Charmé, je bredouille des excuses et file en essayant de paraître le plus naturel possible ; j'ai eu le temps de remarquer qu'elle avait posé son imper sur le chariot.

Un peu plus loin, je me retourne et mes yeux restent posés sur cette silhouette dont la vue est très agréable. Je décide de faire immédiatement demi-tour et de trouver enfin réponse à ma question.

En me rapprochant, je remarque que sa jupe noire est assez fluide, croisée devant, et les petites déformations sur les côtés me confirment qu'elle est en porte-jarretelles. Un coup d'œil à sa croupe m'informe que, soit elle porte un string minimaliste, soit elle ne porte rien ! ! ! !

Je sens mon sexe se dresser quasi instantanément et tendre mon boxer comme s’il avait décider de le faire exploser … Une érection puissante … heureusement, ce matin là, je suis en jean, ce qui minimise un peu la vision qui transparaît de mon entrejambe sous pression … Toutefois, une bosse virile vient déformer mon bas ventre, qui ne laisserait aucun doute à un œil acéré !

La question des bas étant tranchée, celle du tissu recouvrant la croupe de cette charmante créature m’obsède maintenant : C'est au moment où mon imagination fertile balance entre string et nudité que ma petite bourgeoise, voulant attraper un paquet de pâtes, manque faire tomber toute la rangée.

Elle reste là sur la pointe des pieds, essayant d'éviter la chute des boîtes … en un éclair, je me jette à l’eau et je m'approche afin de l’aider à retenir cet équilibre instable ! Ce faisant, je manque à mon tour te tomber, et reprends équilibre d’une main sur la gondole, de l’autre sur sa hanche … J’ai senti la matière du serre-taille ! Etonnée, elle se retourne, vraisemblablement furieuse, mais (est-ce en me reconnaissant !?) son visage d’abord fermé s’éclaire d’un nouveau délicieux sourire !

-        Je voulais vous aider !

      -        Mais, Monsieur, vous le pouvez encore, car rien n’est      solutionné là haut ! me répondit-elle en montrant le haut du rayonnage d’un geste du menton !

Prenant alors bien soin de me coller derrière elle, je l'aidai à stabiliser la pile de boite afin d’éviter leur chute. À cet instant, mon sexe en érection étant appuyé contre le galbe de ses fesses, elle ne pouvait pas ignorer l'effet qu'elle me produisait. Les pâtes rangées, elle me remercia, en jetant rapidement un œil à la bosse de mon pantalon. De nouveaux remerciements,  et elle poursuivit ses achats. Il m’avait toutefois semblé voire le rouge lui monter aux pommettes !

Nonchalamment, je la suivi … au premier retour de gondole, elle me regarda (elle avait du sentir ma présence …). Il me sembla alors que sa démarche se faisait plus féline. Elle marchait comme pour un défilé de mode, faisant onduler sa croupe sur ses longes jambes gainées de nylon et perchées sur de beaux escarpins.

Aussi, je ne fus que moyennement surpris quand une boîte chuta de son chariot. Je me précipitais pour le ramasser, mais elle avait été plus rapide que moi et, prenant soin de ne pas plier les genoux, elle se pencha pour la ramasser. Le spectacle qu'elle m'offrit était très agréable. Par son geste, la jupe en remontant, dévoila le haut de ses bas, les jarretelles et la naissance de ses petites fesses. Nos regards se croisèrent de nouveaux, brûlants cette fois et c'est à ce moment-là que je décidai de ne plus la lâcher et de ne pas m’en cacher.

Elle le comprit très vite et se dirigea vers le rayon des sous-vêtements féminins. Elle prit soin de choisir dans la lingerie la plus sexy : quelques strings, une guêpière, un porte-jarretelles. À une ou deux occasions, sa maladresse me permit d'assister au même spectacle de ses cuisses dénudées. Alors qu’elle était accroupie, jambes tournées dans l’axe de l’allée pour fouiller plus à son aise le présentoir et trouver sa taille, ses jambes subrepticement écartées m’avaient laissé entr’apercevoir une jarretelle et la tension si caractéristique que fait l’attache sur le revers du bas ! L’ambiance était moite, électrique … ce fut elle qui repris l’initiative

Soudain, elle fit demi-tour dans ma direction et me demanda :

- Voulez-vous me donner votre avis sur mon choix ?

Je m'apprêtai à lui répondre, quand elle me devança :

- Venez avec moi !

Et elle se dirigea vers les cabines d'essayage.

Après avoir laissé mon chariot, je la suivis.

À cette heure matinale, les cabines étaient désertes et l'employée préposée au rayon s'affairait à ranger les vêtements abandonnés la veille par les clients.

Ma belle bourgeoise s'engouffra dans une cabine et, quelques instants plus tard, sa tête apparut entre les rideaux. Elle me fit signe d'approcher.

Je n'en pouvais plus d’attendre et, lorsque je passai la tête pour la voir, mon sexe était au plus fort de son érection et mon boxer avait beaucoup de mal à le contenir.

Le spectacle que je découvris allait au-delà de ce que j'avais pu imaginer quelques instants avant. Elle avait ôté sa jupe et son chemisier et enfilé la guêpière rouge et noire. Elle était là devant moi, face à moi, resplendissante de provocation. La guêpière soutenait sa poitrine qui n'en avait certainement pas besoin, ses tétons dressés pointaient fièrement dans ma direction. Ce vêtement lui faisait une taille fine au dessus d'une chatte partiellement épilée, surmontée d’une fine toison taillée en triangle pointe vers le bas, comme une invite vers son clitoris turgescent ; ses lèvres, gonflées, avaient du mal à cacher le plaisir et le désir. Les jarretelles tombaient sur de longues jambes et ses chaussures hautes leur donnaient encore plus de finesse. Je n'en pouvais plus ! ! ! !

- Qu'en penses-tu ?

Déconcerté par le ton familier et parfaitement neutre de sa question, je ne trouvais d'autre réponse que de pénétrer dans la cabine pour l'embrasser fougueusement. Elle approuva visiblement cette initiative et profita de cette étreinte pour promener ses mains sur la bosse proéminente de mon pantalon. Mes mains n'arrêtaient plus de parcourir son corps, de lui peloter les seins, de fouiller sa chatte dont l'humidité confirma l'état de son désir.

En quelques secondes elle m'ôta mon pantalon et, après avoir découvert le boxer que je portais, elle commença à masturber mon membre qui, à l'étroit dans le tissu, commençait à bouillir. Elle s'agenouilla et écarta le tissu, libérant mon sexe. Sa langue commença des allers et retours sur ma hampe et, alors qu'elle découvrait mon gland de sa main experte, elle engloutit la totalité de mon sexe dans sa bouche. Elle prit très rapidement un rythme soutenu et en quelques minutes je sentis le plaisir envahir ma chair. D'un geste expert, elle tira mes testicules vers le bas, provoquant une légère douleur, mais surtout l'arrêt net d'une éjaculation qui allait devenir inévitable.

Elle se redressa et, me posant les mains sur les épaules, m'indiqua ouvertement que mon tour était venu de lui procurer du plaisir. Je posai ma langue sur son sexe imberbe et commençai par de petits coups à titiller ses lèvres, puis son clitoris qui, bien que déjà gonflé de plaisir, se raidit encore. Elle enfouit ma tête entre ses cuisses et sa respiration devint plus haletante.

Alors que je la sentais au bord de l'orgasme, elle se retourna et prenant appui sur le banc de la cabine, elle m’exhiba ce cul que je reluquais depuis que je l’avais croisé ce matin là. Le spectacle était de toute beauté, la guêpière lui soulignait la taille, deux jarretelles marbraient une croupe parfaite, très lisse et très ferme pour l’age que je lui avait attribué … sa peau était couverte de chair de poule, traduisant son excitation et parsemée d’un fin duvet blond et quasi invisible ! Sur l’arrière de ses cuisses s’arrêtait la dentelle de ses bas.

Elle écartait ses fesses, assez impudiquement et je pus alors découvrir ses mains, auxquelles je n’avait pas prêté attention jusqu’alors … très fines, les ongles manucurés, elles témoignaient elles aussi, du soin qu’apportait cette Bourgeoise à son corps et à son apparence.  Sans un mot, dans un silence religieux, elle m'invitait ainsi à la pénétrer. J’aurais voulu prendre du temps, me repaître de la vision de ce derrière si impudiquement offert à mes regards, à mes assauts, … mais n’y tenant plus et de crainte que le rêve ne se brise, je présentai mon sexe sur sa vulve chaude et humide et la pénétrai par petites saccades. Je fis plusieurs aller-retour, alternant douceur et vigueur, puis, alors que m'étais complètement retiré, je la défonçai d'un seul coup, provoquant un cri de surprise et de plaisir. À partir de cet instant, il ne nous fallu que quelques secondes pour qu'après de grands coups de butoir au plus profond de son sexe, nous éclations ensemble dans un orgasme monstrueux qui nous avait fait oublier où nous nous trouvions.

Après quelques instants, ayant repris nos esprits et réajusté notre tenue, ce qui me permit de constater qu’elle ne portait aucun sous vêtement autre que SG, PJ et bas, nous quittâmes ensemble la cabine. Elle remit nonchalamment à la vendeuse l’ensemble de la lingerie qu’elle avait choisi en ma présence, lui précisant :

-    Ce n'est pas tout à fait mon style

La vendeuse, qui ne pouvait plus ignorer notre manège depuis le témoignage sonore de notre jouissance ultime, n’en revenait pas … C’est à ce moment que le portable de ma belle Bourgeoise sonna …

-   Allo ?

-   … 

-   Oui, c’est cela …

Elle me fit un petit geste de la main, et s’éloigna pour poursuivre la conversation en toute discrétion. J’entendis quelques bribes de conversation

-    Oui, je rentre …

-    

-    Là maintenant ?

-   

-     oK, si c’est nécessaire, j’y vais … mais tu sais, j’avais rempli le chariot et vais devoir le laisser si je dois faire aussi vite !

Elle ne manquait pas de répartie, et cela me la rendait encore plus sensuelle, encore plus salope ! Elle venait de se faire tringler dans une cabine de supermarché, et elle culpabilisait celui qui, semblait-il, lui reprochait son retard et lui demandait de la rejoindre au plus vite !

Elle laissa son Caddie et fila vers l’entrée … En un éclair, je pris la même décision …

La suivant sur le parking, d’un pas rapide car elle semblait vraiment pressée, mon regard fut attiré par une imperfection  qui venait gâcher la vue sur ses jambes … Il me fallu un bref instant de réflexion pour comprendre que cette tache qui s’élargissait vers le bas, sur son mollet … était une trace du sperme que je lui avais puissamment déchargé dans la vulve.

Elle semblait ne pas l’avoir remarqué, et marchait toujours d’un pas décidé, faisait claquer ses talons … Que faire ? La laisser ainsi, ou bien profiter de l’occasion pour recoller à elle … En quelques foulées, je fus derrière elle, tout près :

-        pardon !

-        Oui !?

-        Vous ne pouvez partir comme cela ?

-        Si Monsieur ! Au revoir

Elle n’avait pas compris ! Je la saisi par l’épaule et surprise, elle fut obligé de s’arrêter et de se retourner de trois quarts.

-        Excusez-moi d’insister … mais je parlais de ça …

dis-je en lui indiquant la traînée blanchâtre qui marquait son bas !

-        Oh ! fit-elle, ses joues se recouvrant du même rouge que tout à l’heure

Je pus remarquer que maintenant, ces cheveux n’étaient plus aussi strictement maintenus que lorsque je l’avais détaillée à son arrivée … d’austère, elle me paraissait même belle maintenant !

Se retournant, et jetant un coup d’œil circulaire, voyant qu’il n’y avait que moi assez près pour voir en détail, elle se baissa légèrement et vint de son index racler cette semence laiteuse qui tachait son bas … Mon sperme représentait une émulsion visqueuse, qui maintenant lui coulait sur le doigt et allait lui maculer la main. Comme dans un rève, je la vis porter son index rapidement à la bouche et le sucer avec application

Mon étonnement devait être palpable, car elle me lança :

-        Et bien quoi ? Vous aviez un mouchoir, vous ?

Et elle reprit sa course. Elle s’engouffra dans un magnifique petit coupé cabriolet, non sans m’avoir gratifié d’un très beau ciseau de jambes en prenant place sous le volant … avant qu’elle ne démarre, je la vis tirer un mouchoir de la boite à gant, et essuyer consciencieusement l’arrière de son mollet … et prenant appui sur ses talons, elle vint jusque sous ses fesses et avec un autre mouchoir, s’épongea le string et la vulve !

Je l'ai laissée là, partant du parking du supermarché dans un léger vrombissement ; Je ne sais rien d'elle, ni son prénom, ni son adresse, rien ...... mais je l’ai vue si souvent, je m’imagine pas qu’elle puisse changer de supermarché ! Vivement Samedi prochain !

 

Rendons à César ce qui lui appartiens … la trame de ce texte est issue de Revebebe, récit 09602. J’ai remanié légèrement certaines parties du texte. Que son auteur, que je vous invite à découvrir en lisant ses textes sur Revebebe, m’en pardonne !

 
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 00:00

La Promenade


Auteur Uzura (n'a pas laissé son adresse ... dommage ! nous aurions pu lui adresser nos félicitations pour ce très beau texte ...)

Recit 9473 sur Revebebe

Ils s'étaient rencontrés à un autre dîner, quelques mois plus tôt. En croisant son regard parmi les convives de ce soir, elle s'était souvenue du désir qu'il lui avait inspiré alors. Elle se rappelait les conversations délicieusement scabreuses qui n'avaient pas été suivies d'avances, et elle regrettait de n'avoir pas pris les devants. Elle se glisse sur la banquette face à lui et sent son regard sur elle, quand elle s'assied. Elle porte une combinaison en soie violet foncé bordée de dentelle beige sous un petit cardigan noir, et des sandales noires à talons hauts. Il fixe presque ses seins, elle s'aperçoit que ses tétons sont durs et elle se redresse en plantant ses yeux dans les siens. L'espace d'une seconde, elle se voit la poitrine dénudée, plaquant ses seins sur son torse, le premier contact des peaux. Il porte un pull-over à même la peau, elle voit la base du cou et l'os de la clavicule, elle pense qu'il ne doit pas porter de sous-vêtements sous son jean et cette image la frappe au plexus, irradie vers son ventre.


Au milieu du repas, il glisse son pied déchaussé entre ses genoux. Elle ouvre les jambes et sent le pied remonter sur l'intérieur de sa cuisse. Il la regarde fixement, l'ombre d'un sourire flotte sur son visage. Elle s'adosse à la banquette pour s'ouvrir un peu plus, elle attend le contact. Le string noir qu'elle porte est mouillé. Il repose son pied et se penche vers elle au-dessus de la table.

- Pas ici, dit-il, allons nous promener.

Il se lève, fouille dans sa poche, laisse distraitement un billet sur la table et l'invite du regard à se lever pour le suivre. Elle attrape son manteau, du daim souple et ajusté, passe la porte devant lui et effleure son érection. Son sexe à elle est moite, elle sent déjà ses lèvres gonflées frotter l'une contre l'autre, quand elle lui emboîte le pas. En silence, sans se toucher, ils font quelques centaines de mètres. Il s'arrête, se tourne vers elle :

- Je sens ton odeur. Viens.

Il pousse la porte cochère d'un immeuble, l'entraîne doucement par le coude à l'intérieur, sous un porche sombre qui donne sur une cour. Il s'adosse au mur et l'attire à lui. Elle sent sa queue dressée dans son jean, elle sent sa main sur la soie qui couvre ses fesses. Il prend toute la fesse dans sa main, le bout de ses doigts dans la raie. Elle laisse tomber son visage dans l'échancrure du pull-over qui l'a attirée pendant le dîner, elle respire une bouffée chaude de savon au santal mêlé de transpiration fraîche qui lui coupe les jambes. Il garde une main autour de sa taille et glisse l'autre entre leurs deux corps, ses doigts sur l'intérieur de la cuisse font remonter le tissu jusqu'à atteindre la peau, et sa main se plaque sur son sexe. Il sourit en sentant le string humide et chaud, retire sa main et la pose sur son sein, sous le cardigan. Il froisse la dentelle des petits triangles de soie et trace du majeur le mamelon dressé. Sans sa main entre eux, elle sent à nouveau son érection. Elle pense et s'aperçoit qu'elle a dit :

- Je veux ta queue.

Elle déboutonne le jean en le regardant droit dans les yeux, et sa bite lui saute dans la main, chaude, vivante, dure. Il ne porte rien dessous. Le pantalon déboutonné est retenu par les os de ses hanches, mais il est descendu assez pour libérer les couilles qui se contractent doucement lorsqu'elle les caresse. Il passe la main sous la combinaison et encercle une fesse, force la jambe à monter et à s'accrocher autour de sa taille, puis il glisse sa queue contre la soie noire du string. Il la tient par les hanches et la fait aller et venir doucement le long de sa bite. Elle sent son entrejambe entièrement mouillée, jusqu'en haut des cuisses, elle respire l'odeur de son propre sexe qui se déploie entre eux comme un nuage de gaz. Avant de sortir, elle a déposé une goutte de musc sur son ventre, et l'odeur se mêle à celle de son con, l'excitant encore plus. Elle se branle sur la bite de l'homme et la mince couche de soie entre sa fente et lui décuple la friction. La minuterie de l'escalier sur cour se met en marche, et il se détache d'elle en accompagnant des doigts la robe qui retombe. Souffle coupé, elle le regarde rajuster sa queue gonflée dans son pantalon. Ils sortent de l'immeuble et reprennent leur marche.


Ils parviennent à un square, elle pousse la petite barrière en métal et le conduit à un banc, abrité par les haies. Elle le fait asseoir et le regarde. Ses mains reposent sur le banc de chaque côté de son corps, ses longues jambes sont légèrement écartées. Elle s'approche de lui, écarte les pans de son manteau et remonte lentement sa combinaison. Il dit :

- Arrête-toi. Retire d'abord ton string.

Il passe les mains sous la robe, sur ses hanches et fait descendre la soie noire. Elle lève une jambe et le string retombe sur l'autre cheville, couvrant la fine sandale plantée dans le gravier. Il défait les boutons de son jean et d'un geste, soulevant juste les hanches, fait délicatement sortir sa queue toujours en érection et ses testicules. Elle est belle, longue et épaisse, circoncise, droite et lisse et de couleur bronzée, comme elle en a vu parfois dans les films pornos. La main droite de l'homme fait un aller et retour le long du membre, il ferme à demi les yeux. Sa main gauche prend la main de la fille et, sans cesser de soutenir son regard, la guide au-dessus de lui, une jambe de chaque côté. Il voit sa chatte, épilée en triangle étroit ; son clitoris est si gonflé qu'il se montre entre les lèvres, il ferme les yeux et se branle doucement. Il dit :

- Ton odeur. Tu sens si fort...

Elle s'assoit lentement, son cul sur les cuisses de l'homme, et son sexe se plaque contre la queue dressée. Son clitoris s'écrase sur cette bite brûlante, plus ferme encore que sous la porte cochère. Elle prend appui sur ses pieds, les muscles de ses cuisses se tendent et elle fait monter et descendre ses hanches, son sexe le long du sien. Quand son clitoris passe sur le rebord de chair du bout de la queue, elle frémit et sent tout son sexe se dilater, s'ouvrir et mouiller. Elle sent son cul presser les couilles à chaque mouvement vers le bas, et son rectum se détend, elle s'ouvre toujours plus. Il lui tient les seins, un dans chaque main, juste la bonne taille, et les caresse en mouvements concentriques. Puis, tenant sa bite dans un cercle fait du pouce et de l'index, il la fait passer sous elle. Il se fraie un chemin au milieu de la chatte, écartant les lèvres duveteuses, se frotte contre l'entrée du vagin qui laisse toujours couler un jus odorant, le bout de la queue atteint presque le trou du cul de la fille. Elle le tient par la taille, et imprime un mouvement de va-et-vient, parfois si fort que les os de leurs pubis se heurtent. Il glisse sa main entre eux deux, paume en avant sur le ventre de la fille, et son pouce trouve le capuchon de son clitoris, le retrousse et le caresse en petits cercles. Elle s'est rejetée en arrière et le regarde la regarder.

- Tout à l'heure, je te sucerai là, juste là, dit-il.

Cette seule évocation va la faire jouir tout de suite, il s'en aperçoit et ôte sa main, la repousse. Il lui dit :

- Je vais te prendre comme ça, mais tu ne dois pas jouir. Viens sur moi.

Il a de nouveau pris sa queue dans la main, plus fermement. Il la tient dressée à la verticale. Son autre main est sur la hanche de la fille, il la fait descendre jusqu'à toucher du bout de la queue la fente gonflée et humide. Il fait glisser un peu, se frotte sur le clitoris qu'il voit se contracter pour se déployer encore plus, il niche sa queue juste à l'ouverture du con. Elle a l'impression d'attirer cette bite, de la sucer vers l'intérieur d'elle-même, aucun des deux ne semble plus bouger et pourtant il est déjà en elle. Il gémit, bouche fermée, et s'immobilise. Sa queue a pénétré d'un tiers. Elle ouvre les yeux et contracte son con et gémit elle aussi. Il tient maintenant les hanches de la fille des deux mains. Elle dit :

- Elle est si dure, si chaude...

Il la fait descendre un peu plus. Elle sent son con s'ouvrir encore, ou plutôt elle s'ouvre toute entière. Toutes ses sensations se concentrent dans son bas-ventre et cette bite qui la pénètre, et chauffent son corps entier. Deux tiers. Elle croise son regard, et elle sent sa queue palpiter à l'intérieur d'elle, elle sent l'afflux de sang qui durcit et chauffe encore plus cette colonne de chair. Il sent son besoin.

- Plante-toi sur moi.

Il accompagne en poussant de ses mains sur les hanches de la fille le mouvement qui la fait descendre et engloutir tout le membre. Le plaisir de sentir cette queue buter au fond d'elle lui fait ouvrir grand les yeux vers le ciel, puis elle les ferme et savoure cette incroyable sensation : un homme tout au fond d'elle, vivant, bandant, voulant la remplir si fort qu'ils ne sentent plus où finit l'un et où commence l'autre. Ils restent quelques secondes sans bouger, puis elle sent qu'elle sourit, largement, bouche ouverte, et elle commence à monter, monter doucement jusqu'à presque le laisser sortir. Tout aussi doucement, elle redescend, savourant chaque millimètre de chair qui entre en elle, jusqu'à s'asseoir pour sentir ses couilles lui chatouiller les fesses. Il les prend à pleines mains, les écarte tandis qu'elle remonte, glisse le bout de ses doigts vers l'anus. Quand elle redescend encore, elle sent les couilles contre son trou du cul, et deux doigts y pénètrent légèrement. Elle mouille toujours autant et lui aussi est trempé, sa queue lubrifiée, les poils de son pubis collés par le jus. Elle ne pensait pas qu'elle pouvait être plus ouverte, mais elle sent encore une porte tomber, quelque chose se libère et l'épuise. Sa tête retombe vers sa poitrine et elle murmure :

- Ça monte, oh ça monte.

Maintenant, il accompagne le mouvement en soulevant les hanches, il vient à sa rencontre, il ne la sort presque plus du con de la fille. Ils baisent sans presque bouger, par une succion interne plus forte que tous les coups de boutoir, un plaisir intense que renforce le mélange de leurs odeurs : santal et musc, sueur et sécrétions du con, le cocktail aphrodisiaque que le sperme complétera parfaitement. Elle contracte son sexe autour de la bite de l'homme, elle la sent qui palpite en elle. Il lui caresse rudement les seins, puis écarte le tissu de la robe. Il se soulève vers elle et prend le sein dans sa bouche, suce le téton, le mordille, puis le lèche lentement. Il dit :

- Il faut arrêter. Tu ne dois pas jouir. Pas encore.

Il se retire d'elle. Elle se relève, les muscles des jambes douloureux et la chatte en feu et, le voyant assis sur le banc, la bite dressée et le visage mis à nu par le désir, elle veut s'agenouiller et le sucer ; elle ne veut rien d'autre que la prendre dans sa bouche, sentir dessus l'odeur de son propre sexe. D'abord le bout, puis le sortir comme un eskimo et le lécher en rond ; descendre le long de sa queue avec la langue pointée, mais légère, et remonter en léchant à pleine langue la veine gonflée. Puis la prendre complètement, la sucer jusqu'à fourrer son nez dans le buisson des poils. Il a le ventre plat et musclé, et le pubis bien délimité par des poils châtain foncé qui brillent du jus qu'elle a laissé. Elle esquisse le mouvement vers lui, mais il la redresse, fait tomber le string de la cheville où il était resté accroché. Il se lève et se rajuste, et ils sortent du square les genoux tremblants, intoxiqués par la crudité de leurs sensations et de leurs audaces, attendant la prochaine dose.

Ils reprennent leurs esprits dans la brise de la marche. Les rues sont désertes et calmes. Il regarde les pieds de la fille dans ses sandales à talons hauts, il sort de sa poche le string roulé en boule et le porte à son visage. Elle le regarde respirer la soie noire encore mouillée, il lève les yeux vers elle et elle dit :

- Je ne peux plus marcher, je pourrais jouir en mettant seulement une jambe devant l'autre.

Ils poussent la porte d'un immeuble ; dans la cour, des voitures dans des boxes. Ils se dirigent vers le plus éloigné, et il enlace la taille de la fille, la fait pivoter et lui pose les mains sur le capot de la voiture. Il écarte légèrement les jambes de la fille avec son genou, elle se cambre et se frotte sur sa jambe. Il se met à genoux derrière elle et place ses mains sur ses chevilles. Ses mains remontent lentement, vers l'intérieur des cuisses, repoussant la soie, puis sur les fesses, les hanches, puis la taille. Il dit :

- Penche-toi.

Elle reprend appui sur le capot. Elle aime être là, le corps à angle droit, fesses en arrière, jambes ouvertes, mouillée et odorante. Il remonte sur la taille de la fille son manteau léger et sa robe, et l'odeur le frappe au visage, si fort qu'il en ferme les yeux et laisse échapper un gémissement en approchant son visage du cul exposé. Il pose ses mains sur les fesses, pouces vers le sexe, et elle sent son souffle chaud sur sa fente. Il la tient fermement, la regarde et dit :

- Une raie sans poils...

Son doigt part du milieu du dos et descend, légèrement, entre les fesses jusqu'à l'anus, s'arrête et fait mine de la pénétrer. Sa raie aussi est mouillée, comme lubrifiée par la transpiration légère qui couvre tout son corps et par le miel qui coule de son con. Il voit le trou du cul, violacé et imberbe, et juste au-dessous la vulve, couverte d'un duvet léger soigneusement entretenu. Il place un doigt à l'entrée du vagin, à l'endroit doux et glissant, et trace des cercles ; et elle sent qu'elle s'ouvre encore d'un cran. Il dit encore :

- Tout à l'heure, je te sucerai là, juste là.

Il se redresse, défait les boutons de son jean et sort sa queue et ses couilles, de ce mouvement félin, totalement naturel qu'il a eu à déjà deux reprises. Il bande, sa bite se dresse vers le haut. Une main sur la hanche de la fille, de l'autre il encercle sa queue avec le pouce et l'index et en place le bout dans la raie de la fille. Sans bouger, sans aucun autre contact que son sexe, en s'aidant de la main, il frotte le bout de sa bite de haut en bas, jusqu'au con dont il étale le jus avec sa queue. Puis il se plaque contre elle, elle le sent sur toute sa longueur, le bout entre le haut de ses fesses et les couilles nichées de chaque côté de sa chatte. Sa main cherche les seins de la fille, il passe la main dans l'échancrure de la combinaison et fait jaillir un sein qu'il caresse en se frottant contre elle. Puis il reprend possession de ses hanches, des deux mains, et place sa queue le long de la fente, il sent son con mouillé et chaud, les lèvres ouvertes et glissantes, le repli du clitoris et son petit noyau dur sur sa bite. Il la branle de toute la longueur de sa queue, et les seins de la fille libérés de la robe se posent sur la tôle métallisée, le métal froid fait durcir les tétons tandis que son con la brûle. Il va plus vite, de plus en plus vite. C'est elle qui dit :

- Pas maintenant.

Alors, il s'immobilise, la chatte de la fille toujours écrasée sur sa queue, et il introduit son majeur dans son rectum, doucement, régulièrement, sans s'arrêter, et d'ailleurs il ne rencontre aucune résistance. Elle se plaque contre cette main, et de l'index il touche le clitoris : il est si gonflé qu'il se rend compte qu'elle va jouir. Il retire sa main et rabat la robe sur le cul de la fille qui se retourne vers lui. Elle est tellement excitée que les jambes lui manquent. Il se rajuste en lui lançant un regard de noyé puis sourit. Il lui enlace la taille et elle s'appuie sur lui en titubant légèrement sur ses hauts talons. Il dit :

- Je sais où je veux t'emmener.

Il l'entraîne dans la rue. Cette fois, la marche se fait rapide. Ils ont tous deux le souffle court, elle sent tout son sexe palpiter, la pulsation de son coeur dans son clitoris, le jus brûlant qui coule de son con. Ils arrivent devant le Jardin du Luxembourg, entrent et longent les grilles jusqu'à un coin assombri par les arbres. Il adosse la fille au muret, lui prend la taille des deux mains et la hisse sur le rebord. Pressé, sans la regarder, il libère sa queue du pantalon avec un soupir de soulagement, il la regarde et la serre dans sa main. Puis il lève les yeux vers la fille, son visage est à la hauteur de son con. Ses mains montent vers les seins de la fille, écartent le fin lainage et, du bout des doigts, font sortir les seins durcis de la combinaison en soie. Elle est appuyée contre la grille, la peau dénudée de la gorge, des seins et des jambes en taches claires dans la nuit. Il pose les mains à plat sur les genoux de la fille et remonte, repoussant la soie et lui écartant les jambes, et dénude son sexe. Les mains de l'homme passent sur les hanches et enserrent les fesses qu'elle soulève un peu pour lui assurer une meilleure prise. Son visage s'approche du con de la fille, elle sent son souffle sur elle, ses hanches partent automatiquement à la rencontre de la bouche de l'homme. Mais il la tient bien, et l'empêche de bouger. Il prend son temps, respire, les yeux mi-clos, l'odeur qui émane d'elle et pointe sa langue très bas, à l'ouverture du con. Puis il remonte en léchant à pleine langue, sans trop appuyer : les petites lèvres puis le clitoris, que la caresse décapuchonne pour offrir un bouton rose et brûlant. Il sent distinctement sur sa langue la contraction. Il se détache d'elle et murmure :

- Juste là. Je vais te sucer juste là.

Puis il se déplace légèrement sur le côté, écartant encore un peu plus la fille en lui faisant passer une jambe par-dessus son épaule. Il sent le talon aiguille contre son dos. Il penche la tête jusqu'à ce que sa bouche soit parallèle à la fente de la fille. S'aidant de ses doigts, il ouvre la chatte et, délicatement, prend tout le clitoris et les petites lèvres dans sa bouche. Elle pousse un gémissement étouffé et il commence à sucer, doucement, comme on suce une orange juteuse. Il boit le jus qui s'écoule d'elle, elle sent sa langue aller et venir, la bouche de l'homme ne la lâche pas. Elle a posé sa main sur la nuque de l'homme, et elle sent son clitoris aspiré dans cette bouche vorace. Il a glissé deux doigts dans son con, et leur imprime un petit mouvement circulaire. Elle sent qu'elle s'ouvre plus encore, que la dernière porte est tombée. De quelque part au fond d'elle-même le spasme naît, s'amplifie jusqu'à irradier du plexus au trou du cul, et l'orgasme monte. Il sent à sa main inondée qu'elle va jouir et retire aussitôt sa main, sa bouche. Elle est pétrifiée et dit :

- S'il te plaît.

Il prend sa taille et la fait descendre du rebord. Elle est debout face à lui, il est magnifique avec ses cheveux emmêlés, le menton brillant de jus, la queue sortie et bandant, lisse et tendue. Les mains de l'homme remontent sur les côtes de la fille et ses pouces caressent les mamelons dressés. Il dit :

- Maintenant.

Puis, tout doucement, son visage se tend vers elle, elle voit les lèvres gonflées d'avoir sucé son con, elles se posent sur les siennes et la langue de l'homme la pénètre. Elle sent la dureté de son érection contre son sexe à travers le tissu. Elle sent l'odeur et le goût de son con dans le baiser, et toutes ses sensations et les images accumulées pendant cette promenade au clair de lune refluent vers sa bouche, et elle jouit comme ça, debout contre lui, presque sans le toucher, presque sans un son, pendant qu'il mouille la combinaison en soie en gémissant dans le baiser qui n'en finit pas.
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00
Bonjour !

Il y a bien longtemps que je n'ai rien posté ici ...

Peu de temps, et ce matin, un petit break ...
Merci d'abord à ceux, nombreux qui passent ... et repassent sur ce site sans prétention ...

En cette période de vacances, je pense et adresse ce petit message à mes muses Québecoises ...  Suite à l'histoire postée sur Revebebe, j'ai établi une correspondance passionnée avec une jeune - et magnifique - pretresse de la finance Quebecoise ... nous avons une correspondance érotique endiablée, aussi souvent que nos contraintes professionnelles et familiales nous le permettent ... Solange, c'est son nom, m'a fait entrer dans son univers, bien coquin ma fois, et si je connais virtuellemment Sophie et Lynda, deux de ses amies, elle m'a mis en contact avec celle qui depuis l'enfance partage ses joies et déboires, Guylène ...
A toutes les deux, Solange et Guylène ... je dédie ce post ... Notre histoire est merveilleuse, et peut être, si elles le permettent, une partie se retrouvera t'elle sur ce blog ... ?
Bonnes vacances coquines

Bisous libertins

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 00:00
Une autre, de mes préférées ... (tjrs issue de Revebebe - cf liens)

A vous de me dire ce que vous en pensez !

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Coup de Folie 8744

 

 

Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain, les yeux verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis mariée depuis 7ans et suis toujours restée fidèle.

 
 

Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée pour une semaine à Paris, à l'occasion du salon de l'emballage. En marge de la manifestation, et parce que l'entreprise n'avait fait une grande année, des réunions de stratégies était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial, nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les supposées faiblesses...

 

De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j'ai accepté de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j'avais un peu chaud au visage et la tête embuée.

 

En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était 22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme prévu.

 

Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».

 

Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre, j'ai laissé la porte entrouverte, puis j'ai déposé ma veste sur une chaise. J'ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai raconté ma journée à mon mari Benjamin.

 

Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié qu'il devait venir.

 

Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que quelqu'un était dans ma chambre. A coté du bureau, ma valise était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans. Puis, en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles. Il a commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J'étais furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Jérôme a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J'étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je n'étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m'avait usée, et que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.

 

En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire à Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Benjamin avait visiblement très envie de discuter. J'étais partie depuis moins de 24h et je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon retour. J'était mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu. Au bout d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J'étais gênée par le fait que Jérôme était en face de moi et qu'il me regardait.

 

Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis s'est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Benjamin combien lui et la petite me manquaient, que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur câline, il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche. Je l'ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l'a remise aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J'ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de Jérôme me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est relevé, puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J'avais accepté son massage, mais j'essayais d'écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.

 

Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce n'était rien et ai laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j'étais bien... Il a d'abord repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai laissé faire, je l'ai même aidé en changeant le téléphone de main pour qu'il puisse retirer complètement mon chemisier. Puis il a dégraffé mon soutien-gorge et l'a enlevé. Malgré cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon mari raccroche.

 

 Etre au téléphone, "réduite au silence", me donnait l'excuse d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori, ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais fait connaître ses intentions.

 

Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut être un peu l'alcool, me mettaient dans un état de relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un 90c, en poires, comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à n'importe quel homosexuel.

 

Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m'a regardé droit dans les yeux, s'est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon mari continuait de me parler sans se douter de rien.

 

Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus discrètement possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendu vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.

 

Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j'étais seule, que notre conversation m'avait excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari m'expliqua que lui aussi était excité et qu'il se mettait à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu'à arriver à l'élastique de mon string. Il l'agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.

 

Au fur et à mesure, Alors que j'éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentais une bouffée d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a porté à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis 7ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à 33ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

 

Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.

 

Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...

 

Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau derrière moi.

 

J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller. J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.

 

J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.

 

Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.

 

Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il m'a caressé avec son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros. Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.

 

J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui ait commencé à bouger les fesses. Doucement il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après 5 bonnes minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.

 

Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf, et ce pour 10 jours...

 

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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