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Bonjour ! Vous êtes nombreux, coquins et coquines a être venus vous encanailler ici ! On espère que celà vous plait. Enthousiastes ou décus, dites le nous ! Un comm' ne prend que quelques secondes, mais c'est notre carburant et le moyen de s'améliorer. Biz

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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 13:57
Un très beau texte ecrit par une femme souhaitant rester anonyme ... dommage !

Qu'elle soit en tout ca sremerciée pour le plaisir que nous avons eu à la lire, plaisir que nous souhaitons partager avec vous ...

J'ai 45 ans, et je suis mariée à un homme que j'aime.

 

Voilà quelques mois, c’était l’automne, je me suis fait draguer dans un magasin par un jeune homme d’une trentaine d’année, ans et je me suis sentie flattée. L’aventure qui s’en est ensuivie m’a fait redécouvrir des besoins sexuels que j’avais refoulés … et je me prends à fureter sur internet, à acheter des lectures polissonnes … j’ai découvert la joie que me procure la lecture d’histoires érotiques, et vais à mon tour vous conter cette histoire qui m’a révélée.

 

Jusqu’il y a peu, ma vie se résumait à une sourde monotonie, basée autour de mon rôle d’épouse et de mère et de femme très prise professionnellement aussi;  nous faisions l'amour de temps en temps avec mon mari, mais sans grande fantaisie et je dois dire que cela ne me manquais pas, pas plus que je n’en demandais plus.

 

Son approche n'était ni vulgaire ni brutale: C’était les soldes, et j'étais entrain de regarder et de comparer deux robes dans le rayon d’un grand magasin,  quand j'entendis une voix douce me disant que la bleu était très belle , assortie à la couleur de mes yeux et que je devais l'essayer. Mais que l’autre, vu sa coupe, devrait elle aussi très bien m’aller (elle était très échancrée dans le dos, assez sexy je dois dire …).

Surprise, mon regard croisa alors celui d'un charmant jeune et je ne sus quoi répondre. Sa façon de m’aborder, ses remarques, témoignaient pourtant de son bon gout !

Il s'excusa d'abord pour m'avoir importuné, que c'était plus fort que lui, mais que c'était réellement ce qu'il pensait.

A cet instant, j'étais séduite, un peu sous le charme, et lui répondit timidement et sans savoir vraiment pourquoi, que je n'avais plus qu'à me rendre vers les cabines d'essayage pour voir s'il disait vrai.

S'engagea alors un dialogue ludique et amusant, voire assez coquin, et j'avais la sensation d'être complètement en phase avec lui.

Je m’entends encore lui proposer de m'accompagner vers les cabines pour être sure de faire le bon choix.

Je me dirigeais alors vers les cabines et il me suivi. A peine entrée dans la cabine, je fus surprise de le voir me suivre. Avant même que j’ai pu ouvrir la bouche, un de ses doigts se posait sur mes lèvres, tandis que je sentis son autre main sur mes épaules me caresser doucement.

J'aurais dû réagir et me rebeller mais prise de frissons sur tout mon corps, je restais là paralysée. Sentant mon ‘’abandon’’, son autre main vint rejoindre la première puis les deux descendirent dans mon dos, sur mes hanches.

Il décrocha habilement le haut de ma robe qui tomba sur ma taille, puis le long de mes jambes. Je fais un 90B et mes seins tiennent encore, et ce jour là j’étais seins nus sous cette petite robe. Un reflexe me fit croiser les bras sur ma poitrine, tandis que contournant mes hanches, ses doigts s'immisçait vers mon ventre puis vers le haut de ma petite culotte.

Je lui demandait d'arrêter, lui expliquant en chuchotant que je pouvais pas , que j'étais une femme mariée , qu'il y avait du monde a l'extérieur … mais il n'avait que faire de mes remarques. Naïve que j’étais, je compris plus tard que ces scrupules n’avaient du que renforcer son désir et sa détermination.

Soucieuse de na pas lui laisser franchir la mince barrière de ma culotte, je dus découvrir mes seins et lui saisir une main.

Se faisant toutefois plus pressant, il me retourna pour m'enlacer et m'embrassa fougueusement. Je sentais alors mes seins nus s’écraser contre son blouson de cuir et je dois avouer que l’incongruité de la situation m’a excitée.

Consciente de mes actes, je me contentais alors de subir ses assauts sans vraiment me poser de questions, et je me rendis compte bien vite que ce ‘’beau gosse’’  était en train de révéler en moi un désir intense .

Je fis mine toutefois, sans grande conviction je pense, de me dégager mais saisissant mes poignets qui cherchaient à le repousser, il me retourna une nouvelle fois pour me plaquer contre la paroi de la cabine. Très vite, et habilement, une de ses mains descendit sur mon mont de venus, par-dessus la mince barrière d’étoffe , tandis que son autre main s'affairait à me caresser les seins .Je sentis que s’en était fini, que je m’abandonnais … Je ne saurais traduire le mélange des idées qui alors m’ont traversé la tête, mélange de mère attentive, d’épouse aimante et docile qui devait se refuser à cette audace, et de la femme qui sommeillait en moi et que ce petit salaud reveillait.

Je me souviens qu’un souffle de plaisir s'échappa de ma gorge ; Tous mes sens étaient en émoi et mon corps réagissait à ces attouchements . Je sentais mes pointes de seins darder, excitée qu’elle était par la situation et le froid de la paroi.

Il avait glissé sa main sous ma culotte, et déjà une doigt s’affairait sur mon clitoris … je me sentais fondre, ou plus exactement couler … j’avais l’impression que mon sexe était fontaine … je ne me souvenais pas avoir mouillé aussi vite.

Je me mis à me dandiner, lui susurrant combien sa main était bonne, combien il était doué, le suppliant de mettre fin à ce doux supplice. Je savais que ma respiration s'accélérait et témoignait certainement du contraire. Il me dit qu'il avait envie de me prendre, là , debout dans la cabine, et ajouta, un brin pervers, qu'il était sur que j'en crevais d'envie ! Il avait bien sûr raison.

Ma seule réponse fut de lui demander avec un sentiment de culpabilité de me faire jouir seulement avec ses doigts.

J'avais chaud et je n'avais plus toute ma lucidité, et je le laissais faire. Son index, expert, tournait autour de mon bouton, tandis majeur et annulaire m’avaient investis …

Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour, je vivrais une expérience comme celle-ci ;  j'entendais les gens non loin de nous qui déambulaient, certains prenaient des cabines toutes proches de la notre et j'avais peur de quelqu'un nous entende et ne nous surprenne. Je pense que cet interdit a participé à mon excitation (et à la sienne …).

 

Quand il colla sa bouche à mon oreille pour me demander si j'aimais çà , j'étais honteuse mais lui répondis que oui, j’aimais ca, et maintenant je lui demandait de ne pas s'arreter

Les yeux fermés, je m'abandonnais tellement c était bon. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas gémir, je n en pouvais plus, il continuait à me malmener et j'affichais pleinement mon désir en cambrant les fesses, m'offrant pourtant à un homme autre que le mien. Pourtant, je n’avais pas le sentiment de le tromper.

 

J'avais perdue toute pudeur, le désir l'avait emporté sur la morale.

Il devenait presque brutal : il était fort et parfois allait jusqu’à me soulever presque de terre sur ses deux doigts … je sentais mes talons quitter mes fines sandales d’été.

 

Ce jeu, qu'il contrôlait fièrement me rendait de plus en plus folle.

 

Je ne me reconnaissais plus. Je l'entendais doucement me traiter de salope, que je devais être bonne, il écarta mes jambes en me disant que mon cul était "appétissant" et qu'il méritait que l'on s'occupe de lui. Il sorti ses doigts de mon sexe et de manière assez obscène, je l’imaginais tout en le sentant, les remonta dans ma raie … il me massa l’anus, et je dois dire que je me surpris à y prendre plaisir. Jamais, je n’aurai imaginé qu’un jour, je goûterais à ce plaisir là, mais à cet instant, alors que mon mari ne m’avait jamais touché là, et que mon anus restait un peu tabou, j’ai une envie quasi insolente qu’il continue. Mais il me demanada de s'occuper de lui. Me retournant, je me rappelle avoir fièrement planté mon regard dans le sien tandis qu’une de mes main allait malaxer on entrejambe. Il portait un pantalon de toile , et de découvris cette verge qui me semblait de bonne taille car il était venue la plaquer sur ma croupe tandis qu’il me tenais contre la paroi et me promettait les pires sévices et bonheurs mélangés.

 

Il portait un pantalon de toile, et effectivement je sentis un sexe de belle taille, comme une grosse carotte me dis-je alors ! Pourquoi cette idée ? Aujourd’hui encore, je ne sais pas mais cela a fait son petit bonhomme de chemin, et j’ai essayé plus tard avec ce légume qu’il me plait de croquer après que je me sois donné du plaisir avec ….

Je déboutonnais les boutons de son pantalon, et fis descendre sa braguette ;  Ce n’étais pas facile, et il me fallait les deux mains, car le zip était très tendu par son erection. Je m’était donc accroupie, et j'appréhendais le moment ou j'allais faire jaillir son sexe. Devrais-je le prendre dans ma main, devais-je m’abandonner plus encore et le sucer … Je ne savais que faire, tout en fouillant fébrilement son caleçon.

Je le regardais ; lui aussi me regardait avec un sourire d'ange, en disant qu'il aimait les femmes qui savaient ce qu'elles voulaient, puis il demanda avec insolence :

 

Qu'est que tu fais, là? Dépêche-toi, j'ai trop envie de me faire sucer

 

Il avait ainsi répondu à mes interrogations. Le choix m’était dicté. Mes mains avaient mis à jour une fort belle verge, tendue à bloc et dont le gland était luisant.  Je m'exécutais sans répondre. J'ouvris d'abord timidement la bouche avec une certaine appréhension; c’était la première fois que j’allais sucer une autre bite que celle de mon mari, et encore, à avec lui, cela faisait déjà quelques temps que nous ne nous étions plus adonné à de tels ‘’ecarts’’ ; j'embrassais doucement son  gland, mais il insista

 

Fais moi voir ce que tu sais faire, appliques toi pour que je profite de ta petite bouche de salope

 

Ses paroles directes et crues me faisaient un drôle d'effet ;  M’abandonnant à cet homme qui abusait de moi et me traitait ainsi de salope et de suceuse, j'avais vraiment l'impression d'en être une.

Je le suçais doucement et je sentais ses mains qui me tenaient fermement par l’arrière de la tète ; il caressait mes cheveux et donnait un rythme. J’avais l’impression excitante de n'être qu'un objet entre ses mains, qu'il se servait de moi à sa guise . Je le sentais super excité, il marquait ma fellation de :

 

Oui comme ça, c'est bien… j'étais sur que tu voulais te régaler , allez profite , fais toi plaisir

 

Il me semblait que je le suçais comme jamais j’avais sucé, sans me poser de question.

 

Bien que loin d'être une experte de la fellation, il vantait mes mérites et j'exécutais ses moindres désir :

 

... sers toi de ta langue, t'arrêtes pas ma belle , lâche toi ,... t'es une sacrée bonne suceuse tu sais...

 

J'avais perdu toute pudeur, c’était bon, je ne pensais plus à rien , juste à ce morceau de chair qui me rendait folle.

 

Toutes les frontières de mon éducation s'était envolées, mon mari était loin, mes enfants un instant oubliés.

 

Il me disait qu'il aimait ma bouche et quand il m'annonça qu'il voulait jouir dans ma bouche, je voulus me retirer mais il m'en empêcha fermement m'expliquant que j'allais vivre un moment inoubliable (vrai remarque de mec, non ?), que je devais l’avaler, que c'était ma récompense (sic).

 

Je n'avais jamais laissé mon mari me faire subir un tel traitement, car quand je m’abandonnais à la fellation avec lui, sentant son plaisir venir, je le laissais se vider sur mon cou, ou déglutissais rapidement dans un mouchoir la semence dont il m’avait tapissé le palais.

 

Je me sentais tout autant humiliée par cet homme qui faisait de moi sa chose, et en même temps je vivais un moment intense dépassant les limites que je m’étais jusqu’alors autorisées.

 

Assez bestialement, me tenant fermement la tête sur son pieu, il explosa en un long râle puissant ;  un première vague de semence m’inonda jusqu'a la gorge, puis un deuxième jet puis un troisième, je crus qu’il n’arrêterait jamais. J’avais la bouche pleine de son foutre, et me plus ne pouvant recracher, et hésitant encore à avaler, à la faire tourner dans ma bouche … Sa semence était âpre, d’une consistance assez épaisse … Je me dit qu’en fait, il avait raison, j’aimais ça ! Il gémit encore, tendant ses hanches vers mon visage comme pour un dernier aller-retour, et me félicita de ma prestation.

 

Ma bouche était remplie de son sperme chaud, dont un filet, je le sentais, s'écoulait sur mon menton. Je m’essuyais du dos de la main, tandis que j’avalais. Il y en avait tellement que je me rappelle avoir eu un léger haut le cœur … mais ce n’était pas désagréable.

Je repris doucement mes esprits et réalisait peu à peu ce que je venais de subir : je venais de faire jouir un homme dans ma bouche et j'y avais pris du plaisir.

 

Jamais je n'aurais imaginé un jour vivre une telle expérience et je n'arrivais pas à expliquer mon geste.

 

J’arrêterais là mon histoire … la suite en est une autre, et les découvertes que celle-ci m’ont poussé à faire seront peut être prochainement couchées sur papier.

 

Je répète ma phrase d’introduction … J'ai 45 ans, et je suis mariée à un homme que j'aime. J’avoue que cette liberté découverte a aussi remis un peu de piment dans notre couple : mon mari ne s’en plaint pas … il peut maintenant jouir dans ma bouche, et je lui ai fait cadeau de mon anus (car je crois que jamais de lui-même, il n’y serait venu … Poids de nos éducations, des préjugés … cela a été une découverte forte pour nous deux, et il m’a confié queje lui avait fait un superbe cadeau ….)

En revanche, je ne sais comment lui faire découvrir bons nombres de fantasmes que je nourris maintenant et que je voudrais réaliser avec lui … j’ai peur qu’il ne comprenne pas, qu’il me prenne pour ce que je ne suis pas, même si je veux maintenant assumer ma quête du plaisir pleinement.

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 10:40

L’histoire racontée avec force détails croustillants par un lecteur (voir : La mère de mon ami ... souvenirs charmants) qui nous avait confié comment il avait été déniaisé par la mère de son ami, fantasme répandu chez les jeunes hommes, m’a poussé à vous raconter ma propre expérience tout aussi délicieuse, et mettant aussi une femme d’experience dans le role de l'initiatrice …

 

J’avais alors un peu moins de 18 ans et je vivais toujours chez mes parents.

 

Un matin, au mois d'octobre, on sonna. Mes parents n'étant pas là, je descendis ouvrir croyant au facteur. J'ouvris la porte, en me cachant derrière car j’étais en caleçon ; c'était une de nos voisine qui rapportait une montagne de livres que ma mère lui avait prêté.

 

C’était une femme dans la quarantaine, mariée, 2 enfants dont l’un était ami avec ma sœur, brune avec de longs cheveux, très belle. J’avais fantasmé plusieurs fois sur une relation, sans bien sûr y croire. Mais ce fantasme m’avait fait mouiller mes slips quelquefois …

Elle croulait sous le poids, et je ne pus faire autrement que la faire rentrer. Elle entra dans le salon, et posa la cathédrale de bouquin sur la table. Alors qu’elle repartait, non s’en m’avoir ‘’jaugé’’ en échangeant deux – trois banalités du genre « tes parents ne sont pas là ? … bla bla » , je lui demandais poliment si elle voulait un café, ce qu'elle accepta.

Elle s’assit dans le salon, et je filais dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, je revins avec nos tasses de café. Alors que je lui tendais la sienne, elle me heurta le bras, la tasse se déroba et son contenu arriva sur mon caleçon. Elle s'excusa, confuse, je lui disais que ce n'était rien du tout que ca arrivait. J’avait toutefois déjà bondit car je sentais la chaleur très forte et craignais une vraie brulure toutefois Je me dirigeais vers la salle de bain pour me changer, sans fermer la porte au verrou.

Je baissais mon caleçon, et prit un gant froid pour me laver et refroidir la zone. Quelques secondes plus tard, je l’entendis s’approcher et derrière la porte me demandait si elle ne m’avait pas brulé,  sa main agrippa la poignée … croyait-elle la porte verrouillée, toujours est-il que celle-ci s’ouvrit et que me retournant, je la vis me faire face. J'étais nu. Je me sentis rougir, et du constater un vrai début d'érection. Ma voisine s’excusa et s’effaça,  retournant m'attendre dans le salon. En la rejoignant, ayant enfilé un jean, je me sentais gêné. Il régnait un silence de cathédrale, quand je me rassis près d’elle.

C’est elle qui brisa ce silence, me disant:

tu as un très beau corps, tu sais ? …

 

???

 

et un très joli sexe !


Moi, redevant rouge cramoisi, je lui dit (je l’entends encore, comme si c’était hier !)

C'est gentil !


Elle se leva, et me fit un bisou sur le front, puis se repenchant en posa deux sur mes joues, tout en glissant sa main le long de mes cuisses. Ses caresses me procuraient une nouvelle érection. Elle me regarda, baissa les yeux et me dit doucement:


         Dis moi, tu as déja fais l'amour ?


Moi tout penaud, la gorge sèche, je serrais mes cuisses, et je répondis par la négative.
Et là, un sourire sur son visage, elle me dit :
        

         Tu veux que je t’apprenne ?


Je n'en croyais pas mes oreilles, je fis un OUI tout timide.


Elle me prit par la main, et on se dirigea vers ma chambre.


Elle s’assit sur le bord de mon lit ; je restais gauche, debout devant elle … elle me fit m’approcher, baissa mon caleçon dont jaillit mon sexe dur comme du bois. Tout en me regardant fixement, elle me décalotta doucement, fit quelques aller retour dans sa main, et alors que mon gland venait de briller d’une goutte, elle prit ma verge dans sa bouche.

 

Quel bonheur ? ma première pipe ? J’en avais rêvé, vues maintes fois sur des revues porno qu’on se passait au lycée (il n’y avait pas internet !)

Et avec cette femme, quasi inaccessible dans mes meilleurs rêves !

C'était si chaud, si bon, qu'au 3 ou 4ème coup de langue je joui subitement dans sa bouche. Elle avala tout, avant de me dire:


         Eh ! tu aurais pu me prévenir !

 

         ?? je ne savais toujours rien répondre

        

Elle rit, et me dit :

 

         Ne t’en fait pas, c’était très bon  tout en se léchant les lèvres.


Elle se releva, enleva son chemisier, son soutien gorge et découvris une poitrine aux tétons tout bruns et tout bandés. Puis ce fut autour de sa jupe ; dessous, elle portait un collant couleur chair et manifestement …  pas de culotte car je découvris en transparence une épaisse toison toute noire ; elle se rassit, enleva son collant et pivotant sur les fesses, s'allongea sur le lit et me tendit la main. Je vins poser un genou sur le bord de mon lit ; elle m’attira a elle et me fit passer mon T-Shirt par-dessus la poitrine et la tête : j'étais complètement nu.

 

Elle écarta ses cuisses rebondies, et de 2 doigts ses lèvres intimes. Elle m’offrait son sexe : j'apercevais une humidité qui y perlait, et même coulait vers son périnée ; elle me dit:

         Tu vois dans quel état tu me mets, approche ton nez, viens sentir mon excitation

 

Je fis selon ses désirs

 

         Voila, mets ta langue, goute mon suc

 

Je me lançais, un peu intimidé dans mon premier cunni mais bien vite je fus pris dans le rythme qu’elle m’imposait de ses déhanchements

 

Oui chéri c’est bien … oui … n'oublie pas mon clito !  ici, oui ici …. chéri, hum que c'est bon, je vais jouir mon amour, ca y est, ahhh oui

 

et là, un flot de mouille bien épaisse réchauffa ma gorge.

 

Tu m'as fait jouir comme une folle mon amour ! Allonge toi à ton tour, je vais te dépuceler ".

 

Dans un cours moment de lucidité, réalisant que je n’avais pas de capote, je lui dis:


Vous avez des préservatifs ?

 

Et toi ?

 

Je dus lui répondre par la négative, persuadé que ceci mettrait un terme à ce qui semblait être un rêve … je m’en voulais (et depuis, j en ais toujours !!!)


Je n'en ai pas non plus, mais tant pis, je ne suis pas en ovulation !


Elle mit sa main chaude sur mon sexe, le décalottant, le recallotant, parfois le mettant dans sa bouche, puis au bout de 2 minutes, elle vint sur moi, prenant dans sa main mon sexe et le guida à l'entrée de sa grotte

 

Petit à petit, le gland passa la barrière de ses lèvres que je voyais s’arrondir et venir épouser ma tige.

En me regardant droit dans les yeux, elle se baissa et vint s'assoir sur ma bite puis ne bougea pas pendant quelques secondes:

Ca va?

 

Oui, .. c'est chaud !


C'est toi qui me mets dans cet état


Et doucement, elle fit des va et vient, puis accéléra le rythme.


Dans un dernier regard, me dit:


Comme tu es gros, je te sens bien dans mon ventre, je veux ton sperme en moi, jouis je t'en supplie,  jouis en moi


Et dans un râle ultime je sentis une nouvelle jouissance me submerger


Je sens ton sperme, c'est chaud, ouiiiii....


Après cette étreinte bouillonnante, elle me fit plein de petits bisous et me dit :


Tu as aimé?

 

Je fis OUI de la tête


         Tu m'as bien fait jouir, te voila homme maintenant


Elle s’était redressée et me faisait face ; je voyais mon sperme ressortir de son sexe et perler sur les draps et sur ma cuisse


Tu vois comme tu m'as remplie !

 

Elle passa une main sur sa poitrine, pinça un téton tandis que son autre main s’aventurait sur sa toison poisseuse ; Elle vint vite à se mettre deux doigts et commença à se caresser devant moi …


Alors là, j’étais scotché ; je n’en croyais pas mes yeux. Devant moi se déroulait le film X que je m’étais plusieurs fois déroulé lors de mes branlettes nocturnes. Je sentais mon sexe qui commençait à se raidir de nouveau.


Oh, petit salaud ! Mais tu bandes encore ?!!!

 

Elle se saisit de ma bite, et entreprit une nouvelle branlette …

 

Mais que va-t-on faire de cela ?

 

??? que répondre ?

 

Tu ne voudrais pas m'enculer ?

???

 

Après mes yeux, c’était mes oreilles qui ne croyaient pas ce qu’elles vivaient ….


Elle se mit à 4 pattes, passant un doigt sur son vagin afin d'y recueillir mon sperme et sa cyprine mélangés, dont elle commença à s'humidifier l'anus


Je suis prête, Viens ! prends moi !  Mais, rentre doucement hein ? c'est fragile


Je vins à quatre patte derrière elle, et approcha mon sexe. Je posais mon gland à l'entrée de son cul. Sa main vint saisir ma tige, et moi poussant, elle m’accompagnant, je senti très vite son œillet s’arrondir autour de mon gland qui disparu au fond de ses fesses.
Quand il fut passé, et alors que je ne savais comment m’y prendre, c’est elle qui recula brutalement, s’empalant jusqu’à mes couilles sur mon sexe. Je n’en revenais pas

 

Lime moi bien, rentre bien au fond … oui c'est ca !

Je sentais la jouissance monter de nouveau ; elle devait sentir les soubresauts annonciateurs car je me sentais hyper serré dans son cul, comme dans un préservatif trop petit


Tu vas jouir, hein ?  C'est ca, vas y mon chéri  … si tu jouis, enlève toi de mon cul, et viens dans mon ventre …  oui, voila !

 

et d'une seule poussée je me glissais dans son sexe béant.

Jouis mon amour, ouiiiii


Et pour la 2ème fois,  je lui balançais tout dans son ventre.


Quelle leçon !! Elle s’avança, se libérant de mon sexe, se leva, me fit un baiser, et alla se douecher.

 

Revenue toute propre, elle se rhabilla. Je l'accompagnais jusqu'à la porte, où elle me dit:

Je t'aime, tu m'as fait l'amour comme un dieu !


Je me pris à espérer, mais quelques jours après, elle revint me voir et reprenant sa place de voisine, m‘expliqua qu’il fallait mieux que nous en restions là, que c’était un très beau souvenir, qu’elle espérait qu’il en allait de même pour moi (tu penses ?!!), mais que eu égard à nos différences d’âges, la proximité avec mes parents, son mari, ma sœur amie avec son  fils, etc … nous prendrions de trop gros risques.

 

J’ai du m’y résoudre, et toutes mes tentatives, softs, ont été doctement repoussées … nous sommes en revanche restés très proches, et je n’oublierais jamais, elle le sait, ce qu’elle m’a fait découvrir ce jour là !!!

 

Je pense qu’elle a influée sur une nature déjà assez portée sur le sexe, en me révélant - les histoires que vous pouvez lire sur ce site et sur d’autres en témoignent (toutes ne sont pas simples élucubrations) en témoignent -  que tout est possible a qui sait saisir sa chance, et parfois l’initier.  En tout cas, beaucoup est permis à qui est attentif aux autres et aux nombreux plaisirs que nous offrent la vie et chaque jours qui passent ;

 

N’oublions pas non plus que nous pouvons espérer recevoir, dans la durée, qu’à la hauteur de ce que nous savons donner … l’altruisme, le tact, la générosité, la douceur et la tendresse sont des valeurs essentielles

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 10:29

Decouverte de l’exhib’ … un vrai plaisir partagé

 

Un soir, nous avions programmé une escapade en amoureux sur Paris et nous ne savions pas trop où aller comme lieux coquins.

Nous avions donc préféré de nous faire une toile avant de décider où aller.

Nous sommes allés voir un vieux film. Là, nous étions sûrs qu'il n'y aurait pas trop de monde (un peu de calme avant une nuit déchaînée !..).

J'étais tout de même habillée pour l'escapade : une petite jupe courte noire, une guêpière blanche dont le bustier était mon seul haut, des bas noirs, des petites chaussures à talons et un beau petit string de dentelle blanche. Nous nous sommes assis au milieu du dernier rang. Nous n'étions pas trop dans le noir car nous étions légèrement éclairés par les petites lampes indiquant les sorties de secours.

Nous étions à peine 10 personnes dans la salle et nous, bien tranquilles au fond et seuls sur la rangée. Au moment où le film commença, un homme entra dans la salle et vint s'assoir près de moi ; seul un siège nous séparait. Ma curiosité fut telle que je ne pus m'empêcher de regarder très rapidement pour voir sa silhouette.

Nos regards se croisèrent un bref instant et je pus voir qu'il était bel homme. Je vis que son regard se fixa ensuite sur mes jambes et là, je remarquais que ma jupe courte était relevée un peu trop, ce qui laissait voir le haut de mes bas et les jarretelles blanches. Quelque chose m'excita dans cette situation, et je n'avais nullement envie de baisser ma jupe.

F. tourna la tête et compris vite la situation. Je vis sur son visage se dessiner un petit sourire complice. Je glissais ma main sur le pantalon de mon homme afin de sentir à quel point la situation l'excitait. Je sentis son sexe se durcir.

L'homme à côté semblait se sentir gêné. F. le mit à l'aise en me soulevant un peu plus la jupe comme pour approuver qu'il mate. Il nous fit un sourire comme pour nous dire qu'il avait bien reçu le message. Là, il se laissa aller en tournant franchement la tête comme s'il attendait de nous quelque chose.

Je fis alors glisser doucement mon string, en soulevant mon bassin … Dansant d’une fesse sur l’autre, je le fit descendre sur mes jambes gainées de noir et franchit l’obstacle des chaussures.  En fixant cet homme droit dans les yeux, je déposais alors la mince étoffe sur le siège qui nous séparait. J'écartais les jambes et F. caressa délicatement ma chatte trempée par l'excitation de la situation. Là, j'ouvris le pantalon de mon chéri, passais la main et sortis son sexe bien dur et gonflé de plaisir. Je tournais la tête vers cet inconnu car je voulais le voir et ressentir si cela l'excitait comme nous.

Son regard ne quittait pas mon entre-jambe. Il commença à se caresser au travers de son pantalon, puis très vite, baissa sa braguette, fouilla dedans et sortit son sexe qu’il commença à masturber tout doucement comme pour faire durer son plaisir le plus longtemps possible. J'étais trempée et très excitée. Il avait un beau sexe, assez semblable à celui de F. Ce dernier n'eut pas beaucoup besoin de stimuler mon clitoris pour que je jouisse et je ne put retenir un gémissement sourd de plaisir.

F. me glissa alors trois doigts dans la chatte et fit des va-et-vient pour faire perdurer cette extase de plaisir. Je le branlais comme une folle, très vite. Mon homme se mit à jouir à son tour sur ma main … gonflé à bloc, de longs jets vinrent successivement  s’écraser sur son polo puis sur son pantalon ! Quand je retournais la tête vers cet inconnu qui participait de près à ce délire, je me suis rendu compte qu'il avait aussi joui.

Je sortis un paquet de mouchoirs en papier et en un à chacun. Il le prit, et me dis dans un souffle :
         Merci ! … merci pour tout !
et je lui dit :
         Merci à vous aussi.


Je remis mon string. Nous avons fini de regarder le film jusqu'au bout en se caressant doucement ; mon voisin partit avant la fin, et nous échangeames alors un sourire.

 

Je sais maintenant une chose : il peut parfois nous arriver des choses plus excitantes encore dans les lieux les plus soft qui soient, que dans les lieux prévus à cet effet.

 

Décidemment, le ciné inspire … voir les posts précédents.

Cette belle histoire est écrite par Sylvie, à qui nous ferons passer vos commentaires

Par Libertins49 - Publié dans : Lieux de libertinage ...
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 00:42

Un texte que nous a adressé Thomas, au milieu d’un très bel e-mail. Voilà notre façon de l’en remercier, en attendant mieux si l’occasion s’y prête … L’un et l’autre serions partant pour voir un film avec lui … à bon entendeur !!!

 

 

…/… Oserai-je me permettre de vous livrer un des nombreux fantasmes qui hantent mon cerveau fertile (rire). allez j'ose !

Il est 19 h, et vous et votre mari vous apprêtez à rejoindre l'homme à qui vous avez donnez rendez vous. 

 

Comme vous, cet homme sent une douce chaleur l'envahir à mesure que l'heure approche.

 

Vous vous êtes donné rendez vous dans une salle de cinéma des environs.

 

Le film que vous avez choisi n'attirera pas les foules ce soir là (peut être le dernier Godart), et la salle, sans être déserte (ce qui serait moins excitant), est loin d'être comble.


Vous vous êtes donné rendez vous dix minutes après le début du film, de façon à éviter les réclames et à pénétrer dans une salle déjà baignée d'obscurité.


Ca y est, vos regards se sont croisés.

 

Cet homme à qui vous avez pensé une bonne partie de la journée, et qui lui aussi vous avez dans un coin de son esprit depuis le matin, cet homme est là, et il vous sourit.

 

Il a l'air décontracté (en tout cas, il fait tout pour), dans son costume gris clair (la cravate qu'il a porté toute la journée traîne quelque part dans sa voiture).

 

Après avoir réglé les places, il entre à vos côtés dans la salle obscure.

 

Votre parfum l'enivre déjà, comme un vin au nez plein de promesses. Il vous invite à vous asseoir, un peu à l'écart, et pendant quelques minutes, côte à côte, vous n'osez bouger de peur de rompre le fil ténu du charme.

 

Votre mari est là, à vos côtés et cette situation le trouble autant que vous.

 

Cette douce chaleur qui vous a aiguillonné le ventre pendant la journée prend de l'ampleur, et se mue en une décharge d'adrénaline lorsque la main de cet homme se pose pour la première fois sur votre jambe.

 

La sensation pour lui aussi est terrible.
Puis doucement, avec votre consentement, sa main remonte lentement le long de votre cuisse et là son imagination s'emballe : que va t'il découvrir sous le tissus délicat de cette jupe qui lui fait barrage.

 

Il se meure d'effleurer du bout des doigts cette fine pellicule de dentelle qui protège encore votre intimité.

 

Surtout ne pas aller trop vite, surtout faire durer cette étape de découverte sensuelle.

 

 Avec d'infinies précautions, il suit du bout du doigt le bord de votre lingerie fine.

 

Votre respiration qu'il sent s’accélérer lui autorise la liberté de continuer son exploration de ce territoire qui l'attire comme un aimant. Ses doigts franchissent l'obstacle et commencent à caresser votre mont de vénus.
L'excitation venant, votre main glisse le long du pantalon de votre mari, jusqu'à sentir son sexe prendre de l'ampleur ; et vous commencez à le caresser pendant que l'homme assis à côté de vous continue son exploration. Il ne peut qu'imaginer cette douce toison que ses doigts lisent comme un aveugle déchiffre du braille. Votre sexe n'est qu'à quelques centimètres maintenant et il brûle d'y plonger, de fondre dans l'incandescence.


Ses doigts écartent vos lèvres et commencent un massage lent. Ses doigts caressent et pénètrent, caressent et pénètrent au rythme que vos mouvements de bassin leur impriment, jusqu'à l'explosion, la libération, la jouissance.

Puis avec beaucoup de tendresse, ses lèvres s'approchent de votre oreille. Après un doux baiser, il vous murmure ‘’à bientôt’’.

Voilà en quelques mots ce que Sensualité évoque entre autre pour moi. …/…

 

Merci, Thomas et à bientôt

Par Libertins49 - Publié dans : Lieux de libertinage ...
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 00:40

Rappel de l’épisode précédent … Alors que nous sommes en voiture, ma femme est surprise d’avoir du plaisir à imaginer l’excitation créée chez un routier qui a surpris ces exhibitions coquines, mais surtout lui a montré un sexe hors du commun … Cela ne la laisse, elle-même, pas indifférente, et elle accepte que, après que nous nous soyons arrêté sur une aire, j’aille discuter avec le chauffeur qui se trouve être plutôt bel homme …

 

 

Nous le rejoignons. Il lui tend la main pour l'aider à monter et, étant derrière elle, j'ai le plaisir de constater qu'elle n'a pas jugé utile de remettre son slip. Nous faisons les présentations puis Marc tire les rideaux, nous isolant du reste du monde, et dit :


Alors comme ça, il paraît que ma queue te plait beaucoup ?

Euh… c'est-à-dire… je n'en ai jamais vu d'aussi grosse…

Tu aimerais la voir de près, pas vrai ?

Oui

Il se relève un peu et propose :

Vas-y ! Libère-la !


C. me jette un coup d'œil interrogateur, semblant me demander mon accord.

Mon sourire la rassure et, lentement, sa main s'approche du bas-ventre de Marc. Ses doigts descendent la fermeture éclair et écartent les pans du vêtement avant de le faire glisser sur ses jambes. Marc se retrouve juste vêtu d'un caleçon déformée par une bosse, il est vrai, énorme.

Il se débarrasse du pantalon et reprends la pose, attendant la suite.

Parfaitement excitée désormais, C. baisse d'un coup le caleçon et une verge d'une taille que je n'ai jamais vue, même dans certains films, lui saute littéralement au visage.

Elle pousse un 'oh' de surprise et ne peut en détacher les yeux.


Tu peux toucher…


Je regarde la main de ma chérie se poser un autre sexe que le mien et le caresser. Cette vision m'excite moi au plus haut point et je suis vraiment à l'étroit dans mon short. Ses doigts vont et viennent sur la hampe dont elle ne parvient pas à faire le tour. Il la laisse faire quelques minutes puis retire doucement sa main et lui dit :


Et toi … tu es d'accord pour me montrer ton trésor ?


Je ne reconnais plus ma femme qui s'allonge sur la couchette et écarte au maximum les jambes, dévoilant sa chatte nue à Marc qui s'en met plein les yeux.

Écarte tes lèvres !

Totalement obéissante, elle expose sa fente, tenant ses grandes lèvres écartées. Marc approche son visage et s'amuse à souffler doucement sur la chatte ainsi offerte. C. gémit et, d'une petite voix, lui dit :

Tu peux toucher aussi si tu veux…


Comme s'il n'attendait que cela, il pose la main et entame de lentes caresses, massant les lèvres, explorant la fente, titillant le bouton puis introduisant un doigt dans le vagin, tirant un long gémissement à ma chérie. Le doigt va et vient, de plus en plus rapidement, faisant des bruits de clapotis. Un second le rejoint et Marc branle franchement ma femme qui ne tarde pas à parvenir à l'orgasme.


Oh … c’est bon … oh, c'est bon ! Je vais venir! Oui… comme ça ! AAAAh….


Dans un cri, elle se libère, les doigts fichés au plus profond de son sexe. Marc les sort, avance son visage et je le regarde déguster la mouille de ma chérie. Il se relève, souriant, et dit :


Tu as une chatte délicieuse.

 

Se tournant vers moi : tu es d'accord que je la prenne ?

 

Si elle en a envie, pas de problème…


Oh oui !  souffle t’elle, comme dans une demande …

 

Décidemment, elle me réserve bien des surprises aujourd’hui !

Marc s'allonge sur la couchette et attire ma femme sur lui. Il lui tend un sachet … j’ai le tends d’y déchiffrer XXL tandis que C., fébrile, le déchire, en vérifie le sens avant de venir le chevaucher, lui faisant face,  ses deux jambes repliées encadrant son bassin … je la voit se baisser lentement jusqu’à ce que son entrejambe vienne lentement s’approcher, inexorablement, de ce véritable pieu qui est maintenant dressé vers elle … Elle recule, se saisit le membre, lui déroule le préservatif avant de revenir afin de se caresser délicatement du sexe maintenant encapuchonné. Rapidement le guide elle-même à l'entrée de son puits d'amour. Lentement, elle descend : je vois le gland être décalotté quand il s’enfonce entre les lèvres de C. Je la vois, visage abandonné vers l’arrière, regardant le plafond de la cabine … quelquefois, de légers tremblements, mélanges de sourires et de rictus, illuminent son visage et témoigne de son plaisir lors de la progression de cette belle queue au plus profond d’elle-même … elle semble en savourer chaque centimètre. Je me demande si elle va pouvoir la prendre en entier tant elle est énorme. Enfin, après de longues minutes, Marc est entièrement en elle. C. reste immobile.

Mon chéri, je n'ai jamais été emplie ainsi…

 

C'est bon ?

Oh, oui !


Doucement, elle remonte, le faisant presque ressortir puis redescend d'un coup, s'empalant jusqu'à la garde dans un cri de bonheur. Marc la saisit par les hanches et la fait aller et venir sur lui, lui tirant des cris à chaque coup de rein.


Chéri … Viens ! approche-toi !


Je me hisse jusqu'à la couchette. D'autorité, elle prend mes mains et les pose sur sa poitrine qu'elle vient de dénuder. Je masse ses seins, en étirant les tétons durcis par le plaisir. Elle me laisse faire un peu puis se courbe vers son amant, les lui donnant à téter, ce qu'il s'empresse de faire. Je caresse ses fesses que j'adore, insinuant un doigt dans la raie et trouvant le petit œillet sombre que je caresse lentement. Doucement, j'enfonce un doigt sans rencontrer de résistance. Au contraire, un "oui" m'encourage et j'entame de doux va et vient, sentant à travers la fine paroi, le sexe de Marc aller et venir dans sa chatte.

Prends-moi !

 

?  

 

Marc, lui-même interromps ses va et viens, ne sachant pas comment se comporter. C’est elle qui redonne le rythme, tout en se tournant vers moi

 

Oui, prends-moi ! là ! tandis que je le sens bien en moi … je veux sentir ta queue aussi


Je n'ose y croire ! Je me mets rapidement nu et prends place derrière elle. Heureusement, la cabine est suffisamment vaste ! Marc maintiens les fesses de ma femme écartées, n’a pas repris ses mouvement, et C a arrété de bouger. Je vise sa corolle, pose mon gland dessus, et appuie doucement. Nous pratiquons assez régulièrement la sodomie, mais je me demande toutefois comment elle va réagir, étant déjà tellement remplie. Surpris, je m'enfonce sans problème dans son cul accueillant. J'entame de lents va et vient et Marc recommence à la pistonner, se calquant au même rythme. C. n'en peut plus et nous crie son plaisir :

Oh putain … oh la vache ! Que c'est bon ! Vous me remplissez bien tous les deux. Baisez-moi bien à fond !


Nous ne nous faisons pas prier et nos coups de reins se font de plus en plus puissants, la faisant crier désormais sans discontinuer.
Cette chevauchée dure un long moment et, le premier, je parviens à l'orgasme :

Ma chérie… je vais venir…


Oui… vas-y ! Jouis dans mon cul ! Donne-moi ton jus !


Je me plante à fond dans ses reins et me laisse aller, mes jets fusant dans son étroit conduit. Je reste un peu en elle puis reprends mes va et viens avant de ressortir quand mon sexe commence à débander. Je reprends ma position de voyeur et les regarde baiser. A son tour, Marc sent monter le plaisir :

Je vais venir aussi !


Il sort d'elle. Elle, sans hésiter, s'empare de son membre, enlève la capote, et entreprends de le masturber, le gland dirigé vers ses seins. Rapidement un premier jet l'arrose, suivi de nombreux autres qui maculent sa poitrine de traînées blanchâtres.
Malgré son éjaculation, il reste droit comme un i !

Mets-toi à quatre pattes !


Il s'installe derrière elle, reprends une pochette qu’il déchire lui-même, se couvre et la réinvestis de nouveau. Ses va et vient reprennent de plus belle, pour le plus grand bonheur de C., méconnaissable, les cheveux collés au visage par la transpiration, la bouche grande ouverte. Cela me donne une idée et je m'assieds face à elle. Sans se faire prier, sa bouche m'avale et elle me suce, presque violemment tandis que mes mains reprennent possession de sa poitrine.
Il ne lui faut pas longtemps pour parvenir une seconde fois au septième ciel. Elle me lâche et crie


Je vais jouir… Oh ouuuuiiii … baise-moi bien à fond… donne-moi ta queue !
 

crie t’elle à Marc


Les coups de reins redoublent, faisant claquer ses fesses contre le bas-ventre de Marc et soudain, elle pousse un long cri et jouit, les fesses tendues vers son amant qui ne ralentit pas la cadence. Il ne cesse ses va et vient, entretenant le plaisir de ma femme qui, pour la première fois, connaît plusieurs orgasmes successifs.
Épuisée, elle s'affale sur le ventre, suivi par Marc qui continue à la pistonner.


Ah… attends un peu… laisse-moi récupérer…

 

Ce mec semble inépuisable … pour un peu, j’en ressentirais de la jalousie

A regret, il quitte son doux écrin et s'assied à côté de moi. Je ne peux m'empêcher d'admirer son sexe, luisant de cyprine, réellement imposant. Marc me regarde en souriant et me demande :


Tu veux y goûter, toi aussi ?


Je ne sais pas alors ce qui me prend mais, alors que je n’ai jamais rien fait de tel, je me penche et pose les lèvres sur son gland. Peu à peu, mes lèvres s'ouvrent, largement, le gland puis la hampe s'enfoncent dans ma bouche et je commence ma première fellation, trouvant très agréable le contact de ce membre masculin en moi.

Ça pour une surprise !


C., tout sourire, me regarde sucer Marc.


Elle est bonne sa queue, hein ? Vas-y mon chéri ! Pompe le bien ! Il suce bien au moins ? demande t’elle à Marc


Hum… il se débrouille pas mal !


Ça alors ! un vrai petit pédé ! Tu la veux dans le cul aussi ?


Je ne peux répondre, bâillonné par le sexe de notre complice, et crains qu'elle ne prenne mon silence pour un consentement. Je sens alors ses doigts fureter autour de mon anus puis s'y enfoncer, sans trop de ménagement. Elle le fait parfois en me suçant mais est d'ordinaire beaucoup plus douce. Ses doigts vont et viennent en moi, me procurant peu à peu une sensation bien agréable.

Je te branle le cul avec trois doigts et tu aimes ça ! Marc, viens donc le prendre !


Il sort de ma bouche et j'en profite pour leur dire que je ne suis pas du tout d'accord :


Non, il va me déchirer le cul !


Sois tranquille, je vais aller doucement. Tu vas voir, tu vas adorer…


NON ! Je ne veux pas !


Ne l'écoute pas Marc ! Vas-y ! Et après, s'il te reste des forces, je t'offrirai le mien…


J'ai du mal à reconnaître ma femme ! Elle demande à son amant de m'enculer et lui propose le même supplice pour elle.

Marc, faisant fi de mes protestations, pose les mains sur mes hanches et se sens son gland peser contre ma rondelle. Instinctivement, je serre les fesses mais une claque me rappelle à l'ordre.


Ne bouge pas ! Laisse-toi faire ! m’intime t’elle.  J'aime quand tu m'encules… il n'y a pas de raison que tu n'aimes pas ça toi aussi !

Mais il est bien trop gros !


Je sens mes chairs s'écarteler sous la poussée, la douleur est vive et je tente de me soustraire mais Marc me maintient fermement.


Le plus dur est bientôt passé… C., caresse-le !


Les doigts de ma chérie se referment sur mon sexe mou et le caressent doucement. Marc poursuit son intromission et j'ai l'impression qu'une barre de fer me transperce. Je transpire abondamment, je serre les dents mais ne peux l'empêcher de s'enfoncer, centimètre par centimètre. Après un long moment, il annonce triomphalement qu'il est tout entier dans mon cul. Je suis quelque peu surpris de ne plus trop souffrir. Il reste un moment immobile puis entreprend de ressortir, tout aussi lentement. Mon cul semble s'habituer à sa présence et je ne ressens plus aucune douleur. Mon sexe, sous les caresses de ma chérie a retrouvé toute sa vigueur, ce qui lui fait dire :


Tu vois, tu aimes te faire baiser ! Tu bandes !


Marc entreprend alors d'aller et venir en moi et je me surprends à me cambrer, tendant mes fesses au devant de sa queue.
Il me pilonne un long moment et je prends maintenant du plaisir à me faire ainsi ramoner.


A mon tour maintenant !


Décidément, ma chérie est en chaleur ! Elle s'allonge sous moi, relève les jambes, les passe sous mes bras et les écartes au maximum, dévoilant son sexe et son anus. Elle écarte ses fesses et dit :

Chéri, prépare-moi !


Ma langue plonge sur sa rondelle que je lèche abondamment, salivant le plus possible.


Allez ! Viens Marc !


Je ressens un immense vide quand il sort de moi, me laissant frustré. Je le vois s'appuyer contre les fesses de ma chérie. Je prends son sexe et le guide vers la rondelle puis le regarde s'enfoncer lentement mais sûrement.

Oh, qu'il est gros !


Je le regarde, étonné, s'enfoncer sans trop de difficulté. Mes doigts retrouvent la fente que je caresse lentement, alors que C. me reprend entre ses lèvres et me suce avec toujours la même ardeur.
Rapidement, il va et vient en elle, lui tirant à nouveau des cris, heureusement étouffés par mon propre sexe.

Après de longues minutes, il sort d'elle et, dans un cri, après avoir arraché le preservatif, éjacule une nouvelle quantité de sperme importante, lui maculant la toison pubienne.

C. lâche mon sexe et dit :


A ton tour, mon chéri, viens me faire jouir !


Je pénètre son sexe et il ne nous faut guère de temps pour obtenir un nouvel orgasme, pratiquement simultanément.

Après avoir récupéré, nous nous rhabillons et quittons Marc, non sans que celui-ci nous laisse son numéro de portable, et reprenons la route.

 

 

Ou suis-je … je sens quelque chose, ou plutôt quelqu’un, me secouer ….


Eh ! Lève-toi ! Je te rappelle que nous partons passer le week-end à la mer !


J'ouvre les yeux, je suis dans mon lit et C. me secoue ! Elle est en sous-vêtements, avec un de ces jolis tangas qui lui font la cuisse longue et effilée … je vois sa vulve bombée, ses seins lourds qui dansent devant moi … j’ai une érection, bien compréhensible, je jette la couette, et la bascule sur le lit … j’ai envie d’elle, et elle aussi, même si elle s’en défend comme si savent si bien dire les femmes, quand leur yeux disent le contraire !

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