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Rappel de l’épisode précédent … Alors que nous sommes en voiture, ma femme est surprise d’avoir du plaisir à imaginer l’excitation créée chez un routier qui a surpris ces exhibitions coquines, mais surtout lui a montré un sexe hors du commun … Cela ne la laisse, elle-même, pas indifférente, et elle accepte que, après que nous nous soyons arrêté sur une aire, j’aille discuter avec le chauffeur qui se trouve être plutôt bel homme …
Nous le rejoignons. Il lui tend la main pour l'aider à monter et, étant derrière elle, j'ai le plaisir de constater qu'elle n'a pas jugé utile de remettre son slip. Nous faisons les présentations puis Marc tire les rideaux, nous isolant du reste du monde, et dit :
Alors comme ça, il paraît que ma queue te plait beaucoup ?
Euh… c'est-à-dire… je n'en ai jamais vu d'aussi grosse…
Tu aimerais la voir de près, pas vrai ?
Oui
Il se relève un peu et propose :
Vas-y ! Libère-la !
C. me jette un coup d'œil interrogateur, semblant me demander mon accord.
Mon sourire la rassure et, lentement, sa main s'approche du bas-ventre de Marc. Ses doigts descendent la fermeture éclair et écartent les pans du vêtement avant de le faire glisser sur ses jambes. Marc se retrouve juste vêtu d'un caleçon déformée par une bosse, il est vrai, énorme.
Il se débarrasse du pantalon et reprends la pose, attendant la suite.
Parfaitement excitée désormais, C. baisse d'un coup le caleçon et une verge d'une taille que je n'ai jamais vue, même dans certains films, lui saute littéralement au visage.
Elle pousse un 'oh' de surprise et ne peut en détacher les yeux.
Tu peux toucher…
Je regarde la main de ma chérie se poser un autre sexe que le mien et le caresser. Cette vision m'excite moi au plus haut point et je suis vraiment à l'étroit dans mon short. Ses doigts vont et viennent sur la hampe dont elle ne parvient pas à faire le tour. Il la laisse faire quelques minutes puis retire doucement sa main et lui dit :
Et toi … tu es d'accord pour me montrer ton trésor ?
Je ne reconnais plus ma femme qui s'allonge sur la couchette et écarte au maximum les jambes, dévoilant sa chatte nue à Marc qui s'en met plein les yeux.
Écarte tes lèvres !
Totalement obéissante, elle expose sa fente, tenant ses grandes lèvres écartées. Marc approche son visage et s'amuse à souffler doucement sur la chatte ainsi offerte. C. gémit et, d'une petite voix, lui dit :
Tu peux toucher aussi si tu veux…
Comme s'il n'attendait que cela, il pose la main et entame de lentes caresses, massant les lèvres, explorant la fente, titillant le bouton puis introduisant un doigt dans le vagin, tirant un long gémissement à ma chérie. Le doigt va et vient, de plus en plus rapidement, faisant des bruits de clapotis. Un second le rejoint et Marc branle franchement ma femme qui ne tarde pas à parvenir à l'orgasme.
Oh … c’est bon … oh, c'est bon ! Je vais venir! Oui… comme ça ! AAAAh….
Dans un cri, elle se libère, les doigts fichés au plus profond de son sexe. Marc les sort, avance son visage et je le regarde déguster la mouille de ma chérie. Il se relève, souriant, et dit :
Tu as une chatte délicieuse.
Se tournant vers moi : tu es d'accord que je la prenne ?
Si elle en a envie, pas de problème…
Oh oui ! souffle t’elle, comme dans une demande …
Décidemment, elle me réserve bien des surprises aujourd’hui !
Marc s'allonge sur la couchette et attire ma femme sur lui. Il lui tend un sachet … j’ai le tends d’y déchiffrer XXL tandis que C., fébrile, le déchire, en vérifie le sens avant de venir le chevaucher, lui faisant face, ses deux jambes repliées encadrant son bassin … je la voit se baisser lentement jusqu’à ce que son entrejambe vienne lentement s’approcher, inexorablement, de ce véritable pieu qui est maintenant dressé vers elle … Elle recule, se saisit le membre, lui déroule le préservatif avant de revenir afin de se caresser délicatement du sexe maintenant encapuchonné. Rapidement le guide elle-même à l'entrée de son puits d'amour. Lentement, elle descend : je vois le gland être décalotté quand il s’enfonce entre les lèvres de C. Je la vois, visage abandonné vers l’arrière, regardant le plafond de la cabine … quelquefois, de légers tremblements, mélanges de sourires et de rictus, illuminent son visage et témoigne de son plaisir lors de la progression de cette belle queue au plus profond d’elle-même … elle semble en savourer chaque centimètre. Je me demande si elle va pouvoir la prendre en entier tant elle est énorme. Enfin, après de longues minutes, Marc est entièrement en elle. C. reste immobile.
Mon chéri, je n'ai jamais été emplie ainsi…
C'est bon ?
Oh, oui !
Doucement, elle remonte, le faisant presque ressortir puis redescend d'un coup, s'empalant jusqu'à la garde dans un cri de bonheur. Marc la saisit par les hanches et la fait aller et venir sur lui, lui tirant des cris à chaque coup de rein.
Chéri … Viens ! approche-toi !
Je me hisse jusqu'à la couchette. D'autorité, elle prend mes mains et les pose sur sa poitrine qu'elle vient de dénuder. Je masse ses seins, en étirant les tétons durcis par le plaisir. Elle me laisse faire un peu puis se courbe vers son amant, les lui donnant à téter, ce qu'il s'empresse de faire. Je caresse ses fesses que j'adore, insinuant un doigt dans la raie et trouvant le petit œillet sombre que je caresse lentement. Doucement, j'enfonce un doigt sans rencontrer de résistance. Au contraire, un "oui" m'encourage et j'entame de doux va et vient, sentant à travers la fine paroi, le sexe de Marc aller et venir dans sa chatte.
Prends-moi !
?
Marc, lui-même interromps ses va et viens, ne sachant pas comment se comporter. C’est elle qui redonne le rythme, tout en se tournant vers moi
Oui, prends-moi ! là ! tandis que je le sens bien en moi … je veux sentir ta queue aussi
Je n'ose y croire ! Je me mets rapidement nu et prends place derrière elle. Heureusement, la cabine est suffisamment vaste ! Marc maintiens les fesses de ma femme écartées, n’a pas repris ses mouvement, et C a arrété de bouger. Je vise sa corolle, pose mon gland dessus, et appuie doucement. Nous pratiquons assez régulièrement la sodomie, mais je me demande toutefois comment elle va réagir, étant déjà tellement remplie. Surpris, je m'enfonce sans problème dans son cul accueillant. J'entame de lents va et vient et Marc recommence à la pistonner, se calquant au même rythme. C. n'en peut plus et nous crie son plaisir :
Oh putain … oh la vache ! Que c'est bon ! Vous me remplissez bien tous les deux. Baisez-moi bien à fond !
Nous ne nous faisons pas prier et nos coups de reins se font de plus en plus puissants, la faisant crier désormais sans discontinuer.
Cette chevauchée dure un long moment et, le premier, je parviens à l'orgasme :
Ma chérie… je vais venir…
Oui… vas-y ! Jouis dans mon cul ! Donne-moi ton jus !
Je me plante à fond dans ses reins et me laisse aller, mes jets fusant dans son étroit conduit. Je reste un peu en elle puis reprends mes va et viens avant de ressortir quand mon sexe commence à débander. Je reprends ma position de voyeur et les regarde baiser. A son tour, Marc sent monter le plaisir :
Je vais venir aussi !
Il sort d'elle. Elle, sans hésiter, s'empare de son membre, enlève la capote, et entreprends de le masturber, le gland dirigé vers ses seins. Rapidement un premier jet l'arrose, suivi de nombreux autres qui maculent sa poitrine de traînées blanchâtres.
Malgré son éjaculation, il reste droit comme un i !
Mets-toi à quatre pattes !
Il s'installe derrière elle, reprends une pochette qu’il déchire lui-même, se couvre et la réinvestis de nouveau. Ses va et vient reprennent de plus belle, pour le plus grand bonheur de C., méconnaissable, les cheveux collés au visage par la transpiration, la bouche grande ouverte. Cela me donne une idée et je m'assieds face à elle. Sans se faire prier, sa bouche m'avale et elle me suce, presque violemment tandis que mes mains reprennent possession de sa poitrine.
Il ne lui faut pas longtemps pour parvenir une seconde fois au septième ciel. Elle me lâche et crie
Je vais jouir… Oh ouuuuiiii … baise-moi bien à fond… donne-moi ta queue !
crie t’elle à Marc
Les coups de reins redoublent, faisant claquer ses fesses contre le bas-ventre de Marc et soudain, elle pousse un long cri et jouit, les fesses tendues vers son amant qui ne ralentit pas la cadence. Il ne cesse ses va et vient, entretenant le plaisir de ma femme qui, pour la première fois, connaît plusieurs orgasmes successifs.
Épuisée, elle s'affale sur le ventre, suivi par Marc qui continue à la pistonner.
Ah… attends un peu… laisse-moi récupérer…
Ce mec semble inépuisable … pour un peu, j’en ressentirais de la jalousie
A regret, il quitte son doux écrin et s'assied à côté de moi. Je ne peux m'empêcher d'admirer son sexe, luisant de cyprine, réellement imposant. Marc me regarde en souriant et me demande :
Tu veux y goûter, toi aussi ?
Je ne sais pas alors ce qui me prend mais, alors que je n’ai jamais rien fait de tel, je me penche et pose les lèvres sur son gland. Peu à peu, mes lèvres s'ouvrent, largement, le gland puis la hampe s'enfoncent dans ma bouche et je commence ma première fellation, trouvant très agréable le contact de ce membre masculin en moi.
Ça pour une surprise !
C., tout sourire, me regarde sucer Marc.
Elle est bonne sa queue, hein ? Vas-y mon chéri ! Pompe le bien ! Il suce bien au moins ? demande t’elle à Marc
Hum… il se débrouille pas mal !
Ça alors ! un vrai petit pédé ! Tu la veux dans le cul aussi ?
Je ne peux répondre, bâillonné par le sexe de notre complice, et crains qu'elle ne prenne mon silence pour un consentement. Je sens alors ses doigts fureter autour de mon anus puis s'y enfoncer, sans trop de ménagement. Elle le fait parfois en me suçant mais est d'ordinaire beaucoup plus douce. Ses doigts vont et viennent en moi, me procurant peu à peu une sensation bien agréable.
Je te branle le cul avec trois doigts et tu aimes ça ! Marc, viens donc le prendre !
Il sort de ma bouche et j'en profite pour leur dire que je ne suis pas du tout d'accord :
Non, il va me déchirer le cul !
Sois tranquille, je vais aller doucement. Tu vas voir, tu vas adorer…
NON ! Je ne veux pas !
Ne l'écoute pas Marc ! Vas-y ! Et après, s'il te reste des forces, je t'offrirai le mien…
J'ai du mal à reconnaître ma femme ! Elle demande à son amant de m'enculer et lui propose le même supplice pour elle.
Marc, faisant fi de mes protestations, pose les mains sur mes hanches et se sens son gland peser contre ma rondelle. Instinctivement, je serre les fesses mais une claque me rappelle à l'ordre.
Ne bouge pas ! Laisse-toi faire ! m’intime t’elle. J'aime quand tu m'encules… il n'y a pas de raison que tu n'aimes pas ça toi aussi !
Mais il est bien trop gros !
Je sens mes chairs s'écarteler sous la poussée, la douleur est vive et je tente de me soustraire mais Marc me maintient fermement.
Le plus dur est bientôt passé… C., caresse-le !
Les doigts de ma chérie se referment sur mon sexe mou et le caressent doucement. Marc poursuit son intromission et j'ai l'impression qu'une barre de fer me transperce. Je transpire abondamment, je serre les dents mais ne peux l'empêcher de s'enfoncer, centimètre par centimètre. Après un long moment, il annonce triomphalement qu'il est tout entier dans mon cul. Je suis quelque peu surpris de ne plus trop souffrir. Il reste un moment immobile puis entreprend de ressortir, tout aussi lentement. Mon cul semble s'habituer à sa présence et je ne ressens plus aucune douleur. Mon sexe, sous les caresses de ma chérie a retrouvé toute sa vigueur, ce qui lui fait dire :
Tu vois, tu aimes te faire baiser ! Tu bandes !
Marc entreprend alors d'aller et venir en moi et je me surprends à me cambrer, tendant mes fesses au devant de sa queue.
Il me pilonne un long moment et je prends maintenant du plaisir à me faire ainsi ramoner.
A mon tour maintenant !
Décidément, ma chérie est en chaleur ! Elle s'allonge sous moi, relève les jambes, les passe sous mes bras et les écartes au maximum, dévoilant son sexe et son anus. Elle écarte ses fesses et dit :
Chéri, prépare-moi !
Ma langue plonge sur sa rondelle que je lèche abondamment, salivant le plus possible.
Allez ! Viens Marc !
Je ressens un immense vide quand il sort de moi, me laissant frustré. Je le vois s'appuyer contre les fesses de ma chérie. Je prends son sexe et le guide vers la rondelle puis le regarde s'enfoncer lentement mais sûrement.
Oh, qu'il est gros !
Je le regarde, étonné, s'enfoncer sans trop de difficulté. Mes doigts retrouvent la fente que je caresse lentement, alors que C. me reprend entre ses lèvres et me suce avec toujours la même ardeur.
Rapidement, il va et vient en elle, lui tirant à nouveau des cris, heureusement étouffés par mon propre sexe.
Après de longues minutes, il sort d'elle et, dans un cri, après avoir arraché le preservatif, éjacule une nouvelle quantité de sperme importante, lui maculant la toison pubienne.
C. lâche mon sexe et dit :
A ton tour, mon chéri, viens me faire jouir !
Je pénètre son sexe et il ne nous faut guère de temps pour obtenir un nouvel orgasme, pratiquement simultanément.
Après avoir récupéré, nous nous rhabillons et quittons Marc, non sans que celui-ci nous laisse son numéro de portable, et reprenons la route.
Ou suis-je … je sens quelque chose, ou plutôt quelqu’un, me secouer ….
Eh ! Lève-toi ! Je te rappelle que nous partons passer le week-end à la mer !
J'ouvre les yeux, je suis dans mon lit et C. me secoue ! Elle est en sous-vêtements, avec un de ces jolis tangas qui lui font la cuisse longue et effilée … je vois sa vulve bombée, ses seins lourds qui dansent devant moi … j’ai une érection, bien compréhensible, je jette la couette, et la bascule sur le lit … j’ai envie d’elle, et elle aussi, même si elle s’en défend comme si savent si bien dire les femmes, quand leur yeux disent le contraire !
Novembre 2024 | ||||||||||
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