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Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 17:39

1985, Fabrice et moi sommes dans la même classe de terminale.

Une histoire que nous a envoyé F. Même initiales que moi, mais pas le même prénom ; nous avons trouvé l'histoire délicieuse, et fort bien racontée et la partageons avec vous. Qu'il en soit ici remercié !

A l'approche du baccalauréat, nous avons décidé de réviser ensemble chez Fabrice, dont les parents sont absents pour 15 jours.

 

Les parents de mon copain sont aisés financièrement, et leur maison est luxueuse.

 

Après une journée studieuse bien remplie, nous pouvons nous détendre dans la piscine ou dans le hammam, ce qui est particulièrement agréable pour libérer la tension accumulée dans nos corps et nos esprits. Ce jour-là, après que nous ayons révisé, Fabrice m'avait proposé de l'attendre chez lui. Il devait faire une course rapide en ville et rentrer quelques heures après pour que nous reprenions les révisions. Je n’allais pas avec lui car il me restait quelques trucs à terminer. Il me mit à l’aise et me dit

 

Quand tu as fini, fais comme chez toi … Profite de la piscine ou du hammam. Il y a aussi ce qu’il faut dans le frigo

 

Après avoir terminé les équations sur lesquelles je planchais, je fis le tour de la maison, plus à l’aise que d’habitude … Je me décidais pour le hammam. Je me dessapais dans le dressing qui le jouxtait et entrait dedans vêtu de mon seul slip.

 

J'entendis soudain un bruit dans la maison, je pensais que c'était Fabrice mais cela m'étonnait qu'il soit déjà de retour, il était à peine midi. Je criais

C'est toi Fabrice ? je suis dans le hammam …

 

Personne ne répondit. Je me dis qu’il avait du monter dans sa chambre … Etonné toutefois du manque de réaction, je me préparais à sortir quand la porte du hammam s'ouvrit et je vit la mère de mon copain entrer.

 

Oh ! bonjour madame … j'attends Fabrice pour réviser les examens, il doit rentrer en fin d'après-midi. En attendant, je me suis permis de…

 

Tu as très bien fait F., il n'y a aucun problème, tu peux en profiter

 

Je pensais que vous étiez en voyage, si j'avais su que vous deviez rentrer…

 

En effet, je suis là pour quelques heures seulement, Je dois prendre un autre avion dans quelques heures.

 

Je vais vous laisser, dis-je en saisissant la poignée de porte.

 

Tu peux rester, tu ne me dérange pas, mais peut-être es-tu gêné de voir la mère de ton copain en tenue d'Eve ?

 

Non, non madame, je ne suis pas gêné.

 

En réalité, je faisais le fiérot et j'étais très gêné, moi en tenue d'Adam, avec un slip pour seule étoffe, et cette femme de quarante ans, qui plus est la mère de mon copain à mes cotés dans un endroit plutôt propice à la sensualité.

Elle se tenait debout, à moins d'un mètre de moi, elle dénoua la ceinture de son peignoir et fit le glisser lentement le long de son corps.

C'est (elle l’est toujours !) une femme sublime, elle portait un string très sexy, je portais mon regard sur son corps magnifique, sur sa poitrine voluptueuse, sur le minuscule carré d'étoffe qui cachait à peine son intimité, sur ses jambes longues et fines.

 

Je me répétais sans cesse " il ne faut pas que j'ai d'érection, il ne faut pas que j'ai d'érection ".

 

Cette femme produisit sur moi un effet que je n'avais encore jamais connu auparavant. Je sentais mon sexe se durcir progressivement, mais j'arrivais tout de même à le contrôler jusque là.

Elle vint s'asseoir tout près de moi.

 

Ces voyages en avion et tous ces décalages horaires sont usants pour le corps, j'ai besoin de me détendre un peu. Toi aussi tu dois avoir besoin d'évacuer les tensions accumulées après plusieurs heures de révisions dit-elle, en laissant galoper ses mains le long de son corps. Remontant sur son ventre, elle vint prendre ses seins comme deux fruits murs …

 

Comment trouves-tu mes seins ?

 

gloups ! très beaux madame, ils sont vraiment très beaux.

 

Tu ne les trouves pas trop tombant ?

 

Bien sûr, ils n’étaient pas aussi ferme que ceux des amies de notre age, mais ils me faisaient un effet dingue, avec de large aureoles et des pointes déjà dardées.

 

Non, ils sont très beaux

 

As-tu une petite amie ?, tu dois certainement avoir beaucoup de succès auprès des filles

 

Je n'ai pas de petite amie, je me dis que j'ai encore le temps pour ça devant moi

 

La mère de Fabrice portait sans tabou son regard sur la bosse que je peinais à dissimuler. J’en étais gêné, et le semblant d’érection que j’avais pu maitriser repris de plus belle. Mon sexe était maintenant au garde à vous, porté à droite, et je me disais qu’au moindre mouvement, il allait jaillir hors de l’élastique qui péniblement le tenait en place.

 

Mais mon calvaire présent (que je m’imaginais, à juste titre, prélude à tant de bonheur et découverte) continuait, sans que j’arrive à me défaire de ma timidité envers cette femme qui m’impressionnait. J’oscillais entre croire à ce qui se tramait devant moi, et la peur d’une énorme gaffe auprès d’une femme qui me connaissait depuis longtemps déjà et qui peut être se montrait très proche sans autre arrière penseés …

 

As-tu déjà fait l'amour à une femme, F. ?

 

Non madame, pas encore, je suis encore vierge, j'ai bien eu quelques occasions mais je préfère attendre un moment propice à cela, sans me précipiter, je veux que la première fois soit réussie.

 

Ton attention t’honore, F.    Au fait, tu peux m’appeler Claude !

 

Oui, Mad … euh, Claude !

Comment trouves-tu mes jambes ?

 

Très belle … Claude, elles sont vraiment très belles. Vous, vous … êtes vraiment très belle

 

Tu as envie de les toucher ?

Non ? elle ne te plaisent pas ?

 

Si, j'en ai envie, mais que va dire votre mari ?

 

Mon mari n'est pas là, il n'en saura rien et puis ça ne le regarde pas

 

Elle saisit ma main et la porta sur ses genoux, puis la fit remonter lentement le long de ses cuisses, me permettant d'effleurer le bout de tissu posé entre ses jambes, pour continuer ensuite le long de son ventre jusqu'à ses seins. Sa peau était douce, comme le satin recouvrant certain coussins moelleux. C'était la première fois que je caressais ainsi une femme et qui plus est la mère de mon copain.

 

Jevois que ça ne te déplaît pas me dit-elle en portant de nouveau son regard sur mon sexe turgescent, prêt à s'échapper de mon slip trop étroit. Un sourire illuminait son visage, très tendre et maternel tandis que ses yeux brillaient (je ne voyait pas les miens, mais .. j’imagine !)

 

Suis-moi, j'ai envie de te faire un petit cadeau si tu le veux, personne n'en saura jamais rien, ceci restera entre toi et moi, ce sera notre secret

 

D'accord dis-je, la voix tremblotante.

 

Elle prit ma main et m'entraîna dans la salle de bain. Je pouvais voir à loisir ses fesses galbées danser devant moi dans sa démarche élégante et sensuelle.

 

Je me demandais si je n'allais pas éjaculer avant même d'arriver jusqu'à la douche. Elle ouvrit le robinet d'eau, agrippa l'élastique de mon slip et le fit glisser lentement. Mon sexe tendu surgit, comme un mannequin de sa boite

 

Doucement, s’exclama t’elle en riant

 

Elle prit mon sexe dans sa main, et fit ce commentaire comme si elle se l’adressait à voix haute ‘’comme tu es bien monté, encore mieux que Bernard’’ (Bernard etant son mari)

 

Elle m'entraîna sous la douche, fit mousser du savon dans ses mains et commença à l'appliquer sur mon corps. D'abord sur mon torse, puis sur mon sexe érigé, me branlant d'une main et massant délicatement mes couilles de l'autre.

Ce contact m'excitait tant que je ne pu me retenir plus longtemps et j'éjaculais très vite dans ses mains.

J'étais un peu honteux de cette éjaculation précoce mais je ne tardais pas à retrouver à nouveau des forces.

 

Tu es beau quand tu jouis, j'ai senti ton sexe se gonfler et ton sperme inonder mes mains, quelle force tu as, et quelle quantité de foutre

 

J'ai été un peu rapide, mais c'est la première fois pour moi vous comprenez…

 

Tu n'as pas à avoir honte, c'est normal tu sais, les premières fois ça fait souvent ça. Viens, sortons de la douche.

 

Elle se sécha devant moi, et la voir se pencher pour s’essuyer les mollets et les pieds restera à tout jamais comme une des plus belles images qu’iol m’ait été donné de voir … Elle l’avait fait, ingénue, comme si de rien n’était, m’exhibant son culs, ses deux belles fesses, sa petite étoile, et plus loin, plus bas, les deux lèvres charnues qui laissaient penser à un bel abricot … De délicieux poils pubiens, souples et tirebouchonnés complétaient cette vue. Je sentis mon seex reprendre de la vigueur.

Se retournant, et m’enlevant ma serviette qu’elle jeta sur la porte de douche, elle m'entraîna ensuite jusqu'à une des chambre d’amis (quand même !) et m'allongea sur le lit king-size recouvert de draps de soie.

 

Grace aux moments vécus peu avant, j’arborais à nouveau une magnifique érection.

 

Elle se mit à califourchon au-dessus de moi, et descendit jusqu'à mon sexe.

 

Détends-toi, je te faire découvrir autre chose, tu vas aimer, tous les hommes aiment ça

 

Elle commença à lécher la base de mon sexe, puis remonta lentement, léchant le pourtour de mon gland, l'enfourna dans sa bouche, commença un lent va-et-vient. Je voyait ses seins pendre, et je rêvais de lui voir me faire une caresse avec.

Elle agrippa la base de mon sexe d'une main qu'elle agita avec savoir-faire, tandis qie son autre main courait de mon torse jusqu'à ma toison pubienne.

 

Sous l'effet de cette nouvelle sensation de plaisir extrême que je découvrais aussi pour la première fois, je me demandais si je pouvais me retenir d'éjaculer précocement à nouveau.

 

Je parvins à peine à tenir plus longtemps.

 

Le spectacle sublime de cette femme suçant mon sexe, la vision de ses fesses haut-cambrées, me firent éjaculer une deuxième fois, cette fois-ci dans sa bouche.

 

Je fus surpris qu'elle avale ainsi toute ma semence mais ceci ne m'a pas déplu.

 

Tu es vraiment bien monté, j'ai pris beaucoup de plaisir à te faire une fellation, j'ai l'impression que ça t'a plu aussi  me disait-elle, tout en continuant à caresser mon sexe et mes testicules, ce qui me fit progressivement rebander. Parfois un de ses doigts s’égarait plus bas, sur le périnée, venant titiller mon anus … et je pense que c’est elle qui me révéla cette zone érogène chez moi.

 

Elle s'allongea à mes cotés, et bascula sur le dos, jambes écartées comme offerte. Je ne me lassais pas de la regarder, faisant aller et venir mon regard de ses seins, à son sexe que je devinais, vers ses jambes … J’étais gauche, ne sachant que faire, comme un enfant devant un trop beau cadeau. C’est elle qui me fit redescendre sur terre :

 

Et Bien … viens sur moi, pénètre-moi maintenant, introduis ton sexe dans le mien

 

Maladroitement, je l’enjambais à mon tour, et tandis que je prenais appui sur les bras, et qu’elle refermait ses cuisses en ciseau sur mon dos, je cherchais l'entrée de son intimité entre ses jambes écartées.

Elle saisit mon sexe et se caressa quelques secondes (je le réalisais plus tard, me repassant sans cesse le film de cette folle découverte) et soudain je me sentis m'enfonçer dans cet antre chaud, humide et si confortable.

Quelle sensation extrême, quel plaisir unique.

 

Elle laissait échapper des soupirs et cambrait ses reins, caressait ses seins, ses hanches.

 

"Ouiiii, plus vite maintenant, plus vite, quelle bonne queue tu as, hummm… "

 

J'accélérais mes va-et-vient, prenant de l'assurance, embrassant l'intérieur de son cou, ses seins, promenant mes mains sur ses hanches, sur ses cuisses, attrapant ses fesses que je soulevais légèrement.

 

Oh F, c’est bon. Oh ouiii …  jouie en moi, aaahh… viens, je vais venir aussi, aaaaaahhhh ouiiiiiiiiiii….

 

Nous atteignîmes l'orgasme en même temps, ce fut merveilleux. Quelle première fois !

 

Je m’étais effondrée sur elle, et elle me prit dans ses bras, très maternelle … Elle chercha pour la première fois mes lèvres, et me gratifia d’un très bon baiser. Sa langue était ferme, décidée, comme devait l’être l’executive woman qu’elle était …

 

Merci me dit-elle, Cela vaut tout les hammans du monde ! dit-elle en riant

 

Je ne savais quelle contenance avoir … devais-je moi aussi la remercier ? que dire dans ces moments là ?

 

Devant mon silence : Et toi, ça t’a plus

 

Oh oui Madame

 

Claude, je t’ai dit ! Je pense qu’on a maintenant assez d’intimité pour s’appeler par nos prénoms, non ?

 

Oui … Claude

 

            J’espère que c’étais à la hauteur de tes attentes, et que je ne t’ai pas déçue.

 

            Non … et me coupant …

 

            Mais  il y a une chose, F. Je me suis surtout occupé de toi, en espérant te donner le meilleur … tu m’as donné toi aussi beaucoup de plaisir avec ce si bel engin (en reluquant ma verge qui enfin prenait quelque repos sur le haut de ma cuisse) mais je ne t’ai pas appris à t’occuper d’une femme … penses-y les prochaines fois, apprends, sois patient, découvre les … tout est plaisir à quiconque sait chercher et faire preuve d’initiative…

 

           

 

            Allez, il faut que je me prépare … dis t’elle en se levant, me donnant ainsi congé.

 

            Au fait, F. … je ne sais s’il y aura une prochaine fois … peut être est-ce mieux ainsi ? Ne m’en veux pas, et il va sans dire que je compte sur ta discrétion … Je te connais depuis longtemps, je t’apprécie … tu m’as touché, j’avais envie … ce n’est pas pour cela que je suis une femme facile … ne me juges pas. Je te fais confiance.

 

            Une fois encore, dans l’encoignure de la porte, j’étais coi, ne sachant que dire. Elle me poussa, regagnant sa chambre …

 

            Allez ! File te rhabiller, polisson

 

Nous nous sommes rhabillés, chacun de notre coté. J’étais dans le salon, visionnant la TV  quand la mère de Fabriceet ce dernier se sont croisés ; elle repartait vers d'autres destinations , très belle et élégante dans son tailleur et imper. Elle tirait une petite valise à roulette, et me glissa, à travers la porte du salon : Salut F. Travaillez bien tout le deux …

Le clin d’œil qui ponctua sa phrase et son sourire scellait notre complicité du moment.

 

Nous réprimes nos révisions, j'avais un peu de mal à trouver ma concentration après ce que venais de vivre. Mon copain ne pouvait ni ne devait se douter de ce que je venais de vivre, du fait que sa propre mère m’avait si habilement déniaisé.

 

Nous avons eu finalement le bac tous les deux.

 

Ni Fabrice, ni son père n'en ont jamais rien su, du moins je le pense.

 

Je garde le contact avec eux, de temps à autre. Claude est restée une très belle femme, il n’y a plus eu aucune équivoque entre nous … elle m’a simplement glissé subrepticement lors de mon mariage, sa main me tenant le bras cette confession à l’oreille Je suis content pour toi, et me rappelle avec bonheur notre incartade. Merci d’avoir su la considérer comme unique, j’ai apprécié ton tact et ta discrétion. Rappelle toi mes conseils pour ta petite femme … mais je sais que tu les as mis en pratique … me glissa t’elle en conclusion… Que voulait-elle dire ? Avait-elle eu des confessions d’ex ? Il est vrai qu’a quelque reprise, nous avions eu Fab et moi les mêmes amies …

 

J’ai eu le fin mot bien plus tard, il y a quelques mois …


Celà nous a donné envie, du moins à F, votre serviteur, de vous raconter la sienne ... vous y verrez des similitudes ... à bientôt !
(je tente de persuader C. de faire autant, car sa première fois est coquine aussi ... mais elle resiste ! Peux être saurez vous la faire changer d'avis ???)

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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