Bienvenue !

Bonjour ! Vous êtes nombreux, coquins et coquines a être venus vous encanailler ici ! On espère que celà vous plait. Enthousiastes ou décus, dites le nous ! Un comm' ne prend que quelques secondes, mais c'est notre carburant et le moyen de s'améliorer. Biz

Nos liens

Syndication

  • Flux RSS des articles
Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 13:06
Jorennes est un auteur réputé de texte érotique ... qu'il nous pardonne d'avoir plagié largement un des ses textes pour en faire l'histoire suivante ....


Comme souvent le week-end lorsqu'il fait beau, nous partons, mon épouse et moi au bord de la mer, disposant d'une petite maisonnette de campagne.


Aujourd'hui donc, nous roulons tranquillement en direction de la côte. Tout en conduisant, je caresse doucement le genou de C., ma chérie.


Nous sommes mariés depuis une dizaine d'années et sommes toujours amoureux. Si C. adore faire l'amour, je regrette parfois qu'elle ne soit pas une peu plus "garce". J'aimerai, comme je pense pas mal d'hommes, la voir s'exhiber et même aller un peu plus loin. Malheureusement, bien qu'ayant abordé ces sujets sans tabou, elle a toujours refusé ce genre de pratiques, sans doute plus par complexe que par pudeur, ne se trouvant pas spécialement jolie. Contrairement à moi qui ne me rassasie jamais d'admirer ses formes, tant sa poitrine généreuse que ses cuisses pleines mais fermes.

Enfin, le principal est d'être bien ensemble, et c'est le cas !

Peu de monde aujourd'hui, la circulation est fluide nous sommes même en avance.

"Chéri, s'il te plait, arrête-toi à la prochaine aire de repos, j'ai très envie de faire pipi…


D'accord !"


Quelques kilomètres plus loin, nous stoppons. C. sort rapidement de la voiture et se dirige vers les toilettes. J'en profite pour sortir et faire quelques pas. L'aire de repos est presque déserte, si ce n'est un semi-remorque dont le chauffeur doit se reposer, à en juger par les rideaux fermés.
Je suis un peu surpris de voir ma femme revenir aussi vite, et visiblement toujours aussi pressée, je me demande un instant ce qui se passe.


"Les toilettes sont dans un état ! Tant pis, je vais me retenir…


Va plutôt te soulager plus loin. Il n'y a personne…


Tu crois ? Et le camion, là ?


A mon avis, ça dort.

 

 Après tout…"


Elle court presque jusqu'au champ voisin et disparaît de ma vue. C'est à ce moment que la portière du camion s'ouvre et qu'un homme en descend. Je le vois se diriger dans la même direction, sans doute pour, lui aussi, satisfaire un besoin naturel. Rapidement, je verrouille la voiture et le suit, craignant pour ma chérie. Il s'arrête juste au bord de l'herbe et sa position indique qu'il se soulage. Je ne vois pas ma puce et suis un peu rassuré en pensant qu'il ne peut la voir non plus.
Tranquillement, il revient vers son bahut et s'y réinstalle, ouvrant les rideaux. Quelques minutes plus tard, C. réapparaît, une étrange expression sur le visage.

 

"Que se passe t-il ?


Le gars du camion… il est venu uriner à cinq mètres moi…


Je sais. Il t'a vue ?


Je ne pense pas… il ne regardait pas vers moi et je n'ai pas fait de bruit… mais…


Quoi ?


Je n'ai jamais vu ça…


Quoi donc ?


Son… sa… enfin, il en a une… c'est un vrai monstre…


Je vois ! Madame se cache mais ne se gêne pas pour jouer les voyeuses…


Idiot ! Je ne pouvais pas faire autrement, il était tout près…


Tu pouvais fermer les yeux.


Crois-moi si tu veux mais j'étais comme… hypnotisée…"


Nous regagnons la voiture et je redémarre. Ma main retrouve tout naturellement son genou et il me semble que ses jambes sont un peu plus écartées que tout à l'heure. Je remonte lentement sur la cuisse sans, contrairement à d'habitude, essuyer de protestation. Mes doigts courent sur sa peau tendre et, peu à peu, remontent vers sa fourche. Jetant un rapide coup d'œil vers elle, je remarque ses yeux mi-clos et sa poitrine qui se soulève un peu plus rapidement. Tentant le tout pour le tout, je pose la main sur la dentelle de son slip et masse le renflement. Ses jambes s'écartent encore un peu et elle ne peut retenir un léger gémissement. Ainsi donc, ma chérie est tout excitée !


"Ce sont mes caresses qui te plaisent ou la pensée du sexe du routier ?


Franchement, je ne sais pas très bien. Je n'arrive toujours pas à réaliser…


Tu aurais aimé la voir de plus près ?


Tu rigoles !


Pourquoi pas ? Je suis certain qu'il aurait été d'accord…


Tu es fou ! Et il n'aurait pas été sans demander quelque chose en échange…"


Tiens, tiens… l'idée ne semble pas la rebuter…


"Au pire, il aurait souhaité en voir autant de toi…


Et tu aurais accepté que je lui montre mon minou ?


Tu l'aurais fait ?

 

 … Je ne sais pas…"

Je décide de ne pas brusquer les choses et poursuit mes caresses, non sans ralentir pour ne pas nous mettre en danger, tout en espérant secrètement que le camion nous rattrape.
Le slip de C. est de plus en plus moite, signe du trouble de ma chérie.


"Je serai toi, je l'enlèverai… il va être tout tâché…"


Elle ne répond pas mais lève légèrement les fesses et fait glisser son sous-vêtement le long de ses cuisses. Le ramassant, elle va pour le mettre dans la boîte à gants mais je parviens à m'en emparer. Je le porte à mon nez et savoure son odeur intime.


 "Sale pervers !"


Son sourire montre qu'elle ne pense pas une seconde ce qu'elle vient de dire. Ma main retrouve sa chatte, cette fois nue et mes caresses entretiennent son excitation sans pour autant l'emmener trop vite au ciel.

Je vois alors dans le rétroviseur la silhouette grandissante d'un camion. Je ralentis encore un peu, pas trop pour ne pas éveiller les soupçons de ma dulcinée, et le laisse s'approcher. La décoration de celui du parking est spéciale et je n'aurai aucun mal à la reconnaître. Encore quelques secondes puis son clignotant m'indique qu'il va nous doubler. Un nouveau coup d'œil à C. me rassure : les yeux maintenant fermés, elle s'abandonne totalement à mes caresses. Je reconnais sans aucun doute possible le camion de tout à l'heure.

Au moment où il se trouve à notre hauteur, je remarque le visage du chauffeur tourné vers nous. Aucun doute, il voit ma main sur le sexe de ma femme. Un coup de klaxon la fait sursauter et elle réalise la situation. Brusquement, elle referme ses jambes et, en colère, me jette :

"Tu est barge ! Qu'est ce qui t'a pris ?


C'est ton Appolon de tout à l'heure… maintenant qu'il t'a vue ainsi, je suis certain qu'il acceptera de te la montrer…


Tu n'es pas sérieux ?


Tu n'as pas envie de la revoir ?


Mais tu perds la boule…


Tu n'as pas répondu.


Tu veux vraiment ?


Pourquoi pas ?"


Elle ne dit plus rien. Le camion nous a doublé et je décide d'aller au bout de mon envie. Ma main écarte à nouveau ses jambes et reprends sa place sur son intimité. Surpris, je la découvre totalement trempée ! Sous ses airs de ne pas y toucher, la situation lui fait un effet monstre. Je mets mon clignotant et déboîte afin de redoubler mon complice. Je reste un instant à sa hauteur et le voit regarder franchement dans l'habitacle.

"Lève les yeux et regarde-le !

Timidement, C. obtempère et son visage se lève, ses yeux croisent ceux du routier. Incrédule, je la vois lever les jambes et poser les pieds sur le tableau de bord. Dans cette position, elle ne lui cache absolument plus rien et cela semble lui plaire.

Un panneau nous indique une aire de repos dans 5 km. Je reste encore quelques minutes à côté du camion avant qu'un appel de phare ne me fasse comprendre que nous ne somme pas seuls au monde.

J'accélère un peu, me rabats et poursuis notre chemin, prenant bien garde à ne pas le distancer. Après quelques kilomètres, je mets mon clignotant et vois avec satisfaction le routier en faire autant. Nous nous garons à l'écart et j'arrête le moteur.


"Tu es certain de ce que tu fais ?"


Ma chérie semble redouter le moment à venir.


" Sois tranquille, je vais aller le voir d'abord seul."


Je sors de la voiture et rejoins l'énorme engin. Le chauffeur ouvre la portière et en descend. Je m'aperçois qu'il est très bel homme. Il me tend la main et me félicite pour la beauté de mon épouse. Il me dit s’appeler Marc. Je lui explique notre comportement et, souriant, il me dit :


"Je n'étais pas sûr, tout à l'heure. Il faut dire qu'elle s'était bien cachée.


Que pensez-vous de mon marché ?


Beaucoup de bien. Je vous invite dans ma cabine ?


D'accord."


Je rejoins la voiture et présente les faits à C.. Elle hésite un peu puis cède enfin.

 

 

La suite prochainement … merci de nous faire part de vos commentaires … vous pouvez même vous laisser aller à nous envoyer une suite …. Celle que nous jugerons la plus érotique sera publiée …

Par Libertins49 - Publié dans : Lieux de libertinage ...
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

On s'y rencontre !




 
rencontre libertine libertin echangisme echangiste
club echangiste
club libertin rencontre couple libertine

Recherche

Images aléatoires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés