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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


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Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 17:39

1985, Fabrice et moi sommes dans la même classe de terminale.

Une histoire que nous a envoyé F. Même initiales que moi, mais pas le même prénom ; nous avons trouvé l'histoire délicieuse, et fort bien racontée et la partageons avec vous. Qu'il en soit ici remercié !

A l'approche du baccalauréat, nous avons décidé de réviser ensemble chez Fabrice, dont les parents sont absents pour 15 jours.

 

Les parents de mon copain sont aisés financièrement, et leur maison est luxueuse.

 

Après une journée studieuse bien remplie, nous pouvons nous détendre dans la piscine ou dans le hammam, ce qui est particulièrement agréable pour libérer la tension accumulée dans nos corps et nos esprits. Ce jour-là, après que nous ayons révisé, Fabrice m'avait proposé de l'attendre chez lui. Il devait faire une course rapide en ville et rentrer quelques heures après pour que nous reprenions les révisions. Je n’allais pas avec lui car il me restait quelques trucs à terminer. Il me mit à l’aise et me dit

 

Quand tu as fini, fais comme chez toi … Profite de la piscine ou du hammam. Il y a aussi ce qu’il faut dans le frigo

 

Après avoir terminé les équations sur lesquelles je planchais, je fis le tour de la maison, plus à l’aise que d’habitude … Je me décidais pour le hammam. Je me dessapais dans le dressing qui le jouxtait et entrait dedans vêtu de mon seul slip.

 

J'entendis soudain un bruit dans la maison, je pensais que c'était Fabrice mais cela m'étonnait qu'il soit déjà de retour, il était à peine midi. Je criais

C'est toi Fabrice ? je suis dans le hammam …

 

Personne ne répondit. Je me dis qu’il avait du monter dans sa chambre … Etonné toutefois du manque de réaction, je me préparais à sortir quand la porte du hammam s'ouvrit et je vit la mère de mon copain entrer.

 

Oh ! bonjour madame … j'attends Fabrice pour réviser les examens, il doit rentrer en fin d'après-midi. En attendant, je me suis permis de…

 

Tu as très bien fait F., il n'y a aucun problème, tu peux en profiter

 

Je pensais que vous étiez en voyage, si j'avais su que vous deviez rentrer…

 

En effet, je suis là pour quelques heures seulement, Je dois prendre un autre avion dans quelques heures.

 

Je vais vous laisser, dis-je en saisissant la poignée de porte.

 

Tu peux rester, tu ne me dérange pas, mais peut-être es-tu gêné de voir la mère de ton copain en tenue d'Eve ?

 

Non, non madame, je ne suis pas gêné.

 

En réalité, je faisais le fiérot et j'étais très gêné, moi en tenue d'Adam, avec un slip pour seule étoffe, et cette femme de quarante ans, qui plus est la mère de mon copain à mes cotés dans un endroit plutôt propice à la sensualité.

Elle se tenait debout, à moins d'un mètre de moi, elle dénoua la ceinture de son peignoir et fit le glisser lentement le long de son corps.

C'est (elle l’est toujours !) une femme sublime, elle portait un string très sexy, je portais mon regard sur son corps magnifique, sur sa poitrine voluptueuse, sur le minuscule carré d'étoffe qui cachait à peine son intimité, sur ses jambes longues et fines.

 

Je me répétais sans cesse " il ne faut pas que j'ai d'érection, il ne faut pas que j'ai d'érection ".

 

Cette femme produisit sur moi un effet que je n'avais encore jamais connu auparavant. Je sentais mon sexe se durcir progressivement, mais j'arrivais tout de même à le contrôler jusque là.

Elle vint s'asseoir tout près de moi.

 

Ces voyages en avion et tous ces décalages horaires sont usants pour le corps, j'ai besoin de me détendre un peu. Toi aussi tu dois avoir besoin d'évacuer les tensions accumulées après plusieurs heures de révisions dit-elle, en laissant galoper ses mains le long de son corps. Remontant sur son ventre, elle vint prendre ses seins comme deux fruits murs …

 

Comment trouves-tu mes seins ?

 

gloups ! très beaux madame, ils sont vraiment très beaux.

 

Tu ne les trouves pas trop tombant ?

 

Bien sûr, ils n’étaient pas aussi ferme que ceux des amies de notre age, mais ils me faisaient un effet dingue, avec de large aureoles et des pointes déjà dardées.

 

Non, ils sont très beaux

 

As-tu une petite amie ?, tu dois certainement avoir beaucoup de succès auprès des filles

 

Je n'ai pas de petite amie, je me dis que j'ai encore le temps pour ça devant moi

 

La mère de Fabrice portait sans tabou son regard sur la bosse que je peinais à dissimuler. J’en étais gêné, et le semblant d’érection que j’avais pu maitriser repris de plus belle. Mon sexe était maintenant au garde à vous, porté à droite, et je me disais qu’au moindre mouvement, il allait jaillir hors de l’élastique qui péniblement le tenait en place.

 

Mais mon calvaire présent (que je m’imaginais, à juste titre, prélude à tant de bonheur et découverte) continuait, sans que j’arrive à me défaire de ma timidité envers cette femme qui m’impressionnait. J’oscillais entre croire à ce qui se tramait devant moi, et la peur d’une énorme gaffe auprès d’une femme qui me connaissait depuis longtemps déjà et qui peut être se montrait très proche sans autre arrière penseés …

 

As-tu déjà fait l'amour à une femme, F. ?

 

Non madame, pas encore, je suis encore vierge, j'ai bien eu quelques occasions mais je préfère attendre un moment propice à cela, sans me précipiter, je veux que la première fois soit réussie.

 

Ton attention t’honore, F.    Au fait, tu peux m’appeler Claude !

 

Oui, Mad … euh, Claude !

Comment trouves-tu mes jambes ?

 

Très belle … Claude, elles sont vraiment très belles. Vous, vous … êtes vraiment très belle

 

Tu as envie de les toucher ?

Non ? elle ne te plaisent pas ?

 

Si, j'en ai envie, mais que va dire votre mari ?

 

Mon mari n'est pas là, il n'en saura rien et puis ça ne le regarde pas

 

Elle saisit ma main et la porta sur ses genoux, puis la fit remonter lentement le long de ses cuisses, me permettant d'effleurer le bout de tissu posé entre ses jambes, pour continuer ensuite le long de son ventre jusqu'à ses seins. Sa peau était douce, comme le satin recouvrant certain coussins moelleux. C'était la première fois que je caressais ainsi une femme et qui plus est la mère de mon copain.

 

Jevois que ça ne te déplaît pas me dit-elle en portant de nouveau son regard sur mon sexe turgescent, prêt à s'échapper de mon slip trop étroit. Un sourire illuminait son visage, très tendre et maternel tandis que ses yeux brillaient (je ne voyait pas les miens, mais .. j’imagine !)

 

Suis-moi, j'ai envie de te faire un petit cadeau si tu le veux, personne n'en saura jamais rien, ceci restera entre toi et moi, ce sera notre secret

 

D'accord dis-je, la voix tremblotante.

 

Elle prit ma main et m'entraîna dans la salle de bain. Je pouvais voir à loisir ses fesses galbées danser devant moi dans sa démarche élégante et sensuelle.

 

Je me demandais si je n'allais pas éjaculer avant même d'arriver jusqu'à la douche. Elle ouvrit le robinet d'eau, agrippa l'élastique de mon slip et le fit glisser lentement. Mon sexe tendu surgit, comme un mannequin de sa boite

 

Doucement, s’exclama t’elle en riant

 

Elle prit mon sexe dans sa main, et fit ce commentaire comme si elle se l’adressait à voix haute ‘’comme tu es bien monté, encore mieux que Bernard’’ (Bernard etant son mari)

 

Elle m'entraîna sous la douche, fit mousser du savon dans ses mains et commença à l'appliquer sur mon corps. D'abord sur mon torse, puis sur mon sexe érigé, me branlant d'une main et massant délicatement mes couilles de l'autre.

Ce contact m'excitait tant que je ne pu me retenir plus longtemps et j'éjaculais très vite dans ses mains.

J'étais un peu honteux de cette éjaculation précoce mais je ne tardais pas à retrouver à nouveau des forces.

 

Tu es beau quand tu jouis, j'ai senti ton sexe se gonfler et ton sperme inonder mes mains, quelle force tu as, et quelle quantité de foutre

 

J'ai été un peu rapide, mais c'est la première fois pour moi vous comprenez…

 

Tu n'as pas à avoir honte, c'est normal tu sais, les premières fois ça fait souvent ça. Viens, sortons de la douche.

 

Elle se sécha devant moi, et la voir se pencher pour s’essuyer les mollets et les pieds restera à tout jamais comme une des plus belles images qu’iol m’ait été donné de voir … Elle l’avait fait, ingénue, comme si de rien n’était, m’exhibant son culs, ses deux belles fesses, sa petite étoile, et plus loin, plus bas, les deux lèvres charnues qui laissaient penser à un bel abricot … De délicieux poils pubiens, souples et tirebouchonnés complétaient cette vue. Je sentis mon seex reprendre de la vigueur.

Se retournant, et m’enlevant ma serviette qu’elle jeta sur la porte de douche, elle m'entraîna ensuite jusqu'à une des chambre d’amis (quand même !) et m'allongea sur le lit king-size recouvert de draps de soie.

 

Grace aux moments vécus peu avant, j’arborais à nouveau une magnifique érection.

 

Elle se mit à califourchon au-dessus de moi, et descendit jusqu'à mon sexe.

 

Détends-toi, je te faire découvrir autre chose, tu vas aimer, tous les hommes aiment ça

 

Elle commença à lécher la base de mon sexe, puis remonta lentement, léchant le pourtour de mon gland, l'enfourna dans sa bouche, commença un lent va-et-vient. Je voyait ses seins pendre, et je rêvais de lui voir me faire une caresse avec.

Elle agrippa la base de mon sexe d'une main qu'elle agita avec savoir-faire, tandis qie son autre main courait de mon torse jusqu'à ma toison pubienne.

 

Sous l'effet de cette nouvelle sensation de plaisir extrême que je découvrais aussi pour la première fois, je me demandais si je pouvais me retenir d'éjaculer précocement à nouveau.

 

Je parvins à peine à tenir plus longtemps.

 

Le spectacle sublime de cette femme suçant mon sexe, la vision de ses fesses haut-cambrées, me firent éjaculer une deuxième fois, cette fois-ci dans sa bouche.

 

Je fus surpris qu'elle avale ainsi toute ma semence mais ceci ne m'a pas déplu.

 

Tu es vraiment bien monté, j'ai pris beaucoup de plaisir à te faire une fellation, j'ai l'impression que ça t'a plu aussi  me disait-elle, tout en continuant à caresser mon sexe et mes testicules, ce qui me fit progressivement rebander. Parfois un de ses doigts s’égarait plus bas, sur le périnée, venant titiller mon anus … et je pense que c’est elle qui me révéla cette zone érogène chez moi.

 

Elle s'allongea à mes cotés, et bascula sur le dos, jambes écartées comme offerte. Je ne me lassais pas de la regarder, faisant aller et venir mon regard de ses seins, à son sexe que je devinais, vers ses jambes … J’étais gauche, ne sachant que faire, comme un enfant devant un trop beau cadeau. C’est elle qui me fit redescendre sur terre :

 

Et Bien … viens sur moi, pénètre-moi maintenant, introduis ton sexe dans le mien

 

Maladroitement, je l’enjambais à mon tour, et tandis que je prenais appui sur les bras, et qu’elle refermait ses cuisses en ciseau sur mon dos, je cherchais l'entrée de son intimité entre ses jambes écartées.

Elle saisit mon sexe et se caressa quelques secondes (je le réalisais plus tard, me repassant sans cesse le film de cette folle découverte) et soudain je me sentis m'enfonçer dans cet antre chaud, humide et si confortable.

Quelle sensation extrême, quel plaisir unique.

 

Elle laissait échapper des soupirs et cambrait ses reins, caressait ses seins, ses hanches.

 

"Ouiiii, plus vite maintenant, plus vite, quelle bonne queue tu as, hummm… "

 

J'accélérais mes va-et-vient, prenant de l'assurance, embrassant l'intérieur de son cou, ses seins, promenant mes mains sur ses hanches, sur ses cuisses, attrapant ses fesses que je soulevais légèrement.

 

Oh F, c’est bon. Oh ouiii …  jouie en moi, aaahh… viens, je vais venir aussi, aaaaaahhhh ouiiiiiiiiiii….

 

Nous atteignîmes l'orgasme en même temps, ce fut merveilleux. Quelle première fois !

 

Je m’étais effondrée sur elle, et elle me prit dans ses bras, très maternelle … Elle chercha pour la première fois mes lèvres, et me gratifia d’un très bon baiser. Sa langue était ferme, décidée, comme devait l’être l’executive woman qu’elle était …

 

Merci me dit-elle, Cela vaut tout les hammans du monde ! dit-elle en riant

 

Je ne savais quelle contenance avoir … devais-je moi aussi la remercier ? que dire dans ces moments là ?

 

Devant mon silence : Et toi, ça t’a plus

 

Oh oui Madame

 

Claude, je t’ai dit ! Je pense qu’on a maintenant assez d’intimité pour s’appeler par nos prénoms, non ?

 

Oui … Claude

 

            J’espère que c’étais à la hauteur de tes attentes, et que je ne t’ai pas déçue.

 

            Non … et me coupant …

 

            Mais  il y a une chose, F. Je me suis surtout occupé de toi, en espérant te donner le meilleur … tu m’as donné toi aussi beaucoup de plaisir avec ce si bel engin (en reluquant ma verge qui enfin prenait quelque repos sur le haut de ma cuisse) mais je ne t’ai pas appris à t’occuper d’une femme … penses-y les prochaines fois, apprends, sois patient, découvre les … tout est plaisir à quiconque sait chercher et faire preuve d’initiative…

 

           

 

            Allez, il faut que je me prépare … dis t’elle en se levant, me donnant ainsi congé.

 

            Au fait, F. … je ne sais s’il y aura une prochaine fois … peut être est-ce mieux ainsi ? Ne m’en veux pas, et il va sans dire que je compte sur ta discrétion … Je te connais depuis longtemps, je t’apprécie … tu m’as touché, j’avais envie … ce n’est pas pour cela que je suis une femme facile … ne me juges pas. Je te fais confiance.

 

            Une fois encore, dans l’encoignure de la porte, j’étais coi, ne sachant que dire. Elle me poussa, regagnant sa chambre …

 

            Allez ! File te rhabiller, polisson

 

Nous nous sommes rhabillés, chacun de notre coté. J’étais dans le salon, visionnant la TV  quand la mère de Fabriceet ce dernier se sont croisés ; elle repartait vers d'autres destinations , très belle et élégante dans son tailleur et imper. Elle tirait une petite valise à roulette, et me glissa, à travers la porte du salon : Salut F. Travaillez bien tout le deux …

Le clin d’œil qui ponctua sa phrase et son sourire scellait notre complicité du moment.

 

Nous réprimes nos révisions, j'avais un peu de mal à trouver ma concentration après ce que venais de vivre. Mon copain ne pouvait ni ne devait se douter de ce que je venais de vivre, du fait que sa propre mère m’avait si habilement déniaisé.

 

Nous avons eu finalement le bac tous les deux.

 

Ni Fabrice, ni son père n'en ont jamais rien su, du moins je le pense.

 

Je garde le contact avec eux, de temps à autre. Claude est restée une très belle femme, il n’y a plus eu aucune équivoque entre nous … elle m’a simplement glissé subrepticement lors de mon mariage, sa main me tenant le bras cette confession à l’oreille Je suis content pour toi, et me rappelle avec bonheur notre incartade. Merci d’avoir su la considérer comme unique, j’ai apprécié ton tact et ta discrétion. Rappelle toi mes conseils pour ta petite femme … mais je sais que tu les as mis en pratique … me glissa t’elle en conclusion… Que voulait-elle dire ? Avait-elle eu des confessions d’ex ? Il est vrai qu’a quelque reprise, nous avions eu Fab et moi les mêmes amies …

 

J’ai eu le fin mot bien plus tard, il y a quelques mois …


Celà nous a donné envie, du moins à F, votre serviteur, de vous raconter la sienne ... vous y verrez des similitudes ... à bientôt !
(je tente de persuader C. de faire autant, car sa première fois est coquine aussi ... mais elle resiste ! Peux être saurez vous la faire changer d'avis ???)

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 13:06
Jorennes est un auteur réputé de texte érotique ... qu'il nous pardonne d'avoir plagié largement un des ses textes pour en faire l'histoire suivante ....


Comme souvent le week-end lorsqu'il fait beau, nous partons, mon épouse et moi au bord de la mer, disposant d'une petite maisonnette de campagne.


Aujourd'hui donc, nous roulons tranquillement en direction de la côte. Tout en conduisant, je caresse doucement le genou de C., ma chérie.


Nous sommes mariés depuis une dizaine d'années et sommes toujours amoureux. Si C. adore faire l'amour, je regrette parfois qu'elle ne soit pas une peu plus "garce". J'aimerai, comme je pense pas mal d'hommes, la voir s'exhiber et même aller un peu plus loin. Malheureusement, bien qu'ayant abordé ces sujets sans tabou, elle a toujours refusé ce genre de pratiques, sans doute plus par complexe que par pudeur, ne se trouvant pas spécialement jolie. Contrairement à moi qui ne me rassasie jamais d'admirer ses formes, tant sa poitrine généreuse que ses cuisses pleines mais fermes.

Enfin, le principal est d'être bien ensemble, et c'est le cas !

Peu de monde aujourd'hui, la circulation est fluide nous sommes même en avance.

"Chéri, s'il te plait, arrête-toi à la prochaine aire de repos, j'ai très envie de faire pipi…


D'accord !"


Quelques kilomètres plus loin, nous stoppons. C. sort rapidement de la voiture et se dirige vers les toilettes. J'en profite pour sortir et faire quelques pas. L'aire de repos est presque déserte, si ce n'est un semi-remorque dont le chauffeur doit se reposer, à en juger par les rideaux fermés.
Je suis un peu surpris de voir ma femme revenir aussi vite, et visiblement toujours aussi pressée, je me demande un instant ce qui se passe.


"Les toilettes sont dans un état ! Tant pis, je vais me retenir…


Va plutôt te soulager plus loin. Il n'y a personne…


Tu crois ? Et le camion, là ?


A mon avis, ça dort.

 

 Après tout…"


Elle court presque jusqu'au champ voisin et disparaît de ma vue. C'est à ce moment que la portière du camion s'ouvre et qu'un homme en descend. Je le vois se diriger dans la même direction, sans doute pour, lui aussi, satisfaire un besoin naturel. Rapidement, je verrouille la voiture et le suit, craignant pour ma chérie. Il s'arrête juste au bord de l'herbe et sa position indique qu'il se soulage. Je ne vois pas ma puce et suis un peu rassuré en pensant qu'il ne peut la voir non plus.
Tranquillement, il revient vers son bahut et s'y réinstalle, ouvrant les rideaux. Quelques minutes plus tard, C. réapparaît, une étrange expression sur le visage.

 

"Que se passe t-il ?


Le gars du camion… il est venu uriner à cinq mètres moi…


Je sais. Il t'a vue ?


Je ne pense pas… il ne regardait pas vers moi et je n'ai pas fait de bruit… mais…


Quoi ?


Je n'ai jamais vu ça…


Quoi donc ?


Son… sa… enfin, il en a une… c'est un vrai monstre…


Je vois ! Madame se cache mais ne se gêne pas pour jouer les voyeuses…


Idiot ! Je ne pouvais pas faire autrement, il était tout près…


Tu pouvais fermer les yeux.


Crois-moi si tu veux mais j'étais comme… hypnotisée…"


Nous regagnons la voiture et je redémarre. Ma main retrouve tout naturellement son genou et il me semble que ses jambes sont un peu plus écartées que tout à l'heure. Je remonte lentement sur la cuisse sans, contrairement à d'habitude, essuyer de protestation. Mes doigts courent sur sa peau tendre et, peu à peu, remontent vers sa fourche. Jetant un rapide coup d'œil vers elle, je remarque ses yeux mi-clos et sa poitrine qui se soulève un peu plus rapidement. Tentant le tout pour le tout, je pose la main sur la dentelle de son slip et masse le renflement. Ses jambes s'écartent encore un peu et elle ne peut retenir un léger gémissement. Ainsi donc, ma chérie est tout excitée !


"Ce sont mes caresses qui te plaisent ou la pensée du sexe du routier ?


Franchement, je ne sais pas très bien. Je n'arrive toujours pas à réaliser…


Tu aurais aimé la voir de plus près ?


Tu rigoles !


Pourquoi pas ? Je suis certain qu'il aurait été d'accord…


Tu es fou ! Et il n'aurait pas été sans demander quelque chose en échange…"


Tiens, tiens… l'idée ne semble pas la rebuter…


"Au pire, il aurait souhaité en voir autant de toi…


Et tu aurais accepté que je lui montre mon minou ?


Tu l'aurais fait ?

 

 … Je ne sais pas…"

Je décide de ne pas brusquer les choses et poursuit mes caresses, non sans ralentir pour ne pas nous mettre en danger, tout en espérant secrètement que le camion nous rattrape.
Le slip de C. est de plus en plus moite, signe du trouble de ma chérie.


"Je serai toi, je l'enlèverai… il va être tout tâché…"


Elle ne répond pas mais lève légèrement les fesses et fait glisser son sous-vêtement le long de ses cuisses. Le ramassant, elle va pour le mettre dans la boîte à gants mais je parviens à m'en emparer. Je le porte à mon nez et savoure son odeur intime.


 "Sale pervers !"


Son sourire montre qu'elle ne pense pas une seconde ce qu'elle vient de dire. Ma main retrouve sa chatte, cette fois nue et mes caresses entretiennent son excitation sans pour autant l'emmener trop vite au ciel.

Je vois alors dans le rétroviseur la silhouette grandissante d'un camion. Je ralentis encore un peu, pas trop pour ne pas éveiller les soupçons de ma dulcinée, et le laisse s'approcher. La décoration de celui du parking est spéciale et je n'aurai aucun mal à la reconnaître. Encore quelques secondes puis son clignotant m'indique qu'il va nous doubler. Un nouveau coup d'œil à C. me rassure : les yeux maintenant fermés, elle s'abandonne totalement à mes caresses. Je reconnais sans aucun doute possible le camion de tout à l'heure.

Au moment où il se trouve à notre hauteur, je remarque le visage du chauffeur tourné vers nous. Aucun doute, il voit ma main sur le sexe de ma femme. Un coup de klaxon la fait sursauter et elle réalise la situation. Brusquement, elle referme ses jambes et, en colère, me jette :

"Tu est barge ! Qu'est ce qui t'a pris ?


C'est ton Appolon de tout à l'heure… maintenant qu'il t'a vue ainsi, je suis certain qu'il acceptera de te la montrer…


Tu n'es pas sérieux ?


Tu n'as pas envie de la revoir ?


Mais tu perds la boule…


Tu n'as pas répondu.


Tu veux vraiment ?


Pourquoi pas ?"


Elle ne dit plus rien. Le camion nous a doublé et je décide d'aller au bout de mon envie. Ma main écarte à nouveau ses jambes et reprends sa place sur son intimité. Surpris, je la découvre totalement trempée ! Sous ses airs de ne pas y toucher, la situation lui fait un effet monstre. Je mets mon clignotant et déboîte afin de redoubler mon complice. Je reste un instant à sa hauteur et le voit regarder franchement dans l'habitacle.

"Lève les yeux et regarde-le !

Timidement, C. obtempère et son visage se lève, ses yeux croisent ceux du routier. Incrédule, je la vois lever les jambes et poser les pieds sur le tableau de bord. Dans cette position, elle ne lui cache absolument plus rien et cela semble lui plaire.

Un panneau nous indique une aire de repos dans 5 km. Je reste encore quelques minutes à côté du camion avant qu'un appel de phare ne me fasse comprendre que nous ne somme pas seuls au monde.

J'accélère un peu, me rabats et poursuis notre chemin, prenant bien garde à ne pas le distancer. Après quelques kilomètres, je mets mon clignotant et vois avec satisfaction le routier en faire autant. Nous nous garons à l'écart et j'arrête le moteur.


"Tu es certain de ce que tu fais ?"


Ma chérie semble redouter le moment à venir.


" Sois tranquille, je vais aller le voir d'abord seul."


Je sors de la voiture et rejoins l'énorme engin. Le chauffeur ouvre la portière et en descend. Je m'aperçois qu'il est très bel homme. Il me tend la main et me félicite pour la beauté de mon épouse. Il me dit s’appeler Marc. Je lui explique notre comportement et, souriant, il me dit :


"Je n'étais pas sûr, tout à l'heure. Il faut dire qu'elle s'était bien cachée.


Que pensez-vous de mon marché ?


Beaucoup de bien. Je vous invite dans ma cabine ?


D'accord."


Je rejoins la voiture et présente les faits à C.. Elle hésite un peu puis cède enfin.

 

 

La suite prochainement … merci de nous faire part de vos commentaires … vous pouvez même vous laisser aller à nous envoyer une suite …. Celle que nous jugerons la plus érotique sera publiée …

Par Libertins49 - Publié dans : Lieux de libertinage ...
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 12:42
Une fois encore, rendons à Cesar, ou plutôt à S. ce qui lui appartient ... Nous avons trouvé ce récit très erotique, et vous le faisons partager ....


 Je m'appelle S., nous habitons une ville de la région parisienne dans le 95 , l'été dernier nous sommes allés assister au feu d'artifice du 14 juillet.

Le mois de juillet à été particulierement chaud , donc je portais une petite robe d'été assez courte , même très courte et fine , 15 centimetres au dessus des genoux.
Nous sommes arrivés sur la pace des fêtes, il y avait déjà beaucoup de monde et des gens arrivaient toujours.
Les organisateurs ont attendu la nuit pour commencer la fête.

Nous avons rencontré un ami de mon mari, ils ont discuté ensemble, je ne m'interessais pas trop à leur bavardage, j'attendais le feu avec impatience, finalement c'est commencé, il faisait vraiment très chaud, l'attroupement sur la place faisait penser au metro aux heures de pointe, j'ai senti des frôlements dans mon dos, presque imperceptibles au debut.
Vu le monde, je ne me suis pas offusquée, puis cela devenait de plus en plus souvent et précis, j'étais inquiète mais bon... c'est devenu plus précis, des attouchement sur mon dos puis plus bas jusque sur mes fesses, j'ai voulu me retourner et giffler les personnes derrière moi, il y avait un tel monde et ne sachant pas à qui je devais ces caresses et la honte de provoquer un scandale, la peur de provoquer une bagarre avec mon mari, je me suis ravisée, puis l'exitation est montée en moi, une appréhension dans le ventre, devant mon manque de réaction les caresses ont continué plus précises encore, j'étais très troublée.

Mon mari et son copain m'ont dit
- viens avec nous, on va plus loin pour mieux voir, la honte aux joues j'ai répondu que je préférais rester là, mon mari a répondu :
- on se retrouve à la maison apres le feu.

Pendant que mon mari s'éloignait, la main étant sur mes fesses, j'étais comme folle de honte, la caresse est devenue plus précise, passant sous ma robe pour écarter ma petite culotte , un doigt s'est engoufré entre mes fesses en plein public , je n'ai jamais connu une telle honte et excitation de ma vie.
Une autre main est passée devant, sous ma robe, me caressant le ventre, j'étais pénétrée derrière et devant, je suis ensuite venue très très fort.

Les mains ont changé de place, celle de derrière venue devant et l'autre passant derrière , c'est à ce moment que j'ai réalisé qu'il s'agissait de deux hommes, ils ont continué jusqu'à me faire jouir une deuxième fois.

Puis les deux hommes m'ont pris par les bras et m'ont fait monter à l'arriere d'une voiture, celui qui était avec moi à l'arrière m'embrassait et me caressait, ils m'ont emmené en dehors de la ville dans un endroit calme, le conducteur est passé à l'arriere nous rejoindre sur la banquette , ils m'ont embrassée, caressée, je n'étais plus moi même, ils m'ont désabilléé et fait l'amour , ensuite ils ont refusé de me rendre ma petite culotte, ni mon soutien gorge, c'est donc toute nue sous ma robe que je suis retournée chez moi.

Quand mon mari est arrivé, j'étais en train de prendre un bain après avoir fait ma toilette.
Heureusement que mon mari est rentré après moi !
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 17:07

Il existe à Paris un cinéma qui organise des soirées pour les couples.

 

Pascal, mon mari, avait réussi à m’y entraîner une première fois. L’accueil convivial et l’ambiance détendue nous avaient plu. Au début, un peu dans l’expectative, nous nous y étions sentis à l’aise et comme la plupart des couples nous n’étions pas restés inactifs : La main dans ma culotte, Pascal m’avait fait jouir. Ce petit jeu dans une salle de cinéma entourée d’inconnus, l’expérience ne m’avait pas déplu.

 

Nous y sommes retournés récemment, décidés à nous montrer un peu plus délurés. Je portais une petite jupe en lycra très moulante et un corsage sans soutien-gorge. Quant à ma petite culotte, conformément à notre accord, je l’ai retirée dans les toilettes du restaurant où nous avions mangé peu avant. 

 

A notre arrivée une dizaine de couples avaient déjà pris place. Nous nous sommes installés dans le milieu de la salle. Dans notre rang il y avait un couple, un siège nous séparait d’eux. Les lumières étaient déjà éteintes quand un nouveau couple est venu s’installer juste devant nous.

 

Le film a débuté par le strip-tease de deux jeunes femmes qui se sont effeuillées mutuellement. Une fois nue, la blonde s’est calée confortablement au fond du sofa, et tout en se caressant les seins, elle a écarté les cuisses nous laissant découvrir une toison d’adolescente. La brune aux cheveux courts est venue s’agenouiller devant elle, offrant en premier plan les fermes rondeurs de son petit derrière. Elle a commencé à lécher la fente de son amie, parvenant au bout de quelques instants à lui arracher des gémissements de plaisir. Pour un film porno, je trouvai que celui là débutait plutôt bien.

 

Pascal n’a pas résisté longtemps à ces images. Après avoir libéré son sexe qui sans aucun doute ne méritait pas de rester plus longtemps à l’étroit, il faisait sauter les premiers boutons de mon corsage pour y glisser sa main et me caresser la poitrine. Mes seins se sont durcis. Avouons que la scène lesbienne qui se déroulait à l’écran ne me laissait pas de marbre. J’aime les corps féminins et à vrai dire une telle expérience ne me déplairait pas.

 

Il a détaché un bouton supplémentaire et extirpé mon sein droit qu’il s’est mis aussitôt à téter. Mes yeux se sont fermés pour mieux apprécier la douceur de ses caresses. Il connaît mes faiblesses et en a profité pour ouvrir totalement mon corsage, et se faisant, dévoiler ma poitrine. Mes seins ainsi libérés lui étaient offerts, ils les caressaient, les mordillaient. Excitation exquise qui m’amène parfois à la jouissance.

 

Quand il s’est interrompu au bout de quelques instants, la pudeur reprenant le dessus, j’ai cherché à ramener les pans de mon corsage.

« Non, laisse » m’a t-il soufflé.

Il est fou de ma poitrine et veut que je la montre. Déjà bien chauffée, mon excitation a pris le dessus sur l’appréhension d’être ainsi exhibée poitrine à l’air au milieu d’une salle de cinéma. Car croyez moi la lumière réfléchie par l’écran était largement suffisante pour permettre à mes voisins de se rincer l’œil. Et ils ne se gênaient pas. Celui assis juste devant moi, se retournait régulièrement, il me caressait de son regard. J’appréhendais qu’il ne finisse par me caresser tout court. Je fixais l’écran pour ne rien laisser paraître, mais mes pointes de seins en érection trahissaient mon émoi. Pascal ravi, m’encourageait à me laisser mater :

« tu es superbe », «  je ne suis pas le seul à apprécier ».

 

J’ai lancé un regard furtif vers le couple de notre rang : la jeune femme était restée décente mais son visage ne laissait aucun doute sur son état ; les yeux fermés elle se mordait les lèvres ; la main de son mari entre les cuisses, elle prenait son pied.

 

A l’écran un jeune costaud avait rejoint les deux jeunes femmes, la blonde s’était empalée sur son sexe. La seconde debout, jambes écartées, s’est placée au-dessus du visage de sa copine pour réclamer sa langue.

 

Pascal a posé sa main sur mon genou et a commencé à caresser mes cuisses, de tendres caresses qui n’en finissaient pas. Mon sexe réclamait sa part, je me suis avancée au bord du siège de manière à pouvoir écarter suffisamment mes cuisses. Ce mouvement a eu pour effet de remonter ma jupe, de sorte que je me suis retrouvée  toison à l’air, entrejambe ouverte. Pascal ne s’est pas fait prier pour enfin entreprendre mon sexe. Dés ses premiers attouchements tout mon corps s’est tendu. 

 

Mais l’homme de devant s’est retourné à nouveau, et instinctivement mes cuisses se sont refermées sur la main de Pascal. Même prisonnier, il n’était pas à court d’arguments : il continuait à jouer avec mon clitoris. Je n’y résiste pas.

Lorsqu’il m’a demandé à l’oreille d’offrir la vue de mon sexe, après une courte hésitation, rassemblant mon courage, je me suis lancée. Lentement j’ai écarté mes genoux jusqu’à ouvrir largement mes cuisses reposant un pied sur le siège afin de dévoiler au mieux mon sexe. Je restais dans cette position laissant nos voisins me mater à volonté pendant que Pascal continuait de me donner du plaisir.

 

 Pascal me masturbait depuis un bon moment, et j’étais déjà bien partie quand il a ôté mon corsage en le faisant glisser sur mes épaules. Comme je ne protestais pas, sans attendre, conscient de mon état,  il me demandait de me soulever pour retirer ma jupe. En me rasseyant le contact du skaï du fauteuil sur mes fesses nues m’a rappelé à la réalité : j’offrais ma nudité à notre entourage. 

 

Mon clito m’avait portée à un tel degré d’excitation, que me retrouver entièrement nue se révéla une délivrance. J’étais dans un tel état de bien être, excitée à souhait, mon corps libéré de toutes entraves, que j’acceptais cette situation sans sourciller.

 

Je me calais confortablement dans mon siège, mes pieds prenant appui sur les sièges de devant. Pascal a repris possession de mon clito qui dans cette position percevait de mieux en mieux la pression de son doigt.

 

Le couple de devant, tourné vers nous ne ratait rien du spectacle.

 

Rapidement je ne fus plus vraiment maître de moi et peu à peu je me suis abandonnée au plaisir qui m’envahissait. J’ai oublié où je me trouvais. Mes yeux clos, entièrement livrée au plaisir, je suis complètement partie. Pascal est passé à la vitesse supérieure ; ses doigts ont abandonné mon clito pour pénétrer mon sexe qui les enserrait merveilleusement. Je l’encourageais à aller plus profond en m’arque boutant et en écartant mes cuisses autant que je pouvais. Ses mouvements de va et vient me faisaient vibrer.

 

 Dès que la première jouissance m’a traversée, dans un sursaut de lucidité, j’ai retiré sa main. Je savais avoir atteint la zone de non-retour, passé ce cap, je ne sais plus me contrôler : le besoin d’être pénétré par un sexe bandé est trop intense, être prise devient alors l’unique raison de vivre. Il était temps d’arrêter. 

 

Lorsque je suis parvenue à ouvrir les yeux les regards de nos voisins étaient braqués sur moi. L’homme à ma droite me dévisageait, si je puis dire car il ne s’intéressait pas qu’à mon joli minois. Sa femme était penchée sur son sexe, elle le suçait. Quant au couple de devant, il semblait plus intéressé par mon corps que par le film ; tournés vers moi et amusés ils me souriaient.

 

J’éprouvais des sentiments contradictoires. Perplexe et amusée d’être capable de jouir en public livrée entièrement nue aux regards d’inconnus ; exaltée et fière quelque peu que l’entourage ait apprécié de me voir ainsi offerte. Heureuse aussi du bonheur de Pascal.

 

Certes j’ai toujours aimé être nue, c’est un réel plaisir. Jusqu’à présent, m’exhiber ne m’avait jamais tentée, et pourtant cette première expérience au milieu d’autres couples fut pour moi la découverte d’une situation épicée des saveurs du vice qui rendent un repas succulent. 

 

Vous l’avez compris, j’ai beaucoup apprécié ce nouveau jeu. Nous sommes décidés à le réitérer ici et ailleurs. En compagnie de pascal, je suis prête à offrir ma nudité à ceux et celles qui savent l’apprécier.

 

CLAIRE

Institutrice (a t'elle pris la peine d'ajouter ... délicieusement coquine en plus !)

N'a pas souhaité laisser d'adresse ... mais, si elle se reconnait : Merci pour cette si belle histoire !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Lundi 6 novembre 1 06 /11 /Nov 00:11

Un texte que nous venons de découvrir et qui nous rappèle notre / nos découverte(s) ....


Chacun a ses petits phantasmes, ses petites manies, ses étranges lubies. Moi, la mienne étant plus classique : l'entrée des artistes. Ça me hantait depuis longtemps, très longtemps, cette visite des endroits interdits et sombres, cet étroit tunnel de chair chaude et étrange, ce passage tant honni, voué aux démons des mille enfers...

J'en ai tant rêvé, tant voulu accéder à ce petit nirvana sur terre que, lentement, au fil des ans, ce fut ma quête à moi, mon Graal, ma destination ultime. La frustration de ne pas y parvenir fut forte, mais je n'allais pas remettre en question mon couple pour si peu. Ma femme n'appréciant pas pour diverses raisons allant de l'hygiène à la religion, je m'en fis aussi une raison. Alors je partis à la chasse dans les revues, puis les sites web au fil de l'avancée technologique. J'en ai gravé des CD d'images, compilé des galettes de vidéo avant de passer au DVD, de plus grande capacité.

Puis un jour, elle est arrivée dans ma vie.

Elle, son corps de liane, ses gestes amples, ses yeux profonds.

Il serait trop long d'expliquer comment je devins infidèle, ce fut le fruit de beaucoup de hasard et un peu de volonté à franchir le pas. Quand j'y songe, c'est tout banal, d'un classique éculé (je sais, le jeu de mot serait facile), mais je ne regrette rien d'avoir connu ses courbes, ses baisers brasiers, sa brûlante intimité.

Dès la première nuit, Valérie m'a offert ce plaisir interdit auquel je ne croyais plus. Sur le coup, j'en tremblais. Oui, je me souviens :

Allongée sur le dos, bien calée, elle prend ses pieds avec ses mains, écartant bien les jambes, mettant en avant une sombre rondelle :

- Allez, vas-y, passe par là ! susurre-t-elle, la voix évocatrice.

- Euh... comme ça ? Direct ?

- Tu prépares le terrain avant, quand même !

- Pas de problème ! dis-je, tout fébrile.

Agenouillé entre ses jambes qu'elle repose sur mes épaules, je pose le bout de ma langue à l'orée sombre. Ce n'est pas possible, j'ai dû rêver. Un premier coup de langue à l'endroit interdit, un léger soupir d'aise, je sais à présent que je ne rêve pas. Alors je m'applique, je fais de mon mieux, bénéficiant de l'expérience de toutes les images entassées sur mes collections de CD. Je dois avoir bien appris et retenu ces leçons, car elle remue de plus en plus du bassin, tout en soupirant fortement.

Je me réjouis d'avoir passé la première épreuve avec succès et peut-être même brio... je lèche avec délice ce commencement de petit puits tant désiré, ce puits qui est déjà entrouvert, signe que la dame doit assez souvent pratiquer, à moins qu'elle n'ait de bonnes dispositions à cet endroit de son envers...

Le goût est légèrement âcre, un peu défendu, très émoustillant. Les stries s'évasent petit à petit, se colorent délicatement de sombre. Ma salive rend luisant ce lieu tabou, le faisant finement briller. C'est indescriptible, cet émoi qui m'assaille, moi agenouillé devant cet envers offert, mon enfer pervers.

Je lèche avec application, mouillant bien l'entrée dans laquelle j'irai enfin me perdre. Je me régale de ce creux censuré par tant de gens, décrit comme une abomination, mon paradis à moi, ma quête. Je me sens comme l'adolescent que j'étais, il y a longtemps, le jour de son premier baiser profond, la nuit de la première fille qui m'offrit ses trésors cachés, le ravissement de cet antre chaud, si accueillant dans lequel on adore plonger et se perdre.

L'entrée s'évase doucement mais sûrement, ça m'intrigue quand même : je ne pensais pas qu'il en serait ainsi, j'ai encore des choses à apprendre sur les femmes. Souvent, on parle de conduit étroit à forcer, de repaire à contraindre, de cette attaque impitoyable qui fait de la lance ou de l'épée des hommes des sauvages conquérants.

Je dois être trop lyrique...

Je comprends qu'il est temps d'y aller. Je suis un peu déçu. J'aurais aimé initier une femme à ce plaisir tabou, lui faire découvrir ces agréments insolites, moi, son bourreau et professeur, elle, ma tendre victime, mon élève soumise et assidue. Je me rattraperai une autre fois, peut-être. J'ai au moins la garantie qu'il ne devrait pas y avoir de problème puisque ma soi-disant victime pratique déjà.

Agenouillé devant Valérie, mes genoux de part et d'autre de ses fesses, je me positionne au mieux. Ma tige est raide comme de l'airain, je l'approche de l'entrée tant convoitée, enfin, j'y suis, j'y vais, je suis en train d'y aller.

Le contact de la salive sur mon gland me fait frémir d'aise, je me contrôle un maximum, il ne s'agirait pas que je lâche tout maintenant, sans être en elle. Je serre les dents, je retiens mon souffle.

Je comprends que je ne suis pas tout à fait bien positionné, je me replace mieux, ses cuisses chaudes contres les miennes. Elle attend, les yeux fermés, je la vois qui palpite, mon cœur s'accélère. Fébrile, je guide mon pieu de chair entre mes doigts vers ce puits sombre qui veut l'engloutir. L'arrondi de mon gland épouse la cuvette mouillée de son entrée, elle remue faiblement son bassin, la salive décuple les sensations, je ne tiendrai jamais !

Je donne un coup de reins, l'entrée résiste, mais pas moi. Je suis à deux doigts d'éjaculer sur elle. Je me crispe, tentant de reprendre un semblant de contrôle sur moi. J'y arrive.

Un autre coup de reins et j'entre. La sensation est inouïe, mon gland s'engouffre dans un conduit étroit et chaud, ce tunnel interdit qui l'avale tout en l'enrobant de sa chair torride. Je reste là, planté au bord, goûtant ce plaisir enfin obtenu, comme l'alpiniste qui découvre enfin le sommet convoité si proche du but, le plaisir du repos avant l'ascension finale.

- Vas-y ! Défonce-moi !

Cette phrase gâche un peu le tableau que je me faisais. J'idéalise trop, mais pour moi cet instant est magique, même si pour elle, c'est devenu une rengaine. Mais puisque j'y suis, j'y vais ! Je saisis ses jambes douces, je les plaque contre ma poitrine, je me cale au mieux puis je m'enfonce en elle. Je vois comme mille étincelles, je coulisse le long du boyau serré, ressentant toutes ses aspérités, ses reliefs, je plonge plus loin encore, loin.

Elle a la bouche ouverte, à la conquête de son plaisir qu'elle recherche du bout des doigts entre ses lèvres détrempées, agaçant son clitoris enflammé, niché sous le triangle taillé de sa toison. Elle pousse de faibles plaintes quand je coulisse en vastes va-et-vient, plongé en elle, tout aussi aisément que si j'avais été par-devant. Je m'attendais à plus de résistance. Je m'enfonce comme un damné dans ses profondeurs obscures puis m'en échappe furieusement, je la pistonne sans retenue, je suis comme en roue libre, un électron libre. Oh oui, je suis enfin dans un cul, dans cet endroit dont je rêvais depuis si longtemps, dans cet anus étroit, dans ce trou ténébreux défendu. Je me plaque sur ses fesses dans un bruit sourd. Comme un coussin d'eau, sa chair oscille, me massant le bas du ventre, une jouissance obscure naît en moi à ce contact curieux, puis je me retire pour sentir ma tige massée par son conduit cannelé. Je ne me sens plus, je lévite, comme l'alpiniste qui arrive au sommet, qui n'a plus qu'un seul pas pour planter son drapeau sur la cime convoitée.

Alors je plante, j'éjacule, j'exulte !

Sous moi, la montagne se tortille, tangue, malaxant ma tige qui se vide en longues saccades, qui fléchit, comme broyée par des éléments plus forts. Une longue vague m'irradie, j'entends vaguement mes propres cris mélangés avec ceux de ma partenaire. Je me sens si fort et si vide à la fois. Je retouche doucement le sol. Enfin, j'ai obtenu mon Graal, il est là, autour de mon sexe emprisonné, compressé mais victorieux.

Mon Graal fait de sexe et de sueur...

Allongé, épuisé, ma partenaire blottie contre moi, je reprends mes esprits. Je regarde alors mon sexe flasque et rouge. Il me fait un peu mal, la compression et le frottement sans doute. Je flotte, à la fois heureux et triste. J'ai atteint mon but, et après ? D'autres visites sans doute, mais sans cette attente. Celui qui disait que le meilleur moment dans l'amour est quand on monte l'escalier avait raison...

Besoin d'aller aux toilettes, je me dégage doucement de Valérie endormie. Elle me tourne alors le dos, je contemple ses fesses. Qui pourrait croire qu'il y a quelques instants, j'étais, là, entre ses rondeurs, planté dans son sillon, dans son cul, loin, très loin ?

Aux toilettes, je regarde mon sexe, je l'ai vu avec une meilleure mine : il est tout rabougri, rouge, mal en point et surtout sale. C'est vrai que cet endroit n'est pas d'une propreté exemplaire... Ça me semble étrange après coup, d'avoir été là-dedans. Sale, mais ô combien jouissif !

Je me nettoie avec précaution, délicatement, avec le papier toilette, ça fait mal quand même. Sur le moment, je n'ai rien ressenti de tel. Je me demande si c'est pareil pour elle... mais je me vois mal lui poser la question !

La sodomie, c'est comme une drogue, quand on y a goûté, on en redemande !

Maintenant, j'ai beaucoup de difficultés à imaginer un rapport sexuel sans passer par-là. J'ai bien eu une sorte de mini-déprime après avoir vécu mon premier passage à l'acte arrière, mais cela passa vite, très vite. Bien sûr, pas question de le faire avec mon épouse, mais elle, Valérie, ma maîtresse, elle adorait, et ça tombait bien, moi aussi !

Alors il y eut des tas d'autres fois : moi, vautré sur elle ; moi devant entre ses jambes ; moi de côté ; elle assise sur moi ; moi la pistonnant furieusement alors qu'elle était à quatre pattes... Bref des tas de positions pour tenter d'aller plus loin en elle, plus profond, de l'élargir, de plonger dans le stupre et le sale de son cul rebondi. Un culte du dégoûtant et de la jouissance. Et j'avais à présent une nouvelle quête : me faire prendre dans sa bouche après ces jouissances partagées

Un nouveau Graal... Une nouvelle étape dans ma sexualité.

Suis-je un pervers décadent, un sale dégoûtant, une ordure immonde ? Je me doute bien de ce que certains diraient de moi. Mais je m'en fiche, je ne fais de mal à personne et mes goûts évoluent dans le temps. Une chose me turlupine quand même : et après, ça sera quoi comme lubie ?

Mais demain est un autre jour.

Fin d'après-midi, nous sommes dans la nature, pas loin du petit lotissement où Valérie habite. Une route sur presque un kilomètre, un chemin piétonnier sur dix à quinze minutes, puis derrière un groupe d'arbres, un passage herbeux qui zigzague entre broussailles et bosquets. Il faut connaître, Valérie connaît visiblement bien, je préfère éviter de lui demander pourquoi ! Vraiment sauvage par ici, nous sommes sûrement à deux ou trois kilomètres de chez elle à vol d'oiseau et encore ! Des herbes hautes, des futaies alentour, elle lance un coup d'œil circulaire pour la forme, puis se jette sur moi. Nos étreintes sont passionnelles, entre tendresse sauvage et farouche affection. Je sais qu'elle ne porte pas de culotte sous sa robe légère, une habitude, j'en profite donc. Après quelques baisers féroces, je me glisse dans son dos, ce qu'elle affectionne. Plaqué contre elle, la bosse de mon pantalon dans le creux de ses fesses à travers le fin tissu, je prends ses seins que je caresse, que je soupèse, dont j'agace les pointes tandis que je l'embrasse dans le cou, lui mordillant parfois l'oreille plus ou moins bestialement.

Elle ondule sous mes mains, mes lèvres, mon sexe tendu à mort. Je sais ce qu'elle veut et elle aussi. Mais ça attendra un peu, ça n'en sera que meilleur ! Nos corps s'épousent, se coulent l'un à l'autre, tout en sensualité, c'est très bon ! Très ! Divin même, au risque de paraître trop précieux... Une main quitte un sein puis descend caresser l'arrondi d'un ventre douillet, si agréable quand je pose ma tête dessus. Un moment de tendresse dans un océan de sexe débridé. Un beau bombé que je délaisse ensuite pour un autre plus petit, plus intime, son mont de Vénus, tel un fruit convoité.

J'adore la masturber par-dessus les tissus, la sentir qui frémit, qui ondule, qui se retire, qui demande, qui quémande ma caresse pour son doux plaisir. J'adore qu'elle soit ainsi, abandonnée, à moi, tout à sa volupté. Et moi, je retire une très grande satisfaction, un plaisir subtil, très intellectualisé devant sa jouissance charnelle.

Je remonte doucement la robe, découvrant ses genoux, puis ses cuisses. Elle ondoie plus encore, comme la belle plante qu'elle est. Son pubis voit le jour, une brise le frôle, fraîche par cette chaude journée. Je coince les pans du tissu dans sa ceinture afin que tout son bas-ventre reste dévoilé au soleil qui fléchit en cette fin de journée. Son pubis est doux, très doux, je raffole de sa fine toison taillée en un fin triangle qui émerge ainsi d'un sexe presque rasé.

Mais j'ai d'autres idées en tête, elle aussi, alors je sors un sexe raidi de mon court short et je le plaque sur ses fesses. Je veux la prendre ainsi et elle sait que je m'enfoncerai en elle, bien au fond, dans ses profondeurs interdites.

Mais avant, une petite formalité qui fait partie du jeu et du plaisir, je m'agenouille, ses fesses à mon nez puis voluptueusement, ma langue s'en va humidifier son petit trou. Je sais qu'elle aime ça, sentir mes lèvres à son orée, avoir quelque chose de chaud et d'humide qui furète au bord. Et moi, j'adore aussi cette caresse interdite que je lui inflige, prémices d'une autre chose plus incisive, plus intrusive.

Je me suis relevé, le moment est venu que j'aille en elle. Valérie m'attend, les fesses tendues. Je pose mon bout turgescent contre sa rondelle mouillée, elle frémit, me souhaite, me veut en elle, là. Mes mains sur ses hanches toutes douces, une dernière respiration et j'entre en elle d'un coup, sans trop forcer. Elle soupire d'aise, s'empale délibérément sur le pieu qui la fouille. Que c'est bon d'être là, en elle ! Quelques petits coups pour bien se caler, je coulisse, bien décider à lui faire profiter de toute ma longueur qui pioche son sombre tunnel.

Je décide de changer un peu :

- Non, j'ai une autre idée, retire-toi, s'il te plaît.

- Ah bon ? Ça me plaisait bien comme ça !

- Ça te plaira plus autrement !

- Ah ? Faut voir !

Et elle se retire quand même. C'est bon quand je sens mon sexe sortir, quand il semble se coincer juste avant d'être expulsé de son antre prohibé. J'en éjaculerais tellement c'est fort, puissant ! Soufflant un peu, je m'assieds sur les herbes hautes, elle me regarde intriguée, la robe toujours relevée. Je m'allonge ensuite sur les coudes, mon sexe bien érigé vers le ciel. Elle comprit vite :

- Hum et comment ? De dos ou de ventre ?

- J'hésite justement... Commence donc de dos que je puisse voir ton beau cul se faire défoncer puis...

- Puis ?

- Tu pourras pivoter pour me présenter ta belle pêche fendue !

- Toujours aussi lyrique ! Tu n'as pas peur pour ton machin ?

- Pas la première fois !

Elle s'exécute, ça l'amuse beaucoup. Je la vois qui me surplombe, elle a de bien belles jambes, et ce qu'il y a au bout est mieux encore ! Avec une lenteur calculée, elle s'abaisse, ses rondouillettes fesses se rapprochant dangereusement de mon sexe pointé vers elles. Elle saisit ma tige de chair et la dirige sans faiblir là où elle doit aller. J'encaisse le choc quand mon gland cogne entre ses fesses, dans le creux de la cuvette. Je suis néanmoins admiratif devant sa précision alors qu'elle ne voit rien. Ma tige ploie quand elle s'abaisse plus encore. Un mouvement de doigt et mon pal s'engouffre en elle sans faiblir un seul instant. Cette facilité dans la pénétration m'étonne toujours. Au début, j'étais inquiet pour elle. Maintenant, moins. Elle monte et descend le long de ma tige, c'est très efficace et éprouvant, j'ai quelques peine à ne pas tout lâcher en elle. Ses fesses dandinent à portée de ma main, un beau cul magnifique qui s'empale sur la tige malmenée. Je ne résiste pas, m'accoudant mieux, je lance une main pour caresser cette rondeur soyeuse. Dieu que c'est bon ! Cette caresse, moi en elle, elle autour de moi, son cul à moi, pour moi. On ne s'en lasse pas !

D'un coup, je serre les dents : elle pivote autour de mon gourdin empalé en elle.

Mes yeux en sortiraient de ma tête, c'est fort et violent, effet garanti. À la tête qu'elle fait, bouche grande ouverte, yeux quasi révulsés, elle doit être logée à même enseigne que moi ! Ma tige se tord, coincée par ses sphincters. Je souffle, ça résiste. Petit à petit, la rotation infernale se fait, lentement. Le moment le plus épique fut quand elle dut enjamber mon corps, la tension fut à son comble, je crus que mon sexe allait se déchirer comme un vulgaire tissu. Mais contre toute attente, il coulissa plus profondément en elle, lui arrachant un petit cri puis pivota correctement.

Elle est devant moi, à quatre pattes, son cul toujours rivé sur mon pieu. Elle se déchaîne, coulisse, monte, s'élève pour s'enfoncer plus encore sur ma tige, ses fesses touchent mon bas-ventre, sa chatte à l'air me nargue. Plus pour très longtemps, car je m'en saisis pour la masturber soigneusement, mais fermement. Elle crie un peu, s'agite beaucoup, j'ai beaucoup de difficultés à rester concentré sur son clitoris que je taquine et que j'agace férocement. Le ciel au-dessus de nous, je le vois comme un grand vide qui m'aspire irrémédiablement, un gouffre infini. L'herbe, sous mon coude, mon dos, mes jambes, m'agace, me titille. Et ce cul qui n'en finit pas de plonger sur moi, de serrer ma barre brutalisée, ces fesses qui m'absorbent, ce clitoris inassouvi, cette femme qui m'épuise, me tourmente mais qui me fait tant jouir ! Pourquoi ça tarde tant ? Je veux jouir en elle, lâcher mon sperme dans ses entrailles, qu'il se mélange avec ses déjections, qu'elle le garde en elle, qu'elle en soit remplie, débordante, rassasiée, comblée !

Une dernière lueur, un dernier éblouissement, je sens une onde puissante qui me ravage, mon cœur qui semble exploser. Je l'entends venir en même temps que moi, ses cris m'excitent plus encore. Un geyser chaud lance ses jets brûlants au fin fond de ses entrailles ténébreuses. Je sombre, repu, vidé.

Elle est toujours sur moi, affalée, pesant de tout son poids, toujours rivée en moi, mon sexe amolli dans son fondement. C'est affolant, cette jouissance. Angoissant mais impressionnant de volupté. Je me repose, reprenant doucement mes esprits. Elle aussi, elle est comme ravagée, secouée de spasmes. Elle roule sur le côté, sans égard pour mon sexe toujours en elle. Brutalement, il s'étire d'un coup m'arrachant un cri de surprise puis, tel un bouchon, s'extirpe de son enclos dans un son peu correct.

- Oh pardon ! dit-elle.

- Ouââ ! Tu peux ! Argh, ça fait mal, mine de rien !

- Excuse-moi ! Tu as très mal ?

- Plutôt oui ! dis-je en râlant

- Excuse-moi !

Je serre les dents, une vague idée dans le crâne devant son air confus :

- Pour te faire pardonner : suce-moi !

- Comme ça ?

- Oui, comme ça !

Elle me regarde intensément, hésite un peu. Elle sait que je profite de la situation, elle voit bien à mon air que je ne suis pas si fâché que ça, que c'est plutôt ludique. Mon sexe commence déjà à se redresser un peu, tout rouge, couvert d'un liquide indéfinissable, zébré de striures blanchâtres de sperme. Elle saisit ma tige poisseuse entre ses doigts fins, le masturbe un peu, le décalotte complètement. Un dernier regard vers moi, qui me trouble profondément, elle enfourne ce sexe sale dans sa bouche et le suce lentement...

Je ne saurais décrire le plaisir de cette fellation, quelque chose de très puissant, très fort, d'incommensurable, le franchissement d'un autre palier, d'une nouvelle étape comme si mon horizon portait plus loin, beaucoup loin, encore plus loin. Tandis qu'elle me léchait, je sentais un bien-être diffus m'envahir totalement, une satisfaction un peu honteuse mais tellement bonne !

Je suis, là, assis sur une chaise, jambes écartées, une moue dubitative aux lèvres. Je me pose à présent diverses questions sur mes folies nocturnes et de plus en plus diurnes. Pourtant, je devrais être heureux et pleinement satisfait ! Je me demande vers quelles nouvelles contrées je vais arriver à présent, déjà une foule d'idées honteuses et saugrenues attendent, tapies dans l'ombre de mes turpitudes...

Comme dans le sombre recoin de l'endroit que j'aime tant...

************************************************************************************

Rendons à Cesar ce qui lui reviens ... ce texte n'est pas de nous, mais paru  au # 10 954 sur Revebebe ... Que son auteur nous pardonne l'emprunt, et qu'il en soit ici remercié

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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