Jeudi 30 juin
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Une autre, de mes préférées ... (tjrs issue de Revebebe - cf liens)
A vous de me dire ce que vous en pensez !
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Coup de Folie 8744
Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain, les yeux
verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis mariée depuis 7ans et suis
toujours restée fidèle.
Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise
spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée pour une semaine à
Paris, à l'occasion du salon de l'emballage. En marge de la manifestation, et
parce que l'entreprise n'avait fait une grande année, des réunions de
stratégies était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial, nous a
fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les
supposées faiblesses...
De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de
Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j'ai accepté
de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au
dessert, j'avais un peu chaud au visage et la tête embuée.
En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était
22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme
prévu.
Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que je
devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander
une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication,
mais sans doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».
Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant
que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre,
j'ai laissé la porte entrouverte, puis j'ai déposé ma veste sur une chaise.
J'ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai
raconté ma journée à mon mari Benjamin.
Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque
surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié qu'il devait venir.
Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait
signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je
ne voulais pas que mon mari sache que quelqu'un était dans ma chambre. A coté
du bureau, ma valise était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans.
Puis, en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles. Il a
commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J'étais
furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon
mari, et Jérôme a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de
nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le
soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J'étais à la fois énervée et morte de
honte. Du coup je n'étais plus trop à la conversation. Mon
mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais
un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m'avait usée, et
que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.
En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire à
Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Benjamin
avait visiblement très envie de discuter. J'étais partie depuis moins de 24h et
je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon
retour. J'était mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu. Au bout
d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais seule. Effrayée, je lui
ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J'étais
gênée par le fait que Jérôme était en face de moi et qu'il me regardait.
Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis s'est
allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Benjamin
combien lui et la petite me manquaient, que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur
câline, il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque
j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche. Je l'ai repoussée sans
pouvoir rien dire, mais il l'a remise aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois,
sans succès. J'ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne
s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de
Jérôme me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage
commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est relevé,
puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains il a commencé à me masser
les épaules et la
nuque. J'avais accepté son massage, mais j'essayais
d'écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.
Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé
à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter son geste, mais
mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce
n'était rien et ai laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis a
fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était
doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j'étais bien... Il a d'abord
repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément
sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai laissé faire, je l'ai
même aidé en changeant le téléphone de main pour qu'il puisse retirer
complètement mon chemisier. Puis il a dégraffé mon soutien-gorge et l'a enlevé.
Malgré cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon mari raccroche.
Etre au téléphone, "réduite au silence", me
donnait l'excuse d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori,
ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais fait connaître ses
intentions.
Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger sur
le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait courir tout en
délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant et jouant avec mon nombril.
Les caresses et, peut être un peu l'alcool, me mettaient dans un état de
relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de
mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un
90c, en poires, comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à
n'importe quel homosexuel.
Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur de
sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m'a regardé droit
dans les yeux, s'est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en
silence un petit baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue
me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les
yeux et profitais intensément de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon
mari continuait de me parler sans se douter de rien.
Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus
discrètement possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais
comme une anguille. Ses lèvres sont descendu vers mon ventre, passant sa langue
dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers.
Prise au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes
seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance
régulière.
Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement
que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était
avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j'étais seule, que notre
conversation m'avait excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme
tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari m'expliqua que lui
aussi était excité et qu'il se mettait à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est
mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes,
parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau
jusqu'à arriver à l'élastique de mon string. Il l'agrippa fermement et le tira
doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.
Au fur et à mesure, Alors que j'éprouvais un sentiment de
chaleur depuis de longues minutes, je sentais une bouffée d'air frais parcourir
mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a porté à
son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire.
Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il
venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'il et approcha mon bassin du bord
du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à
quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son
souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée
depuis 7ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à 33ans cela
faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps.
Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je
devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.
Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je
lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son
pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il
attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa
bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans
commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi.
Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le
prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai
commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses
bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses,
j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris
complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon
cur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus
que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et
devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique
que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé
court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans
l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.
Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son
sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il
s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant
avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers
son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il
avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin
au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se
servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...
Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il
voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je
lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le
message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a
retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis
retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son
pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et
s'est présenté de nouveau derrière moi.
J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller.
J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce.
J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été
aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon
mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme
variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait...
Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même
moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le
préservatif.
J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis
écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.
Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement
à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré
le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé
son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être
interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de
nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à
mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes.
Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.
Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je
lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les
positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il m'a caressé avec
son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon
cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me
dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai
répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros.
Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a
rassurée, puis convaincue.
J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé
lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la
douleur était là, une larme perlait au coin de mon il, mais il y avait autre
chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La
douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours
immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui ait commencé à bouger les fesses.
Doucement il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a
accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après 5 bonnes minutes de besogne
il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage.
Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De
son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête
en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa
main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et
ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma
nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus
fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.
Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et
sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le
sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant
le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien
suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de
Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de
l'emballage de Dusseldörf, et ce pour 10 jours...
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