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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 00:00
Bonjour,

pour ceux qui ne prendraient pas le temps d'aller visiter Revebebe, vous trouverez ci-après le texte que j'y ai posté et qui me vaut depuis, ce n'est pas le moindre des avantages, une correspondance endiablée avec une charmanate et craquante personne du nom de Solalnge ... Inconvénient : elle habite la banlieue de ... Montreal ...

Mais après tout, les limites ne sont-elles pas faites pour être dépassées !?

Bonne lecture et n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires

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Je me délecte de vos histoires, certaines probablement des fantasmes et d'autres tellement vraisemblables qu'elles en sont envoûtantes, désirables...

 

J'approche de la quarantaine, je suis marié et amoureux de ma femme, coquine à souhait quand elle sait se défaire d'un zeste d'éducation judéo-chrétienne qui, sans la rendre prude, ne lui a toutefois permis que récemment d'être vraiment à l'aise avec le sexe et le plaisir, et ce, de manière de plus en plus libérée...

Ce n'est pas d'elle dont je vais vous parler maintenant mais d'une jeune femme qui m'a bouleversé et m'a fait tromper celle que j'aime tant...

 

Il y a quelques temps, j'ai dû rester à l'improviste sur Lyon pour cause de grève des contrôleurs du ciel. Mon avion était annulé. Ayant quitté un collègue sur un salon, je me dépêchai de le rappeler pour lui signifier ma présence ce soir-là ; il m'avait dit qu'il organisait un repas sympa avec collègues et ami(e)s. Nous devions retrouver F. le soir, afin de nous rendre à l'hôtel qu'ils partageaient (???) sur Chasse, puis rejoindre les autres. Compte tenu du bazar consécutif à cette grève, j'avais réservé, avec peine, un hôtel sur Vénissieux, et la navette entre hôtels, resto, etc... promettait d'être longue et fastidieuse.

 

J'en étais à me demander ce que je foutais là quand je vis, ou plutôt distinguai, une très agréable silhouette dans la 307 qui nous avait rejoint. Conversant au téléphone avec mon pote, la demoiselle avait le langage direct et franc des femmes qui bossent dans l'industrie et qui, par conséquent, ont pris l'habitude de ne pas se faire marcher sur les pieds par les machos environnants. C., tout en roulant, m'explique qu'il connaît F. depuis longtemps, qu'ils se sont également vus en famille dernièrement, bla bla...

Arrivés à leur hôtel, la première impression se confirme... Jolie jeune femme, la trentaine, enjouée, sympa... Pendant qu'ils prennent leurs chambres, j'arrange une location au Mercure voisin, ce qui simplifiera au moins la navette hôtel en sortant du resto.

 

Les revoilà. Décidemment, F. est mimi ! Un charme fou... On se connaît à peine et déjà elle partage mon apéro, alors que C. piaffe d'impatience pour repartir vers notre point de rendez-vous. On part. Elle est assise derrière, les bras accoudés sur chacun des sièges et son visage est proche de nous... J'aime son parfum...

 

On arrive au resto, le Bureau au sud de Lyon, et là, déception : il reste trois places, deux face à face, que prennent C. et F. et une, à l'opposé, sur laquelle je m'asseois... Au milieu, cinq gusses et une femme, amie de C.. Les autres sont des clients à elle.

Galère !

Heureusement, F. m'interpelle de temps à autre, avec un très joli sourire... Et le moment vient où, à la faveur d'un changement de place, je me retrouve en face d'elle. Elle me parle d'elle, de sa famille, de sa Chartreuse... Moi, je fais de même. Ses yeux brillent, et je me dis que cela peut être dangereux...

 

Ce resto est très sympa et deux frères, bons chanteurs, font régner une super ambiance (à priori, le jeudi, avis aux Lyonnais), enchaînant tubes sur tubes. C. ne danse pas, aussi nous sommes souvent, F. et moi, seuls à danser, avec les autres qui peu à peu s'éclipsent, nous laissant seuls au milieu de nombreux autres danseurs de tous âges, mais chez qui règne une vraie bonne humeur, décontractée et classe.

 

Arrive la série de slow. J'invite F. à danser. Je peux alors la serrer dans mes bras, et je sens sous un chemisier fin, une peau que j'imagine douce, quelques petites rondeurs – charmantes - au niveau des hanches et, toujours, ce parfum qui m'enivrait dans la voiture... Je pense que l'un comme l'autre, nous avions alors envie de nous jeter l'un contre l'autre, de nous serrer et de ressentir notre envie charnelle, sexuelle. Mais il n'en a rien été, hormis peut-être lors d'étreintes un peu serrées, zouk aidant ! C. est là et je le connais à peine, quant à F., je ne sais pas exactement quelles sont leurs relations...

 

Nous repartons, tard vers les hôtels. Nous devons nous lever tôt, eux pour un salon, moi pour filer prendre mon avion à Saint-Exupéry !

Ils me déposent au Mercure. Bisous appuyés à F. et un regard... Je les vois s'éloigner.

 

Je monte dans ma chambre et ne peux résister : j'ai, en début de soirée, noté le numéro de portable de la belle sur le kit main libre de C.. Je lui envoie un petit message, pour la remercier.

 

« Merci pour cette charmante soirée... L'heure est venue et Cendrillon s'en est retournée... Quand pourrais-je la revoir, pour me perdre dans la profondeur de ses yeux ? »

 

J'écris cela pensant "profondeur de ses yeux", oui, mais aussi "de son décolleté", "rondeur de sa croupe" moulée dans un jean qui lui allait à merveille... J'ai envie d'elle...

Le portable vibre, annonçant un SMS en retour :

 

« Bonsoir beau Prince Charmant... Bonne nuit, à moins que vous ne retrouviez mon soulier de vair ? »

 

Je suis à pieds ! Comment faire ? Avec une voiture, je serais déjà en bas de son hôtel !

 

« Il me semble en avoir un, qui pourrait être de votre pointure... Mais comment vous le faire passer ? Peut-être pourriez-vous venir vous rendre compte de visu ? Sinon, bonne nuit, je le garderai par-devers moi pour une prochaine rencontre »

 

L'attente n'est pas longue !

 

« Chambre 218 ? »

 

La coquine : elle avait noté mon numéro de chambre quand je les ai quittés dans le hall !

Le message en retour n'est pas long non plus !

 

« Oui, à tout de suite... »

 

Je me prends à douter : que va-t-elle faire ? Hésiter, comme je le fais et téléphoner par exemple ? Ou bien vais-je avoir la surprise d'entendre frapper ?

Vite, j'extirpe de ma valise ma trousse de toilette et file me passer un peu d'eau et me brosser les dents.

On frappe, je suis à la salle d'eau. Je lui dis d'entrer. Je sors de la salle de bains, elle est là, assise sur le lit. Elle s'est changée et arbore un adorable petit tailleur qui me permet de découvrir de bien belles jambes, gainées de noir, terminées au pied par de magnifiques escarpins (chausseur italien ?) du plus bel effet.

Il me semble que la veste est boutonnée à même la peau. De mon coté, je suis en pantalon à pinces, gris anthracite et en chemise blanche.

L'atmosphère est lourde, chaude, comme un soir d'été avant l'orage. Cette chambre sent l'amour...

 

Je lui tends la main pour qu'elle se relève et la fais tourner pour profiter du spectacle qu'elle sait m'offrir en s'étant parée ainsi ! Alors qu'elle tourne au bout de mon bras, je repose mon autre main sur la croupe effleurée précédemment... Alors qu'elle finit son tour, ma main a pu se rendre à l'évidence : j'ai senti, sous la fine jupe, la ceinture si caractéristique d'un porte-jarretelle... Coquine, la demoiselle ! Elle a senti ma manœuvre, m'adresse un regard de chatte et son plus joli sourire... Nous n'en pouvons plus et nos visages se collent l'un à l'autre dans un baiser torride qui n'en finit pas. Nous finissons, les lèvres humides de notre ferveur, par basculer sur le lit.

Elle m'enserre les jambes des siennes et, dans la chute, sa jupe est remontée. Une de ses cuisses est repliée sur les miennes, exhibant la dentelle du bas et l'attache de la jarretelle tendue sur le haut de sa cuisse.

Quel délicieux instant... Nous continuons nos embrassades fougueuses. Elle s'emploie à ouvrir ma chemise pendant que je lui malaxe l'extérieur des cuisses et les fesses.

 

On roule sur le lit et là, elle se donne, renversée sur le dos, cuisses légèrement abandonnées. Je peux glisser ma main entre elles, remonter sur un bas, en franchir la lisière... Découvrir la douceur de la peau nue, sentir que la belle frissonne alors que la main remonte vers l'aine... J'arrive à la fourche de ses cuisses et suis surpris de ne rencontrer aucun tissu. Le string doit être mini-mini, me dis-je, avant de constater qu'en fait de string, F. a tout simplement oublié tout tissu ! Je sens une toison douce, vraisemblablement taillée avec soin, tant en longueur que dans sa forme (C'est ce que j'adore : je ne suis pas de ceux qu'un sexe imberbe fait délirer, loin de là ! J'aime qu'une belle toison, soignée, dévoile peu à peu les secrets qui s'y cachent). J'ai hâte de voir ça ! Ses lèvres sont chaudes et déjà gonflées de désir...

F. a saisi mon sexe, tendu à l'extrême dans mon pantalon fin. J'ai un caleçon qui ne cache rien de ma virilité et F. semble satisfaite d'avoir ce bâton de chair dans la main. Elle s'active sur ma braguette, ma ceinture et ce maudit bouton, avant de faire jaillir ma queue dressée devant elle...

 

Elle la prend en main, fait quelques allers-retours dans le fourreau doux de sa main et joue avec la petite goutte de sperme translucide qui perle sur le gland. Elle me dit d'une voix douce :

 

- J'adore ça !

 

Avant de plonger sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Elle suce divinement bien (J'en étais sûr, depuis longtemps déjà !), alternant longues succions et coups de langue. Elle joue avec mes couilles aussi, les prenant dans la main, les griffant de ses ongles... Elle est ainsi à genoux en travers de moi et j'ai pu faire remonter sa jupe sur ses hanches.

Elle m'exhibe son magnifique cul strié par les jarretelles noires qui tendent ses bas Cette image est reflétée par la glace qui est sur le mur et elle est tellement abandonnée que ses fesses sont très légèrement écartées, laissant apparaître une délicieuse rosette (On est à Lyon !). Moi qui adore les feuilles de rose, je m'en délecte d'avance !

 

Je masse ses fesses, ses seins aussi, qui jaillissent d'un balconnet ajusté (Elle a quitté prestement sa veste de tailleur, ne voulant pas la tacher de sperme quand elle s'est jetée sur moi pour m'emboucher) et la fais pivoter. Un de ses genoux m'enjambe et nous nous retrouvons en 69. Elle a des jambes magnifiques et j'aime à faire crisser les bas sous mes caresses.

Je lui bouffe littéralement la chatte, en écartant ses lèvres pour y plonger ma langue dardée. Je titille son petit bouton d'amour qui a jailli de son capuchon, tantôt avec mes doigts trempés de sa mouille, tantôt avec ma langue ou la pointe de mon nez. Je passe ma langue, inquisitrice, de son mont de Vénus au périnée, en venant titiller son anus. La belle me pompe de plus belle, tout en poussant de petits gémissements quand ma langue vient humidifier sa raie et la jolie corolle, qui se contracte parfois à quelques centimètres de mes yeux. Je darde mon pouce dans sa chatte trempée et, avec le plat, entreprend de lui masser le pourtour de l'anus... Un « Hohhh, c'est boooon » me laisse à penser que F. est aussi très anale...

Me sentant venir et ne voulant pas m'arrêter aussi vite, je lui demande de ralentir sa cadence... Elle comprend et me dit :

 

- Viens, baise-moi, j'ai envie de ta queue dans mon ventre...

 

Elle se couche sur le dos.

Je lui fais face, la surplombant. Elle est belle, avec de beaux seins qui magnifient son buste, une petite toison effectivement taillée avec soin en un triangle parfait. Je m'approche et glisse ma queue entre ses seins, qu'elle saisit immédiatement pour les refermer sur ce sexe qui va et qui vient à quelques centimètres de sa gorge. Elle malaxe ses seins, titille ses pointes qui sont turgescentes. Elle voudrait que je vienne :

 

- Gicle sur mes seins, sur mon visage... J'ai envie de lécher ton sperme, de l'étaler sur mon ventre...

 

Nous ne sommes plus de deux bêtes assoiffées de sexe et du plaisir qu'il procure...

 

Je me glisse vers le bas, venant effleurer son mont de Vénus de mon sexe. Je caresse son sexe avec le mien. Elle saisit mon chibre pour se caresser le clitoris avec mon gland. Elle gémit... Je suis aux anges ! Que c'est beau, une femme qui se donne du plaisir !

Et puis, un peu brutale, elle dirige ce sexe vers sa grotte et s'y empale vigoureusement, d'un fort mouvement du bassin.

Je la besogne et nous prenons tous les deux beaucoup de plaisir. Je lui demande si elle aime la levrette. Elle me dit que oui et me demande si j'ai envie...

 

Elle se retourne, la tête dans l'oreiller, les fesses tendues vers moi. J'ai, une fois encore, une vue magnifique sur son cul qui, cette fois, est humide de ses secrétions... La peau est luisante, recouverte de mouille... Je ne peux résister et, empoignant les deux hanches, je plonge mon visage. Cette fois, je lui bouffe le cul. Tendrement d'abord, puis vigoureusement, je lui humidifie le pourtour de l'anus avec ma langue, je la darde et ne tarde pas à sentir le sphincter se relâcher. Ma belle gémit de plus belle et maintenant ma langue fait des allers-retours de quelques millimètres au sein même de ce joli cul, en assouplissant sa circonférence. Je me délecte à l'idée que je vais enculer ma partenaire. Remplaçant ma langue par mon pouce, je continue à assouplir le pourtour de l'anis puis j'essaie un doigt...

Quelle n'est pas ma surprise de sentir F. se contracter, brusquement ! Elle me dit :

 

- Vas-y doucement, c'est la première fois...

 

Je suis touché par cet aveu, par cette virginité à laquelle il y avait longtemps que je n'avais pas été confronté... Aussi je lui fais répéter !

Elle m'explique :

 

- J'ai déjà essayé, avec mon mari, mais chaque fois, cela m'a fait mal, alors je n'ai plus cédé... Mais cette fois, c'est différent, je te sens plus doux et plus attentionné...

 

Elle me pose des questions sur mes autres partenaires. Tout en continuant à lui masser l'anus et, cette fois-ci en réussissant à lui glisser l'index, je lui parle de ma femme, qui a découvert, après beaucoup de réticences, le plaisir anal, de la douceur avec laquelle cette relation doit être menée, de la volonté des deux partenaires, dans une recherche de vrai plaisir et non pas simplement pour satisfaire l'autre...

Elle me dit :

 

- Je veux essayer, avec toi...

 

Quel honneur, mon orgueil de mâle en est flatté, mais quelle responsabilité aussi...

Je m'accroupis à nouveau devant elle pour bien l'humidifier de ma langue et de ma salive et puis reviens doucement frotter mon gland contre son sexe, l'humidifiant entre ses lèvres, pour le faire remonter en plusieurs va-et-vient sur sa raie. Je marque d'un appui plus prononcé chaque passage sur l'anus. F. gémit doucement. Je remarque, à deux ou trois légères griffures sur mes couilles, qu'elle a glissé une main entre ses cuisses et qu'elle est en train de se masturber avec frénésie. J'adore...

Je m'avance sur les genoux, derrière elle et viens effectuer quelques va-et-vient dans la chatte trempée. J'approche mon gland de sa rondelle... Coquine et, vraisemblablement, un peu peureuse, c'est de sa main enserrant mon sexe qu'elle va imprimer la pression sur son muscle...

Je le sens se relâcher, je sens que son cul va bientôt s'ouvrir à mon gland... Ca y est, j'ai le gland fiché dans son anus... Nous ne bougeons plus... Je lui demande si je lui fais mal. Elle me dit :

 

- Ca tire, mais c'est bon aussi !

 

Je lui demande si elle veut que je me retire... Sa réponse fuse :

 

- Non, j'ai envie de te sentir, je sens que l'appréhension passée, ça va être bon... Apprends-moi !

 

Alors, doucement, je reprends ma poussée. Mon sexe s'enfonce lentement dans son fourreau. Elle a tourné la tête vers moi et se mord la lèvre supérieure... L'image est torride.

Quand je suis enfoncé à fond, je lui caresse le dos, remontant jusqu'à la nuque et lui demande comment ça va :

 

- Huuum, bien... me répond-elle.

- Veux-tu que je continue ?

- Oui, vas-y bourre-moi, bourre-moi bien, fais-moi jouir du cul...

 

Ces mots, cet encouragement, me font la reprendre par les hanches et entamer lentement, mais bientôt puissamment, un aller-retour contre son cul... A la fin, nous ne sommes que deux bêtes en rut et la chambre est ponctuée de nos râles et des claquements que font mes cuisses sur sa croupe...

Elle gémit de plus en fort, des « Ouiiii, aaaahhh, ouiiiii... Ohhh c'est boooon ».

F. est une femelle en chaleur qui se lâche, oubliant mari et enfants, toute à son plaisir...

Elle me dit :

 

- J'aime tes couilles qui battent contre ma chatte...

 

Et effectivement, la main qui était en train de la caresser vient les emprisonner pour les frotter contre sa vulve...

 

Bientôt, c'est dans un ultime râle qu'elle s'écroule sous moi, les jambes lâchant et poussant un cri « Aaaahhhh ». Je la suis, ne voulant pas sortir de cette emprise si douce et, après deux ou trois va-et-vient, me libère aussi dans son anus... Elle me dit :

 

- C'est bon, je sens les jets de foutre chaud dans mon cul, ohhhh je sens battre ta belle queue au fond de moi !

 

Nous nous embrassons, elle se retourne... Son sphincter, en se refermant, fait entendre le petit bruit caractéristique qui gène toutes celles qui découvrent ce plaisir... Elle est comme une chatte dans mes bras, pleurant et riant en même temps.

 

- Merci de m'avoir faite jouir ainsi, de m'avoir fait découvrir combien c'est bon par-là aussi...

 

Je lui dis qu'elle pourra ainsi s'offrir à son mari sans plus de craintes... Elle n'en est pas sûre, doutant de la nécessaire tendresse que celui-ci mettrait aux préliminaires...

 

C'est alors qu'on écoute des coups dans la paroi et une voix de femme nous interpelle :

 

- Voilà, maintenant que vous avez bien pris votre pied, on pourrait peut être dormir !?

 

Nous éclatons de rire, et lui souhaitons bonne nuit, la remerciant de sa compréhension... Il est près de 4:00 du matin !

 

(Très vite, mais il était déjà trop tard, je me suis reproché d'avoir manqué d'à-propos... Nul doute que cette femme avait été « chauffée à blanc », peut être même s'était-elle masturbée en nous entendant... J'aurais dû lui proposer de nous rejoindre... Après tout, qui ne demande rien n'a rien !)

 

Après un câlin réparateur et une douche que nous essayons de prendre le plus discrètement possible, F. doit repartir... Non sans m'avoir resucé comme une reine, à genoux devant la douche, après m'avoir vigoureusement nettoyé la verge avec des gestes qui ressemblaient plus à une branlette, pour me faire reprendre forme. Elle fait vite, et je n'atteins pas le point de non-retour... Elle se relève et me dit :

 

- J'en garde pour la prochaine fois...

 

Nous ne savons si et quand nous nous reverrons.

 

Le plus cocasse est qu'elle est partie en m'empruntant un slip, craignant que quelques écoulements malheureux ne viennent tacher la jupe de son tailleur (D'habitude les hommes sont friands de récupérer culotte ou string de Madame. Là c'est le contraire qui s'est produit...)

 

Quelques heures après, je prenais l'avion et rentrais. F. était sur le salon, un peu « dans les nuages », m'a-t-elle dit, en ayant « un peu mal au cul » aussi, m'a-t-elle avoué de sa plus jolie voix. Ce terme cru dans sa bouche, en-dehors du contexte de nos ébats de la nuit, m'a fait rebander instantanément !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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