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Ce soir là, nous recevions Yannick, un ami de longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé que de coutume.
Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine. Celui de mon épouse étant plus qu' avantageux (95D), je le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, C. se mit à rougir, gênée. Yannick, répliqua qu'elle ne devait surtout pas en avoir honte et qu'il m'enviait de pouvoir faire l'amour à une femme avec d'aussi jolies seins.
A cet instant, étant placé juste à coté d'elle, je déposais un baiser dans son cou. L'alcool aidant et ayant ma petite idée derrière la tête, je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier, ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face d'elle. Très excité par la situation, je continuai mes caresses et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant ce spectacle, Yannick n'en croyait pas ses yeux et ne savait trop quoi faire.
Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d'habitude très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter devant un autre homme. Les petits soupirs qu'elle poussait prouvaient d'ailleurs le désir qui montait en elle. Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et en peu de temps je libérais sa poitrine devant les yeux de Yannick, ravi du spectacle et commençant à se douter de la fin de la soirée que j'envisageais. La respiration de C.. s'était faite haletante et ses tétons pointaient comme jamais : Je me mis à les sucer à tour de rôle.
Je sentais Yannick partagé entre la gêne et l'excitation et je lançais "Ce serait dommage d'avoir deux bouches et deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ?".
La réponse de mon épouse me stupéfia : " Et surtout deux bonnes queues."
Je fis alors lever C. et la conduisit vers le canapé en faisant signe à Yannick de nous rejoindre. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs. Yannick s'en donnait à coeur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons. De ma main libre, je commençais à lui caresser l'intérieur des cuisses tout en soulevant sa jupe. Sa culotte en dentelle était déjà humide et en l'écartant, je découvrais une chatte toute poisseuse d'excitation dans laquelle j'introduisis deux doigts.
Comme si c'étais le signal du départ, elle commença à masser nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant plus largement les cuisses. Yannick s'agenouilla alors devant elle, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement, ne lui laissant que ses collants et escarpins vernis.
« Faites moi jouir » nous dit alors C., d'une voix tellement excitée que j'eu du mal à la reconnaître.
Ne se le faisant pas dire deux fois, Yannick enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses seins tout en l'embrassant dans le cou. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin que Yannick puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Je remarquais qu'il en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou. «Montre-lui ton cul» lui ordonnais-je alors, tout en sortant ma queue de mon pantalon.
Yannick m'avait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de l'admirer dans cette posture. Se mettant à quatre pattes et se cambrant au maximum, C. présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans l'anus. Dans le même temps, je me glissais sous mon épouse, en position de 69, et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus d'amour me dégoulinait littéralement dans la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment. Jamais elle ne m'avait si bien sucé, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.
Ma queue fut bientôt rejointe par celle de Yannick qui s'était enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland violacé par le désir. Mon épouse se mit alors à nous sucer à tour de rôle puis se cantonna à la bite de Yannick, me faisant ainsi comprendre qu'il serait peut être temps de me servir de la mienne. Je me plaçais donc derrière elle et commençais à l'enfiler lentement, faisant pénétrer ma verge centimètre après centimètre.
Alors qu'une demi-heure auparavant nous discutions autour d'un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus, en train de faire tous l'amour sur le canapé, les gros seins de ma femme se balançant au rythme soutenu de mes coups.
Jamais je n'avais connu son sexe aussi trempé. J'avais l'impression d'enfiler une fontaine et mon sexe en ressortait tout brillant de mouille. A chacun de mes va et vient, un bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de mes couilles claquants contre ses fesses.
C. se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos. Aussitôt, elle vint s'empaler sur ma queue tout en continuant à sucer la verge de Yannick. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que je m'empressais de peloter. Placé comme je l'étais, je ne pouvais pas en rater une miette et je voyais distinctement le sexe de mon ami Yannick aller et venir dans la bouche de ma femme. La voir se conduire comme la dernière des salopes m'excitait énormément et je devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.
Instinctivement, je me mis à lui caresser le trou du cul qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de Yannick. En effet, c'est sans grand effort que je put faire pénétrer un doigt, puis un deuxième, encouragé par C. qui me demandait de l'élargir en des termes peu raffinés et que je n'avais pas l'habitude d'entendre de sa bouche. Soudain, entre deux gémissements de plaisir, C. s'exclama « Je vous veux tous les deux en même temps, prenez-moi par les deux trous ».
Comprenant son désir, Yannick, vint présenter son sexe à l'entrée de son anus déjà dilaté. Lorsqu'il la pénétra, sans difficultés, je sentis distinctement sa queue aller et venir à travers les parois de son vagin. C. n'était plus qu'un objet sexuel entre nos mains, et nous la remplissions ainsi alternativement à tour de rôle. Elle était en nage, déchaînée. Prise en sandwich, pilonnée en rythme par nos queues, elle eut deux orgasmes successifs.
Brusquement, Yannick se retira, se leva et vint présenter son sexe devant la bouche de C... A ma grande surprise, elle entreprit immédiatement de sucer ce sexe qui sortait pourtant à peine de son cul. Très excité par ce que je voyais, je laissais tomber sa chatte et pris la place de mon ami afin de l'enculer à mon tour. Son anus ressemblait à un cratère béant et je n'eu aucun mal à m'y enfoncer jusqu'à la garde. Yannick se plaça alors sous elle et se mit à lui bouffer la chatte pendant que continuais mon va-et-vient dans le cul de ma femme. C'est à ce moment là qu'elle eut son troisième et dernier orgasme.
En quelques secondes, Yannick jouit à son tour et déversa une giclée de sperme dans la bouche de C. qui en recracha une partie qui dégoulina sur le canapé. Quant à mon tour je dis que j'allais venir, elle me dit « Viens, je veux boire ton jus ».
Ce n'était plus ma femme que j'avais en face de moi, c'était une belle salope, avide de sexe et qui en redemandait. Je lui enfilais donc ma verge dans la bouche sans ménagement et au moment de jouir, je lui maintins la tête pour qu'elle n'en recrache pas une goutte. « Avale, salope...ma petite salope à moi », dis-je en balançant mon foutre au fond de sa gorge.
Jamais je n'aurai osé me conduire de la sorte avec elle avant ce soir là mais il était évident qu'elle prenait un grand plaisir à se faire ainsi avilir par deux hommes en même temps. De plus, j'avoue que ce changement qui s'opérait chez elle n'était pas pour me déplaire, me dévoilant des horizons nouveaux.
Elle qui avait toujours refusé de participer à un trio, pourtant mon plus grand fantasme, venait d'être particulièrement gâtée pour une première. Son sourire encore tout barbouillé de sperme était pour moi la plus belle des récompenses ainsi que la promesse de futurs alléchants.
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