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Libertins Angers

Jeudi 14 février 4 14 /02 /Fév 02:40
Quel plaisir, partagé avec C., que de lire de belles BD, au scenario soigné et aux dessins suggestifs ...

Nous decouvrons cet extrait de deux BD que vraisemblablement nous nous procurerons. Elle sont signées Erich Von Götha (Robin Ray, dit)


Curiosités perverses de Sophie
Londres, 1958. Sophie, jeune étudiante très british, se voit remettre par un mystérieux individu un ouvrage intitulé "Album des inconvenances : les 10 commandements".
La première page ordonne : "De semence, te nourriras" et Sophie, saisie d'une folie subite, se rend dans les toilettes pour hommes afin d’obéir...



Quand à Twenty, c'est l'histoire de
Lolita de 20 ans, insatiable et brûlante, qui se remémore son apprentissage de la vie.
Filmée à son insu, livrée aux mains de débauchés assoiffés de cul, esclave de membres ardents du Club des Pervers, Twenty est propulsée star du porno...


Et vous, qu'en pensez-vous ?
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Jeudi 14 février 4 14 /02 /Fév 00:29
Une video qui nous fait nous évader sans perdre notre esprit coquin ...





En espérant qu'elle vous ai plu aussi !
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 14:15
Rappelez-vous, dans un précédent message, je vous parlais de cette aventure naissante avec Tony, jeune homme recontré à l’improvite … vous avez été nombreux à demander, voire exiger la suite … certains avec des photos … vos vœux seront exaucés

Comme promis, et avant le w-end propice à de belles coquineries, voilà la suite :


 

… Nous continuâmes sur Angers.

 

Un long silence s’instaura, mais de temps à autre, nous échangions des regards lourds de sous-entendu, très doux, un peu rieurs …le charme continuait à opérer … ce Tony était vraiment craquant !

Alors que nous avions repris l’autoroute et que son billard anthracite se déroulait devant nous il m’intima soudain :

- Donne moi ta culotte !

Sa voix ne souffrait aucun refus … ce petit c.. me soufflait ! Quelle audace !

Je le regardais, interloquée !

- Mais ! Tu es fou ! D’abord je ne peux pas, et puis qui te dit que je vais t’obéir !?

- Ce ne sera pas facile, certe … mais tu vas me la donner car comme pour moi, je suis sur que cela t’excite … et il laissa planer la fin de sa phrase

Le pire est qu’il avait raison ! Je décidais de moi aussi jouer avec lui et plantait rapidement mon regard dans le sien

- Soit ! je ne te promets rien mais je veux bien essayer

 

Seul son sourire, enjôleur et qui faisait remonter ses pommettes, et le brillant de ses yeux me répondirent … ce petit S…d me faisait mouiller ! Je ne me reconnaissais plus … Je pensais à F … il aurait été bluffé de la rapide conversion de sa petite femme qui montrait tant de réticence à ce fantasme, faite d’abord d’appréhension face à cette rencontre de tiers … Nous en avions souvent parlé, et il m’avait aidé à démystifier …et là, devant cette opportunité qui s’était déroulée finalement assez naturellement, je craquais … Que devait penser ce jeune homme … je me comportais vraiment comme une femme facile … oh, et puis zut !

 

Je tentais, par des déhanchements successifs, d’une fesse sur l’autre, de faire glisser mon tanga … pas facile déjà en tant que passagère (nous pratiquons parfois avec F, trop rarement à son gout … enfants oblige), mais là franchement mission impossible en conduisant, limite dangereux ! Je me retrouvais dans une situation certainement très érotique pour mon jeune passager, mais inextricable, le tanga roulé à mis cuisse, coiffant les jarretelles et la limite des bas mais ne me voyait pas aller plus loin, me baisser pour le passer sur mes chevilles, aussi je décidais de  warning allumés, je m’y garais et fini mon petit manège. Je tendis l’objet du délit à Tony avant de reprendre la route. feindre un arrêt d’urgence sur un refuge d’autoroute …

 

Il s’en délecta, gardant l’étoffe roulée en boule dans son poing, en laissant paraitre un peu qu’il passait comme un pinceau de maquillage sur son visage, le laissant souvent sous son nez … c’était animal, assez charnel …

L’expérience n’attend pas le nombre des années me dis-je … il y avait vraiment du coquin chez ce charmant jeune homme … puis, toujours sans un mot, il déplia le triangle et vins placer son nez, humant fortement à la place de mon pubis … Je le voyais brillant … il y passa même sa langue, me glissant enfin :

 

- Ah … je retrouve ton gout ! Que c’est bon l’odeur et le gout d’une femme BCBG !

 

Je lui souris en retour, et nous poursuivîmes la route … nous étions déjà dans la ZI aux abords d’Angers … il gardait mon tanga comme un trophée.

 

Je lui demandais de me guider plus précisément quand nous arrivâmes dans ce qu’il m’avait dit être son quartier, ce qu’il fit bien volontiers J

- Nous sommes à 2 minutes de chez moi  me dit Tony, prend la prochaine à droite, et je vais te faire visiter mon appartement.


- Non Tony ! il faut que je rentre maintenant, mon mari va s’inquiéter.


Je disais non, mais savait déjà qu’intérieurement, je le souhaitais entreprenant … nous étions habitués, F et moi à de fréquents déplacements où nous ne savions rarement quand exactement nous rentrions. Cette fois ne dérogerait pas à la règle.

 

En guise de réponse, Tony replaça sa main sur ma cuisse remontant rapidement le cours de mes bas afin de reprendre sa dernière position avant notre arrêt campagnard. De nouveau, j’avais un pan de jupe troussé, ma cuisse, mes bas, la bande laiteuse de ma jambe mis à nus. Son doigt très vite repris possession de mon antre maintenant libre de toute entrave et recommença à me fouiller le sexe avec dextérité. Je ne pus protester tellement le bonheur était intense.

Je me garais, et lui dis que je voulais monter seule, afin de ne rien risquer, du genre rencontre fortuite avec une personne connue. Il eu un temps d’arrêt ! Je suis sur qu’il devait penser que je ne viendrais pas .. Il me supplia presque 

 

- Tu viens, hein ? Tu ne me laisse pas seul, C …. J’ai besoin de toi !

 

Seul mon sourire lui répondit, mais il valait assentiment …

 

Il m’indiqua comment arriver à l’appartement. Une fois sur son palier, je pris une pleine inspiration. J’hésitais encore !

De nouveau, je franchissais une étape … d’une simple aventure, je me retrouvais sur le palier et j’allais franchir la porte de l’appartement d’un homme, troublé par lui ; Qu’allait-il arriver ? Il ne fallait pas être bien devin pour savoir que j’allais très vraisemblablement me donner à lui ! Il dut sentir mon hésitation en m’épiant derrière l’œilleton, ouvrit et me prit délicatement par la main pour me faire rentrer chez lui. Après un rapide tour du propriétaire (façon de dire !), petite cuisine, salon où il avait mis de la musique, un couloir qui s’ouvrait sur deux portes (vraisemblablement sdb et chambre), je décidais toutefois de reprendre l’initiative.

- Laisse-moi faire et je l’entrainais dans ce couloir


- OK ma beauté, surprend moi, répondit Tony

J’avais vu juste, et ouvrit la première la porte qui donnait sur la chambre. Une vraie chambre dede Coca vide au pied du lit, des fringues partout … il s’en excusa, et je lui dis que ce n’était rien et que j’aimais la très belle affiche Aubade qui trônait au dessus du lit ! Cela se confirmait, il avait du gout … jeune célibataire, le lit en vrac, une bouteille de coca trainant au pied du lit

 

Je le laissais pour aller tirer les rideaux et abaisser presque entièrement les volets … ainsi, le soleil tombant faisait une douce lumière dans cette chambre.

Pendant mes préparatifs, il avait refait  le lit, et s’était allongé sur la couette en ayant retiré sa chemise ; son torse me plaisait, légèrement velu, les pectoraux marqués … beau jeune homme ! Il avait gardé son jean qui ne cachait pas la protubérance qui l’ornait en son centre …

 

Je m’aperçus que j’adorais avoir ce bel éphèbe pour moi seule, à ma merci.

Je lui faisais face et décidais alors de lui faire un strip. Il me regarda me déshabiller. Une fois débarrassée de mon tailleur, veste puis jupette, je ne gardais  pour seul vêtement que mon soutien gorge et mes portes- jarretelles. Mon tanga était en sa possession depuis tout à l’heure !

Je posais alors langoureusement un bas (vous voyez, le film « le Lauréat », Mrs Robinson …) et lui attachait les bras au montant du lit.

Il parut surpris mais se laissa faire. Il était alors à ma merci. Je lui baissais son pantalon, pour confirmer qu’il avait retrouvé toute sa vigueur.

Son sexe jaillit du boxer tel un personnage de Guignol, tendu, raide et brillant sur le gland. Il avait eu la présence d’esprit de laisser quelques préservatifs sur la couette … j’en pris un (je ne sais pas si j’y aurais pensé dans le feu de l’action et pour cette première fois !) et lui déroulais sur le mat qu’il m’exhibait fièrement … Je me penchais et lui fit deux/trois aller –retour avec ma bouche … mais beuurk, je n’aimais pas ce préservatif.

 

Aussi, après que j’ai que roulé son jean sur ces cuisses et écarté son boxer, je vins sur lui. Il me le fallait ; J’avais besoin de lui, j’avais envie de lui, de ce jeune home, de cette queue dressée qui me narguait. Je sentais des fourmillements dans mon bas ventre, je me sentais couler … c’est comme si je brulais d’un feu intérieur, et je ne voulais qu’une chose : l’éteindre

Je le chevauchais, et avec ma main dirigea son sexe en moi. Il me pénétra, moi au-dessus et lui en dessous. Je le baisais, comme cela sans autre préliminaires moi qui d’habitude en suis friande,  le regardant à ma merci, mes seins lourds ballottant au-dessus de son visage. Il ne pouvait s’en saisir, et j’adorais son air de désir ; je quittais mon SG et me baissant je les offris alternativement à sa bouche avide.  De temps à autre,  je venais l’embrasser, il plaçait sa tête entre mes seins me suçant les tétons.

- Ca va être à ton tour maintenant ma belle, d être à moi


- Tu ne peux rien faire ! Tu es à ma merci commentais-je tout en continuant de le baiser

Cependant il réussi à défaire ses liens (je le vis, mais bien loin de l’en empêcher, je le laissais faire. Un peu gauche au debut, tandis qu’il n’avait qu’une main, il réussit toutefois à se libérer la deuxième. A ce moment, prenant appui sur ses coudes et se relevant, il m’éjecta d’un coup de bassin vigoureux, me rattrapa des ses mains posées sur mes hanches, et me retournas ;

 

- Place-toi à 4 pattes ! Je veux voir ta croupe s’offrir à moi

 

J’obéis, étant passé en quelques secondes de dominant à dominée. Avec mon bas, il m’attacha les poignets ensemble dans le dos. Il se plaça derrière moi et plongea son visage entre mes fesses, passant sa langue entre mes fesses qu’il remontait de mon sexe jusqu'à mon petit trou intime.

- Je vais te sodomiser C., tu vas sentir mon sexe rentrer dans ton anus et enfin je jouirai sur tes fesses, tu veux ?

 

Je le savais depuis que j’avais croisé son regard, un brin pervers et lubrique … j’avais alors repensé aux fantasmes d’adolescent et jeune homme qui avaient peuplés l’esprit de F, mon mari, et qu’il m’avait avoué pour expliquer son attirance pour les femmes montrant une certaine maturité. Consciemment ou inconsciemment, je devais penser à F. qui m’avait avoué avoir fantasmé, s’être caressée en pensant à de belles femmes qui alors avaient l’âge que j’atteins maintenant … il m’avait dit qu’il rêvait en se touchant de leur faire subir les pires outrages, quasi impensables pour les femmes de bonne famille qu’elles représentaient (j’en connais quelques unes entretemps ! et ma foi, il est difficile de ses les imaginer en passionaria mais qui sait ! peut être se dit-on la même chose de moi qui suit en train de me donner à un bel inconnu … et vais peut être lui offrir mon intimité la plus réservée ! mais je repensais à nos discussions avec F … il m’étonnait toujours, en particulier quand il m’avait donné carte blanche me demandant toutefois de lui réserver mon cul … j’avais dit oui, ce jour là, ne pensant même pas un jour me donner à un autre, mais lui avait relevé cette mince evolution  … je ne repoussais plus l’idée, mais acceptait sa limite, ce qui l’avait fait sourire en me disant « Ah, tu vois, tu y viens … »

 


- Non Tony ! Je ne veux pas …

 

- Mais si ma belle, tu vas voir tu vas aimer …

 

- Non Tony, je te dis non ! Je l’ai promis … à mon mari (en disant cela, je réalisais que ce n’était pas l’argument à évoquer, qui risquait de renforcer encore son désir de franchir les interdits ;  j’avais marqué ¼ de sec d’hésitation mais la fin de la phrase avait été dite)

 

- Voyez moi ça, elle a promis à son mari !!! Promis quoi ? Que t’allais te taper un petit jeune ?

 

- Non, Tony … tu ne peux pas comprendre … Rien ne prédestinait à cette rencontre, pas plus que t’ayant rencontré, rien ne disait que j’aurais autant de plaisir à ce que l’on vit ensemble …

 

- Et bien alors ?? Vraiment, il ne comprenait pas

 

- Tony, je te le demande … Tu peux faire de moi ce que tu veux, mais si tu veux qu’on se revoie, respecte moi ! (je sais, les deux choses semblaient contradictoires mais je me rappelle ces mots comme hier)

 

- Mais je suis sur que tu aimeras …

 

- …

 

- Hein, dis-moi ! Tu aimes te faire enculer …

 

Je décidais de jouer franc jeu en souhaitant qu’il reprenne ses esprits et respecte mes limites … je n’en étais pas sur, et j’étais bras attachés prise à mon propre jeu …. Aussi, il me semblait plus fin de poursuivre sans rien cacher, en lui donnant à penser que il avait plus à gagner à me respecter qu’à me violenter (je n’en avais aucune envie, et réalisais que le fantasme du viol, apparemment répandu, n’était pas le mien !!!)

 

- Oui , j’aime parfois me donner ainsi, mais c’est rare et pour l’instant réservé à celui que j’aime !

 

- …

 

Un silence s’installa … cette discussion avait rompu le charme, tant chez lui que chez moi … je m’étais laissé couler sur les genoux pour finir sur le ventre. Qu’allait-il faire de moi ?

 

Comme je l’espérais, il semblait revenir à des sentiments plus avouables.  Il ne dit mot et vint me chevaucher, s’asseyant sur mes chevilles … il entrepris un délicat massage, de mes cuisses, de mes mollets, de mes fesses, du bas de mes reins … c’était exquis, mais je pensais bien que ce petit coquin cherchait à m’amadouer, ce que réussis assez souvent F avec les mêmes subterfuges !!!

 

Je lui dis : Libère moi !

 

Et il le fit … je savais alors que je n’avais plus rien à craindre. Ce jeune homme était un gentleman, et il me respectait …

 

Je décidais alors de le récompenser à la hauteur de la compréhension montrée. Je me remis tant bien que mal à genoux (il comprit vite où je voulais en venir et soulagea mes chevilles) re-exhibant ma croupe. Je la sais « bandante » comme dit F, offerte ainsi, les fesses marbrées des attaches des bas … en fait je n'avaios plus qu'un bas, de l'autre coté mes jaretelles pendaient et rythmaient nos ébats.

 

Ne voulant pas lui laisser reprendre l’initiative, je lui intimais :

 

- Merci Tony, de m’avoir écoutée … tu as envie, j’ai envie de toi aussi …. Viens, viens me prendre, viens me baiser … mais rappelle toi les limites!


- Mais quel langage peu commun pour une femme aussi BCBG !  c’est qu’elle se laisse aller, la petite bourgeoise,
feint-il de s’offusquer, tout en se rapprochant de mon dos, la verge au garde à vous.

Il pointa son sexe entre mes cuisses et je m’en emparais passant une main sous le ventre. Je vins me caresser avec son gland, mais très vite, d’un coup de rein, il vint m’empaler ;  tout doucement il me l’enfonça jusqu’à la garde. Se saisissant de mes hanches à pleines mains, il entama un long pilonnage. Il était bon, alternant des rotations du bassin avec ses aller-retour puissants … J’aimais être prise ainsi, il me fallait bien me l’avouer … et t andis que je me faisais prendre, je pensais à F : allais-je lui dire ? ou au contraire lui cacher …

 

Tony me fit redescendre sur terre …

- T’aime ça hein ? T’aime ça, ma cochonne de sentir ma bite


- Oui, continue c’est trop bon

 

Le petit coquin entrepris de me masser l’anus avec son pouce. C’est une zone très érogène chez moi, que F m’a révélée, et je lui dis :

 

- tu te limite à des caresses, hein ?

 

- je n’ai droit qu’à cela ?

 

- D’abord,  tu n’as aucun droit … lui dis-je cassante

 

- Pardonne moi, C. ce n’est pas ce que voulais dire …

 

Il était mignon, en fait …

 

Il vint se pencher sur mon dos, et pris mes deux seins comme deux fruits dans chacune de ses mains ; Il entreprit de les malaxer avec forces, les faisant s’entre choquer entre eux. Je regardais la scène en baissant la tête. Il accéléra son pilonnement, et bientôt vint jouir très puissamment au fond de moi me laissant sentir la chaleur de son sperme au travers du préservatif et les mouvements de sa verge.

 

A ce moment, j’eu non pas un véritable orgasme tel que je le connais avec F, long, fait de vagues successives qui me font m’arc-bouter, mais comme un simulacre, très bref mais très puissant, comme un éclair qui traversa mes reins…

 

Mon regard croisa le radio-réveil … 20h28 !!! Il me fallait rentrer

 

Je me désengageais de lui, vins lui déposer un baiser sur les lèvres et lui dit

 

- Je dois y aller !

 

- Déjà

 

- Tu as vu l’heure !

 

- Ouahai, je comprends !

 

Et tandis que je me rhabillais, il ressorti mon tanga de la poche de son jean, et me dis

 

- Je le garde ! Il avait un beau sourire, il était craquant ; ça me déplaisait car c’est une parure à laquelle je tenais mais décidais tout de même de lui laisser 

 

- oK !   Il sembla lui-même surpris

 

- Tu vas repartir sans culotte !?

 

- Et comment crois tu que je suis arrivée !? Nous éclatames de rire tous les deux

 

- Oui, mais …

 

- Quoi mais …

 

-Ben ! … là tu rentres chez toi !?

 

- Oui, bien sûr

 

- Et ton mari !?

 

- Eh, c’est maintenant que tu y penses !!! s’il s’en rend compte, je lui dirais qu’il est chez toi !

 

- …

 

Et je finis de me rhabiller. Il m’attendais dans l’entrée, et me proposa quelques chose à boire (délicate attention !).

 

- Non, je dois y aller …

 

- On se revoit ? tandis que le luis faisait dejà face dans le vestibule, la main sur la porte

 

- peut être …

 

- Non, pas peut être ! Où et quand ?

 

Je posais mon index sur ses lèvres et dis

 

- Ne sois pas impatient … tout viens à point ! Je sais où tu habites maintenant

 

Et remplaçais mon index par mes lèvres pour un petit baiser posé sur sa belle bouche.

 

Je franchis la porte et sans me retourner lui lança :

 

- Bye, … et merci pour tout

 

Je dévalais l’escalier. Arrivée sur le parking, je me retournais … comme je l’imaginais, il m’attendais sur le balcon, et je le vis disctintement … humer mon tanga.



Je ne l’ai jamais revu, je n'ai jamais cherché non plus.. J’espère qu’il pourra lire cette histoire et enfin savoir tout le plaisir qu’il m’a donné.

F découvrira ce soir en rentrant quelques passages que je ne lui ai pas forcément raconté jusqu'alors ...


Espérant que ceci vous ai plu, bon w-end coquin !!!

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 14:43

Moralité : Messieurs, allez faire vos étirements ailleurs qu'aux archives ... :)
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 11:01

Je revenais d’une rencontre professionnelle à Nantes, quand une envie pressante m’obligea à stopper quelques instants sur une aire d’autoroute un peu avant Ancenis. J’avais encore 3/4 heures de route avant de retrouver la maison, et ne pouvais plus attendre. Alors que j’allais quitter la station, un jeune homme m’aborda. Il était tout à fait charmant et son air rassurant me mis en confiance.

- Excusez-moi de vous importuner, mais je suis en panne de voiture ; elle est là … me dit-il en me designant une vieille R5 garée à l’écart. Je cherche quelqu’un pour me ramener sur Angers et j’ai vu que vous étiez immatriculée 49.

Trouvant ce jeune homme touchant par son histoire, charmant aussi, je ne montrais aucune réticence contrairement à l’habitude et acceptais de le prendre dans mon véhicule afin de lui rendre ce petit service. De plus, c’était bien ma route.

Nous montâmes dans la voiture (en fait la voiture de mon mari, un monospace).

Tandis que je roulais et entrais sur la bretelle d’accélération, il entama la discussion :

- Je m’appelle Tony et vous remercie chaleureusement de ce service. Il n’est pas dans mes habitudes de faire du stop

- Moi je m’appèle  C., et il est normal de s’entre aider. Qu’est t’il arrivé à votre véhicule ?

Il me raconta que son véhicule, bien que roulant, montrait des signes inquiétants, et qu’il ne souhaitais pas prendre le risque de casser son moteur sur l'autoroute. Il préférait faire examiner la voiture par des amis bricoleurs plutôt que de faire venir un reparateur. C’est pour cela qu’il avait laissé son véhicule sur l’aire d’autoroute et reviendrait le chercher plus tard.

Nous continuâmes notre discussion, présentant chacun succinctement notre vie, et je dois avouer que le garçon était vraiment mignon, plein d’humour et de raffinement.

C’est dans ces multiples échanges, tandis que nous croisions de brefs regards, que je vit à un moment que son regard n’était non pas sur moi comme c’était l’usage, mais qu'il était alors posé sur mes cuisses. Je m’aperçus que  ma jupe était remontée à mi-cuisse laissant apparaître la bordure en dentelle de mes bas, et pour un œil aguerri, le tendu caractéristique que fait sur la fine étoffe, une attache jarretelle …. Nos regards se croisèrent enfin et je sentis instantanément mes joues rougirent.

Tony senti mon embarras et dit :

- Ne soyez pas gênée, et acceptez mes excuses pour mon regard perdu, mais vous êtes une très belle femme, et je ne connais aucun homme qui ne pourrait résister à cette vision magnifique que j’ai eu sous mes yeux un instant ! C’était un très beau compliment, qui paraissait si sincère … mais ce jeune homme, il devait avoir 23-25 ans, et moi j’approchais la quarantaine.

- Vous exagérez, mais le compliment me touche. A 39 ans, vous savez les années s’accumulent …

- Vous êtes une femme exquise, et je peux vous garantir que je décrocherais la lune, pour quelqu’un comme vous.

- ah ah … mais décrochez donc Tony, décrochez donc….

 

J’étais moi-même prise au dépourvu par ce qui se voulait une plaisanterie mais dont je réalisais qu’elle allait prêter à confusion dans l’esprit de ce beau jeune homme.

Encouragé par ma plaisanterie, Tony plaça sa main sur ma cuisse. Je me sentis immédiatement troublée : Honteuse de ne pas manifester une vive protestation, et aussi gênée du trouble que je ressentais au contact sa main sur ma cuisse.

- J’espère que vous n’êtes pas choquée me dit Tony. Si c’est le cas,  demandez moi de retirer ma main et j’obéirais immédiatement.

- Tony, vous savez, je ne suis pas habituée à ce genre de pratiques, et je dois avouer que c’est une première fois pour moi. Je ne voudrais en aucun cas que vous vous mépreniez sur moi.

Mais loin de lui demander de retirer sa main dont je ressentais maintenant la chaleur à travers mon bas, je restais le visage fixé sur la route …

Je ne savais, ou plutôt savait trop bien, ce qui allait arriver … F, mon mari m’incitait depuis quelques temps à prendre un amant … je le traitais de fou, lui disant que c’était lui mon homme, que je l’aimais et qu’il me suffisait amplement … je me rappelais exactement ces termes, maintes fois échangés … le terme suffisait le faisait bondir à chaque fois, et avec sa persuasion habituelle (il faut dire que ses arguments sont souvent très bien construits), il m’avait petit à petit convaincue, bien que je me refuse un peu à l’admettre, du bien fondé de sa réflexion … la question n’était pas tant qu’il me suffisse, comme si j’étais sa chose, mais que autour de notre Amour, nous construisions une cadre épicurien où le plaisir devait être le maitre mot … pour lui, mon plaisir passait aussi par d’autres expériences, que je conduirais seule, ou que nous découvririons à plusieurs … c’est parce qu’il m’aimait justement disait-il, qu’il voulait m’offrir ces plaisirs que peut être je ne découvrirais plus entre ses bras, car nous nous connaissions si bien, car il n’y aurait jamais cette excitation de l’interdit, car bien que jouant avec nos toys, il revait pour moi, pour nous, de plusieurs verges vigoureuses … J’en était là de ces idées qui revenaient dans mon esprit et me disait que j’allais peut être franchir une étape si ce garçon ne manquait pas de tact.

Et il faut dire que jusque là, il s’y prenait plutôt bien !


Sa main continuait à masser, à caresser ma cuisse, de bas en haut,  faisant parfois remonter un peu ma jupe. Il avait maintenant mis à nu la blancheur de ma cuisse, au dessus du bas, et ne pouvait ignorer maintenant que je portais un bel ensemble de lingerie gris. Il s’amusait maintenant avec la jarretelle qui tendait mon bas.  Un grand silence s’instaura dans la voiture ponctué juste des bruits du moteur, et des froissements de sa main sur la jupe de mon tailleur sage.

Nous passâmes le péage d’Ancenis, et bien qu’ayant envisagé de repousser la main du jeune homme et de reprendre une position un peu plus décente, j’avais décidé de rester telle que nous étions ; il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, me dis-je. Rien que de bien habituel, une femme conduisant, son compagnon ayant posé sa main sur sa cuisse … rien, si ce n’est cette différence d’age et cette expérience qui me troublait … j’eu l’impression que la péagiste compris mon trouble au sourire qu’elle m’adressa ...

Je ne disais mot. Encouragé par ce silence qui valait assentiment, et profitant du jeu de jambes nécessaire au re-demarrage du péage, à la montée des 6 vitesses, Tony repris ses caresses expertes et remonta alors intégralement ma jupe, découvrant bien au-delà des bas mes porte-jarretelles gris, et laissant apparaitre l’intimité de la fourche de mes cuisses. Le contact de sa main sur ma peau m’excitait, et j’étais dans l’incapacité de prononcer la moindre parole

Tandis que ses mains se faisaient maintenant plus fureteuses, cherchant à plonger entre mes cuisses, je feins une dernière résistance. Je fermais mes cuisses sur sa main mais en même temps, donnant le signal contraire, mon souffle se fit plus haletant. Il ne manquait rien de mon excitation naissante, et habilement  maintenait le silence rendant ce moment particulièrement envoûtant.

Très vite, je me laissais aller, et sa main trouva le chemin de mon pubis. C’est comme une décharge qui parcouru mon corps, après de terribles frissons,  quand il vint délicatement effleurer la fine barrière de mon tanga … Je sentais mon clitoris avide de caresses, mais il se contenta de l’effleurer … C’était exquis. Il me caressa mon triangle tout en me laissant conduire la voiture, dont j’avais bien évidement ralenti l’allure. Bientôt, un doigt se glissa entre ma peau et l’élastique, et vint se frayer un passage dans ma culotte, entrainant de fait sa main ; Bientôt, je sentis ses doigts glisser autour de mes lèvres, titillant mon bouton, …  , et puis il entrepris de fouiller mon intimité. Quand un doigt pénétra en moi, mon souffle se bloqua, et je pris la peine d’articuler

- Arrêtez, c’est trop dangereux, nous allons avoir un accident

- C., tu me rends absolument fou, ton corps est un appel à l’amour, gare la voiture au prochain parking et trouve un endroit tranquille ou nous ne serons pas dérangés.


Malgré mes remontrances, il maintenait son doigt dans mon sexe, qui me fouillait dans mes endroits les plus sensibles. Ce jeune homme savait faire ! il me caressait avec brio, et je me sentais me liquefier. Parfois, il mettais sa main contre son visage, humant les doigts qui venaient de me fouiller, et les glissant avec avidité dans sa bouche. Ce petit con me rendait folle, il était si coquin, et tellement craquant. J’aimais son coté un peu rebelle, fier et sûr de lui … il pointait ses yeux dans les miens aussi surement que son doigt venait de nouveau me rendre dingue.

Je quittais alors l’autoroute à St Georges, et nous primes une petite route de campagne, à gauche. Je décidais de me ranger dans un des nombreux chemins vicinaux. J’engageais la voiture dans le premier chemin, et roulait assez loin pour nous mettre hors de vue de la route.

- Arrête-toi la. ordonna Tony.

Je realisait que depuis tout à l'heure, il me tutoyait maintenant ... Une fois la voiture stoppée, il me renversa vers lui et m’embrassa avec fougue. Sa langue jouant avec la mienne. Sa main passa en dessous de mon tailleur pour attraper un de mes seins. Il découvrit ma poitrine opulente, cachée en dessous d’un soutien gorge à balconnet coordonné.

- Hum, tes seins sont magnifiques, C, tu es vraiment  une femme superbe

Sa langue continuait à fouiller ma bouche, pendant que ses mains investissaient soit ma culotte soit mon soutien gorge. J’avais l’impression d’entendre mon mari dans ses compliments, et je dois dire qu’il ne s’était pas trompé. Ce que vivait là était tout simplement délicieux …

Il me laissa bientôt, et se calant dans son siège me dit :


- Prends moi dans ta bouche


Mon regarc était maintenant tombé sur son jean, que je voyait déformé par une érection prometeuse … pourtant, allais-je franchir le pas ?


- Nous sommes fous, Tony je ne te connais pas, et je ne peux pas tromper mon mari


- Tu crois au coup de foudre, ? J’en ai un envers toi. Quand je t’ai vue, tu m’as eblouie, et ce que je viens de vivre est meilleur que mes rèves les plus fous ? J’ai trop envie de toi maintenant, vas y ! prends-moi dans ta bouche

Il s’était débraguetté et avait  sorti son sexe. Tandis que je réfléchissais l’espace d’une seconde, je regardais cette belle verge, son gland turgescent brillant de quelques gouttes d’excitation. Il me faisait envie et après tout, ce n’était pas si grave … Je vivais là un fantasme initié par F et que je partageais maintenant … et puis, ce garçon savait parler aux femmes …. Je buvais ces mots et me perdais dans son regard perçant. D’une main douce et respectueuse passée derrière ma nuque, il m‘incitât à me courber et me dirigea la tête vers son entre jambe. Je pense que si j’avais émis la moindre réticence, il m’aurait respectée mais j’étais avec lui. Son sexe pointait vers ma bouche. Je commençais à embrasser son membre, délicatement, pendant qu’il me maintenait par les cheveux. Il était propre, sentait bon  … oufff ! Cela avait été une de mes plus vives réticences initiales … Son sexe s’engouffra assez vite entièrement dans ma bouche, tant par l’avancée de son bassin, que par ma volonte de lui prodiguer une belle caresse …. je me mis à le sucer intégralement, et entrepris de venir lui caresser les couilles et de titiller la zone entre la base du sexe et l’anus. C’est une caresse que mon mari m’a revelée.. A ses gémissements, je sus que ma caresse faisait un grand effe, et je n’en était pas peu fière !

- Allez continue de me sucer, vas-y comme avec une glace : passe ta langue de bas en haut, oh oui tu lèches si bien

Je continuais et lui obéissais passant ma langue autour de son gland, lui léchant la hampe, de bas en haut puis de haut en bas, lui mordillant le gland. Je le pompais aussi parfois, comme je l’avais découvert avec F, me servant de ma bouche fermée hermétiquement sur le gland pour aspirer et créer une sorte de vide autour de son gland… Ma langue venait jouer avec le frein, là où c’est si sensible. Mon mari m’a toujours accompagné de ses commentaires, et j’ai appris avec lui, ce qui semblait lui donner le plus de plaisir. Régulièrement, pous decouvrons de nouvelles caresses, et il me félicite de ma façon de faire l’Amour … mais je n’en avais d’autre confirmation … c’était le moment d’en avoir le cœur net, et je dois dire que ce n’est pas sans une certaine fierté que je vis l’effet procuré sur Tony …

- Ohhhh oui continue, comme ça tu vas me faire jouir ma belle, pompe-moi la bite, vas-y

Son vocabulaire avait changé, il utilisait maintenant des mots plus crus, mais là encore, cela faisait partie de notre quotidien intime avec F. et si ces mots avaient pu me choquer au début, j’avais appris à les aimer et me craignais pas de faire « la petite salope » chère à mon époux !


Je sentis assez vite monter en lui un grand frisson, qui présageait d’une libération soudaine.

Je tentais d’articuler

 

- Non ! pas dans la bouche,  ne jouis pas dans ma bouche … Je ne sais pas ce qui fut audible et compréhensible, car comme nous l’ont appris nos maman, on ne parle pas la bouche pleine !

Il était trop tard, et ce jeune coquin se soulagea dans ma bouche, me déversant son sperme au fond de la gorge, me maintenant toujours par les cheveux afin d’être sûr que j’avale tout. Je fus un peu surprise, par la quantité d’une part, et par le gout si différent de celui de mon mari … je gardais sa semence un temps dans ma bouche, et jouait avec elle la faisant circuler autour de son gland que je sentais mollir. Puis j’avalais, et entrepris de le nettoyer de petit coup de langues. Je me relevais et me ré-assis normalement

Nous laissâmes passer quelques instants qui me parurent eternité, en fait quelques dizaines de secondes,  afin de reprendre nos esprits. Je réalisais que ça y était ! J’avais ‘’trompé’’ mon mari … devrais-je le lui raconter, ou garder ceci dans mon jardin secret ? Je me disais qu’il fallait repartir, que cette première expérience était sympa mais qu’elle devait s’arrêter là … Mon compagnon semblait rêveur, parti dans les rêves procurés par sa jouissance.

 

Mais à ma grande surprise, Tony sorti de la voiture, la contourna et m’ouvrit la portière. Il me fit descendre à mon tour, et m’emmena à l’arrière, ouvrit le coffre, m’y fit asseoir et m’incitât à me coucher sur le dos. Je fus contente du plaid qui s’y trouvait, et qu’il venait maladroitement d’étendre. Je me pliais à ses désirs. Il releva à nouveau ma jupe et s’agenouilla entre mes cuisses.

- Que fais-tu Tony, il est temps de partir maintenant


- Je vais te rendre le plaisir que tu viens de me donner

Il se contenta d’écarter ma culotte découvrant ainsi mon sexe, et plongea aussitôt sans autre préliminaires sa langue profondément au plus loin de mon vagin.

Sa langue experte explorait tous les endroits de mon sexe, tandis que ses mains maintenaient mes cuisses au-dessus de mon corps bien haut afin de rendre l’accès à mon jardin secret plus lointain.

J’étais scotchée … étais-ce l’excitation de la situation, ou le brio du jeune homme, mais chaque caresse était comme une déchirure agréable qui me traversait, un coup de poignard de soie.

Il me fallu pas plus de quelques  minutes pour connaitre mon premier orgasme extra conjugal, tant la situation était excitante. Tony continua de plus belle, me laissant sans volonté tant sa langue m’avait ravagée la chatte. Avec son avant bras, il me retenait les deux jambes en l’air, tandis que son autre main et de sa bouche et langue alliées, il explorait mes recoins les plus intimes. Je compris ce qu’il voulait.

Mais, tandis que son pouce titillait mon anus, nous entendîmes le bruit d’un tracteur qui s’approchait. Très rapidement, nous rejoignirent l’habitacle, moi à moitié nue, et nous nous y rhabillâmes. Quand le tracteur nous doubla, l’agriculteur nous jeta un lourd regard … simple curiosité, ou bien s’imaginait-il trop bien ce qui se passait ?

J’étais à bout de souffle… Je fis demi-tour, et ramena la voiture sur la route. Nous continuâmes sur Angers.

 

 

… la suite ?

 

C’est vous qui le demandez si cela vous a plu ….

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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