Mercredi 29 août
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11:58
Nous nous permettons, en clin d’œil à l’auteurE et à nos amis Delphine et Manu , de vous livrer ce très beau récit …. Ce n’est pas grace à la SN.. mais nul doutes que cela nous fera PREFERER LE TRAIN !
Comme chaque matin, je prends le TER qui va sur Quimper pour aller travailler.
Aujourd'hui, je porte une robe courte et décolletée avec un petit top s’il doit faire un peu frais, et aucun sous vêtement (il m'arrive de l'oublier lol ).
Je monte dans le train, et m… ! Il est bondé ! Je m’avance dans la travée, et repère toutefois qu’il reste juste une place à côté d'une famille. La mère, le père et un ado d'environ 19 ans et leurs bagages dont une partie reste dans le couloir.
L’arrivée vers eux est un peu périlleuse avec le train qui est déjà reparti et tangue, et ces bagages dans le passage. Heureusement, le père et la mère se sont assis coté fenêtre au travers de laquelle ils regardent le paysage. Je m'assois donc, sur la place restante, dos à la marche, face à l'ado et comme d'habitude, je sors mon livre de mon sac.
Je me cale du mieux possible, mais suis obligée de relever un peu les pieds à cause des sacs.
Sans y préter attention au début, je sens la mère regarder de temps à autre son fils. Au bout de 5 minutes, elle lui demande même :
Ca va, tu as l'air " tout drôle "
Heu … Non ! repond il.
J’ai toutefois levé les yeux de mon bouquin et m'aperçoit qu'effectivement, il est tout rouge.
Je pense alors que l’émoi du jeune homme est peut être du à moi, et qu’il a du regarder mon décolleté.
Je replonge dans ma lecture, et là le jeune homme enlève son pull précipitamment pour le mettre sur ses genoux et cacher son entrejambe.
Ca commence à m'intriguer car sa mère insiste, lui demande si ça va, pourquoi il enlève son pull, elle trouve qu'il ne fait pas chaud, bla bla ....
Là, je pense comprendre que j'ai provoqué involontairement une érection à ce jeune homme, et qu’il en est tout gêné. Je me dis en souriant intérieurement que mon décolleté est plus ravageur que ce que je croyais. Cela me semble toutefois bizarre, car comme je suis assise, il n’est pas provocant. Tout à l’heure peut être, quand je me suis installée, prenant mon livre dans mon sac, mais cela fait bien 10’ – un quart d'heure maintenant. La tension devrait être retombée !
En fait, je n’y étais pas et j'ai réalisé peu après. Je pense que ce n’est pas ma poitrine qu'il regardait, mais ....mon petit abricot !
A cause des bagages, mes jambes étaient un peu surélevées et toute à ma lecture, ballotée par les mouvements du train, j’avais sans vrai désir d’exhibition légèrement écarté les cuisses. Il devait avoir une vue plongeante sur mon mont de vénus, la toison finement taillé qui l’orne et peut être même mon petit bouton et mes grandes lèvres (mais peut être pour ces détails, faisait-il trop sombre sous ma robe !?).
Bien entendu, il était hors de question pour moi de le priver de cette vision, aussi je suis restée toute la suite du trajet ainsi, sans exagérer toutefois. Je ne voulais pas que la Maman réagisse. Elle semblait un peu pimbèche et aurait pu faire une scène dont je n’avais pas besoin.
Arrivant à Quimper, les parents soucieux de leur volume de bagages ont pris les devants, faisant 1 aller-retour pour les déposer sur la plateforme. Ce grand jeune homme (un peu dadais, vraisemblablement encore puceau) n’a pas bougé, mais il s’est levé lorsque ses parents s’éloignèrent avec leur chargement.
J’ai alors levé la tête vers lui, et lui ai dit
Au Revoir
Il m’a alors bredouillé un : Au revoir Madame.
Je n’ai pu m’empêcher de le taquiner en lui glissant tout en faisant un petit clin d’œil :
Ca vous a plu ? …
Il a piqué un fard … et ne m’a pas répondu.
Voilà, j'ai fait passer je l'espère un très bon moment à ce jeune homme.
Je débute dans l'exhib’ (penchant qui ne me déplait pas et même m’excite … c’est un fantasme décliné sous de multiples variantes, que je réalise progressivement) mais là, c'était totalement involontaire … et d’autant plus agréable !
Nul doute que cette charmante voyageuse aura participé à l’éducation des sens de ce jeune homme … nous avons tous, n’est-ce pas, quelques instants comme ceci qui ont marqué notre adolescence et dont nous savons qu’ils influent aujourd’hui encore sur la façon que nous avons d’appréhender la sexualité. Espérons toutefois que la mère, décrite comme pimbèche (et le père …) aurons toutefois su donner les clés à ce « grand dadais » pour qu’il se comporte en gentleman avec les femmes, les rencontre, les découvre … plutôt que de rester cloitré dans de quelconques frustrations…
Note : l'auteur poste sous le pseudo "femme de petite vertu" ... si tu te reconnais, fais nous signe ! Merci pour cette jolie page d'érotisme coquin qui fait écho à une autre histoire dans le train, à voir ici !
Bonne lecture
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