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Libertins Angers

Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 00:00
Bonjour,

je ne peux m'empécher, ami(e)s visiteurs et lecteurs, de vous faire partager le bonheur d'avoir découvert cette histoire. J'espère que son auteur ne m'en voudra pas ...
Elle est tout simplement délicieuse et la chute (de l'histoire ! pas de reins ...  lol)  est très agréable à découvrir  ...

Bonne lecture ... Après l'Anjou, ceci donne envie de découvrir la Tourraine et ses soirées mondaines et coquines ....


    La soirée était organisée dans une belle maison bourgeoise, de style néo-classique, isolée dans une bourgade paisible située à une trentaine de kilomètres de Tours. Bref, le lieu idéal pour une partouze de bon ton pour personnes bien sous tout rapport. Nous y avions été invités, Caroline et moi, par un couple d'amis rencontrés lors de nos dernières vacances à Cap d'Adge dans une boîte échangiste. Ils étaient originaires de Tours et nous n'avions pas manqué de leur indiquer qu'il était probable que, prochainement, nos destins se croisent, dans la mesure où un déménagement en Touraine se précisait pour nous. Sitôt aménagés dans une confortable maison de banlieue, nous avions décidé rapidement de contacter les M*** afin de se revoir et de pimenter quelques-unes de nos soirées d'automne. Même si les parties à quatre peuvent être sympathiques, d'autant que nous étions dans la même tranche d'âge, celle de ceux qui approchent de la quarantaine, elles ne pouvaient nous satisfaire pleinement. Notre préférence allait vers ces soirées-partouzes où la convivialité apparaissait un peu plus présente. Ainsi les M... nous introduisirent-ils rapidement là où il faut être pour participer à ce genre de fête. Ils nous présentèrent à Cora et Steeve, les deux gentils organisateurs, et nous fîmes bonne impression. Quelques semaines plus tard, nous roulions, plan en main et mot de passe dans la tête, en direction de la charmante bâtisse où la partie allait se dérouler. J'étais parfaitement décontracté.


Caroline était particulièrement belle, ce soir. Elle portait un ensemble tailleur plutôt sobre et ajusté, des bas résille, et un petit string particulièrement original, car constitué d'un mince tissu noir agrémenté de vraies perles comme incrustées entre les fibres. Nous avions acheté ce string lors de vacances au Maroc et Caroline l'aimait beaucoup. Et, bien sûr, pas de soutien-gorge, trop long et trop fastidieux à retirer. Caroline savait que, pour ce type de soirées, il valait mieux pouvoir se déshabiller rapidement sans être embêté par du superflu compliqué.


J'avais, de mon côté, opté pour une tenue simple et décontractée, un peu sportive : chemisette blanche, pantalon de toile crème, chaussures de style tennis mais habillées, et shorty de couleur gris clair. En arrivant, nous sommes passés sous un magnifique porche en pierre avant de pénétrer dans une grande cour où une quinzaine de véhicules étaient déjà stationnés. Après avoir garé la voiture là où il se doit, nous nous sommes approchés de la porte d'entrée. Un homme, qui devait faire office de majordome, nous demanda notre nom ainsi que le précieux sésame. Il prit ensuite nos vêtements et nous invita à entrer dans la demeure.


Pour pouvoir correctement participer à une partouze, il faut déjà bien repérer les lieux. Nous avons pénétré dans un premier temps dans la pièce à droite du vestibule. C'était un vaste salon où des canapés étaient disposés d'une façon qui, dans un premier temps, apparaissait anarchique, mais qui obéissait à la règle fondamentale du « voir-vu ». Quelques couples commençaient à se bécoter çà et là, mais la soirée n'était pas encore vraiment lancée. Au bout de cette pièce, au prix d'un cheminement subtilement tracé entre les canapés, nous atteignons une nouvelle pièce qui se révèle être le bar. C'est pour beaucoup un lieu fondamental dans la mesure où une dose d'alcool non négligeable reste nécessaire pour beaucoup afin de rester « zen » en toutes circonstances (notamment quand on voit sa femme en charmante compagnie).


Trois autres pièces étaient accessibles au rez-de-chaussée, trois petits salons semblables (en plus petit) à celui que nous venions de traverser et une pièce, pourtant indiscutablement de grande taille, semblait inaccessible aux convives. Étrange. À l'étage, une douzaine de chambres étaient destinées aux envies plus personnalisées ou aux fantasmes peu propices à l'exhibition. Caroline et moi, nous avons commencé à boire chacun un bon whisky-coca en observant ce qui se passait. Nous cherchions nos amis, mais cela devenait de plus en plus difficile, car les couples arrivaient en masse. J'aperçus un moment Mme M***, mais elle était déjà en train de s'occuper d'un monsieur qui, visiblement, n'était pas son mari. Trop tard pour les formalités d'usage. Je regardais Caroline et, sans même se parler, on convînt tacitement que c'était le moment de se séparer et de partir à l'aventure. Je fis à Caroline un petit bisou dans le cou, et elle s'éloigna en se faufilant entre les groupes plus ou moins bien formés. Je décidai de mon côté de retourner prendre un petit « drink » au bar.



Mon histoire



Après avoir un ou deux petits whiskies bien tassés, je commençais à me sentir dans un état serein, préalable en général à l'ivresse. J'avais décidé, avant de consommer un peu plus, de me balader de salon en salon et d'observer les coutumes locales. Dans le premier salon, juste à côté du bar, l'ambiance était très dominant-dominé. Une jeune femme, vingt-cinq ans peut-être, était fessée par un homme athlétique pendant qu'elle suçait un autre homme. Je remarquais un homme un peu l'écart qui observait la scène et qui, visiblement, avait beaucoup de mal à retenir son envie de se caresser. Les pièces étaient suffisamment vastes pour que de petits groupes puissent « s'éclater » de façon quasi indépendante. Dans l'entrée, j'aperçus une très belle métisse qui léchait les couilles de Mr M***. Tout se passait donc bien pour lui. Entrant dans un petit salon près de l'entrée, j'aperçus ma femme qui s'occupait d'un superbe mec de type latino. Elle le suçait avec ce mélange de douceur et de détermination qui, au lit, faisait tout son charme. Caroline avait toujours eu un faible pour les sud-américains machos, elle n'avait pas raté l'occasion de combler l'un de ses plus vieux fantasmes. Je m'éclipsai rapidement. Bien qu'habitué aux partouzes, il n'est pas forcément agréable de voir sa femme se faire baiser, surtout par un hidalgo beau, jeune et sûrement bien plus performant que moi.

J'entrai dans un nouveau salon à la décoration baroque : velours rouges et meubles en bois vernis. Je m'assis sur une banquette inoccupée, observant çà et là les couples se caresser et s'embrasser. Une fille blonde vint se pelotonner à côté de moi. J'étais surpris : c'était quand même assez rare, même dans ce genre d'endroit qu'une femme aborde aussi ouvertement un inconnu. Elle portait une robe rouge très courte, qui laissait apparaître un string-ficelle de la même couleur. Mes yeux se fixèrent un moment sur son décolleté laissant apparaître une poitrine généreuse.


- Je suis une amie de Mme M***. Elle m'a beaucoup parlé de vous.


Vu que je connaissais essentiellement le derrière de notre connaissance commune, j'imaginais assez bien quel pouvait être le sujet de conversation à mon sujet.


- Comment t'appelles-tu ? dis-je, me permettant le tutoiement.

- Je m'appelle Véronique, me répondit-elle en se glissant entre mes jambes.


Elle baissa la fermeture Éclair de mon pantalon, dégagea mon sexe, puis s'agenouilla et le prit immédiatement en bouche. J'étais stupéfié par cette spontanéité, mais également pas malheureux de ne pas avoir à chercher de partenaire, vu mon début d'ébriété. Pendant que la jolie blonde me suçait la queue, j'essayais le plus possible de reprendre mes esprits pour ne pas donner une trop mauvaise impression. Interrompant un instant sa merveilleuse caresse, Véronique leva les yeux vers moi et dit, tout doucement :


- Tu aimes ?


Qui n'aimerait pas cela ? Elle me pompait avidement tout en me jetant de petits regards lubriques.


- Oui, réussis-je à prononcer en articulant le plus possible.

- Moi aussi, répondit-elle. J'aime le goût de ta queue.


Avec de reprendre ma queue en bouche, elle me gratifia d'un sourire enjôleur, montrant par là qu'elle maîtrisait la situation. Sentant mon désir monter à vue d'œil, Véronique interrompit un instant sa caresse, se leva du canapé, puis retira sa petite robe rouge tout en m'interrogeant du regard.


- Alors, comment tu me trouves ? dit-elle tout en me présentant son corps dénudé.

- Tu es magnifique. J'ai terriblement envie de toi.


Comme réponse, elle me chevaucha et prit mon sexe dans sa main de façon à le diriger vers sa fente. Puis elle plia les genoux et s'assit sur moi. Je sentais ma queue pénétrer à l'intérieur de son sexe brûlant. Elle commença sur moi un va-et-vient très agréable. Il faut bien l'admettre, mon état ne me permettait pas de faire grand-chose et je me laissais complètement aller, laissant ma compagne entièrement libre de faire ce que bon lui semblait. Quelle chance d'avoir pu trouver une maîtresse aussi entreprenante ! Elle posa sur ma bouche un petit baiser, puis approcha ses lèvres de mon oreille et me chuchota :


- Tu aimes baiser une jolie blonde comme moi ?

- Oui, murmurai-je. Oui, j'adore te baiser.

- Tu sais, on se connaît déjà un petit peu...


Sa phrase me fit sursauter. Elle souriait avec malice, je regardais son visage tout en me scrutant la mémoire pour savoir si je l'avais déjà vu. Se cambrant un peu plus, elle ondulait de plus en plus violemment sur ma queue. Elle me regarda de nouveau tout en se caressant les seins d'une façon particulièrement érotique.


- Non, non, ne cherche pas vers Mme M***. Tu ne te souviens pas de moi, hein. Mon visage ne te dit rien ? Je pensais que tu étais plus sensible aux charmes féminins.


Elle ferma les yeux et continua à remuer sur moi. Je sentais que ma jouissance n'allait plus tarder, maintenant. Elle passa sa main droite derrière elle, puis vint tout doucement me caresser les couilles. Ce geste fut comme un coup de grâce. Ne pouvant retenir un léger râle, je jouis au fond d'elle avec une intensité que je n'avais pas connue depuis longtemps. Elle vint s'asseoir tout près de moi pendant que j'essayais de retrouver mes esprits.


- Tu ne te rappelles pas. Pourtant, j'ai postulé récemment à un poste de secrétaire dans ton agence. Tu m'as reçue en entretien.


Elle approcha son visage à quelques centimètres du mien puis posa un doigt sur ma bouche, tout en me chuchotant à l'oreille :


- Tu m'as dit que je n'avais pas assez d'expérience pour ce poste. Je crois que tu n'as pas été très malin, sur ce coup-là.


Elle se blottit contre moi. Je restais un peu interloqué par ce qu'elle venait de me dire. J'observais, avec toute l'attention que j'étais capable de fournir, le visage de Véronique et, effectivement, je reconnus celle qui était venue, il y a quelques semaines dans les bureaux de l'agence.. Elle leva, de nouveau, les yeux vers moi, puis me dit :


- Maintenant que tu as bien joui et que tu es un peu reposé, tu devrais peut-être t'occuper de moi. J'adore jouir sous la langue d'un homme comme toi.


Elle pivota sur le canapé et s'installa à genoux, cambrée, dans l'attente de la caresse. L'idée de lécher cette ravissante croupe m'excitait beaucoup, et je sentais mon sexe reprendre de la vigueur après l'assaut furieux de tout à l'heure. Me sentant encore passablement éméché, je fis un gros effort pour me lever puis pour me positionner derrière elle, genoux à terre, prêt à combler son désir. Sa chatte était gluante de sperme ; heureusement, en parfait connaisseur, j'avais, dans la poche arrière de mon pantalon, quelques mouchoirs en papier toujours utiles dans ces soirées. Avec délicatesse, j'essuyai les traces de nos ébats précédents. Puis, de mes deux mains, j'écartai ces deux fesses magnifiques, révélant son intimité, puis je plongeai ma langue dans sa fente détrempée. Elle tremblait légèrement, de plaisir. J'enfonçai ma langue au plus profond d'elle-même, goûtant toutes les saveurs mélangées. Je me doutais bien qu'elle souhaitait également que j'aille titiller son petit cul, mais auparavant ma langue s'attarda sur la petite surface entre sa chatte et son cul. Par moments j'essayais de la regarder, et je voyais bien qu'elle gardait les yeux fermés afin de profiter au maximum du plaisir offert. Sentant son désir monter, je me jetai avec avidité sur son cul, léchant son petit œillet, forçant ses défenses avec ma langue. Elle jouit en se tortillant violemment, s'affaissant sur le canapé comme si ses jambes ne pouvaient plus la porter. À peine remise de ses émotions, elle me dit :


- Tu m'as bien léché le cul, petit salaud. Je considère que c'est ma petite vengeance personnelle.

- Tu sais, le poste est toujours disponible ; je pourrais, peut-être, revoir ma décision.


Elle me regarda en souriant :


- Ne t'inquiète pas pour moi, j'ai trouvé un nouveau boulot et je ne pense pas que mon chef souhaite que je parte rapidement.


Elle se rhabilla, me posa un petit bisou sur le front, me chuchota un « au revoir », puis disparut sans que j'aie le temps de réagir. Je restai pendant quelques instants à méditer sur le canapé avant de prendre la direction du bar : l'amour donne soif.


En m'asseyant sur l'une des chaises hautes, je remarquai en jetant un coup d'œil à la pendule surplombant le bar que mes escapades avec la jolie Véronique avaient duré fort longtemps. Je jetai quelques regards çà et là sans apercevoir Caroline : elle devait folâtrer quelque part dans cette grande maison. Je commandai un cognac au barman. J'avais à peine bu quelques gorgées du précieux nectar qu'un majordome s'approcha du comptoir et, s'adressant aux quelques soiffards qui trônaient près du bar, dit :


- Messieurs, la foire va bientôt débuter.


Puis il répéta son invitation aux autres groupes plus ou moins formés de la pièce. N'ayant aucune idée de ce que pouvait être cette foire, j'interrogeai mon voisin de droite.


- Excusez-moi, mais de quoi s'agit-il ?

- C'est votre première soirée ? répondit en ricanant l'alcoolo. Puis il porta à sa bouche le verre qu'il tenait et ajouta, le gosier de nouveau opérationnel :


- Je suis désolé. Pour les nouveaux, c'est une surprise. C'est un peu la spécialité de la maison. Je vous conseille d'y assister, c'est quelque chose de très "spécial", comment dire...


Il éclata d'un rire gras. Je décidai de m'éclipser rapidement et de suivre les participants à cette étrange manifestation. En atteignant le hall d'entrée, je vis que la porte de la pièce qui était fermée tout à l'heure était maintenant ouverte. Deux majordomes, à droite et à gauche de l'encadrement, semblaient contrôler l'entrée des participants. J'essayai de repérer si je voyais Caroline dans la masse de personnes qui entraient dans cette pièce, mais je ne la vis pas. À mon tour, en suivant un petit groupe de personnes, j'entrai dans la salle. J'eus l'impression que l'un des majordomes m'avait fait un clin d'œil, mais c'était peut-être une illusion due à l'alcool.


Comme je l'avais remarqué lors de ma première visite, en début de soirée, la pièce était très grande et avait une configuration étrange. Elle avait, en quelque sorte, la forme d'un immense fer à cheval. Le long de la bordure extérieure étaient installés de nombreux canapés où, déjà, nombre de convives étaient assis. Mais mon attention fut plutôt focalisée sur l'intérieur du fer de cheval qui était aménagé de façon très surprenante. Des sortes de petites stalles, environ une vingtaine, avaient été aménagées en demi-cercle et, à l'intérieur de celles-ci, se trouvaient des sortes de bancs assez étroits qui tous s'orientaient vers le centre du « fer à cheval ». Une mince barrière en fer forgé séparait les stalles et l'espace extérieur de la pièce. Un petit couloir étroit le long de celle-ci permettait d'accéder aux stalles. Manifestement, la foire n'était pas une immense partouze entre un grand nombre de convives, comme je l'avais d'abord imaginé. L'ensemble de la pièce, peu éclairée, baignait dans une atmosphère un peu surréaliste avec sa décoration feutrée et chargée, faite de rouge et de vert, et son aménagement si particulier.


J'aperçus une place sur un canapé, il n'en restait plus beaucoup et, profitant de l'aubaine, je m'assis pour attendre la suite des évènements. Il ne restait plus beaucoup de places dans l'espace réservé aux convives quand les deux majordomes fermèrent la porte d'accès. J'étais vraiment intrigué par ces stalles qui étaient vraiment de petite taille, notamment pour faire l'amour, et je me demandais ce qui allait se passer maintenant. Nous fûmes d'un coup plongés dans la quasi-obscurité et une voix sortant d'un haut-parleur interpella les invités. Le silence se fit dans l'assistance.


- Mesdames, Messieurs. Vous allez assister à la foire, petite spécialité de la maison. Nous vous demandons de rester silencieux pendant la représentation. Et bonne soirée...


J'entendais des mouvements dans le couloir près des stalles, des participants semblaient se positionner, puis la lumière revint brusquement, éclairant assez fortement le petit couloir d'accès. Ce que je vis à ce moment était particulièrement excitant. Sur chacun des bancs était installée une femme qui s'était installée à genoux, en levrette, les jambes légèrement écartées. La lumière, sous la forme de spots judicieusement placés, ainsi que l'étroitesse des stalles ne permettait d'apercevoir que les jambes, les fesses et le bas du dos des participantes. De même, elles ne pouvaient à priori se retourner, laissant ainsi leur sexe à la merci d'éventuels prétendants.


Je voyais donc devant moi un alignement de culs nus ou à peine revêtus d'un string. Parmi ceux que j'apercevais, il y en avait pour tous les goûts : de beaux culs ronds à la peau mate, d'autres plus fins, plus clairs ; certains étaient en forme de poire, d'autres assez musclés, comme la fille qui s'exhibait juste en face de moi. L'ensemble du tableau était étonnant et un peu fascinant. Le spectacle n'avait rien de statique : autour de chaque femme, un ou plusieurs hommes s'activaient, comblaient leurs désirs avec toute l'attention possible. Mon regard s'arrêta un moment sur le cul d'une femme à la peau blanche comme du lait, qui se faisait lécher le sexe par un bel apollon. Un deuxième homme s'approcha d'elle et lui inséra dans l'anus un godemiché de fort belle taille. Elle ondulait de plaisir.


Mon regard se posait çà et là sur ces culs exhibés et je me laissais envahir pour une autre forme d'ivresse, celle du regard. Juste en face du canapé où j'étais assis, une femme se faisait prendre avec douceur par son chevalier servant. Puis une pointe d'angoisse me figea : le string de la femme qui était baisée sous mes yeux était celui de Caroline : cette femme, c'était la mienne. J'essayais de rester serein, tranquille, mais voir ma femme ainsi exhibée devant tout le monde me gênait sans que je puisse contrôler mes émotions. Certes, nous avions l'habitude de ce genre de soirée, je savais qu'elle allait prendre son pied tout comme moi. Mais, devant cette mise en scène extraordinaire où elle se donnait d'une façon peu commune, je n'arrivais pas à me calmer.


Quelques minutes passèrent. J'essayais de ne pas trop fixer mon regard sur Caroline, mais c'était très difficile. Au moment où je m'évertuais à reprendre tout mon flegme (si j'ose dire), le bellâtre sortit son membre vigoureux du sexe de ma femme, donna deux ou trois petits coups de queue sur ses fesses et planta sa queue dans l'anus offert. C'était la première fois que je voyais Caroline se faire enculer par un autre homme, et mon émotion, que je ne saurais décrire, était à son comble. Je tentais de me lever pour quitter la salle quand, brusquement, au moment où on percevait des petits cris de jouissance, l'obscurité envahit de nouveau la pièce, interrompant l'exhibition charnelle. Une nouvelle fois, la voix métallique annonça :


- Mesdames, Messieurs. Maintenant que vous avez pu observer les courbes de toutes nos participantes, l'heure du choix est venue...


On ralluma le couloir et le silence se fit dans l'assistance. Pendant quelques instants, rien ne se passa : la tension était palpable. Puis j'entendis le bruit d'une porte qui grince et un homme pénétra dans le petit couloir qui reliait les stalles. De la foule se firent entendre quelques murmures d'étonnement. Ma voisine de droite poussa un petit cri de stupéfaction. L'homme en question ressemblait à certaines sculptures grecques. Il était entièrement nu. Son corps était incroyablement musclé, laissant présager une force étonnante. Sa peau était très mate mais pas totalement noire, un peu dans le style de certains hindous. Il me semblait gigantesque, probablement plus de deux mètres, avec de longues mains et des jambes interminables.


Mais, plus que son corps parfait, ce qui avait impressionné l'assistance était son sexe, totalement en érection, qui nous apparaissait dans toute sa splendeur. Il était énorme, d'une longueur incroyable et d'une taille imposante. Des veines saillantes en renforçaient l'aspect bestial. Face à ce spectacle, mon émotion se transformait en une espèce d'angoisse et j'étais figé sur le canapé, tétanisé par la tension. Mon érection me faisait mal. L'homme marchait doucement le long des stalles et observait ces corps de femme offerts à son désir. Il s'approchait parfois, posait son immense main sur l'une des femmes puis repartait.


Il passa devant Caroline, toucha son corps, approcha son énorme sexe de sa fente puis continua. Il ne semblait pas pressé de faire son choix. Il disparut de mon champ de vision. Une rumeur commençait à monter dans l'assistance. Puis il réapparut, toujours impressionnant, revint sur ses pas puis s'arrêta devant le box de Caroline. Il leva un doigt vers le ciel comme pour montrer que son choix était fait. J'étais pétrifié par ce que je voyais. Cet homme au corps de pierre, si beau qu'il en paraissait effrayant, allait baiser ma femme ! Toutes les stalles s'étaient subitement éteintes, sauf celle de Caroline. La foule commençait à réagir, ne parvenant pas à maintenir le silence. On attendait fuser des « baise-la », des « défonce-la » étouffés. L'homme se plaça derrière Caroline, écarta de ses deux grandes mains les fesses offertes, arracha le string et planta sa queue dans la fente trempée de ma femme. Il la baisait à fond et je l'entendais gémir de plaisir. La foule était redevenue silencieuse, ce qui augmentait mon angoisse. Caroline paraissait minuscule sous cette montagne de muscles. J'étais fasciné par ce spectacle, par la vision de ce sexe mat qui entrait et sortait de la fente rasée que je connaissais si bien. Les muscles des fesses tendus, il ne modérait pas ses coups de reins tout en augmentant la cadence. Puis il se retira. L'homme se retourna vers les spectateurs, tenant son sexe tendu par la main, défiant l'assistance. Et la foule, pas encore rassasiée du spectacle, l'exhortait avec force.


- Dans le cul, dans le cul, entendait-on partout.


L'homme se retourna et se replaça en levrette au-dessus de Caroline. Il écarta de ses mains le cul de ma femme et cracha sur son oeillet déjà malmené lors du précédent assaut. D'une main, je le voyais placer sa queue sur la rondelle offerte... Je ne pouvais plus regarder. Presque par instinct, je fermai les yeux le plus fort possible. La foule était maintenant totalement surexcitée et criait dans tous les sens, encourageant l'homme. Malgré le brouhaha d'ambiance, j'entendais parfaitement les petites claques que l'homme administrait aux fesses de Caroline qui réagissait maintenant par des cris de douleur ou de plaisir.


- Encule-la, défonce-la, hurlaient les spectateurs.


Entendre sans voir est pire que tout et je ne pus résister au désir de voir. Quand j'ouvris les yeux, je vis le bellâtre sodomiser ma femme avec une intensité incroyable. Son sexe allait et venait de toute sa longueur à l'intérieur de son cul. Elle poussait des râles de douleur, de jouissance ou des deux, si forts que toute l'assistance, pourtant bruyante, l'entendait. Elle se caressait intensément la chatte, accompagnant parfois de la main le sexe de son amant. Puis elle jouit avec force, hurlant son plaisir, et s'affaissa sur le banc, ses jambes ne la portant plus. Fier d'avoir provoqué un si violent orgasme, l'homme arrêta ses va-et-vient. Il enfonça une dernière fois son vit tout au fond du cul dilaté, puis se retira. Il se mit debout et, de ses bras puissants, il souleva le corps de Caroline, l'obligea à écarter les jambes et à montrer son sexe et son cul au public. La vision de ce cul béant était à la fois une vision horrible et terriblement excitante. L'homme se plaça juste derrière elle, se masturba puis jouit intensément, barbouillant les fesses, la chatte et le cul de Caroline de son jus abondant. L'assistance applaudit à sa juste valeur cette performance. L'homme salua la foule puis se retira par la même petite porte par laquelle il était venu. Le spot éclairant le box de Caroline s'éteignit et la voix métallique demanda aux gens de quitter la pièce. Je profitai de l'obscurité pour me glisser vers les portes d'accès et quitter cette maudite pièce.


Complètement désespéré, je me dirigeai vers le bar où je repris un double cognac puis, ne trouvant rien de mieux à faire, je m'écroulais sans force sur le premier divan libre qui accrocha mon regard. Je m'endormis avec la vision de ce cul offert accompagné par le cri de jouissance de Caroline qui, comme un disque rayé, repassait indéfiniment dans mon esprit.



Son histoire


Ce soir, je me sentais bien, prête à toutes les extravagances. Je venais juste de quitter Pierre et me dirigeais vers un petit salon près de l'entrée où j'avais repéré tout à l'heure un groupe de jeunes hommes plutôt sexy. J'entrai dans un petit salon et j'aperçus cinq ou six hommes, tous plus mignons les uns que les autres. Ils avaient trois ou quatre minettes assez aguicheuses qui tentaient de s'incruster. Et puis je tombai sur lui, l'homme mes fantasmes, un magnifique hidalgo péruvien aux cheveux longs. Il était beau comme un dieu avec sa peau mate et ses yeux noirs. Je sentis mon cœur battre la chamade et mon désir grimper en flèche. Je m'approchai de lui et attaquai la conversation bille en tête. Il s'appelait Diego et était originaire du Costa Rica. Il parlait mal le français et notre conversation paraissait bien étrange dans cette salle où l'ambiance commençait à surchauffer. Mes yeux se fixèrent sur son regard de braise et je me collai contre son corps. Il me prit entre ses bras et posa sa main sur mes fesses. À ce moment-là, je sus que c'était gagné, que j'avais su capter son désir. Juste à notre droite, une jeune demoiselle, de vingt ans peut-être, se faisait caresser par deux gaillards particulièrement déterminés.


Il commença à jouer avec ma jupe et mon string, exhibant mon cul à tous, tout en m'embrassant. Je n'étais pas gênée, au contraire : quand ma libido est décuplée comme à ce moment-là, j'adore montrer mon corps au plus grand nombre. Diego était tellement grand qu'il devait se courber un peu pour se mettre à mon niveau et me caresser les fesses. Il prononçait des petits mots en espagnol que je ne comprenais pas mais, à son ton, j'imaginais que c'était un peu plus cru que des mots tendres. La façon dont il posa la main sur ma nuque, appuyant avec force, indiquait qu'il voulait que je passe à la vitesse supérieure, ce qui était, de toute façon, mon intention. J'imaginais que nous allions nous isoler dans une des nombreuses chambres de la maison, mais Diego ne semblait pas vouloir bouger.


Je me mis à genoux devant lui et commençai à défaire son pantalon pour atteindre son sexe. Sa main droite était toujours posée sur ma nuque avec une légère pression incitative : cette approche « macho » n'était pas, à cet instant précis, pour me déplaire et correspondait bien à l'image de mon fantasme. Je préférai retirer complètement son pantalon, pour qu'il soit plus à l'aise. Il portait un boxer-short sexy qui moulait parfaitement ses formes. La « bosse », qui était maintenant à hauteur de son visage, m'apparaissait énorme, ce qui augmenta encore mon excitation. Je le caressai de mes doigts à travers le tissu : son sexe me semblait déjà gonflé, énorme. Je baissai d'un geste assez vif son boxer-short et je découvris sa queue qui était plus belle que tout ce que j'aurais pu imaginer. Elle était grosse, longue, toute mate... le rêve. Je commençai par donner quelques petits coups de langue sur le bout de son gland, avant d'engager ce membre tout chaud au fond de ma bouche. C'était bon de découvrir une nouvelle queue, un nouveau goût. Diego se laissait complètement faire, c'était divin. Pendant quelques instants, je sortis de l'état second où m'avait entraînée mon désir pour regarder un peu autour de moi. Une dizaine de personnes, surtout des hommes, nous regardait et cela décupla mon énergie.


C'était la première fois que je faisais l'amour devant autant de monde : les fois précédentes, nous allions systématiquement, mon amant d'un soir et moi, nous réfugier dans une chambre privée. Cette situation me donnait la chair de poule. Je sentais aux petits mouvements de sa queue que sa jouissance était proche. Je me relevai et me blottis contre lui. Dans un mouvement incroyablement érotique, il posa ses mains sur mes fesses et me souleva sans difficulté. J'entourais mes jambes autour de sa taille. Il me porta jusqu'au canapé le plus proche et m'allongea dessus. Je retirai rapidement le peu de fringues que je portais, à l'exception des chaussures, pendant qu'il enfilait un préservatif. Mon désir de lui était intense. Il se plaça à genoux devant moi, prit entre ses mains mes deux jambes qu'il écarta avec vigueur et me pénétra. La seule sensation de sa queue en moi provoqua un premier orgasme. Puis il entra au plus profond de moi. Je regardais ses yeux bruns pendant qu'il me baisait. Lui aussi me provoquait du regard semblant me dire « Tu es à moi maintenant. Je peux faire de toi ce que je veux. » Rien qu'en pensant à cela, j'eus un second orgasme. D'un petit geste sur une cuisse, Diego me fit comprendre qu'il souhaitait maintenant voir ma croupe. Je me retournai et m'installai à genoux sur le canapé dans une position un peu acrobatique. Il me prit vigoureusement en levrette, position que j'affectionnais particulièrement. Autour de nous, une pléiade de personnes nous regardait, j'aperçus même un homme qui commençait à se caresser. Diego me prenait violemment de toute la longueur de sa queue. Puis il se retira de moi, arracha son préservatif et posa sa queue toute raide sur mon cul. Un homme s'approcha de moi et me chuchota à l'oreille :


- Ecarte tes fesses, poupée.


Dans une position de soumission que j'appréciais, surtout là, je posai mes mains sur mes fesses et les écartai au maximum. Montrer mon intimité à tous était pour moi une source d'excitation incroyable. Diego ne tarda pas à déverser sa semence sur mon cul, barbouillant de son jus ma rondelle. Je jouis une nouvelle foi de façon violente. Je mis plusieurs secondes à retrouver mes esprits. En me retournant, je vis que Diego avait déjà disparu et que l'assistance se dispersait rapidement. Je pris mes vêtements qui traînaient sur le canapé et entrepris de me trouver un coin calme pour me reposer. Une fois rhabillée, je montai à l'étage et m'assoupis sur un des lits mis à la disposition des participants. Une voix féminine me réveilla :


- Alors, on fait des folies de son corps...


Je repris doucement mes esprits. Cette voix ne m'était pas inconnue. J'eus la stupéfaction de reconnaître Carine, ma patronne.


- Tu as vraiment un beau corps, ma petite Caroline. Je l'ai observé à maintes reprises, au bureau.

- Qu'est-ce que vous faites là ? murmurai-je.

- La même chose que toi, Caroline. Je viens prendre mon pied...


Mes rapports avec Carine avaient toujours été tendus. Je l'ai toujours trouvée arrogante et prétentieuse, mais je reconnaissais volontiers qu'elle était très intelligente et qu'elle savait parfaitement mener son équipe.


- J'espère que tu vas me donner beaucoup de plaisir.


Elle retira sa jupe et son petit chemisier. Je regardai son corps qui était superbe : des hanches fines à la courbure parfaite et des petits seins ronds tout mignons. Néanmoins, toute engourdie, je ne me sentais pas la force de me lancer dans une nouvelle étreinte. Mais Caroline savait forcer les choses et, sans même que je m'en rende compte, nous nous retrouvâmes enlacées. Je sentais ses doigts caresser délicatement mon sexe, entraînant un premier effluve de plaisir. Confortablement installée en soixante-neuf, je posai également mes doigts sur elle, découvrant toutes les facettes de son intimité. Je goûtai ensuite à son sexe tout fin, épilé. Je n'avais pas trop l'habitude des relations homosexuelles, mais j'appréciais ici la douceur et la simplicité de son étreinte. Après avoir goûté à toutes nos intimités, nous eûmes ensemble un orgasme assez fulgurant. Carine se releva la première.


- Eh bien, je vois que tu sais t'occuper aussi bien des femmes que des hommes.

- Je te renvoie le compliment : je ne savais pas que l'on pouvait jouir autant sous les caresses d'une femme...


Un homme entra soudain dans la chambre, interrompant la discussion. Il nous toisa du regard.


- Voulez-vous participer à la foire, Mesdames ?


J'interrogeai Carine du regard. Elle sourit et dit :


- Cher monsieur, je viens de prendre mon pied et je n'ai qu'une envie, le reprendre de nouveau. Je vais participer pour la première fois.


L'homme tourna la tête vers moi.


- Je ne sais pas, dis-je, ne sachant pas très bien de quoi il parlait.


Il ajouta en franchissant le seuil de la porte :


- De toute façon, on vous attend à la grande salle ronde dans dix minutes pour les préparatifs. À tout à l'heure.


Il disparut, refermant la porte derrière lui.


- Qu'est-ce que la foire ? demandai-je à Carine.

- C'est une surprise, me répondit-elle tout en se rhabillant.


Elle ajouta :


- Je te laisse. Si tu veux participer à la foire, dépêche-toi de te rhabiller. Seules les premières ont droit à une place.


Carine sortit de la chambre. Je restais songeuse, tentant de remettre de l'ordre dans mes idées, puis je décidai d'aller voir ce qui se passait dans la grande salle. En cherchant dans mes affaires, une surprise un peu désagréable m'attendait : mon beau string avait disparu. Carine l'avait probablement trouvé à son goût. Par contre, la garce avait également emporté le sien : me voilà donc obligée de faire du « cul nu » le reste de la soirée, ce qui ne m'enchantait pas beaucoup. En me levant, je sentis une grande fatigue m'envahir et, finalement, je décidai de me reposer quelques instants avant de descendre. Je m'assoupis au moins une bonne heure. Réveillée, j'avais vraiment l'impression de m'être reposée. Je n'entendais plus beaucoup de bruit. La soirée devait se terminer et un grand nombre de convives était probablement parti. Je sortis de la chambre et partis à la recherche de Stéphane. Je le trouvai allongé sur l'un des canapés des salons, dans un demi-sommeil. Il me fit une moue un peu bizarre. Nous partîmes rapidement, il ne restait de toute façon plus beaucoup de monde.




Nous deux



Je n'avais rien dit à Caroline depuis que nous avions quitté la maison. Je m'efforçais de fixer, dans les faisceaux des phares du véhicule, les petites lignes blanches du bord de route. Je la regardais du coin de l'œil, troublé par l'idée de cet énorme sexe lui pénétrant le cul. C'est elle qui rompit le silence.


- Tu as passé une bonne soirée, mon chéri ?

- Oui, oui, répondis-je, sans donner plus de détails.


Puis j'ajoutai, d'une voie étouffée :


- Et toi ?

- Oui, c'était bon. Tu ne devineras jamais avec qui j'ai fait l'amour.


Je ne répondis rien, fixant toujours la route pour éviter de croiser son regard.


- Avec Carine, ma patronne. J'ai jamais pu l'encadrer mais, tu vois, ça s'est vraiment bien passé. J'aime finalement beaucoup faire l'amour avec une femme.
Par contre, la salope, elle m'a piqué mon string avant d'aller à un truc organisé, une foire je crois... Qu'est-ce c'était, ce truc ? Je me suis endormie, j'ai tout raté...


La foire... son string... ? est ce que... ?


Un fluide réconfortant a irradié tout mon corps. J'ai posé ma main droite sur sa cuisse.


- Je te raconterai un petit peu plus tard, mon amour.



Vous pouvez retrouver cette histoire sur Revebebe, # 09789

En espérant qu'elle vous ai plu .... Bisous coquins !
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 00:00

La Promenade


Auteur Uzura (n'a pas laissé son adresse ... dommage ! nous aurions pu lui adresser nos félicitations pour ce très beau texte ...)

Recit 9473 sur Revebebe

Ils s'étaient rencontrés à un autre dîner, quelques mois plus tôt. En croisant son regard parmi les convives de ce soir, elle s'était souvenue du désir qu'il lui avait inspiré alors. Elle se rappelait les conversations délicieusement scabreuses qui n'avaient pas été suivies d'avances, et elle regrettait de n'avoir pas pris les devants. Elle se glisse sur la banquette face à lui et sent son regard sur elle, quand elle s'assied. Elle porte une combinaison en soie violet foncé bordée de dentelle beige sous un petit cardigan noir, et des sandales noires à talons hauts. Il fixe presque ses seins, elle s'aperçoit que ses tétons sont durs et elle se redresse en plantant ses yeux dans les siens. L'espace d'une seconde, elle se voit la poitrine dénudée, plaquant ses seins sur son torse, le premier contact des peaux. Il porte un pull-over à même la peau, elle voit la base du cou et l'os de la clavicule, elle pense qu'il ne doit pas porter de sous-vêtements sous son jean et cette image la frappe au plexus, irradie vers son ventre.


Au milieu du repas, il glisse son pied déchaussé entre ses genoux. Elle ouvre les jambes et sent le pied remonter sur l'intérieur de sa cuisse. Il la regarde fixement, l'ombre d'un sourire flotte sur son visage. Elle s'adosse à la banquette pour s'ouvrir un peu plus, elle attend le contact. Le string noir qu'elle porte est mouillé. Il repose son pied et se penche vers elle au-dessus de la table.

- Pas ici, dit-il, allons nous promener.

Il se lève, fouille dans sa poche, laisse distraitement un billet sur la table et l'invite du regard à se lever pour le suivre. Elle attrape son manteau, du daim souple et ajusté, passe la porte devant lui et effleure son érection. Son sexe à elle est moite, elle sent déjà ses lèvres gonflées frotter l'une contre l'autre, quand elle lui emboîte le pas. En silence, sans se toucher, ils font quelques centaines de mètres. Il s'arrête, se tourne vers elle :

- Je sens ton odeur. Viens.

Il pousse la porte cochère d'un immeuble, l'entraîne doucement par le coude à l'intérieur, sous un porche sombre qui donne sur une cour. Il s'adosse au mur et l'attire à lui. Elle sent sa queue dressée dans son jean, elle sent sa main sur la soie qui couvre ses fesses. Il prend toute la fesse dans sa main, le bout de ses doigts dans la raie. Elle laisse tomber son visage dans l'échancrure du pull-over qui l'a attirée pendant le dîner, elle respire une bouffée chaude de savon au santal mêlé de transpiration fraîche qui lui coupe les jambes. Il garde une main autour de sa taille et glisse l'autre entre leurs deux corps, ses doigts sur l'intérieur de la cuisse font remonter le tissu jusqu'à atteindre la peau, et sa main se plaque sur son sexe. Il sourit en sentant le string humide et chaud, retire sa main et la pose sur son sein, sous le cardigan. Il froisse la dentelle des petits triangles de soie et trace du majeur le mamelon dressé. Sans sa main entre eux, elle sent à nouveau son érection. Elle pense et s'aperçoit qu'elle a dit :

- Je veux ta queue.

Elle déboutonne le jean en le regardant droit dans les yeux, et sa bite lui saute dans la main, chaude, vivante, dure. Il ne porte rien dessous. Le pantalon déboutonné est retenu par les os de ses hanches, mais il est descendu assez pour libérer les couilles qui se contractent doucement lorsqu'elle les caresse. Il passe la main sous la combinaison et encercle une fesse, force la jambe à monter et à s'accrocher autour de sa taille, puis il glisse sa queue contre la soie noire du string. Il la tient par les hanches et la fait aller et venir doucement le long de sa bite. Elle sent son entrejambe entièrement mouillée, jusqu'en haut des cuisses, elle respire l'odeur de son propre sexe qui se déploie entre eux comme un nuage de gaz. Avant de sortir, elle a déposé une goutte de musc sur son ventre, et l'odeur se mêle à celle de son con, l'excitant encore plus. Elle se branle sur la bite de l'homme et la mince couche de soie entre sa fente et lui décuple la friction. La minuterie de l'escalier sur cour se met en marche, et il se détache d'elle en accompagnant des doigts la robe qui retombe. Souffle coupé, elle le regarde rajuster sa queue gonflée dans son pantalon. Ils sortent de l'immeuble et reprennent leur marche.


Ils parviennent à un square, elle pousse la petite barrière en métal et le conduit à un banc, abrité par les haies. Elle le fait asseoir et le regarde. Ses mains reposent sur le banc de chaque côté de son corps, ses longues jambes sont légèrement écartées. Elle s'approche de lui, écarte les pans de son manteau et remonte lentement sa combinaison. Il dit :

- Arrête-toi. Retire d'abord ton string.

Il passe les mains sous la robe, sur ses hanches et fait descendre la soie noire. Elle lève une jambe et le string retombe sur l'autre cheville, couvrant la fine sandale plantée dans le gravier. Il défait les boutons de son jean et d'un geste, soulevant juste les hanches, fait délicatement sortir sa queue toujours en érection et ses testicules. Elle est belle, longue et épaisse, circoncise, droite et lisse et de couleur bronzée, comme elle en a vu parfois dans les films pornos. La main droite de l'homme fait un aller et retour le long du membre, il ferme à demi les yeux. Sa main gauche prend la main de la fille et, sans cesser de soutenir son regard, la guide au-dessus de lui, une jambe de chaque côté. Il voit sa chatte, épilée en triangle étroit ; son clitoris est si gonflé qu'il se montre entre les lèvres, il ferme les yeux et se branle doucement. Il dit :

- Ton odeur. Tu sens si fort...

Elle s'assoit lentement, son cul sur les cuisses de l'homme, et son sexe se plaque contre la queue dressée. Son clitoris s'écrase sur cette bite brûlante, plus ferme encore que sous la porte cochère. Elle prend appui sur ses pieds, les muscles de ses cuisses se tendent et elle fait monter et descendre ses hanches, son sexe le long du sien. Quand son clitoris passe sur le rebord de chair du bout de la queue, elle frémit et sent tout son sexe se dilater, s'ouvrir et mouiller. Elle sent son cul presser les couilles à chaque mouvement vers le bas, et son rectum se détend, elle s'ouvre toujours plus. Il lui tient les seins, un dans chaque main, juste la bonne taille, et les caresse en mouvements concentriques. Puis, tenant sa bite dans un cercle fait du pouce et de l'index, il la fait passer sous elle. Il se fraie un chemin au milieu de la chatte, écartant les lèvres duveteuses, se frotte contre l'entrée du vagin qui laisse toujours couler un jus odorant, le bout de la queue atteint presque le trou du cul de la fille. Elle le tient par la taille, et imprime un mouvement de va-et-vient, parfois si fort que les os de leurs pubis se heurtent. Il glisse sa main entre eux deux, paume en avant sur le ventre de la fille, et son pouce trouve le capuchon de son clitoris, le retrousse et le caresse en petits cercles. Elle s'est rejetée en arrière et le regarde la regarder.

- Tout à l'heure, je te sucerai là, juste là, dit-il.

Cette seule évocation va la faire jouir tout de suite, il s'en aperçoit et ôte sa main, la repousse. Il lui dit :

- Je vais te prendre comme ça, mais tu ne dois pas jouir. Viens sur moi.

Il a de nouveau pris sa queue dans la main, plus fermement. Il la tient dressée à la verticale. Son autre main est sur la hanche de la fille, il la fait descendre jusqu'à toucher du bout de la queue la fente gonflée et humide. Il fait glisser un peu, se frotte sur le clitoris qu'il voit se contracter pour se déployer encore plus, il niche sa queue juste à l'ouverture du con. Elle a l'impression d'attirer cette bite, de la sucer vers l'intérieur d'elle-même, aucun des deux ne semble plus bouger et pourtant il est déjà en elle. Il gémit, bouche fermée, et s'immobilise. Sa queue a pénétré d'un tiers. Elle ouvre les yeux et contracte son con et gémit elle aussi. Il tient maintenant les hanches de la fille des deux mains. Elle dit :

- Elle est si dure, si chaude...

Il la fait descendre un peu plus. Elle sent son con s'ouvrir encore, ou plutôt elle s'ouvre toute entière. Toutes ses sensations se concentrent dans son bas-ventre et cette bite qui la pénètre, et chauffent son corps entier. Deux tiers. Elle croise son regard, et elle sent sa queue palpiter à l'intérieur d'elle, elle sent l'afflux de sang qui durcit et chauffe encore plus cette colonne de chair. Il sent son besoin.

- Plante-toi sur moi.

Il accompagne en poussant de ses mains sur les hanches de la fille le mouvement qui la fait descendre et engloutir tout le membre. Le plaisir de sentir cette queue buter au fond d'elle lui fait ouvrir grand les yeux vers le ciel, puis elle les ferme et savoure cette incroyable sensation : un homme tout au fond d'elle, vivant, bandant, voulant la remplir si fort qu'ils ne sentent plus où finit l'un et où commence l'autre. Ils restent quelques secondes sans bouger, puis elle sent qu'elle sourit, largement, bouche ouverte, et elle commence à monter, monter doucement jusqu'à presque le laisser sortir. Tout aussi doucement, elle redescend, savourant chaque millimètre de chair qui entre en elle, jusqu'à s'asseoir pour sentir ses couilles lui chatouiller les fesses. Il les prend à pleines mains, les écarte tandis qu'elle remonte, glisse le bout de ses doigts vers l'anus. Quand elle redescend encore, elle sent les couilles contre son trou du cul, et deux doigts y pénètrent légèrement. Elle mouille toujours autant et lui aussi est trempé, sa queue lubrifiée, les poils de son pubis collés par le jus. Elle ne pensait pas qu'elle pouvait être plus ouverte, mais elle sent encore une porte tomber, quelque chose se libère et l'épuise. Sa tête retombe vers sa poitrine et elle murmure :

- Ça monte, oh ça monte.

Maintenant, il accompagne le mouvement en soulevant les hanches, il vient à sa rencontre, il ne la sort presque plus du con de la fille. Ils baisent sans presque bouger, par une succion interne plus forte que tous les coups de boutoir, un plaisir intense que renforce le mélange de leurs odeurs : santal et musc, sueur et sécrétions du con, le cocktail aphrodisiaque que le sperme complétera parfaitement. Elle contracte son sexe autour de la bite de l'homme, elle la sent qui palpite en elle. Il lui caresse rudement les seins, puis écarte le tissu de la robe. Il se soulève vers elle et prend le sein dans sa bouche, suce le téton, le mordille, puis le lèche lentement. Il dit :

- Il faut arrêter. Tu ne dois pas jouir. Pas encore.

Il se retire d'elle. Elle se relève, les muscles des jambes douloureux et la chatte en feu et, le voyant assis sur le banc, la bite dressée et le visage mis à nu par le désir, elle veut s'agenouiller et le sucer ; elle ne veut rien d'autre que la prendre dans sa bouche, sentir dessus l'odeur de son propre sexe. D'abord le bout, puis le sortir comme un eskimo et le lécher en rond ; descendre le long de sa queue avec la langue pointée, mais légère, et remonter en léchant à pleine langue la veine gonflée. Puis la prendre complètement, la sucer jusqu'à fourrer son nez dans le buisson des poils. Il a le ventre plat et musclé, et le pubis bien délimité par des poils châtain foncé qui brillent du jus qu'elle a laissé. Elle esquisse le mouvement vers lui, mais il la redresse, fait tomber le string de la cheville où il était resté accroché. Il se lève et se rajuste, et ils sortent du square les genoux tremblants, intoxiqués par la crudité de leurs sensations et de leurs audaces, attendant la prochaine dose.

Ils reprennent leurs esprits dans la brise de la marche. Les rues sont désertes et calmes. Il regarde les pieds de la fille dans ses sandales à talons hauts, il sort de sa poche le string roulé en boule et le porte à son visage. Elle le regarde respirer la soie noire encore mouillée, il lève les yeux vers elle et elle dit :

- Je ne peux plus marcher, je pourrais jouir en mettant seulement une jambe devant l'autre.

Ils poussent la porte d'un immeuble ; dans la cour, des voitures dans des boxes. Ils se dirigent vers le plus éloigné, et il enlace la taille de la fille, la fait pivoter et lui pose les mains sur le capot de la voiture. Il écarte légèrement les jambes de la fille avec son genou, elle se cambre et se frotte sur sa jambe. Il se met à genoux derrière elle et place ses mains sur ses chevilles. Ses mains remontent lentement, vers l'intérieur des cuisses, repoussant la soie, puis sur les fesses, les hanches, puis la taille. Il dit :

- Penche-toi.

Elle reprend appui sur le capot. Elle aime être là, le corps à angle droit, fesses en arrière, jambes ouvertes, mouillée et odorante. Il remonte sur la taille de la fille son manteau léger et sa robe, et l'odeur le frappe au visage, si fort qu'il en ferme les yeux et laisse échapper un gémissement en approchant son visage du cul exposé. Il pose ses mains sur les fesses, pouces vers le sexe, et elle sent son souffle chaud sur sa fente. Il la tient fermement, la regarde et dit :

- Une raie sans poils...

Son doigt part du milieu du dos et descend, légèrement, entre les fesses jusqu'à l'anus, s'arrête et fait mine de la pénétrer. Sa raie aussi est mouillée, comme lubrifiée par la transpiration légère qui couvre tout son corps et par le miel qui coule de son con. Il voit le trou du cul, violacé et imberbe, et juste au-dessous la vulve, couverte d'un duvet léger soigneusement entretenu. Il place un doigt à l'entrée du vagin, à l'endroit doux et glissant, et trace des cercles ; et elle sent qu'elle s'ouvre encore d'un cran. Il dit encore :

- Tout à l'heure, je te sucerai là, juste là.

Il se redresse, défait les boutons de son jean et sort sa queue et ses couilles, de ce mouvement félin, totalement naturel qu'il a eu à déjà deux reprises. Il bande, sa bite se dresse vers le haut. Une main sur la hanche de la fille, de l'autre il encercle sa queue avec le pouce et l'index et en place le bout dans la raie de la fille. Sans bouger, sans aucun autre contact que son sexe, en s'aidant de la main, il frotte le bout de sa bite de haut en bas, jusqu'au con dont il étale le jus avec sa queue. Puis il se plaque contre elle, elle le sent sur toute sa longueur, le bout entre le haut de ses fesses et les couilles nichées de chaque côté de sa chatte. Sa main cherche les seins de la fille, il passe la main dans l'échancrure de la combinaison et fait jaillir un sein qu'il caresse en se frottant contre elle. Puis il reprend possession de ses hanches, des deux mains, et place sa queue le long de la fente, il sent son con mouillé et chaud, les lèvres ouvertes et glissantes, le repli du clitoris et son petit noyau dur sur sa bite. Il la branle de toute la longueur de sa queue, et les seins de la fille libérés de la robe se posent sur la tôle métallisée, le métal froid fait durcir les tétons tandis que son con la brûle. Il va plus vite, de plus en plus vite. C'est elle qui dit :

- Pas maintenant.

Alors, il s'immobilise, la chatte de la fille toujours écrasée sur sa queue, et il introduit son majeur dans son rectum, doucement, régulièrement, sans s'arrêter, et d'ailleurs il ne rencontre aucune résistance. Elle se plaque contre cette main, et de l'index il touche le clitoris : il est si gonflé qu'il se rend compte qu'elle va jouir. Il retire sa main et rabat la robe sur le cul de la fille qui se retourne vers lui. Elle est tellement excitée que les jambes lui manquent. Il se rajuste en lui lançant un regard de noyé puis sourit. Il lui enlace la taille et elle s'appuie sur lui en titubant légèrement sur ses hauts talons. Il dit :

- Je sais où je veux t'emmener.

Il l'entraîne dans la rue. Cette fois, la marche se fait rapide. Ils ont tous deux le souffle court, elle sent tout son sexe palpiter, la pulsation de son coeur dans son clitoris, le jus brûlant qui coule de son con. Ils arrivent devant le Jardin du Luxembourg, entrent et longent les grilles jusqu'à un coin assombri par les arbres. Il adosse la fille au muret, lui prend la taille des deux mains et la hisse sur le rebord. Pressé, sans la regarder, il libère sa queue du pantalon avec un soupir de soulagement, il la regarde et la serre dans sa main. Puis il lève les yeux vers la fille, son visage est à la hauteur de son con. Ses mains montent vers les seins de la fille, écartent le fin lainage et, du bout des doigts, font sortir les seins durcis de la combinaison en soie. Elle est appuyée contre la grille, la peau dénudée de la gorge, des seins et des jambes en taches claires dans la nuit. Il pose les mains à plat sur les genoux de la fille et remonte, repoussant la soie et lui écartant les jambes, et dénude son sexe. Les mains de l'homme passent sur les hanches et enserrent les fesses qu'elle soulève un peu pour lui assurer une meilleure prise. Son visage s'approche du con de la fille, elle sent son souffle sur elle, ses hanches partent automatiquement à la rencontre de la bouche de l'homme. Mais il la tient bien, et l'empêche de bouger. Il prend son temps, respire, les yeux mi-clos, l'odeur qui émane d'elle et pointe sa langue très bas, à l'ouverture du con. Puis il remonte en léchant à pleine langue, sans trop appuyer : les petites lèvres puis le clitoris, que la caresse décapuchonne pour offrir un bouton rose et brûlant. Il sent distinctement sur sa langue la contraction. Il se détache d'elle et murmure :

- Juste là. Je vais te sucer juste là.

Puis il se déplace légèrement sur le côté, écartant encore un peu plus la fille en lui faisant passer une jambe par-dessus son épaule. Il sent le talon aiguille contre son dos. Il penche la tête jusqu'à ce que sa bouche soit parallèle à la fente de la fille. S'aidant de ses doigts, il ouvre la chatte et, délicatement, prend tout le clitoris et les petites lèvres dans sa bouche. Elle pousse un gémissement étouffé et il commence à sucer, doucement, comme on suce une orange juteuse. Il boit le jus qui s'écoule d'elle, elle sent sa langue aller et venir, la bouche de l'homme ne la lâche pas. Elle a posé sa main sur la nuque de l'homme, et elle sent son clitoris aspiré dans cette bouche vorace. Il a glissé deux doigts dans son con, et leur imprime un petit mouvement circulaire. Elle sent qu'elle s'ouvre plus encore, que la dernière porte est tombée. De quelque part au fond d'elle-même le spasme naît, s'amplifie jusqu'à irradier du plexus au trou du cul, et l'orgasme monte. Il sent à sa main inondée qu'elle va jouir et retire aussitôt sa main, sa bouche. Elle est pétrifiée et dit :

- S'il te plaît.

Il prend sa taille et la fait descendre du rebord. Elle est debout face à lui, il est magnifique avec ses cheveux emmêlés, le menton brillant de jus, la queue sortie et bandant, lisse et tendue. Les mains de l'homme remontent sur les côtes de la fille et ses pouces caressent les mamelons dressés. Il dit :

- Maintenant.

Puis, tout doucement, son visage se tend vers elle, elle voit les lèvres gonflées d'avoir sucé son con, elles se posent sur les siennes et la langue de l'homme la pénètre. Elle sent la dureté de son érection contre son sexe à travers le tissu. Elle sent l'odeur et le goût de son con dans le baiser, et toutes ses sensations et les images accumulées pendant cette promenade au clair de lune refluent vers sa bouche, et elle jouit comme ça, debout contre lui, presque sans le toucher, presque sans un son, pendant qu'il mouille la combinaison en soie en gémissant dans le baiser qui n'en finit pas.
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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