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Libertins Angers

Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 12:34
Un peu de cul... ture ne saurait nuire !

Nous vous avons fait partager cette amitié érotique qui nous lie avec la belle Hetaïre. Curreux de ce pseudo, et connaissant les talents litteraires et l'amour de cette brillante Muse pour les belles lettres, nous avons soupçonné une référence au monde de l'Amour

Gagné ! et c'est ainsi que nous découvrames


Hétaïres :

Vénus Capitoline, copie de l'Aphrodite de Cnide, œuvre de Praxitèle dont la maîtresse, l'hétaïre Phryné, est le modèle, musée du Louvre
Vénus Capitoline, copie de l'Aphrodite de Cnide, œuvre de Praxitèle dont la maîtresse, l'hétaïre Phryné, est le modèle, musée du Louvre

Les hétaïres se trouvent au sommet de la hiérarchie des prostituées. Contrairement aux autres, elles ne se contentent pas d'offrir des services sexuels et leurs prestations ne sont pas ponctuelles : de manière littérale, ἑταίρα / hetaíra signifie « compagne ». Elles possèdent généralement une éducation soignée et sont capables de prendre part à des conversations entre gens cultivés, mais si ce point est sujet à débat parmi les historiens. Seules entre toutes les femmes de Grèce, Spartiates exceptées, elles sont indépendantes et peuvent gérer leurs biens.

Aspasie, maîtresse de Périclès, est ainsi la femme la plus célèbre du Ve siècle av. J.-C. Originaire de Milet et donc réduite au statut de métèque à Athènes, elle attire chez elle Sophocle, Phidias ou encore Socrate et ses disciples. Selon Plutarque (Vie de Périclès, XXIV, 2), « elle domin[e] les hommes politiques les plus éminents et inspir[e] aux philosophes un intérêt qui n'[est] ni mince ni négligeable[13]. »

Nous connaissons les noms d'un certain nombre de ces hétaïres. À l'époque classique, il y a ainsi Théodoté, compagne d'Alcibiade, avec qui Socrate dialogue dans les Mémorables (III, 11, 4) ; ou encore Nééra, sujet d'un célèbre discours du pseudo-Démosthène ; Phryné, modèle de l'Aphrodite de Cnide — chef-d'œuvre de Praxitèle dont elle est la maîtresse, mais aussi compagne de l'orateur Hypéride, qui la défendra dans un procès en impiété ; Léontion, compagne d'ÉpicureHarpale, trésorier d'Alexandre le Grand ou encore Thaïs, maîtresse d'Alexandre lui-même et de Ptolémée Ier après lui. et philosophe elle-même. À l'époque hellénistique, on peut citer Pythonikè, maîtresse d'

Certaines de ces hétaïres sont très riches. Xénophon décrit Théodoté entourée d'esclaves, richement vêtue et logeant dans une maison de grande allure. Certaines se distinguent par leurs dépenses extravagantes : ainsi une Rhodopis, courtisane égyptienne affranchie par le frère de la poétesse Sappho, se serait distinguée en faisant bâtir une pyramide. Hérodote (II, 134-135) ne croit pas à cette anecdote, mais décrit une inscription très coûteuse qu'elle finance à Delphes. Les tarifs des courtisanes varient beaucoup, mais sont substantiellement plus élevés que ceux des prostituées communes : dans la Nouvelle Comédie, ils varient de 20 à 60 mines pour un nombre de jours indéterminés. Dans le Flatteur (v. 128-130), Ménandre mentionne une courtisane gagnant trois mines par jour soit davantage, précise-t-il, que dix pornai réunies. S'il faut en croire Aulu-GelleNuits attiques, I, 8), les courtisanes de l'époque classique vont jusqu'à 10 000 drachmes pour une nuit. (

sur Wikipedia

et

Courtisane de haute volée, au raffinement élitiste, dans la Grèce antique du Ve siècle avant notre ère. Le mot présuppose une fonction de "compagne" - dont une forme manifestement édulcorée aujourd'hui serait "l'escort girl" - très richement illustrée aussi dans la tradition japonaise de la geisha.

sur le Dico de l'Amour et des pratiques sexuelles ....

Nous voilà plus fins et plus lettrés ce jour !

Merci à elle d'avoir, en sus (!) de notre libido, développé en même temps, nos esprits.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 11:38

Ce soir là, un vent de fatigue était passé sur la maison….

 

C. était rentrée tard d’un déplacement de deux jours sur Brest, et moi, après une journée assez stressante, je m’étais occupé des enfants, de la maison, du repas du soir tandis qu’elle arrivait … bref, ce qu’elle faisait souvent ! J’aimais me retrouver confronté à ces moments, car ils me rappelaient alors combien C. ’’assurait’’  d’habitude !… devoirs pour les plus grands, bain pour les trois, pyjama, repas du soir quand C. nous avait rejoint …

Vers 22 heures, tout retomba dans un semblant de calme. Nous avions mangé, les enfants étaient couchés et nous avions pris place sur les canapés du salon.


C. s’était allongée sur le canapé rouge, enroulée dans un plaid polaire et regardait d’un œil le téléfilm de ce lundi soir d’hiver.

Je m’étais calé, moi aussi, et feuilletant nonchalamment une magazine, je jetais de temps à autre un œil, intéressé par l’intrigue assez complexe de ce policier à tendance mystérieuse…


A la fin du film, je regardais tendrement mon épouse. Elle s’était endormie, épuisée …

Belle, calme, paisible, blottie sous l’étoffe polaire, je n’osais la réveiller de suite.


Je n’avais pas vraiment sommeil, et, ayant pris soin de baisser le son de la télé, je zappais sur les programmes du soir.

 

C’est ainsi, en ‘’remontant’’ les chaines, que je tombais sur une chaîne adulte, qui diffusait des films à caractère pornographique pendant la nuit.

 

Les seins d’une magnifique blonde avaient envahis l’écran, seins pleins, fermes et généreux qui glissaient leurs pointes turgescentes sur le gland violacé d’une bite imposante. La blonde incendiaire emprisonnait maintenant le pieux de chair tendu dans ses globes parfaits et imprimait sur se dard le plus affolant des va et vient… elle se laissa glisser, et ses lèvres charnues, rouge d’un gloss brillant vinrent englober le membre vigoureux. Sa langue tourbillonnait autour du capuchon, descendait sur la tige, s’attardait sur les bourses, léchait le périnée, et remontait sans cesse sur le mat de son amant. La queue disparaissait lentement dans cette bouche avide, comme si elle eue voulu l’avaler en entier.

La caméra tournait autour des tourtereaux de circonstance, faisant voir ça et là la pipe magistrale, ou parfois un zoom sur l’abricot de la belle, ouverte de plaisir qui semblait ruisseler de bonheur et dans la fente duquel s’agitaient des doigts fins et agiles ….


L’effet de ces images sur moi ne se fit pas attendre… Mon sexe s’éveilla, se leva, s’étira et me dit gentiment que, si ma femme dormait, lui était bien en forme…

 

Je m’installais plus confortablement, non pas sans avoir vérifié la véracité du sommeil de C.  en l’appelant doucement, une main sur l’épaule.

Sa réponse fut claire et précise : « Bzzzzzz »… Elle était belle et bien dans les bras de Morphée.


Je m’installais donc le mieux possible avec quelques coussins qui me soutenaient tandis que je me couchais. Allongé sur le coté, appuyé sur un bras, j’avais pris soin de retirer mon pantalon pour être tout à fait à l’aise.


Les yeux rivés sur l’écran, je voyais la fellatrice blonde, engloutir le pénis tout luisant de salive, et doigter doucement l’anus de l’homme offert.
Ma main commença à s’agiter sur le doux tissu de mon boxer. Je sentais ma verge tendue, emprisonnée par l’étoffe, légèrement orientée à droite. Je la caressais du bout des doigts, montant le long de la veine que je sentais, venant parfois emprisonner mes couilles dans la paume de ma main. J’aime me caresser et nous ne faisons parfois ensemble, C. et moi, s’exhibant mutuellement par notre quête du plaisir. Très vite, mon sexe franchi la barrière de l’élastique et vint se dérouler sur mon bas ventre. Je retirais mon boxer pour être à l’aise. Maintenant, ma main courait autour de ma bite dressée, je caressais mes bourses, suivais les mouvements de la blonde du film, j’imaginais C. s’afférant sur mon ventre…

 

Comme s’est excitant de se branler doucement sur de telles images, tout à côté de celle que l’on aime et qui peux à chaque instant sortir de sa torpeur. Mon érection n’en était que plus vive. Voulant vivre un très beau et bon moment, je me levais pour aller chercher le flacon d’huile essentielle avec lequel nous avons plaisir à jouer, de temps à autre. De retour, je me réinstallais confortablement, et enduit ma main de l’onguent avant de venir emprisonner ma verge. Quelle délicieuse sensation que de la sentir coulisser dans le fourreau crée par ma main ; Elle était, ma main aussi, beaucoup plus douce, plus chaude et glissante…

 

Je regardais tantôt le sexe qui s’affichait sur l’écran, magnifique, ouvert et perlant de désir avide, tantôt ma verge turgescente qui glissait dans mes doigts.

Rien d’autre n’existait plus que ce désir de jouir, ce plaisir solitaire que je sentais venir et que je retardais pour l’apprécier plus fort. L’actrice avait vraiment un très beau sexe, comme un fruit mur, qui se serait ouvert sous les rayons d’un soleil d’été. Ses lèvres étaient ourlées, ouvertes de chaque coté de l’ouverture de son vagin comme pour en marquer l’entrée, comme deux triangles de chair rosées et vraisemblablement tellement bons à prendre dans sa bouche. Nous aimons beaucoup des jeux là, avec C. et il me plaisait d’imaginer ce cunnilingus que j’aurais tant aimé faire. Plus haut, au sommet de cette fourche, se cachait un adorable petit clitoris qui semblait – réalité ou simulation de l’actrice ? – extrêmement réactif à en juger par les gémissements qu’elle lâchait à chaque fois qu’elle sollicitait son petit bouton.

 

Toute mon énergie était concentrée sur ma queue, tendue sur mon ventre et qui dans ma main, grossissait encore sous mes caresses. Mon ventre me brûlait, ma tête était remplie des râles et des images des acteurs sur l’écran. Je me voyais baiser C. sans retenues, sans aucune pudeur, du sexe à l’état pur.

Les phrases les plus folles me venaient sur les lèvres.

 

Tu la sens, ma bite ? tu sens comme elle est dure ? Tu aimes que je te prenne comme celà ? Ohhhh, ouiiii ! Je vais exploser tout au fond de ton ventre...

 

ou encore, lui prenant la tête et se beaux cheveux

 

Oui. Suce moi encore, aspire bien mon gland…

 

Elle me répondait :

 

Oui, F., prend moi… écarte moi… Baise moi…J’aime ta bite, j’aime quand tu me laboures comme ça

 

ou encore…

 

Fais moi jouir de ta langue… Bouffe moi la chatte…C’est bon, je te sens bien… Tu veux que je te doigte mon amour ?

 

Toute ma fantasmatique était à fleur de peau…

Les vagues de plaisir arrivaient lentement, je ralentissais le mouvement régulier de ma main sur mon sexe… ne pas jouir tout de suite, me laisser emporter seulement quand je l’aurais désiré, maîtriser cet orgasme qui s’annonçait violent… Des gouttes perlaient sur le sommet de mon gland, des gouttes d’un liquide tellement doux qu’il vaut toutes les huiles … Je venais recouvrir mon gland pour le décalotter ensuite, renouvèlement le  lubrifiant de ma hampe.
C’est un mouvement presque imperceptible qui me ramena à la réalité. Quelque chose avait bougé dans la pièce, mais quoi ?...

 

J’arrêtais ma branlette et le souffle court, je restais immobile …

Et si C. s’était réveillée ?... je n’osais me tourner vers elle... Non ! je l’aurais senti de suite… je regardait néanmoins dans sa direction, et ne vit que sa silhouette dans la pénombre de la pièce… Elle dormait encore…

Cette sensation était bizarre : comme si je craignais d’être pris en flagrant ‘’délit’’ par la femme que j’aimais tant et avec qui nous vivions une tellement belle relation, d’Amour, de désir, de passion, d’une sensualité délicieuse et d’une sexualité dont il nous plaisait d’aller découvrir quelques zones restées encore bien secrètes. Pourtant, je me sentais comme un adolescent craignant d’être surpris en train de se masturber devant son premier livre porno.

 

Lentement je repris ma caresse : cette fois sur l’écran, la bite du jeune homme forçait en gros plan et sans mal les petites lèvres imberbes de l’abricot juteux…

Encore une fois, comme un léger murmure, quelque chose bougea. Mais cette fois le bruit fut plus précis, comme un frottement de tissus… Il me sembla que C.… La scène à la télé avait encore changée ce qui augmenta un peu la clarté du salon… Je tournais lentement la tête vers le canapé rouge.


A ma grande surprise, C. ne dormait plus. Elle s’était relevée, face à moi, le regard embué, les cuisses grandes ouvertes, elle se caressait. Malgré la pénombre, ses yeux plongèrent dans les miens et elle commença à bouger le bassin dans ma direction… Je voyais parfaitement ses doigts agacer son clito, le pinçant doucement, le frottant de mouvements circulaires de son majeur;  elle s’écartait les petites lèvres de son autre main, comme pour m’offrir ce spectacle, et ne s’arrêtait que pour plonger ses phalanges expertes dans son puit de bonheur. Sa chatte toute gonflée ruisselait de désir et semblait m’appeler.

 

Sans un mot, je glissais du canapé et m’avançais à quatre pattes, par terre, jusqu'à ce que mon visage soit à dix centimètres de la vulve trempée. De ces deux mains, elle remonta ses petites lèvres qui eurent pour effet de faire surgir son bouton d’amour, plus en avant encore.

La scène qui auparavant se jouait sur l‘écran s’étalait maintenant devant moi, devant les yeux ébahis … je pouvais sentir l’odeur acre de son suc, ressentir le plaisir qu’elle ressentait, cambrée en arrière, toute à son activité coquine.

 

L’invitation était trop belle et, lui entourant l’arrière des cuisses de mes mains, je me rapprochais jusqu’à venir poser ma bouche affamée sur cette grotte divine. Ma langue n’eu aucune difficulté à trouver son petit capuchon érectile que j’entrepris de sucer avec le plus grand soin. Ses mains s’accrochèrent dans mes cheveux, son bassin se colla à mes lèvres et j’entendis avec surprise et un bonheur immense…


Oui… oui comme ça… oui, bouffe moi… ooouui !!! Oh F. bouffe moi la chatte… fais moi jouir…encore… aah, c’est bon… aahhh je t’aime mon Amour…


Elle étouffa un cri, et je senti le liquide chaud de sa jouissance couler sur mon visage, tandis que son bassin partait dans tous les sens ; elle s’abandonnait à l’orgasme dévastateur qui explosait son ventre…


Quelques secondes après, elle se rassit dans le canapé rouge, et me releva fermement ; Je me retrouvais alors debout devant elle,  la bite à la hauteur de sa bouche gourmande et je senti sa langue glisser sur le méat du gland, puis la chaleur torride de ses lèvres pulpeuses qui aspirait la hampe de mon membre tendu.

De quelques doigts fripons elle caressait mes bourses, et pétrissait mes fesses d’une autre main coquine.
Je voyais dans la pénombre sa tête aller et venir, et je sentais ma queue de plus en plus sensible tourmenté par sa bouche, elle posait ses lèvres sur le somment humide de mon brugnon rosé et les laissait couler autour du pieux de chair, remontait doucement et descendait encore toujours un peu plus loin….
Elle se passa les doigts dans sa chatte encore chaude pour prendre sur ses doigts son liquide soyeux et vint me caresser d’abord le périnée puis, un peu plus audacieuse, elle massa délicatement mon petit trou …Au moment même ou elle englouti ma bite dans une aspiration folle, elle poussa son index au plus profond de moi… Ce fut mon tour alors de me lâcher enfin

 

Ah, mon cœur, que c’est bon. Qu’est ce tu me suces bien… Oui. Aspire doucement… Oui…Tu vas me faire jouir…


Elle se releva, et me poussa à m’asseoir sur la table du salon. M’enjambant d’un mouvement rapide et sensuel comme dans une scène digne des plus beaux films X, elle vint s’empaler sur mon épée de jade…

Sa bouche se souda à la mienne et tout éclata autour de nous… L’orgasme fut si violent que j’en aurais hurlé, Les vagues déferlaient plus puissantes chaque fois, de plus en plus brûlantes, incontrôlables et folles… Elle s’écoula enfin tout contre mon épaule me serrant dans ses bras.

 

Si nos corps aient eu leur compte d’émotions, nos cœurs étaient encore à se dire

 

Je t’aime,

 

et nos baisers restaient aussi fougueux et passionnés….


Tendrement, main dans la main et les yeux dans le vague, nous éteignirent la télé, et allâmes nous coucher, épanouis et heureux. Le lendemain matin, alors que nous n’avions que peu de temps, je la sentis, chatte, venir se lover en petite cuillère contre moi. L’érection matinale aidant, et guidé de ses doigts agiles qui emprisonnèrent mon gland alors qu'elle me glissait, mutine :

 

Alors, toujours prêt !?

 

je vins me planter en elle … elle bougeait son adorable petit cul, tendait sa croupe pour ressentir plus encore la pénétration … Son cocon d’amour était encore chaud, encore humide de nos ébats de la veille. J’aimais cette sensation, imaginer glisser dans un mélange de foutre et de son excitation. C’était chaud, doux, autour de mon sexe. Je la pris par la taille pour la besogner plus encore. Ce matin là, elle était très animale, voulant sentir mes assauts. Plus je la sentais venir vers moi, et plus j‘avais envie de la prendre, fort , de manière un peu rustre. Et quand elle me supplia :

 

Viens ! Viens mon Amour, baise moi … Baise moi, je suis à toi, je suis ta femme, ta maitresse … Viens, arrose moi ! Couvre-moi de ton jus. J’ai envie de te sentir en moi. J’aime être salope …

 

Ces derniers mots, qui restent gravés en moi comme le plus beau des bijoux resterait dans son écrin, finirent de me faire perdre pied. Je sentis la vague du plaisir monter, dans le haut de mes cuisses pour rayonner dans mon bas ventre … J’eu l’impression d’éjaculer un nombre incalculable de fois (ah ces mecs, toujours vantards !!! :) ) tandis qu’elle me malaxait les couilles comme pour en leur faire sortir le maximum de jus.

 

Elle n’était pas venue, mais se lova contre moi et nous échangeâmes de doux baisers, de tendres calins … bien vite, le quotidien repris le dessus et nous dumes nous lever et courir pour préparer les enfants …

La vie quotidienne, après ce délicieux intermède, reprenait son rythme infernal.


Pourtant, cet après midi là, elle m’envoya un SMS :


Si tu passais passais par le vidéoclub, peut être peux tu y prendre un film …

 

 

Librement adapté et personnalisé sur la base d’un très beau récit de Mick, coquin du Var. Merci à lui

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 11:12

Tout en arpentant la rue d'un pas pressé, je regarde ma montre :

"Déjà 20H10 ! Ouhlà, je suis à la bourre. J'espère au moins qu'elle est prête, car sinon on aura plus de place."

J'arrive devant chez nous , et j’entre rapidement.

"J'arrive!", répond une voix fluette qui m'est familière.


Quelques secondes après, je vois ma Belle, souriante comme d'habitude, et encore en peignoir.

Mais ! Quest-ce que tu fous ? On est à la bourre !

Ca va, ça va, j'en ai pas pour longtemps ! répond-elle après m'avoir furtivement embrassé.

Fais doucement, V. dors et M. n’est pas encore arrivé !  M. c’est le baby sitter … les deux autres sont à l’étage)

Puis elle file à la salle de bains...

Bon, ben, je vais pas rester là à faire les cent pas … Je file moi aussi vers la SdB et me refait un brin de toilette : dents, un peu de parfum … et retourne devant la télé que j’avais machinalement allumée. Elle est sous la douche, tellement belle en filigrane derrière le rideau de condensation et de fines gouttelettes qui marque la paroi de verre.

Il ne sert à rien de lui faire remarquer mon impatience, elle en fera autant la prochaine fois.

Tout d'un coup, la porte de la salle de bains s'ouvre à grand fracas et elle déboule dans la pièce tel un diable qui sort de sa boîte. C'est ma foi un diable fort charmant, vêtu d'un petit string rouge qui lui habille délicieusement les fesses, et... de rien d'autre, ce qui me permet d'admirer ses deux jolis seins qui se dandinent à chacun de ses pas. Elle ne les aime pas, car elle les trouve trop gros. Pourtant, ils sont beaux, fermes, arrogants … un 95C voireD selon les coupes qui m’enchante à chaque fois et nous procure, ma foi, bien des plaisirs. Ce spectacle suffit amplement à me dire que finalement, je suis bien content qu'elle soit en retard.

Pourtant, en à peine quelques secondes, ses plus beaux appas de jeune femme se retrouvent dissimulés sous sa robe bleue que j'adore et qui lui va à ravir : un décolleté assez prononcé, une coupe assez moulante qui laisse deviner sa silhouette, et une longueur assez réduite qui permet d'admirer ses jambes nues. Je la trouve finalement presqu'aussi délicieuse habillée que nue.

Puisqu'on est pressés, tant pis, j'ai pas mis de soutif ! me dit-elle en prenant son sac.

En plus, je sais que t'aimes ça donc t'es content ? rajoute-t-elle avec espièglerie.

Sûr que je suis content ! Je vais pouvoir me rincer l'œil sur son décolleté toute la soirée, et fantasmer sur ses seins que j'ai déjà hâte de retrouver tout à l'heure pour un tête-à-tête que je sens déjà torride. Car je commence à la connaître ma petite C., elle dit que c'est de ma faute si elle sort sans soutif, mais en fait, elle en mourrait d'envie, et quelque chose me dit qu'elle va revenir excitée à mort pas cette petite sortie en tenue très légère.

J'ai à peine le temps de l'admirer un peu plus en détails que M. sonne ; il rentre, il nous connait, et la maison aussi. . Tant pis, je me dis que j'aurai le temps de la contempler tout au long de la soirée, et puis, j'avais presqu'oublié qu'on était à la bourre !

Deux trois consignes, et il file à l’étage avec les deux grands tandis que nous prenons congés

Une demi-heure après, on arrive enfin au restaurant, avec seulement 25 minutes de retard... Heureusement, on trouve une table sans trop de difficultés.

C’est un coin magnifique, qui surplombe la vallée de la Loire … Superbe, ambiance loft et lounge …

AAAAAhhhhhhh, enfin installés! Je peux me plonger à loisir dans son corsage, et aussi un peu dans ses yeux qui me regardent amoureusement (du moins, j'ose le croire). Rien ne peut venir troubler ma béate contemplation, ni le serveur, ni les plats qu'il m'apporte, ni les autres clients, ni les bavardages incessants de ma Belle, que je n'écoute que d'une oreille distraite d'ailleurs...

Jusqu'au moment où, juste avant le dessert, elle décide de s'absenter pour faire ce que toutes les femmes font sans arrêt (!), sans oublier bien entendu d'emmener son sac à main, dès fois qu'on veuille lui piquer, ou que je veuille fouiller dedans !

Je reste donc quelques minutes seul, ce qui me permet de faire un petit tour d'horizon des personnes présentes dans la salle, et surtout des personnes de sexe féminin évidemment. Mais celle que je préfère ne tarde pas à revenir, plus éblouissante que jamais dans sa robe légère qui virevolte.

Après le café, au moment où l'attente de l'addition rend l'atmosphère un peu lourde, ma petite C. ne trouve rien de mieux que de m'annoncer, avec un petit sourire espiègle au coin des lèvres :

Tu sais quoi ? J'ai une petite surprise pour toi !

Ah ouais ? Ca tombe bien, j'adore les surprises. Et c'est quoi ?

Si tu veux le savoir, regarde dans mon sac !

Ce mystère m'intrigue. Sans plus tarder, je m'empare de son sac, ce qui d'habitude m'est totalement prohibé, et je l'ouvre, ce qui d'habitude frise le crime de lèse-majesté. Je ne tarde pas à deviner la "petite surprise" comme elle dit.
Son petit string rouge, qui en partant de chez elle était bien au chaud entre ses fesses, se retrouve encore bien au chaud, mais dans son sac cette fois ! A mon avis, il a perdu au change ! Je joue un peu de la pointe de mes doigts avec cette petite boule d’étoffe et sens soudain une texture assez particulière sous mes doigts … j’ai frolé ce qui était l’entrejambe et il est trempé de son suc !

Je la regarde interloqué, tandis qu'elle me regarde l'air amusé et fière de son coup. Je ne tarde pas moi aussi à trouver ça amusant, et même très excitant à dire vrai.

Depuis le temps que j'en rêve, je n'en reviens pas qu'elle se soit enfin décidée à le faire ! Car si le fait de sortir sans soutien-gorge lui est déjà arrivé, se retrouver sans rien sous sa robe est tout nouveau !

Comme si mon trouble n'était pas assez évident, je sens son pied qui vient frotter contre ma jambe et remonter dangereusement vers un endroit qu'il m'est alors difficile de contrôler. Mais heureusement, ou plutôt malheureusement, le serveur vient interrompre les velléités libertines de ma compagne, et en profite au passage pour me glisser l'addition.

Une fois sortis du restaurant, j'ai une envie folle de rentrer, mais ma Belle, décidément pas à cours d'idées lumineuses, me propose une partie de bowling, ce qui permettra de profiter de la douce soirée, et aussi d'étancher un peu plus sa soif d'exhib.

Nous voilà donc partis, dans les bras l'un de l'autre, vers la voiture, puis vers une partie qui s'annonce des plus distrayantes ! Le bowling n'est pas loin, on y est en même pas 10 minutes et c’est sur la route du retour.

En y repensant, je la soupçonne d'ailleurs d'avoir choisi le bowling en connaissance de cause. Car quoi de plus excitant que de se retrouver dans cet endroit sombre et éclairé de nombreux contre-jour et lumières indirectes à prendre position sur la piste, lancer la boule avec ce final en déhanché très sexy somme toute. Effectivement, parfois, sa petite robe se retrousse indécemment et offre une vue impayable sur ses jambes (et peut-être plus) aux clients installés sur les tables ?

Nous ne sommes pas des habitués, et je me souviens très bien que ce soir là fût une catastrophe au niveau du jeu à proprement parler. Mais pouvait-il en être autrement ?

Moi, je ne pense qu'à une seule chose depuis qu'on est sortis du restaurant, c'est me retrouver en tête-à-tête avec ma charmante compagne, quant à C. elle doit être excitée comme une pucelle à son premier rendez-vous amoureux par tous ces regards qui la transpercent, où qui semblent la transpercer, car le fait de sortir sans culotte a le pouvoir de lui faire croire que tous les yeux masculins des alentours sont braqués sur elle. Et les mâles sont nombreux dans l'assistance.

Moi, je suis évidemment fier comme Artaban de voir ma douce faire baver la moitié du bar, et je me dis que la nuit va être longue !

Mais après deux ou trois parties, ma petite exhibitionniste, sûrement rassasiée de regards avides, décide d'arrêter là ce massacre, qui est une véritable insulte faite à ce jeu.

Je ne peux qu'adhérer, car tout ce qui peut me rapprocher de l'instant où on rentrera chez moi est le bienvenu, même si ces quelques parties ont dû attiser le désir de ma partenaire.

On s'assoit quand même quelques minutes sur une table pour finir notre verre. Blottie au creux de mon épaule, je la sens chaude comme la braise. Je ne peux m'empêcher de lui demander :

Alors, c'était comment cette partie en tenue légère ?

Je suis toute dégoulinante, c'est la folie ! me répond-elle avec son sourire d'ingénue qui tranche singulièrement avec ses propos.
D'ailleurs j'ai arrêté parce que j'avais peur de tâcher ma robe et que cela se voit.
J’adore la dichotomie entre son coté sage, et la petite coquine qui dans ces moments là, se revèle en elle et la transforme, fait briller ses yeux, rosir ses lèvres, briller ses pomettes …. Qu’elle est belle !

Cet aveu me transporte et me donne une trique du tonnerre. Je souffre le martyre dans mon jean soudain trop étroit pour contenir le volume décuplé de mon sexe.

J'ai envie de toi ! soufflais-je à ma Belle en forme de proposition.

Moi aussi ! Rrépond-elle ans un souffle. Si on rentrait ?

Mais l'occasion est trop belle de lui proposer ce dont j'ai toujours rêvé :

Ca te dirait d'aller plutôt faire un tour dans les toilettes ?

Ca va pas , non ? On va se faire repérer ! Elle semble franchement surprise, et me regarde mi interloquée, mi amusée, mi choquée comme si j’avais sorti là une proposition de vieux pervers

Mais non, on va faire gaffe ! Et puis on s'en fout, on ne connaît personne ! Ca ne t'excite pas à toi ?

Si, mais c'est limite !  proteste-t-elle pour la forme tant ses yeux brillent d'envie.

Oooooohhhhhh!! Fais pas ta chochotte ! Allez viens, suis-moi !

Avant même qu'elle ne puisse réagir, je l'entraîne avec moi vers les toilettes.


Bref, on y arrive sans encombre. Elles  sont sont désertes, ils sont tous plantés là haut. Ca rassure quelque peu ma chérie, même si elle me fait remarquer, sûrement à juste titre :

On nous a peut-être repérés en train d'aller tous les deux en même temps aux toilettes !

Bin quoi, on a eu une envie pressante simultanément et puis voilà ! Et puis on s'en fout, au moins ils sauront que je t'aime !

On se paye même le luxe de changer … machinalement, je l’avais entrainée vers les toilettes hommes, mais Messieurs !!! comme souvent, elles étaient franchement ... si ce n’est repoussantes, en tout cas pas accueillantes pour ce que nous voulions y faire ! Hop, direction, les toilettes femmes !


Nous filons vers une cabine dont nous verrouillons le loquet.  Je retire donc en vitesse sa robe toute fine en un clin d'œil qu'elle m'aide à passer par dessus sa tête, et elle se retrouve complètement nue. Je jette le ''chiffon'' sur son sac. J'ai envie de voir sa chatte toute trempée. Je ne m'attarde pas sur ses seins, dont les pointes sont pourtant fièrement dressées, et je m'agenouille pour admirer son sexe. Je constate avec satisfaction les effets de sa petite exhibition : son abricot est complètement luisant de mouille, certains fins poils sont collés à ses lèvres, et quelques gouttes luisent à l'intérieur de ses cuisses.

" Bin dis donc, va falloir nettoyer tout ça maintenant !

Sans plus tarder, je me mets en action. Ma langue et mes lèvres s'affairent avec application. Tout y passe : ses cuisses, ses lèvres, son clito, l'entrée de son vagin... Ses petits cris de plaisir contenus (on est quand même dans un lieu public !) me prouvent son excitation éminente. D'ailleurs, elle ne tarde pas à retirer ma tête de son entrejambe pour passer à la suite, en me murmurant :

" Viens, prends-moi, j'ai trop envie !"

Je me soumets bien volontiers à ses désirs ! Je dégrafe les quelques boutons de ma braguette et fait jaillir mon sexe bien dur et bien raide. Je m'approche alors de ma chère C. et, après avoir relevé une des ses jambes en posant son pied sur la lunette, présente mon gland à l'entrée de son vagin.

Ma Belle ne peut contenir un cri aigu devant cette intromission. Je commence par quelques petits mouvements mais les cris et les encouragements de ma partenaire me convainquent d'accélérer.

Je m'exécute, mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps à ce rythme, je suis bien trop excité. Heureusement, elle aussi est au bord de la jouissance. Très vite, je sens son corps s'agiter frénétiquement, son bassin onduler, ses mains empoignent mes fesses, ses cris pourtant étouffés résonnent dans la petite cabine exiguë ; l'orgasme qui la submerge, tel un raz-de-marée emportant tout dans son sillage, provoque à mon tour le mien, et nous jouissons ensemble, dans un moment d'une intensité qui n'a d'égal que la rapidité du rapport.

Je reste quelques instants en elle, la tête posée sur son épaule, à reprendre mon souffle, et à partager ce moment d'émotion intense. Elle aussi est essoufflée, et son cœur palpite avec une rapidité rare.

Puis je me retire, et on se rhabille, ce qui ne prend guère plus que quelques secondes ! Enfin on ressort.

Dommage, il n'y a toujours personne dans les toilettes pour nous écouter, et je me dis avec regret que personne n'a entendu ma C. jouir. Mais ce n'est pas grave, et je rejoins le bar l'air triomphant, j'ai l'impression que tout le monde sait ce qu'on vient de faire, que tout le monde m'envie, que tout le monde se prosterne devant moi, il s'en faut de peu pour que je grimpe sur le bar pour crier "Je suis le roi du monde !!!!!". Modestie quand tu nous tiens !

A peine revenus à notre table, on décide de partir, car C. a l'impression que tout le monde nous regarde. Tiens, c'est bizarre, tout à l'heure ça l'excitait, et là ça la gêne. Décidément, je crois que jamais je ne comprendrai les femmes.

Bon, tant pis, moi ça me plaisait bien qu'on nous regarde en se disant "oah, ils ont été faire l'amour dans les toilettes !". Mais c'est C. qui décide, si elle se sent gênée...

A peine sorti du bar, ses propos qu'elle me souffle à l'oreille m'enflamment :

"Va  dpoucement, j'ai du sperme qui coule partout sur mes cuisses !"

Hmmmmm... Cet aveu me donne une érection foudroyante !. Ma Belle est encore une fois toute contente de son effet, mais elle a intérêt à assumer tout à l'heure, car il va falloir du temps pour faire baisser mon excitation. Mais bon, vu l'état qui doit être le sien également, elle devrait y arriver assez facilement...

On arrive chez nous assez vite, moi concentré sur la conduite tandis qu’elle se caresse gentiment, très doucement et sans exhibition à mes cotés … C’est beau, c’est tendre … J’aurais aimé qu’elle soit plus exhib, qu’elle pose ses jambes sur le tableau de bord, qu’elle ecarte le compas de ses cuisses mais rien de cela … elle semble se détendre, a baissé le dossier du siège et seule les mouvements de son avant bras traduisent le plaisir auquel elle s’adonne.

Je n'y tiens plus, avant même d’avoir ouvert la porte, je la plaque contre le mur et commence à l'embrasser et à la peloter frénétiquement. Ma main ne résiste pas et va faire un tour du côté de son entrejambe, pour constater qu'effectivement son sexe dégouline … mélange de sa propre excitation et de sperme. Je bande toujours autant et je me dis que faire l'amour ici avec le risque qu'on nous imagine, sans même parler de nous surprendre (M. !), pourrait être une idée assez coquine.

Malheureusement, C. ne veut pas risquer de se faire repérer dans une position compromettante et elle parvient, après une longue transaction et avec la promesse d'une petite gâterie buccale dans l'intimité de notre chambre, à me faire relâcher mon étreinte. Nous rentrons, et faisons la discussion habituelle avec M. Tout s’est bien passé, et il prends le chemin du retour. Je le raccompagne au portail.

De retour, enfin seuls, sans la crainte pour ma copine qu'un voyeur vienne déranger nos ébats, je m'approche d'elle avec l'assurance qu'elle ne me repoussera pas, et même avec le sentiment qu'elle piaffe d'impatience que je la prenne dans mes bras. En vrai gentleman, je me dois alors d'honorer son corps brûlant de désir. En guise de préambule, je pose un petit baiser sur ses lèvres qui, en quête d'un vrai baiser digne de ce nom, ne tardent pas à s'ouvrir. Sa langue se fraye un chemin entre mes lèvres ; ma bouche, toujours hospitalière et connaissant parfaitement la visiteuse, l'accueille avec grand plaisir, puis nos langues se cherchent, se trouvent rapidement, et échangent quelques amabilités en un ballet rempli d'érotisme et de sensualité.

Tout en continuant ce baiser fougueux, je déshabille ma Belle. Oh, ce n'est pas ce qu'il y a de plus long à faire, il suffit d'écarter les bretelles de ses épaules pour que sa robe tombe à ses chevilles. Seuls ses petits talons et sa robe couvrant ses chevilles pouvant encore être une barrière à sa nudité totale, ce qui est ma foi bien peu.

Mais, elle interrompt ce baiser pour me glisser à l'oreille :

" Tu te souviens de ce que je t'ai promis ?"

Je lui réponds d'un sourire entendu, tandis que sa main s'est déjà égarée sur les boutons de mon jeans et caresse mon sexe qui n'en peut plus d'être confiné dans un espace aussi étroit.

Je lis dans son regard toute la lubricité qui l'anime. Ma chemise ne résiste pas longtemps et ses petits baisers sur mon torse me font frissonner. Elle descend petit à petit pour aller chercher sa petite friandise. Mon pantalon n'est nullement un obstacle à ses envies. En quelques secondes, il se retrouve à mes chevilles, suivi de mon caleçon. Ainsi libéré, mon sexe pointe fièrement à quelques centimètres de son visage. Agenouillée à mes pieds, ses yeux regardent mon visage et elle me sourit.

Sans me quitter des yeux, elle enroule sa main autour de ma verge et finit lentement de me décalotter en me branlant à vitesse très réduite. J'adore sentir et voir cette petite main aux doigts si fins s'enrouler autour de mon sexe. Mais déjà elle approche son visage et commence à lécher mon gland déjà bien liquoreux. Chaque coup de langue m'électrise et me procure un plaisir indescriptible. Puis ses lèvres entrent en action ; D'abord par quelques baisers timides, mais bien vite elles se montrent plus aventureuses et coulissent de plus en plus sur ma verge, mais toujours avec lenteur et délicatesse. Elle sait jouer avec mon plaisir, ne pas me faire jouir trop vite, et je sais qu'elle aussi prend plaisir à cette caresse. "Le plaisir d'offrir, la joie de recevoir"...

Ses yeux ont quitté les miens et ma Belle est maintenant totalement concentrée sur son affaire. Avec sa langue, avec ses lèvres, avec ses mains, sur mon gland, sur ma verge, sur mes couilles, avec lenteur, puis plus vite, en changeant le rythme, ma bien aimée connaît toutes les subtilités et les variantes pour réaliser une bonne fellation. Et Dieu qu'elle s'y prend bien ! (Même si Dieu n'y est pas pour grand-chose dans l'affaire !)

Mais, alors que le plaisir est à son comble est vient flirter avec la zone rouge de non-retour, ma fellatrice s'arrête et se relève, avant de poser ses lèvres humides et goûteuses sur les miennes. Ce baiser au goût particulier est ma foi bien agréable, même si je suis déçue de cet arrêt soudain.

"Viens sur le lit, me dit-elle, on sera plus à l'aise !"

J'obéis, docile et en totale confiance (je suis entre de bonnes mains !). Guidée par ma Douce et Tendre, je me retrouve allongé sur le lit et sur le dos, et libéré de tout vêtement, tout comme ma compagne d'ailleurs. Alors elle s'allonge à mes côtés et m'embrasse à nouveau, avant de me souffler à l'oreille :

T'inquiète pas, j'ai pas encore fini ma petite gâterie ! Tu veux que je continue au moins ?

Quelle question ! Evidemment que j'en ai envie, t'es la meilleure, ma petite C. !"

Alors, telle une liane, elle se laisse doucement glisser sur mon corps en déposant une kyrielle de baisers qui me font frissonner. Arrivée à destination, elle se saisit de ma verge posée sur mon ventre, la redresse à la verticale tout en la scrutant amoureusement, et approche sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres viennent couvrir mon gland. Alors, elle recommence ses va-et-vient. Elle relève ses cheveux. Elle sait le pouvoir erotisant qu’exerce sur moi ses talents et elle s’hexhibe, sans fausse pudeur. D'abord lentement, comme au début, comme si tout recommençait, comme tout à l'heure. Puis elle accélère, tout en revenant parfois à vitesse réduite. Grand avantage d'une relation aussi établie que la notre  , elle sait quelles caresses peuvent augmenter le plaisir et sa main vient caresser mes couilles avec douceur, tandis que mon sexe ne doit de garder sa verticalité que grâce à la bouche généreuse de C.. Il serait sinon, collé à mon ventre, tendu à l’extrème par une erection limite douloureuse. Ma verge est epaisse, gorgée de sang et de sève. Elle me la fait remarquer, la bouche pleine

- Huuuummm / Qu’eeeellle est grooosssee. Hummmm j’adooorre : Et toi ? dit elle en remontant son visage et plongeant ses yeux dans les miens. Son regard est un mix de perversité et d’amour réunis. Je l’adore et mes mains sur sa chevelure, lui intimant de poursuivre sont ma seule réponse. Parfois, ses cheveux retombent et viennent caresser mon ventre en cadence, me coupant par la même occasion la vue de son visage. Tant mieux, ça me permet de me concentrer encore plus sur ses caresses exquises, tandis que très vite, elle les replace derrière son oreille.

Mais malgré sa lenteur, je sens qu'entre ses lèvres, sa main toujours aussi douce, et ses petits gémissements étouffés, je ne pourrai pas résister longtemps.

Vite, penser à un truc pas du tout érotique ; ah je sais, les formules de maths... Trop tard ! Malgré mon avertissement censé lui faire reculer sa bouche, ma Belle continue son traitement divin et revient même me branler à vive allure avec sa main. Fatalement, quelques secondes plus tard, une vive vague de plaisir envahit mon bas-ventre, déclenchant par la même occasion le processus irréversible de l'éjaculation. Ayant absorbé le premier jet, ce qui est assez rare pour être souligné, C. retire enfin sa bouche en vitesse, sans cesser sa branlette, et m'observe déverser mon plaisir sur mon ventre... tandis qu’elle rejette mon foutre en le laissant perler à la commissure de ses lèvres

- Pourquoi tu t'es pas retirée plus tôt ? tout en savourant ma jouissance.

- Je voulais voir si cette fois j'allais aimer !

- Ah !? Toujours pas visiblement ... ! répondis-je d'un ton légèrement moqueur.

- Bin non, toujours pas, j’y arrive pas, et en plus j'ai failli m'étouffer au premier jet, c'est trop puissant quand ça sort !

Nous partons alors tous les deux dans un grand éclat de rire, avant de nous lover ensemble dans un câlin réparateur … la nuit n’est pas finie

 

 

Librement inspiré et très largement personnalisé, à partir d’un texte de Vincent - Merci

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 11:26
Bonjour

une petite ballade sur le merveilleux site de "Fee Clochette" (voir liens) nous fait nous remémorer un temoignage que nous n'avons pas du partager avec vous ...

Qu'à celà ne tienne, cet oubli est reparé. Il a été publié le 21/05/2007 sur un forum où entre autre, était posée la question :



Bonjour, c'est madame qui parle !


Petite question pour les femmes et les hommes :

- arrivez-vous à jouir juste par la sodomie ?
- Si oui, depuis toujours ou cela vous est arrivé au fur et à mesure de pratiquer ?
- est-ce la même jouissance que l'on connait avec la pénétration, la masturbation et j'en passe ?

Merci par avance à tous ceux et celles qui voudront bien m'éclairer.



Voilà ce que C. postait alors :

.../...
Bonjour

avons découvert (bien que F ai tenté de me convaincre depuis longtemps) la sodomie assez tardivement, voilà 3-4 ans ... celà restait une pratique assez exceptionnelle, quand nous étions très excités, en se donnant complètement mutuellement ... mais nous le pratiquons de plus en plus et j'y prends de plus en plus de plaisir, physique, jusqu'à jouir maintenant ...

Jeudi, nous avons fait une petite sieste, plein de calin; nous revenions du resto, les enfants avaient ''activités calmes" et j'étais très amoureuse de F. Je me suis engoufrée entre sesjambes ... et je l'ai sucè du mieux possible, suçotant, creusant mes joues autour de son gland, , relevant mes cheveux
Puis, je suis revenue vers lui, l'ai embrassé à pleine bouche, lui donnant à gouter son propre liquide séminal, nous nous sommes calinés ... j'étais très excitée (ce qui n'est pas si souvent le cas, car on est "bouffé" par le quotidien; c'est souvent F qui est l'initiateur car il a tjrs envie, ce coquin !), et je lui ai demandé, coquinement, s'il voulait bien que je le re-suce. J'ai adoré sa tête !
Alors, je me suis re-appliqué, l'ai bien pompé puis suis venue me mettre en petite cuillère ... c'est une position que j'aime bien, j'aime bien passer ma main à l'aveuglette, sentir son sexe tendu, venir jouer avec, lui faire titiller mon sexe, sa fente ... là, j'été tellement trempée que c'est entré comme dans une "corolle de fleur ouverte" (c'est ainsi qu'il aime à décrire mon petit abricaot quand il est offert).... Il m'a limé comme celà un bon moment, fort, musclé ...
Je sentais ma jouissance, très proche ... alors, j'ai décidé de venir me faire jouir, je l'ai basculé sur le dos, et suis venu m'empaler ... j'aime, et lui aussi (il me dit qu'il a alors l'impression que je prends sa queue pour un gode) ... en quelques va et vient, en malaxant ma poitrine, je suis venue ... c'était terrible, car très fort mais je me mordais les lèvres pour ne pas crier ... en location pour le w-end, nous étions trop proches des enfants !
J'avais jouie, intensément, et lui toujours pas (ce qui est rare, sans critiques aucunes, mais en général il jouit plus vite ou avec moi ...).
Je sentais sa bite toujours fièrement dressés, et j'ai eu envie de la sentir en moi, ailleurs, tout en lui offrant ce que je sais être un grand plaisir pour lui ...
On est gauche parfois, et en même temps si coquin m'a t'il dit ... je lui ai demandé s'il "voulait m'enculer" (mes mots ... re-tête ! smile.gif il devait se demander ce qui arrivait à sa p'tite femme !)
Je me suis relevé, tout en ayant saisi sa verge à la base, en lui caressant les couilles .... et je suis venue m'empaler dessus ... il était adorable, doux, me demandant si je ne voulais pas qu'il me caresse d'abord (la sodomie est souvent précédée de délicieuses caresses qu'il me prodige, soit sur le ventre, soit en levrette ... il caresse mes fesses, les malaxes, vient masser mon anus, le caresser, le humer, soufler dessus, le lécher ... jusqu'à ce que je me sente m'ouvrir literallement sous la pression de sa langue dardée; parfois, il joue de ses doigts, ou avec un petit gode avant de me prendre)
Là, non ... je voulais sa bite, je me sentais prete ... je l'ai humidifiée sur mon sexe, et en deux-trois pressions, j'ai habitué ma corolle à sa poussée puis je suis venue m'asseoir pleinement ... J'ai ressenti un peu de gène au début, mais qui s'est vite transformée en plaisir ...
Il me tenait doucement mes fermement par les hanches, et me glissais des mots assez crus, que je deteste habituellement mais qui, c'est vrai, m'excitent dans ces moments d'abandon.
Très vite, je me suis sentie venir une nouvelle fois ... c'était la VRAIE première fois par derrière, et de nouveau, je me suis sentie partir, la jouissance "montant" dans mes cuisses pour irradier mon bas ventre ... j'ai glissé une main vers mon mont de Vénus, et je pense que le seul fait d'éffleurer mon clito a été le déclencheur ...
Tout celà pour dire, que OUI, on peut jouir de la sodomie, mais que c'était une grande première.
C'était délicieux, profond, différent de l'orgasme vaginal ... comment dire ? je me sentais encore plantée sur son mat, alors que auparavant, je ne le sentais pas ainsi dans mon vagin ... j'avais continue à me frotter dessus, à titiller mon point G ... là, je ne bougeait plus, et une fois la vague passée, je me suis lentement desemboitée de lui
Il m'a dit qu'il avait senti les contractions de mon cul sur mon sexe, bcp plus exacerbé que quand je jouis du vagin ...

Il me reste d'autres choses à apprendre, en particulier envers F. je sais que lui aussi, aimerais que je m'occupe un peu plus de son anus mais ... je n'y arrive pas ... c'est bête, on s'aime comme des fous, on fait gaffe à l'hygiène, mais à part quelques doigts fureteurs, je ne peux me resoudre à aller l'embrasser, le sucer là bas ... pourtant, je sais ce qu'il me procure.
Je pense que la prochaine étape sera de la prendre avec un de nos godes (il m'a dit l'avoir déjà fait , et n'y avoir pas pris bcp de plaisir ! mais il est avide de découvertes, et pretend que si d'autres, femmes et hommes, ressentent ce plaisir, pourquoi pas lui).

Bisous et à plus (celà m'a fait un drole d'effet que de me rememorer la scène)

ah, et puis, le pôvre chéri, il n'avait toujours pas joui ... j'ai voulu le branler, de mes mains, entre mes seins ... mais il m'a demandé d'attendre ... et c'est vrai que le soir venu, il est venu de manière plus conventionelle dans mon antre et que l'à j'ai senti de longs et puissants jets chauds ... il avait des reserves, et c'est quelque chose que j'aime bcp que de sentir la jouissance de mon homme au fond de moi; celà a un coté maternel, de conception qui me plait

.../...

Tous les commentaires à http://forums.voissa.com/lofiversion/index.php/t78439.html


Bisous et bon w-end !

allez, tiens, autre référence à Fee Clochette, on lui empreinte ''sa'' photo !


Elle est belle non ? et là, la question se pose ... ? qui ? quoi ?  la photo ? la position abandonnée de la Belle ? la Belle elle-même ? sa croupe ainsi offerte ? la verge du coquin ?  ses cuisses et ses fesses ?  ... ben oui, nous on trouve tout beau !


Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 10:29
Sortons un peu de nos jeux favoris, et interessons nous à l'art !


Oupps ... il est toutefois difficile d'y échapper





Il faut dire que celà ne date pas d'hier, et que nous, Libertins d'Aujourd'hui, n'avons rien inventé :


et on dit même que Pierrot et Colombine ne sont pas aussi sages que celà !


Bref, vous voyez, qu'on le veuille ou non, on n'y échappe pas !

Bonne journée

(desolé de n'avoir pu citer les sources, car ces images viennent de blog mais nouys n'avons pas eu la présence d'esprit de les noter ... que les auteurs nous en excusent !)
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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