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Libertins Angers

Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 02:24
Ceci c’est passé il y a quelques années. Je travaillais dans une grande entreprise, et le midi je déjeunais avec les collègues dans le restaurant destiné au personnel.


Ensuite, nous nous dirigions vers le bar-tabac le plus proche pour y prendre le café.


De temps en temps et de manière assez régulière, une jeune femme d’une trentaine d’années nous côtoyait.

 

Elle devait travaillait non loin de là. De jour en jour, j’avais sympathisé avec elle, ce qui ne manquait pas de provoquer les railleries, un tant soit peu jalouses, de mes collègues.

 

C’est pourquoi, un jour, souhaitant y mettre fin tant pour moi que pour elle, je lui ai proposé de la rencontrer dans un autre café, quelques rues plus loin.

 

Elle était d’accord. Ainsi nous eumes la paix et primes le temps de nous découvrir. J’aimais sa présence et c’était chaque jour, quelques petites mn de bonheur de la retrouver et de converser avec elle. On discutait de tout, de rien, comme ça, tranquillement pendant 20’ / une demi-heure en buvant notre café.
Nous parlâmes de nous, de nos jobs, de nos familles (tous deux mariés, moi avec enfants, elle non), de notre enfance et adolescence (elle dans la région, moi loin, …) etc …
Au fil du temps, j’appris qu’elle habitait dans le quartier à 10 mn à pied, mais que mangeant seule chez elle le midi, elle aimait s’arréter prendre le café dans l’ambiance et de brouhaha d’un café, avant de rejoindre le magasin de vêtements où elle ne reprend qu’à 15 h.
Un jour, sachant que je suis pas mal bricoleur, elle me demanda si le lendemain, au lieu de prendre le café au lieu convenu, je ne pouvais pas la rejoindre chez elle car, après avoir bougé son téléviseur la veille, elle n’avait plus d’image.


Je n’y vois, alors, pas malice et lui dit que ce sera avec plaisir, que j’essaierai. Elle ne donne l’adresse, et m’explique où est-ce. C’est effectivement tout près, dans des petits immeubles assez coquets. Le lendemain, je sonne en bas de chez elle : elle me donne le code, et m’indique, 2ème à gauche.


C’est l’été, il fait chaud. Elle m’attend dans la porte entrouverte; elle est habillée de manière assez charmante, mais c’est assez souvent le cas, et rien ne me laisse supposer la suite. Après coup, je me dirais que son chemisier était bien entrouvert … M’accueillant, elle prend ma veste et l’accroche au porte manteau. Je jette un bref coup d’œil : un couloir, à gauche la cuisine et ce qui semble être la salle de bain, en face la chambre dont la porte est ouverte. Au droite, le séjour.
Elle me fait entrer, et m’invite à m’asseoir sur le canapé. Elle reste debout, allume la télé qui s’emplit de neige, caractéristique … Elle quitte la pièce, me disant qu’elle rapporte le café. J’ai tout de suite compris que l’antenne était débranchée, et d’un saut je suis vers son écran, le pivote, rebranche. Le problème a été vite résolu.
Elle revient avec les deux tasses, sucre et s’exclame … déjà ! Oh c’est super un homme comme toi ! Et s’assoit sagement à côté de moi.

 

On a discuté un peu, comme d’habitude. Nos tasses étant vides, elle me demande si je suis pressé. Je lui réponds que non … alors, se saisissant des tasses, elle me dit attends moi, je passe un autre truc et j’arrive … j’imagine qu’elle va descendre avec moi … tandis qu’elle est sortie, je me lève et regarde l’étagère à CD


Après quelques minutes d’absence, je l’entends revenir, ses talons claquent dans le couloir et s’arrêtent … je me retourne ……. Elle est nue, devant moi, simplement chaussée de très belles sandales à talons !

Ouahou ! Je me sens comme le loup de Tex Avery.

 

Il faut dire qu’elle est très belle ainsi, pas très grande mais fine, 1 m 60, 45 kg, une toison noire bien fournie, des petits seins aux tétons arrogants !

 

En 10 ans, je n’ai jamais trompé ma femme, modèle du même âge, un peu plus grande et aussi belle, me donnant entière satisfaction.

 

Je crois que je me suis fait bêtement piéger. Je n’ai rien vu venir !! Pour moi ce n’était qu’une simple copine que j'allais dépanner …


Je sentis toutefois mon sexe instantanément gonfler à la vue de cette beauté.

 

Elle est venue près de moi, m’a embrassé en me glissant Merci pour la télé et a mis une main bien appuyée sur la bosse qui déformait mon pantalon.

 

De mon côté je n’ai pas pu résister à la tentation de caresser ses seins. Je les sentais durcir et les tétons s’ériger ; j’y ai porté mes lèvres ce qui lui a tiré un gémissement. Elle a dégrafé mon pantalon, puis ouvert ma braguette. Par l’ouverture du boxer, elle a fait jaillir mon sexe déjà bien tendu et luisant d’une goutte d’excitation.

Passant une main entre ses cuisse, je m’aperçu qu’elle était déjà trempée.

 

Je décidais de me rassoir, l’attirant vers moi. Je choisi le fauteuil qui était le plus proche. Elle vint se mettre à genoux à mes pied, avant de ses saisir de mon sexe, de jouer un peu , de le promener sur ses joues, dans son cou avant de l’emboucher. Sa bouche était chaude et douce, et elle savait y faire. Dans ma naïveté, je ne l’aurais pas cru aussi salope … Elle se montra très gloutonne, pompant mon dard au maximum, excitant le gland du bout de la langue et caressant mes couilles. Son action fait durcir et augmenter un peu plus la longueur de ma tige et la dimension de mon gland gland. Elle se saisit de mes jambes et les passa sur les accoudoirs. Elle me fit alors ce qu’aucune ne m’avait jamais faite : elle vint tout en me branlant le gober les testicules, et parfois sa langue vint s’immiscer plus bas, jusqu’à mon anus. J’adorais cela. J’avais l’impression que ma bite n’avait jamais été aussi grosse : elle lui comble la bouche. Pourtant elle l’ouvre en grand et elle va tellement loin que par moment elle manque de s’étouffer.

 

Nous changeons de position et me me couche avec elle sur le tapis qui est devant les fauteuils. Ainsi, à moitié en 69, je me mets à titiller son clito tout en introduisant 2 doigts que je fais aller et venir dans son vagin plein de mouille. Son sexe est adorable, et en écartant les lèvres velues, je peux admirer les chairs roses de l’entrée. Sentant toutefois qu’à ce régime je ne pourrais pas tenir longtemps, je la repousse. Je ne veux pas jaillir dans sa bouche, car j’ai de plus en plus envie de la prendre.
Elle se retourne et se met à califourchon face à moi, au-dessus de mon pieu, le prend en main est s’embroche doucement. Penchée en avant, elle monte et descend, me faisant disparaître dans son ventre. Je bute au fond du vagin, la sensation est extraordinaire. Elle mouille abondamment, son jus coule sur mes couilles. Son vagin est étroit, je sens qu’elle le contracte, mais je coulisse facilement à l’intérieur, c’est bon.
Tout absorbé à la limer, soudain je sens comme une présence. Je lève les yeux et vois un mec dans l’encadrement de la porte !

Je suppose que c’est le mari dont elle m’a parlé en tout il ressemble à la dsecription qu’elle ma faite. Il n’a pas l’air très heureux et en l’espace d’une seconde je comprends dans quelle situation nous nous trouvons …

Tout à notre plaisir, on ne l’a pas entendu arriver, je ne sais pas depuis combien de temps il nous observe. Il ne bouge pas et regarde sa femme en train de baiser. Il a ouvert son pantalon et astique son braquemart en érection (un sacré morceau) puis, se rendant compte que je l’ai vu, s’avance vers nous l’engin en main. Elle continue ses va et vient, elle ne se doute de rien, tournant le dos à la porte et savourant son plaisir, yeux fermés. Arrivé sans bruit derrière elle, d’une main il appuie sur son cou pour l’aplatir sur moi et l’immobiliser. Surprise, elle pousse un cri et essaye de se dégager, mais elle est emmanchée sur ma bite, et en bougeant offre son cul à la pine qui se présente en face de son petit trou. Sans ménagement il écarte les fesses, force l’entrée, l’empale d’un seul coup, s’enfonce jusqu’aux couilles, la faisant crier. Puis, la tenant fermement par les hanches et l’écrasant sur moi, il commence ses va et vient sans tenir compte de ses protestations.

Elle a beau crier Non, arrête ! tu me fais mal, arrête Aie …  arrête.

 

A chaque coup de butoir, il lui replique tiens garce prends ça  et il la burine de plus en plus fort.

Elle crie, pleure, le supplie d’arrêter, le traite de salaud, mais rien n’y fait, il a décidé d’aller jusqu’au bout. Lui aussi l'injurie ...


Elle est aplatie sur moi, à genoux, jambes écartées au maximum. Je suis toujours dans son sexe, je ne bouge plus. Je ne sais que faire, et serait de toute façon bien en peine de bouger !

L’acharnement de ce mec dans son cul la fait aller d’avant en arrière. Ce pilonnage me fait coulisser en elle au même rythme que ce mec qui se déchaîne dans son cul. Je sens sa queue frotter la mienne au travers des fines parois du vagin et du rectum. Sensation que je n’avais jamais connue auparavant. Je ne peux plus tenir, mon sexe est à l’étroit dans ce fourreau chaud et humide, il gonfle et en quelques soubresauts, j’envoie plusieurs giclées de foutre au fond du préservatif qu’elle m’avait habilement passé. Il la pilonne de plus en plus vite, se bloque au fond, s’arrête. Dans un long râle, il décharge dans ses entrailles, s’immobilise quelques instants, redonne plusieurs coups de butoir pour terminer l’assaut. Il transpire, halète, me regarde, a l’air de se calmer.
Puis tout s’accélère. Il sort sa queue du cul de sa femme, la bascule et la fait tomber sur le sol au pied du canapé. Elle est en larmes, recroquevillée par terre.

Lui est furieux et la traite de putain. Elle lui répond  salaud, tu m’as enculée . Je me lève précipitamment. Je tiens mon pantalon pour qu’il ne tombe pas à mes pieds. Il est devant moi, la bite toujours dressée, ne dit rien, m’attrape par la chemise. A voir sa tronche, je m’attends à prendre son poing dans la gueule.

Penaud, mal à l’aise, je le regarde droit dans les yeux, la bite et les couilles toujours à l’air. Il me toise de la tête aux pieds et, sans ménagement, me pousse dans le couloir, prend ma veste, ouvre la porte, et d’un coup de pied dans le bas du dos m’expédie sur le palier en y jetant ma veste.

Heureusement qu’il n’y avait personne à ce moment là ! Pas fier, j’ai remis en place l’objet du délit revenu rapidement et piteusement au repos, fermé le pantalon, enfilé la veste, mis un peu d’ordre dans ma tenue.

 

J’ai redescendu les escaliers quatre à quatre pour évacuer la pression.

 

Je l’avais échappé belle ! Je suis rentré au bureau.

 

J’ai quitté la veste puis je me suis rendu aux toilettes, pris du papier essuie main au dévidoir. J’en ai mouillé un et je l’ai enduit de savon liquide. Un autre simplement mouillé et un 3ème sec. Je me suis enfermé et, assis sur le siège, je me suis lavé et rincé soigneusement la queue et les couilles. Ensuite je me suis essuyé avec le papier sec. J’avais l’impression d’avoir sur moi une forte odeur de sexe. Je crois l’avoir fait disparaître. Je ne voulais pas que mes collègues et surtout ma femme se doutent de quelque chose.


Le soir, peut être parce que je me sentais coupable de m’être laissé entraîner dans cette aventure, mais surtout parce que j’en avais très envie, j’ai fait l’amour à ma femme comme au début de notre rencontre. Nous avons joui en même temps, c’était sublime.


Finalement, ça a été une journée mémorable, mais que ce serait-il passé si on en était venu aux mains. Comment expliquer une tête au carré en rentrant à la maison ? Je me sentais vraiment fautif, n’ayant pas su résister à la tentation. Je n’ai pas réagi quand il m’a attrapé pour me flanquer dehors.

 

La situation était plutôt compromettante, je reconnais avoir manqué de courage. Je n’étais pas fier, j’étais chez lui, surpris en train de baiser sa femme...

 

Mais que faire quand on a la bite à l’air et le pantalon qui risque de tomber sur les chaussures ?

Heureusement que le mec n’était pas trop vindicatif. Il avait peut-être trouvé l’occasion d’assouvir un fantasme, car je pense que sa femme, aussi douée et coquine ait-elle été, devait être rester vierge du cul ?

 

Par contre je ne connais pas sa réaction après mon départ.

Il y a sûrement eu une explication mouvementée.


La semaine suivante, je suis retourné là où nous avions l’habitude de nous voir. Elle n’est pas venue. J’y suis retourné, j’ai essayé de la voir dans le magasin où elle m’avait dit travailler. Je ne l’ai jamais revue… puis j’ai changé de job et de région.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 22:10
Un très beau texte publié sur Revebebe, #11189. Que ses auteurs nous pardonnent de l'avoir emprunté ... il décrit la Vie, ses errements, une soif de vengeance, les retrouvailles et ce que l'auteur décris si bien comme une convalescence ... Bonne lecture

Un pied dénudé vient caresser mon mollet sous la table de la salle à manger. Instinctivement, je replie mes jambes.

Face à moi, Céline me sourit pendant qu'autour de nous la conversation suit son cours. Un sourire discret, amusé, mais surligné par un regard franc.

À quoi joue-t-elle ?

 

Elle est mariée, moi aussi.

Elle s'entend bien avec ma femme.

Son mari est un de mes amis d'enfance.

Nos enfants jouent ou regardent un DVD dans la pièce voisine.

Nous nous connaissons depuis plus de dix ans.

Jamais il n'y a eu l'ombre d'une ambiguïté entre nous. D'accord, elle a un peu bu, comme nous tous d'ailleurs. Et l'après-midi, je l'ai emmenée escalader la Mesle, une petite montagne qui surplombe la ville. Escalader est un grand mot : 700 m de dénivelé, par un chemin de randonnée. L'air était doux, mais le vent violent. Et je sais la béatitude due à la fatigue, qui prolonge ce genre d'effort.

Mais quand même !

 

Je veux en avoir le cœur net. Je rallonge mes jambes vers elle. Et son pied reprend sa danse le long de mon mollet, son regard se pose à nouveau sur moi. Ça ne dure que quelques secondes. Puis Céline retire son pied, se redresse sur sa chaise, et revient se mêler à la conversation. Je la trouve soudain étrangement volubile. Elle redemande du vin en riant :

 

Je me sens divinement bien. Ça doit être l'alcool, et l'effet de cette balade sur la Mesle. Quel dommage que Pierre ne soit pas là pour en profiter !

 

Les autres prennent cette phrase au deuxième degré, une simple plaisanterie de fin de dîner. Moi, je me sens rougir. Pierre est parti la veille. Il devait raccompagner son père dans le Midi, puis rejoindre son travail à Paris.

Moi aussi, je suis célibataire, depuis ce matin : Claire a pris le train pour Paris. Même motif, le travail.

 

Nous nous levons de table, pour passer au salon. Céline, maîtresse de maison, s'installe dans le fauteuil le plus près de la cheminée et prend une attitude féline. Elle enlève ses ballerines, s'étire vers le feu :

 

Je ne sens plus mes jambes. J'aurai des courbatures demain.

 

Lionel, un des invités, habitué aux randonnées en montagne, lui parle d'un baume miracle ramené d'un voyage en Thaïlande. Céline poursuit sur le même thème :

 

J'aurais bien besoin que quelqu'un me masse les jambes avec ton baume.

 

À nouveau, personne ne voit malice dans cette phrase.

Sauf moi.

Car lorsqu'elle a balayé la salle du regard en prononçant ces mots, ses yeux se sont arrêtés sur moi un bref instant. Je ne comprends pas ses simagrées. Céline n'a rien d'une allumeuse. Elle est belle femme, elle le sait : pas très grande, mais fine, vive, et à l'aise dans son corps, au point d'en jouer maintenant devant le feu, en allongeant ses jambes, en plaçant les mains derrière sa tête, ce qui fait saillir ses seins sous son pull. Cette posture alanguie la rend très désirable. Mais je suis persuadé qu'aucun des invités n'y prête vraiment attention. Sa réputation de femme fidèle et son amour pour Pierre sont solidement établis.

 

Ils forment un couple solide et sain. Tout se sait dans une bande d'amis qui se fréquentent de longue date et se retrouvent lors des vacances. Jamais je n'ai entendu le moindre ragot sur Céline, pas plus que sur Pierre. Je m'en veux d'éprouver maintenant des doutes. Je me persuaderais presque d'avoir rêvé, s'il n'y avait le souvenir de ce pied contre mon mollet une demi-heure plus tôt, ce pied nu que je ne peux m'empêcher de regarder alors que Céline tend ses jambes vers les flammes.

 

Mais il n'est plus d'allusion à double sens. Céline est redevenue Céline, la femme insoupçonnable de Pierre. La soirée s'achève en pente douce. Au moment où les invités se préparent à partir, elle se tourne vers moi :

 

Christophe, les enfants s'amusent bien. Je suis sûre que tes fils aimeraient dormir à la maison. On mettra un matelas par terre.

 

Je n'ai pas le temps de répondre. Quatre voix d'enfants approuvent avec enthousiasme. Mes fils m'entourent de leurs bras :

 

Dis oui, Papa. C'est les vacances. Maman n'est pas là...

 

Claire est en effet plus sévère que moi sur ce chapitre : elle tient à ce que nos enfants se couchent tôt. Je ne veux pas passer pour le Père Fouettard.

J'accepte.

Les autres invités s'en vont. Moi, je reste pour aider Céline à dresser un campement de fortune dans la chambre de ses enfants, pour son fils et les deux miens, pendant que sa fille va dormir dans une autre chambre. Je m'en vais à mon tour pendant que les enfants se brossent les dents dans la salle de bains. Céline m'accompagne à la porte :

 

Laisse-moi une demi-heure. Une heure peut-être, si les enfants font la corrida. Je te rejoins chez toi. Attends-moi …

 

???

 

Et elle ferme la porte.

 

-----

 

Dans la voiture, je repense à ses mots, je revois chaque détail du dîner ou de notre escalade de la Mesle avec un couple d'amis.

Et je ne comprends rien.

Je suis un homme fidèle, Céline le sait.

Pas par devoir, ni par choix. Parce que c'est ainsi, parce que Claire me suffit, sur tous les plans, parce que ça me paraît être dans la nature des choses, parce que c'est plus simple aussi. Je n'ai pas non plus le physique de ces hommes dans les bras desquels se jettent les femmes. Je suis dans une honnête moyenne. Pour séduire, il faudrait que je fasse le premier pas. Je ne sais plus le faire.

 

Si au moins j'avais senti de sa part un intérêt s'éveiller doucement, un jeu de séduction s'installer progressivement entre nous depuis plusieurs mois, j'aurais pu réfléchir, prendre une décision.

Mais là, jusqu'au moment où elle m'a fait du pied sous la table, je n'ai rien vu venir.

Et ensuite, tout est allé trop vite. Je suis cartésien. J'ai besoin de comprendre, d'assembler toutes les pièces d'un puzzle.

Là, je n'y parviens pas.

 

Arrivé dans mon appartement, j'ouvre grand les fenêtres. L'air vif venu de la mer et le bruit des vagues me font du bien. Je prends un verre d'eau gazeuse. Surtout pas d'alcool. J'ai assez bu. J'espère que les bulles m'éclairciront l'esprit. J'allume une cigarette. Rien n'y fait. Mes pensées s'entrechoquent. Pourquoi un comportement si subit de sa part ? Je ne trouve la paix qu'en me décidant à lui poser des questions, dès qu'elle aura franchi la porte. Il faudra bien qu'elle réponde, qu'elle m'explique. Alors, je l'attends, puisque je n'ai rien trouvé de mieux à faire.

 

-----

 

L'attente n'est pas longue. 35 minutes exactement, j'ai regardé ma montre au moment où j'ai entendu des coups frappés à la porte. Et trois cigarettes. Céline ne s'est pas changée, toujours en jeans, avec un pull et ses ballerines. Je n'ai pas le temps de lui poser les questions que j'avais prévues. C'est elle qui parle, très vite, elle n'est plus aussi à l'aise que tout à l'heure, peut-être parce qu'elle n'est plus chez elle, mais chez moi, chez Claire, en terrain adverse :

 

Les enfants étaient claqués. Ils se sont vite endormis. Je ne crois pas qu'ils se réveilleront. Sinon, ma sœur s'occupera d'eux. Je lui ai tout dit. Nous n'avons que quelques heures. Et il n'y aura qu'une fois. Nous parlerons après, si tu veux.

 

Elle n'attend pas ma réponse, elle m'embrasse, ses lèvres sont chaudes, ouvertes, sa langue se glisse dans ma bouche. Je suis tellement surpris qu'elle me déséquilibre. Elle est pourtant plus petite que moi, mais je recule jusqu'à trouver appui avec mon dos contre la cloison de l'entrée. Ses lèvres n'ont pas quitté les miennes, son corps se plaque contre moi, ses mains tiennent mon visage, je sens ses seins, son ventre, ses hanches. Jamais une femme ne m'a embrassé la première, et surtout pas ainsi.

C'est idiot, mais je ne sais pas quoi faire.

Toutes mes résolutions s'envolent. Elle le sent, me prend la main et m'attire dans ma chambre, les lieux lui sont familiers, elle est souvent venue chez nous avec Pierre.

 

Le lit n'est pas fait depuis que Claire l'a quitté le matin. Ça me gêne. Pas Céline. Elle me pousse dessus, continue de m'embrasser en me chevauchant, se redresse pour faire passer son pull par-dessus sa tête et dégrafer son soutien-gorge. Ses seins sont lourds, frappés de larges aréoles brunes. Je les connais, pour l'avoir souvent vue poitrine nue l'été sur la plage. Mais jamais je ne les avais trouvés si beaux, si pleins, si émouvants, sans doute parce qu'ils pointent vers moi. J'y porte les mains. Je les presse plutôt que je ne les caresse. Ce geste brutal lui arrache un soupir, ses yeux brillent.

 

Elle se penche à nouveau vers moi pour m'embrasser pendant que je sens ses mains passer sur mon ventre, détacher ma ceinture, puis s'attaquer à son propre jeans. Elle se tortille, fait glisser son pantalon en même temps que son slip, j'entends le bruit feutré de ses ballerines qui tombent sur la moquette. Elle est nue, et défait maintenant les boutons de ma chemise en embrassant mon torse, en me mordant le bout des seins. Je ne veux plus rester passif. Et il est trop tard pour les explications. Elle soulève son bassin pour que je puisse enlever mon pantalon et tout le reste, puis le repose et commence à onduler sur moi. Ma bite, comme autonome, répond aux mouvements de son sexe. Je bande comme un cerf. J'ai pourtant fait l'amour avec Claire la veille au soir. Mais c'est un autre corps, une autre odeur, un autre goût, d'autres mots, plus violents :

 

J'ai envie de toi, prends-moi !

 

Je la retourne. Elle n'a pas menti. Je pose ma main sur son sexe, glisse un doigt dans sa fente. Elle est trempée et ouvre les jambes pendant qu'un gémissement s'écoule de sa bouche grande ouverte. Je la pénètre doucement pour sentir mon sexe écarter ses chairs et glisser jusqu'au fond de son vagin, en butée. Elle pousse un petit cri aigu, ses jambes se referment sur mes reins, ses bras serrent mon corps, elle m'immobilise en elle un instant, en me regardant, comme pour mesurer l'importance de ce moment. Puis s'abandonne, rejette la tête en arrière et relâche son étreinte. Je la prends lentement, mais puissamment, régulièrement en regardant son visage qui bat d'un côté à l'autre de l'oreiller, les yeux clos. Son vagin est chaud, doux, profond, j'ai envie de m'enfoncer jusqu'à m'y perdre. Elle gémit, accompagne mes mouvements en avançant son bassin vers mon sexe. Ses mains se crispent sur mes épaules, elle me regarde à nouveau, son corps se tend : je sens qu'elle va jouir. J'accélère le rythme pour lui faire franchir l'ultime cap et l'accompagner dans le plaisir. Elle jouit la première en mettant la tête dans le creux de mon épaule, une houle remonte le long de son corps, plusieurs fois, la dernière m'emporte, je ne cherche pas à me retenir et explose en elle.

 

Céline me garde un moment en elle. Puis me retourne et reste sur le dos à mes côtés, tranquillement impudique, yeux fermés, jambes ouvertes. Je regarde son corps. Sa toison est très brune, épaisse, touffue. Ses seins se soulèvent au rythme de sa respiration. Je suis de mes doigts les contours de son corps. Il est moins ferme que je ne l'avais cru en la voyant en maillot sur la plage. J'aime cet outrage du temps, qui la rend émouvante, humaine. J'éprouve un sentiment de fierté masculine : en cet instant, elle est à moi, elle que je croyais inaccessible, forte, sans faiblesse.

 

Elle ouvre les yeux. Elle a un gentil sourire de jeune fille après l'amour. Je veux lui parler. Je lui demande pourquoi, pourquoi moi, pourquoi ce soir, pourquoi si vite. Elle pose un doigt sur mes lèvres :

 

Pas maintenant. Demain, je te dirai. Mais pas maintenant, s'il te plaît.

 

Elle vient sur moi, m'embrasse, glisse le long de mon corps en le couvrant de baisers, et pose sa tête sur ma cuisse, lèvres contre mon sexe. Elle le regarde, le respire, le touche, essuie avec sa langue le sperme qui s'écoule de mon gland. Ce n'est pas sexuel, plutôt tendre. À ma grande surprise, je recommence déjà à bander. Mais elle se lève, me dit qu'elle revient, et file dans la salle de bains. J'entends des bruits d'eau.

 

Seul sur le lit, je regarde cette chambre que Claire a quittée le matin même et qui porte sa marque. Bizarrement, je n'éprouve pas de sentiment de culpabilité. Je me sens bien, apaisé par le plaisir. Céline revient, se remet exactement dans la même position, mais cette fois ses caresses sont plus sexuelles, plus précises. Son corps pivote, son vagin vient devant mon visage tandis qu'elle prend mon sexe dans sa bouche et me taille une pipe. Elle sait ce qu'aime un homme, ce dont je n'avais jamais douté.

Pierre, quand il l'a rencontrée, n'avait pas été avare de détails sur ses talents amoureux. Avant de devenir plus discret, lorsque leur histoire était devenue sérieuse. Une de ses phrases me revient en mémoire. Une fanfaronnade qu'échangent les jeunes hommes en fin de soirée, sur le ton de la confidence : Elle aime la bite.

 

Maintenant, Céline me le prouve. Une de ses mains serre mes testicules. L'autre, passée sous ma cuisse, écarte mes jambes et caresse avec ses ongles la naissance de mon sexe, poussant l'exploration jusqu'entre mes fesses. Sa langue remonte ma hampe, fait le tour de mon gland, puis sa bouche prend le relais, plus forte, plus impérieuse. L'attaque est si soudaine, si totale, si experte, que j'ai la tentation naturelle de m'abandonner. Mais si elle s'est mise en 69, c'est bien qu'elle attend autre chose de moi. Je relève la tête pour lui faire un cuni. Elle accueille ma langue avec un frémissement qui parcourt tout son corps et fige un instant sa bouche, ses mains.

 

Son odeur intime est musquée, mélange de nos sécrétions. Mais je n'aime pas sentir sur ma langue le sperme dont j'ai tapissé son sexe. Je dégage mon visage et poursuis ma caresse avec ma main. Mes doigts en fourche glissent le long de son clitoris dur et lisse. Elle gémit, ses mouvements de bouche sur mon sexe deviennent plus désordonnés, ses fesses dansent lentement devant mes yeux. Je les écarte de l'autre main. Son anus est d'un marron très foncé, bien dessiné. J'ai l'impression qu'elle me l'offre. J'y porte la bouche. Il sent le savon. Je comprends pourquoi elle s'est absentée dans la salle de bains...

 

Après la bouche viennent les doigts. Je les humidifie avec ma salive ou en les plongeant dans son vagin ruisselant. Je la pénètre doucement, détend les muscles de son anneau d'un mouvement circulaire. Elle ne me caresse plus. Maintenant, c'est elle qui s'abandonne, visage de nouveau posé contre mon sexe. Seul son bassin bouge : son anus s'empale sur mon doigt, son clitoris suit le va-et-vient de mon autre main.

 

Ses gémissements deviennent plus aigus, ses mouvements plus saccadés. Je retire mon doigt de son anus, le remplace par mon pouce. Je la tiens ainsi par les reins, avec ma main en crochet, pendant que son clitoris glisse entre mes doigts en fourche. Elle redresse le torse pour jouir, bras dressés sur le lit, tête rejetée en arrière, je sens les vagues du plaisir en elle aux contractions de son anus sur mon pouce. Puis elle retombe, inerte, vaincue, fesses toujours en l'air, prises. Et a un geste extraordinaire : elle allonge les bras dans son dos, pose les mains sur ses fesses, et les écarte !

 

Je me sens puissant, mâle, presque animal. Mon sexe est dur. Il y a des années que je n'ai pas sodomisé Claire. Et jamais une femme ne m'a offert ses fesses comme Céline vient de le faire. Je me redresse et me mets à genoux derrière elle. Céline reste dans la même position, fesses ouvertes par ses mains, bassin relevé et tendu vers mon pouce, à plat ventre sur le lit. J'enfonce mon sexe dans son vagin, pour le lubrifier. Je retire doucement mon pouce, pose mon gland à l'entrée de son anus et exerce une légère pression. Ses chairs s'écartent, mais pas aussi doucement que je l'avais espéré. Ma pression devient plus forte. Elle cède par paliers, centimètre par centimètre. Je vois ses mains se crisper sur ses fesses, son dos se raidir :

 

Je te fais mal ? Tu veux que j'arrête ?

 

Non, va doucement mais continue, ne te retire pas.

 

Elle est étroite. Quand je parviens au fond d'elle, je n'ose pas bouger. Je commence par des mouvements lents, puis j'accrois leur amplitude, leur rythme. Je la sens se relâcher, accepter mon sexe qui coulisse. J'ai l'impression que son anus est moulé autour de moi. Il est moins doux que son vagin, mais sa pression plus intense. Je ne me soucie plus d'elle. Je ne pense qu'à moi, qu'à mon plaisir. Ses reins se creusent quand je la pénètre. Elle a retiré les mains de ses fesses pour les poser de chaque côté de sa tête. Je la tiens par les hanches, je vais et je viens dans son anus à l'anneau maintenant dilaté, violemment. Le plaisir me fait perdre tout contrôle. Pas une seconde je ne songe à retenir sa montée pour prolonger ce moment qui ne reviendra probablement jamais, je rugis en la plantant une dernière fois jusqu'à la garde, et m'écroule sur son dos.

 

 

Nous restons là un instant, sans bouger. Mon sexe se rétracte. Je sors d'elle, doucement, puis vais me laver dans la salle de bains. Quand je reviens, elle est couchée sur le côté, une main sous sa tête, et me sourit gentiment. Je m'allonge contre elle. Elle vient se pelotonner contre moi, câline, bras repliés et mains sagement jointes sur mon torse. L'intensité est retombée. Une forme de gêne m'envahit. Je ne pousse pas l'hypocrisie jusqu'à regretter mon comportement, mais je m'en veux de l'avoir prise comme un soudard :

 

Excuse-moi, je me suis laissé emporter. Je n'ai plus l'habitude, tu sais.

 

Moi non plus, répond Céline en riant. Ce ne sont plus des choses qu'on fait dans un couple. C'est dommage, d'ailleurs. Mais tu ne m'as pas ménagée...

 

Je t'ai fait mal ?

 

Un peu, ce n'est pas grave. C'était très bon quand même. Et puis, j'en avais envie. Je suis contente de l'avoir fait.

 

L'amour la rend gaie, presque euphorique. J'aime la manière dont elle ouvre ses jambes pour les frotter contre les miennes. C'est un joli moment de paix, de plénitude. Je ne sais toujours pas à quoi je le dois, ni de quoi demain sera fait, mais je me sens à la fois vidé et heureux. Les minutes passent, dans cette douce hébétude. Soudain, Céline a un sursaut :

 

J'ai failli m'endormir. Il ne faut pas. Ma sœur doit être folle d'inquiétude, je dois rentrer.

 

Elle m'embrasse, puis recouvre mon corps de baisers légers, comme si elle lui disait au revoir. Arrivée à mon sexe, ses baisers se font plus insistants :

 

J'aimerais te faire jouir dans ma bouche.

 

Je ne crois pas que je peux, pas tout de suite. Je n'ai plus 20 ans.

 

Laisse-moi essayer, et détends-toi.

 

Sa bouche happe mon gland, ses ongles agacent mes testicules. Mon sexe reprend un peu de vigueur, pas beaucoup, mais suffisamment pour qu'elle en prenne possession. Pour me stimuler, je repense à cette soirée, à des images précises : son pied sous la table, ses seins qui se soulevaient après l'amour, ses mains écartant ses fesses. Je pose ma main sur sa nuque, pour guider son rythme. Mon sexe n'est toujours pas dur, mais le plaisir monte. Je dois me concentrer pour ne pas le perdre. Ce n'est pas la meilleure pipe de ma vie, car je n'ai plus grand-chose à donner, mais elle finit par m'emmener à l'orgasme, et se relève vers moi :

 

Désolée d'avoir insisté. Je sais que tu n'en avais plus vraiment envie. Mais je voulais avoir ton sperme partout.

 

Cette phrase me fait penser, pour la première fois mais un peu tard, que nous n'avons pas utilisé de préservatif. De toute manière, je n'en avais pas. Et je n'en ai jamais mis, je suis de la génération d'avant...

 

Un ultime baiser. Sa bouche porte désormais le goût de mon sexe. Elle se lève et se rhabille :

 

Ne m'accompagne pas. Je connais le chemin. Laisse les enfants dormir, demain. Tu n'as qu'à passer vers 11 heures.

 

-----

 

Nous étions revenus dans la réalité de nos vies. J'entends la porte se refermer. J'éteins la lumière. Les draps sentent l'amour. Mon gland est douloureux, séquelle de la sodomie. Je pense à Céline, à la manière dont elle s'est donnée à moi, sans prévenir, mais totalement. Je me demande, l'émotion retombée, si je ne me suis complètement trompé sur son compte, sur la nature du couple qu'elle forme avec Pierre. Pour qu'elle ait agi comme ça, pour qu'elle ait prévenu sa sœur qu'elle allait me rejoindre, je ne suis certainement pas le premier.

 

Cette réflexion me laisse un goût amer. On croit connaître les gens. Et on découvre subitement que la femme d'un de vos amis, dès son mari parti, va se faire sauter par un homme sans doute choisi plus ou moins au hasard dans son entourage ! Pierre avait raison : sa femme aime la bite. Il est trop tard pour faire preuve de solidarité masculine, mais je pense à lui. Pauvre Pierre, il a épousé une vraie salope. À moins, ce qui serait pire encore, qu'il ne parvienne plus à la satisfaire. Oui, ce doit être l'explication. Une femme sexuellement frustrée, la fatigue due à un effort physique, un peu d'alcool, son mari absent, sa libido qui l'emporte.

 

Mais je n'éprouve pas de remords à l'égard de Pierre. Quel homme saurait résister quand une jolie femme s'offre à lui de manière si brutale, sans lui laisser le temps de réfléchir ? En revanche, j'en veux à Céline. D'être femme adultère, une femme facile, de m'avoir retourné comme un gant alors que, pendant onze ans, jamais je n'avais trompé Claire. Mais je crois que je lui en veux surtout de m'avoir laissé seul, d'avoir rompu le charme. Pour chasser cette mauvaise pensée, je m'adresse une sorte de satisfecit masculin : trois fois en un peu plus d'une heure, je ne m'en savais plus capable...

 

Au réveil, mon sexe est toujours un peu endolori. Preuve que je n'ai pas rêvé. S'il était besoin, Céline a laissé une autre preuve : son slip blanc trône sur la moquette, au pied du lit. Je souris. Aucune femme n'oublie son slip en se rhabillant. Elle l'a donc laissé volontairement. Je ressens une forme d'admiration pour elle : tant qu'à être amorale, autant l'être jusqu'au bout. Elle l'assume parfaitement, jusqu'à laisser son slip en trophée à son amant d'un soir. Je le porte à mon nez, pour retrouver l'odeur de son sexe. Je ne peux me résoudre à le jeter. Pas tout de suite. Alors, je le range parmi mes affaires dans l'armoire.

 

C'est sa sœur cadette, Noémie, qui m'ouvre la porte quand je vais chercher mes fils. Son regard est insistant, mais plutôt scrutateur qu'hostile. J'entends les rires des enfants dans la cuisine. Je les appelle. Ils me rejoignent en courant et se jettent dans mes bras. Céline arrive sur leurs pas, m'embrasse sur les joues. Elle est en jupe, toujours avec ses ballerines. Cette tenue et l'absence de maquillage la rajeunissent, lui donnent presque un air angélique, elle qui m'a offert un tout autre visage pendant la nuit. Mes enfants repartent aussitôt jouer avec les siens. Je ne sais pas quoi lui dire. Céline prend les devants :

 

Noémie, je vais faire un tour avec Christophe, je n'en ai pas pour longtemps.

 

Nous sommes allés sur le sentier des douaniers, qui longe la mer. Une fois la maison loin, elle a pris mon bras, et posé sa tête sur mon épaule :

 

Je te l'ai dit : il ne faut pas qu'on continue. Mais c'était très bon hier soir. Et tu m'as fait mal, brute, je sens ta trace. Laisse-moi juste le temps de me déshabituer de toi. Je ne vais quand même pas marcher à côté d'un homme qui m'a fait l'amour la veille comme s'il était un simple ami ?

 

Ça t'arrive souvent ?

 

Quoi ?

 

Ne fais pas l'idiote, de tromper Pierre ?

 

Non. C'était la première fois.

 

Menteuse !

 

Bon, d'accord. J'ai eu une histoire, au début. J'étais amoureuse. Pierre, pas encore. Je voulais me prouver que je n'étais pas entièrement sous son emprise. Mais c'est tout, je te le jure, jusqu'à toi.

 

On se connaît depuis combien de temps : douze ans ? Plus peut-être. Alors pourquoi moi ? Et pourquoi si vite, puisque que tu prétends être une femme fidèle ?

 

C'est compliqué...

 

Arrête Céline. Moi, je n'avais jamais trompé Claire, jamais tu m'entends ? Tu me dis qu'on s'arrête là, très bien. Mais tu me dois au moins une explication.

 

Je sais. Je comptais te la donner, rassure-toi. J'ai beaucoup d'estime pour toi, tu sais, et ça ne date pas de cette nuit. J'essayais de gagner un peu de temps. Ce n'est pas facile à dire...

 

Nous longions une crique. Elle a quitté mon bras pour se rapprocher de l'eau, et m'a parlé en jetant des galets vers la mer, regard tourné vers le large :

 

Pierre m'a trompé. Voilà.

 

Elle a marqué un silence. Elle continuait à regarder droit devant elle, comme s'il y avait quelque chose de très important, là-bas, à l'horizon. Puis elle a repris :

 

Je lui avais pardonné. Et je sais qu'il m'aime. Mais il a recommencé. Alors, j'ai voulu faire pareil. Un peu par vengeance, pour restaurer un équilibre entre nous, me prouver que moi aussi je pouvais encore plaire, séduire, avoir du plaisir. Et surtout pour comprendre pourquoi un homme peut tromper sa femme alors qu'il l'aime, en est aimé, et lui fait souvent l'amour.

 

Et tu l'as compris, en une nuit ?

 

Oui, en partie. Tu crois que je fais l'amour trois fois chaque nuit avec Pierre, et qu'il me baise de partout ? Tu crois qu'il me fait crier de plaisir, que je lui ouvre mon cul ? C'est vrai qu'on fait l'amour souvent. Mais moins qu'au début, et plutôt dans la même position. Je ne lui en veux pas. Les torts sont partagés. Et je suis très heureuse avec lui. Toi, comment ça se passe avec Claire ?

 

À peu près pareil que vous. Mais ça ne nous paraît pas être une raison suffisante pour aller voir ailleurs...

 

À moi non plus. C'est lui qui a commencé. Depuis cette nuit, je ne lui en veux plus. J'ai compris ce qu'il allait chercher auprès de cette femme, et qu'il ne trouvait plus dans son couple. Mais ce n'est pas le plus important, tu as raison. Sinon, ce serait trop facile : autant coucher chacun de notre côté. Alors, maintenant, je veux qu'il rompe, définitivement, comme nous.

 

Je m'en voulais de l'avoir considérée comme une femme facile. J'étais décidément nul en psychologie féminine. Pas une fois je n'avais pensé que son comportement pouvait être celui d'une femme blessée. J'aurais pourtant dû m'en douter, à la manière dont elle s'était offerte à moi comme on se jette à l'eau, en mettant sa sœur dans la confidence en plus. Restait une question :

 

Tu m'as répondu à moitié. Pourquoi moi ?

 

Parce que je t'ai trouvé attendrissant avec tes enfants, et gentil avec moi hier, quand on a monté la Mesle. Tu t'inquiétais de savoir si je tenais le choc, tu t'arrêtais pour m'attendre, tu m'encourageais. Et aussi, je te l'ai dit, parce je voulais me venger, pas simplement de Pierre.

 

De qui ?

 

Céline est allée chercher un lourd caillou sur la grève. Elle le jette presque à la verticale. Il a fait un gros « plouf » en retombant :

 

De Claire. C'est avec elle que Pierre couche.

 

Le coup m'atteint de plein fouet. Mes jambes se dérobent. Je m'assieds pour retrouver mes esprits. Céline me prend dans ses bras, m'embrasse :

 

Ne lui en veux pas. Elle t'aime. Mais toi non plus, tu ne lui fais pas l'amour trois fois chaque nuit. Je ne crois pas qu'ils se cherchaient. Et je suis certaine qu'ils ne sont pas amoureux. Ils se sont trouvés, c'est tout, je suppose que ça arrive, dans la vie d'un couple.

 

Tu es sûre de ce que tu dis ?

 

Oui. Pierre a fini par me l'avouer. Il ne pouvait pas faire autrement. Je savais qu'il me trompait. Il n'avait pas son odeur habituelle le soir en rentrant. Il ne met pas d'eau de toilette. Il sentait le savon, mais pas notre savon habituel. Donc, il s'était douché dans la journée. Pierre n'a pas beaucoup d'imagination. J'ai fouillé son carnet de téléphone. J'étais persuadée qu'il contenait le numéro de sa maîtresse. Je connais le numéro du portable de ta femme. Il est facile à mémoriser. Lui, a priori, il n'y avait aucune raison qu'il l'ait. Je l'ai trouvé dans son carnet, pourtant, sous un faux nom. Mais les initiales étaient les bonnes. Je te l'ai dit: il n'a pas d'imagination...

 

 

Bien joué. Moi, je ne m'étais douté de rien :

 

Depuis combien de temps couchent-ils ensemble ?

 

Ça a duré quelques semaines, il y a environ quatre mois. Quand je l'ai découvert, ils ont arrêté. Je croyais que c'était fini, juste une erreur de parcours. Mais cette semaine, j'ai senti que Claire était gênée à mon égard. Et Pierre aussi. Ils se regardaient, parfois. J'ai trouvé étrange qu'ils rentrent à Paris à un jour d'intervalle, en nous laissant les enfants. Hier soir, pendant le dîner, j'ai appelé Pierre trois fois à l'appartement. Pas de réponse. J'ai appelé chez toi aussi : pas de réponse non plus. J'ai alors téléphoné une amie, qu'ils ne connaissent pas. Je lui ai demandé d'appeler Pierre et ta femme sur leur portable. Je ne pouvais pas le faire moi-même. Mon numéro se serait affiché ou serait resté en mémoire. J'ai rappelé mon amie cinq minutes plus tard : elle m'a dit que leurs deux portables étaient sur messagerie. Ça faisait beaucoup de coïncidences. Tu étais là, à table, face à moi. Tu ne savais rien. Tu ne méritais pas ça, et moi non plus. La suite, tu la connais. Mais j'ignorais que tu étais si bon amant. Sinon, je l'aurais peut-être fait avant...

 

Comment pouvait-elle plaisanter, alors qu'elle venait de me crucifier ?

 

Ton mari couche avec ma femme, et c'est tout ce que ça te fait ?

 

Oui, probablement, parce que je le sais depuis plus longtemps que toi. J'ai eu le temps de souffrir, de pardonner. Et même de comprendre, depuis hier soir. En rentrant, je dirai tout à Pierre : toi, les raisons pour lesquelles je l'ai fait et même que tu m'as fait jouir, puisque je suis certaine qu'il me posera la question. J'attends simplement de lui qu'il soit aussi fort que nous, que plus jamais il ne couche avec Claire. Pour le reste, notre amour est assez solide pour surmonter cette crise.

 

Claire sait que tu es courant ?

 

Oui. Pierre le lui a dit quand j'ai découvert leur liaison. À ta place, je ferais pareil. Tout dire à Claire, même que je suis un superbe coup, que tu m'as fait mal aux fesses avec tes méthodes de gorille. Et lui pardonner. Elle t'aime, tu sais. Nous avons simplement des époux qui ont eu une petite faiblesse. Et nous avons eu la même.

 

Pardonner. C'était facile à dire, même si elle avait probablement raison. J'étais désemparé. Je n'arrivais pas à aligner deux pensées cohérentes. Toujours se superposait dans ma tête l'image de Claire et de Pierre, nus, ensemble. J'avais besoin de tendresse. Céline était là. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, ses baisers sur mes lèvres. Elle était agenouillée face à moi. Ma main a filé sous sa jupe. Elle ne s'est pas dérobée. Au contraire, elle a ouvert ses jambes :

 

Je savais que j'allais te faire du mal. Alors, en compensation, j'ai mis une jupe, pour que tu puisses me toucher.

 

Ma main a écarté son slip, mon doigt s'est posé sous son clitoris, l'a caressé, est descendu plus bas, dans sa fente humide. Elle a tressailli :

 

Non, il ne faut pas, pas ici, on peut nous voir. Et c'est fini entre nous. C'était juste une nuit, tu le sais. Si on continue, on ne pourra rien reconstruire.

 

Mon doigt ne la lâchait pas. Céline s'accrochait à mon cou en tanguant sous ma caresse. Je bandais. Mon sexe avait recommencé à penser avant moi. Et le désir transformait ma colère en force. Dans cette histoire, tout le monde m'avait trompé, manipulé. Claire, Pierre, et même Céline qui avait décidé de faire l'amour avec moi sans m'en dire les raisons. En plus, elle voulait fixer les limites, me disait ce que je devais faire envers Claire. Ça suffisait !...

 

Ecoute moi bien, Céline. Peut-être que j'aurais préféré continuer à ignorer ce qui s'est passé entre Claire et Pierre, et même ce qui se passe encore. Tu ne t'es même pas posé la question. Tu ne m'as pas laissé la moindre chance de continuer à être heureux. Tu n'as pensé qu'à toi. Mais j'existe, tu sais.

 

J'avais raffermi la pression de mon doigt sur son clitoris, l'enfonçais plus loin entre ses lèvres. Son sexe ondulait doucement sur ma main. Ses yeux était fermés. Elle ne disait plus rien, ressemblant à une enfant prise en faute.

 

Maintenant, c'est moi qui vais te dire ce qu'on va faire. Je rentre samedi à Paris. Il nous reste deux jours. Ces deux journées, j'ignore ce que Claire et Pierre vont en faire. Mais je sais comment nous allons les passer. Cet après-midi, je suis censé jouer au golf avec le mari de Noémie et d'autres amis de la bande. Je vais annuler, demain aussi. Toi, tu trouveras un prétexte pour t'absenter l'après-midi. Noémie gardera nos enfants. Elle en a l'habitude. Et tu viendras chez moi. D'accord ?

 

Son visage était maintenant tourné vers le sol. Sa respiration était courte. Pour la première fois, j'avais l'impression de la tenir. Sa réponse a mis du temps à venir :

 

Lâche-moi, et j'accepte.

 

Je l'ai lâchée. Elle a accepté.

 

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Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 10:40

L’histoire racontée avec force détails croustillants par un lecteur (voir : La mère de mon ami ... souvenirs charmants) qui nous avait confié comment il avait été déniaisé par la mère de son ami, fantasme répandu chez les jeunes hommes, m’a poussé à vous raconter ma propre expérience tout aussi délicieuse, et mettant aussi une femme d’experience dans le role de l'initiatrice …

 

J’avais alors un peu moins de 18 ans et je vivais toujours chez mes parents.

 

Un matin, au mois d'octobre, on sonna. Mes parents n'étant pas là, je descendis ouvrir croyant au facteur. J'ouvris la porte, en me cachant derrière car j’étais en caleçon ; c'était une de nos voisine qui rapportait une montagne de livres que ma mère lui avait prêté.

 

C’était une femme dans la quarantaine, mariée, 2 enfants dont l’un était ami avec ma sœur, brune avec de longs cheveux, très belle. J’avais fantasmé plusieurs fois sur une relation, sans bien sûr y croire. Mais ce fantasme m’avait fait mouiller mes slips quelquefois …

Elle croulait sous le poids, et je ne pus faire autrement que la faire rentrer. Elle entra dans le salon, et posa la cathédrale de bouquin sur la table. Alors qu’elle repartait, non s’en m’avoir ‘’jaugé’’ en échangeant deux – trois banalités du genre « tes parents ne sont pas là ? … bla bla » , je lui demandais poliment si elle voulait un café, ce qu'elle accepta.

Elle s’assit dans le salon, et je filais dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, je revins avec nos tasses de café. Alors que je lui tendais la sienne, elle me heurta le bras, la tasse se déroba et son contenu arriva sur mon caleçon. Elle s'excusa, confuse, je lui disais que ce n'était rien du tout que ca arrivait. J’avait toutefois déjà bondit car je sentais la chaleur très forte et craignais une vraie brulure toutefois Je me dirigeais vers la salle de bain pour me changer, sans fermer la porte au verrou.

Je baissais mon caleçon, et prit un gant froid pour me laver et refroidir la zone. Quelques secondes plus tard, je l’entendis s’approcher et derrière la porte me demandait si elle ne m’avait pas brulé,  sa main agrippa la poignée … croyait-elle la porte verrouillée, toujours est-il que celle-ci s’ouvrit et que me retournant, je la vis me faire face. J'étais nu. Je me sentis rougir, et du constater un vrai début d'érection. Ma voisine s’excusa et s’effaça,  retournant m'attendre dans le salon. En la rejoignant, ayant enfilé un jean, je me sentais gêné. Il régnait un silence de cathédrale, quand je me rassis près d’elle.

C’est elle qui brisa ce silence, me disant:

tu as un très beau corps, tu sais ? …

 

???

 

et un très joli sexe !


Moi, redevant rouge cramoisi, je lui dit (je l’entends encore, comme si c’était hier !)

C'est gentil !


Elle se leva, et me fit un bisou sur le front, puis se repenchant en posa deux sur mes joues, tout en glissant sa main le long de mes cuisses. Ses caresses me procuraient une nouvelle érection. Elle me regarda, baissa les yeux et me dit doucement:


         Dis moi, tu as déja fais l'amour ?


Moi tout penaud, la gorge sèche, je serrais mes cuisses, et je répondis par la négative.
Et là, un sourire sur son visage, elle me dit :
        

         Tu veux que je t’apprenne ?


Je n'en croyais pas mes oreilles, je fis un OUI tout timide.


Elle me prit par la main, et on se dirigea vers ma chambre.


Elle s’assit sur le bord de mon lit ; je restais gauche, debout devant elle … elle me fit m’approcher, baissa mon caleçon dont jaillit mon sexe dur comme du bois. Tout en me regardant fixement, elle me décalotta doucement, fit quelques aller retour dans sa main, et alors que mon gland venait de briller d’une goutte, elle prit ma verge dans sa bouche.

 

Quel bonheur ? ma première pipe ? J’en avais rêvé, vues maintes fois sur des revues porno qu’on se passait au lycée (il n’y avait pas internet !)

Et avec cette femme, quasi inaccessible dans mes meilleurs rêves !

C'était si chaud, si bon, qu'au 3 ou 4ème coup de langue je joui subitement dans sa bouche. Elle avala tout, avant de me dire:


         Eh ! tu aurais pu me prévenir !

 

         ?? je ne savais toujours rien répondre

        

Elle rit, et me dit :

 

         Ne t’en fait pas, c’était très bon  tout en se léchant les lèvres.


Elle se releva, enleva son chemisier, son soutien gorge et découvris une poitrine aux tétons tout bruns et tout bandés. Puis ce fut autour de sa jupe ; dessous, elle portait un collant couleur chair et manifestement …  pas de culotte car je découvris en transparence une épaisse toison toute noire ; elle se rassit, enleva son collant et pivotant sur les fesses, s'allongea sur le lit et me tendit la main. Je vins poser un genou sur le bord de mon lit ; elle m’attira a elle et me fit passer mon T-Shirt par-dessus la poitrine et la tête : j'étais complètement nu.

 

Elle écarta ses cuisses rebondies, et de 2 doigts ses lèvres intimes. Elle m’offrait son sexe : j'apercevais une humidité qui y perlait, et même coulait vers son périnée ; elle me dit:

         Tu vois dans quel état tu me mets, approche ton nez, viens sentir mon excitation

 

Je fis selon ses désirs

 

         Voila, mets ta langue, goute mon suc

 

Je me lançais, un peu intimidé dans mon premier cunni mais bien vite je fus pris dans le rythme qu’elle m’imposait de ses déhanchements

 

Oui chéri c’est bien … oui … n'oublie pas mon clito !  ici, oui ici …. chéri, hum que c'est bon, je vais jouir mon amour, ca y est, ahhh oui

 

et là, un flot de mouille bien épaisse réchauffa ma gorge.

 

Tu m'as fait jouir comme une folle mon amour ! Allonge toi à ton tour, je vais te dépuceler ".

 

Dans un cours moment de lucidité, réalisant que je n’avais pas de capote, je lui dis:


Vous avez des préservatifs ?

 

Et toi ?

 

Je dus lui répondre par la négative, persuadé que ceci mettrait un terme à ce qui semblait être un rêve … je m’en voulais (et depuis, j en ais toujours !!!)


Je n'en ai pas non plus, mais tant pis, je ne suis pas en ovulation !


Elle mit sa main chaude sur mon sexe, le décalottant, le recallotant, parfois le mettant dans sa bouche, puis au bout de 2 minutes, elle vint sur moi, prenant dans sa main mon sexe et le guida à l'entrée de sa grotte

 

Petit à petit, le gland passa la barrière de ses lèvres que je voyais s’arrondir et venir épouser ma tige.

En me regardant droit dans les yeux, elle se baissa et vint s'assoir sur ma bite puis ne bougea pas pendant quelques secondes:

Ca va?

 

Oui, .. c'est chaud !


C'est toi qui me mets dans cet état


Et doucement, elle fit des va et vient, puis accéléra le rythme.


Dans un dernier regard, me dit:


Comme tu es gros, je te sens bien dans mon ventre, je veux ton sperme en moi, jouis je t'en supplie,  jouis en moi


Et dans un râle ultime je sentis une nouvelle jouissance me submerger


Je sens ton sperme, c'est chaud, ouiiiii....


Après cette étreinte bouillonnante, elle me fit plein de petits bisous et me dit :


Tu as aimé?

 

Je fis OUI de la tête


         Tu m'as bien fait jouir, te voila homme maintenant


Elle s’était redressée et me faisait face ; je voyais mon sperme ressortir de son sexe et perler sur les draps et sur ma cuisse


Tu vois comme tu m'as remplie !

 

Elle passa une main sur sa poitrine, pinça un téton tandis que son autre main s’aventurait sur sa toison poisseuse ; Elle vint vite à se mettre deux doigts et commença à se caresser devant moi …


Alors là, j’étais scotché ; je n’en croyais pas mes yeux. Devant moi se déroulait le film X que je m’étais plusieurs fois déroulé lors de mes branlettes nocturnes. Je sentais mon sexe qui commençait à se raidir de nouveau.


Oh, petit salaud ! Mais tu bandes encore ?!!!

 

Elle se saisit de ma bite, et entreprit une nouvelle branlette …

 

Mais que va-t-on faire de cela ?

 

??? que répondre ?

 

Tu ne voudrais pas m'enculer ?

???

 

Après mes yeux, c’était mes oreilles qui ne croyaient pas ce qu’elles vivaient ….


Elle se mit à 4 pattes, passant un doigt sur son vagin afin d'y recueillir mon sperme et sa cyprine mélangés, dont elle commença à s'humidifier l'anus


Je suis prête, Viens ! prends moi !  Mais, rentre doucement hein ? c'est fragile


Je vins à quatre patte derrière elle, et approcha mon sexe. Je posais mon gland à l'entrée de son cul. Sa main vint saisir ma tige, et moi poussant, elle m’accompagnant, je senti très vite son œillet s’arrondir autour de mon gland qui disparu au fond de ses fesses.
Quand il fut passé, et alors que je ne savais comment m’y prendre, c’est elle qui recula brutalement, s’empalant jusqu’à mes couilles sur mon sexe. Je n’en revenais pas

 

Lime moi bien, rentre bien au fond … oui c'est ca !

Je sentais la jouissance monter de nouveau ; elle devait sentir les soubresauts annonciateurs car je me sentais hyper serré dans son cul, comme dans un préservatif trop petit


Tu vas jouir, hein ?  C'est ca, vas y mon chéri  … si tu jouis, enlève toi de mon cul, et viens dans mon ventre …  oui, voila !

 

et d'une seule poussée je me glissais dans son sexe béant.

Jouis mon amour, ouiiiii


Et pour la 2ème fois,  je lui balançais tout dans son ventre.


Quelle leçon !! Elle s’avança, se libérant de mon sexe, se leva, me fit un baiser, et alla se douecher.

 

Revenue toute propre, elle se rhabilla. Je l'accompagnais jusqu'à la porte, où elle me dit:

Je t'aime, tu m'as fait l'amour comme un dieu !


Je me pris à espérer, mais quelques jours après, elle revint me voir et reprenant sa place de voisine, m‘expliqua qu’il fallait mieux que nous en restions là, que c’était un très beau souvenir, qu’elle espérait qu’il en allait de même pour moi (tu penses ?!!), mais que eu égard à nos différences d’âges, la proximité avec mes parents, son mari, ma sœur amie avec son  fils, etc … nous prendrions de trop gros risques.

 

J’ai du m’y résoudre, et toutes mes tentatives, softs, ont été doctement repoussées … nous sommes en revanche restés très proches, et je n’oublierais jamais, elle le sait, ce qu’elle m’a fait découvrir ce jour là !!!

 

Je pense qu’elle a influée sur une nature déjà assez portée sur le sexe, en me révélant - les histoires que vous pouvez lire sur ce site et sur d’autres en témoignent (toutes ne sont pas simples élucubrations) en témoignent -  que tout est possible a qui sait saisir sa chance, et parfois l’initier.  En tout cas, beaucoup est permis à qui est attentif aux autres et aux nombreux plaisirs que nous offrent la vie et chaque jours qui passent ;

 

N’oublions pas non plus que nous pouvons espérer recevoir, dans la durée, qu’à la hauteur de ce que nous savons donner … l’altruisme, le tact, la générosité, la douceur et la tendresse sont des valeurs essentielles

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 17:39

1985, Fabrice et moi sommes dans la même classe de terminale.

Une histoire que nous a envoyé F. Même initiales que moi, mais pas le même prénom ; nous avons trouvé l'histoire délicieuse, et fort bien racontée et la partageons avec vous. Qu'il en soit ici remercié !

A l'approche du baccalauréat, nous avons décidé de réviser ensemble chez Fabrice, dont les parents sont absents pour 15 jours.

 

Les parents de mon copain sont aisés financièrement, et leur maison est luxueuse.

 

Après une journée studieuse bien remplie, nous pouvons nous détendre dans la piscine ou dans le hammam, ce qui est particulièrement agréable pour libérer la tension accumulée dans nos corps et nos esprits. Ce jour-là, après que nous ayons révisé, Fabrice m'avait proposé de l'attendre chez lui. Il devait faire une course rapide en ville et rentrer quelques heures après pour que nous reprenions les révisions. Je n’allais pas avec lui car il me restait quelques trucs à terminer. Il me mit à l’aise et me dit

 

Quand tu as fini, fais comme chez toi … Profite de la piscine ou du hammam. Il y a aussi ce qu’il faut dans le frigo

 

Après avoir terminé les équations sur lesquelles je planchais, je fis le tour de la maison, plus à l’aise que d’habitude … Je me décidais pour le hammam. Je me dessapais dans le dressing qui le jouxtait et entrait dedans vêtu de mon seul slip.

 

J'entendis soudain un bruit dans la maison, je pensais que c'était Fabrice mais cela m'étonnait qu'il soit déjà de retour, il était à peine midi. Je criais

C'est toi Fabrice ? je suis dans le hammam …

 

Personne ne répondit. Je me dis qu’il avait du monter dans sa chambre … Etonné toutefois du manque de réaction, je me préparais à sortir quand la porte du hammam s'ouvrit et je vit la mère de mon copain entrer.

 

Oh ! bonjour madame … j'attends Fabrice pour réviser les examens, il doit rentrer en fin d'après-midi. En attendant, je me suis permis de…

 

Tu as très bien fait F., il n'y a aucun problème, tu peux en profiter

 

Je pensais que vous étiez en voyage, si j'avais su que vous deviez rentrer…

 

En effet, je suis là pour quelques heures seulement, Je dois prendre un autre avion dans quelques heures.

 

Je vais vous laisser, dis-je en saisissant la poignée de porte.

 

Tu peux rester, tu ne me dérange pas, mais peut-être es-tu gêné de voir la mère de ton copain en tenue d'Eve ?

 

Non, non madame, je ne suis pas gêné.

 

En réalité, je faisais le fiérot et j'étais très gêné, moi en tenue d'Adam, avec un slip pour seule étoffe, et cette femme de quarante ans, qui plus est la mère de mon copain à mes cotés dans un endroit plutôt propice à la sensualité.

Elle se tenait debout, à moins d'un mètre de moi, elle dénoua la ceinture de son peignoir et fit le glisser lentement le long de son corps.

C'est (elle l’est toujours !) une femme sublime, elle portait un string très sexy, je portais mon regard sur son corps magnifique, sur sa poitrine voluptueuse, sur le minuscule carré d'étoffe qui cachait à peine son intimité, sur ses jambes longues et fines.

 

Je me répétais sans cesse " il ne faut pas que j'ai d'érection, il ne faut pas que j'ai d'érection ".

 

Cette femme produisit sur moi un effet que je n'avais encore jamais connu auparavant. Je sentais mon sexe se durcir progressivement, mais j'arrivais tout de même à le contrôler jusque là.

Elle vint s'asseoir tout près de moi.

 

Ces voyages en avion et tous ces décalages horaires sont usants pour le corps, j'ai besoin de me détendre un peu. Toi aussi tu dois avoir besoin d'évacuer les tensions accumulées après plusieurs heures de révisions dit-elle, en laissant galoper ses mains le long de son corps. Remontant sur son ventre, elle vint prendre ses seins comme deux fruits murs …

 

Comment trouves-tu mes seins ?

 

gloups ! très beaux madame, ils sont vraiment très beaux.

 

Tu ne les trouves pas trop tombant ?

 

Bien sûr, ils n’étaient pas aussi ferme que ceux des amies de notre age, mais ils me faisaient un effet dingue, avec de large aureoles et des pointes déjà dardées.

 

Non, ils sont très beaux

 

As-tu une petite amie ?, tu dois certainement avoir beaucoup de succès auprès des filles

 

Je n'ai pas de petite amie, je me dis que j'ai encore le temps pour ça devant moi

 

La mère de Fabrice portait sans tabou son regard sur la bosse que je peinais à dissimuler. J’en étais gêné, et le semblant d’érection que j’avais pu maitriser repris de plus belle. Mon sexe était maintenant au garde à vous, porté à droite, et je me disais qu’au moindre mouvement, il allait jaillir hors de l’élastique qui péniblement le tenait en place.

 

Mais mon calvaire présent (que je m’imaginais, à juste titre, prélude à tant de bonheur et découverte) continuait, sans que j’arrive à me défaire de ma timidité envers cette femme qui m’impressionnait. J’oscillais entre croire à ce qui se tramait devant moi, et la peur d’une énorme gaffe auprès d’une femme qui me connaissait depuis longtemps déjà et qui peut être se montrait très proche sans autre arrière penseés …

 

As-tu déjà fait l'amour à une femme, F. ?

 

Non madame, pas encore, je suis encore vierge, j'ai bien eu quelques occasions mais je préfère attendre un moment propice à cela, sans me précipiter, je veux que la première fois soit réussie.

 

Ton attention t’honore, F.    Au fait, tu peux m’appeler Claude !

 

Oui, Mad … euh, Claude !

Comment trouves-tu mes jambes ?

 

Très belle … Claude, elles sont vraiment très belles. Vous, vous … êtes vraiment très belle

 

Tu as envie de les toucher ?

Non ? elle ne te plaisent pas ?

 

Si, j'en ai envie, mais que va dire votre mari ?

 

Mon mari n'est pas là, il n'en saura rien et puis ça ne le regarde pas

 

Elle saisit ma main et la porta sur ses genoux, puis la fit remonter lentement le long de ses cuisses, me permettant d'effleurer le bout de tissu posé entre ses jambes, pour continuer ensuite le long de son ventre jusqu'à ses seins. Sa peau était douce, comme le satin recouvrant certain coussins moelleux. C'était la première fois que je caressais ainsi une femme et qui plus est la mère de mon copain.

 

Jevois que ça ne te déplaît pas me dit-elle en portant de nouveau son regard sur mon sexe turgescent, prêt à s'échapper de mon slip trop étroit. Un sourire illuminait son visage, très tendre et maternel tandis que ses yeux brillaient (je ne voyait pas les miens, mais .. j’imagine !)

 

Suis-moi, j'ai envie de te faire un petit cadeau si tu le veux, personne n'en saura jamais rien, ceci restera entre toi et moi, ce sera notre secret

 

D'accord dis-je, la voix tremblotante.

 

Elle prit ma main et m'entraîna dans la salle de bain. Je pouvais voir à loisir ses fesses galbées danser devant moi dans sa démarche élégante et sensuelle.

 

Je me demandais si je n'allais pas éjaculer avant même d'arriver jusqu'à la douche. Elle ouvrit le robinet d'eau, agrippa l'élastique de mon slip et le fit glisser lentement. Mon sexe tendu surgit, comme un mannequin de sa boite

 

Doucement, s’exclama t’elle en riant

 

Elle prit mon sexe dans sa main, et fit ce commentaire comme si elle se l’adressait à voix haute ‘’comme tu es bien monté, encore mieux que Bernard’’ (Bernard etant son mari)

 

Elle m'entraîna sous la douche, fit mousser du savon dans ses mains et commença à l'appliquer sur mon corps. D'abord sur mon torse, puis sur mon sexe érigé, me branlant d'une main et massant délicatement mes couilles de l'autre.

Ce contact m'excitait tant que je ne pu me retenir plus longtemps et j'éjaculais très vite dans ses mains.

J'étais un peu honteux de cette éjaculation précoce mais je ne tardais pas à retrouver à nouveau des forces.

 

Tu es beau quand tu jouis, j'ai senti ton sexe se gonfler et ton sperme inonder mes mains, quelle force tu as, et quelle quantité de foutre

 

J'ai été un peu rapide, mais c'est la première fois pour moi vous comprenez…

 

Tu n'as pas à avoir honte, c'est normal tu sais, les premières fois ça fait souvent ça. Viens, sortons de la douche.

 

Elle se sécha devant moi, et la voir se pencher pour s’essuyer les mollets et les pieds restera à tout jamais comme une des plus belles images qu’iol m’ait été donné de voir … Elle l’avait fait, ingénue, comme si de rien n’était, m’exhibant son culs, ses deux belles fesses, sa petite étoile, et plus loin, plus bas, les deux lèvres charnues qui laissaient penser à un bel abricot … De délicieux poils pubiens, souples et tirebouchonnés complétaient cette vue. Je sentis mon seex reprendre de la vigueur.

Se retournant, et m’enlevant ma serviette qu’elle jeta sur la porte de douche, elle m'entraîna ensuite jusqu'à une des chambre d’amis (quand même !) et m'allongea sur le lit king-size recouvert de draps de soie.

 

Grace aux moments vécus peu avant, j’arborais à nouveau une magnifique érection.

 

Elle se mit à califourchon au-dessus de moi, et descendit jusqu'à mon sexe.

 

Détends-toi, je te faire découvrir autre chose, tu vas aimer, tous les hommes aiment ça

 

Elle commença à lécher la base de mon sexe, puis remonta lentement, léchant le pourtour de mon gland, l'enfourna dans sa bouche, commença un lent va-et-vient. Je voyait ses seins pendre, et je rêvais de lui voir me faire une caresse avec.

Elle agrippa la base de mon sexe d'une main qu'elle agita avec savoir-faire, tandis qie son autre main courait de mon torse jusqu'à ma toison pubienne.

 

Sous l'effet de cette nouvelle sensation de plaisir extrême que je découvrais aussi pour la première fois, je me demandais si je pouvais me retenir d'éjaculer précocement à nouveau.

 

Je parvins à peine à tenir plus longtemps.

 

Le spectacle sublime de cette femme suçant mon sexe, la vision de ses fesses haut-cambrées, me firent éjaculer une deuxième fois, cette fois-ci dans sa bouche.

 

Je fus surpris qu'elle avale ainsi toute ma semence mais ceci ne m'a pas déplu.

 

Tu es vraiment bien monté, j'ai pris beaucoup de plaisir à te faire une fellation, j'ai l'impression que ça t'a plu aussi  me disait-elle, tout en continuant à caresser mon sexe et mes testicules, ce qui me fit progressivement rebander. Parfois un de ses doigts s’égarait plus bas, sur le périnée, venant titiller mon anus … et je pense que c’est elle qui me révéla cette zone érogène chez moi.

 

Elle s'allongea à mes cotés, et bascula sur le dos, jambes écartées comme offerte. Je ne me lassais pas de la regarder, faisant aller et venir mon regard de ses seins, à son sexe que je devinais, vers ses jambes … J’étais gauche, ne sachant que faire, comme un enfant devant un trop beau cadeau. C’est elle qui me fit redescendre sur terre :

 

Et Bien … viens sur moi, pénètre-moi maintenant, introduis ton sexe dans le mien

 

Maladroitement, je l’enjambais à mon tour, et tandis que je prenais appui sur les bras, et qu’elle refermait ses cuisses en ciseau sur mon dos, je cherchais l'entrée de son intimité entre ses jambes écartées.

Elle saisit mon sexe et se caressa quelques secondes (je le réalisais plus tard, me repassant sans cesse le film de cette folle découverte) et soudain je me sentis m'enfonçer dans cet antre chaud, humide et si confortable.

Quelle sensation extrême, quel plaisir unique.

 

Elle laissait échapper des soupirs et cambrait ses reins, caressait ses seins, ses hanches.

 

"Ouiiii, plus vite maintenant, plus vite, quelle bonne queue tu as, hummm… "

 

J'accélérais mes va-et-vient, prenant de l'assurance, embrassant l'intérieur de son cou, ses seins, promenant mes mains sur ses hanches, sur ses cuisses, attrapant ses fesses que je soulevais légèrement.

 

Oh F, c’est bon. Oh ouiii …  jouie en moi, aaahh… viens, je vais venir aussi, aaaaaahhhh ouiiiiiiiiiii….

 

Nous atteignîmes l'orgasme en même temps, ce fut merveilleux. Quelle première fois !

 

Je m’étais effondrée sur elle, et elle me prit dans ses bras, très maternelle … Elle chercha pour la première fois mes lèvres, et me gratifia d’un très bon baiser. Sa langue était ferme, décidée, comme devait l’être l’executive woman qu’elle était …

 

Merci me dit-elle, Cela vaut tout les hammans du monde ! dit-elle en riant

 

Je ne savais quelle contenance avoir … devais-je moi aussi la remercier ? que dire dans ces moments là ?

 

Devant mon silence : Et toi, ça t’a plus

 

Oh oui Madame

 

Claude, je t’ai dit ! Je pense qu’on a maintenant assez d’intimité pour s’appeler par nos prénoms, non ?

 

Oui … Claude

 

            J’espère que c’étais à la hauteur de tes attentes, et que je ne t’ai pas déçue.

 

            Non … et me coupant …

 

            Mais  il y a une chose, F. Je me suis surtout occupé de toi, en espérant te donner le meilleur … tu m’as donné toi aussi beaucoup de plaisir avec ce si bel engin (en reluquant ma verge qui enfin prenait quelque repos sur le haut de ma cuisse) mais je ne t’ai pas appris à t’occuper d’une femme … penses-y les prochaines fois, apprends, sois patient, découvre les … tout est plaisir à quiconque sait chercher et faire preuve d’initiative…

 

           

 

            Allez, il faut que je me prépare … dis t’elle en se levant, me donnant ainsi congé.

 

            Au fait, F. … je ne sais s’il y aura une prochaine fois … peut être est-ce mieux ainsi ? Ne m’en veux pas, et il va sans dire que je compte sur ta discrétion … Je te connais depuis longtemps, je t’apprécie … tu m’as touché, j’avais envie … ce n’est pas pour cela que je suis une femme facile … ne me juges pas. Je te fais confiance.

 

            Une fois encore, dans l’encoignure de la porte, j’étais coi, ne sachant que dire. Elle me poussa, regagnant sa chambre …

 

            Allez ! File te rhabiller, polisson

 

Nous nous sommes rhabillés, chacun de notre coté. J’étais dans le salon, visionnant la TV  quand la mère de Fabriceet ce dernier se sont croisés ; elle repartait vers d'autres destinations , très belle et élégante dans son tailleur et imper. Elle tirait une petite valise à roulette, et me glissa, à travers la porte du salon : Salut F. Travaillez bien tout le deux …

Le clin d’œil qui ponctua sa phrase et son sourire scellait notre complicité du moment.

 

Nous réprimes nos révisions, j'avais un peu de mal à trouver ma concentration après ce que venais de vivre. Mon copain ne pouvait ni ne devait se douter de ce que je venais de vivre, du fait que sa propre mère m’avait si habilement déniaisé.

 

Nous avons eu finalement le bac tous les deux.

 

Ni Fabrice, ni son père n'en ont jamais rien su, du moins je le pense.

 

Je garde le contact avec eux, de temps à autre. Claude est restée une très belle femme, il n’y a plus eu aucune équivoque entre nous … elle m’a simplement glissé subrepticement lors de mon mariage, sa main me tenant le bras cette confession à l’oreille Je suis content pour toi, et me rappelle avec bonheur notre incartade. Merci d’avoir su la considérer comme unique, j’ai apprécié ton tact et ta discrétion. Rappelle toi mes conseils pour ta petite femme … mais je sais que tu les as mis en pratique … me glissa t’elle en conclusion… Que voulait-elle dire ? Avait-elle eu des confessions d’ex ? Il est vrai qu’a quelque reprise, nous avions eu Fab et moi les mêmes amies …

 

J’ai eu le fin mot bien plus tard, il y a quelques mois …


Celà nous a donné envie, du moins à F, votre serviteur, de vous raconter la sienne ... vous y verrez des similitudes ... à bientôt !
(je tente de persuader C. de faire autant, car sa première fois est coquine aussi ... mais elle resiste ! Peux être saurez vous la faire changer d'avis ???)

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Lundi 6 novembre 1 06 /11 /Nov 00:11

Un texte que nous venons de découvrir et qui nous rappèle notre / nos découverte(s) ....


Chacun a ses petits phantasmes, ses petites manies, ses étranges lubies. Moi, la mienne étant plus classique : l'entrée des artistes. Ça me hantait depuis longtemps, très longtemps, cette visite des endroits interdits et sombres, cet étroit tunnel de chair chaude et étrange, ce passage tant honni, voué aux démons des mille enfers...

J'en ai tant rêvé, tant voulu accéder à ce petit nirvana sur terre que, lentement, au fil des ans, ce fut ma quête à moi, mon Graal, ma destination ultime. La frustration de ne pas y parvenir fut forte, mais je n'allais pas remettre en question mon couple pour si peu. Ma femme n'appréciant pas pour diverses raisons allant de l'hygiène à la religion, je m'en fis aussi une raison. Alors je partis à la chasse dans les revues, puis les sites web au fil de l'avancée technologique. J'en ai gravé des CD d'images, compilé des galettes de vidéo avant de passer au DVD, de plus grande capacité.

Puis un jour, elle est arrivée dans ma vie.

Elle, son corps de liane, ses gestes amples, ses yeux profonds.

Il serait trop long d'expliquer comment je devins infidèle, ce fut le fruit de beaucoup de hasard et un peu de volonté à franchir le pas. Quand j'y songe, c'est tout banal, d'un classique éculé (je sais, le jeu de mot serait facile), mais je ne regrette rien d'avoir connu ses courbes, ses baisers brasiers, sa brûlante intimité.

Dès la première nuit, Valérie m'a offert ce plaisir interdit auquel je ne croyais plus. Sur le coup, j'en tremblais. Oui, je me souviens :

Allongée sur le dos, bien calée, elle prend ses pieds avec ses mains, écartant bien les jambes, mettant en avant une sombre rondelle :

- Allez, vas-y, passe par là ! susurre-t-elle, la voix évocatrice.

- Euh... comme ça ? Direct ?

- Tu prépares le terrain avant, quand même !

- Pas de problème ! dis-je, tout fébrile.

Agenouillé entre ses jambes qu'elle repose sur mes épaules, je pose le bout de ma langue à l'orée sombre. Ce n'est pas possible, j'ai dû rêver. Un premier coup de langue à l'endroit interdit, un léger soupir d'aise, je sais à présent que je ne rêve pas. Alors je m'applique, je fais de mon mieux, bénéficiant de l'expérience de toutes les images entassées sur mes collections de CD. Je dois avoir bien appris et retenu ces leçons, car elle remue de plus en plus du bassin, tout en soupirant fortement.

Je me réjouis d'avoir passé la première épreuve avec succès et peut-être même brio... je lèche avec délice ce commencement de petit puits tant désiré, ce puits qui est déjà entrouvert, signe que la dame doit assez souvent pratiquer, à moins qu'elle n'ait de bonnes dispositions à cet endroit de son envers...

Le goût est légèrement âcre, un peu défendu, très émoustillant. Les stries s'évasent petit à petit, se colorent délicatement de sombre. Ma salive rend luisant ce lieu tabou, le faisant finement briller. C'est indescriptible, cet émoi qui m'assaille, moi agenouillé devant cet envers offert, mon enfer pervers.

Je lèche avec application, mouillant bien l'entrée dans laquelle j'irai enfin me perdre. Je me régale de ce creux censuré par tant de gens, décrit comme une abomination, mon paradis à moi, ma quête. Je me sens comme l'adolescent que j'étais, il y a longtemps, le jour de son premier baiser profond, la nuit de la première fille qui m'offrit ses trésors cachés, le ravissement de cet antre chaud, si accueillant dans lequel on adore plonger et se perdre.

L'entrée s'évase doucement mais sûrement, ça m'intrigue quand même : je ne pensais pas qu'il en serait ainsi, j'ai encore des choses à apprendre sur les femmes. Souvent, on parle de conduit étroit à forcer, de repaire à contraindre, de cette attaque impitoyable qui fait de la lance ou de l'épée des hommes des sauvages conquérants.

Je dois être trop lyrique...

Je comprends qu'il est temps d'y aller. Je suis un peu déçu. J'aurais aimé initier une femme à ce plaisir tabou, lui faire découvrir ces agréments insolites, moi, son bourreau et professeur, elle, ma tendre victime, mon élève soumise et assidue. Je me rattraperai une autre fois, peut-être. J'ai au moins la garantie qu'il ne devrait pas y avoir de problème puisque ma soi-disant victime pratique déjà.

Agenouillé devant Valérie, mes genoux de part et d'autre de ses fesses, je me positionne au mieux. Ma tige est raide comme de l'airain, je l'approche de l'entrée tant convoitée, enfin, j'y suis, j'y vais, je suis en train d'y aller.

Le contact de la salive sur mon gland me fait frémir d'aise, je me contrôle un maximum, il ne s'agirait pas que je lâche tout maintenant, sans être en elle. Je serre les dents, je retiens mon souffle.

Je comprends que je ne suis pas tout à fait bien positionné, je me replace mieux, ses cuisses chaudes contres les miennes. Elle attend, les yeux fermés, je la vois qui palpite, mon cœur s'accélère. Fébrile, je guide mon pieu de chair entre mes doigts vers ce puits sombre qui veut l'engloutir. L'arrondi de mon gland épouse la cuvette mouillée de son entrée, elle remue faiblement son bassin, la salive décuple les sensations, je ne tiendrai jamais !

Je donne un coup de reins, l'entrée résiste, mais pas moi. Je suis à deux doigts d'éjaculer sur elle. Je me crispe, tentant de reprendre un semblant de contrôle sur moi. J'y arrive.

Un autre coup de reins et j'entre. La sensation est inouïe, mon gland s'engouffre dans un conduit étroit et chaud, ce tunnel interdit qui l'avale tout en l'enrobant de sa chair torride. Je reste là, planté au bord, goûtant ce plaisir enfin obtenu, comme l'alpiniste qui découvre enfin le sommet convoité si proche du but, le plaisir du repos avant l'ascension finale.

- Vas-y ! Défonce-moi !

Cette phrase gâche un peu le tableau que je me faisais. J'idéalise trop, mais pour moi cet instant est magique, même si pour elle, c'est devenu une rengaine. Mais puisque j'y suis, j'y vais ! Je saisis ses jambes douces, je les plaque contre ma poitrine, je me cale au mieux puis je m'enfonce en elle. Je vois comme mille étincelles, je coulisse le long du boyau serré, ressentant toutes ses aspérités, ses reliefs, je plonge plus loin encore, loin.

Elle a la bouche ouverte, à la conquête de son plaisir qu'elle recherche du bout des doigts entre ses lèvres détrempées, agaçant son clitoris enflammé, niché sous le triangle taillé de sa toison. Elle pousse de faibles plaintes quand je coulisse en vastes va-et-vient, plongé en elle, tout aussi aisément que si j'avais été par-devant. Je m'attendais à plus de résistance. Je m'enfonce comme un damné dans ses profondeurs obscures puis m'en échappe furieusement, je la pistonne sans retenue, je suis comme en roue libre, un électron libre. Oh oui, je suis enfin dans un cul, dans cet endroit dont je rêvais depuis si longtemps, dans cet anus étroit, dans ce trou ténébreux défendu. Je me plaque sur ses fesses dans un bruit sourd. Comme un coussin d'eau, sa chair oscille, me massant le bas du ventre, une jouissance obscure naît en moi à ce contact curieux, puis je me retire pour sentir ma tige massée par son conduit cannelé. Je ne me sens plus, je lévite, comme l'alpiniste qui arrive au sommet, qui n'a plus qu'un seul pas pour planter son drapeau sur la cime convoitée.

Alors je plante, j'éjacule, j'exulte !

Sous moi, la montagne se tortille, tangue, malaxant ma tige qui se vide en longues saccades, qui fléchit, comme broyée par des éléments plus forts. Une longue vague m'irradie, j'entends vaguement mes propres cris mélangés avec ceux de ma partenaire. Je me sens si fort et si vide à la fois. Je retouche doucement le sol. Enfin, j'ai obtenu mon Graal, il est là, autour de mon sexe emprisonné, compressé mais victorieux.

Mon Graal fait de sexe et de sueur...

Allongé, épuisé, ma partenaire blottie contre moi, je reprends mes esprits. Je regarde alors mon sexe flasque et rouge. Il me fait un peu mal, la compression et le frottement sans doute. Je flotte, à la fois heureux et triste. J'ai atteint mon but, et après ? D'autres visites sans doute, mais sans cette attente. Celui qui disait que le meilleur moment dans l'amour est quand on monte l'escalier avait raison...

Besoin d'aller aux toilettes, je me dégage doucement de Valérie endormie. Elle me tourne alors le dos, je contemple ses fesses. Qui pourrait croire qu'il y a quelques instants, j'étais, là, entre ses rondeurs, planté dans son sillon, dans son cul, loin, très loin ?

Aux toilettes, je regarde mon sexe, je l'ai vu avec une meilleure mine : il est tout rabougri, rouge, mal en point et surtout sale. C'est vrai que cet endroit n'est pas d'une propreté exemplaire... Ça me semble étrange après coup, d'avoir été là-dedans. Sale, mais ô combien jouissif !

Je me nettoie avec précaution, délicatement, avec le papier toilette, ça fait mal quand même. Sur le moment, je n'ai rien ressenti de tel. Je me demande si c'est pareil pour elle... mais je me vois mal lui poser la question !

La sodomie, c'est comme une drogue, quand on y a goûté, on en redemande !

Maintenant, j'ai beaucoup de difficultés à imaginer un rapport sexuel sans passer par-là. J'ai bien eu une sorte de mini-déprime après avoir vécu mon premier passage à l'acte arrière, mais cela passa vite, très vite. Bien sûr, pas question de le faire avec mon épouse, mais elle, Valérie, ma maîtresse, elle adorait, et ça tombait bien, moi aussi !

Alors il y eut des tas d'autres fois : moi, vautré sur elle ; moi devant entre ses jambes ; moi de côté ; elle assise sur moi ; moi la pistonnant furieusement alors qu'elle était à quatre pattes... Bref des tas de positions pour tenter d'aller plus loin en elle, plus profond, de l'élargir, de plonger dans le stupre et le sale de son cul rebondi. Un culte du dégoûtant et de la jouissance. Et j'avais à présent une nouvelle quête : me faire prendre dans sa bouche après ces jouissances partagées

Un nouveau Graal... Une nouvelle étape dans ma sexualité.

Suis-je un pervers décadent, un sale dégoûtant, une ordure immonde ? Je me doute bien de ce que certains diraient de moi. Mais je m'en fiche, je ne fais de mal à personne et mes goûts évoluent dans le temps. Une chose me turlupine quand même : et après, ça sera quoi comme lubie ?

Mais demain est un autre jour.

Fin d'après-midi, nous sommes dans la nature, pas loin du petit lotissement où Valérie habite. Une route sur presque un kilomètre, un chemin piétonnier sur dix à quinze minutes, puis derrière un groupe d'arbres, un passage herbeux qui zigzague entre broussailles et bosquets. Il faut connaître, Valérie connaît visiblement bien, je préfère éviter de lui demander pourquoi ! Vraiment sauvage par ici, nous sommes sûrement à deux ou trois kilomètres de chez elle à vol d'oiseau et encore ! Des herbes hautes, des futaies alentour, elle lance un coup d'œil circulaire pour la forme, puis se jette sur moi. Nos étreintes sont passionnelles, entre tendresse sauvage et farouche affection. Je sais qu'elle ne porte pas de culotte sous sa robe légère, une habitude, j'en profite donc. Après quelques baisers féroces, je me glisse dans son dos, ce qu'elle affectionne. Plaqué contre elle, la bosse de mon pantalon dans le creux de ses fesses à travers le fin tissu, je prends ses seins que je caresse, que je soupèse, dont j'agace les pointes tandis que je l'embrasse dans le cou, lui mordillant parfois l'oreille plus ou moins bestialement.

Elle ondule sous mes mains, mes lèvres, mon sexe tendu à mort. Je sais ce qu'elle veut et elle aussi. Mais ça attendra un peu, ça n'en sera que meilleur ! Nos corps s'épousent, se coulent l'un à l'autre, tout en sensualité, c'est très bon ! Très ! Divin même, au risque de paraître trop précieux... Une main quitte un sein puis descend caresser l'arrondi d'un ventre douillet, si agréable quand je pose ma tête dessus. Un moment de tendresse dans un océan de sexe débridé. Un beau bombé que je délaisse ensuite pour un autre plus petit, plus intime, son mont de Vénus, tel un fruit convoité.

J'adore la masturber par-dessus les tissus, la sentir qui frémit, qui ondule, qui se retire, qui demande, qui quémande ma caresse pour son doux plaisir. J'adore qu'elle soit ainsi, abandonnée, à moi, tout à sa volupté. Et moi, je retire une très grande satisfaction, un plaisir subtil, très intellectualisé devant sa jouissance charnelle.

Je remonte doucement la robe, découvrant ses genoux, puis ses cuisses. Elle ondoie plus encore, comme la belle plante qu'elle est. Son pubis voit le jour, une brise le frôle, fraîche par cette chaude journée. Je coince les pans du tissu dans sa ceinture afin que tout son bas-ventre reste dévoilé au soleil qui fléchit en cette fin de journée. Son pubis est doux, très doux, je raffole de sa fine toison taillée en un fin triangle qui émerge ainsi d'un sexe presque rasé.

Mais j'ai d'autres idées en tête, elle aussi, alors je sors un sexe raidi de mon court short et je le plaque sur ses fesses. Je veux la prendre ainsi et elle sait que je m'enfoncerai en elle, bien au fond, dans ses profondeurs interdites.

Mais avant, une petite formalité qui fait partie du jeu et du plaisir, je m'agenouille, ses fesses à mon nez puis voluptueusement, ma langue s'en va humidifier son petit trou. Je sais qu'elle aime ça, sentir mes lèvres à son orée, avoir quelque chose de chaud et d'humide qui furète au bord. Et moi, j'adore aussi cette caresse interdite que je lui inflige, prémices d'une autre chose plus incisive, plus intrusive.

Je me suis relevé, le moment est venu que j'aille en elle. Valérie m'attend, les fesses tendues. Je pose mon bout turgescent contre sa rondelle mouillée, elle frémit, me souhaite, me veut en elle, là. Mes mains sur ses hanches toutes douces, une dernière respiration et j'entre en elle d'un coup, sans trop forcer. Elle soupire d'aise, s'empale délibérément sur le pieu qui la fouille. Que c'est bon d'être là, en elle ! Quelques petits coups pour bien se caler, je coulisse, bien décider à lui faire profiter de toute ma longueur qui pioche son sombre tunnel.

Je décide de changer un peu :

- Non, j'ai une autre idée, retire-toi, s'il te plaît.

- Ah bon ? Ça me plaisait bien comme ça !

- Ça te plaira plus autrement !

- Ah ? Faut voir !

Et elle se retire quand même. C'est bon quand je sens mon sexe sortir, quand il semble se coincer juste avant d'être expulsé de son antre prohibé. J'en éjaculerais tellement c'est fort, puissant ! Soufflant un peu, je m'assieds sur les herbes hautes, elle me regarde intriguée, la robe toujours relevée. Je m'allonge ensuite sur les coudes, mon sexe bien érigé vers le ciel. Elle comprit vite :

- Hum et comment ? De dos ou de ventre ?

- J'hésite justement... Commence donc de dos que je puisse voir ton beau cul se faire défoncer puis...

- Puis ?

- Tu pourras pivoter pour me présenter ta belle pêche fendue !

- Toujours aussi lyrique ! Tu n'as pas peur pour ton machin ?

- Pas la première fois !

Elle s'exécute, ça l'amuse beaucoup. Je la vois qui me surplombe, elle a de bien belles jambes, et ce qu'il y a au bout est mieux encore ! Avec une lenteur calculée, elle s'abaisse, ses rondouillettes fesses se rapprochant dangereusement de mon sexe pointé vers elles. Elle saisit ma tige de chair et la dirige sans faiblir là où elle doit aller. J'encaisse le choc quand mon gland cogne entre ses fesses, dans le creux de la cuvette. Je suis néanmoins admiratif devant sa précision alors qu'elle ne voit rien. Ma tige ploie quand elle s'abaisse plus encore. Un mouvement de doigt et mon pal s'engouffre en elle sans faiblir un seul instant. Cette facilité dans la pénétration m'étonne toujours. Au début, j'étais inquiet pour elle. Maintenant, moins. Elle monte et descend le long de ma tige, c'est très efficace et éprouvant, j'ai quelques peine à ne pas tout lâcher en elle. Ses fesses dandinent à portée de ma main, un beau cul magnifique qui s'empale sur la tige malmenée. Je ne résiste pas, m'accoudant mieux, je lance une main pour caresser cette rondeur soyeuse. Dieu que c'est bon ! Cette caresse, moi en elle, elle autour de moi, son cul à moi, pour moi. On ne s'en lasse pas !

D'un coup, je serre les dents : elle pivote autour de mon gourdin empalé en elle.

Mes yeux en sortiraient de ma tête, c'est fort et violent, effet garanti. À la tête qu'elle fait, bouche grande ouverte, yeux quasi révulsés, elle doit être logée à même enseigne que moi ! Ma tige se tord, coincée par ses sphincters. Je souffle, ça résiste. Petit à petit, la rotation infernale se fait, lentement. Le moment le plus épique fut quand elle dut enjamber mon corps, la tension fut à son comble, je crus que mon sexe allait se déchirer comme un vulgaire tissu. Mais contre toute attente, il coulissa plus profondément en elle, lui arrachant un petit cri puis pivota correctement.

Elle est devant moi, à quatre pattes, son cul toujours rivé sur mon pieu. Elle se déchaîne, coulisse, monte, s'élève pour s'enfoncer plus encore sur ma tige, ses fesses touchent mon bas-ventre, sa chatte à l'air me nargue. Plus pour très longtemps, car je m'en saisis pour la masturber soigneusement, mais fermement. Elle crie un peu, s'agite beaucoup, j'ai beaucoup de difficultés à rester concentré sur son clitoris que je taquine et que j'agace férocement. Le ciel au-dessus de nous, je le vois comme un grand vide qui m'aspire irrémédiablement, un gouffre infini. L'herbe, sous mon coude, mon dos, mes jambes, m'agace, me titille. Et ce cul qui n'en finit pas de plonger sur moi, de serrer ma barre brutalisée, ces fesses qui m'absorbent, ce clitoris inassouvi, cette femme qui m'épuise, me tourmente mais qui me fait tant jouir ! Pourquoi ça tarde tant ? Je veux jouir en elle, lâcher mon sperme dans ses entrailles, qu'il se mélange avec ses déjections, qu'elle le garde en elle, qu'elle en soit remplie, débordante, rassasiée, comblée !

Une dernière lueur, un dernier éblouissement, je sens une onde puissante qui me ravage, mon cœur qui semble exploser. Je l'entends venir en même temps que moi, ses cris m'excitent plus encore. Un geyser chaud lance ses jets brûlants au fin fond de ses entrailles ténébreuses. Je sombre, repu, vidé.

Elle est toujours sur moi, affalée, pesant de tout son poids, toujours rivée en moi, mon sexe amolli dans son fondement. C'est affolant, cette jouissance. Angoissant mais impressionnant de volupté. Je me repose, reprenant doucement mes esprits. Elle aussi, elle est comme ravagée, secouée de spasmes. Elle roule sur le côté, sans égard pour mon sexe toujours en elle. Brutalement, il s'étire d'un coup m'arrachant un cri de surprise puis, tel un bouchon, s'extirpe de son enclos dans un son peu correct.

- Oh pardon ! dit-elle.

- Ouââ ! Tu peux ! Argh, ça fait mal, mine de rien !

- Excuse-moi ! Tu as très mal ?

- Plutôt oui ! dis-je en râlant

- Excuse-moi !

Je serre les dents, une vague idée dans le crâne devant son air confus :

- Pour te faire pardonner : suce-moi !

- Comme ça ?

- Oui, comme ça !

Elle me regarde intensément, hésite un peu. Elle sait que je profite de la situation, elle voit bien à mon air que je ne suis pas si fâché que ça, que c'est plutôt ludique. Mon sexe commence déjà à se redresser un peu, tout rouge, couvert d'un liquide indéfinissable, zébré de striures blanchâtres de sperme. Elle saisit ma tige poisseuse entre ses doigts fins, le masturbe un peu, le décalotte complètement. Un dernier regard vers moi, qui me trouble profondément, elle enfourne ce sexe sale dans sa bouche et le suce lentement...

Je ne saurais décrire le plaisir de cette fellation, quelque chose de très puissant, très fort, d'incommensurable, le franchissement d'un autre palier, d'une nouvelle étape comme si mon horizon portait plus loin, beaucoup loin, encore plus loin. Tandis qu'elle me léchait, je sentais un bien-être diffus m'envahir totalement, une satisfaction un peu honteuse mais tellement bonne !

Je suis, là, assis sur une chaise, jambes écartées, une moue dubitative aux lèvres. Je me pose à présent diverses questions sur mes folies nocturnes et de plus en plus diurnes. Pourtant, je devrais être heureux et pleinement satisfait ! Je me demande vers quelles nouvelles contrées je vais arriver à présent, déjà une foule d'idées honteuses et saugrenues attendent, tapies dans l'ombre de mes turpitudes...

Comme dans le sombre recoin de l'endroit que j'aime tant...

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Rendons à Cesar ce qui lui reviens ... ce texte n'est pas de nous, mais paru  au # 10 954 sur Revebebe ... Que son auteur nous pardonne l'emprunt, et qu'il en soit ici remercié

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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