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Libertins Angers

Samedi 21 octobre 6 21 /10 /Oct 02:20

Ce soir là, nous recevions Yannick, un ami de longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé que de coutume.

Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine. Celui de mon épouse étant plus qu' avantageux (95D), je le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, C. se mit à rougir, gênée. Yannick, répliqua qu'elle ne devait surtout pas en avoir honte et qu'il m'enviait de pouvoir faire l'amour à une femme avec d'aussi jolies seins.

A cet instant, étant placé juste à coté d'elle, je déposais un baiser dans son cou. L'alcool aidant et ayant ma petite idée derrière la tête, je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier, ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face d'elle. Très excité par la situation, je continuai mes caresses et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant ce spectacle, Yannick n'en croyait pas ses yeux et ne savait trop quoi faire.

Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d'habitude très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter devant un autre homme. Les petits soupirs qu'elle poussait prouvaient d'ailleurs le désir qui montait en elle. Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et en peu de temps je libérais sa poitrine devant les yeux de Yannick, ravi du spectacle et commençant à se douter de la fin de la soirée que j'envisageais. La respiration de C.. s'était faite haletante et ses tétons pointaient comme jamais : Je me mis à les sucer à tour de rôle.

Je sentais Yannick partagé entre la gêne et l'excitation et je lançais "Ce serait dommage d'avoir deux bouches et deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ?".

La réponse de mon épouse me stupéfia : " Et surtout deux bonnes queues."

Je fis alors lever C. et la conduisit vers le canapé en faisant signe à Yannick de nous rejoindre. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs. Yannick s'en donnait à coeur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons. De ma main libre, je commençais à lui caresser l'intérieur des cuisses tout en soulevant sa jupe. Sa culotte en dentelle était déjà humide et en l'écartant, je découvrais une chatte toute poisseuse d'excitation dans laquelle j'introduisis deux doigts.

Comme si c'étais le signal du départ, elle commença à masser nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant plus largement les cuisses. Yannick s'agenouilla alors devant elle, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement, ne lui laissant que ses collants et escarpins vernis.

 

« Faites moi jouir » nous dit alors C., d'une voix tellement excitée que j'eu du mal à la reconnaître.

Ne se le faisant pas dire deux fois, Yannick enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses seins tout en l'embrassant dans le cou. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin que Yannick puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Je remarquais qu'il en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou. «Montre-lui ton cul» lui ordonnais-je alors, tout en sortant ma queue de mon pantalon.

Yannick m'avait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de l'admirer dans cette posture. Se mettant à quatre pattes et se cambrant au maximum, C. présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans l'anus. Dans le même temps, je me glissais sous mon épouse, en position de 69, et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus d'amour me dégoulinait littéralement dans la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment. Jamais elle ne m'avait si bien sucé, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.

Ma queue fut bientôt rejointe par celle de Yannick qui s'était enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland violacé par le désir. Mon épouse se mit alors à nous sucer à tour de rôle puis se cantonna à la bite de Yannick, me faisant ainsi comprendre qu'il serait peut être temps de me servir de la mienne. Je me plaçais donc derrière elle et commençais à l'enfiler lentement, faisant pénétrer ma verge centimètre après centimètre.

Alors qu'une demi-heure auparavant nous discutions autour d'un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus, en train de faire tous l'amour sur le canapé, les gros seins de ma femme se balançant au rythme soutenu de mes coups.

Jamais je n'avais connu son sexe aussi trempé. J'avais l'impression d'enfiler une fontaine et mon sexe en ressortait tout brillant de mouille. A chacun de mes va et vient, un bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de mes couilles claquants contre ses fesses.

C. se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos. Aussitôt, elle vint s'empaler sur ma queue tout en continuant à sucer la verge de Yannick. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que je m'empressais de peloter. Placé comme je l'étais, je ne pouvais pas en rater une miette et je voyais distinctement le sexe de mon ami Yannick aller et venir dans la bouche de ma femme. La voir se conduire comme la dernière des salopes m'excitait énormément et je devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.

Instinctivement, je me mis à lui caresser le trou du cul qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de Yannick. En effet, c'est sans grand effort que je put faire pénétrer un doigt, puis un deuxième, encouragé par C. qui me demandait de l'élargir en des termes peu raffinés et que je n'avais pas l'habitude d'entendre de sa bouche. Soudain, entre deux gémissements de plaisir, C. s'exclama « Je vous veux tous les deux en même temps, prenez-moi par les deux trous ».

Comprenant son désir, Yannick, vint présenter son sexe à l'entrée de son anus déjà dilaté. Lorsqu'il la pénétra, sans difficultés, je sentis distinctement sa queue aller et venir à travers les parois de son vagin. C. n'était plus qu'un objet sexuel entre nos mains, et nous la remplissions ainsi alternativement à tour de rôle. Elle était en nage, déchaînée. Prise en sandwich, pilonnée en rythme par nos queues, elle eut deux orgasmes successifs.

Brusquement, Yannick se retira, se leva et vint présenter son sexe devant la bouche de C... A ma grande surprise, elle entreprit immédiatement de sucer ce sexe qui sortait pourtant à peine de son cul. Très excité par ce que je voyais, je laissais tomber sa chatte et pris la place de mon ami afin de l'enculer à mon tour. Son anus ressemblait à un cratère béant et je n'eu aucun mal à m'y enfoncer jusqu'à la garde. Yannick se plaça alors sous elle et se mit à lui bouffer la chatte pendant que continuais mon va-et-vient dans le cul de ma femme. C'est à ce moment là qu'elle eut son troisième et dernier orgasme.

En quelques secondes, Yannick jouit à son tour et déversa une giclée de sperme dans la bouche de C. qui en recracha une partie qui dégoulina sur le canapé. Quant à mon tour je dis que j'allais venir, elle me dit « Viens, je veux boire ton jus ».

Ce n'était plus ma femme que j'avais en face de moi, c'était une belle salope, avide de sexe et qui en redemandait. Je lui enfilais donc ma verge dans la bouche sans ménagement et au moment de jouir, je lui maintins la tête pour qu'elle n'en recrache pas une goutte. « Avale, salope...ma petite salope à moi », dis-je en balançant mon foutre au fond de sa gorge.

Jamais je n'aurai osé me conduire de la sorte avec elle avant ce soir là mais il était évident qu'elle prenait un grand plaisir à se faire ainsi avilir par deux hommes en même temps. De plus, j'avoue que ce changement qui s'opérait chez elle n'était pas pour me déplaire, me dévoilant des horizons nouveaux.

Elle qui avait toujours refusé de participer à un trio, pourtant mon plus grand fantasme, venait d'être particulièrement gâtée pour une première. Son sourire encore tout barbouillé de sperme était pour moi la plus belle des récompenses ainsi que la promesse de futurs alléchants.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 02:29

Nous sommes en automne et avons décidé de passer ce samedi dans le vignoble.

 

Il est très tôt dans la matinée, C. et moi nous nous préparons pour cette journée.


Nous préférons plutôt une tenue citadine mais toujours sexy pour ma femme avec des dessous très séduisants : un ensemble soutien-gorge, string et porte-jarretelles couleur champagne qui retient ses bas noirs et avec par dessus petit bolero qui épouse parfaitement sa silhouette, faisant ainsi ressortir ses seins et son sublime cul. Un chemisier largement ouvert et une jupe marron au dessus du genou, fendue à l’arrière couvrent le tout. Nous choisirons des chaussures à haut talons en daim marron. Je dis nous car elle me demande toujours mon avis, et je l’en remercie.

Une délicate touche de maquillage vient couronner l’ensemble ; elle est magnifique, ses yeux verts brillent, ses lèvres aussi soulignées d’un peu de gloss.

Nous voici donc installé dans la voiture, moi au volant, ma femme à mes côtés prêts à prendre le départ pour cette ballade.
Les kilomètres défilent, m’offrant une vue imprenable sur les cuisses de mon épouse ; Sa jupe légèrement remontée, laisse apercevoir les agrafes de son porte-jarretelle où sont accrochés ses bas. Je ne suis pas toujours le seul à en profiter car ce panorama fait aussi le bonheur de ces routiers qui perchés au volant de leur camion et parfois arrêtés à coté de nous aux feux rouge, admirent la beauté du paysage.

Parfois pour exciter ces messieurs, en toute complicité avec C., je lui passe la main entre les cuisses. J’adore ces moments, car prise d’un soupçon de pudeur, ses pommettes virent souvent au rouge.

Aux portes du Layon, l’ayant bien échauffée avec mes caresses, nous décidons de faire une pause un instant dans les vignes, nous permettant ainsi de patienter avant l’ouverture des caves que nous aimerions visiter afin d’y gouter et déguster quelques crus de la région : Coteaux du Layon, Quart de Chaume … peut être pousserons nous jusqu’à Bonnezeau.

Il est évident que l’un comme l’autre pensons à la même chose : faire quelques calins sur les sièges de la voiture, vu la médiocrité du temps à l’extérieur. Dans une voiture, ce n’est pas toujours facile, mais bougrement excitant.

A chaque instant, nous pouvons être surpris en pleine action, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Je bascule  son siège, avec ma main gauche, je prends sa cheville droite et lui remonte la jambe afin de la poser sur le tableau de bord ; docile, et la tête penchée en arrière, yeux mi clos, elle s’abandonne. J’écarte alors doucement sa cuisse gauche, pour me positionner face à son sexe, où les lèvres de sa vulve débordent de son string.

Je commence à lui caresser le mont de Venus, bien en évidence sous le triangle du string, puis vient délicatement embrasser ses cuisses … remontant depuis le genou, mes lèvres parcourent d’abord la nylon, puis la bande de dentelle du bas, s’amusent avec l’agrafe de la jarretelle avant de venir s’égarer plus loin dans l’aine charnue … elle respire plus fort … très vite, je n’en peux plus et entreprends de lui caresser la vulve de mon menton, de mon nez … j’adore son odeur de femme, de femelle devrais-je dire tant elle se livre à moi … son string n’est bientôt plus que liquide, mélange de ma salive et de sa cyprine … J’écarte doucement le string, pour découvrir cette petite chatte que j’aime tant … maintenant dénudée de presque tous ses poils, ne laissant qu’un mince ticket de métro … elle est offerte … son sexe lui, ses lèvres sont gonflées et rouges du desir qui fait également jaillir son petit bouton … je fait glisser l’étoffe sur ses hanches, et le roulant sur ses cuisse et lui écartant plus encore la cuisse, lui dégage une seule jambe. Ma femme miaule telle une chatte en chaleur, masquant le bruit de la pluie qui tombe. J’assure l’écartement de ses cuisses avec mes mains qui lui maintiennent fermement ses chevilles en hauteur et empêche son string de redescendre le long de son bas. Cette position m’offre son vagin grand ouvert pour une bonne et profonde pénétration qu’elle me demande sans me prier. La pluie ayant cessée momentanément de tomber, c’est elle qui m’entraine, sortant de la voiture elle vient se positionner devant le capot et m’offre son dos et son cul, les mains posées bien à plat sur le capot encore chaud, la croupe tendue et le dos cambré … comme elle est bandante !

Sans trop de préliminaires, je lui enfourne ma verge … ou plutôt, elle vient se saisir de mon sexe, d’une main passée entre ses cuisses et s’est littéralement elle qui se la met. Je la bourre profondément et bestialement ; elle est comme folle, et m’excite telle une salope en manque avec des :

« oh oui … vas y encore, bourre moi plus fort, défonce moi! Oh … j’aime ta queue … elle est bonne»

J’exécute ses ordres sans rechigner, en mettant encore plus d’ardeur qu’elle ne peut espérer. Nous jouissons tout les deux.

L’intensité de cette partie de jambes en l’air a toutefois fait une victime, un bas qui n’a pas résisté à la violence de nos ébats. Contrariée par son bas filé, C. soucieuse de son allure BCBG, décide de repartir à Angers en acheter une paire. Pendant le trajet, et alors que son string reste en boule à ses pieds, elle me dit sentir ma semence couler hors de sa chatte … elle se caresse, et je sens bien vite ma bite reprendre de la vigueur … elle récolte un peu de mon sperme sur ses doigts, et porte goulûment ses doigts vers ses lèvres tout en fichant son regard dans le mien … qu’il est dur de rester concentrer sur la conduite …

Il est onze trente du matin, et en arrivant sur le parking, C me demande d’attendre … elle prend une lingette dans la boite à gant et délicatement s’essuie l’entrejambe … Un homme qui longe notre voiture, doit l’avoir vue car il se retourne, comme estomaqué par le spectacle … il est avec sa femme qui marche d’un bon pas et ne s’arrête pas … A notre tour, nous entrons dans un centre commercial et nous nous dirigeons vers le rayon lingerie, où ma femme trouve son bonheur. Je lui conseille de prendre deux paires, car la journée n’étant pas terminée, nous pouvons certainement en avoir besoin. Nous achetons les deux paires de bas, une paire de bas couture avec pointes talons, et une résille fine et profitons pour jeter un coup d’œil au rayon lingerie. Le même homme que tout à l’heure passe en tête de gondole … il me semble qu’il cherchait quelque chose … nous, peut être ? Oui, c’est cela … le voilà qui revient et vient à notre rencontre …
C. est en train de jauger d’une très belle guêpière blanche …elle ne l’a pas vu … Quand il passe pres de nous, il ralentit et glisse « cela vous irait à merveille … vous être très jolie … merci pour le spectacle » … elle se retourne, interloquée, mais vraisemblablement trop timide, l’homme a continué son chemin … elle m’interroge du regard et dit « quel spectacle ? » … je lui révèle que je pense que cette homme l’a vu s’essuyer le sexe nu, tout à l’heure … elle rie, tandis que de nouveau, ses joues virent au rouge !

 

Nous repartons, et de retour dans le vignoble, trouvons un restaurant pour déjeuner. Ma femme se rend aux toilettes pour remplacer ses bas. Le menu entre les mains, je m’interroge ; lesquels va-t-elle choisir ? J’imagine la scène, mon épouse en train de raccrocher ses bas au porte-jarretelles. C’est un instant magique, qui me fascine toujours, et que j’aimerai partager … mais qui retarderai certainement le service ! Je m’imagine, la prendre sur le plan de toilette avec l’angoisse qu’une personne qui rentrerait.

La démarche toujours aussi bandante, Marie-Paule regagne la table … je vois quelques regards masculins qui la suivent … elle a mis les bas couture. En s’asseyant, sa jupe dévoile le haut de ses bas, tendus par les jaretelles …

Nous passons commande.

A l’aise, les jambes croisés, ma partenaire très aguichante, fait admirer aux autres couples présents, les fines dentelles en haut de ses bas et parfois même le teint encore hâlé de ses cuisses.

Très sensuellement, elle déchausse une chaussure, et vient avec son pied sous la table me caresser au niveau de la braguette. Le bruit et le va et vient de son bas sur le pantalon m’excite. Elle peut sentir ma bite qui raidit sous l’effet de ses caresses.

Après m’avoir fait bien bander, elle se retire avec un sourire et une langue humidifiant ses lèvres en signe d’intime complicité.

Ravie de son acte, elle poursuit le repas et j’en fais de même. Le repas est divin, les mets nous paraissent sublimés par l’ambiance érotique, le désir qui nous entoure … mos mains se touchent, nos doigts s’entrecroisent, nous nous lançons des œillades mais résistons à l’envie de caresses trop charnelles.

Le repas terminé, nous quittons la table et partons déguster quelques vins. A Rablay, nous faisons un arrêt dans une cave que je connais pour y être déjà venu. La maîtresse des lieux très sympathique nous accueille et nous propose de déguster, ce que nous faisons volontiers. Mon épouse et moi, nous nous asseyons et tenons une conversation intéressante sur les vendanges actuelles. Maintes fois, je surprends les yeux de la propriétaire fixant les cuisses de ma compagne, qui comme à l’habitude croise ses jambes, se qui laisse entrevoir qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelle. J’ose imaginer ce que peut penser cette personne d’apparence très chaste et réservée, face à un tel spectacle.

N’étant absolument pas gêné par le petit jeu de ma femme, je demande à cette brave dame encore troublée, si l’on peut visiter la cave. Ce qu’elle nous accorde bien volontiers, appellant son mari. Nous pénétrons, le vigneron en tête suivi de mon épouse et moi. Dans les grands couloirs voûtés où les bouteilles et barriques sont entreposées, la faible lumière dégagée par les ampoules illuminent mon imagination sexuelle.

Le propriétaire nous devançant de quatre à cinq mètres et ne se doutant de rien , nous donne quelques détails sur la manipulation de son délicieux breuvage tandis que je stoppe C, me positionne derrière elle et lui fait sentir mon sexe bien raide sur son cul à travers sa jupe. Très vite elle comprend et comme moi, aimerai que je la baise dans cette cave, en lui mouillant la chatte au Layon, un cérémonial que tous les deux avons déjà pratiqué.

Nous re-sortons, retournons au caveau et achetons trois caisses, en souvenir de cette journée, avec quelques demi bouteilles pour agrémenter nos petites soirées érotiques.

Il est bientôt dix-huit heures, nous quittons les coteaux et, encore bien émoustillés, prenons le chemin du retour. Je sais l’effet qu’à un peu de – bon – vin sur la libido de C, et ceci me laisse augurer d’une bonne soirée.

Nous faisons halte dans un délicieux restaurant, en bord de Loire … où nous prenons notre temps. Toujours avec une envie féroce de sexe, nous blaguons sur les personnes qui nous entourent, nous taquinant, se posant mutuellement des questions sur leur vie sexuelle et bien sûr, sur la façon que nous aurons de terminer la soirée?

Demain, c’est dimanche nous rentrons tranquillement. Même si la route n’est pas longue, toujours affamés de cul, nous ne pouvons attendre si longtemps. La maison semble trop loin pour nos désirs. Je me dirige dans un petit chemin, nous conduisant, à la lisière d’un bois, où j’arrête la voiture et éteints les phares.

C. m’arrache le pantalon, détourne mon slip et me taille une pipe d’une extrême vigueur. Ma verge est prisonnière de sa bouche, l’ardeur qu’elle met à me sucer le gland est impressionnante, elle agite fermement mon membre dans tous les sens et chaque aller retour dans le creux de sa main, orchestré par la dextérité de son poignet, me donne envie d’éjaculer. Je résiste, m’accroche à sa chevelure, et me contorsionne pour lui rendre la pareille. Ma main se faufile, de mes doigts, je lui écarte les lèvres, et caresse sa chatte déjà trempée … je me lèche trois doigts, et les lui bourre au fin fond du vagin. Je les remue à l’intérieur de son gouffre, telle une pieuvre avec ses tentacules. Elle chancelle de plaisirs, et finis par libérer ma queue de sa bouche.

Les sièges vite mis en couchette, je la bascule sur la banquette arrière, sort mes doigts humides que je suce un par un, et je lui dévore la moule. Elle jouit, me retient la tête contre son sexe qui dégage une agréable odeur de cul. Je lui enfile profondément mon pouce dans l’anus, elle crie telle une salope … je la désire.

Elle est en chaleur, et se retourne, à quatre patte sur la banquette

Prêt pour la prendre en levrette, sa croupe bien tendue, me prenant la bite, c’est vers son œillet qu’elle me dirige et frotte lentement mais fermement ma verge … elle fait des allers-retours sur sa vulve et chaque passage est l’occasion d’humidifier sa raie. Le gland bien enflé, je laisse glisser un peu de salive dans sa fente que j’écarte largement.

Sous la pression inculquée par son poignet, je me sens la pénétrer, son anus se refermant sur mon gland. Je la pilonne, les coups de butoir que je lui inflige claquent sur ses fesses. La respiration haletante, accompagnée de gémissements, elle prononce quelques mots :

Va s’y yyyy ! bourre moi encore ! Défonce moi ! Oh ouiiii ! J’aime ta queue , j’aime ta bite dans mon cul !

Après avoir bien que j’ai bien limé son cul, toujours pas rassasiée, elle se retourne et prends la position du missionnaire. Je prends une capote dans mon portefeuille, elle s’en saisis et la déroule sur mon étendard … elle en profite pour me malaxer fermement les couilles … Les cuisses très ouvertes m’offrent ses lèvres béantes, son clitoris saillant. Je saisis ses chevilles et les maintiens fermement pour garder l’ouverture, et la bourre de ma bite. Nous gueulons tous les deux de plaisirs, je m’acharne à la faire jouir intensément. Je lui lèche les bas le long de ses jambes. La violence de nos actes, décroche les bas de son porte-jarretelles. J’en remonte un à hauteur de sa cheville accompagné de son string, les mets successivement dans la bouche pour m’imprégner de l’odeur dégagée par ma femme durant toute cette journée entre ses cuisses et son sexe. Je me ravis de ce léger parfum musqué et continue à la défoncer. Je la couvre de mots doux :

Tiens salope ! Prends ça ! Ca te plait ! T’en redemandes ! Saaaalope va !!!

Oh oui ! Tu aimes que ta femme soit une salope ! Hein ! Gros cochon ! Allez bourre moi encore!

Baise moi encore !!! Encore ! Encore ! Enncoore ! Ah ouiii, je jouiiii !!!

Ah ! Ouii ! Moi aussiii ! Tiens prends ça … oh, putain, je t’inonde !

Et je lui décharge une grande quantité de sperme sur son ventre avec lequel elle frotte sensuellement sa chatte, accompagnant son regard qui en dit long sur notre complicité sexuelle.

Avec quelques lingettes, nous nous essuyons tant bien que mal, C. raccroche ses bas à son porte-jarretelles, qui soit qui cette fois, n’ont aucun mal, à part quelques décorations blanchâtre de mon sperme, sortes de souvenir de cette magnifique journée.

 

Cette fois nous rentrons chez nous et demain nous récupérerons et, recommencerons.

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 01:45

Je m'appelle F., j'ai 38 ans, je suis châtain aux yeux marron. J’avais alors 28 ans, et étais le représentant des copropriétaires dans l’immeuble où je résidais .

Ce jour-là, je rentre du travail à 18h. J'arrive dans le hall, un peu préoccupé par un problème professionnel. Je décide de prendre les escaliers plutôt que l'ascenseur histoire de me vider un peu l'esprit et de faire un peu d'exercice. Et puis le quatrième ce n'est pas la fin du monde !

Dans les marches, tout à mes pensées, montant les marches 2 à 2, je me heurte à ma voisine du dessous, une jolie femme frisant la quarantaine, divorcée, seule avec ses deux enfants, des jumeaux, âgés d'une dizaine d'années. Je la retiens en bafouillant une excuse qui la fait sourire. Elle ne semble pas aussi déstabilisée que moi, me jette un bonjour en plantant ses grands yeux verts dans les miens comme si elle cherchait à me transpercer et me rassure d’un ‘’ce n’est rien’’. Elle file. Je me retourne sur son passage envoûté et enivré par son parfum. J’ai eu le temps de la détailler, des pieds à la tête. Hum, quelle femme ! De belles jambes gainées de noir, une mini-jupe qui arrive à mi-cuisses, un petit chemisier assorti révélant une belle poitrine que j’imagine maintenant, lourde et généreuse. Elle doit sentir mon regard dans son dos, car elle se retourne et me lance un petit sourire en coin. Pris en faute, je me sens rougir et reprends mon ascension. Je rentre chez moi et mets une musique de fond pendant que je me replonge dans ce dossier ramené du bureau. Pris dans mes réflexions, je ne vois pas l'heure avancer.

Mon estomac crie famine, aussi je décide de sortir manger une pizza. Je prends mon blouson, et saute dans l'ascenseur qui semblait m’attendre. La descente commence mais très vite s'arrête à l'étage en dessous. Les portes s'ouvrent et je vois ma belle voisine monter dans l'ascenseur me saluant d'un autre superbe sourire. Elle est encombrée d'un gros carton qui semble bien lourd. Elle engage la conversation :

- Vous êtes moins pressé ? (Sourire, auquel je réponds) et elle continue : C’est bien vous le représentant des copropriétaires ? me demande-t-elle.

- Oui, c’est cela. Pourquoi, vous avez des problèmes

- Ah oui ? j’ai de gros problèmes avec la régulation du chauffage.  Serait-il serait possible d'en parler ?

- Oui sans problème, je suis à votre disposition ; nous pouvons prendre un rendez-vous quand vous voulez !

- oK, me dit-elle avec son joli sourire, je vais planifier ça.

L'ascenseur arrive au rez-de-chaussée. Les portes s'ouvrent. Je m’efface pour la laisser sortir, la voyant peiner avec son carton.

 
- Vous allez loin avec ce carton ?

- Loin non, je vais jusqu'à ma cave ranger ces vieux livres.

- Laissez-moi vous aider, lui dis-je en lui prenant le carton des mains.

Elle paraît surprise.

- Merci, c'est très gentil...

Elle passe devant et me guide dans les sous-sols de l'immeuble. Je la suis portant le carton et m'arrête juste derrière elle quand elle ouvre la porte de sa cave et allume la lumière. Elle me laisse passer devant elle.

- Posez ça sur l'étagère là-bas, s'il vous plaît, ce sera parfait.

Je pose le carton et me retourne ; elle est juste derrière moi.

- Vous êtes très gentil, me dit-elle, et... très séduisant aussi.

Je sens mes joues s'enflammer et une chaleur m'envahir.

- Je vous remercie, vous êtes une très belle femme aussi et si je, enfin... non rien, excusez-moi.

Je bafouille comme un gamin pris en faute, mais dans cette cave, je perds tous mes moyens devant cette femme splendide que je commence à désirer plus que tout. Je m'avance pour sortir de la cave quand elle me barre le passage.

- C'est quoi ton prénom ? me demande-t-elle en adoptant le tutoiement.

- F... et vous ? enfin toi ?

- Moi c'est Cathy.

- Enchanté Cathy...

- Tu sais F., cela fait des mois que je n'ai plus d'homme dans ma vie... Et des soirs comme ce soir, cela me manque cruellement, me dit-elle en refermant doucement la porte de la cave et en la fermant à clé.

Je ne peux y croire, cette femme superbe qui me fait fantasmer depuis des mois me fait des avances dans sa cave. Doucement nos visages se rapprochent, nos lèvres s'effleurent. Puis une bourrasque nous emporte, nos langues s'emmêlent, nos mains frôlent nos corps brûlants, faisant naître une excitation croissante.

 
Son manque d'homme se fait aussitôt sentir, car ses mains descendent directement se poser sur mon pantalon emprisonnant mon sexe gonflé à travers le tissu. Doucement, je retire ses mains.

- Non, ne me touche pas, enfin pas encore, laisse-moi faire, lui dis-je entre deux baisers.

- Oh oui, fais-moi du bien ! me lance-t-elle dans un souffle.

Je la colle dos au mur. Je plaque ses mains au mur de chaque côté de sa tête. Je me recule un peu et l'observe, elle est belle, collée au mur mains et jambes écartées me regardant de ses yeux humides. Je m'approche d'elle et lentement je pose ma bouche sur son cou. Doucement mes mains dégrafent son chemisier laissant apparaître ses seins prisonniers dans leurs bonnets. Puis je sens une main serrer mon sexe. Elle ne peut pas s'empêcher de le tâter. Malgré la douceur de la caresse, je repousse sa main et m'écarte d'elle. Je fouille dans la cave et trouve ce que je cherche. Une ficelle. Sous un drap, en dessous de l'étagère sur laquelle j'ai posé le carton, trône un fauteuil de salon. Je retire le drap et la fais asseoir sur le fauteuil. Un support de l'étagère pend au-dessus du fauteuil, je passe la ficelle dedans. Puis lentement je retire le chemisier et le soutien-gorge de Cathy qui se laisse faire en essayant par tous les moyens de toucher mon sexe bandé.

- Cathy, lève les mains, n'aie pas peur, je vais t'attacher les mains vu que tu ne peux t'empêcher de me toucher. Je ne veux te faire aucun mal, juste te faire un maximum de plaisir...

Elle semble hésiter, puis obéit.

- Ne serre pas trop, s'il te plaît, je n'ai jamais fait ça.

Je l'attache donc solidement, mais pas trop serré.

- Ça va comme ça ?

- Oui, répond-elle.

Elle est magnifique... La poitrine nue, les jambes écartées, sa mini-jupe relevée sur ses cuisses les mains attachées au dessus de la tête. Je m'approche d'elle et reprends mes baisers, je suce sa langue, ses lèvres, puis lentement je descends dans son cou en lui caressant les cheveux. Le bout de ma langue descend dans son cou, puis passe entre les deux seins, en prenant bien garde de ne pas les toucher (malgré l'envie que j'aie de pétrir cette superbe poitrine), puis arrive sur son ventre que j'embrasse, et lèche, faisant tourner ma langue dans son nombril, son ventre se creuse sous mes coups de langue et mes baisers, son souffle devient court.

Pendant que ma langue joue sur son ventre, mes mains pétrissent son dos, ses hanches, puis descendent sur ses jambes. Je lui caresse les chevilles et lentement remonte, massant les mollets, puis ses cuisses que je pétris sous sa mini-jupe. Mes mains passent sur les côtés et massent ses fesses. Elle se soulève pour que je puisse faire glisser sa jupe. Je découvre un joli string brodé assorti au soutien-gorge. Du bout de la langue je suis le contour de son string orné d'une tache de mouille qui semble s'élargir. Mon nez se frotte à la tâche en prenant garde de ne pas trop toucher son sexe brûlant, cela lui arrache un soupir d'extase, je la sens vibrer comme une pile électrique.

- F., touche-moi, s'il te plaît... F. huuuumm.

Pendant que mes mains font glisser son string, je lèche doucement l'intérieur de ses cuisses frôlant son sexe humide. Ma langue remonte sur son ventre, puis se dirige vers ses seins qui pointent de désir. Je mets des petits coups de langue au mamelon, puis n'y tenant plus, je les mordille, lui arrachant un râle de plaisir. Je prends un sein dans chaque main et le pétris, je fais rouler les bouts entre mes doigts, je les suce, les aspire... hummm ils durcissent entre mes lèvres.

Cathy se cambre, m'offrant sa poitrine à dévorer, geignant de plus en plus fort. Pendant que mes doigts continuent de rouler ses seins, ma langue redescend vers son puits d'amour, faisant creuser son ventre au passage, lentement je frôle ses lèvres trempées de mouille du bout de ma langue, puis lentement ma langue se fait plus pressante écartant peu à peu les lèvres en feu jusqu'à ce que ma bouche se colle à son sexe. Durcissant ma langue je la rentre le plus profondément possible la faisant tournoyer dans sa vulve inondée. Le souffle de Cathy devient de plus en plus court, son sexe dégoulinant de jus d'amour se colle à ma bouche. Une de mes mains délaisse ses seins et descend sur son ventre du pouce je frotte doucement son clito bandé comme un petit pénis, puis ma langue sort de sa vulve et remonte léchouiller son clito pendant que je rentre un doigt, puis deux dans son sexe brûlant. Doucement je lèche le clito, le suce, l'aspire entre mes lèvres hummm il grossit dans ma bouche. Cathy commence à gesticuler dans tous les sens et se tord de plaisir sous l'action conjuguée de ma bouche et de mes doigts qui lui fouillent le sexe.

- Ouiiiiiii bouffe-moiiiii la moule, hummm hoooo doigte-moi bien à fond ouiiiiii c'est boooon aaaaaaaahhhhhhh.

Un orgasme la cloue sur le fauteuil, elle gémit longuement, je lui suce un sein pendant que je continue de la doigter lentement. Puis je retire mes doigts de son sexe empli de cyprine et les lèche avant de l'embrasser goulûment. Elle tente de défaire ses liens en tirant dessus, mais elle est bien attachée. Elle se tortille.

- Viens maintenant, mets-la-moi maintenant j'en ai envie s'il te plaîiit, je tiens plus ! Je mouille comme une vielle salope ! Je te veux ! Mets-moi ta queue, je veux la sentir ! Tu me rends folle ! Baise-moi !

Son langage cru m'excite, je vois qu'elle est à bout et qu'elle désire plus que tout être comblée. Je me mets debout devant elle et baisse mon pantalon, puis mon boxer. Ses yeux humides se posent immédiatement sur mon sexe bandé de désir. Je me mets debout dans le canapé en lui tenant la tête pour ne pas qu'elle puisse toucher mon sexe de sa bouche qui essaye de l'attraper au passage. Puis tenant mon sexe devant ses yeux, je me masturbe lentement devant elle à quelques centimètres de son visage. Ses yeux ne quittent pas ma main allant et venant sur mon sexe tendu.

- Cathy... J'ai envie de commencer par baiser ta bouche...

- Oui viens, donne-moi ta queue, je veux te sucer jusqu'à la moelle.

Je m'approche un peu plus et lui caresse les joues de ma queue bandée, je frotte le bout de ses seins, puis je remonte et effleure ses lèvres brillantes de salive avant de rentrer lentement ma queue dans sa bouche chaude et humide. Quel délice ! Dès qu'elle a ma queue en bouche, elle la pompe en gémissant comme si sa vie en dépendait. Elle aspire mon gland, fait tourner sa langue autour, va et vient dessus comme une affamée. À ce régime, je ne vais pas tenir longtemps. Je me retire de sa bouche qui essaye de reprendre mon sexe, mais je m'écarte. Elle me regarde de ses yeux suppliants. Je prends sa tête entre mes mains et renfourne mon sexe au chaud dans sa bouche. Je lui maintiens la tête, puis je commence à aller et venir lentement entre ses lèvres, nous gémissons de plaisir.

À nouveau je me retire. Je descends du canapé et dirige mon gland baveux vers son sexe inondé et bouillant. Ses cuisses luisent de mouille et sont écartées au maximum.

- Hummm Cathy je vais enfin te la mettre depuis le temps que j'en rêve !

- Oui viens mon salaud, tu m'as trop fait attendre, bourre-moi, défonce-moi, je suis tellement trempée que j'ai l'impression d'avoir pissé partout comme une chienne.

Son langage me rend fou de désir. Doucement je frotte mon gland sur ses lèvres gonflées de désir, je titille son clito de mon gland, puis reviens écarter les lèvres doucement. Très lentement, je fais rentrer mon sexe en elle centimètre par centimètre. Un long râle de plaisir accompagne ma pénétration. Lorsque ma queue est entièrement en elle, un spasme la secoue. Elle me regarde dans les yeux, je vois une larme couler sur sa joue, cela m'attendrit et je lui offre un baiser. Puis mes yeux plantés dans les siens, je commence à aller et venir lentement. Mon sexe sort presque entièrement et replonge aussitôt dans son volcan fusion, ses râles se font de plus en plus longs, mes mouvements s'accélèrent, je relève ses cuisses et pose ses mollets sur mes épaules, je la pilonne de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus loin. Elle râle maintenant sans discontinuer, mes coups de reins sont de plus en plus forts, mes mains pétrissent ses seins et torturent ses tétons gonflés, tout en la besognant, je dénoue la ficelle qui lui retenait les mains.

Aussitôt libérée, elle pose ses mains sur mes fesses en gémissant et guide mes coups de reins, je sens le plaisir monter et commence à geindre de plaisir, sa tête tourne dans tous les sens ses mains se crispent sur mes fesses nos gémissements et le bruit mat de mon sexe qui plonge dans le sien remplissent la cave, je sens la sève monter en moi.

- Hummm Cathyyyy je vais venir Hooooo c'est trop boooooooon !

- Ouiiiiiii vas-y, lâche ta purée mon amour ! Putain qu'est-ce que tu me mets !

Un deuxième orgasme terrasse Cathy, je me retire dans un râle de plaisir alors que les premières giclées sortent de mon sexe éclaboussant la poitrine et le visage de Cathy, qui voyant mon sexe à portée de main le saisit et le branle avec application en continuant de gémir, extirpant jusqu'à la dernière goutte de ma semence onctueuse et chaude. Puis alors qu'elle entreprend un nettoyage en règle de ma verge avec sa bouche et sa langue, elle me demande entre deux succions et en me faisant un clin d'œil :

- Quand est-ce qu'on peut prendre rendez-vous alors pour mon chauffage ?

Je prends son visage entre mes mains et l'embrasse tendrement pour toute réponse.


Très beau texte, lègèrement remanié, glané sur Revebebe ... que son auteur, Diablotin soit ici remercié
Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 03:55

Il y a longtemps que nous ne vous avons pas donné signe de vie ... Non pas que l'on vous oublie, mais parce qu'on courre à de multiples taches ... alors pardonnez-nous
Bisous libertins

J’ai rencontré Sophie à l’Université … elle était très charmeuse, enjôleuse et séduisante … J'ai longtemps essayé de la séduire. Un jour, que nous étions ensemble, Sophie me proposa de passer chez elle.

Sa mère nous ouvrit. A l'époque tout ce qui concernait Sophie me paraissait merveilleux, aussi ai-je trouvé la maman fantastique. Elle avait alors 45 ans, vivait seule depuis qu'elle était divorcée, elle était extrêmement jolie, bronzée, cheveux lui tombant sur les épaules. Ce jour là, elle était vêtue d'une longue robe, très séduisante et d'un léger décolleté. Sophie nous a laissé seuls pendant cinq minutes, car elle devait prendre quelque chose dans sa chambre. J'étais très poli, nous échangions des banalités, mais je devais faire un effort extrêmement puissant pour détourner mes yeux de ses seins, volumineux qui semblaient encore fermes et qui m'excitaient.

Naturellement j'étais autant séduit par la mère, dont je venais d’apprendre le prénom, Nicole que par Sophie.

Mon attrait pour Nicole était peut-être plus fort que pour Sophie, car Nicole semblait d’autant plus inaccessible et le sentiment que j'éprouvais pour elle était augmenté par le fait qu'il y avait une sorte de transgression sociale.

Sophie est tombée amoureuse de moi et nous sommes sortis ensemble. Notre histoire était banale, nous étions amoureux et tout fonctionnait dans le meilleur des mondes. Souvent, nous venions passer le week-end chez la maman de Sophie. Je dormais avec Sophie.

Nicole était très attirante. J'étais toujours impressionné par sa présence et je perdais mes moyens devant elle. Je pense qu'elle jouait un jeu de séduction avec moi, elle avait besoin de sentir qu'elle pouvait encore être attirante.

Et doucement, elle se moquait un peu de moi. Mais je crois qu'elle s'est laissée prendre au jeu de la séduction. Une nuit, je me suis levé pour aller aux toilettes, et j'ai rencontré belle-maman qui sortait de la salle de bains, elle ne portait qu'une chemise de nuit en soie, tenue par un léger fil qui passait sur chacune de ses épaules. La vision de ce léger tissu sur sa peau me laissa dans un état d'excitation incroyable. En une fraction de seconde, je pus voir deux magnifiques globes, encore haut perchés dont les auréoles se dessinaient fièrement sous le léger tissu … Je rentrais dans la chambre, avec une forte érection et l’esprit obnubilé par les tétons fiers et arrogants qui avaient dansé devant mon nez …

Un matin alors que Sophie entrait dans la chambre de sa mère, j'aperçus Nicole en soutien-gorge de dentelle blanc, légèrement pigeonnant, vision qui me poursuivit durant toute la journée.

Les occasions se multipliaient : Un matin, j'entrai dans la salle de bains alors que Nicole s'y trouvait, elle sortait de la douche et se séchait avec un drap de bain, qui malheureusement cachait ses seins ;  Tellement j'étais ému et surpris, je sortis aussitôt.

Elle ne réussit pas à cacher une certaine gêne, mais aussi de la satisfaction, me sembla-t-il.

Un autre jour, alors que je me brossais les dents, elle entra rapidement dans la salle de bains et me dit qu'elle était en retard et devait prendre une douche. Elle se tourne, enlève sa chemise de nuit qui tombe au sol et entre dans la douche. Je ne la vois que de dos, mais j'ai l'occasion d'apprécier ses fesses, légèrement rebondies et son dos bronzé.

Une après-midi, Sophie voulait aller voir une amie, que je n'appréciais pas trop, je lui dit que je resterais à la maison à lire.

Vers 14h00, Sophie s'en va et je monte dans sa chambre où je lis. J'entends bientôt ma belle-mère qui entre dans la salle de bains et fait couler un bain. Après 15 minutes de lecture (pouvais-je vraiment lire ?), je me décide à aller à la salle de bains, en espérant qu'elle n'ait pas fermé la porte à clé. J'entre et en effet, la porte n'est pas fermée à clé. Après deux pas, je feint l'étonné et m'excuse auprès de Nicole qui est au fond de son bain, malheureusement la mousse cache ses formes, dont je ne vois que le début des seins. Elle me dit ingénument de rester et faire ce que je comptais faire, elle déclare qu'elle n'est pas gênée. Je reste et je me brosse les dents. Puis je quitte la pièce très excité.

L’occasion de concrétiser mon fantasme, notre fantsame devrais-je dire tant il semble partagé nous sera donné quelques jours plus tard. Sophie doit retourner trois jours à la fac, car elle doit, avant la rentrée universitaire, travailler un mémoire avec deux amies. Nous en parlons au repas. Nicole réprime une moue, disant que le temps se mettant au beau, elle aurait voulu que nous l'aidions pour des travaux de jardin. Nous lui proposons de revenir la semaine suivante, quand Sophie propose que je reste afin d’aider sa mère, car elle même travaillera beaucoup. Il me semble voire Nicole légèrement rougir … Tous, nous nous rangeons à cette idée.

Le lundi matin, Sophie s'en va.

Je passe l'après-midi à exécuter des travaux de jardin avec ma belle mère. Elle est en face de moi et se penche, je vois ses seins figés dans un soutien-gorge noir.

Je suis presque continuellement en érection, ce qui est parfois gênant, car je porte un short. Le soir, nous mangeons, nous regardons la télévision, puis nous montons nous coucher. Je laisse ma porte ouverte, pour aérer et faire un courant d’air. Je suis sur mon lit, en short, avec un T-shirt. J'entends Nicole qui entre dans la salle de bains, elle ressort, passe devant ma chambre, s'arrête sur la porte, me demande ce que je lis. Je la regarde, elle porte une chemise de nuit très transparente, qui laisse de nouveau deviner ses seins. Nous bavardons, elle vient près de moi pour prendre mon livre et voir de quoi il s'agit. Elle s'assied à mes côtés sur le bord du lit. Elle parcours le livre. Je suis à côté d'elle, je devine ses seins, j'entends dans mes tempes mon coeur qui bondit, j'ai envie d'avancer ma main sur sa cuisse, j'ai envie de l'embrasser, mais je n'ose pas.

Trop d'interdits nous séparent, je vis avec sa fille, elle pourrait être ma mère. Elle lève les yeux, me regarde avec un regard langoureux, puis elle se lève et me quitte.

Naturellement, je ne peux pas dormir, je me retourne dans mon lit. Je me lève vers minuit et je descends boire à la cuisine.

Nicole descends, elle ne dort pas non plus, elle me dit qu'il fait trop chaud. Nous bavardons, j'ai une semi érection, très visible toutefois dans mon boxer, nous sommes appuyés contre la table, debout, la faible lumière met sa peau bronzée encore plus en valeur. Soudain elle prend les deux verres, les pose sur l'évier et en passant devant moi, elle me donne une petite tape sur le short, elle touche ma bite en érection à travers mon short. Mais à peine ai-je réagi qu'elle est déjà en train de monter les escaliers. Trop tard. Je ne sais si j’ai rêvé, si elle ne l’a pas fait exprès ou bien si au contraire, comme moi, elle refoule des envies sous-jacentes …

La journée suivante se passe comme la première, travail dans le jardin, repas, travail. En fin de journée, exténué, je monte prendre un bain.

Pendant que je suis dans l'eau, belle-maman entre dans la salle de bains. Elle se déshabille, je la vois de dos, entre dans la douche. Je reste dans mon bain. Elle sort de la douche, j'aperçois ses seins, elle se sèche et entoure son corps de sa serviette de bain. Elle est très jolie, avec ses cheveux mouillés et cette serviette qui serre son joli corps. Je sors du bain. Je me sèche et je ne peut éviter une forte érection. Je mets ma serviette autour de la taille.

Pendant qu'elle se sèche et se maquille, je me mets à côté d'elle pour me peigner. Comme le miroir est trop petit, nous nous bousculons en rigolant, nous nous poussons de la taille, nous sourions. Soudain ma serviette tombe et laisse apparaître ma bite au mieux de sa forme. Nous nous arrêtons, figés ;  je regarde Nicole, je n'arrive pas à bouger et j'entends mon coeur dans mes tempes. Soudain elle s'exclame ‘’oh, qu’elle est jolie’’ en riant ; elle me donne une petite tape sur le pénis, puis soudain elle le prend en main et commence un va-et-vient. Elle me regarde et me sourit. Je suis paralysé. Elle me branle doucement mais fermement … Elle a pris l’initiative, et a les yeux fixés sur mon sexe. C'est alors qu'il me vient l'envie de la toucher, je pose ma main sur son épaule et je commence à descendre vers son sein couvert par la serviette, mais soudain elle s'arrête, elle me dit : ‘’arrêtons nous avant de faire une bêtise’’ et elle quitte la pièce avant que je ne puisse réagir ou dire quelque chose.

Je retourne dans ma chambre … je ne peux tenir, et me branle fougueusement … de longues traînées de foutre viennent zébrer mon ventre et mon torse …il y a longtemps que je n’ai pas éjaculé avec une telle vivacité.

Elle aussi s’est enfermée dans sa chambre … peut être fait-elle de même … Je l’imagine, en train de se branler, je l’imagine cuisses largement écartées, sa main, ses doigts fouillant son intimité, virevoltant autour du clitoris, titillant la petite rosette étoilée …

Je l’entends descendre … Un peu après, elle m'appelle pour le repas du soir.

Nous mangeons en échangeant quelques banalités, mais nous sommes tous les deux très gênés. Nous regagnons nos chambres sans échanger plus de trois mots. Je vais dans la salle de bains faire ma toilette, lorsque je ressors, torse nu et en short, Nicole sort de sa chambre et vient près de moi.

Elle me dit qu'elle s'excuse pour ce qui s'est passé dans la salle de bains et qu'il faut oublier. Je lui dis qu'elle ne doit pas s'excuser et que de mon côté je n'ai pas envie d'oublier, au contraire, j'ai envie de recommencer. Sans trop savoir ce que je fais, je l'embrasse. Mes lèvres sont sur ses lèvres, ma langue cherche à s'enfoncer dans sa bouche ; elle résiste, garde les lèvres fermées, j'insiste, puis soudain sa bouche s'ouvre, nous échangeons un fougueux baiser, je sens tout son corps qui se détend. Nous recommençons plusieurs fois. Je l'embrasse dans le coup, j'enlève lentement les bretelles qui retiennent sa robe, qui tombe. Elle porte un léger soutien gorge blanc, mes mains parcourent son corps, caressent ses seins à travers le soutien gorge, descendent sur le bas du dos, caressent ses fesses que je sens enfin, si douces et encore fermes, telles qu’elles m’étaient apparues il y a quelque jours … Elle porte un string minimaliste … je dégrafe fébrilement et enlève doucement le soutien gorge, ses seins se libèrent … d’un sursaut de gène, elle vient les cacher de ses bras et de ses mains … elle me fait face … Je les lui écarte doucement … elle se laisse faire … elle s’abandonne. Je les caresse, je joue avec ma langue sur ses tétons ; de son côté, elle caresse mon torse, m'embrasse dans le cou, me lèche les pointes de sein. Elle baisse mon short, et mon shorty s'empare de ma bite, qu'elle caresse … elle recommence un va et vient avec sa main. A mon tour, je lui enlève son slip arachnéen, nous nous serrons l'un à l'autre, nous nous embrassons. Je sens mon membre contre son ventre … je ne peux réprimer des soubresauts … je sens ma verge battre contre son ventre, à la lisière de sa toison finement taillée … Elle se baisse, prends ma bite et viens caresser ses joues, son cou et ses lèvres … je sens son souffle chaud, les mèches de cheveux … elle me léchouille délicatement, enlève un ou deux poils rebelles qui la chatouille, et soudain m’engouffre dans sa bouche tout en me tenant les couilles d'une main en les malaxant. Je suis dans un état second, ma belle mère est agenouillée devant moi, en train de me faire une pipe d’antologie. Je lui caresse les cheveux. Lorsque je sens que je vais bientôt éjaculer, j'arrête Nicole, je la prends dans mes bras, la relèves … nous nous embrassons. Sa bouche a l’odeur et le gout acre de ma semence … même si je n’ai pas ni joui ni éjaculé, nul doutes que du liquide est venu perler à la pointe de mon sexe … ses yeux brillent … ce n’est plus ma belle-mère, mais une belle femme, mure et experte qui fait l’amour à un jeune et vigoureux jeune homme

Ma main explore son intimité, j'enfile un doigt dans sa chatte, je le ressors pour m'arrêter sur son clitoris. Elle n'en peut plus, elle gémit .... Elle prend ma bite dans une main et la guide vers sa chatte. Lentement, j'entre en elle. Lorsque je suis au fond, nous nous arrêtons un instant, puis lentement, elle commence à bouger, dans un lent va et vient. Elle me dit qu’elle prend la pilule, qu’elle a confiance comme je suis l’ami de Sophie depuis si longtemps … Elle jouit en premier, puis c'est mon tour. Nous sommes totalement épuisés. Elle est appuyée contre le mur et moi je suis appuyé sur elle. Après quelques minutes, elle m'embrasse. Puis soudain elle se sépare de moi, prends ses affaires et elle retourne dans sa chambre.

Je me couche, mais je ne peux pas dormir.

Soudain vers minuit, un bruissement dans le couloir …Nicole entre dans ma chambre, elle est vêtue de sa chemise de nuit, elle vient vers moi, soulève le drap et se couche sur moi. Elle m'embrasse. Je passe mes mains sous sa chemise de nuit, je lui caresse les seins. Elle est maintenant assise sur moi, qui suis couché sur le dos. Elle enlève mon short, prends ma bite en main et elle la guide vers son intimité. Je coulisse lentement en elle, je sens quelle est déjà toute mouillée. Elle commence un lent va et vient, assise sur moi qui la tient par la taille. Elle se penche, elle m'embrasse. Ces instants sont merveilleux et ils durent longtemps. Nous jouissons presque ensemble. Elle est sur moi, exténuée, détendue, heureuse. Alors commence une folle nuit d'amour, je découvre son corps, ma langue va de ses seins à son clitoris. Nous jouissons plusieurs fois. Le matin, je me réveille seul dans mon lit.

La matinée s'est déroulée comme les autres. Nous évitons de parler de ce qui s'est passé. Après le repas Nicole se change et part en ville faire quelques courses. Elle rentre en fin d'après-midi. Dans sa robe, elle est très séduisante. Je l'embrasse, elle est embarrassée. Mais très vite elle se laisse aller. Elle m'emmène dans sa chambre cette fois.

Pour moi, c'est un endroit magique, dans lequel je n'étais jamais entré.

Pour moi, le fait qu’elle m'emmène dans sa chambre est comme si elle abdiquait toute résistance, malgré le fait qu'elle soit ma belle-mère.

Nous sommes dans sa chambre, devant son lit. Nous nous embrassons. Je défais sa robe, qui tombe, elle ne porte pas de soutif ce que je soupçonnais, mais un petit slip blanc presque trop sage, ce qui m'excite beaucoup. Nous faisons l'amour lentement, j'adore caresser ses seins, l'embrasser, la pénétrer.

Je réalise alors un fantasme auquel je rêvais depuis longtemps, je la prends en levrette. Je vois encore ses fesses et ses jambes, légèrement écartées, ce qui est très excitant et ma bite qui s'avance lentement, puis l'entrée dans son sexe, guidée par sa main, puis la sensation extraordinaire ressentie lorsque je l'a pénètre. Après un léger temps d'arrêt nous commençons un va-et-vient, merveilleux. Elle se caresse, et parfois viens chatouiller, griffer, parfois malaxer mes couilles … J’ai une vue plongeante sur sa croupe, sur laquelle se découpe le voile du bronzage … sa raie est superbe, véritable écrin d’un anus fripé si mignon tellement il se contracte sous mes coups de butoir … j’ai envie de l’enculer … mais je n’ose pas … quis ait comment elle le prendrait … J’accèlère la cadence, elle gémit, crie parfois … nous jouissons presque ensemble, elle me dit que c’est bon de me sentir se vider en elle …. Ensuite, nous descendons manger mais très vite, tout excité, nous remontons dans sa chambre pour faire l'amour. Sa peau est très jolie, son corps de femme mure m'excite. Elle trouve en moi la jeunesse, l'amant de sa propre fille.

Le lendemain mon amie revient et notre rythme normal reprend. Nous repartons à la fac, et revenons parfois les w-end. Durant les fêtes de Noël nous retournons chez Nicole.

Une après-midi Sophie rend visite à une amie, j'en profite pour rester seul avec elle. Elle cède rapidement à mes avances et nous passons toute l'après-midi au lit. Nous sommes à peine habillés lorsque Sophie revient. Le soir, je fais l'amour avec Sophie ; c'est super excitant de faire l'amour la journée avec la mère et le soir avec la fille !

En février, je mens à Sophie et lui dit que je vais faire une semaine de ski avec un ami. En fait, je me rends chez sa mère. Elle ne sait pas que je viens, et est surprise de me voir arriver ainsi. Heureusement, elle est seule chez elle. Je lui dis que je viens pour une semaine. Elle me dit que je suis fou … et me tombe dans les bras … Nous avons vécu ensemble une semaine, comme un couple, nous avons fait chaque jour l'amour. Véritable déesse de l’amour, elle m’a initiée à pas mal de chose que j’apprécie aujourdhui … c’est avec elle que j’ai défloré mon premier cul … c’est avec elle que j’ai eu l’expérience des godes, le sien d’abord dont elle s’est servi pour m’aguicher, se branlant ouvertement devant moi … avant de m’implorer de lui prendre le cul tandis qu’elle se pilonnait le vagin de son jouet … Dois-je reconnaître qu’elle m’a aussi fait connaître les joies de m’y initier … Elle m’a sucée tout en me déflorant l’anus … j’ai pu la prendre tandis qu’elle avait des boules vibrantes dans l’anus, que je sentais sous la mince paroi les séparant de mon sexe … Ce fut inoubliable.

J’ai réalisé beaucoup de mes fantasmes avec elle … Sophie n’en sait toujours rien  et je crois que c’est mieux ainsi … bien que parfois, je ne peux croire qu’elle soit aussi naïve à ne pas se poser de questions quand à la complicité qui nous lie sa mère et moi …

D’autres fantasmes peuplent mon esprit .. Nicole à plusieurs amies que je connais … certaines sont extrèmement bien conservées, ayant un corps de jeune fille à l’approche de la cinquantaine … une en particulier, Muriel, est super sexy … toujours en jupes, talons haut … qui lui fontt de très beaux mollets  … des chemisiers négligemment ouverts sur de belles dentelles … … je l’ai vue une fois, je ne sais pas où elle allait, passant chez Nicole avec des bas coutures … je l’imagine en PJ …

J’aimerais avoir ces deux femmes pour moi, l’espace d’une nuit de débauche … Je ne sais que penser de Nicole … dois-je lui en parler …

Pensées libertines … Je vous tiendrais au courant

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Vendredi 16 décembre 5 16 /12 /Déc 16:47

Il y a quelques années, nous rentrions de Deauville par le train, le soir, avec mon mari.

En retard, nous avions dû monter dans la première voiture et en traverser trois, bondés, avant d’atteindre la notre.

C'était un train un peu ancien, avec couloirs et compartiments. Un bagage dans chaque main, je me frayais un passage dans le passage étroit. Les hommes s'écartaient à peine, trop contents de savourer le contact de ma poitrine gonflée ou de ma croupe contre leur bas-ventre. Les mains prises, je ne pouvais les repousser, mais à vari dire, je ne cherchais pas à fuir le contact, appréciant les frôlements furtifs, un sourire innocent aux lèvres.

À la fin du premier wagon, les pointes de mes seins étaient déjà devenues dures comme du bois, semblant vouloir percer mon chemisier blanc malgré son soutien-gorge, attirant comme un aimant le regard des hommes.

Dans le deuxième wagon certains, qui l’avaient remarqué, se collèrent encore plus à moi. Ma poitrine brûlait et je sentais des mains s'égarer sur mes hanches ou sur mes fesses, savourant discrètement les formes à travers ma jupe blanche ; Encore étonnée de ma propre audace, je ne me dérobais pas ! Un bouton de mon chemisier s'était même ouvert, dévoilant le creux de mes seins et la dentelle de mon balconnet, et je faisais comme si de rien n’était.

A un moment, je dus passer de profil entre deux hommes qui s'écartèrent à peine. Le train eut un cahot, et je perdis l'équilibre, s'appuyant sans le vouloir contre le buste d’un des deux hommes, appréciant au passage la fermeté de sa musculature. Toutefois, je me reculais vivement, mais ce fut pour mieux sentir l'homme derrière elle se coller contre mon cul !

Sous prétexte de m'aider à me redresser, ils laissèrent alors leurs mains traîner sur mon corps, le premier sur mes hanches et mes fesses, le deuxième sur ma taille et les flancs de ma poitrine. Avec un sourire amusé, ils s'excusèrent et s'écartèrent, me laissant finalement passer, rouge de confusion.

Je m’installais dans un compartiment de première classe aux rideaux tirés, seule avec mon mari, encore troublée par ces caresses furtives.

Mais le trouble empira quand je vis les deux hommes venir s'installer tranquillement, l’un en face de moi, l’autre à mes coté. Très décontractés, ils échangèrent quelques banalités, ne se privant pas de me mater ouvertement, manifestement attirés par mes jambes dévoilées par la jupe courte et les bosses opulentes de mes seins gonflés par les frôlements précédents. Me penchant vers mon sac pour prendre un livre, je vis en particulier deux paires d'yeux plonger dans mon décolleté qui, déjà généreux, s'ouvrit sous le poids de mes seins, dévoilant largement mes rondeurs moulées de tulle et de dentelle blanche. Je me suis alors sentie, à la fois flattée mais aussi gênée par ces regards insistants.

Je fis toutefois semblant de rien et me plongeais dans mon livre, remarquant malgré tout que leur attention se portait maintenant sur mes jambes.

Incidemment, j’étais excitée, et cette pression me gênait tellement qu’elle me faisait croiser et décroiser nerveusement les jambes.  Au gré des cahots du train et de la promiscuité du compartiment, leurs genoux et leurs mollets me frôlaient. Quand, comme pour être plus à l'aise, le blond qui me faisait face glissa son pied entre les miens. Profitant des cahots du train, il les écarta lentement, me forçant à ouvrir légèrement le compas de mes cuisses.

Rougissante, je regardais mon mari. Plongé dans son journal, il ne se rendait compte de rien. J’étais comme folle, aimantée par l’ambiance électrique et érotique qui s’était dès l’épisode du couloir installée entre nous … je laissais alors mon voisin écarter plus largement mes jambes, tendant la jupe, dévoilant mes cuisses fuselées. J’imaginais : il ne devaient perdre aucune miette de la vision qu’ainsi je lui offrait jusqu'au triangle de dentelle fine et blanche moulant ma vulve avant de disparaître entre mes globes. Peut être même devinait-il la tache plus sombre de ma toison sous la dentelle. Son copain qui ne perdait pas une miette du manège devait être au supplice. Ils savouraient cette exhibition consentie. Les yeux fixés sur mon livre, je sentais leurs regards comme des caresses sur moi, parfois sur son intimité, gorgeant mes lèvres de sang, tandis que je sentais mon sexe s’humidifier.

Profitant du noir soudain d'un tunnel, une main glissa sur ma cuisse, caressant ma peau. Surprise, je resserrais les cuisses et l'intruse se retira juste avant la fin du tunnel. A la lumière revenue, je fixais les deux hommes, me sentant rouge comme une pivoine, ne pouvant deviner lequel s'était permis ce geste indiscret. Rien ne me permettais de le savoir, et les deux semblaient faire comme si de rien n’était … Je pensais toutefois à celui qui était à coté de moi, comme si celui-ci tenait là sa revanche …

Il y eut un deuxième tunnel et cette fois-ci, quand la main se reposa sur le haut de mon genou, je décidais de la laisser glisser sous ma jupe, vers le haut de mes jambes jusqu'à se plaquer entre mes cuisses … Je frissonnais de plaisir … La main se retirera prestement, me laissant pensive… cette situation était tout simplement folle, et j’étais devenue nymphomane … Il y eut une succession de tunnels, et chaque fois la main reprenait son manège, me caressant plus ou moins longuement selon la durée de l'obscurité, faisant monter mon désir.

Je ne savais toujours pas qui des deux hommes me caressait, mais je n'eu plus de doute quand, au cours d'un long tunnel, en plus de la main qui se nichait entre mes cuisses, je sentis deux autres mains empaumer les rondeurs de ma poitrine à travers mon chemisier. Le tunnel étant interminable, ils purent profiter de ce corps que complaisamment je leur offrais.

Les doigts habiles excitaient mon clitoris en le griffant à travers la fine dentelle, tandis que l'autre main glissa dans mon décolleté pour se couler sous la dentelle, soupesant la masse lourde d’un de mes sein, en agaçant la pointe déjà dure. En plein fantasme, je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir de plaisir, folle d'excitation de me soumettre ainsi dans le noir aux caresses perverses deux hommes, à même pas cinquante centimètres de son mari.

Ils se retirèrent, me laissant pantelante, les yeux brillants. Entre mes cuisses maintenant bien ouvertes, je me doutais que la dentelle blanche devaient être maintenant trempée, quasi transparente ; elle devait marquer nettement le sillon de mon sexe.

Soudain mon mari, délaissant son journal et n'ayant rien remarqué, me proposa d'aller au wagon-restaurant.

J’hésitais et mais vit l’homme qui me faisait face, le blond, faire fort discrètement « Non » de la tête. Même si je savais à quoi je m'exposais en restant seule, une force obscure me poussa à refuser l'invitation sous un prétexte futile.

 

Une fois seule, il y eut un moment de gêne et un long silence s’installa … jusqu'au prochain tunnel. À nouveau dans le noir, ils me firent alors me lever tandis que la une bouche du blond se plaqua contre la mienne. Je me surpris à rendre fougueusement le baiser, tandis qu'une main palpait avidement ma poitrine, ouvrant le chemisier, glissant directement contre la dentelle. Deux autres mains glissèrent sous la jupe, remontant plusieurs fois des genoux au bas-ventre, appréciant la douceur soyeuse de la peau nue et la moiteur du sexe à travers la culotte trempée. Les mains finirent par glisser sur mes fesses, remontant la jupe. Le deuxième les palpa délicatement à travers le triangle étroit de dentelle, tentant de le faire glisser entre mes fesses.

Je me sentais fondre sous la caresse de leurs paumes mais, quand la lumière revint, affolée d'être ainsi déjà à moitié dénudée, la jupe remontée et mon string partiellement roulé sur les hanches, je minaudais une protestation qu’il ont du prendre pour un assentiment ...

     ‘‘Vous exagérez…’’ dis-je l'air innocent.

Mais je me savais déjà vaincue, et eux me savait consentante. Aussi, je ne bougeais pas, me laissant admirer. Je me voyais par reflet dans la vitre du compartiment : Mes seins tendaient à merveille les balconnets délicats de dentelle suffisamment ajourée pour dévoiler les larges aréoles foncées, au centre desquelles dardaient les pointes durcies. Ma jupe troussée sur ses reins dévoilait mes fesses rondes largement dénudées et le délicat bombé de ma vulve moulée par la dentelle, sous laquelle se devinait le contour de ma toison brune.

L'obscurité revint et le manège reprit. Le fait de ne pas les voir me rendais encore plus sensible à leurs caresses. Je me rappelle avoir gémi quand l'un d'entre eux fit glisser les bretelles du soutien-gorge, le dégrafant, glissant délicatement ses paumes sur les globes libérés pour en tester le velouté, soupesant leur lourde masse et griffant les tétons. Je frissonnais quand l'autre fit rouler le string le long de mes jambes. Une main glissa entre mes cuisses et se plaqua contre mon sexe maintenant nu. Cette fois, je ne réagis plus quand le jour revint, continuant d’embrasser mon partenaire, les laissant savourer les rondeurs de mon corps enfin dévoilé.

La blancheur nacrée de mes seins avait commencé à se marbrer de rouge sous la répétition des caresses. J’avais les tétons gros comme des bouts de crayons bien durs.

Le brun plaqua ses mains contre mes fesses rondes, les écartant largement pour dévoiler le mon petit abricot le puits froncé de mes reins. Ne pouvant résister, il descendit et plaqua sa bouche entre mes cuisses, m’arrachant un petit cri. Cette caresse toute nouvelle me fit chavirer et je me mis à pousser de petits gémissements, toute honte bue, sous le ballet de la langue chaude entre mes cuisses. Instinctivement, je glissais sa main contre la bosse qui frottait durement contre mon pubis. Prometteuse …

La situation était des plus dangereuses … dès le début, ils avaient tirés les rideaux sur le couloir mais nous n’étions aucunement à l’abri du retour de mon mari, comme de l’entrée fortuite de voyageurs … ou des contrôleurs … J’étais consciente de cela, mais je pense qu’inconsciemment, vivant là un de mes fantasmes, j’étais prête à tous les excès …

Le blond sursauta quand il sentit mes doigts jouer avec sa braguette, la faire glisser et le libérer. Empoignant son sexe, d’une belle dimension,  je commençais à le masturber. Je le fixais … La gène avait changé de camp : Il semblait avoir vraiment peine à croire que cette jeune femme qui paraissait tout à l’heure si prude, si inhibée prenne maintenant l'initiative. Toutefois, son étonnement ne dura pas : Il se mit debout sur la banquette et glissa son membre entre mes seins. Je fermais les yeux quand il pressa les masses chaudes et douces de mes globes, emprisonnant sa tige, se branlant au creux de ma poitrine. Le frottement d’un sexe contre mes seins me rendait toujours folle. Il ne pouvait le savoir, mais avait ciblé une de mes plus sensibles zone érogènes. Mais ce fut pire encore quand je sentis deux doigts me forcer, pénétrant mon vagin que je sentais trempé. Pendant ce temps, une langue fouilla l'entrée de mes reins, titillant mon anneau. C’était exquis ! Je me cambrais, libérant le sexe d'entre mes seins. Je n'avas jamais connu de telles caresses concomitantes et découvrait une sensibilité inconnue au creux de mes reins.

Le sexe du blond vint alors battre contre mon visage. Comme dans un rêve et les films X que nous regardions parfois le soir, je courbais la nuque et vins gober doucement le gland, lui faisant apprécier ma bouche chaude et humide. Je le sentis grossir encore contre mon palais, sous le ballet de ma langue fureteuse.

J’adore sucer les queues et les sentir vibrer au fond de ma gorge. Mes petits amis, avant mon mari, m’avait toujours félicité de la qualité des fellations que j’aimais leur prodiguer… Se laissant aller à mes désirs les plus fous, je me mis à le pomper vigoureusement, le membre bien serré dans une main, tandis que de l'autre main je lui palpais les testicules. Ce traitement lui procura un premier orgasme très soudain et électrique. Je m’attachais à garder sa bite dans ma bouche et à déglutir au fur et à mesure que des jets épais de semence venaient tapisser mon palais … Je jouis furtivement à cet instant … Je lui nettoyais le sexe avec application jusqu’à sentir lui perdre un peu de vigueur …

Sentant que son copain venait de jouir, le brun se redressa alors et je sentit battre son membre épais entre mes cuisses, contre mon sexe. Le gland vint se caler à l'orée de mon vagin. Je sentais qu’il allait me pénétrer … et ne demandais que cela … mais pas comme ça. Je me libérais, et toujours la croupe tendue vers lui, je fourrageais dans mon sac, dans la petite poche de mon sac où je savais avoir deux/trois préservatifs … Pas tout à fait oie blanche, j’y avait glissé ces protections il y a fort longtemps … étaient-ils toujours ‘’bons’ ? Je ne voulu me poser cette question plus longtemps, et décidait que ce serait toujours mieux que rien … Je me retournais et d’une main experte, déchirait l’emballage pour venir dérouler la capote sur une sexe, ma foi d’une belle taille … Cela décuplait l’envie de l’avoir en moi et me re-positionnait comme s’il ne s’était rien passé. D'une seule poussée verticale, il glissa au fond de moi, forçant sans difficulté la fente lubrifiée, me pénétrant lentement mais complètement, son bas-ventre venant s'écraser contre mes fesses. En plein délire érotique, je pris le sexe du blond, qui me faisait face, et le frotta contre mes lèvres encore trempées de sperme et d’envie. Je me remettais à le re-sucer, comme si j’avais fait ça toute ma vie. À son grand plaisir, il rebanda presque tout de suite …

Après quelques minutes, sous l’impulsion du blond qui semblait jalouser son ami, ils changèrent de place. Toutefois, le brun s’assis et je dus me pencher très bas pour le prendre dans ma bouche. Nuls doutes qu’ainsi je devais exposer bien impudiquement ma croupe. Le blond se plaça devant les fesses ainsi offertes, ouvertes sur mon sexe luisant. Il s'amusa à faire glisser son gland le long de mon sillon, du clitoris à l'anus. Je cambrais encore sous la caresse, m'offrant encore plus sans aucune pudeur. Il devait sentir mon anus s'assouplir à chaque passage, comme je le sentais s'entrouvrir légèrement. Il plongea dans mon sexe mais continua à agacer mon anus d'un doigt. Tout excitée, et toujours pompant le brun, je glissais une phalange entre mes lèvres et commençais à me masturber. Je grognais de plaisir quand un doigt força l'anneau étroit et assoupli. Excité, il me décrivit la scène qui s’offrait à lui : il décrivait mes lèvres qui épousaient son sexe tendu tandis que de ses doigts, il écartelait doucement mes reins, me faisant onduler. Il ressortit, fou de désir, et remonta d'un cran.

Je me crispa malgré tout quand je sentis où il voulait en venir. J’avais peur … Aimant pratiquer la sodomie, je ne la mettais en pratique qu’après de vrais et longs, très tendres préliminaires … là, tout allait trop vite ... je m’étais abandonné dans les bras et sur les sexes de ces hommes, et j’étais prise de honte et de peur : allais-je donner cette dernière intimité à d’autres que mon mari, qui en était l’unique bénéficiaire jusqu’alors ? J’avais aussi peur de notre rapidité, de la ‘’brutalité’ qui pouvait s’en dégager

     ‘’Doucement s'il vous plaît, je ne l'ai encore jamais fait ainsi’’

Loin d’avoir l’effet escompté, je ne l’ai réalisé qu’après, cela a du décupler leur excitation ! Me croire vierge de ce côté les excitait, mais les incita tout de même à la douceur … ce qui n’empêcha pas le brun de me prendre fermement par la nuque, me plaquant le visage contre son sexe dressé, tandis que le blond me crocha les hanches, me cambrant encore plus. Le sexe dans ma bouche n'étouffa qu'à moitié mon cri quand le gland disparut lentement entre mes fesses, me brûlant les fesses. Sitôt le gland franchi la barrière du sphincter, il eut tout de même la douceur de s’arrêter afin que mon anus s’habitue à cette pénétration généreuse. Malgré sa taille, et le manque de lubrification, il glissa assez facilement jusqu'à mi-membre, trahissant la souplesse naturelle de mes reins, et de nouveau s’arrêta.

Je ne m'étais jamais sentie aussi bien remplie. D'une main, il titilla mon clitoris tandis que le brun vint empaumer les lourds seins ballants entre ses bras. Son collègue, le pieu fiché au creux de mes reins, bien serré dans le fourreau brûlant, devait certainement se retenir pour ne pas finir de s'enfoncer d'un grand coup de reins. Tournant des hanches pour m'assouplir, il donnait de petites poussées, s'enfonçant un peu plus à chaque fois.

Les larmes aux yeux, mêlant douleur et plaisir, je finis par l'accueillir entièrement au plus profond de moi. Dents serrées pour ne pas crier sous la brûlure, je me cambrais encore plus pour mieux l'accueillir. Il commença à bouger très lentement. Je sentis mes reins s'habituer petit à petit au sexe qui me forçait et la douleur s'atténua, remplacée par une formidable vague de chaleur.

Me sentant m'ouvrir, il accéléra le mouvement, glissant plus facilement dans le conduit serré. Je commençais à gémir bruyamment, avant de gober à nouveau le sexe qui maintenant se dressait fièrement devant moi. Je les vis qui s’échangeaient un regard entendu devant le spectacle de cette bourgeoise qui commençait clairement à apprécier de se faire enculer. Bientôt, je bougeais moi même le bassin pour mieux m’empaler, les sens en feu suçant cette belle verge qui me faisait face … Je me surprenais … j’étais loin de la petite bourge apprêtée, bien que coquine (ce que je revendique), et m’étais transformée en une véritable salope assoiffée de sexe …

Lâchant le sexe que je branlais tout en le suçant, je glissai mes mains dans mon dos, écartant moi-même mes jolies fesses rondes dorées, lui facilitant le passage, le laissant me sodomiser plus profondément. Le brun me reprit la nuque et, doucement me força à l'avaler complètement. Trop excitée, je n’eus pas de phénomène de rejet quand le gland se cala au fond de ma gorge, son pubis plaqué contre mon visage. Au gré de mes mouvements d'avant en arrière, je gardais ainsi toujours un sexe bien enfoncé en moi, soit entre mes fesses, soit dans la bouche. J’eu bientôt, après les prémices du premier tout à l’heure, un nouvel orgasme, cette fois ci hors du commun … d’une intensité peu de fois égalée, il dura ce qui me sembla une éternité … je sentais mon cul se refermer sur la queue de mon chevalier au rythme de mes orgasmes, …

L'homme, derrière moi, se retira et s'assit sur la banquette opposée. Me prenant par les hanches, il me fit reculer, les jambes de chaque côté des siennes, et me fit s'asseoir lentement sur lui. Je n’eus qu'un petit cri quand il força à nouveau l'anneau délicat de mes reins. Ainsi, les cuisses bien ouvertes par la position, littéralement posée sur le pieu de chair qui avait cette fois forcé mes reins sans encombres,  j’étais toute exhibée au brun. Il écarquilla les yeux quand le blond glissa ses mains sous mes cuisses, l'obligeant à les lever. Je me retrouvais complètement adossée à lui. Ne pouvant plus m'appuyer sur mes jambes pieds, cette position fit que je m'empalais encore plus profondément sur la verge, fesses écrasées contre le ventre  et les couilles de l'homme. Le brun devait avoir une vue magnifique, sur mon anneau rectal bien écartelé coulissant sur la verge gonflée de son collègue, juste en dessous de ma fente aux lèvres entrouvertes et luisantes. Je me pris à l’envier ! Il se retourna et fouilla dans sa poche de veston. De son portefeuille, à son tour, il sortit un préservatif qu’il déroula rapidement sur sa verge

Il se rapprocha, verge pointée, et j’ouvris de nouveau docilement la bouche, prête à le sucer à nouveau. Mais, s'agenouillant entre mes cuisses qu'il écarta encore plus, il vint frôler de son gland ma vulve offerte. Je me figeais, souffle coupé, quand je réalisais … ils allaient me prendre tous les deux … C’était un phantasme de mon mari, que je refoulais intérieurement et voilà que j’allais le réaliser avec deux parfaits inconnus.

Il pénétra facilement mon vagin détrempé; J’en fus la première surprise. J’eus un cri rauque sous l'exquise sensation de la verge qui glissait facilement dans le fourreau lubrifié et ma peau, sur mes avant bras, se couvrit de chair de poule. La honte de se laisser ainsi prendre comme une chienne fut vite effacée par l'énorme boule de plaisir qui me nouait le ventre.

Je ne m’étais jamais sentie aussi envahie. Mes halètements se transformèrent en cris aigus quand les deux hommes accélérèrent le rythme en grognant, me défonçant sans retenue, trop heureux de soumettre cette BCBG à une double pénétration. J’enchaînais orgasmes sur orgasmes, devenant folle de plaisir, me livrant sans retenue à leurs fantasmes.

Leurs mains palpaient son corps, griffant mes hanches et pétrissant les globes fermes de ma poitrine tendue. Je bougeais frénétiquement des hanches pour mieux me faire pénétrer, me cambrant quand les deux verges venaient buter ensemble au fond de moi, m'écartelant sauvagement. Ils finirent par exploser violemment, m'inondant de semence brûlante que je sentais malgré la fine protection assurée par les capotes. Cela me fit jouir une dernière fois.

Se réajustant hâtivement, ils me laissèrent me rhabiller, un peu hébétée, et quittèrent le compartiment non sans m’avoir posé un gentil bisou sur le front pour le blond … Sortant l’un après l’autre, ils me gratifièrent également chacun d’un beau sourire … Sentiments mêlés, de honte et de bonheur, d’incrédulité aussi … Je m’étais donné ainsi, en femelle, animale, à deux inconnus dont je ne savais rien, pas même leur prénoms et qui m’avaient quittés avec un beau sourire !? Sonnée, le ventre en feu, je préférais faire semblant de dormir quand mon mari revint du wagon-restaurant pour mieux masquer le trouble certainement encore perceptible.

Je finis par m'endormir réellement, les sens apaisés mais l'esprit toujours traversé d'images crues et érotiques.

Je fus tirée de ma torpeur par la porte du couloir qui coulissait … C’était mon mari qui revenait … Il se pencha sur moi, me fi un tendre bisou sur le front lui aussi, me demanda si j’allais bien tout en s’excusant de m’avoir réveillé …

***********************************************************************

Bien des années plus tard, et alors que notre vie sexuelle avait été enrichie de multiples aventures, tantôt solo tantôt ensemble, mon mari m’avoua qu’il était revenu assez vite du restaurant, et que s’il n’avait pas tout vu, les gémissements qui s’échappaient du compartiment ne lui avait laissé aucun doute sur ce qui s’y passait … Nullement jaloux (comment les hommes font-ils ?), et pensant bien qu’entraînée au-delà de ma morale, je réalisais en fait un des ses phantasmes, il avait protégé la porte des indiscrets, souhaitant nous prévenir si d’aventure les contrôleurs étaient apparus …

 

C’est ça l’Amour, et bien des années après, je suis toujours autant heureuse et épanouie auprès de cet homme merveilleux qui a su tant me donner et m’apprendre …

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et puis, il me faut rendre à Cesar, ou plutot jfcorto ce qui lui appartient ... La trame de ce texte, que j'ai légèrement remanié, est de lui et est parue sur ce merveilleux site qu'est Revebebe - Histoire 09979 ... J'espère que ni vous, ni son auteur ne nous en voudrons ... Pensées libertines d'Anjou

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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