Une belle histoire de Cureil (qu'il en soit remercié ... nous avons pris quelques libertés toutefois avec son texte pour le fignoler à notre gout ... espérons qu'il vous plaise
Depuis 3 semaines, j'avais un nouveau collègue dans mon groupe au travail. Il était sympa, 35 ans et était très avenant : il s’intégrait facilement et avait toujours un mot sympa ou un sourire pour les uns ou les autres.
Un vendredi soir, il me proposa de venir dîner samedi soir, chez lui. J'acceptais.
J'arrivais chez lui vers 19h. Il habitait une magnifique petite maison en banlieue. J’apportais une bouteille de Chablis et un bouquet pour la maitresse de maison.
Je sonnais et une femme, environ 35 ans vint m'ouvrir. Elle n’était pas ce que l’on peut appeler un ‘’canon’’ mais il se dégageait immédiatement d’elle un charme envoutant. Elle avait de longs cheveux auburn, portait un débardeur très moulant laissant apercevoir ses tétons qui paraissaient érigés, et une jupe assez courte. Elle était perchée sur des sandales au talon compensé, en corde lacés sur le mollet. Son parfum aussi participait à cette attirance qui émanait d’elle.
Vous étés Michel, je suis Edwige … Entrez, mon mari prépare le grill au jardin.
Elle m'accompagna et Marc vint me serrer la main.
Nous avons pris l'apéro et commencé une excellente grillade.
Durant tout le repas, Edwige allait chercher la viande sur le grill et elle se penchait pour la prendre.
Je me disais que sa jupette ne cachait pratiquement rien du haut de ses cuisses et en était à estimer si elle ne portait rien, où alors un string très fin.
Durant le repas, elle était assise à ma droite et gardait légèrement ses cuisses écartées me laissant admirer le haut de ses jambes.
Mon regard était très attiré sur cette superbe créature et j'enviais Marc. Durant le repas, nous avons discuté de tout et de rien, mais le vin aidant, vers la fin la conversation devint plus intime et Marc ne raconta sa rencontre sur la plage avec Edwige, et cette dernière donna plus de détail sur cette rencontre.
Mon regard était fasciné par le corps splendide d'Edwige. Ses tétons étaient de plus en plus tendus sous son débardeur et elle ne cessait de croiser et décroiser ses longues et fines jambes. Soudain, Marc me dit:
Ma femme vous a vu un soir à la sortie du bureau et m'a avoué avoir "flashé" sur vous.
Ah bon, je ne l'avais par remarquée
Comment la trouvez-vous?
J'étais un peu gêné, mais je répondis
Très belle et très attirante.
Vous savez, nous sommes un couple très modern et très ouvert
Je crois oui.
Alors, vous êtes partant.
Avec plaisir
Les deux se regardèrent, et il me sembla voir un léger rosissement sur les pommettes d’Edwige.
Il se leva, et prenant la main de sa femme la poussa à faire de même, tout en disant :
Allons au jardin, Je vais vous la présenter en détail.
Nous nous dirigeâmes vers le jardin, et Marc alla chercher des lampions et les alluma car la nuit commençait de tomber. Nous discutions un peu bêtement avec Edwige, sachant très bien où nous nous dirigions sans savoir, ni l’un ni l’autre, comment entamer cette decouverte des corps que Marc nous avait promis.
Une fois son travail terminé, celui-ci se mit derrière Edwige et commença à lui masser les seins au travers du débardeur.
Elle a des seins très fermes et ses tétons sont presque toujours tendu.
Elle adore qu'on les fasse rouler sous les doigts et qu'on les tète. Venez
Il lui retira le débardeur et je m'approchais d'Edwige. Marc glissa ses mains sous la jupe de sa femme et moi, je pris ses tétons entre mes doigts. Je les pinçais fortement et je les faisais rouler. Puis ma bouche se posa sur eux et je les mordillais avec mes lèvres et mes dents. Edwige avait écarté ses jambes et je vois les mains de Marc s'activer sous sa jupe.
Elle est bien chaude, je vais vous présenter sa petite chatte.
Il retira la jupe d'Edwige qui ne portait rien dessous (mes estimations n’étaient donc pas fausses). Je m'étais écarté un peu. Marc d'une main leva une jambe de sa femme ce qui eu pour effet de lui écarter l’entrecuisse, dévoilant une adorable toison très finement taillée. Il me dit.
Voilà un petit orifice qui demande toujours que l'on s'occupe de lui.
Je comprends … il est très beau, très fin avec de belles lèvres gorgées de desir
Et vous savez, son parfum est subtile et sons jus légèrement salé
Je n'en doute pas
Mon envie était à son comble. Je me mis à genoux devant elle, lui saisit le haut des cuisses et je déposais ma bouche sur cette splendide offrande.
Sans attendre je me mis à la sucer, dégageant son clitoris que je léchais et faisais tourner sous ma langue. Sa sève chaude coulait entre mes lèvres. Délicatement je glissais mon pouce en elle et avec mon majeur, je titillais son anus.
Marc, lui massait vigoureusement les seins de sa femme et l'embrassant dans le cou et en lui mordillant les lobes d'oreilles. Edwige était en transe. Elle faisait ondulait ses hanches de gauche à droite tout en frottant son minou contre ma bouche. Elle n'arrêtait pas de supplier des :
encore, ouii, làà, plus vite, plus fort, faites-moi jouir.
J'enfilais alors complètement mon majeur dans son petit trou, je plantais profondément mon pouce dans sa chatte et je la suçais goulûment. Marc la pelotait avec vigueur. Très vite elle se cabra et son orgasme fût très violant. Des flots de sève coulèrent dans ma bouche et je la but avidement.
Elle jouit bien, non?
Un régal et son jus est parfait
Elle est aussi une merveilleuse suceuse, mais ça c'est pour plus tard.
Je me réjouis de le découvrir.
Et si nous passions à la suite. Déshabillons-nous.
Marc libéra sa femme et nous retirâmes nos vêtements. Il dit à son épouse de se mettre à quatre pattes sur une couverture qu’il déploya. Elle pris la position et après lui avoir caressé le dos, les hanches, il lui écarta ses fesses avec ses mains.
Voilà aussi un petit endroit délicieux.
Très joli en effet …
Vous allez m'en dire des nouvelles, allez-y, occupez-vous en !
Cette derrière phrase me fit sourire … Il m’offrait sa femme, mais continuais à me vouvoyer. Je me mis derrière Edwige et entrepris de la caresser doucement, laissant quelques doigts courir sur sa croupe, et venir faire connaissance de cet admirable orifice et de la peau fine qui était autour.
Marc se mis à genoux devant le visage de sa femme qui lui prit immédiatement sa queue entre ses lèvres et commença une lente et longue fellation.
Je fouillais ce petit trou avec ma langue qui s'ouvrit presque aussitôt. J’enfonçais alors un doigt, puis deux tant je le sentais ouverte, abandonnée. Nuls doutes que cet orifice devait être visité assez régulièrement, Edwige était souple.
Sans plus de préliminaire que ces caresses et un peu de ma salive, mon membre en prit possession. Je l'agrippais par les hanches et je me mis à aller venir en elle. Je la regardais sucer avec application la verge de son mari qui lui caressait ses cheveux. Chaque que je m'enfilais en elle, mes couilles venaient buter contre ses fesses. Elle me les prit d'une main et me les serra. Je la sodomisais un long moment quand je vis Marc fermer les yeux et mettre sa tête en arrière. Il venait de se vider au fond de la gorge d'Edwige. Cette image finit d'avoir raison de mon envie et me plantant le plus profond en elle j'explosais en longues et fortes saccades inondant ses entrailles de mon foutre.
Votre femme est vraiment bonne
N'est pas, et vous n'avez encore pas tout vu.
Je prendrais bien un verre.
Nous avons été nous installer à la table et Edwige nous servit à boire, en me demandant
Vous n'êtes pas choqué, Michel ?
Non, pourquoi, devrais-je l’être ?
Je ne sais pas, mais pour une première rencontre et vous connaissez Marc de puis peu.
Je suis aussi assez ouvert et ce genre de rencontre n'est pas pour me déplaire.
Marc et moi adorons le sexe, mais nous choisissons particulièrement nos partenaires.
Vous le faites toujours ainsi.
Non, quelques fois c'est en couple, d'autre avec une ou deux amies et je le fais aussi avec des copines, quand Marc m'abandonne pour une soirée.
Un régal
Oui, venez un soir, je vous présenterais à Sonia et Léa, vous l'aller les adorer.
Marc se leva, demanda à Edwige de se mettre entre mes jambes et me dit
Vous allez maintenant faire la connaissance d'une bouche gourmande, pulpeuse.
Avec ce que j'ai vu tout à l'heure ce doit être affolant
Vous verrez, elle n'a pas de pareille pour vous donner une fellation royale.
Marc retourna sur sa chaise. Edwige se plaça entre mes jambes. Délicatement ses doigts agrippèrent mon membre qu'elle se mit à masturber avec une infinie douceur. Par moment, sa langue le léchait sur toute sa longueur et elle la tournaillait autour de mon gland. Je bandais comme jamais.
Je lui pris ses cheveux et je l'obligeais de s'approcher et enfouis ma queue jusqu'aux couilles et se mit à me pomper. Je sentis qu'elle essayait de glisser un doigt dans mon anus, qui ne résista pas.
Lentement, elle se mit à faire des vas et viens le long de mon membre sa langue tournait et retournait autour de mon prépuce. C'était divin. Aucune femme ne m'avait encore sucé ainsi. Quand elle sentait que j'aller jouir, elle s'arrêtait pour mieux reprendre un instant plus tard. Marc pendant se temps se masturbait sur sa chaise. Soudain, il se leva, se plaça derrière sa femme, à quatre patte, et tandis qu’elle tendais sa croupe, d'un coup sec planta son dard entre ses cuisses. Je ne savais à ce moment s’il avait pris son sexe ou son cul. Sous les coups de boutoir de son mari, Edwige allait et venais avec sa bouche le long de mon pieu. Marc se tendit et explosa, ce qui me fit jouir à mon tour et je vidais toute ma semence au fond de la gorge d'Edwige.
Nous avons repris nos places à la table et finirent le dessert qu’Edwige pris soin d’apporter Les deux époux s’embrassaient souvent, avec beaucoup de tendresse, et nous parlames alors de choses et d’autres, comme si rien ne s’était passé : vacances, boulot, copines, …
Après un café, Edwige me demanda
J'espère que vous avez passé une bonne soirée?
Oui, très agréable
Alors nous espérons vous revoir bientôt
Moi aussi
Je compris que c’était le signal du départ, et parti alors non sans avoir confirmé à Edwige qu’il me tardait que celle-ci me présente Sonia et Léa. Il devait être minuit.
Je revis Marc le lendemain, il me dit que sa femme avait été enchantée de faire ma connaissance. Il resta très discret et professionnel … Nous nous vouvoyions toujours, bien que je l’ai entretemps revu quelques fois de manière très intime, avec Edwige, Sonia et Lea et quelques unes de leurs relations libertines.
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