Ma femme et moi sommes partis en vacances en Espagne cet été.
Voyage en avion, hôtel, soleil, plage, farniente
Rien de bien exaltant me direz vous mais c’était les vacances, nous étions partis pour nous reposer, et au soleil si possible.
Nous résidions dans un très bel hôtel, bénéficiant d’un service impeccable, d’un personnel très agréable et toujours prévenant.
Ma femme alternait le rythme de ses journées au soleil, entre shopping, plage et elle bronzait les après-midi au bord de la piscine. Elle s’était achetée là bas un bikini acheté que j’adorais … il était vraiment mini, laissant prendre le soleil à sa magnifique croupe, et le haut bien coupé couvrait toutefois son agréable poitrine qu’elle hésite à montrer, la trouvant trop volumineuse… elle semblait se sentir bien avec, alors qu’elle choisissait souvent un maillot une pièce, souvent sportif, mais que je trouvais toujours un peu trop sage.
J’étais aux anges !
Nous étions là depuis plusieurs jours et nous avions fait la connaissance d'un serveur espagnol qui parlait un français impeccable.
Nous avions sympathisé (enfin, surtout moi car ma femme donnait de ne pas y prêter tellement attention). Il faut dire que nous avions Hernando (son prénom) et moi une passion commune :le cyclisme et que nous étions en plein tour de France.
Nos conversations tournaient donc autour du vélo.
Un après-midi, à la fin du déjeuner, Hernando est venu débarrasser la table et nous avons commencé à parler de l'étape du jour, une étape de montagne. Ma femme avait déjà quitté la table et était remontée dans la chambre.
La salle à manger se vidant, j’ai proposé à mon ami de nous rendre au bar pour boire un verre et suivre l'étape à la télévision. Il m'expliqua qu'il n'avait pas le droit d’aller au bar en dehors de son service. Je l'invitai donc à venir dans ma chambre où je disposais d'une télé et d'un mini-bar. Il accepta avec un peu de réticence mais m'accompagna en veillant à ce que l’on ne le remarque pas ....
En entrant dans la chambre, j'entendis du bruit dans la salle de bain: ma femme prenait une douche.
C’est moi chéri ! J’ai convié Hernando a suivre l’étape avec moi !
oK ! Je vais bronzer sur la terrasse …
Hernando et moi, nous nous sommes installé pour suivre l'étape, lui dans un fauteuil, moi sur le lit, chacun un verre de rhum-coca en main.
Quelques minutes plus tard, la porte de la salle de bain s'est ouverte et ma femme est sortie portant un bikini encore plus petit que celui qu'elle portait d'habitude.
Faisant un tour sur elle-même, elle me dit, comme si Hernando n’était pas là :
Tu a vu ? Je l’ai acheté ce matin … il te plait ?
Glurps … bien sur qu’il me plaisait … sa culotte était un tanga du plus bel effet, et le haut retenu par un lien passant au dessus du cou libérait complètement ses épaules … elle était superbe, et terriblement désirable, les cheveux remontés en chignon, toujours mouillé.
Oui, il est superbe … il te va vraiment bien. Tu as bien fait
Elle s’avança et de dirigea vers la terrasse et les transat, non sans avoir récupéré ses lunettes de soleil sur la table de nuit … Sans prendre le soin de se baisser, elle courba le dos, nous exhibant un petit cul adorable et comme moulé dans son ensemble.
Sur le lit, je lui tournais le dos, mais Hernando dans son fauteuil ne pouvait rien rater. Il ne savait plus manifestement plus où se mettre.
Et moi, loin d’imaginer la suite, je me maudissait de l’avoir convié me disant "et m…., si on étais seuls!" …
Ma femme s'est servi un verre et est allée s'allonger au soleil sur la terrasse.
L'intérêt d'Hernando pour l'étape était devenu très aléatoire, son regard ayant beaucoup de mal à rester fixé sur l'écran de la télé. Je le voyais jeter de temps à autre le regard sur ma femme que je savais lascivement étendue derrière la baie vitrée.
Au bout de 5-10 minutes, ma femme est rentrée en disant qu'il faisait trop chaud et est venue s'installer à mes côtés sur le lit. Son mini bikini ne cachait pratiquement rien de son corps et la climatisation a eu tôt fait de faire pointer ses mamelons à travers le tissu de son soutien-gorge. Elle était assise, nonchalamment, une jambe repliée sous l’autre, le compas de ses cuisses tourné vers moi … Hernando ne devait pas voir, mais la suggestion était là, peut être encore plus forte … moi, en revanche, je voyais son adorable mont de venus, renflé, sans aucune trace disgracieuse … elle avait du parfaire son épilation aussi, me dis-je
Un coup d'œil à notre ami me confirma que son centre d'intérêt s'était totalement déplacé! Au diable le cyclisme.
Il m'est alors venu une idée que j’avais refoulée : j'avais essayé à de multiples reprises d'entrainer ma femme dans une relation à 3, mais sans succès, mes tentatives essuyant toujours un "non" catégorique. Tout juste si elle ne me traitait pas de pervers. Mais là....
Subrepticement,, j'ai posé ma main sur sa cuisse et j'ai commencé à la caresser doucement tandis qu’elle semblait captée par le petit écran. Je me préparais à une remarque désobligeante à tout instant., à sa main retirant prestement la mienne, à un regard noir …
Mais non ! Aucune réaction. Très doucement, je me suis enhardi, montant parfois plus haut sur la cuisse, glissant légèrement vers l'intérieur. Pas de réaction.
Je poursuivi mon exploration … là, elle ne pouvait ignorer mes caresses, plusieurs fois je vons frôler son aine, à la limite du triangle qui recouvrait son sexe … Elle ne disait rien, comme figée devant la montée des athlètes qui passaient à la télé.
Hernando lui, même s’il faisait semblant de suivre, n’en perdais pas une miette.
Je décidais de tenter le tout pour le tout, et aventurais alors ma main sur son sexe. A la place de la baffe que j'attendais, ma femme écarta doucement les cuisses, et se renversa sur le lit pour s’y allonger sur le dos …ses fesses n’ayant pas bougé, ma main était toujours au contact de son sexe et la caressait. Je tournai la tête vers elle et je croisai son regard. Elle me fit un sourire, se redressa fugitivement pour m'embrasser en passant ses bras autour de mon cou, avant de se recoucher, les bras en croix.
A ce moment-là, je suis sûr qu'Hernando se foutait pas mal du Tour de France! Il nous regardait fixement, sans bouger.
Je me suis à mon tour légèrement penché sur elle, et j’ai commencé à caresser les seins de ma femme, titillant les mamelons, les pinçant très doucement. Je la sais très sensible à ces caresses.
Elle commença à respirer plus vite, plus vite.. Son torse battait de pulsations plus amples.
Après quelques instants, j'ai détaché le nœud dans son coup et ai retiré le soutien-gorge en commençant à lui lécher la poitrine. Ses seins sont devenus très durs, très fermes, avec des tétons pointés vers le ciel.
Mon fantasme se réalisait … nous allions sans aucun doute vers un trio … Je pris garde à ne rien brusquer, car je ne voulais pas que ma princesse se réveille, reprenne ses esprits sages et chasse l’importun …
Au bout de quelques instants, elle s'est tournée vers Hernando et l'a regardé quelques instant dans les yeux.
Occupé à masser sa poitrine, j’ai cependant entendu qu'elle lui disait dans un souffle
"Viens"
Il s'est levé et s'est avancé jusqu'au bord du lit. Ma femme a alors posé sa main sur son pantalon de toile à l'endroit où l'on voyait très nettement pointer son sexe. Il avait une très belle érection … c’était la première fois que je voyais un sexe ainsi tendu, si près de mes yeux, en réalité.
Après quelques caresses, elle entreprit d’essayer de lui défaire sa ceinture mais avec une seule main, c'était impossible. Il a donc baissé son pantalon ; Son boxer renfermait effectivement un très beau sexe, un peu plus long que le mien … Ma femme, à ma grande surprise, l’a immédiatement pris en main, l’enserrant et à commencé à le caresser à travers l’étoffe du boxer.
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Elle s'est lentement tournée vers lui, l'attirant jusqu'à ce que son sexe touche ses lèvres. Elle lui a déposé un bisou sur ce que l’on imaginait le gland et lui a avancé son bassin pour venir lui plaquer sa virilité sur le visage … Que la scène était belle !
J'ai quitté ses seins pour descendre entre ses cuisses et j'ai commencé à lui lécher le sexe, très doucement, très lentement, d’abord au travers de son bikini, puis en lui faisant glisser le long des cuisses … tout aux caresses prodiguées à son amant, elle souleva le bassin pour me faciliter la tache. En remontant le long de ses cuisses, je pus voir qu’elle avait fait jaillir le sexe d’Hernando et qu’elle ne gardait que les couilles emprisonnées dans l’étoffe du boxer.
Je revins sur son délicieux abricot, déjà luisant de mouille. Le contact de ma langue avec son clitoris lui à arraché un gémissement et elle s'est cambrée, engloutissant alors le sexe d'Hernando.
Je l'ai léchée longuement, alternant les mouvements lents et plus rapide. Mon pouce était venu se placer sur son clitoris tandis qu’un, voire deux doigts investissaient parfois son sexe béant … J’aime regarder ses chairs, quand elle est ainsi, offerte, ouverte, impudique et tellement belle … là, elle remuait de plus en plus, toujours accrochée par la bouche à la bite d’Hernando et soudain, alors que j’avais repris mon cunni, elle s'est cambrée de tout son long, jouissant par saccade, emprisonnant ma tête entre ses cuisses.
Une fois sa première jouissance passée, elle se détendit et retomba mollement sur le lit … très vite pourtant, elle recommença à sucer notre ami, caressant des deux mains ses testicules, passant parfois s main entre ses cuisses. Je la voyais se perde entre ses fesses … J’en étais un peu jaloux, car j’avais mis des années à la guider doucement vers ces caresses du périnée, voire de l’anus, et voilà qu’elle les prodiguait sans retenue à ce quasi inconnu. .Je suis sûr qu'il n'en pouvait plus car à un moment, il s'est retiré et s'est penché pour lui embrasser les seins, alternant des caresses de la langue et des mains.
A ce moment, je suis remonté, et la surplombant, me suis installé entre ses cuisses et je l'ai pénétrée très doucement. Son sexe était très chaud, incroyablement humide. Il se dilatait et se refermait sans arrêt autour de mon pénis et je sentais que je n'allais plus tenir très longtemps.
Je me suis retiré, et ai alors demandé à Hernando de s'allonger sur le lit et à ma femme de s'empaler sur lui. Alors qu’elle allait le faire, perdu dans sa quête de plaisir, je lui tendis toutefois un préservatif … elle me remercia d’un sourire, et le déroula très érotiquement sur la bite au garde à vous de notre ami. Puis, elle le chevaucha, et prenant la base de son sexe entre se longs doigts fuselé, elle vint s’empaler sur le vit de notre ami. J’adore quand elle pratique de telle sorte, cet instant où la sent maitre de son désir, ou elle vous prends entre ses mains comme un gode pour venir se laisser glisser est tout simplement magique.
Je les ai regardés faire un moment puis je suis installé sur les genoux derrière elle. Elle se retourna et me gratifia d’un joli sourire qui signifiait son accord … elle savait que je mourrais d’envie d’un trio, d’une double pénétration à laquelle parfois nous nous livrions, avec un gode. Chaque fois, ou presque, très doucement, j’essayait de la convaincre de remplacer ce sexe artificiel par celui d’un homme, d’un autre homme … chaque fois, elle me répondais gentiment qu’elle ne pourrait pas, qu’elle ne pouvait l’imaginer, que c’était moi et seulement moi … manifestement, l’idée avait toutefois fait son chemin.
Je la préparais doucement : je pris l’huile d’amande douce parfumée et m’en enduit les mains avant de les poser sur ses reins et d’entreprendre un massage assez large de ses hanches, de ses reins, de sa croupe et de la fente qu’elle cachait … petit à petit, je vins lui masser plus directement et plus fermement sa petite corolle … la coquine, tout en montant et descendant sur la colonne de chair d’Hernando me tendais son cul. Je ne la reconnaissais pas … Bientôt, c’est avec mon sexe, bandé au paroxysme, que je vins la caresser … je remis un peu d’huile, et posai mon gland contre son anus. Comme il fallait s’y attendre, il ne résista pas beaucoup. J'exerçai une lente poussée et mon sexe entra dans un fourreau tellement serré que je dû m'arrêter pour ne pas jouir de suite. Je sentais la bite d’Hernando à travers l’étroit fourreau.
L’excitation était à son comble, je réalisais avec ma femme un fantasme qui me hantais et que j’avais fini par ranger dans le coin de l’irréalisable, je la sentais terriblement excitée elle aussi, abandonnée entre ces deux males qui synchronisés, la pilonnait d’avant en arrière … je ne fu pas long à venir et je jouis très violement, en même temps que ma femme.
Je me suis retiré et Hernando, après avoir guidé délicatement ma femme pour qu’elle bascule sur le dos, l’a enjambée et l'a pénétrée à nouveau. Il semblait doté d’une puissance qui semblait ne jamais cesser, car cela faisait dejà longtemps qu’il tenait, de fellation en pénétration, en double … et maintenant, il remettait ça. J’en étais admirateur. Il s'est mis à genoux, face à C. , soulevant le bassin de ma femme et s'est mis à la besogner de plus en plus vite. Elle ferma les yeux, et semblait alors se laisser submerger par une nouvelle vague de plaisir … elle haletait, elle gémissait et a assez vite joui de nouveau. Hernando s'est alors retiré et à également joui, inondant de jets de sperme, le nombril et les seins de ma femme.
Il nous a fallu de longues minutes pour récupérer puis Hernando, ne sachant même plus que le Tour de France existait, sans un regard pour l’écran de TV mais en nous gratifiant d’un très beau sourire et d’un léger baiser à la commissure des lèvres de C. a quitté la chambre.
Nous avons pris le temps de récupérer, en nous faisant de petit câlins, puis nous primes une douche ensemble, tendrement enlacés. Ses seins étaient toujours très durs et je les ai de nouveau caressé, lechés, mordus doucement. Mon sexe est redevenu miraculeusement dur et nous avons de nouveau fait l'amour et jouis très fort tous les deux.
Ma femme m'a peu après dit qu'elle regrettait d'avoir tant attendu pour vivre cette expérience et que nous recommencerions, mais pas très souvent de manière à gouter au maximum au plaisir de la situation.
Nous sommes rentrés d'Espagne depuis deux mois et nous n'avons pas encore recommencé mais cela ne saurait tarder !
En espérant que cette histoire, largement inspirée de "Norem" vous ai plu, nous précisons que nous n'étions ni en Espagne, ni fan de vélo ... mais, il semble que la combinaison des deux soit explosive ... on va réflechir !!!
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