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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 12:52

Bonjour les coquins

 

Aujourd’hui, comme F. le confie dans le message d’accueil, nous vous faisons partager notre fantasme d’un jouet coquin pouvant lui montrer si oui ou non ses fantasmes bi sont susceptibles de se confirmer …

Rassurez vous (y en a-t-il besoin !!?), ceci n’est pas notre seul désir et nous aimons aussi nous imaginer entre deux femmes, voire avec deux hommes dans une relation plus conventionnelle où les deux males se consacreraient exclusivement à C. Quand aux couples, c'est vraisemblablement avec eux que nous franchirons le Rubicon ...

 

Nous avons trouvé quelques belles pages sur le site dont nous vous avons déjà parlé de Elle et Lui 57, et nous nous sommes permis de les leur emprunter.

 

Qu’ils en soient ici remerciés.

Vous lirez leurs témoignages ici mais aussi sur leur magnifique blog à http://www.elle-et-lui-57.net/categorie-10148528.html ... En fouinant, vous y découvrirez bien d’autres merveilles !!! et en particulier de très belles photos qui illustrent à merveille cet article !

 

Le jouet et son expérience, vue par Lui

Avant de commencer cet article troublant , je tiens à préciser qu’Elle porte le gode assez rarement et que les sensations ressenties sont encore assez floues, en court d’analyse ... 

Pourquoi un gode ceinture ? Sans surprise, on va dire qu’on l’a acheté pour qu’elle puisse me sodomiser et ainsi assouvir un fantasme bi que j’ai depuis bien longtemps. 

Pourquoi ne pas le faire directement avec un mec? Et bien parce que, mise à part leur entre-jambes je ne suis pas attiré physiquement par eux. Je pense que c’est un fantasme essentiellement psychologique et qu’il me sera  difficile de réaliser un jour...

Donc nous voilà en possession de ce gode, fermement décidés à inverser les rôles au plus tôt, c’est à dire le soir même!  Pendant qu’elle s’équipe, je prends quelques photos, dont celle qui illustre cet article.

Je suis bluffé de voir à quel point l’association des bottes et du strapon fonctionne et je trouve ma belle étonnement sexy dans cet tenue.

Je pars alors dans mon trip de photographe au point d’en oublier que la queue qu’elle agite devant moi, le sourire jusqu’aux oreilles, m’est destinée...

Elle me le rappelle rapidement! En moins de temps de temps qu’il ne faut pour le dire , je me retrouve désapé, à 4 pattes sur le bord du lit, Elle debout derrière moi… 

Elle m’applique délicatement le gel, me masse,  introduit doucement le bout d’un doigt, puis vient positionner « son » gland à l’entrée. Elle pousse légèrement au début, puis de façon plus décidée. Elle finit ce premier essai par une franche poussée qui atteint son objectif mais qui, disons le clairement, me "casse le cul".

Je me redresse, les yeux qui piquent, on éclate de rire…

La douleur passée, je me remets en position, mais cette fois, je guide sa pénétration. Ca se passe mieux, mais ce n’est pas encore çà. On tente alors une chevauchée. Je me mets à califourchon sur elle. Elle me caresse les fesses pendant que je glisse sur son sexe...

Les sensations sont meilleures mais son appendice se révèle trop gros et surtout trop rigide! On reprend une levrette qui se transforme en simulation. Je tourne la tête pour la voir prendre son pieds pendant qu’elle glisse le gode entre mes fesses ou me pénètre légèrement... la culotte sur laquelle est fixé le gode principal contient un petit gode interne qu’Elle a beaucoup appréciée...

En guise de tentative de conclusion, je dirais que cette première expérience aura été très ludique. On se sera bien amusés avec ce nouveau jouet. Si les sensations physiques n’auront pas été vraiment au rendez-vous (en ce qui me concerne du moins, elle s’est régalée ...), on aura pu découvrir le naturel et la facilité avec lesquels les rôles s’inversent.

C’est ce que j’appellerais « l’effet gode » : suffit qu’elle le mette et il n’ y a  plus de questions à se poser : Elle devient l’homme en un éclair et tout s’enchaîne très simplement.
 

Le même écho, par Elle !

J’enfile mes bottes et mon gode.

Mmm quel look ! Héhé, je suis bien montée. Je me prends vite au jeu. Je joue avec ‘’ma’’ queue puis la lui donne à sucer.

 

Bien que ce ne soit qu’un gode, je suis très ému de le voir me sucer. Je regarde sa bouche grande ouverte glissant le long de cette queue bien dur. Je suis à genoux devant lui, les jambes écartées et le bassin en avant, je lui tends ''ma'' queue.

Lui est couché devant moi et me suce. Il est mimi et s’applique bien, on dirait qu’il aime ça aussi. Il l’enfourne au maximum. Je lui passe la main dans les cheveux. J’imagine ce qu’il peut ressentir lorsqu’il a sa queue dans ma bouche.

J’imagine ce qu’il peut ressentir lorsqu’il me pénètre. Alors je lui indique de se mettre à quatre patte et me place derrière lui.

Mmm, j’adore ses petites fesses bien fermes. J’aime beaucoup cette position en levrette inversée. Je pose « ma » queue sur ses fesses et le tapote doucement avec. Ainsi il comprend que je vais bientôt m’en servir. Je vais et viens ainsi contre ses fesses. J’entre dans mon personnage et découvre que ça me plait vraiment. Je vois qui aime beaucoup aussi. J’applique le gel sur mes doigts et le masse doucement. J’aime le sentir réagir à mes gestes.
 
Je contrôle l’intensité du plaisir, je vais doucement. Petit à petit pour que monte le plaisir, j’attends qu’il se détende, qu’il s’abandonne ... Mais je le surprends aussi par des gestes plus énergiques. Il réalise sa position et mon pouvoir et peut être que son appréhension monte, et l’idée qu’il est entre mes mains, tout ça décuple nos sensations. 

On est lié, on ne fait plus qu’un car chacun de mes gestes a un fort impact sur ses sensations. Je le pénètre doucement. J’aime cette sensation et regrette de ne pas avoir un instant une vrai queue. Je voudrai me sentir en lui. Pour plus de plaisir et pour contrôler ma pénétration. Le gode intérieur bouge avec mes mouvements, et s’enfonce en entier quand je le pénètre.

J’aime le pénétrer, j’aime le sentir ardent et l’entendre gémir de plaisir. J’enfonce un peu plus cette grosse queue raide. Je sens que ça passe. Mais elle est grosse et …  glisse d’un coup dedans, Il se retire immédiatement. Ouille. Aye Aye Aye.

Ca lui a fait mal. Le gode est trop gros. On se prend dans les bras et rigole de la situation...


Nous on aime beaucoup le récit de leur expérience. Pourtant, au contraire de Lui, F. s’imagine assez bien, si l’occasion en est donnée, dans une ambiance propice, l’esprit léger, quelques inhibitions oubliées grâce à la douceur de quelques bulles, la libido boostée par de belles coquines, s’abandonner à quelques plaisirs bi avec bel homme … qui sait !? Cette idée est ‘’dictée’’ par une recherche de nouveaux plaisirs, par le fait que cette zone est délicieusement érogène, nous ne le savons bien (!), et que nous serions donc bien bêtes de ne pas aller explorer cette direction … Devrions nous en laisser l’exclusivité aux homosexuels au principe que cela ne se fait pas (sic !), au risque d’être trop vite catalogué. Nous assumons, et réitérons aux homo, femmes et hommes, nos meilleures pensées libertines. Même si nous ne partageons pas exclusivement leurs gouts, ils nous montrent la voie (!!) et ceux que nous avons le plaisir de connaître sont simplement délicieux (même si on n’y a pas – encore – gouté lol :) )

Revenons-en à Elle et Lui ! On les remercie de nous avoir permis d’en faire état. Pour respecter leur souhait, nous avons réduit le nombre des photos illustrant ce post et vous engageons à aller les découvrir ici et dans leurs pages photos.

Vous verrez, ce ne sont pas les seules expériences qu’ils vous feront partager :)

Coquins, va !!!


Par Libertins49 - Publié dans : Amis plus lointains, mais tellement craquants !
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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 11:38

Ce soir là, un vent de fatigue était passé sur la maison….

 

C. était rentrée tard d’un déplacement de deux jours sur Brest, et moi, après une journée assez stressante, je m’étais occupé des enfants, de la maison, du repas du soir tandis qu’elle arrivait … bref, ce qu’elle faisait souvent ! J’aimais me retrouver confronté à ces moments, car ils me rappelaient alors combien C. ’’assurait’’  d’habitude !… devoirs pour les plus grands, bain pour les trois, pyjama, repas du soir quand C. nous avait rejoint …

Vers 22 heures, tout retomba dans un semblant de calme. Nous avions mangé, les enfants étaient couchés et nous avions pris place sur les canapés du salon.


C. s’était allongée sur le canapé rouge, enroulée dans un plaid polaire et regardait d’un œil le téléfilm de ce lundi soir d’hiver.

Je m’étais calé, moi aussi, et feuilletant nonchalamment une magazine, je jetais de temps à autre un œil, intéressé par l’intrigue assez complexe de ce policier à tendance mystérieuse…


A la fin du film, je regardais tendrement mon épouse. Elle s’était endormie, épuisée …

Belle, calme, paisible, blottie sous l’étoffe polaire, je n’osais la réveiller de suite.


Je n’avais pas vraiment sommeil, et, ayant pris soin de baisser le son de la télé, je zappais sur les programmes du soir.

 

C’est ainsi, en ‘’remontant’’ les chaines, que je tombais sur une chaîne adulte, qui diffusait des films à caractère pornographique pendant la nuit.

 

Les seins d’une magnifique blonde avaient envahis l’écran, seins pleins, fermes et généreux qui glissaient leurs pointes turgescentes sur le gland violacé d’une bite imposante. La blonde incendiaire emprisonnait maintenant le pieux de chair tendu dans ses globes parfaits et imprimait sur se dard le plus affolant des va et vient… elle se laissa glisser, et ses lèvres charnues, rouge d’un gloss brillant vinrent englober le membre vigoureux. Sa langue tourbillonnait autour du capuchon, descendait sur la tige, s’attardait sur les bourses, léchait le périnée, et remontait sans cesse sur le mat de son amant. La queue disparaissait lentement dans cette bouche avide, comme si elle eue voulu l’avaler en entier.

La caméra tournait autour des tourtereaux de circonstance, faisant voir ça et là la pipe magistrale, ou parfois un zoom sur l’abricot de la belle, ouverte de plaisir qui semblait ruisseler de bonheur et dans la fente duquel s’agitaient des doigts fins et agiles ….


L’effet de ces images sur moi ne se fit pas attendre… Mon sexe s’éveilla, se leva, s’étira et me dit gentiment que, si ma femme dormait, lui était bien en forme…

 

Je m’installais plus confortablement, non pas sans avoir vérifié la véracité du sommeil de C.  en l’appelant doucement, une main sur l’épaule.

Sa réponse fut claire et précise : « Bzzzzzz »… Elle était belle et bien dans les bras de Morphée.


Je m’installais donc le mieux possible avec quelques coussins qui me soutenaient tandis que je me couchais. Allongé sur le coté, appuyé sur un bras, j’avais pris soin de retirer mon pantalon pour être tout à fait à l’aise.


Les yeux rivés sur l’écran, je voyais la fellatrice blonde, engloutir le pénis tout luisant de salive, et doigter doucement l’anus de l’homme offert.
Ma main commença à s’agiter sur le doux tissu de mon boxer. Je sentais ma verge tendue, emprisonnée par l’étoffe, légèrement orientée à droite. Je la caressais du bout des doigts, montant le long de la veine que je sentais, venant parfois emprisonner mes couilles dans la paume de ma main. J’aime me caresser et nous ne faisons parfois ensemble, C. et moi, s’exhibant mutuellement par notre quête du plaisir. Très vite, mon sexe franchi la barrière de l’élastique et vint se dérouler sur mon bas ventre. Je retirais mon boxer pour être à l’aise. Maintenant, ma main courait autour de ma bite dressée, je caressais mes bourses, suivais les mouvements de la blonde du film, j’imaginais C. s’afférant sur mon ventre…

 

Comme s’est excitant de se branler doucement sur de telles images, tout à côté de celle que l’on aime et qui peux à chaque instant sortir de sa torpeur. Mon érection n’en était que plus vive. Voulant vivre un très beau et bon moment, je me levais pour aller chercher le flacon d’huile essentielle avec lequel nous avons plaisir à jouer, de temps à autre. De retour, je me réinstallais confortablement, et enduit ma main de l’onguent avant de venir emprisonner ma verge. Quelle délicieuse sensation que de la sentir coulisser dans le fourreau crée par ma main ; Elle était, ma main aussi, beaucoup plus douce, plus chaude et glissante…

 

Je regardais tantôt le sexe qui s’affichait sur l’écran, magnifique, ouvert et perlant de désir avide, tantôt ma verge turgescente qui glissait dans mes doigts.

Rien d’autre n’existait plus que ce désir de jouir, ce plaisir solitaire que je sentais venir et que je retardais pour l’apprécier plus fort. L’actrice avait vraiment un très beau sexe, comme un fruit mur, qui se serait ouvert sous les rayons d’un soleil d’été. Ses lèvres étaient ourlées, ouvertes de chaque coté de l’ouverture de son vagin comme pour en marquer l’entrée, comme deux triangles de chair rosées et vraisemblablement tellement bons à prendre dans sa bouche. Nous aimons beaucoup des jeux là, avec C. et il me plaisait d’imaginer ce cunnilingus que j’aurais tant aimé faire. Plus haut, au sommet de cette fourche, se cachait un adorable petit clitoris qui semblait – réalité ou simulation de l’actrice ? – extrêmement réactif à en juger par les gémissements qu’elle lâchait à chaque fois qu’elle sollicitait son petit bouton.

 

Toute mon énergie était concentrée sur ma queue, tendue sur mon ventre et qui dans ma main, grossissait encore sous mes caresses. Mon ventre me brûlait, ma tête était remplie des râles et des images des acteurs sur l’écran. Je me voyais baiser C. sans retenues, sans aucune pudeur, du sexe à l’état pur.

Les phrases les plus folles me venaient sur les lèvres.

 

Tu la sens, ma bite ? tu sens comme elle est dure ? Tu aimes que je te prenne comme celà ? Ohhhh, ouiiii ! Je vais exploser tout au fond de ton ventre...

 

ou encore, lui prenant la tête et se beaux cheveux

 

Oui. Suce moi encore, aspire bien mon gland…

 

Elle me répondait :

 

Oui, F., prend moi… écarte moi… Baise moi…J’aime ta bite, j’aime quand tu me laboures comme ça

 

ou encore…

 

Fais moi jouir de ta langue… Bouffe moi la chatte…C’est bon, je te sens bien… Tu veux que je te doigte mon amour ?

 

Toute ma fantasmatique était à fleur de peau…

Les vagues de plaisir arrivaient lentement, je ralentissais le mouvement régulier de ma main sur mon sexe… ne pas jouir tout de suite, me laisser emporter seulement quand je l’aurais désiré, maîtriser cet orgasme qui s’annonçait violent… Des gouttes perlaient sur le sommet de mon gland, des gouttes d’un liquide tellement doux qu’il vaut toutes les huiles … Je venais recouvrir mon gland pour le décalotter ensuite, renouvèlement le  lubrifiant de ma hampe.
C’est un mouvement presque imperceptible qui me ramena à la réalité. Quelque chose avait bougé dans la pièce, mais quoi ?...

 

J’arrêtais ma branlette et le souffle court, je restais immobile …

Et si C. s’était réveillée ?... je n’osais me tourner vers elle... Non ! je l’aurais senti de suite… je regardait néanmoins dans sa direction, et ne vit que sa silhouette dans la pénombre de la pièce… Elle dormait encore…

Cette sensation était bizarre : comme si je craignais d’être pris en flagrant ‘’délit’’ par la femme que j’aimais tant et avec qui nous vivions une tellement belle relation, d’Amour, de désir, de passion, d’une sensualité délicieuse et d’une sexualité dont il nous plaisait d’aller découvrir quelques zones restées encore bien secrètes. Pourtant, je me sentais comme un adolescent craignant d’être surpris en train de se masturber devant son premier livre porno.

 

Lentement je repris ma caresse : cette fois sur l’écran, la bite du jeune homme forçait en gros plan et sans mal les petites lèvres imberbes de l’abricot juteux…

Encore une fois, comme un léger murmure, quelque chose bougea. Mais cette fois le bruit fut plus précis, comme un frottement de tissus… Il me sembla que C.… La scène à la télé avait encore changée ce qui augmenta un peu la clarté du salon… Je tournais lentement la tête vers le canapé rouge.


A ma grande surprise, C. ne dormait plus. Elle s’était relevée, face à moi, le regard embué, les cuisses grandes ouvertes, elle se caressait. Malgré la pénombre, ses yeux plongèrent dans les miens et elle commença à bouger le bassin dans ma direction… Je voyais parfaitement ses doigts agacer son clito, le pinçant doucement, le frottant de mouvements circulaires de son majeur;  elle s’écartait les petites lèvres de son autre main, comme pour m’offrir ce spectacle, et ne s’arrêtait que pour plonger ses phalanges expertes dans son puit de bonheur. Sa chatte toute gonflée ruisselait de désir et semblait m’appeler.

 

Sans un mot, je glissais du canapé et m’avançais à quatre pattes, par terre, jusqu'à ce que mon visage soit à dix centimètres de la vulve trempée. De ces deux mains, elle remonta ses petites lèvres qui eurent pour effet de faire surgir son bouton d’amour, plus en avant encore.

La scène qui auparavant se jouait sur l‘écran s’étalait maintenant devant moi, devant les yeux ébahis … je pouvais sentir l’odeur acre de son suc, ressentir le plaisir qu’elle ressentait, cambrée en arrière, toute à son activité coquine.

 

L’invitation était trop belle et, lui entourant l’arrière des cuisses de mes mains, je me rapprochais jusqu’à venir poser ma bouche affamée sur cette grotte divine. Ma langue n’eu aucune difficulté à trouver son petit capuchon érectile que j’entrepris de sucer avec le plus grand soin. Ses mains s’accrochèrent dans mes cheveux, son bassin se colla à mes lèvres et j’entendis avec surprise et un bonheur immense…


Oui… oui comme ça… oui, bouffe moi… ooouui !!! Oh F. bouffe moi la chatte… fais moi jouir…encore… aah, c’est bon… aahhh je t’aime mon Amour…


Elle étouffa un cri, et je senti le liquide chaud de sa jouissance couler sur mon visage, tandis que son bassin partait dans tous les sens ; elle s’abandonnait à l’orgasme dévastateur qui explosait son ventre…


Quelques secondes après, elle se rassit dans le canapé rouge, et me releva fermement ; Je me retrouvais alors debout devant elle,  la bite à la hauteur de sa bouche gourmande et je senti sa langue glisser sur le méat du gland, puis la chaleur torride de ses lèvres pulpeuses qui aspirait la hampe de mon membre tendu.

De quelques doigts fripons elle caressait mes bourses, et pétrissait mes fesses d’une autre main coquine.
Je voyais dans la pénombre sa tête aller et venir, et je sentais ma queue de plus en plus sensible tourmenté par sa bouche, elle posait ses lèvres sur le somment humide de mon brugnon rosé et les laissait couler autour du pieux de chair, remontait doucement et descendait encore toujours un peu plus loin….
Elle se passa les doigts dans sa chatte encore chaude pour prendre sur ses doigts son liquide soyeux et vint me caresser d’abord le périnée puis, un peu plus audacieuse, elle massa délicatement mon petit trou …Au moment même ou elle englouti ma bite dans une aspiration folle, elle poussa son index au plus profond de moi… Ce fut mon tour alors de me lâcher enfin

 

Ah, mon cœur, que c’est bon. Qu’est ce tu me suces bien… Oui. Aspire doucement… Oui…Tu vas me faire jouir…


Elle se releva, et me poussa à m’asseoir sur la table du salon. M’enjambant d’un mouvement rapide et sensuel comme dans une scène digne des plus beaux films X, elle vint s’empaler sur mon épée de jade…

Sa bouche se souda à la mienne et tout éclata autour de nous… L’orgasme fut si violent que j’en aurais hurlé, Les vagues déferlaient plus puissantes chaque fois, de plus en plus brûlantes, incontrôlables et folles… Elle s’écoula enfin tout contre mon épaule me serrant dans ses bras.

 

Si nos corps aient eu leur compte d’émotions, nos cœurs étaient encore à se dire

 

Je t’aime,

 

et nos baisers restaient aussi fougueux et passionnés….


Tendrement, main dans la main et les yeux dans le vague, nous éteignirent la télé, et allâmes nous coucher, épanouis et heureux. Le lendemain matin, alors que nous n’avions que peu de temps, je la sentis, chatte, venir se lover en petite cuillère contre moi. L’érection matinale aidant, et guidé de ses doigts agiles qui emprisonnèrent mon gland alors qu'elle me glissait, mutine :

 

Alors, toujours prêt !?

 

je vins me planter en elle … elle bougeait son adorable petit cul, tendait sa croupe pour ressentir plus encore la pénétration … Son cocon d’amour était encore chaud, encore humide de nos ébats de la veille. J’aimais cette sensation, imaginer glisser dans un mélange de foutre et de son excitation. C’était chaud, doux, autour de mon sexe. Je la pris par la taille pour la besogner plus encore. Ce matin là, elle était très animale, voulant sentir mes assauts. Plus je la sentais venir vers moi, et plus j‘avais envie de la prendre, fort , de manière un peu rustre. Et quand elle me supplia :

 

Viens ! Viens mon Amour, baise moi … Baise moi, je suis à toi, je suis ta femme, ta maitresse … Viens, arrose moi ! Couvre-moi de ton jus. J’ai envie de te sentir en moi. J’aime être salope …

 

Ces derniers mots, qui restent gravés en moi comme le plus beau des bijoux resterait dans son écrin, finirent de me faire perdre pied. Je sentis la vague du plaisir monter, dans le haut de mes cuisses pour rayonner dans mon bas ventre … J’eu l’impression d’éjaculer un nombre incalculable de fois (ah ces mecs, toujours vantards !!! :) ) tandis qu’elle me malaxait les couilles comme pour en leur faire sortir le maximum de jus.

 

Elle n’était pas venue, mais se lova contre moi et nous échangeâmes de doux baisers, de tendres calins … bien vite, le quotidien repris le dessus et nous dumes nous lever et courir pour préparer les enfants …

La vie quotidienne, après ce délicieux intermède, reprenait son rythme infernal.


Pourtant, cet après midi là, elle m’envoya un SMS :


Si tu passais passais par le vidéoclub, peut être peux tu y prendre un film …

 

 

Librement adapté et personnalisé sur la base d’un très beau récit de Mick, coquin du Var. Merci à lui

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 23:48

18h14
Je ferme les yeux... ses mains parcourent mon cuir chevelu... le masse... le caresse...
Je me laisse envahir par la torpeur...
Elle est douce et fait durer le moment... je me sens bien....

Puis.. un intermede... on change de position....

Et elle reprend... differemment.. elle continue à faire danser ses doigts...
Elle n'oublie aucun endroit de mon crâne... Elle s'applique...
Je ferme à nouveaux les yeux...
Je voudrais lui dire..... Je me tais...
Elle ne dit presque rien...
Seules ses mains dans mes cheveux...

18h38
La discussion s'engage enfin... trop tard

18h39
Je sors de chez le coiffeur ... avec moins de cheveux et le regret de n'avoir rien dit...


Très beau texte que l’on doit à Libertin un jour, blog découvert grâce à Fée Clochette que nous comptons parmi nos amies.

Nous publions ce texte car il fait merveilleusement écho à une sensation ressentie il y a peu, chez notre coiffeur habituel. C. est coiffée par V, moi habituellement par JM ... ce jour là, il était en retard avec une cliente, et c'est dans les mains de V que je me suis retrouvé ... Aaaahhh ! un véritable délice, mélange d'extase qui m'aurait conduit à l'assoupissement et d'une excitation terrible qui me faisait imaginer … . Je suis resté bouche close ... mais j'y retourne prochainement !

On en a parlé avec C. et avons bien ri, mais elle pense comme moi : s'abandonner entre les mains habiles de V. est un regal !

Merci à Libertin un jour ....

Par Libertins49 - Publié dans : Autres ...
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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 15:04

Il y a quelques jours, nous vous parlions d’Art … en disant qu’il n’y avait pas que le sexe dans la vie ... cplcoquin nous montre, très beau strip à l’appui, qu’il y’a le sexe aussi ! (sur un zouk de Franky Vincent)

 

Nous n’avons pas trop le temps actuellement, donc on a choisi de vous faire patienter avec les déhanchements très suggestifs de cette merveilleuse créature … elle est belle, non ?

 

 

 

Merci à eux !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 11:12

Tout en arpentant la rue d'un pas pressé, je regarde ma montre :

"Déjà 20H10 ! Ouhlà, je suis à la bourre. J'espère au moins qu'elle est prête, car sinon on aura plus de place."

J'arrive devant chez nous , et j’entre rapidement.

"J'arrive!", répond une voix fluette qui m'est familière.


Quelques secondes après, je vois ma Belle, souriante comme d'habitude, et encore en peignoir.

Mais ! Quest-ce que tu fous ? On est à la bourre !

Ca va, ça va, j'en ai pas pour longtemps ! répond-elle après m'avoir furtivement embrassé.

Fais doucement, V. dors et M. n’est pas encore arrivé !  M. c’est le baby sitter … les deux autres sont à l’étage)

Puis elle file à la salle de bains...

Bon, ben, je vais pas rester là à faire les cent pas … Je file moi aussi vers la SdB et me refait un brin de toilette : dents, un peu de parfum … et retourne devant la télé que j’avais machinalement allumée. Elle est sous la douche, tellement belle en filigrane derrière le rideau de condensation et de fines gouttelettes qui marque la paroi de verre.

Il ne sert à rien de lui faire remarquer mon impatience, elle en fera autant la prochaine fois.

Tout d'un coup, la porte de la salle de bains s'ouvre à grand fracas et elle déboule dans la pièce tel un diable qui sort de sa boîte. C'est ma foi un diable fort charmant, vêtu d'un petit string rouge qui lui habille délicieusement les fesses, et... de rien d'autre, ce qui me permet d'admirer ses deux jolis seins qui se dandinent à chacun de ses pas. Elle ne les aime pas, car elle les trouve trop gros. Pourtant, ils sont beaux, fermes, arrogants … un 95C voireD selon les coupes qui m’enchante à chaque fois et nous procure, ma foi, bien des plaisirs. Ce spectacle suffit amplement à me dire que finalement, je suis bien content qu'elle soit en retard.

Pourtant, en à peine quelques secondes, ses plus beaux appas de jeune femme se retrouvent dissimulés sous sa robe bleue que j'adore et qui lui va à ravir : un décolleté assez prononcé, une coupe assez moulante qui laisse deviner sa silhouette, et une longueur assez réduite qui permet d'admirer ses jambes nues. Je la trouve finalement presqu'aussi délicieuse habillée que nue.

Puisqu'on est pressés, tant pis, j'ai pas mis de soutif ! me dit-elle en prenant son sac.

En plus, je sais que t'aimes ça donc t'es content ? rajoute-t-elle avec espièglerie.

Sûr que je suis content ! Je vais pouvoir me rincer l'œil sur son décolleté toute la soirée, et fantasmer sur ses seins que j'ai déjà hâte de retrouver tout à l'heure pour un tête-à-tête que je sens déjà torride. Car je commence à la connaître ma petite C., elle dit que c'est de ma faute si elle sort sans soutif, mais en fait, elle en mourrait d'envie, et quelque chose me dit qu'elle va revenir excitée à mort pas cette petite sortie en tenue très légère.

J'ai à peine le temps de l'admirer un peu plus en détails que M. sonne ; il rentre, il nous connait, et la maison aussi. . Tant pis, je me dis que j'aurai le temps de la contempler tout au long de la soirée, et puis, j'avais presqu'oublié qu'on était à la bourre !

Deux trois consignes, et il file à l’étage avec les deux grands tandis que nous prenons congés

Une demi-heure après, on arrive enfin au restaurant, avec seulement 25 minutes de retard... Heureusement, on trouve une table sans trop de difficultés.

C’est un coin magnifique, qui surplombe la vallée de la Loire … Superbe, ambiance loft et lounge …

AAAAAhhhhhhh, enfin installés! Je peux me plonger à loisir dans son corsage, et aussi un peu dans ses yeux qui me regardent amoureusement (du moins, j'ose le croire). Rien ne peut venir troubler ma béate contemplation, ni le serveur, ni les plats qu'il m'apporte, ni les autres clients, ni les bavardages incessants de ma Belle, que je n'écoute que d'une oreille distraite d'ailleurs...

Jusqu'au moment où, juste avant le dessert, elle décide de s'absenter pour faire ce que toutes les femmes font sans arrêt (!), sans oublier bien entendu d'emmener son sac à main, dès fois qu'on veuille lui piquer, ou que je veuille fouiller dedans !

Je reste donc quelques minutes seul, ce qui me permet de faire un petit tour d'horizon des personnes présentes dans la salle, et surtout des personnes de sexe féminin évidemment. Mais celle que je préfère ne tarde pas à revenir, plus éblouissante que jamais dans sa robe légère qui virevolte.

Après le café, au moment où l'attente de l'addition rend l'atmosphère un peu lourde, ma petite C. ne trouve rien de mieux que de m'annoncer, avec un petit sourire espiègle au coin des lèvres :

Tu sais quoi ? J'ai une petite surprise pour toi !

Ah ouais ? Ca tombe bien, j'adore les surprises. Et c'est quoi ?

Si tu veux le savoir, regarde dans mon sac !

Ce mystère m'intrigue. Sans plus tarder, je m'empare de son sac, ce qui d'habitude m'est totalement prohibé, et je l'ouvre, ce qui d'habitude frise le crime de lèse-majesté. Je ne tarde pas à deviner la "petite surprise" comme elle dit.
Son petit string rouge, qui en partant de chez elle était bien au chaud entre ses fesses, se retrouve encore bien au chaud, mais dans son sac cette fois ! A mon avis, il a perdu au change ! Je joue un peu de la pointe de mes doigts avec cette petite boule d’étoffe et sens soudain une texture assez particulière sous mes doigts … j’ai frolé ce qui était l’entrejambe et il est trempé de son suc !

Je la regarde interloqué, tandis qu'elle me regarde l'air amusé et fière de son coup. Je ne tarde pas moi aussi à trouver ça amusant, et même très excitant à dire vrai.

Depuis le temps que j'en rêve, je n'en reviens pas qu'elle se soit enfin décidée à le faire ! Car si le fait de sortir sans soutien-gorge lui est déjà arrivé, se retrouver sans rien sous sa robe est tout nouveau !

Comme si mon trouble n'était pas assez évident, je sens son pied qui vient frotter contre ma jambe et remonter dangereusement vers un endroit qu'il m'est alors difficile de contrôler. Mais heureusement, ou plutôt malheureusement, le serveur vient interrompre les velléités libertines de ma compagne, et en profite au passage pour me glisser l'addition.

Une fois sortis du restaurant, j'ai une envie folle de rentrer, mais ma Belle, décidément pas à cours d'idées lumineuses, me propose une partie de bowling, ce qui permettra de profiter de la douce soirée, et aussi d'étancher un peu plus sa soif d'exhib.

Nous voilà donc partis, dans les bras l'un de l'autre, vers la voiture, puis vers une partie qui s'annonce des plus distrayantes ! Le bowling n'est pas loin, on y est en même pas 10 minutes et c’est sur la route du retour.

En y repensant, je la soupçonne d'ailleurs d'avoir choisi le bowling en connaissance de cause. Car quoi de plus excitant que de se retrouver dans cet endroit sombre et éclairé de nombreux contre-jour et lumières indirectes à prendre position sur la piste, lancer la boule avec ce final en déhanché très sexy somme toute. Effectivement, parfois, sa petite robe se retrousse indécemment et offre une vue impayable sur ses jambes (et peut-être plus) aux clients installés sur les tables ?

Nous ne sommes pas des habitués, et je me souviens très bien que ce soir là fût une catastrophe au niveau du jeu à proprement parler. Mais pouvait-il en être autrement ?

Moi, je ne pense qu'à une seule chose depuis qu'on est sortis du restaurant, c'est me retrouver en tête-à-tête avec ma charmante compagne, quant à C. elle doit être excitée comme une pucelle à son premier rendez-vous amoureux par tous ces regards qui la transpercent, où qui semblent la transpercer, car le fait de sortir sans culotte a le pouvoir de lui faire croire que tous les yeux masculins des alentours sont braqués sur elle. Et les mâles sont nombreux dans l'assistance.

Moi, je suis évidemment fier comme Artaban de voir ma douce faire baver la moitié du bar, et je me dis que la nuit va être longue !

Mais après deux ou trois parties, ma petite exhibitionniste, sûrement rassasiée de regards avides, décide d'arrêter là ce massacre, qui est une véritable insulte faite à ce jeu.

Je ne peux qu'adhérer, car tout ce qui peut me rapprocher de l'instant où on rentrera chez moi est le bienvenu, même si ces quelques parties ont dû attiser le désir de ma partenaire.

On s'assoit quand même quelques minutes sur une table pour finir notre verre. Blottie au creux de mon épaule, je la sens chaude comme la braise. Je ne peux m'empêcher de lui demander :

Alors, c'était comment cette partie en tenue légère ?

Je suis toute dégoulinante, c'est la folie ! me répond-elle avec son sourire d'ingénue qui tranche singulièrement avec ses propos.
D'ailleurs j'ai arrêté parce que j'avais peur de tâcher ma robe et que cela se voit.
J’adore la dichotomie entre son coté sage, et la petite coquine qui dans ces moments là, se revèle en elle et la transforme, fait briller ses yeux, rosir ses lèvres, briller ses pomettes …. Qu’elle est belle !

Cet aveu me transporte et me donne une trique du tonnerre. Je souffre le martyre dans mon jean soudain trop étroit pour contenir le volume décuplé de mon sexe.

J'ai envie de toi ! soufflais-je à ma Belle en forme de proposition.

Moi aussi ! Rrépond-elle ans un souffle. Si on rentrait ?

Mais l'occasion est trop belle de lui proposer ce dont j'ai toujours rêvé :

Ca te dirait d'aller plutôt faire un tour dans les toilettes ?

Ca va pas , non ? On va se faire repérer ! Elle semble franchement surprise, et me regarde mi interloquée, mi amusée, mi choquée comme si j’avais sorti là une proposition de vieux pervers

Mais non, on va faire gaffe ! Et puis on s'en fout, on ne connaît personne ! Ca ne t'excite pas à toi ?

Si, mais c'est limite !  proteste-t-elle pour la forme tant ses yeux brillent d'envie.

Oooooohhhhhh!! Fais pas ta chochotte ! Allez viens, suis-moi !

Avant même qu'elle ne puisse réagir, je l'entraîne avec moi vers les toilettes.


Bref, on y arrive sans encombre. Elles  sont sont désertes, ils sont tous plantés là haut. Ca rassure quelque peu ma chérie, même si elle me fait remarquer, sûrement à juste titre :

On nous a peut-être repérés en train d'aller tous les deux en même temps aux toilettes !

Bin quoi, on a eu une envie pressante simultanément et puis voilà ! Et puis on s'en fout, au moins ils sauront que je t'aime !

On se paye même le luxe de changer … machinalement, je l’avais entrainée vers les toilettes hommes, mais Messieurs !!! comme souvent, elles étaient franchement ... si ce n’est repoussantes, en tout cas pas accueillantes pour ce que nous voulions y faire ! Hop, direction, les toilettes femmes !


Nous filons vers une cabine dont nous verrouillons le loquet.  Je retire donc en vitesse sa robe toute fine en un clin d'œil qu'elle m'aide à passer par dessus sa tête, et elle se retrouve complètement nue. Je jette le ''chiffon'' sur son sac. J'ai envie de voir sa chatte toute trempée. Je ne m'attarde pas sur ses seins, dont les pointes sont pourtant fièrement dressées, et je m'agenouille pour admirer son sexe. Je constate avec satisfaction les effets de sa petite exhibition : son abricot est complètement luisant de mouille, certains fins poils sont collés à ses lèvres, et quelques gouttes luisent à l'intérieur de ses cuisses.

" Bin dis donc, va falloir nettoyer tout ça maintenant !

Sans plus tarder, je me mets en action. Ma langue et mes lèvres s'affairent avec application. Tout y passe : ses cuisses, ses lèvres, son clito, l'entrée de son vagin... Ses petits cris de plaisir contenus (on est quand même dans un lieu public !) me prouvent son excitation éminente. D'ailleurs, elle ne tarde pas à retirer ma tête de son entrejambe pour passer à la suite, en me murmurant :

" Viens, prends-moi, j'ai trop envie !"

Je me soumets bien volontiers à ses désirs ! Je dégrafe les quelques boutons de ma braguette et fait jaillir mon sexe bien dur et bien raide. Je m'approche alors de ma chère C. et, après avoir relevé une des ses jambes en posant son pied sur la lunette, présente mon gland à l'entrée de son vagin.

Ma Belle ne peut contenir un cri aigu devant cette intromission. Je commence par quelques petits mouvements mais les cris et les encouragements de ma partenaire me convainquent d'accélérer.

Je m'exécute, mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps à ce rythme, je suis bien trop excité. Heureusement, elle aussi est au bord de la jouissance. Très vite, je sens son corps s'agiter frénétiquement, son bassin onduler, ses mains empoignent mes fesses, ses cris pourtant étouffés résonnent dans la petite cabine exiguë ; l'orgasme qui la submerge, tel un raz-de-marée emportant tout dans son sillage, provoque à mon tour le mien, et nous jouissons ensemble, dans un moment d'une intensité qui n'a d'égal que la rapidité du rapport.

Je reste quelques instants en elle, la tête posée sur son épaule, à reprendre mon souffle, et à partager ce moment d'émotion intense. Elle aussi est essoufflée, et son cœur palpite avec une rapidité rare.

Puis je me retire, et on se rhabille, ce qui ne prend guère plus que quelques secondes ! Enfin on ressort.

Dommage, il n'y a toujours personne dans les toilettes pour nous écouter, et je me dis avec regret que personne n'a entendu ma C. jouir. Mais ce n'est pas grave, et je rejoins le bar l'air triomphant, j'ai l'impression que tout le monde sait ce qu'on vient de faire, que tout le monde m'envie, que tout le monde se prosterne devant moi, il s'en faut de peu pour que je grimpe sur le bar pour crier "Je suis le roi du monde !!!!!". Modestie quand tu nous tiens !

A peine revenus à notre table, on décide de partir, car C. a l'impression que tout le monde nous regarde. Tiens, c'est bizarre, tout à l'heure ça l'excitait, et là ça la gêne. Décidément, je crois que jamais je ne comprendrai les femmes.

Bon, tant pis, moi ça me plaisait bien qu'on nous regarde en se disant "oah, ils ont été faire l'amour dans les toilettes !". Mais c'est C. qui décide, si elle se sent gênée...

A peine sorti du bar, ses propos qu'elle me souffle à l'oreille m'enflamment :

"Va  dpoucement, j'ai du sperme qui coule partout sur mes cuisses !"

Hmmmmm... Cet aveu me donne une érection foudroyante !. Ma Belle est encore une fois toute contente de son effet, mais elle a intérêt à assumer tout à l'heure, car il va falloir du temps pour faire baisser mon excitation. Mais bon, vu l'état qui doit être le sien également, elle devrait y arriver assez facilement...

On arrive chez nous assez vite, moi concentré sur la conduite tandis qu’elle se caresse gentiment, très doucement et sans exhibition à mes cotés … C’est beau, c’est tendre … J’aurais aimé qu’elle soit plus exhib, qu’elle pose ses jambes sur le tableau de bord, qu’elle ecarte le compas de ses cuisses mais rien de cela … elle semble se détendre, a baissé le dossier du siège et seule les mouvements de son avant bras traduisent le plaisir auquel elle s’adonne.

Je n'y tiens plus, avant même d’avoir ouvert la porte, je la plaque contre le mur et commence à l'embrasser et à la peloter frénétiquement. Ma main ne résiste pas et va faire un tour du côté de son entrejambe, pour constater qu'effectivement son sexe dégouline … mélange de sa propre excitation et de sperme. Je bande toujours autant et je me dis que faire l'amour ici avec le risque qu'on nous imagine, sans même parler de nous surprendre (M. !), pourrait être une idée assez coquine.

Malheureusement, C. ne veut pas risquer de se faire repérer dans une position compromettante et elle parvient, après une longue transaction et avec la promesse d'une petite gâterie buccale dans l'intimité de notre chambre, à me faire relâcher mon étreinte. Nous rentrons, et faisons la discussion habituelle avec M. Tout s’est bien passé, et il prends le chemin du retour. Je le raccompagne au portail.

De retour, enfin seuls, sans la crainte pour ma copine qu'un voyeur vienne déranger nos ébats, je m'approche d'elle avec l'assurance qu'elle ne me repoussera pas, et même avec le sentiment qu'elle piaffe d'impatience que je la prenne dans mes bras. En vrai gentleman, je me dois alors d'honorer son corps brûlant de désir. En guise de préambule, je pose un petit baiser sur ses lèvres qui, en quête d'un vrai baiser digne de ce nom, ne tardent pas à s'ouvrir. Sa langue se fraye un chemin entre mes lèvres ; ma bouche, toujours hospitalière et connaissant parfaitement la visiteuse, l'accueille avec grand plaisir, puis nos langues se cherchent, se trouvent rapidement, et échangent quelques amabilités en un ballet rempli d'érotisme et de sensualité.

Tout en continuant ce baiser fougueux, je déshabille ma Belle. Oh, ce n'est pas ce qu'il y a de plus long à faire, il suffit d'écarter les bretelles de ses épaules pour que sa robe tombe à ses chevilles. Seuls ses petits talons et sa robe couvrant ses chevilles pouvant encore être une barrière à sa nudité totale, ce qui est ma foi bien peu.

Mais, elle interrompt ce baiser pour me glisser à l'oreille :

" Tu te souviens de ce que je t'ai promis ?"

Je lui réponds d'un sourire entendu, tandis que sa main s'est déjà égarée sur les boutons de mon jeans et caresse mon sexe qui n'en peut plus d'être confiné dans un espace aussi étroit.

Je lis dans son regard toute la lubricité qui l'anime. Ma chemise ne résiste pas longtemps et ses petits baisers sur mon torse me font frissonner. Elle descend petit à petit pour aller chercher sa petite friandise. Mon pantalon n'est nullement un obstacle à ses envies. En quelques secondes, il se retrouve à mes chevilles, suivi de mon caleçon. Ainsi libéré, mon sexe pointe fièrement à quelques centimètres de son visage. Agenouillée à mes pieds, ses yeux regardent mon visage et elle me sourit.

Sans me quitter des yeux, elle enroule sa main autour de ma verge et finit lentement de me décalotter en me branlant à vitesse très réduite. J'adore sentir et voir cette petite main aux doigts si fins s'enrouler autour de mon sexe. Mais déjà elle approche son visage et commence à lécher mon gland déjà bien liquoreux. Chaque coup de langue m'électrise et me procure un plaisir indescriptible. Puis ses lèvres entrent en action ; D'abord par quelques baisers timides, mais bien vite elles se montrent plus aventureuses et coulissent de plus en plus sur ma verge, mais toujours avec lenteur et délicatesse. Elle sait jouer avec mon plaisir, ne pas me faire jouir trop vite, et je sais qu'elle aussi prend plaisir à cette caresse. "Le plaisir d'offrir, la joie de recevoir"...

Ses yeux ont quitté les miens et ma Belle est maintenant totalement concentrée sur son affaire. Avec sa langue, avec ses lèvres, avec ses mains, sur mon gland, sur ma verge, sur mes couilles, avec lenteur, puis plus vite, en changeant le rythme, ma bien aimée connaît toutes les subtilités et les variantes pour réaliser une bonne fellation. Et Dieu qu'elle s'y prend bien ! (Même si Dieu n'y est pas pour grand-chose dans l'affaire !)

Mais, alors que le plaisir est à son comble est vient flirter avec la zone rouge de non-retour, ma fellatrice s'arrête et se relève, avant de poser ses lèvres humides et goûteuses sur les miennes. Ce baiser au goût particulier est ma foi bien agréable, même si je suis déçue de cet arrêt soudain.

"Viens sur le lit, me dit-elle, on sera plus à l'aise !"

J'obéis, docile et en totale confiance (je suis entre de bonnes mains !). Guidée par ma Douce et Tendre, je me retrouve allongé sur le lit et sur le dos, et libéré de tout vêtement, tout comme ma compagne d'ailleurs. Alors elle s'allonge à mes côtés et m'embrasse à nouveau, avant de me souffler à l'oreille :

T'inquiète pas, j'ai pas encore fini ma petite gâterie ! Tu veux que je continue au moins ?

Quelle question ! Evidemment que j'en ai envie, t'es la meilleure, ma petite C. !"

Alors, telle une liane, elle se laisse doucement glisser sur mon corps en déposant une kyrielle de baisers qui me font frissonner. Arrivée à destination, elle se saisit de ma verge posée sur mon ventre, la redresse à la verticale tout en la scrutant amoureusement, et approche sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres viennent couvrir mon gland. Alors, elle recommence ses va-et-vient. Elle relève ses cheveux. Elle sait le pouvoir erotisant qu’exerce sur moi ses talents et elle s’hexhibe, sans fausse pudeur. D'abord lentement, comme au début, comme si tout recommençait, comme tout à l'heure. Puis elle accélère, tout en revenant parfois à vitesse réduite. Grand avantage d'une relation aussi établie que la notre  , elle sait quelles caresses peuvent augmenter le plaisir et sa main vient caresser mes couilles avec douceur, tandis que mon sexe ne doit de garder sa verticalité que grâce à la bouche généreuse de C.. Il serait sinon, collé à mon ventre, tendu à l’extrème par une erection limite douloureuse. Ma verge est epaisse, gorgée de sang et de sève. Elle me la fait remarquer, la bouche pleine

- Huuuummm / Qu’eeeellle est grooosssee. Hummmm j’adooorre : Et toi ? dit elle en remontant son visage et plongeant ses yeux dans les miens. Son regard est un mix de perversité et d’amour réunis. Je l’adore et mes mains sur sa chevelure, lui intimant de poursuivre sont ma seule réponse. Parfois, ses cheveux retombent et viennent caresser mon ventre en cadence, me coupant par la même occasion la vue de son visage. Tant mieux, ça me permet de me concentrer encore plus sur ses caresses exquises, tandis que très vite, elle les replace derrière son oreille.

Mais malgré sa lenteur, je sens qu'entre ses lèvres, sa main toujours aussi douce, et ses petits gémissements étouffés, je ne pourrai pas résister longtemps.

Vite, penser à un truc pas du tout érotique ; ah je sais, les formules de maths... Trop tard ! Malgré mon avertissement censé lui faire reculer sa bouche, ma Belle continue son traitement divin et revient même me branler à vive allure avec sa main. Fatalement, quelques secondes plus tard, une vive vague de plaisir envahit mon bas-ventre, déclenchant par la même occasion le processus irréversible de l'éjaculation. Ayant absorbé le premier jet, ce qui est assez rare pour être souligné, C. retire enfin sa bouche en vitesse, sans cesser sa branlette, et m'observe déverser mon plaisir sur mon ventre... tandis qu’elle rejette mon foutre en le laissant perler à la commissure de ses lèvres

- Pourquoi tu t'es pas retirée plus tôt ? tout en savourant ma jouissance.

- Je voulais voir si cette fois j'allais aimer !

- Ah !? Toujours pas visiblement ... ! répondis-je d'un ton légèrement moqueur.

- Bin non, toujours pas, j’y arrive pas, et en plus j'ai failli m'étouffer au premier jet, c'est trop puissant quand ça sort !

Nous partons alors tous les deux dans un grand éclat de rire, avant de nous lover ensemble dans un câlin réparateur … la nuit n’est pas finie

 

 

Librement inspiré et très largement personnalisé, à partir d’un texte de Vincent - Merci

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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