Nous vous avons voilà quelques jours présenté le texte de Florence ‘’Florence et Denis ... de franches similitudes !’’, qui racontait comment elle avait cédé à son fantasme, ou peut être plutôt, consentante, à celui de son coquin de mari ...
Voilà la suite …
Le fantasme de mon mari avait réveillé en moi la femme amante et j'avais du mal à me reconnaître.
A peine réveillée le dimanche matin, mon esprit batifola entre réalité et rêve. Pouvoir retrouver le plaisir de la séduction avec un homme jeune et fort mignon, le tout devant son mari et avec son assentiment, est vraiment un plaisir que je souhaite à toutes les femmes.
J'ai passé une bonne partie de la matinée à flemmarder au lit en parcourant ma chatte de mes doigts. Rejoignant la cuisine, je retrouvais Denis qui semblait aussi d'excellente humeur. Un gros bisou dans le cou suivi d'une caresse sur mes fesses … je n'avais pas senti de si gentils gestes un dimanche matin depuis longtemps !
Je fis remarquer à Denis que la soirée avait vraiment un effet très agréable, marquées par ses petits gestes et ses marques d'amour.
Nous avons passé la journée complète à reparler de la soirée et à faire l'amour, puis nous retournâmes chercher notre bout de chou
Lundi matin, après avoir emmené ma fille à l'école, je me surpris : mes pensées allaient à mon amant.
Je vérifiais mon téléphone et commença à attendre fiévreusement son appel.
Cette attente paraissait interminable et n'y croyant plus, c'est le lendemain vers 16h que retentit le ding d'un texto.
Étant relativement à l'écart des regards au bureau, je sautais sur mon téléphone et tremblante, j'ouvris le sms.
« slt kokine tu te souviens? »
Quelle question, je n'avais pensé qu'à ça depuis 2 jours !
Je décidais de me faire un peu désirer mais n’y pouvant plus, très vite repris le telephone et tapais ma réponse.
« gros gros bisous … appele moi a 18h j'attends ta voix kokin »
Immédiatement, je reçus
‘’Ok, cokine ..’’
17H45 je file dans ma voiture et je choisi d'aller attendre l'appel sur un parking proche.
J'ai le ventre qui me brûle, j'attends sa voix ses mots mais l'attente n' est pas longue et la sonnerie me sort de mon rêve.
La voix de Nico est toujours aussi craquante et, complètement hypnotisée, je réponds à toutes ses questions même les plus osées,
La seule chose que je dois lui refuser est de le rejoindre chez lui malgré son insistance puis je rentre à la maison.
Une fois Camille au lit, je rejoins Denis au salon et lui parle de mon coup de fil de l'après-midi. Un peu surprit, Denis me demande comment il a eut mes coordonnées si vite.
Cette question me soulage et je peux enfin avouer lui avoir donner mon numéro samedi soir. Denis ne laisse rien paraître mais je sens que le fait que je m'attache au jeu et à un partenaire en particulier ne devait pas être prévu.
Après un long blanc, j'ajoute que si nous voulons aller plus loin, ce sera avec Nico ou rien. Denis semble pensif, puis me regarde en disant que la soirée de samedi a réellement été une expérience qu'il souhaite renouveler. Qu'il comprend que je souhaite éprouver du désir dans ces rencontres mais aussi qu'il a un peu peur pour notre couple. Que je me lie avec ce Nico ne le gêne pas si rien ne nuit à notre couple et si je ne le lui cache rien.
Me sentant un peu fautive pour le téléphone, je lui demande pardon en lui promettant que ce serait la dernière fois.
Très excitée, je lui avoue l'invitation pressante de mon amant cet après midi et mon envie de le rejoindre un soir, avec sa permission. Denis comprends notre envie commune et me permet de passer le voir à la seule condition d'être prévenu et que je lui raconte tous les détails en rentrant. Ces mots me rendent folle et nous sommes partis nous coucher tôt sans pour autant dormir tout de suite ….
Le lendemain, Nico m'appela vers midi pour me souhaiter bonne journée et d'autres mots plus personnels. J'attendais son invitation avec impatience mais elle ne vint pas. Il devait partir en début de soirée sur Paris pour son travail. Je lui ai demandé s'il était fâché que je ne sois pas passé la veille et je fus contente d'apprendre que nous pourrions nous voir le lendemain si j'étais disponible.
Le soir j'ai fais part à Denis de cette invitation en lui demandant s'il voulait toujours jouer.
Son sourire coquin m'a rassuré sur ses intentions et pour en avoir le cœur net, j'ai appelé Nico devant lui. La conversation fut brève, mais sans quitter Denis du regard, je lui ai dis que je m'étais arrangé pour mercredi et que s'il le souhaitait, je lui réservait la soirée.
Nico accepta et me donna rdv dans un pub vers 20h00.
Le téléphone posé, Denis me serra dans ses bras et nous avons beaucoup parlé ce soir là, des risques de notre petit jeu mais aussi du plaisir que cela nous procurait.
Le mercredi a passé très lentement pour ma part. Rentrée à la maison, j'ai préparé un dîner sympa pour ma puce et mon homme avant d'aller me préparer.
Je choisit un ensemble de lingerie gris bleuté très classe, une jupe damier en tweed, un pull très échancré bordeaux et des escarpins, le tout faisait très BCBG.
Puis je me suis maquillée et parfumée. La porte s'ouvrit lorsque je finissais.
Denis me regarda et me sourit. Je ne souhaitais pas parler de la soirée, alors, sans un mot je l'ai embrassé et lui ai dit « bonne soirée » comme si de rien était.
Arrivée devant le pub, j'ai hésité un peu avant d’en pousser la porte. Mon ventre était en transe mais j'avais peur des lendemains. Prenant mon courage a deux mains et guidé par la tentation, je suis entré.
Nico était déjà là et sourit en me voyant entrer. Je l'ai rejoint. Arrivée à la table, j'ai hésité un instant avant de lui faire un smack. Il a remarqué cette hésitation et m'a demandé si j'avais tenté de l'embrasser à pleine bouche. Nous avons rit et je me suis assise à coté de lui.
Après ses compliments sur ma tenue, nous avons discuté en buvant quelques verres et en dégustant des tapas … ses mains caressaient mes cuisses et je me donnais discrètement à ses caresses. Il joua un instant avec l’attache d’une jarretelle qu’il avait senti sous ma jupe, mais – à mon grand regret car j’étais réellement autre à ce moment, bouillante .. – il ne vint pas glisser sa main dessous ! Il me félicita toutefois de nouveau, cette fois pour la beauté de ma lingerie que sa découverte lui laissait imaginer … Il me demanda ‘’C’est pour moi …’’ Je sais que si je ne répondis pas, ma gène de petite fille prise en faute valait tous les assentiments !
Au bout d'une heure environ, il m'a proposé d'aller chez lui … ce que j'attendais depuis déjà un moment.
Je lui ai dis oui et je me suis levée pour montrer ma volonté. Il habitait à deux pas et nous nous y sommes rendus à pied.
Au coin de la rue il me prit dans ses bras et m'embrassa à pleine bouche. J'attendais ça depuis samedi, … j'ai failli m'évanouir . Il embrassait divinement bien.
Puis nous sommes arrivés chez lui et il me fit m'asseoir sur le canapé. Son appart’ était petit, mais très bien décoré et chaleureux.
Nico apportait quelques apéritifs et s’assit à coté de moi. Puis, après qu’il m’ai servi et alors que nous trinquions, de sa main libre, il vint sur ma cuisse et me dis à l'oreille ‘’t'es encore plus bandante que je ne pensais et me rappelais. J'aime bien les petites bourgeoises qui se la joue un peu pute ici ‘’ Ses mots étaient crus ! C’était comme quitte ou double … j’aurais pu me sentir blessée d’être ainsi comparée … mais il avait fait Double !
Ses mots me firent chavirer. Je l'embrassais fougueusement : nos langues se cherchaient et se collaient. Sa main remontait sur les bords de mes bas et continuaient vers mon string et sa respiration s'accentuait.
Je lui répondit ‘’ tu l'as pour toi ce soir, ta petite pute. J'ai attendu trop longtemps ‘’. Je ne me reconnaissait pas, et ses yeux pétillaient, un brin égrillards. Ses mains remontaient cette fois sous mon pull qui, vite est passé sur ma tête et a rejoint le sol. Je me laissais déshabiller, caresser, peloter comme on aurait dit quand j’avais 15 ans
J'étais sa chose, je lui appartenais, j'avais envie de lui, de sa queue . Comme s’il avait lu en moi, il a empoigné mes cheveux et comme cela, a dirigé ma tête, me poussant à m’incliner, vers son sexe. Je me suis mise à genoux entre ses jambes et j'ai défait sa braguette … je n'avais que ca en tête.
J’ai sorti son sexe qui a jailli comme un diable de sa boite, et l'ai prit en bouche. Il me tenait les cheveux, faisant aller et venir ma tête et me lançait. « Bouffes moi la queue, salope ».
Je n'étais plus moi même et je dévorais sa queue comme jamais encore je ne l'avais fait.
Il se leva et fit descendre son pantalon qui rejoignit mon pull puis m'ordonna de m'occuper de ses couilles puis de son cul ce que je fis d’une main un peu coquine, sans rechigner. Puis, il me fit relever et dégrafa ma jupe.
Je finis de l'enlever l’enjambant quand elle tomba sur mes chevilles et je me retrouvais en dessous sexy devant l'homme à qui je savais ne rien pouvoir refuser.
‘’ Tu es sappée comme une belle petite salope, tu le sais? ’’
‘’ oui, je savais que tu aimerais. ‘’
Il me prit par la taille et me renversa dans le canapé. Il continua mon effeuillage lentement entre caresses, baisers et insultes.
Je me suis vite retrouvée nue, débarrassée de mon SG et de mon string, seulement habillée de mes bas, de mon porte jarretelles et de mes escarpins.
Il me tendit une capote en m'ordonnant de la lui mettre. Puis après qu’il m’eu fait mettre à quatre pattes sur le canapé, je sentis son sexe me pénétrer en levrette.
Il était violent et ses coups me projetaient en avant contre le dossier. Ma chatte était remplie et je le sentais buter en moi à chacun de ses mouvements. Je sentis un doigt caresser mon anus et il ajouta « Tu aimais ca samedi. Tu aimes toujours? »
Sans acquiescer, mais sans montre d’opposition, je le laissais s'introduire en moi par là aussi et il continua à me caresser. Sa bite dans ma chatte et ses doigts me laissaient sans voix. J'étais sa chose, sa pute.
Soudain il se retira et posa son gland sur mon anus.
‘’ Je veux t’entendre me dire que tu aimes ca ‘’
‘’ oui, j'aime ca ‘’
‘’ MIEUX QUE CA PUTAIN ‘’
‘’ Oui Nico, j'aime ca ! encule moi fort ’’
Il s'enfonça en moi doucement, prenant soin de moi ce que j’appréciais tant je redoutais le contraire au timbre de sa voix et aux mots employés. Un fois entré, il fit une pause puis à ma demande, repris le mouvement. Il me pilonna fort, en m'insultant et en me tirant parfois par les cheveux pour me cambrer sur sa queue.
Au bout de quelques minutes, il se retira et me fit mettre à genoux devant lui en retira la capote.
Machinalement, je me mis à sucer sa queue, vraiment comme une salope avide de sexe toujours, malgré et peut être grâce à ses commentaires crus. J’étais, je l’ai déjà dit, transformée, sans aucun tabous … libéré peut être du rôle social que je tenais vis-à-vis de mon mari … de certaines habitudes, …
Sentant son plaisir monter, il me tira en arrière puis déversa son sperme chaud en longues giclées sur ma bouche, mes joues et mon front. Après quelques secondes où il reprit ses esprits, j'étais encore a ses genoux nettoyant méthodiquement son sexe qui avait réduit et que je tenais entièrement en bouche quand il me dit
‘’ J'ai jamais vu une salope comme toi. Ton mari a de la chance ‘’
Je me suis allongée sur le canapé puis nous avons parlé. Je lui ai raconté pourquoi j'étais là, le samedi soir en boite, mon mari voyeur et un brin pervers.
Il fut un peu surpris puis trouva le délire très excitant et se proposa de participer au plaisir de notre couple.
La soirée continua et il me reprit encore une fois toujours dans tous les orifices, toujours très fort avant de finir cette fois, entre mes seins.
Désirant que mon mari puisse vérifier que sa femme avait bien été la salope attendue, il m'essuya avec mon pull. Après quelques câlins, il m'invita a rentrer à la maison tout raconter à Denis.
Rentrée à la maison Denis n'était pas couché. Il se leva du canapé et vint me rejoindre. Je filais dans la chambre un peu gênée. Denis entra et m'embrassa. Je sentais le sexe et des traces de sperme collé couvraient mes joues et mes cheveux.
Il les remarqua, je pris sa main et la posa sur mon pull souillé. Sans un mot il m'embrassa et me demanda de lui raconter. Assis sur le lit, je lui racontais ma soirée dans tous les détails.
Au fil de mon histoire il me caressa et voulu me prendre. Je lui proposai de prendre une douche d'abord, mais il ne m'écouta pas et souhaita me prendre encore couverte des traces de mon amant.
Ce fut encore une fois à la maison une débauche de sexe et épuisée, après au moins 4 orgasmes cette soirée là, je filais me doucher et m'endormis comme une masse.
Nous décidâmes toutefois de ne pas poursuivre immédiatement …Je craignais que mon fougueux amant déconcerté par ce qui lui avait été offert si vite, ne me juge trop rapidement et considère qu’il pouvait tout attendre de moi … je craignais ses réactions, d’éventuels débordements, vantardises, que sais-je …. Je lui expliquais, Il fut bien sûr déçu, insista, mais avec tact sut se montrer respectueux de notre décision et évita de nous importuner. Je lui en suis reconnaissante.
Nous l’avons revu entretemps, cette fois en trio, et de manière plus ‘’conventionnelle’’
Belle histoire, non !?
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