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Bonjour ! Vous êtes nombreux, coquins et coquines a être venus vous encanailler ici ! On espère que celà vous plait. Enthousiastes ou décus, dites le nous ! Un comm' ne prend que quelques secondes, mais c'est notre carburant et le moyen de s'améliorer. Biz

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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


Si les personnes possédant les copyrights sur les photos ou les textes ne souhaitent pas les voir figurer dans ce site, qu'elles nous préviennent, nous les retirerons.
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 08:39

Une petite anecdote, que nous avons un peu mise en page et corrigée ( !), car telle quelle, elle n’était pas publiable …

Ce n’est pas forcement le style du blog (encore que ! y’en a-t-il vraiment un ! ?), mais nous la publions car elle représente un clin d’œil dans laquelle Martine (si tu nous lit comme dirait Michel Druck..) se reconnaitra  !!!

 

 

Un jour, une de mes voisines, à peu près mon âge, la vingtaine, me demande, si je veux bien la conduire voir sa mère a l'hosto !

 
ok ! En cours de route, elle me demande combien je lui prendrais pour ce service


Mais rien !  pour 20km ! ou alors tu me feras une petite gaterie au retour …

 

Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai dit cela légèrement, sur le ton de la plaisanterie!

 

Après avoir visité sa mère, en faisant court de peur de trop me faire attendre, elle ressort.


Et nous voila repartis … alors que nous quittons la ville, et nous engageons en campagne,

allez ! au boulot dit-elle tout de go,

 

Et la voilà qui me déboutonne la braguette !


mais !!? !!!

 

pas de mais, chose promise chose due

 

et elle sort ma bitte, qui était déjà bien dure.


Tout en roulant, elle me branle, et me dit

 

Cherche un coin tranquille !

 

Un petit chemin forestier se présente : je m'y engage et au premier detour,  je stoppe la voiture

 

Hum,  la garce elle savais y faire … elle en voulait, j’allais lui en donner


Viens on va se mettre sur le siège arrière, nous serons mieux, je pourrais te peloter la chatte ...


Moi assis, elle a quatre pattes sur le siège, sa culotte baissée, elle continue me branler et me sucer …


Moi je lui introduis deux doigts dans la chatte en passant ma main sous son ventre … C’est trop  bon et après quelques mn de ce traitement, je ne tarde pas à lui lacher ma semence dans la bouche.

Après avoir joui, je suis descendu de la voiture et lui ai dit de rester dans la même position, j’ai contourné la voiture ouvert la portier derrière elle et lui fais minette … elle gémissait, et je passait de temps en temps ma langue sur son anus, quant elle me dit

 

Regarde là !  Devant nous !

 

Effectivement, deux mecs étaient occupés a se branler en nous matant


Elle les a regarder jouir  et cela a du décupler son excitation car elle n’a pas tardé à jouir elle aussi, plaquant la vulve contre mon nez et ma bouche.

 

C’était super ! Nous avons souvent recommencé ...

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 02:59
Très beau texte que nous devons à Marie Christine, à qui nous temoignerons nos remerciements et que nous vous livrons sans aucun ajout, ni correction ...

Il nous plait tellement comme ceci !

J’ai découvert il y a quelques semaines votre site, sur lequel je viens lire tous les jours. Je sais bien que l’imaginaire y tient une grande place. Je suis toutefois étonnée que les histoires d’échangisme, de cocufiage et autres variations sur le couple tiennent une part aussi vaste dans le contenu des textes. Mon modeste exemple témoigne pourtant qu’on peut vivre une sexualité épanouie, voire débridée, dans le contexte le plus classique de la vie à deux. Je m’appelle Marie-Christine (mais mes amis m’appellent Maguy), j’ai 49 ans, je suis mariée depuis vingt-cinq ans, j’ai une fille de 22 ans, je travaille et d’un certain point de vue, j’ai une vie tout à fait ordinaire. Et pourtant, avec mon mari, nous vivons le sexe comme peu de gens qui restent confinés dans leur train-train.


À dire vrai, notre sexualité n’a vraiment décollé qu’il y a quatre ou cinq ans, quand notre fille a quitté le foyer familial pour poursuivre ses études dans une autre ville. Nous nous sommes retrouvés face à face et nous avons compris que nous risquions de tomber dans la routine et dans la paresse sexuelle, laquelle annonce le vieillissement. Nous avons alors décidé qu’il était temps de vivre pleinement notre vie de couple avant que les effets de l’âge ne nous atteignent.


Tout a commencé un samedi soir quand mon mari m’a proposé de regarder une vidéo porno qu’il avait louée. Je ne suis pas bégueule, mais sa démarche m’a surprise : c’était pour moi le signe d’une libido en berne et j’étais assez réticente.

On regarde le début et si ça te déplaît, on arrête tout, me dit-il.

J’ai toujours aimé faire l’amour mais la vision de ces copulations sportives, presque féroces, fut pour moi une révélation. Ce festival de fellations, de sodomies, de partouzes, me remua tellement les entrailles que je ne pus m’empêcher de mettre la main entre les jambes de mon mari. La suite, vous la devinez : nous nous sommes mis entièrement nus et nous avons copulé comme de jeunes fous sur le canapé du salon en jetant parfois un œil sur la télé restée allumée. J’étais surexcitée et mon mari eut toutes les peines du monde à ne pas éjaculer précocement. Nous nous sommes couchés crevés, mais heureux.


Le lendemain matin, nous décidâmes de renouveler l’expérience et la séance vidéo du samedi devint la règle, suivie de la même partie de jambes en l’air. Parfois, les films étaient franchement décevants et nous les abrégions pour passer à l’acte.


Pris d’une frénésie de bricolage, mon mari décida d’équiper notre maison de plusieurs miroirs : trois dans la chambre dont un au plafond, un dans le salon près de la TV. Nous étions devenus nos propres voyeurs. Je jouissais de voir ses petites fesses en mouvement pendant qu’il me besognait et lui s’excitait de voir mes seins ballottés par ses coups de boutoir ou de découvrir mon visage marqué par le plaisir quand il me possédait par derrière. Nous étions comme deux jeunes gens qui découvrent l’amour. Nous décidâmes de perdre du poids, quoique je tenais à conserver mes rondeurs de femme mûre. Il s’inscrivit dans une salle de gym pour retrouver sa tonicité musculaire, si bien qu’il devint de plus en plus sec, de plus en plus dur, de plus en plus endurant. Je devins folle de son corps.


Je pris goût à des jeux qui, jusqu’alors, relevaient de l’exception. Je raffolais de la fellation et après quelques réserves, décidais d’avaler le sperme quand parfois mon mari ne pouvait se retenir. J’apprécie désormais sa chaude saveur salée. Je découvrais aussi la sodomie, après l’avoir longtemps repoussée. J’en suis même devenue une prosélyte auprès de certaines collègues de travail suffisamment intimes pour que nous nous racontions nos ébats amoureux. Elles sont d’ailleurs étonnées de constater à quel point je verbalise facilement le sexe, moi qui étais alors discrète sur le sujet. Pour les plus jeunes, je suis devenue un exemple à suivre et un réconfort pour l’avenir.


Après le tournant cité plus haut, mon mari a eu envie de m’entraîner dans des expériences diverses, constatant mes bonnes dispositions. Notre jeu favori consiste à faire l’amour dans des endroits un peu incongrus plutôt que de nous accoupler systématiquement dans le lit conjugal. Parfois, quand nous allons au restaurant, à la fin du repas, nous nous donnons rendez-vous dans les toilettes pour dames. Nous nous sommes déjà bien préparés en nous masturbant mutuellement sous la table. Notre excitation est telle qu’il n’y a pas besoin de préliminaires. Je pose culotte et mon mari-amant me prend en levrette pour une pénétration brève mais fougueuse et intense, Orgasme garanti. Le plus difficile est de ne pas crier trop fort…


Un autre de nos plaisirs est de faire l’amour en pleine nature. On gare la voiture, on emporte un drap dans un sac et nous nous suçons, nous nous léchons et nous nous mangeons sous les arbres avant de nous délivrer de nos désirs par une pénétration très attendue par l’un et l’autre. Ces ébats bucoliques nous ont fait un bien fou. Mon mari est davantage capable de maîtriser son sperme. Quant à moi, j’ai d’abondantes sécrétions et je n’hésite plus à m’exprimer de manière très crue pendant que mon mari me fouille inlassablement.


Un jour d’été, nus sur une plage de l’Atlantique, nous avons observé un couple en train de faire l’amour sans la moindre gêne, et l’envie nous est venue aussitôt de les imiter. Nous sommes montés sur une dune à l’abri des regards, du moins le croyions-nous. Car à peine avions-nous entrepris notre 69 favori qu’un voyeur est apparu. Je le vis la première, étant sur mon mari, mais je poursuivis ma succion comme si je n’avais rien vu. C’est alors que je remarquai que le voyeur avait sorti un téléphone portable. Je l’interpellai avec vigueur :

Regarde si tu veux mais pas de photo !

Mon mari s’étant levé, l’autre détala sans demander son reste. N’empêche que je venais de faire une autre découverte : j’avais aimé être regardée en train de faire l’amour…


Pour nous, l’ingrédient principal de nos rapports est la surprise. Un après-midi que je ne travaillais pas, alors que je me promenai en ville, je sortis mon téléphone portable et tint ce langage à mon époux

Chéri, je fais les boutiques, je suis toute nue sous ma robe, j’ai envie de toi maintenant, tout de suite, dans ton bureau ; si tu veux j’arrive et tu as intérêt à être à la hauteur.

Cinq minutes après, je passai devant les secrétaires et entrai dans son bureau qu’il ferma à clé après avoir donné les consignes : « Don’t disturb ! ». Nous fumes nus en dix secondes et après un rapide 69 sur la moquette, il me posséda avec vigueur sur le fauteuil réservé aux visiteurs, un coup à l’envers, un coup à l’endroit. Je retins mes cris le plus longtemps possible mais à la fin, ce fut plus fort que moi, je laissai échapper un miaulement parfaitement explicite. Quand je sortis du bureau, les secrétaires me regardèrent par dessus leurs lunettes et je passai devant elles avec la fierté de la femelle magnifiquement honorée par son mâle. Je l’avoue, je n’étais pas mécontente de leur avoir montré que je restais la destinataire prioritaire de la virilité de mon mari.


Ce goût retrouvé du sexe nous a parfois mis dans des situations délicates. Un jour, alors que je faisais la cuisine pour le déjeuner, mon mari passa derrière moi pour m’embrasser dans le cou, empaumer mes seins, titiller leurs pointes et me faire sentir son pénis raidi sur mes fesses que j’ai charnues.

J’ai envie de te baiser ici, sur la table, tout de suite, me dit-il.

Je n’étais pas prête du tout à ça, occupée que j’étais à touiller dans une marmite, mais quand mon mari mit son doigt dans ma fente et mon anus, je craquai complètement. Je fis passer ma robe par-dessus ma tête, me débarrassai de mon slip et de mon soutien-gorge, et m’étalai sur la table, cuisses grandes ouvertes, offerte, cependant qu’assis sur une chaise, nu lui aussi, il plongeai son mufle dans mon bas-ventre déjà trempé. Quand il me pénétra, je jubilai tellement que je me mis à crier « oh oui ! Oh oui ! » pour célébrer sa puissance. C’est alors qu’avec stupéfaction, je vis derrière lui notre voisine sur le seuil de notre cuisine, avec un panier rempli des pommes de terre de son potager qu’elle était venue nous offrir. Elle avait confondu « oh oui ! »« oh oui, entrez ! ». Mon mari n’avait rien vu et continua à me pilonner en m’écartant les cuisses pendant que la voisine, cramoisie, battait en retraite en s’excusant. Mon orgasme fut particulièrement violent ce jour-là, à la grande joie de mon mari qui n’apprit que plus tard l’incident. Dans l’après-midi, je rendis visite à la voisine, une dame charmante qui comprit la nature du malentendu… et m’avoua avoir envié ma situation, si bien qu’une vraie complicité est désormais établie entre nous.


Une que notre épanouissement sexuel a surprise, c’est notre fille. Elle m’a souvent demandé pourquoi je me mettais à porter des vêtements beaucoup plus « sexués » que par le passé, notamment des décolletés profonds mettant mes seins en valeur ainsi que des sous-vêtements coquins.

Tu n’aurais pas un amant, par hasard ? me demanda-t-elle un jour.

SI, et tu le connais bien : c’est ton père, lui répondis-je.

Elle comprit quelques jours plus tard ce que je voulais dire. Venue dormir à la maison avec son petit ami, elle occupait une chambre contiguë à la nôtre. Rentré tard, le jeune couple ne put s’empêcher de faire l’amour et ma fille se laissa aller à un orgasme particulièrement sonore, ce qui nous réveilla, mon mari et moi. Au matin, nous décidâmes de donner une petite leçon aux tourtereaux qui dormaient profondément. Je réveillai mon mari en douceur par une fellation qui le mit rapidement à une longueur plus que satisfaisante et je me mis à le chevaucher en faisant bien craquer le lit par d’amples ondulations de mon bassin et en commentant mon plaisir autant que sa performance. Stimulé, il m’informa clairement qu’il allait me sodomiser (en fait, il exprima un terme beaucoup plus cru) et je me mis à bramer de plaisir sans retenue. Plus tard, au petit-déjeuner, ma fille me prit en aparté :

Bon, j’ai compris la leçon, ce n’était pas la peine d’en rajouter, vieux cochons que vous êtes.

Mais depuis ce jour, notre futur gendre voue à son beau-père putatif un respect certain, et à sa belle-mère une considération amusée…


Comme tout un chacun, nous nous livrons peu à nos jeux pendant une semaine consacrée au travail et qui nous laisse le soir dans un état peu favorable à l’expression de la sexualité. Nous nous rattrapons le week-end et surtout pendant les vacances. Sur la route de notre villégiature, au lieu d’aller au restaurant ou au self-service, nous nous échappons pour pique-niquer dans un coin tranquille. Après le déjeuner, nous nous offrons une petite sieste crapuleuse qui nous permet d’attaquer la suite du parcours parfaitement détendus. De même, durant nos randonnées, nous nous accordons une halte pour assouvir nos désirs sous le soleil. C’est un moment d’intense volupté.


Chaque année, nous passons une petite semaine sur un bateau (un petit quillard avec un habitacle et une couchette) prêté par des amis en Méditerranée. Ce sont des jours d’un érotisme intense, pour peu que le soleil soit de la partie et que la mer soit calme. Nous vivons nus à bord. Mon plaisir est d’être prise par derrière, les yeux face au grand large pendant que mon homme me rend hommage. En rentrant au port, nous avons été abordés par un couple qui nous avait observé à notre insu avec des jumelles. Il voulait nous inviter chez eux pour une partie à quatre mais nous avons refusé. Mon mari était même assez en colère du procédé.


Un jour, mon mari me demanda si je ne serais pas tentée par une expérience échangiste. J’avais moi-même été sollicitée par une collègue particulièrement délurée, à laquelle j’avais eu l’imprudence d’avouer le plaisir que je prenais au lit avec mon époux. Je lui avais alors répondu :

Pourquoi veux-tu que j’aille vers des hommes dont je ne suis même pas sûre qu’ils seront assez raides à mon goût ? Pourquoi veux-tu que j’aille vers des queues gainées de latex alors que j’en ai une bien chaude, bien nature et bien consistante à ma disposition 24 heures sur 24 ?

J’ai fait la même réponse à mon mari. Je ne dis pas qu’un jour, peut-être… Mais en attendant, vive le duo légitime !


et nous qui voulions franchir le Rubicon et nous encanailler avec d'autres ... ! :)
Nous ne pouvons attendre que la petite dernière quitte la maison ... !!!

Qu'en pensez-vous ?

Par Libertins49 - Publié dans : Libertins Angers
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 02:45

Histoire librement romancée …

 

 

Récemment, nous avions confié les enfants à d’autres et avions décidé une soirée en amoureux. En fait, nous souhaitions prendre du plaisir et avions rencontré un charmant jeune homme, avec qui nous conversions depuis quelques temps … Il était convenu que nous dinions seuls mais que nous le retrouvions dans un petit night club du centre d’A….

C. s’était faite particulièrement belle, très classe et le brin aguicheuse qui sied aux belles femmes, d’un âge ‘’certain’’,  qui assument tellement bien leur féminité … Belle tenue (elle m’avait refusé de voir ses dessous, prétextant une suprise), mais petite robe, bas (je ne peux imaginer autre chose ce soir là …), belles bottes « Mousquetaire », maquillage discret avec pointe de rouge à lèvre grenat et vernis assorti … sans oublier la petite touche de Parfum qui envoute et vous fait ''partir'' …

Le repas fut délicieux, et nous passames un très bon moment, mélant conversations coquines et discussions à batons rompus … nous étions souvent les yeux dans les yeux, nos deux bras s’étant rejoint sur la table et nos doigts entrelacés … Bref, le bonheur …

C. me fit effectivement une surprise quand, avant que nous ne partions, elle me dit devoir aller aller aux toilettes … son grand sourire me laissa à penser qu’il n’y avait pas que l’envie pressante de se soulager, et effectivement la coquine revint un poing fermé, et venant vers moi, entrepris de me glisser ce qu'elle y cachait, à savoir son tanga rouge qu'elle disposait en pochette sur le devant de ma veste … le pire est qu’elle ne s’y prit pas si mal, et que le satin du fond pouvait de loin et avec l’ambiance tamisée preter à confusion … elle était manifestement contente de son coup !

Je reglais et nous partimes … en chemin, je me plu à profiter de cet adorable coquillage qui m’étais ainsi offert … Elle mouillait intensément, et entre caresses et evocation de notre rencontre à venir, était toute émoustillée.

L’homme que nous devions rencontrer s'appellait Olivier . Il plaisait bien à C. sur photos, et nous n’eûmes aucune peine à le trouver, il était quasi seul à l’exception de deux couples, manifestement habitués, qui se connaissaient, et partirent assez vite.

Très vite, et après que nous ayons trinqué ensemble avec des cocktails qui, le vin du repas aidant, tournèrent assez vite la tête de C., nous nous retrouvâmes assis à l'étroit autour d'une table, à faire plus amplement connaissance !

Olivier fut surpris, caressant les fesses de C. qui ne portait donc plus rien sous sa petite robe de la sentir ainsi offerte. Aussi, assez vite, il s’enhardit et se mis a lui caresser le sexe, avant d’aller la fouiller de ces doigt. Après avoir un temps dégusté cet instant, je m'y suis mis aussi. C. mouillait comme une fontaine et écartait les cuisses de plus en plus.

Nous avons cherché à  rester discret mais le serveur qui nous amenait régulièrement à boire a bien vite repéré nos mains sous la robe de ma chérie, et m’a glissé un clin d’oeil. Le peu de monde qui était là est parti (c'était un mercredi soir) et C. s'est laissée faire lorsqu'Olivier s'est mis à l'embrasser sur la bouche, elle qui d'habitude n'accepte que mes baisers.

J'étais aux anges. C. s’est mise à masser la bosse qui ornait le jean d’Olivier et très vite lui extirpa la queue et se pencha pour le sucer.

Je continuait à lui fourrer la chatte par derrière avec mes doigts : elle gémissait de plaisir, à moitié étouffée par le chibre qu’elle avait en bouche.

Le serveur, ne perdant pas une miette, est venu s'assoir pour regarder. Très vite, lui aussi s'est enhardi , s'est levé et s'est mis à caresser les fesses de ma chérie avec moi. Je lui ai cédé la place et il s'est pas gêné pour retrousser complètement la robe de C et à genoux sur la banquette, a commencé à lui lécher la chatte et le cul.

Olivier s'est lui aussi allongé sur la banquette pour être plus à l'aise et C. s’est positionnée en levrette pour le sucer comme elle le fait si bien. Elle s’offrait ainsi pleinement au serveur.


J'ai alors sorti des capotes que j'ai donné au serveur, un garcon d’une 30aine d’années (Olivier nous avait dit avoir 41 ans, C . 37).  Il a vite saisi le sens de l’invitation, a dégrafé et descendu son pantalon et a mis une capote sur une fort belle queue !

Cette coquine et gourmande de C. n'avait toujours pas levé la tête, mais comprenant ce qui se tramait dans son dos, glissa une des ses mains sous son ventre et nous vimes alors sa main s’agiter sur son sexe. Le jeune serveur s’est positionné derrière elle, et c’est C. qui se saisissant du sexe tendu, l’a fait glisser dans sa chatte. Il s’est mis à la limer doucement et profondément pendant un bon moment. J'ai sorti ma queue pour me caresser car c'était très excitant d'entendre ma chérie gémir sous les coups, avec une autre verge dans la bouche. Puis Olivier sentant vraisemblablement son plaisir montrer, s'est retiré, a enfilé une capote et est venu derrière elle … Gentleman, le serveur compris qu’il fallait céder la place, ce qu’il fit naturellement. Je m’approchais du visage de ma chérie, et c'est enfin moi qui mit ma queue entre ses lèvres. J'ai assez vite demandé au serveur de prendre le tube de gel dans la poche de ma veste (nous en avons tjrs un, lorsque nous sortons) et tandis que C me pompait et qu'Olivier la besognait, je me penchais sur son dos pour, tendant la main, venir enduire la raie … rapidement, je lui doigtais l'anus pendant qu'elle poursuivait sa fellation en ahanant et qu'Olivier s'en donnait à cœur joie dans sa chatte béante qui parfois laissait entendre des bruits de clapotis ….
Il a vite compris et a assez vite, présenté sa queue devant l'anus de ma chérie. C’est moi-même qui saisissant sa hampe, le guida en elle … C’était jouissif ! Il entreprit de la  pénétrer doucement, et j’adorai quand après une poussée délicatement jaugée, le gland fut d’un seul coup comme aspiré dans les tréfonds des reins de C.   Olivier, connaisseur, s’immobilisa avant de reprendre lentement sa poussée. C. se tordait de plaisir. Je dis à Olivier de continuer à y aller doucement et peu à peu sa queue s'est mise à glisser délicieusement entre ses petites fesses ;  J'avais une vue imprenable. Il la tenait une main sur les hanches, l'autre par dessous pour lui caresser, avec elle dont la main était toujours là, le clito et la vulve. Ce fut tout aussi jouissif de passer ma main sur les deux leurs réunies, leurs doigts se retrouvant en un ballet coquin. Ma chérie a joui très fort et nous a alors demandé de nous arrêter. Aucun des 3 hommes n’avaient encore joui.

 

La suite si cette histoire vous plait ….

 

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 11:33
Savez-vous jouer aux échecs ?

Nous, un peu ... Plus exactement, c'est le manque de pratique qui nous a fait perdre l'entrainement intellectuel et tactique que ce magnifique jeu requiert.


Nous avons toutefois découvert, aux hasards de nos périgrinations, une jeune professeure ...

Elle n'a qu'un défaut, parmi ses nombreuses qualités : elle reçoit parfois de manière un peu légère et il est alors difficile de se concentrer sur le jeu et son déroulement ...

Elle est très forte, et jamais nous n'avons gagné !  Manque de concentration, nous reproche t'elle !

Peut être ...






Bisous !
Par Libertins49 - Publié dans : Autres ...
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Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 02:02
Allez, tout est dit dans le titre !!





Et vous, vous aimez !?

Biz et bonne semaine ...

Il semble que la video ne passe que sous Mozilla (Firefox) et rencontre des bugs avec MS Internet Explorer .. si c'est le cas, essayez ce lien
En espérant qu'il vous permette de voir ce que nous voulons partager ...
Par Libertins49 - Publié dans : Autres ...
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