Rappelez-vous, dans un précédent message, je vous parlais de cette aventure naissante avec Tony, jeune homme recontré à l’improvite … vous avez été nombreux à demander, voire exiger la suite … certains avec des photos … vos vœux seront exaucés
Comme promis, et avant le w-end propice à de belles coquineries, voilà la suite :
… Nous continuâmes sur Angers.
Un long silence s’instaura, mais de temps à autre, nous échangions des regards lourds de sous-entendu, très doux, un peu rieurs …le charme continuait à opérer … ce Tony était vraiment craquant !
Alors que nous avions repris l’autoroute et que son billard anthracite se déroulait devant nous il m’intima soudain :
- Donne moi ta culotte !
Sa voix ne souffrait aucun refus … ce petit c.. me soufflait ! Quelle audace !
Je le regardais, interloquée !
- Mais ! Tu es fou ! D’abord je ne peux pas, et puis qui te dit que je vais t’obéir !?
- Ce ne sera pas facile, certe … mais tu vas me la donner car comme pour moi, je suis sur que cela t’excite … et il laissa planer la fin de sa phrase
Le pire est qu’il avait raison ! Je décidais de moi aussi jouer avec lui et plantait rapidement mon regard dans le sien
- Soit ! je ne te promets rien mais je veux bien essayer
Seul son sourire, enjôleur et qui faisait remonter ses pommettes, et le brillant de ses yeux me répondirent … ce petit S…d me faisait mouiller ! Je ne me reconnaissais plus … Je pensais à F … il aurait été bluffé de la rapide conversion de sa petite femme qui montrait tant de réticence à ce fantasme, faite d’abord d’appréhension face à cette rencontre de tiers … Nous en avions souvent parlé, et il m’avait aidé à démystifier …et là, devant cette opportunité qui s’était déroulée finalement assez naturellement, je craquais … Que devait penser ce jeune homme … je me comportais vraiment comme une femme facile … oh, et puis zut !
Je tentais, par des déhanchements successifs, d’une fesse sur l’autre, de faire glisser mon tanga … pas facile déjà en tant que passagère (nous pratiquons parfois avec F, trop rarement à son gout … enfants oblige), mais là franchement mission impossible en conduisant, limite dangereux ! Je me retrouvais dans une situation certainement très érotique pour mon jeune passager, mais inextricable, le tanga roulé à mis cuisse, coiffant les jarretelles et la limite des bas mais ne me voyait pas aller plus loin, me baisser pour le passer sur mes chevilles, aussi je décidais de warning allumés, je m’y garais et fini mon petit manège. Je tendis l’objet du délit à Tony avant de reprendre la route. feindre un arrêt d’urgence sur un refuge d’autoroute …
Il s’en délecta, gardant l’étoffe roulée en boule dans son poing, en laissant paraitre un peu qu’il passait comme un pinceau de maquillage sur son visage, le laissant souvent sous son nez … c’était animal, assez charnel …
L’expérience n’attend pas le nombre des années me dis-je … il y avait vraiment du coquin chez ce charmant jeune homme … puis, toujours sans un mot, il déplia le triangle et vins placer son nez, humant fortement à la place de mon pubis … Je le voyais brillant … il y passa même sa langue, me glissant enfin :
- Ah … je retrouve ton gout ! Que c’est bon l’odeur et le gout d’une femme BCBG !
Je lui souris en retour, et nous poursuivîmes la route … nous étions déjà dans la ZI aux abords d’Angers … il gardait mon tanga comme un trophée.
Je lui demandais de me guider plus précisément quand nous arrivâmes dans ce qu’il m’avait dit être son quartier, ce qu’il fit bien volontiers J
- Nous sommes à 2 minutes de chez moi me dit Tony, prend la prochaine à droite, et je vais te faire visiter mon appartement.
- Non Tony ! il faut que je rentre maintenant, mon mari va s’inquiéter.
Je disais non, mais savait déjà qu’intérieurement, je le souhaitais entreprenant … nous étions habitués, F et moi à de fréquents déplacements où nous ne savions rarement quand exactement nous rentrions. Cette fois ne dérogerait pas à la règle.
En guise de réponse, Tony replaça sa main sur ma cuisse remontant rapidement le cours de mes bas afin de reprendre sa dernière position avant notre arrêt campagnard. De nouveau, j’avais un pan de jupe troussé, ma cuisse, mes bas, la bande laiteuse de ma jambe mis à nus. Son doigt très vite repris possession de mon antre maintenant libre de toute entrave et recommença à me fouiller le sexe avec dextérité. Je ne pus protester tellement le bonheur était intense.
Je me garais, et lui dis que je voulais monter seule, afin de ne rien risquer, du genre rencontre fortuite avec une personne connue. Il eu un temps d’arrêt ! Je suis sur qu’il devait penser que je ne viendrais pas .. Il me supplia presque
- Tu viens, hein ? Tu ne me laisse pas seul, C …. J’ai besoin de toi !
Seul mon sourire lui répondit, mais il valait assentiment …
Il m’indiqua comment arriver à l’appartement. Une fois sur son palier, je pris une pleine inspiration. J’hésitais encore !
De nouveau, je franchissais une étape … d’une simple aventure, je me retrouvais sur le palier et j’allais franchir la porte de l’appartement d’un homme, troublé par lui ; Qu’allait-il arriver ? Il ne fallait pas être bien devin pour savoir que j’allais très vraisemblablement me donner à lui ! Il dut sentir mon hésitation en m’épiant derrière l’œilleton, ouvrit et me prit délicatement par la main pour me faire rentrer chez lui. Après un rapide tour du propriétaire (façon de dire !), petite cuisine, salon où il avait mis de la musique, un couloir qui s’ouvrait sur deux portes (vraisemblablement sdb et chambre), je décidais toutefois de reprendre l’initiative.
- Laisse-moi faire et je l’entrainais dans ce couloir
- OK ma beauté, surprend moi, répondit Tony
J’avais vu juste, et ouvrit la première la porte qui donnait sur la chambre. Une vraie chambre dede Coca vide au pied du lit, des fringues partout … il s’en excusa, et je lui dis que ce n’était rien et que j’aimais la très belle affiche Aubade qui trônait au dessus du lit ! Cela se confirmait, il avait du gout … jeune célibataire, le lit en vrac, une bouteille de coca trainant au pied du lit
Je le laissais pour aller tirer les rideaux et abaisser presque entièrement les volets … ainsi, le soleil tombant faisait une douce lumière dans cette chambre.
Pendant mes préparatifs, il avait refait le lit, et s’était allongé sur la couette en ayant retiré sa chemise ; son torse me plaisait, légèrement velu, les pectoraux marqués … beau jeune homme ! Il avait gardé son jean qui ne cachait pas la protubérance qui l’ornait en son centre …
Je m’aperçus que j’adorais avoir ce bel éphèbe pour moi seule, à ma merci.
Je lui faisais face et décidais alors de lui faire un strip. Il me regarda me déshabiller. Une fois débarrassée de mon tailleur, veste puis jupette, je ne gardais pour seul vêtement que mon soutien gorge et mes portes- jarretelles. Mon tanga était en sa possession depuis tout à l’heure !
Je posais alors langoureusement un bas (vous voyez, le film « le Lauréat », Mrs Robinson …) et lui attachait les bras au montant du lit.
Il parut surpris mais se laissa faire. Il était alors à ma merci. Je lui baissais son pantalon, pour confirmer qu’il avait retrouvé toute sa vigueur.
Son sexe jaillit du boxer tel un personnage de Guignol, tendu, raide et brillant sur le gland. Il avait eu la présence d’esprit de laisser quelques préservatifs sur la couette … j’en pris un (je ne sais pas si j’y aurais pensé dans le feu de l’action et pour cette première fois !) et lui déroulais sur le mat qu’il m’exhibait fièrement … Je me penchais et lui fit deux/trois aller –retour avec ma bouche … mais beuurk, je n’aimais pas ce préservatif.
Aussi, après que j’ai que roulé son jean sur ces cuisses et écarté son boxer, je vins sur lui. Il me le fallait ; J’avais besoin de lui, j’avais envie de lui, de ce jeune home, de cette queue dressée qui me narguait. Je sentais des fourmillements dans mon bas ventre, je me sentais couler … c’est comme si je brulais d’un feu intérieur, et je ne voulais qu’une chose : l’éteindre
Je le chevauchais, et avec ma main dirigea son sexe en moi. Il me pénétra, moi au-dessus et lui en dessous. Je le baisais, comme cela sans autre préliminaires moi qui d’habitude en suis friande, le regardant à ma merci, mes seins lourds ballottant au-dessus de son visage. Il ne pouvait s’en saisir, et j’adorais son air de désir ; je quittais mon SG et me baissant je les offris alternativement à sa bouche avide. De temps à autre, je venais l’embrasser, il plaçait sa tête entre mes seins me suçant les tétons.
- Ca va être à ton tour maintenant ma belle, d être à moi
- Tu ne peux rien faire ! Tu es à ma merci commentais-je tout en continuant de le baiser
Cependant il réussi à défaire ses liens (je le vis, mais bien loin de l’en empêcher, je le laissais faire. Un peu gauche au debut, tandis qu’il n’avait qu’une main, il réussit toutefois à se libérer la deuxième. A ce moment, prenant appui sur ses coudes et se relevant, il m’éjecta d’un coup de bassin vigoureux, me rattrapa des ses mains posées sur mes hanches, et me retournas ;
- Place-toi à 4 pattes ! Je veux voir ta croupe s’offrir à moi
J’obéis, étant passé en quelques secondes de dominant à dominée. Avec mon bas, il m’attacha les poignets ensemble dans le dos. Il se plaça derrière moi et plongea son visage entre mes fesses, passant sa langue entre mes fesses qu’il remontait de mon sexe jusqu'à mon petit trou intime.
- Je vais te sodomiser C., tu vas sentir mon sexe rentrer dans ton anus et enfin je jouirai sur tes fesses, tu veux ?
Je le savais depuis que j’avais croisé son regard, un brin pervers et lubrique … j’avais alors repensé aux fantasmes d’adolescent et jeune homme qui avaient peuplés l’esprit de F, mon mari, et qu’il m’avait avoué pour expliquer son attirance pour les femmes montrant une certaine maturité. Consciemment ou inconsciemment, je devais penser à F. qui m’avait avoué avoir fantasmé, s’être caressée en pensant à de belles femmes qui alors avaient l’âge que j’atteins maintenant … il m’avait dit qu’il rêvait en se touchant de leur faire subir les pires outrages, quasi impensables pour les femmes de bonne famille qu’elles représentaient (j’en connais quelques unes entretemps ! et ma foi, il est difficile de ses les imaginer en passionaria mais qui sait ! peut être se dit-on la même chose de moi qui suit en train de me donner à un bel inconnu … et vais peut être lui offrir mon intimité la plus réservée ! mais je repensais à nos discussions avec F … il m’étonnait toujours, en particulier quand il m’avait donné carte blanche me demandant toutefois de lui réserver mon cul … j’avais dit oui, ce jour là, ne pensant même pas un jour me donner à un autre, mais lui avait relevé cette mince evolution … je ne repoussais plus l’idée, mais acceptait sa limite, ce qui l’avait fait sourire en me disant « Ah, tu vois, tu y viens … »
- Non Tony ! Je ne veux pas …
- Mais si ma belle, tu vas voir tu vas aimer …
- Non Tony, je te dis non ! Je l’ai promis … à mon mari (en disant cela, je réalisais que ce n’était pas l’argument à évoquer, qui risquait de renforcer encore son désir de franchir les interdits ; j’avais marqué ¼ de sec d’hésitation mais la fin de la phrase avait été dite)
- Voyez moi ça, elle a promis à son mari !!! Promis quoi ? Que t’allais te taper un petit jeune ?
- Non, Tony … tu ne peux pas comprendre … Rien ne prédestinait à cette rencontre, pas plus que t’ayant rencontré, rien ne disait que j’aurais autant de plaisir à ce que l’on vit ensemble …
- Et bien alors ?? Vraiment, il ne comprenait pas
- Tony, je te le demande … Tu peux faire de moi ce que tu veux, mais si tu veux qu’on se revoie, respecte moi ! (je sais, les deux choses semblaient contradictoires mais je me rappelle ces mots comme hier)
- Mais je suis sur que tu aimeras …
- …
- Hein, dis-moi ! Tu aimes te faire enculer …
Je décidais de jouer franc jeu en souhaitant qu’il reprenne ses esprits et respecte mes limites … je n’en étais pas sur, et j’étais bras attachés prise à mon propre jeu …. Aussi, il me semblait plus fin de poursuivre sans rien cacher, en lui donnant à penser que il avait plus à gagner à me respecter qu’à me violenter (je n’en avais aucune envie, et réalisais que le fantasme du viol, apparemment répandu, n’était pas le mien !!!)
- Oui , j’aime parfois me donner ainsi, mais c’est rare et pour l’instant réservé à celui que j’aime !
- …
Un silence s’installa … cette discussion avait rompu le charme, tant chez lui que chez moi … je m’étais laissé couler sur les genoux pour finir sur le ventre. Qu’allait-il faire de moi ?
Comme je l’espérais, il semblait revenir à des sentiments plus avouables. Il ne dit mot et vint me chevaucher, s’asseyant sur mes chevilles … il entrepris un délicat massage, de mes cuisses, de mes mollets, de mes fesses, du bas de mes reins … c’était exquis, mais je pensais bien que ce petit coquin cherchait à m’amadouer, ce que réussis assez souvent F avec les mêmes subterfuges !!!
Je lui dis : Libère moi !
Et il le fit … je savais alors que je n’avais plus rien à craindre. Ce jeune homme était un gentleman, et il me respectait …
Je décidais alors de le récompenser à la hauteur de la compréhension montrée. Je me remis tant bien que mal à genoux (il comprit vite où je voulais en venir et soulagea mes chevilles) re-exhibant ma croupe. Je la sais « bandante » comme dit F, offerte ainsi, les fesses marbrées des attaches des bas … en fait je n'avaios plus qu'un bas, de l'autre coté mes jaretelles pendaient et rythmaient nos ébats.
Ne voulant pas lui laisser reprendre l’initiative, je lui intimais :
- Merci Tony, de m’avoir écoutée … tu as envie, j’ai envie de toi aussi …. Viens, viens me prendre, viens me baiser … mais rappelle toi les limites!
- Mais quel langage peu commun pour une femme aussi BCBG ! c’est qu’elle se laisse aller, la petite bourgeoise, feint-il de s’offusquer, tout en se rapprochant de mon dos, la verge au garde à vous.
Il pointa son sexe entre mes cuisses et je m’en emparais passant une main sous le ventre. Je vins me caresser avec son gland, mais très vite, d’un coup de rein, il vint m’empaler ; tout doucement il me l’enfonça jusqu’à la garde. Se saisissant de mes hanches à pleines mains, il entama un long pilonnage. Il était bon, alternant des rotations du bassin avec ses aller-retour puissants … J’aimais être prise ainsi, il me fallait bien me l’avouer … et t andis que je me faisais prendre, je pensais à F : allais-je lui dire ? ou au contraire lui cacher …
Tony me fit redescendre sur terre …
- T’aime ça hein ? T’aime ça, ma cochonne de sentir ma bite
- Oui, continue c’est trop bon
Le petit coquin entrepris de me masser l’anus avec son pouce. C’est une zone très érogène chez moi, que F m’a révélée, et je lui dis :
- tu te limite à des caresses, hein ?
- je n’ai droit qu’à cela ?
- D’abord, tu n’as aucun droit … lui dis-je cassante
- Pardonne moi, C. ce n’est pas ce que voulais dire …
Il était mignon, en fait …
Il vint se pencher sur mon dos, et pris mes deux seins comme deux fruits dans chacune de ses mains ; Il entreprit de les malaxer avec forces, les faisant s’entre choquer entre eux. Je regardais la scène en baissant la tête. Il accéléra son pilonnement, et bientôt vint jouir très puissamment au fond de moi me laissant sentir la chaleur de son sperme au travers du préservatif et les mouvements de sa verge.
A ce moment, j’eu non pas un véritable orgasme tel que je le connais avec F, long, fait de vagues successives qui me font m’arc-bouter, mais comme un simulacre, très bref mais très puissant, comme un éclair qui traversa mes reins…
Mon regard croisa le radio-réveil … 20h28 !!! Il me fallait rentrer
Je me désengageais de lui, vins lui déposer un baiser sur les lèvres et lui dit
- Je dois y aller !
- Déjà
- Tu as vu l’heure !
- Ouahai, je comprends !
Et tandis que je me rhabillais, il ressorti mon tanga de la poche de son jean, et me dis
- Je le garde ! Il avait un beau sourire, il était craquant ; ça me déplaisait car c’est une parure à laquelle je tenais mais décidais tout de même de lui laisser
- oK ! Il sembla lui-même surpris
- Tu vas repartir sans culotte !?
- Et comment crois tu que je suis arrivée !? Nous éclatames de rire tous les deux
- Oui, mais …
- Quoi mais …
-Ben ! … là tu rentres chez toi !?
- Oui, bien sûr
- Et ton mari !?
- Eh, c’est maintenant que tu y penses !!! s’il s’en rend compte, je lui dirais qu’il est chez toi !
- …
Et je finis de me rhabiller. Il m’attendais dans l’entrée, et me proposa quelques chose à boire (délicate attention !).
- Non, je dois y aller …
- On se revoit ? tandis que le luis faisait dejà face dans le vestibule, la main sur la porte
- peut être …
- Non, pas peut être ! Où et quand ?
Je posais mon index sur ses lèvres et dis
- Ne sois pas impatient … tout viens à point ! Je sais où tu habites maintenant
Et remplaçais mon index par mes lèvres pour un petit baiser posé sur sa belle bouche.
Je franchis la porte et sans me retourner lui lança :
- Bye, … et merci pour tout
Je dévalais l’escalier. Arrivée sur le parking, je me retournais … comme je l’imaginais, il m’attendais sur le balcon, et je le vis disctintement … humer mon tanga.
Je ne l’ai jamais revu, je n'ai jamais cherché non plus.. J’espère qu’il pourra lire cette histoire et enfin savoir tout le plaisir qu’il m’a donné.
F découvrira ce soir en rentrant quelques passages que je ne lui ai pas forcément raconté jusqu'alors ...
Espérant que ceci vous ai plu, bon w-end coquin !!!
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