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Echanges libertins

Jeudi 24 mai 4 24 /05 /Mai 01:07

Une belle histoire, délicieuse, glanée sur cet excellent site qu'est Revebebe ...

Que son auteur soit ici remercié, et excuse l'emprunt ... vous pourrez nous laissez vos commentaires ou les lui adresser directement


Élise est une petite femme que j'ai toujours aimée. Nos mariages respectifs avec d'autres nous ont séparés. Peut-être étions-nous faits seulement pour nous rencontrer et nous retrouver bien des années plus tard. C'est à une de ces rencontres que je vous convie.

 

ooOOoo

 

Élise était mignonne à voir ! Penchée sur la table, elle palpait, écrasait, appuyant des bras et des mains. De derrière, je la regardais, fixant les muscles de son dos qui parfois se courbait, et c'est souvent à ce moment là qu'elle poussait les fesses en arrière comme pour prendre appui sur un support qui n'existait pas.

Parfois sa langue à la pointe acérée sortait d'entre ses lèvres, comme lors d'une concentration intense.

 

Elle s'arrêta un moment, frottant ses mains l'une contre l'autre, reprenant sa respiration.

Son épaule brune et légèrement dégagée laissait apparaître une bretelle de son soutien-gorge qui se prolongeait à travers son vêtement et ceinturait son dos d'une ligne sensuelle.

À présent c'est à deux mains, les bras tendus, qu'elle malaxait, j'entendis son souffle s'accélérer doucement.

 

Je déposais un baiser dans son cou, remontant à petites touches vers l'oreille.

Les petits poils de ses bras se dressèrent violemment pendant qu'elle arrêtait tout mouvement.

J'en profitai pour remonter son chemisier, laissant les paumes de mes mains lui enserrer les seins dont les pointes se dressèrent fièrement.

Ses mains ne bougeaient pas, immobiles.

Élise avait l'air d'arrêter le temps, de profiter de cet instant de douceur et de tendresse.

Je chuchotai à son oreille :

 - Continue, sinon elle va retomber !

 

En lui mordillant le lobe de l'oreille, je vis ses mains replonger dans la boule de pâte à tarte qu'elle préparait pour le souper.

 

J'en ai la gorge sèche.

Chacun de ses mouvements fait tressaillir sa poitrine entre mes doigts. Je la sens concentrée... Est-ce sur la boule de pâte, ou sur le lent mouvement de mes mains ?

 

Je glisse mes mains dans son dos et dégrafe la petite attache qui entrave mon exploration.

Une petite crispation de son corps accompagne la chute de ce premier rempart. Ses seins libres explosent dans mes mains. J'aime les envelopper, les prendre comme deux beaux fruits mûrs à la peau lisse. Celle-ci se granule doucement sous la pression de mes caresses, et c'est une petite tige raide et dure qui jaillit d'eux comme une fière petite gargouille de cathédrale.

Élise tourne la tête doucement et commence à m'embrasser avec une douceur infinie qui me fait chavirer.

 

Sa bouche sent la vanille, la cannelle, les fruits exotiques. La pulpe de ses lèvres est douce, un peu froide comme un fruit après une averse. Ma langue dessine doucement des arabesques compliquées sur sa bouche en suivant la commissure de ses lèvres.

L'odeur qui émane d'elle, de ses cheveux, m'enveloppe, me grise doucement, m'englobe en entier. Je sens qu'elle s'abandonne, légère, confiante, aimée.

Sa tête s'incline sur mon épaule, lentement.

Sa langue vient à la rencontre de la mienne, prudente, timide. Petit serpent humide qui s'avance et recule, explore, touche, se rétracte vivement, prudent.

Son parfum se mêle à son haleine, chaude. L'odeur de pâte et des fruits préparés nous entoure de son arôme fort. Ses mains restent en suspens comme si le temps s'était arrêté.

 

J'adore l'avoir dans le creux de mes bras, ses cheveux posés sur mon épaule. Une de mes mains s'y enfouit, fouille, se perd dans les mèches brunes qui ruissellent à moitié sur mon visage.

Elle est belle si détendue. Quelques petites rides sillonnent à présent son visage comme le font les petits cours d'eau sur une carte de géographie. De petits sillons partent du coin de ses yeux comme les rayons de l'Œil égyptien qui symbolise le soleil.

 

Son visage de femme mûre est merveilleux. Chaque visage reflète le récit de sa vie, chaque trait, chaque creux, chaque petite fosse a une histoire à raconter.

J'essaye d'y lire comme dans un grand livre ouvert. Ses cheveux sentent le biscuit, le pain chaud qui refroidit après sa sortie du four.

 

Les yeux fermés, elle s'abandonne à la langueur de ce baiser. Nos lèvres se cherchent, se joignent puis partent à la découverte d'une joue, d'une fossette, d'un creux où elles se lovent.

Toujours elles se retrouvent, se mordillent, s'offrent à l'autre, tendres, humides.

 

Son baiser me laisse tremblant, ivre d'elle, et ma main dans ses cheveux l'attire plus près encore. Nos bouches se soudent, inassouvies elles s'emmêlent, se font plus gourmandes, dévoreuses. Nos langues se touchent, s'enlacent, se frôlent, s'apprivoisent en jouant.

 

Mes doigts s'aventurent dans son cou, effleurent la peau fine de sa gorge, et dégrafent l'une après l'autre les petites boutonnières de son chemisier que je ramène sur ses épaules.

Son dos est nu, ses seins sont nus, fragiles sous mes paumes qui les effleurent à peine. Sa bouche se presse violemment contre mes lèvres lorsque deux de mes doigts s'emparent de la petite pointe qu'ils compriment doucement.

 

Ses yeux me fixent, tranquilles, reposés. Ses lèvres luisent, humides de notre baiser et j'ai envie de les reprendre, de m'y replonger encore et encore.

Un sourire me vient lorsque je réalise qu'elle enserre toujours la boule de pâte. Ses doigts s'y sont accrochés comme à une bouée pendant que nos bouches se dévoraient.

 

Les petits tétons de ses seins sont raides, érigés, arrogants.

J'avise dans le plat sur la table une grosse fraise rouge luisante de fraîcheur. Sa peau comme la sienne paraît constellée de petits frissons. La saisissant, je la porte à sa bouche qu'elle entrouvre légèrement. Je promène le fruit sur ses lèvres. Par petits mouvements elle essaie de s'en emparer, mais je suis plus vif, et le retire à chaque fois.

 

Maintenant c'est son sein qui reçoit la caresse. La fraise laisse des traces humides sur le petit globe comme le ferait un petit escargot gourmand progressant sur un verre.

Je centre le fruit mûr sur la petite pointe raidie et lentement je l'enfonce. Elle pousse un petit cri lorsqu'elle voit disparaître le petit bout de son sein dans le fruit.

 

L'impression est intense, sentir sa chair entrouvrir la pulpe du fruit pour s'y glisser, s'y loger. C'est frais comme une bouche humide et enveloppante.

Je l'enfonce avec application jusqu'à ce qu'il couvre complètement l'aréole brune.

Avec application, je reprends un autre fruit, et je pare son autre sein de la même façon. Arquée, elle pousse sa poitrine en avant, s'offrant, deux fraises ouvertes ornant sa poitrine...

 

Petite femme aux fruits !

 

Déjà deux filets de jus sucré s'écoulent de ses seins et ruissellent sur son ventre.

Excitante à dévorer, je recherche la présence de ses lèvres sur lesquelles les miennes viennent s'écraser avec force.

Ses mains se débattent dans la pâte, elle essaye de s'en libérer pour être libre.

Ma bouche quitte la sienne et plonge sous ses seins, récupérant le liquide parfumé qui s'écoule des fruits. Je remonte en douceur jusqu'à sa poitrine, léchant chaque partie de sa peau.

 

Alors comme une abeille, je butine une première fraise, écartelée sur le petit mamelon. Je mordille, en prélevant de petits morceaux. Saurais-je faire la différence entre le fruit et la chair ? M'arrêter à temps ? J'ai envie d'y mordre à pleine bouche !

Parfois mes dents frôlent sa chair, lui arrachent un léger gémissement, ma langue tournoie, avalant le jus qui s'écoule chaud dans ma bouche.

Puis d'un coup, j'englobe le téton en entier, écrasant mes dents sur les fruits de chair juteux. Élise émet un petit cri, et ses mains pleines de pâte viennent presser ma tête contre son sein.

Mes mains parcourent son dos de haut en bas, cherchant ses épaules nues, puis redescendent le long de la colonne vertébrale jusqu'à la naissance de ses fesses.

 

Ma bouche est remplie de sa chair, dure, ferme. Ma langue combat avec le petit téton qui frétille sous la caresse. Il lutte sous mes assauts, je l'enroule dans le jus de fraise, le baigne dans cette saveur du fruit savoureux. Je le suce, l'aspirant par petites saccades et il gonfle lentement sous mes lèvres qui l'enserrent vigoureusement.

 

Son pantalon me gêne, d'une pression je fais sauter le bouton et je descends la tirette. Mes mains empoignent les côtés du vêtement aux hanches et d'une brusque traction, je descends celui-ci sur ses chevilles.

Oups... sa petite culotte a suivi le mouvement...

 

Mes lèvres barbouillées plongent entre ses seins et suivent la ligne de plus grande pente, celle que la coulée de fraise n'a pas eu de mal à trouver ! Je freine sur le nombril, petit lieu où s'est accumulé pas mal de jus.

Je récupère consciencieusement ce nectar sur son corps à petits coups de langues gourmands.

J'essaie de prendre du recul pour la regarder. Je sais qu'elle ne veut pas, et ses mains pressent mon visage contre son ventre.

 

Mes mains englobent ses fesses. J'ai toujours adoré ses petites fesses, juste la bonne taille ! J'y laisse juste traîner le bout des mes ongles, les parcourant en tout sens éveillant sur sa peau d'imperceptibles frémissements. Parfois mes doigts s'arrêtent au bas de sa colonne, massent doucement la petite surface plate qui se trouve à cet endroit, puis empruntent le sillon chaud jusqu'à la rencontre avec l'ourlet délicat de ses lèvres.

 

J'aime la caresser, la sentir frémir, gémir. Son corps tressaute parfois sous un attouchement plus précis, plus bref.

Ses mains me serrent toujours contre elle... Je vais être beau avec les cheveux pleins de pâte à tarte ! Ses doigts griffent, lacèrent ma peau sous les frissons qui la parcourent.

Son souffle se fait plus court quand, de deux doigts, je sépare ses lèvres frémissantes donnant accès à sa fente brûlante.

Elle est mouillée, chaude, et mes doigts sont de suite trempés par le nectar qui s'écoule d'elle. J'engage de longs allers et retours dans ce petit coquillage ouvert tout en remontant entre les globes de ses fesses.

 

Je parviens quand même à dégager mon visage et à descendre mes lèvres dans les poils soyeux de son pubis. J'adore cette petite brousse odorante qui me chatouille les narines.

Ma bouche glisse plus bas jusqu'à la froissure de son sexe. J'écarte de ma langue les voiles de ses lèvres, cherchant le petit bouton sous le capuchon rose. Timide il apparaît, raide, dardant sa pointe vers ma langue, me défiant.

Je l'attaque de suite par une série de petits baisers, laissant ma langue l'entourer, le presser. Je le saisis entre mes lèvres, l'étirant doucement, le cajolant.

Alors reprend le combat avec le bout de ma langue, et comme deux petites épées, ils se croisent, se touchent, prennent du recul pour mieux s'observer, puis replongent l'un vers l'autre pour s'affronter à nouveau dans un duel interminable.

Ma langue parfois descend, ouvrant ses lèvres sur toute la longueur, puis plongent avec ravissement dans le petit puits chaud et ruisselant de son intimité.

Je t'entends gémir doucement, s'offrant à la caresse secrète.

 

Ma bouche s'écrase sur cette petite bouche, et mes lèvres humides la parcourent de haut en bas pendant que mes mains lui empoignent les fesses.

Deux de mes doigts coulissent dans le long sillon, trouvent la fente écartelée, et lentement s'enfoncent en elle.

Ma langue a retrouvé son petit adversaire avec lequel elle a recommencé à batailler. Mes doigts entreprennent un doux va-et-vient. Je la sens crispée, tendue, la gaine chaude de son sexe palpite sur mes doigts. Ses mains m'arrachent presque les cheveux, elle se cramponne furieusement, secouée de petits soubresauts.

 

Mes doigts plongent maintenant en elle avec vigueur, profondément. De l'autre main, je presse ses fesses pour que son sexe reste collé à ma bouche. Mes lèvres et ma langue mènent un ballet incessant sur sa petite fente rose, ouverte, luisante d'envie. Je suce, j'avale le nectar qui sourd de son ventre, brûlant de son odeur de femme.

Son orgasme vint brusquement, ravageur. Son vagin se resserra sur mes doigts comme un bouche avide, palpitante, une série de fortes contractions la secoua, la laissant palpitante entre mes bras.

Me redressant, je l'enveloppe, je la protège, je l'embrasse. Son visage est encore marqué par les vagues de plaisir qui ont déferlé dans son corps.

Son corps se relâche. Détendue, elle s'abandonne.

 

Je couvre son visage de petits baisers tendres. J'aime son odeur de femme sur mes lèvres, dans ma bouche.

De petits frémissements agitent encore sa peau. Les petits poils de ses bras sont encore dressés, électrisés.

Je la débarrasse du chemisier qui couvre encore ses épaules. Maintenant je la tiens nue dans mes bras, devant cette tarte qui n'avance pas beaucoup !

 

La pâte est là qui attend, le plat avec les fruits, la platine beurrée...

Les fraises aussi sont toujours là, à portée de main...

 

Son corps colle un peu du jus de fruits écrasés, mais exhale une odeur enivrante de femme.

Je sens dans mes cheveux de petits morceaux de pâte qui sèchent.

Ses petits seins dardent toujours, les pointes toujours raidies, et sous son pubis, ses lèvres encore ouvertes excitent à nouveau ma convoitise.

Ma main se tend, et saisissant quelques fraises sur la table, je m'approche de son sexe. Je frotte lentement cette poignée de fruits entre ses lèvres. Leur fraîcheur la fait sursauter.

Élise se raidit soudain, lorsque d'une petite poussée je force le premier fruit à l'entrée de son vagin. Rapidement il pénètre en elle.

 

À petits coups de reins, elle essaye de se soustraire à ma main, mais les fruits se succèdent en elle par petites pressions rapides, avalés par cette petite bouche gourmande.

Lentement le chapelet de fruits remplit son intimité chaude et avide.

La saisissant sous les cuisses, d'un élan je la hisse les jambes écartées sur mes hanches, et je maintiens ses fesses pour qu'elle ne retombe pas.

J'ai envie d'elle, de me fondre dans son corps. Sentir ses seins, son ventre, son sexe contre moi me rend fou.

 

D'une main, je libère ma verge de mon pantalon. Elle se dresse raide, douloureuse d'envie entre ses cuisses.

Sa tête s'est posée sur mon cou, et ses doigts me griffent le dos pendant que son souffle s'accélère...

Je guide son corps de mes mains, essayant de positionner mon sexe face à sa vulve ouverte. J'aime cette petite recherche, je tâtonne, fouille par-ci par-là, jeu de cache-cache à la recherche du petit trésor convoité...

Soudain, je l'abaisse d'un coup. Et mon gland se positionne à l'entrée de son vagin. Ses lèvres sexuelles humides se resserrent sur lui comme le ferait une petite plante carnivore.

Alors je la lâche...

Inexorablement son corps s'abaisse.

 

Ma verge touche le premier fruit dans lequel mon gland s'enfonce, le réduisant en bouillie.

Son vagin descend, s'empale sur mon sexe. Je sens les fraises éclater en morceaux, et le jus frais ruisseler en elle et le long de ma queue.

D'une poussée, je m'enfonce à fond dans son ventre. Des filets de jus ruissellent le long de ma verge, et s'écoulent lentement sur mes testicules.

 

Mes mains se rejoignent à nouveau sous ses fesses, et la remontant d'un coup, je la laisse retomber brutalement. Elle s'empale à nouveau sur mon pieu dressé en poussant un petit cri. Je maintiens la cadence, la relevant et l'abaissant rapidement comme sur un piston bien huilé.

Son sexe coule de plaisir, sa petite gaine m'emprisonne, me masse, me masturbe merveilleusement.

Mon gland fourrage dans cette petite caverne brûlante. Chaque mouvement maintenant lui arrache de longs gémissements, des petites plaintes d'oiseau.

 

Mon plaisir monte trop vite... je freine un peu la cadence, m'appliquant en de longues allées et venues suivies de quelques pénétrations plus rapides et plus fortes.

Je veux que son plaisir monte doucement, qu'elle le sente venir, qu'il l'imprègne doucement avant d'éclater dans son ventre.

Je varie le rythme, la profondeur de pénétration, l'angle, de manière à bien masturber toutes les parois de son sexe. Je sens ses grandes lèvres se coller à ma verge lorsque je sors comme si elles voulaient me retenir, me faire entrer à nouveau.

Un de mes doigts se glisse entre ses fesses, parcourt le long sillon avant de s'immobiliser sur la petite rosette brune et plissée de son anus. Il masse doucement, caresse, tente de s'insinuer, délicat. Puis il glisse plus bas, s'humidifier à la source de son sexe avant de reprendre sa position en forçant doucement.

 

C'est elle à présent qui par saccades de ses reins s'empale sur moi. Son fourreau par coups puissants m'enfonce dans son ventre humide.

Je ne vais pas tenir longtemps comme ça !

De légers rugissements sortent de ses lèvres, son orgasme approche. Après quelques mouvements, je sens ma semence monter, bouillonnante dans ma verge.

 

C'est à ce moment qu'elle éclate, ses bras se nouent autour de moi comme pour m'étrangler, de puissantes contractions agitent son bas ventre, se prolongent dans son vagin, s'épanouissent autour de ma verge. Je me raidis en crachant ma première giclée de sperme en elle. Elle s'abaisse encore une fois pendant que je vrille mon doigt dans son anus, plongeant au fond de son rectum. Les spasmes continuent à la faire vibrer, son bassin est en feu, pénétré de toute part. Ses derniers mouvements achèvent de me traire, et je gémis pendant que mes derniers jets de sperme achèvent d'inonder son vagin brûlant.

 

Je l'enlace, je la serre dans mes bras, cherche sa bouche pour la remercier du bonheur qu'elle m'a donné. Je suis si bien avec elle, contre elle, en elle.

Ça coule... entre nous...

Des petits ruisselets de fraises mêlés de sa liqueur et de mon sperme s'égouttent lentement sur le sol.

Il n'y a pas à dire, mais j'aime sa façon de réaliser la tarte aux fraises... Mhhhmmm quelle bonne recette !


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 17:42
Bonjour

les histoires nous plaisent bien : lol

Les histoires de Chris


La quarantaine, j'ai découvert le plaisir d'écrire des récits érotiques en racontant les deux expériences réellement vécues par notre couple au début de notre union.

Depuis, au gré de mon humeur, et de mon inspiration, je livre mes histoires, reflets de mes fantasmes.

http://histoiresdechris.over-blog.org


Bisous coquins
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Lundi 23 avril 1 23 /04 /Avr 16:25
On trouve particulièrement excitant l'instant de la renconte !

On se retrouve à  trois, on se regarde un peu géné sachant ce qu'il va se passer mais ne sachant pas comment commencer,

et puis une main s'aventure, puis une bouche s'approche, puis....

Racontez-nous !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 17:52
Encore une très belle histoire glanée sur le net ... l'auteur ne s'étant pas fait connaitre, je n'ai pu le remercier ... qu'il le soit ici ...
C'est un fantasme partagé ... il ne le restera pas longtemps (mais elle le savait !)


Je vis avec V depuis quatre ans, et nous nous entendons à merveille.

 

Depuis environ  2 ans, mon fantasme a été qu'elle fasse l'amour avec un autre, je ne sais pourquoi mais cette idée m'a toujours terriblement excité.


Je n'osais pourtant pas lui avouer mon fantasme, mon envie de la savoir dans les bras d'un autre pour quelques heures, de peur qu'elle le prenne mal… malgré notre intimité, il ne me semblait pas trop que ce soit son genre!


Pourtant, il y a un peu plus d'un an, nos relations intimes se sont espacées, elle rentrait souvent tard du boulot, et se jetait quasi immédiatement sous la douche en se disant fatiguée et qu'elle avait besoin de de-stresser (!)


Après quelques semaines à ressasser ceci, il n’y avait plus de doute … J’étais quasiment sûr qu’elle me trompait. Il fallait que j'en aie le coeur net.


J'ai donc commencé à la fliquer et le doute devint vite certitude.


J'ai commencé par ses culottes portées qu’elle jetait en se glissant sous le douche … elles étaient souvent humides et moites.


J'ai continué en vérifiant son portable sur lequel restaient de temps en temps des SMS du genre : "j'ai un peu de retard mais j'arrive" , et surtout ses relevés de compte où figuraient quelques fois des débits cheque d’hôtels alors qu’elle était avec moi ces jours là!


J’avais découvert qu’elle me trompait, et cela m'excitait au point que je me masturbais en y pensant.


Ce soir là, il fallait que je lui fasse l'amour!!!


Elle rentra relativement tard ce qui me plut beaucoup sachant ce qu'elle faisait.

 

Je l'attendis nu avec 3 roses rouges en main et lui dit que je la désirais terriblement.


Ne pouvant pas reculer, elle me dit "je voudrais juste d'abord me doucher" mais bien entendu j'aurais aimé la prendre de suite encore trempée par ce qu'elle venait de faire (je ne doutais pas du fait qu'elle se protégeait!).

J'insistais mais rien à faire, sans douche, nous ne coucherions pas ensemble ; contraint et forcé je la laissais aller se laver.


Lorsqu'elle revint, je me jetai sur elle pour lui dévorer le minou sachant qu'un autre venait de pénétrer et à ma grande surprise, elle commença rapidement à gémir et à haleter. Elle devait rester très chaude de son aventure préalable.


Ma langue s'enfonçait profondément en son vagin et allait parfois lui titiller l'anus ;  elle écartait ses cuisses au maximum pour me laisser accéder à toute son intimité et était de plus en plus excitée.

J’étais surpris, et content … elle dont j’aurais pensé que bien que sexuellement très active, elle aurait eu du mal à se lâcher avec d’autres, homme seuls ou couples, elle semblait aimer se faire prendre par deux hommes différents à deux heures d'intervalle!


Elle prit l’initiative, se retourna, se mit à genoux et m'offrit sa croupe à lécher … son vagin me semblait plus dilaté qu'à l'habitude, ses lèvres plus distendues tandis qu’elles étaient habituellement très finement collées les uns au autre, ourlant une fente fine telle un abricot … là son sexe donnait l’impression de béer. Mes pensées allaient vers elle, certainement pilonnée il y a peu par un mex qui devait être bien monté !


Toujours à genoux, j'y mis 2 doigts et commençais à la caresser de la pointe de ma langue. Quittant parfois sa motte et mes doigts qui s’en occupaient, je remontais parfois vers son étoile. Je tachais d'y enfoncer ma langue, et elle semblait apprécier … Très vite, elle cria de bonheur et me dit "viens prend moi de suite".


En levrette, je commençais alors à la pilonner doucement puis fortement, elle gémissait très fort et maintenant, je le sentais autour de ma queue, cela ne faisait aucun doute, son vagin était plus ouvert que d'habitude.


J'imaginais que son amant avait un très gros sexe et du faire un effort quasi surhumain pour ne pas jouir.


Sortant mon pénis de son sexe, je le fis glisser entre ses fesses et au lieu de montrer un peu de surprise et réprobation comme souvent, elle se cambra un peu plus, tendant sa croupe vers moi … c’était un véritable appel à la sodomie.

Je pointais mon gland sur sa rosette, et appuyant mon sexe mon sexe sur son anneau et là encore, elle m’accompagna activement en poussant son bassin sur moi! Si nous avions déjà pratiqué, cela ne devait pas dépasser 4-5 fois jusque là, et il me semblait qu’elle y avait rarement pris un vrai plaisir, sauf peut être la dernière fois qui remontait à quelques mois (c’est une autre histoire !)


Je la pris donc très doucement, et mon gland fut happé par son fondement. Je la voyais se masturber frénétiquement, parfois je sentais ses ongles venir me caresser voir me griffer les bourses.  Après quelques râles, elle commença un va et vient qui me fit m’enfoncer à fond et recommença à haleter de plaisir. J’étais au bord de l’explosion de la sentir si chaude et de penser pourquoi .. 


Je me mis à la pistonner de plus en plus fort tout en lui caressant la poitrine tandis qu’une de ses mains la caressait et sa deuxième s’était saisie de mes couilles … je ne pus resister très longtemps à ce rythme, et très rapidement je sortis pour lui éjaculer sur les fesses.


Elle se coucha immédiatement sur le dos, et me dit ou plutôt m’intima "fais moi jouir!" et elle recommença à se masturber.


Je l'ai à nouveau léché, et doigté avec deux puis trois doigts jusqu'à ce qu'elle crie son bonheur!


Elle était épuisée m'embrassa avec beaucoup d'amour et se coucha sur mon torse pour s'endormir.


Moi j'ai eu du mal à en faire de même ; j'avais envie qu'elle me parle de ses ébats avec cet homme, c'était décidé j'allais lui dire que je sais tout dès le lendemain.

 

Et à partir de là, notre histoire déjà si belle, prit une tournure merveilleuse que je vous conterai plus tard...

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 13:57
Un très beau texte ecrit par une femme souhaitant rester anonyme ... dommage !

Qu'elle soit en tout ca sremerciée pour le plaisir que nous avons eu à la lire, plaisir que nous souhaitons partager avec vous ...

J'ai 45 ans, et je suis mariée à un homme que j'aime.

 

Voilà quelques mois, c’était l’automne, je me suis fait draguer dans un magasin par un jeune homme d’une trentaine d’année, ans et je me suis sentie flattée. L’aventure qui s’en est ensuivie m’a fait redécouvrir des besoins sexuels que j’avais refoulés … et je me prends à fureter sur internet, à acheter des lectures polissonnes … j’ai découvert la joie que me procure la lecture d’histoires érotiques, et vais à mon tour vous conter cette histoire qui m’a révélée.

 

Jusqu’il y a peu, ma vie se résumait à une sourde monotonie, basée autour de mon rôle d’épouse et de mère et de femme très prise professionnellement aussi;  nous faisions l'amour de temps en temps avec mon mari, mais sans grande fantaisie et je dois dire que cela ne me manquais pas, pas plus que je n’en demandais plus.

 

Son approche n'était ni vulgaire ni brutale: C’était les soldes, et j'étais entrain de regarder et de comparer deux robes dans le rayon d’un grand magasin,  quand j'entendis une voix douce me disant que la bleu était très belle , assortie à la couleur de mes yeux et que je devais l'essayer. Mais que l’autre, vu sa coupe, devrait elle aussi très bien m’aller (elle était très échancrée dans le dos, assez sexy je dois dire …).

Surprise, mon regard croisa alors celui d'un charmant jeune et je ne sus quoi répondre. Sa façon de m’aborder, ses remarques, témoignaient pourtant de son bon gout !

Il s'excusa d'abord pour m'avoir importuné, que c'était plus fort que lui, mais que c'était réellement ce qu'il pensait.

A cet instant, j'étais séduite, un peu sous le charme, et lui répondit timidement et sans savoir vraiment pourquoi, que je n'avais plus qu'à me rendre vers les cabines d'essayage pour voir s'il disait vrai.

S'engagea alors un dialogue ludique et amusant, voire assez coquin, et j'avais la sensation d'être complètement en phase avec lui.

Je m’entends encore lui proposer de m'accompagner vers les cabines pour être sure de faire le bon choix.

Je me dirigeais alors vers les cabines et il me suivi. A peine entrée dans la cabine, je fus surprise de le voir me suivre. Avant même que j’ai pu ouvrir la bouche, un de ses doigts se posait sur mes lèvres, tandis que je sentis son autre main sur mes épaules me caresser doucement.

J'aurais dû réagir et me rebeller mais prise de frissons sur tout mon corps, je restais là paralysée. Sentant mon ‘’abandon’’, son autre main vint rejoindre la première puis les deux descendirent dans mon dos, sur mes hanches.

Il décrocha habilement le haut de ma robe qui tomba sur ma taille, puis le long de mes jambes. Je fais un 90B et mes seins tiennent encore, et ce jour là j’étais seins nus sous cette petite robe. Un reflexe me fit croiser les bras sur ma poitrine, tandis que contournant mes hanches, ses doigts s'immisçait vers mon ventre puis vers le haut de ma petite culotte.

Je lui demandait d'arrêter, lui expliquant en chuchotant que je pouvais pas , que j'étais une femme mariée , qu'il y avait du monde a l'extérieur … mais il n'avait que faire de mes remarques. Naïve que j’étais, je compris plus tard que ces scrupules n’avaient du que renforcer son désir et sa détermination.

Soucieuse de na pas lui laisser franchir la mince barrière de ma culotte, je dus découvrir mes seins et lui saisir une main.

Se faisant toutefois plus pressant, il me retourna pour m'enlacer et m'embrassa fougueusement. Je sentais alors mes seins nus s’écraser contre son blouson de cuir et je dois avouer que l’incongruité de la situation m’a excitée.

Consciente de mes actes, je me contentais alors de subir ses assauts sans vraiment me poser de questions, et je me rendis compte bien vite que ce ‘’beau gosse’’  était en train de révéler en moi un désir intense .

Je fis mine toutefois, sans grande conviction je pense, de me dégager mais saisissant mes poignets qui cherchaient à le repousser, il me retourna une nouvelle fois pour me plaquer contre la paroi de la cabine. Très vite, et habilement, une de ses mains descendit sur mon mont de venus, par-dessus la mince barrière d’étoffe , tandis que son autre main s'affairait à me caresser les seins .Je sentis que s’en était fini, que je m’abandonnais … Je ne saurais traduire le mélange des idées qui alors m’ont traversé la tête, mélange de mère attentive, d’épouse aimante et docile qui devait se refuser à cette audace, et de la femme qui sommeillait en moi et que ce petit salaud reveillait.

Je me souviens qu’un souffle de plaisir s'échappa de ma gorge ; Tous mes sens étaient en émoi et mon corps réagissait à ces attouchements . Je sentais mes pointes de seins darder, excitée qu’elle était par la situation et le froid de la paroi.

Il avait glissé sa main sous ma culotte, et déjà une doigt s’affairait sur mon clitoris … je me sentais fondre, ou plus exactement couler … j’avais l’impression que mon sexe était fontaine … je ne me souvenais pas avoir mouillé aussi vite.

Je me mis à me dandiner, lui susurrant combien sa main était bonne, combien il était doué, le suppliant de mettre fin à ce doux supplice. Je savais que ma respiration s'accélérait et témoignait certainement du contraire. Il me dit qu'il avait envie de me prendre, là , debout dans la cabine, et ajouta, un brin pervers, qu'il était sur que j'en crevais d'envie ! Il avait bien sûr raison.

Ma seule réponse fut de lui demander avec un sentiment de culpabilité de me faire jouir seulement avec ses doigts.

J'avais chaud et je n'avais plus toute ma lucidité, et je le laissais faire. Son index, expert, tournait autour de mon bouton, tandis majeur et annulaire m’avaient investis …

Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour, je vivrais une expérience comme celle-ci ;  j'entendais les gens non loin de nous qui déambulaient, certains prenaient des cabines toutes proches de la notre et j'avais peur de quelqu'un nous entende et ne nous surprenne. Je pense que cet interdit a participé à mon excitation (et à la sienne …).

 

Quand il colla sa bouche à mon oreille pour me demander si j'aimais çà , j'étais honteuse mais lui répondis que oui, j’aimais ca, et maintenant je lui demandait de ne pas s'arreter

Les yeux fermés, je m'abandonnais tellement c était bon. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas gémir, je n en pouvais plus, il continuait à me malmener et j'affichais pleinement mon désir en cambrant les fesses, m'offrant pourtant à un homme autre que le mien. Pourtant, je n’avais pas le sentiment de le tromper.

 

J'avais perdue toute pudeur, le désir l'avait emporté sur la morale.

Il devenait presque brutal : il était fort et parfois allait jusqu’à me soulever presque de terre sur ses deux doigts … je sentais mes talons quitter mes fines sandales d’été.

 

Ce jeu, qu'il contrôlait fièrement me rendait de plus en plus folle.

 

Je ne me reconnaissais plus. Je l'entendais doucement me traiter de salope, que je devais être bonne, il écarta mes jambes en me disant que mon cul était "appétissant" et qu'il méritait que l'on s'occupe de lui. Il sorti ses doigts de mon sexe et de manière assez obscène, je l’imaginais tout en le sentant, les remonta dans ma raie … il me massa l’anus, et je dois dire que je me surpris à y prendre plaisir. Jamais, je n’aurai imaginé qu’un jour, je goûterais à ce plaisir là, mais à cet instant, alors que mon mari ne m’avait jamais touché là, et que mon anus restait un peu tabou, j’ai une envie quasi insolente qu’il continue. Mais il me demanada de s'occuper de lui. Me retournant, je me rappelle avoir fièrement planté mon regard dans le sien tandis qu’une de mes main allait malaxer on entrejambe. Il portait un pantalon de toile , et de découvris cette verge qui me semblait de bonne taille car il était venue la plaquer sur ma croupe tandis qu’il me tenais contre la paroi et me promettait les pires sévices et bonheurs mélangés.

 

Il portait un pantalon de toile, et effectivement je sentis un sexe de belle taille, comme une grosse carotte me dis-je alors ! Pourquoi cette idée ? Aujourd’hui encore, je ne sais pas mais cela a fait son petit bonhomme de chemin, et j’ai essayé plus tard avec ce légume qu’il me plait de croquer après que je me sois donné du plaisir avec ….

Je déboutonnais les boutons de son pantalon, et fis descendre sa braguette ;  Ce n’étais pas facile, et il me fallait les deux mains, car le zip était très tendu par son erection. Je m’était donc accroupie, et j'appréhendais le moment ou j'allais faire jaillir son sexe. Devrais-je le prendre dans ma main, devais-je m’abandonner plus encore et le sucer … Je ne savais que faire, tout en fouillant fébrilement son caleçon.

Je le regardais ; lui aussi me regardait avec un sourire d'ange, en disant qu'il aimait les femmes qui savaient ce qu'elles voulaient, puis il demanda avec insolence :

 

Qu'est que tu fais, là? Dépêche-toi, j'ai trop envie de me faire sucer

 

Il avait ainsi répondu à mes interrogations. Le choix m’était dicté. Mes mains avaient mis à jour une fort belle verge, tendue à bloc et dont le gland était luisant.  Je m'exécutais sans répondre. J'ouvris d'abord timidement la bouche avec une certaine appréhension; c’était la première fois que j’allais sucer une autre bite que celle de mon mari, et encore, à avec lui, cela faisait déjà quelques temps que nous ne nous étions plus adonné à de tels ‘’ecarts’’ ; j'embrassais doucement son  gland, mais il insista

 

Fais moi voir ce que tu sais faire, appliques toi pour que je profite de ta petite bouche de salope

 

Ses paroles directes et crues me faisaient un drôle d'effet ;  M’abandonnant à cet homme qui abusait de moi et me traitait ainsi de salope et de suceuse, j'avais vraiment l'impression d'en être une.

Je le suçais doucement et je sentais ses mains qui me tenaient fermement par l’arrière de la tète ; il caressait mes cheveux et donnait un rythme. J’avais l’impression excitante de n'être qu'un objet entre ses mains, qu'il se servait de moi à sa guise . Je le sentais super excité, il marquait ma fellation de :

 

Oui comme ça, c'est bien… j'étais sur que tu voulais te régaler , allez profite , fais toi plaisir

 

Il me semblait que je le suçais comme jamais j’avais sucé, sans me poser de question.

 

Bien que loin d'être une experte de la fellation, il vantait mes mérites et j'exécutais ses moindres désir :

 

... sers toi de ta langue, t'arrêtes pas ma belle , lâche toi ,... t'es une sacrée bonne suceuse tu sais...

 

J'avais perdu toute pudeur, c’était bon, je ne pensais plus à rien , juste à ce morceau de chair qui me rendait folle.

 

Toutes les frontières de mon éducation s'était envolées, mon mari était loin, mes enfants un instant oubliés.

 

Il me disait qu'il aimait ma bouche et quand il m'annonça qu'il voulait jouir dans ma bouche, je voulus me retirer mais il m'en empêcha fermement m'expliquant que j'allais vivre un moment inoubliable (vrai remarque de mec, non ?), que je devais l’avaler, que c'était ma récompense (sic).

 

Je n'avais jamais laissé mon mari me faire subir un tel traitement, car quand je m’abandonnais à la fellation avec lui, sentant son plaisir venir, je le laissais se vider sur mon cou, ou déglutissais rapidement dans un mouchoir la semence dont il m’avait tapissé le palais.

 

Je me sentais tout autant humiliée par cet homme qui faisait de moi sa chose, et en même temps je vivais un moment intense dépassant les limites que je m’étais jusqu’alors autorisées.

 

Assez bestialement, me tenant fermement la tête sur son pieu, il explosa en un long râle puissant ;  un première vague de semence m’inonda jusqu'a la gorge, puis un deuxième jet puis un troisième, je crus qu’il n’arrêterait jamais. J’avais la bouche pleine de son foutre, et me plus ne pouvant recracher, et hésitant encore à avaler, à la faire tourner dans ma bouche … Sa semence était âpre, d’une consistance assez épaisse … Je me dit qu’en fait, il avait raison, j’aimais ça ! Il gémit encore, tendant ses hanches vers mon visage comme pour un dernier aller-retour, et me félicita de ma prestation.

 

Ma bouche était remplie de son sperme chaud, dont un filet, je le sentais, s'écoulait sur mon menton. Je m’essuyais du dos de la main, tandis que j’avalais. Il y en avait tellement que je me rappelle avoir eu un léger haut le cœur … mais ce n’était pas désagréable.

Je repris doucement mes esprits et réalisait peu à peu ce que je venais de subir : je venais de faire jouir un homme dans ma bouche et j'y avais pris du plaisir.

 

Jamais je n'aurais imaginé un jour vivre une telle expérience et je n'arrivais pas à expliquer mon geste.

 

J’arrêterais là mon histoire … la suite en est une autre, et les découvertes que celle-ci m’ont poussé à faire seront peut être prochainement couchées sur papier.

 

Je répète ma phrase d’introduction … J'ai 45 ans, et je suis mariée à un homme que j'aime. J’avoue que cette liberté découverte a aussi remis un peu de piment dans notre couple : mon mari ne s’en plaint pas … il peut maintenant jouir dans ma bouche, et je lui ai fait cadeau de mon anus (car je crois que jamais de lui-même, il n’y serait venu … Poids de nos éducations, des préjugés … cela a été une découverte forte pour nous deux, et il m’a confié queje lui avait fait un superbe cadeau ….)

En revanche, je ne sais comment lui faire découvrir bons nombres de fantasmes que je nourris maintenant et que je voudrais réaliser avec lui … j’ai peur qu’il ne comprenne pas, qu’il me prenne pour ce que je ne suis pas, même si je veux maintenant assumer ma quête du plaisir pleinement.

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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