Une belle histoire, délicieuse, glanée sur cet excellent site qu'est Revebebe ...
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Élise est une petite femme que j'ai toujours aimée. Nos mariages respectifs avec d'autres nous ont séparés. Peut-être étions-nous faits seulement pour nous rencontrer et nous retrouver bien des années plus tard. C'est à une de ces rencontres que je vous convie.
ooOOoo
Élise était mignonne à voir ! Penchée sur la table, elle palpait, écrasait, appuyant des bras et des mains. De derrière, je la regardais, fixant les muscles de son dos qui parfois se courbait, et c'est souvent à ce moment là qu'elle poussait les fesses en arrière comme pour prendre appui sur un support qui n'existait pas.
Parfois sa langue à la pointe acérée sortait d'entre ses lèvres, comme lors d'une concentration intense.
Elle s'arrêta un moment, frottant ses mains l'une contre l'autre, reprenant sa respiration.
Son épaule brune et légèrement dégagée laissait apparaître une bretelle de son soutien-gorge qui se prolongeait à travers son vêtement et ceinturait son dos d'une ligne sensuelle.
À présent c'est à deux mains, les bras tendus, qu'elle malaxait, j'entendis son souffle s'accélérer doucement.
Je déposais un baiser dans son cou, remontant à petites touches vers l'oreille.
Les petits poils de ses bras se dressèrent violemment pendant qu'elle arrêtait tout mouvement.
J'en profitai pour remonter son chemisier, laissant les paumes de mes mains lui enserrer les seins dont les pointes se dressèrent fièrement.
Ses mains ne bougeaient pas, immobiles.
Élise avait l'air d'arrêter le temps, de profiter de cet instant de douceur et de tendresse.
Je chuchotai à son oreille :
En lui mordillant le lobe de l'oreille, je vis ses mains replonger dans la boule de pâte à tarte qu'elle préparait pour le souper.
J'en ai la gorge sèche.
Chacun de ses mouvements fait tressaillir sa poitrine entre mes doigts. Je la sens concentrée... Est-ce sur la boule de pâte, ou sur le lent mouvement de mes mains ?
Je glisse mes mains dans son dos et dégrafe la petite attache qui entrave mon exploration.
Une petite crispation de son corps accompagne la chute de ce premier rempart. Ses seins libres explosent dans mes mains. J'aime les envelopper, les prendre comme deux beaux fruits mûrs à la peau lisse. Celle-ci se granule doucement sous la pression de mes caresses, et c'est une petite tige raide et dure qui jaillit d'eux comme une fière petite gargouille de cathédrale.
Élise tourne la tête doucement et commence à m'embrasser avec une douceur infinie qui me fait chavirer.
Sa bouche sent la vanille, la cannelle, les fruits exotiques. La pulpe de ses lèvres est douce, un peu froide comme un fruit après une averse. Ma langue dessine doucement des arabesques compliquées sur sa bouche en suivant la commissure de ses lèvres.
L'odeur qui émane d'elle, de ses cheveux, m'enveloppe, me grise doucement, m'englobe en entier. Je sens qu'elle s'abandonne, légère, confiante, aimée.
Sa tête s'incline sur mon épaule, lentement.
Sa langue vient à la rencontre de la mienne, prudente, timide. Petit serpent humide qui s'avance et recule, explore, touche, se rétracte vivement, prudent.
Son parfum se mêle à son haleine, chaude. L'odeur de pâte et des fruits préparés nous entoure de son arôme fort. Ses mains restent en suspens comme si le temps s'était arrêté.
J'adore l'avoir dans le creux de mes bras, ses cheveux posés sur mon épaule. Une de mes mains s'y enfouit, fouille, se perd dans les mèches brunes qui ruissellent à moitié sur mon visage.
Elle est belle si détendue. Quelques petites rides sillonnent à présent son visage comme le font les petits cours d'eau sur une carte de géographie. De petits sillons partent du coin de ses yeux comme les rayons de l'Œil égyptien qui symbolise le soleil.
Son visage de femme mûre est merveilleux. Chaque visage reflète le récit de sa vie, chaque trait, chaque creux, chaque petite fosse a une histoire à raconter.
J'essaye d'y lire comme dans un grand livre ouvert. Ses cheveux sentent le biscuit, le pain chaud qui refroidit après sa sortie du four.
Les yeux fermés, elle s'abandonne à la langueur de ce baiser. Nos lèvres se cherchent, se joignent puis partent à la découverte d'une joue, d'une fossette, d'un creux où elles se lovent.
Toujours elles se retrouvent, se mordillent, s'offrent à l'autre, tendres, humides.
Son baiser me laisse tremblant, ivre d'elle, et ma main dans ses cheveux l'attire plus près encore. Nos bouches se soudent, inassouvies elles s'emmêlent, se font plus gourmandes, dévoreuses. Nos langues se touchent, s'enlacent, se frôlent, s'apprivoisent en jouant.
Mes doigts s'aventurent dans son cou, effleurent la peau fine de sa gorge, et dégrafent l'une après l'autre les petites boutonnières de son chemisier que je ramène sur ses épaules.
Son dos est nu, ses seins sont nus, fragiles sous mes paumes qui les effleurent à peine. Sa bouche se presse violemment contre mes lèvres lorsque deux de mes doigts s'emparent de la petite pointe qu'ils compriment doucement.
Ses yeux me fixent, tranquilles, reposés. Ses lèvres luisent, humides de notre baiser et j'ai envie de les reprendre, de m'y replonger encore et encore.
Un sourire me vient lorsque je réalise qu'elle enserre toujours la boule de pâte. Ses doigts s'y sont accrochés comme à une bouée pendant que nos bouches se dévoraient.
Les petits tétons de ses seins sont raides, érigés, arrogants.
J'avise dans le plat sur la table une grosse fraise rouge luisante de fraîcheur. Sa peau comme la sienne paraît constellée de petits frissons. La saisissant, je la porte à sa bouche qu'elle entrouvre légèrement. Je promène le fruit sur ses lèvres. Par petits mouvements elle essaie de s'en emparer, mais je suis plus vif, et le retire à chaque fois.
Maintenant c'est son sein qui reçoit la caresse. La fraise laisse des traces humides sur le petit globe comme le ferait un petit escargot gourmand progressant sur un verre.
Je centre le fruit mûr sur la petite pointe raidie et lentement je l'enfonce. Elle pousse un petit cri lorsqu'elle voit disparaître le petit bout de son sein dans le fruit.
L'impression est intense, sentir sa chair entrouvrir la pulpe du fruit pour s'y glisser, s'y loger. C'est frais comme une bouche humide et enveloppante.
Je l'enfonce avec application jusqu'à ce qu'il couvre complètement l'aréole brune.
Avec application, je reprends un autre fruit, et je pare son autre sein de la même façon. Arquée, elle pousse sa poitrine en avant, s'offrant, deux fraises ouvertes ornant sa poitrine...
Petite femme aux fruits !
Déjà deux filets de jus sucré s'écoulent de ses seins et ruissellent sur son ventre.
Excitante à dévorer, je recherche la présence de ses lèvres sur lesquelles les miennes viennent s'écraser avec force.
Ses mains se débattent dans la pâte, elle essaye de s'en libérer pour être libre.
Ma bouche quitte la sienne et plonge sous ses seins, récupérant le liquide parfumé qui s'écoule des fruits. Je remonte en douceur jusqu'à sa poitrine, léchant chaque partie de sa peau.
Alors comme une abeille, je butine une première fraise, écartelée sur le petit mamelon. Je mordille, en prélevant de petits morceaux. Saurais-je faire la différence entre le fruit et la chair ? M'arrêter à temps ? J'ai envie d'y mordre à pleine bouche !
Parfois mes dents frôlent sa chair, lui arrachent un léger gémissement, ma langue tournoie, avalant le jus qui s'écoule chaud dans ma bouche.
Puis d'un coup, j'englobe le téton en entier, écrasant mes dents sur les fruits de chair juteux. Élise émet un petit cri, et ses mains pleines de pâte viennent presser ma tête contre son sein.
Mes mains parcourent son dos de haut en bas, cherchant ses épaules nues, puis redescendent le long de la colonne vertébrale jusqu'à la naissance de ses fesses.
Ma bouche est remplie de sa chair, dure, ferme. Ma langue combat avec le petit téton qui frétille sous la caresse. Il lutte sous mes assauts, je l'enroule dans le jus de fraise, le baigne dans cette saveur du fruit savoureux. Je le suce, l'aspirant par petites saccades et il gonfle lentement sous mes lèvres qui l'enserrent vigoureusement.
Son pantalon me gêne, d'une pression je fais sauter le bouton et je descends la tirette. Mes mains empoignent les côtés du vêtement aux hanches et d'une brusque traction, je descends celui-ci sur ses chevilles.
Oups... sa petite culotte a suivi le mouvement...
Mes lèvres barbouillées plongent entre ses seins et suivent la ligne de plus grande pente, celle que la coulée de fraise n'a pas eu de mal à trouver ! Je freine sur le nombril, petit lieu où s'est accumulé pas mal de jus.
Je récupère consciencieusement ce nectar sur son corps à petits coups de langues gourmands.
J'essaie de prendre du recul pour la regarder. Je sais qu'elle ne veut pas, et ses mains pressent mon visage contre son ventre.
Mes mains englobent ses fesses. J'ai toujours adoré ses petites fesses, juste la bonne taille ! J'y laisse juste traîner le bout des mes ongles, les parcourant en tout sens éveillant sur sa peau d'imperceptibles frémissements. Parfois mes doigts s'arrêtent au bas de sa colonne, massent doucement la petite surface plate qui se trouve à cet endroit, puis empruntent le sillon chaud jusqu'à la rencontre avec l'ourlet délicat de ses lèvres.
J'aime la caresser, la sentir frémir, gémir. Son corps tressaute parfois sous un attouchement plus précis, plus bref.
Ses mains me serrent toujours contre elle... Je vais être beau avec les cheveux pleins de pâte à tarte ! Ses doigts griffent, lacèrent ma peau sous les frissons qui la parcourent.
Son souffle se fait plus court quand, de deux doigts, je sépare ses lèvres frémissantes donnant accès à sa fente brûlante.
Elle est mouillée, chaude, et mes doigts sont de suite trempés par le nectar qui s'écoule d'elle. J'engage de longs allers et retours dans ce petit coquillage ouvert tout en remontant entre les globes de ses fesses.
Je parviens quand même à dégager mon visage et à descendre mes lèvres dans les poils soyeux de son pubis. J'adore cette petite brousse odorante qui me chatouille les narines.
Ma bouche glisse plus bas jusqu'à la froissure de son sexe. J'écarte de ma langue les voiles de ses lèvres, cherchant le petit bouton sous le capuchon rose. Timide il apparaît, raide, dardant sa pointe vers ma langue, me défiant.
Je l'attaque de suite par une série de petits baisers, laissant ma langue l'entourer, le presser. Je le saisis entre mes lèvres, l'étirant doucement, le cajolant.
Alors reprend le combat avec le bout de ma langue, et comme deux petites épées, ils se croisent, se touchent, prennent du recul pour mieux s'observer, puis replongent l'un vers l'autre pour s'affronter à nouveau dans un duel interminable.
Ma langue parfois descend, ouvrant ses lèvres sur toute la longueur, puis plongent avec ravissement dans le petit puits chaud et ruisselant de son intimité.
Je t'entends gémir doucement, s'offrant à la caresse secrète.
Ma bouche s'écrase sur cette petite bouche, et mes lèvres humides la parcourent de haut en bas pendant que mes mains lui empoignent les fesses.
Deux de mes doigts coulissent dans le long sillon, trouvent la fente écartelée, et lentement s'enfoncent en elle.
Ma langue a retrouvé son petit adversaire avec lequel elle a recommencé à batailler. Mes doigts entreprennent un doux va-et-vient. Je la sens crispée, tendue, la gaine chaude de son sexe palpite sur mes doigts. Ses mains m'arrachent presque les cheveux, elle se cramponne furieusement, secouée de petits soubresauts.
Mes doigts plongent maintenant en elle avec vigueur, profondément. De l'autre main, je presse ses fesses pour que son sexe reste collé à ma bouche. Mes lèvres et ma langue mènent un ballet incessant sur sa petite fente rose, ouverte, luisante d'envie. Je suce, j'avale le nectar qui sourd de son ventre, brûlant de son odeur de femme.
Son orgasme vint brusquement, ravageur. Son vagin se resserra sur mes doigts comme un bouche avide, palpitante, une série de fortes contractions la secoua, la laissant palpitante entre mes bras.
Me redressant, je l'enveloppe, je la protège, je l'embrasse. Son visage est encore marqué par les vagues de plaisir qui ont déferlé dans son corps.
Son corps se relâche. Détendue, elle s'abandonne.
Je couvre son visage de petits baisers tendres. J'aime son odeur de femme sur mes lèvres, dans ma bouche.
De petits frémissements agitent encore sa peau. Les petits poils de ses bras sont encore dressés, électrisés.
Je la débarrasse du chemisier qui couvre encore ses épaules. Maintenant je la tiens nue dans mes bras, devant cette tarte qui n'avance pas beaucoup !
La pâte est là qui attend, le plat avec les fruits, la platine beurrée...
Les fraises aussi sont toujours là, à portée de main...
Son corps colle un peu du jus de fruits écrasés, mais exhale une odeur enivrante de femme.
Je sens dans mes cheveux de petits morceaux de pâte qui sèchent.
Ses petits seins dardent toujours, les pointes toujours raidies, et sous son pubis, ses lèvres encore ouvertes excitent à nouveau ma convoitise.
Ma main se tend, et saisissant quelques fraises sur la table, je m'approche de son sexe. Je frotte lentement cette poignée de fruits entre ses lèvres. Leur fraîcheur la fait sursauter.
Élise se raidit soudain, lorsque d'une petite poussée je force le premier fruit à l'entrée de son vagin. Rapidement il pénètre en elle.
À petits coups de reins, elle essaye de se soustraire à ma main, mais les fruits se succèdent en elle par petites pressions rapides, avalés par cette petite bouche gourmande.
Lentement le chapelet de fruits remplit son intimité chaude et avide.
La saisissant sous les cuisses, d'un élan je la hisse les jambes écartées sur mes hanches, et je maintiens ses fesses pour qu'elle ne retombe pas.
J'ai envie d'elle, de me fondre dans son corps. Sentir ses seins, son ventre, son sexe contre moi me rend fou.
D'une main, je libère ma verge de mon pantalon. Elle se dresse raide, douloureuse d'envie entre ses cuisses.
Sa tête s'est posée sur mon cou, et ses doigts me griffent le dos pendant que son souffle s'accélère...
Je guide son corps de mes mains, essayant de positionner mon sexe face à sa vulve ouverte. J'aime cette petite recherche, je tâtonne, fouille par-ci par-là, jeu de cache-cache à la recherche du petit trésor convoité...
Soudain, je l'abaisse d'un coup. Et mon gland se positionne à l'entrée de son vagin. Ses lèvres sexuelles humides se resserrent sur lui comme le ferait une petite plante carnivore.
Alors je la lâche...
Inexorablement son corps s'abaisse.
Ma verge touche le premier fruit dans lequel mon gland s'enfonce, le réduisant en bouillie.
Son vagin descend, s'empale sur mon sexe. Je sens les fraises éclater en morceaux, et le jus frais ruisseler en elle et le long de ma queue.
D'une poussée, je m'enfonce à fond dans son ventre. Des filets de jus ruissellent le long de ma verge, et s'écoulent lentement sur mes testicules.
Mes mains se rejoignent à nouveau sous ses fesses, et la remontant d'un coup, je la laisse retomber brutalement. Elle s'empale à nouveau sur mon pieu dressé en poussant un petit cri. Je maintiens la cadence, la relevant et l'abaissant rapidement comme sur un piston bien huilé.
Son sexe coule de plaisir, sa petite gaine m'emprisonne, me masse, me masturbe merveilleusement.
Mon gland fourrage dans cette petite caverne brûlante. Chaque mouvement maintenant lui arrache de longs gémissements, des petites plaintes d'oiseau.
Mon plaisir monte trop vite... je freine un peu la cadence, m'appliquant en de longues allées et venues suivies de quelques pénétrations plus rapides et plus fortes.
Je veux que son plaisir monte doucement, qu'elle le sente venir, qu'il l'imprègne doucement avant d'éclater dans son ventre.
Je varie le rythme, la profondeur de pénétration, l'angle, de manière à bien masturber toutes les parois de son sexe. Je sens ses grandes lèvres se coller à ma verge lorsque je sors comme si elles voulaient me retenir, me faire entrer à nouveau.
Un de mes doigts se glisse entre ses fesses, parcourt le long sillon avant de s'immobiliser sur la petite rosette brune et plissée de son anus. Il masse doucement, caresse, tente de s'insinuer, délicat. Puis il glisse plus bas, s'humidifier à la source de son sexe avant de reprendre sa position en forçant doucement.
C'est elle à présent qui par saccades de ses reins s'empale sur moi. Son fourreau par coups puissants m'enfonce dans son ventre humide.
Je ne vais pas tenir longtemps comme ça !
De légers rugissements sortent de ses lèvres, son orgasme approche. Après quelques mouvements, je sens ma semence monter, bouillonnante dans ma verge.
C'est à ce moment qu'elle éclate, ses bras se nouent autour de moi comme pour m'étrangler, de puissantes contractions agitent son bas ventre, se prolongent dans son vagin, s'épanouissent autour de ma verge. Je me raidis en crachant ma première giclée de sperme en elle. Elle s'abaisse encore une fois pendant que je vrille mon doigt dans son anus, plongeant au fond de son rectum. Les spasmes continuent à la faire vibrer, son bassin est en feu, pénétré de toute part. Ses derniers mouvements achèvent de me traire, et je gémis pendant que mes derniers jets de sperme achèvent d'inonder son vagin brûlant.
Je l'enlace, je la serre dans mes bras, cherche sa bouche pour la remercier du bonheur qu'elle m'a donné. Je suis si bien avec elle, contre elle, en elle.
Ça coule... entre nous...
Des petits ruisselets de fraises mêlés de sa liqueur et de mon sperme s'égouttent lentement sur le sol.
Il n'y a pas à dire, mais j'aime sa façon de réaliser la tarte aux fraises... Mhhhmmm quelle bonne recette !
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