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Echanges libertins

Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 00:00

Presque chaque samedi, je la croise au supermarché.

Elle ne passe pas inaperçue, c'est une très belle femme, de celles qui me font fantasmer …

Plusieurs fois, nous nous sommes croisés dans les rayons, échangeant quelques banalités (pardon ! excusez-moi ! ce n’est rien ! …)  mais je serais surpris si, comme pour moi, ces rencontres l’ont marquée.

La quarantaine, assez BCBG, elle est toujours en jupe ou en robe, assez bien maquillée, aucun cheveu qui ne dépasse, le genre de femme d’allure stricte, qui ne m'attire que par le fantasme … Et si derrière ce masque hautain, se cachait une bourgeoise sensuelle, voire dépravée ?

Ce matin-là, je ne sais pas pourquoi, j'ai tout de suite remarqué les plis que faisait le voile sur ses chevilles. Mon sang ne fait qu’un tour : Madame porte des vrais bas, et non pas de simples bas ‘’modernes’’ fait de lycra qui épouse parfaitement la jambe … et quand on se donne la peine de revêtir de tels atouts, je parierais bien qu’elle a revêtu un porte-jarretelles !

À cette idée, une légère érection envahit mon pantalon. J'ai instantanément décidé de la suivre pour tenter de vérifier mon hypothèse et de répondre à cette question devenue essentielle en ce début de journée : mais que fait cette bourgeoise en bas et porte-jarretelles (j’en suis convaincu, il reste maintenant à en être sûr) ce samedi, de si bon matin ?

Oubliant ma liste de courses, je la suis à distance, ce qui me permet de la détailler plus qu'à l'habitude. De taille moyenne, elle est mince et élégante, elle porte une jupe au-dessus du genou et un chemisier de soie blanche qui laisse deviner une poitrine ni petite ni grosse mais dont le léger balancement n'est pas sans effet sur mon sexe. Elle porte un imperméable beige fendu derrière qu'elle a rapidement ouvert du fait de la température agréable du magasin. Je la suis dans les différents rayons, en chargeant mon Caddie avec tout ce qui me tombe sous la main. Au détour d'un rayon, je rencontre Jacques, un ami que je n'ai pas vu depuis quelques semaines. J'essaie vainement d'abréger notre conversation, lui faisant comprendre que je suis pressé … Trop tard je l'ai perdue ! ! !

Le magasin est vaste et ma recherche risque de prendre du temps !

La chance me sourit toutefois : Au détour d'une allée par laquelle je décide de couper au plus court, nos Caddies se heurtent ! Nos regards se croisent, et nous échangeons un sourire … Charmé, je bredouille des excuses et file en essayant de paraître le plus naturel possible ; j'ai eu le temps de remarquer qu'elle avait posé son imper sur le chariot.

Un peu plus loin, je me retourne et mes yeux restent posés sur cette silhouette dont la vue est très agréable. Je décide de faire immédiatement demi-tour et de trouver enfin réponse à ma question.

En me rapprochant, je remarque que sa jupe noire est assez fluide, croisée devant, et les petites déformations sur les côtés me confirment qu'elle est en porte-jarretelles. Un coup d'œil à sa croupe m'informe que, soit elle porte un string minimaliste, soit elle ne porte rien ! ! ! !

Je sens mon sexe se dresser quasi instantanément et tendre mon boxer comme s’il avait décider de le faire exploser … Une érection puissante … heureusement, ce matin là, je suis en jean, ce qui minimise un peu la vision qui transparaît de mon entrejambe sous pression … Toutefois, une bosse virile vient déformer mon bas ventre, qui ne laisserait aucun doute à un œil acéré !

La question des bas étant tranchée, celle du tissu recouvrant la croupe de cette charmante créature m’obsède maintenant : C'est au moment où mon imagination fertile balance entre string et nudité que ma petite bourgeoise, voulant attraper un paquet de pâtes, manque faire tomber toute la rangée.

Elle reste là sur la pointe des pieds, essayant d'éviter la chute des boîtes … en un éclair, je me jette à l’eau et je m'approche afin de l’aider à retenir cet équilibre instable ! Ce faisant, je manque à mon tour te tomber, et reprends équilibre d’une main sur la gondole, de l’autre sur sa hanche … J’ai senti la matière du serre-taille ! Etonnée, elle se retourne, vraisemblablement furieuse, mais (est-ce en me reconnaissant !?) son visage d’abord fermé s’éclaire d’un nouveau délicieux sourire !

-        Je voulais vous aider !

      -        Mais, Monsieur, vous le pouvez encore, car rien n’est      solutionné là haut ! me répondit-elle en montrant le haut du rayonnage d’un geste du menton !

Prenant alors bien soin de me coller derrière elle, je l'aidai à stabiliser la pile de boite afin d’éviter leur chute. À cet instant, mon sexe en érection étant appuyé contre le galbe de ses fesses, elle ne pouvait pas ignorer l'effet qu'elle me produisait. Les pâtes rangées, elle me remercia, en jetant rapidement un œil à la bosse de mon pantalon. De nouveaux remerciements,  et elle poursuivit ses achats. Il m’avait toutefois semblé voire le rouge lui monter aux pommettes !

Nonchalamment, je la suivi … au premier retour de gondole, elle me regarda (elle avait du sentir ma présence …). Il me sembla alors que sa démarche se faisait plus féline. Elle marchait comme pour un défilé de mode, faisant onduler sa croupe sur ses longes jambes gainées de nylon et perchées sur de beaux escarpins.

Aussi, je ne fus que moyennement surpris quand une boîte chuta de son chariot. Je me précipitais pour le ramasser, mais elle avait été plus rapide que moi et, prenant soin de ne pas plier les genoux, elle se pencha pour la ramasser. Le spectacle qu'elle m'offrit était très agréable. Par son geste, la jupe en remontant, dévoila le haut de ses bas, les jarretelles et la naissance de ses petites fesses. Nos regards se croisèrent de nouveaux, brûlants cette fois et c'est à ce moment-là que je décidai de ne plus la lâcher et de ne pas m’en cacher.

Elle le comprit très vite et se dirigea vers le rayon des sous-vêtements féminins. Elle prit soin de choisir dans la lingerie la plus sexy : quelques strings, une guêpière, un porte-jarretelles. À une ou deux occasions, sa maladresse me permit d'assister au même spectacle de ses cuisses dénudées. Alors qu’elle était accroupie, jambes tournées dans l’axe de l’allée pour fouiller plus à son aise le présentoir et trouver sa taille, ses jambes subrepticement écartées m’avaient laissé entr’apercevoir une jarretelle et la tension si caractéristique que fait l’attache sur le revers du bas ! L’ambiance était moite, électrique … ce fut elle qui repris l’initiative

Soudain, elle fit demi-tour dans ma direction et me demanda :

- Voulez-vous me donner votre avis sur mon choix ?

Je m'apprêtai à lui répondre, quand elle me devança :

- Venez avec moi !

Et elle se dirigea vers les cabines d'essayage.

Après avoir laissé mon chariot, je la suivis.

À cette heure matinale, les cabines étaient désertes et l'employée préposée au rayon s'affairait à ranger les vêtements abandonnés la veille par les clients.

Ma belle bourgeoise s'engouffra dans une cabine et, quelques instants plus tard, sa tête apparut entre les rideaux. Elle me fit signe d'approcher.

Je n'en pouvais plus d’attendre et, lorsque je passai la tête pour la voir, mon sexe était au plus fort de son érection et mon boxer avait beaucoup de mal à le contenir.

Le spectacle que je découvris allait au-delà de ce que j'avais pu imaginer quelques instants avant. Elle avait ôté sa jupe et son chemisier et enfilé la guêpière rouge et noire. Elle était là devant moi, face à moi, resplendissante de provocation. La guêpière soutenait sa poitrine qui n'en avait certainement pas besoin, ses tétons dressés pointaient fièrement dans ma direction. Ce vêtement lui faisait une taille fine au dessus d'une chatte partiellement épilée, surmontée d’une fine toison taillée en triangle pointe vers le bas, comme une invite vers son clitoris turgescent ; ses lèvres, gonflées, avaient du mal à cacher le plaisir et le désir. Les jarretelles tombaient sur de longues jambes et ses chaussures hautes leur donnaient encore plus de finesse. Je n'en pouvais plus ! ! ! !

- Qu'en penses-tu ?

Déconcerté par le ton familier et parfaitement neutre de sa question, je ne trouvais d'autre réponse que de pénétrer dans la cabine pour l'embrasser fougueusement. Elle approuva visiblement cette initiative et profita de cette étreinte pour promener ses mains sur la bosse proéminente de mon pantalon. Mes mains n'arrêtaient plus de parcourir son corps, de lui peloter les seins, de fouiller sa chatte dont l'humidité confirma l'état de son désir.

En quelques secondes elle m'ôta mon pantalon et, après avoir découvert le boxer que je portais, elle commença à masturber mon membre qui, à l'étroit dans le tissu, commençait à bouillir. Elle s'agenouilla et écarta le tissu, libérant mon sexe. Sa langue commença des allers et retours sur ma hampe et, alors qu'elle découvrait mon gland de sa main experte, elle engloutit la totalité de mon sexe dans sa bouche. Elle prit très rapidement un rythme soutenu et en quelques minutes je sentis le plaisir envahir ma chair. D'un geste expert, elle tira mes testicules vers le bas, provoquant une légère douleur, mais surtout l'arrêt net d'une éjaculation qui allait devenir inévitable.

Elle se redressa et, me posant les mains sur les épaules, m'indiqua ouvertement que mon tour était venu de lui procurer du plaisir. Je posai ma langue sur son sexe imberbe et commençai par de petits coups à titiller ses lèvres, puis son clitoris qui, bien que déjà gonflé de plaisir, se raidit encore. Elle enfouit ma tête entre ses cuisses et sa respiration devint plus haletante.

Alors que je la sentais au bord de l'orgasme, elle se retourna et prenant appui sur le banc de la cabine, elle m’exhiba ce cul que je reluquais depuis que je l’avais croisé ce matin là. Le spectacle était de toute beauté, la guêpière lui soulignait la taille, deux jarretelles marbraient une croupe parfaite, très lisse et très ferme pour l’age que je lui avait attribué … sa peau était couverte de chair de poule, traduisant son excitation et parsemée d’un fin duvet blond et quasi invisible ! Sur l’arrière de ses cuisses s’arrêtait la dentelle de ses bas.

Elle écartait ses fesses, assez impudiquement et je pus alors découvrir ses mains, auxquelles je n’avait pas prêté attention jusqu’alors … très fines, les ongles manucurés, elles témoignaient elles aussi, du soin qu’apportait cette Bourgeoise à son corps et à son apparence.  Sans un mot, dans un silence religieux, elle m'invitait ainsi à la pénétrer. J’aurais voulu prendre du temps, me repaître de la vision de ce derrière si impudiquement offert à mes regards, à mes assauts, … mais n’y tenant plus et de crainte que le rêve ne se brise, je présentai mon sexe sur sa vulve chaude et humide et la pénétrai par petites saccades. Je fis plusieurs aller-retour, alternant douceur et vigueur, puis, alors que m'étais complètement retiré, je la défonçai d'un seul coup, provoquant un cri de surprise et de plaisir. À partir de cet instant, il ne nous fallu que quelques secondes pour qu'après de grands coups de butoir au plus profond de son sexe, nous éclations ensemble dans un orgasme monstrueux qui nous avait fait oublier où nous nous trouvions.

Après quelques instants, ayant repris nos esprits et réajusté notre tenue, ce qui me permit de constater qu’elle ne portait aucun sous vêtement autre que SG, PJ et bas, nous quittâmes ensemble la cabine. Elle remit nonchalamment à la vendeuse l’ensemble de la lingerie qu’elle avait choisi en ma présence, lui précisant :

-    Ce n'est pas tout à fait mon style

La vendeuse, qui ne pouvait plus ignorer notre manège depuis le témoignage sonore de notre jouissance ultime, n’en revenait pas … C’est à ce moment que le portable de ma belle Bourgeoise sonna …

-   Allo ?

-   … 

-   Oui, c’est cela …

Elle me fit un petit geste de la main, et s’éloigna pour poursuivre la conversation en toute discrétion. J’entendis quelques bribes de conversation

-    Oui, je rentre …

-    

-    Là maintenant ?

-   

-     oK, si c’est nécessaire, j’y vais … mais tu sais, j’avais rempli le chariot et vais devoir le laisser si je dois faire aussi vite !

Elle ne manquait pas de répartie, et cela me la rendait encore plus sensuelle, encore plus salope ! Elle venait de se faire tringler dans une cabine de supermarché, et elle culpabilisait celui qui, semblait-il, lui reprochait son retard et lui demandait de la rejoindre au plus vite !

Elle laissa son Caddie et fila vers l’entrée … En un éclair, je pris la même décision …

La suivant sur le parking, d’un pas rapide car elle semblait vraiment pressée, mon regard fut attiré par une imperfection  qui venait gâcher la vue sur ses jambes … Il me fallu un bref instant de réflexion pour comprendre que cette tache qui s’élargissait vers le bas, sur son mollet … était une trace du sperme que je lui avais puissamment déchargé dans la vulve.

Elle semblait ne pas l’avoir remarqué, et marchait toujours d’un pas décidé, faisait claquer ses talons … Que faire ? La laisser ainsi, ou bien profiter de l’occasion pour recoller à elle … En quelques foulées, je fus derrière elle, tout près :

-        pardon !

-        Oui !?

-        Vous ne pouvez partir comme cela ?

-        Si Monsieur ! Au revoir

Elle n’avait pas compris ! Je la saisi par l’épaule et surprise, elle fut obligé de s’arrêter et de se retourner de trois quarts.

-        Excusez-moi d’insister … mais je parlais de ça …

dis-je en lui indiquant la traînée blanchâtre qui marquait son bas !

-        Oh ! fit-elle, ses joues se recouvrant du même rouge que tout à l’heure

Je pus remarquer que maintenant, ces cheveux n’étaient plus aussi strictement maintenus que lorsque je l’avais détaillée à son arrivée … d’austère, elle me paraissait même belle maintenant !

Se retournant, et jetant un coup d’œil circulaire, voyant qu’il n’y avait que moi assez près pour voir en détail, elle se baissa légèrement et vint de son index racler cette semence laiteuse qui tachait son bas … Mon sperme représentait une émulsion visqueuse, qui maintenant lui coulait sur le doigt et allait lui maculer la main. Comme dans un rève, je la vis porter son index rapidement à la bouche et le sucer avec application

Mon étonnement devait être palpable, car elle me lança :

-        Et bien quoi ? Vous aviez un mouchoir, vous ?

Et elle reprit sa course. Elle s’engouffra dans un magnifique petit coupé cabriolet, non sans m’avoir gratifié d’un très beau ciseau de jambes en prenant place sous le volant … avant qu’elle ne démarre, je la vis tirer un mouchoir de la boite à gant, et essuyer consciencieusement l’arrière de son mollet … et prenant appui sur ses talons, elle vint jusque sous ses fesses et avec un autre mouchoir, s’épongea le string et la vulve !

Je l'ai laissée là, partant du parking du supermarché dans un léger vrombissement ; Je ne sais rien d'elle, ni son prénom, ni son adresse, rien ...... mais je l’ai vue si souvent, je m’imagine pas qu’elle puisse changer de supermarché ! Vivement Samedi prochain !

 

Rendons à César ce qui lui appartiens … la trame de ce texte est issue de Revebebe, récit 09602. J’ai remanié légèrement certaines parties du texte. Que son auteur, que je vous invite à découvrir en lisant ses textes sur Revebebe, m’en pardonne !

 
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00
Bonjour !

Il y a bien longtemps que je n'ai rien posté ici ...

Peu de temps, et ce matin, un petit break ...
Merci d'abord à ceux, nombreux qui passent ... et repassent sur ce site sans prétention ...

En cette période de vacances, je pense et adresse ce petit message à mes muses Québecoises ...  Suite à l'histoire postée sur Revebebe, j'ai établi une correspondance passionnée avec une jeune - et magnifique - pretresse de la finance Quebecoise ... nous avons une correspondance érotique endiablée, aussi souvent que nos contraintes professionnelles et familiales nous le permettent ... Solange, c'est son nom, m'a fait entrer dans son univers, bien coquin ma fois, et si je connais virtuellemment Sophie et Lynda, deux de ses amies, elle m'a mis en contact avec celle qui depuis l'enfance partage ses joies et déboires, Guylène ...
A toutes les deux, Solange et Guylène ... je dédie ce post ... Notre histoire est merveilleuse, et peut être, si elles le permettent, une partie se retrouvera t'elle sur ce blog ... ?
Bonnes vacances coquines

Bisous libertins

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 00:00
Une autre, de mes préférées ... (tjrs issue de Revebebe - cf liens)

A vous de me dire ce que vous en pensez !

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Coup de Folie 8744

 

 

Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain, les yeux verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis mariée depuis 7ans et suis toujours restée fidèle.

 
 

Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée pour une semaine à Paris, à l'occasion du salon de l'emballage. En marge de la manifestation, et parce que l'entreprise n'avait fait une grande année, des réunions de stratégies était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial, nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les supposées faiblesses...

 

De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j'ai accepté de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j'avais un peu chaud au visage et la tête embuée.

 

En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était 22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme prévu.

 

Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».

 

Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre, j'ai laissé la porte entrouverte, puis j'ai déposé ma veste sur une chaise. J'ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai raconté ma journée à mon mari Benjamin.

 

Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié qu'il devait venir.

 

Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que quelqu'un était dans ma chambre. A coté du bureau, ma valise était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans. Puis, en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles. Il a commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J'étais furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Jérôme a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J'étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je n'étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m'avait usée, et que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.

 

En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire à Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Benjamin avait visiblement très envie de discuter. J'étais partie depuis moins de 24h et je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon retour. J'était mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu. Au bout d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J'étais gênée par le fait que Jérôme était en face de moi et qu'il me regardait.

 

Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis s'est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Benjamin combien lui et la petite me manquaient, que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur câline, il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche. Je l'ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l'a remise aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J'ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de Jérôme me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est relevé, puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J'avais accepté son massage, mais j'essayais d'écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.

 

Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce n'était rien et ai laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j'étais bien... Il a d'abord repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai laissé faire, je l'ai même aidé en changeant le téléphone de main pour qu'il puisse retirer complètement mon chemisier. Puis il a dégraffé mon soutien-gorge et l'a enlevé. Malgré cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon mari raccroche.

 

 Etre au téléphone, "réduite au silence", me donnait l'excuse d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori, ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais fait connaître ses intentions.

 

Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut être un peu l'alcool, me mettaient dans un état de relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un 90c, en poires, comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à n'importe quel homosexuel.

 

Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m'a regardé droit dans les yeux, s'est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon mari continuait de me parler sans se douter de rien.

 

Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus discrètement possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendu vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.

 

Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j'étais seule, que notre conversation m'avait excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari m'expliqua que lui aussi était excité et qu'il se mettait à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu'à arriver à l'élastique de mon string. Il l'agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.

 

Au fur et à mesure, Alors que j'éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentais une bouffée d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a porté à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis 7ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à 33ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

 

Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.

 

Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...

 

Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau derrière moi.

 

J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller. J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.

 

J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.

 

Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.

 

Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il m'a caressé avec son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros. Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.

 

J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui ait commencé à bouger les fesses. Doucement il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après 5 bonnes minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.

 

Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf, et ce pour 10 jours...

 

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 00:00
Bonjour,

pour ceux qui ne prendraient pas le temps d'aller visiter Revebebe, vous trouverez ci-après le texte que j'y ai posté et qui me vaut depuis, ce n'est pas le moindre des avantages, une correspondance endiablée avec une charmanate et craquante personne du nom de Solalnge ... Inconvénient : elle habite la banlieue de ... Montreal ...

Mais après tout, les limites ne sont-elles pas faites pour être dépassées !?

Bonne lecture et n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires

****************************************************************

8852

Je me délecte de vos histoires, certaines probablement des fantasmes et d'autres tellement vraisemblables qu'elles en sont envoûtantes, désirables...

 

J'approche de la quarantaine, je suis marié et amoureux de ma femme, coquine à souhait quand elle sait se défaire d'un zeste d'éducation judéo-chrétienne qui, sans la rendre prude, ne lui a toutefois permis que récemment d'être vraiment à l'aise avec le sexe et le plaisir, et ce, de manière de plus en plus libérée...

Ce n'est pas d'elle dont je vais vous parler maintenant mais d'une jeune femme qui m'a bouleversé et m'a fait tromper celle que j'aime tant...

 

Il y a quelques temps, j'ai dû rester à l'improviste sur Lyon pour cause de grève des contrôleurs du ciel. Mon avion était annulé. Ayant quitté un collègue sur un salon, je me dépêchai de le rappeler pour lui signifier ma présence ce soir-là ; il m'avait dit qu'il organisait un repas sympa avec collègues et ami(e)s. Nous devions retrouver F. le soir, afin de nous rendre à l'hôtel qu'ils partageaient (???) sur Chasse, puis rejoindre les autres. Compte tenu du bazar consécutif à cette grève, j'avais réservé, avec peine, un hôtel sur Vénissieux, et la navette entre hôtels, resto, etc... promettait d'être longue et fastidieuse.

 

J'en étais à me demander ce que je foutais là quand je vis, ou plutôt distinguai, une très agréable silhouette dans la 307 qui nous avait rejoint. Conversant au téléphone avec mon pote, la demoiselle avait le langage direct et franc des femmes qui bossent dans l'industrie et qui, par conséquent, ont pris l'habitude de ne pas se faire marcher sur les pieds par les machos environnants. C., tout en roulant, m'explique qu'il connaît F. depuis longtemps, qu'ils se sont également vus en famille dernièrement, bla bla...

Arrivés à leur hôtel, la première impression se confirme... Jolie jeune femme, la trentaine, enjouée, sympa... Pendant qu'ils prennent leurs chambres, j'arrange une location au Mercure voisin, ce qui simplifiera au moins la navette hôtel en sortant du resto.

 

Les revoilà. Décidemment, F. est mimi ! Un charme fou... On se connaît à peine et déjà elle partage mon apéro, alors que C. piaffe d'impatience pour repartir vers notre point de rendez-vous. On part. Elle est assise derrière, les bras accoudés sur chacun des sièges et son visage est proche de nous... J'aime son parfum...

 

On arrive au resto, le Bureau au sud de Lyon, et là, déception : il reste trois places, deux face à face, que prennent C. et F. et une, à l'opposé, sur laquelle je m'asseois... Au milieu, cinq gusses et une femme, amie de C.. Les autres sont des clients à elle.

Galère !

Heureusement, F. m'interpelle de temps à autre, avec un très joli sourire... Et le moment vient où, à la faveur d'un changement de place, je me retrouve en face d'elle. Elle me parle d'elle, de sa famille, de sa Chartreuse... Moi, je fais de même. Ses yeux brillent, et je me dis que cela peut être dangereux...

 

Ce resto est très sympa et deux frères, bons chanteurs, font régner une super ambiance (à priori, le jeudi, avis aux Lyonnais), enchaînant tubes sur tubes. C. ne danse pas, aussi nous sommes souvent, F. et moi, seuls à danser, avec les autres qui peu à peu s'éclipsent, nous laissant seuls au milieu de nombreux autres danseurs de tous âges, mais chez qui règne une vraie bonne humeur, décontractée et classe.

 

Arrive la série de slow. J'invite F. à danser. Je peux alors la serrer dans mes bras, et je sens sous un chemisier fin, une peau que j'imagine douce, quelques petites rondeurs – charmantes - au niveau des hanches et, toujours, ce parfum qui m'enivrait dans la voiture... Je pense que l'un comme l'autre, nous avions alors envie de nous jeter l'un contre l'autre, de nous serrer et de ressentir notre envie charnelle, sexuelle. Mais il n'en a rien été, hormis peut-être lors d'étreintes un peu serrées, zouk aidant ! C. est là et je le connais à peine, quant à F., je ne sais pas exactement quelles sont leurs relations...

 

Nous repartons, tard vers les hôtels. Nous devons nous lever tôt, eux pour un salon, moi pour filer prendre mon avion à Saint-Exupéry !

Ils me déposent au Mercure. Bisous appuyés à F. et un regard... Je les vois s'éloigner.

 

Je monte dans ma chambre et ne peux résister : j'ai, en début de soirée, noté le numéro de portable de la belle sur le kit main libre de C.. Je lui envoie un petit message, pour la remercier.

 

« Merci pour cette charmante soirée... L'heure est venue et Cendrillon s'en est retournée... Quand pourrais-je la revoir, pour me perdre dans la profondeur de ses yeux ? »

 

J'écris cela pensant "profondeur de ses yeux", oui, mais aussi "de son décolleté", "rondeur de sa croupe" moulée dans un jean qui lui allait à merveille... J'ai envie d'elle...

Le portable vibre, annonçant un SMS en retour :

 

« Bonsoir beau Prince Charmant... Bonne nuit, à moins que vous ne retrouviez mon soulier de vair ? »

 

Je suis à pieds ! Comment faire ? Avec une voiture, je serais déjà en bas de son hôtel !

 

« Il me semble en avoir un, qui pourrait être de votre pointure... Mais comment vous le faire passer ? Peut-être pourriez-vous venir vous rendre compte de visu ? Sinon, bonne nuit, je le garderai par-devers moi pour une prochaine rencontre »

 

L'attente n'est pas longue !

 

« Chambre 218 ? »

 

La coquine : elle avait noté mon numéro de chambre quand je les ai quittés dans le hall !

Le message en retour n'est pas long non plus !

 

« Oui, à tout de suite... »

 

Je me prends à douter : que va-t-elle faire ? Hésiter, comme je le fais et téléphoner par exemple ? Ou bien vais-je avoir la surprise d'entendre frapper ?

Vite, j'extirpe de ma valise ma trousse de toilette et file me passer un peu d'eau et me brosser les dents.

On frappe, je suis à la salle d'eau. Je lui dis d'entrer. Je sors de la salle de bains, elle est là, assise sur le lit. Elle s'est changée et arbore un adorable petit tailleur qui me permet de découvrir de bien belles jambes, gainées de noir, terminées au pied par de magnifiques escarpins (chausseur italien ?) du plus bel effet.

Il me semble que la veste est boutonnée à même la peau. De mon coté, je suis en pantalon à pinces, gris anthracite et en chemise blanche.

L'atmosphère est lourde, chaude, comme un soir d'été avant l'orage. Cette chambre sent l'amour...

 

Je lui tends la main pour qu'elle se relève et la fais tourner pour profiter du spectacle qu'elle sait m'offrir en s'étant parée ainsi ! Alors qu'elle tourne au bout de mon bras, je repose mon autre main sur la croupe effleurée précédemment... Alors qu'elle finit son tour, ma main a pu se rendre à l'évidence : j'ai senti, sous la fine jupe, la ceinture si caractéristique d'un porte-jarretelle... Coquine, la demoiselle ! Elle a senti ma manœuvre, m'adresse un regard de chatte et son plus joli sourire... Nous n'en pouvons plus et nos visages se collent l'un à l'autre dans un baiser torride qui n'en finit pas. Nous finissons, les lèvres humides de notre ferveur, par basculer sur le lit.

Elle m'enserre les jambes des siennes et, dans la chute, sa jupe est remontée. Une de ses cuisses est repliée sur les miennes, exhibant la dentelle du bas et l'attache de la jarretelle tendue sur le haut de sa cuisse.

Quel délicieux instant... Nous continuons nos embrassades fougueuses. Elle s'emploie à ouvrir ma chemise pendant que je lui malaxe l'extérieur des cuisses et les fesses.

 

On roule sur le lit et là, elle se donne, renversée sur le dos, cuisses légèrement abandonnées. Je peux glisser ma main entre elles, remonter sur un bas, en franchir la lisière... Découvrir la douceur de la peau nue, sentir que la belle frissonne alors que la main remonte vers l'aine... J'arrive à la fourche de ses cuisses et suis surpris de ne rencontrer aucun tissu. Le string doit être mini-mini, me dis-je, avant de constater qu'en fait de string, F. a tout simplement oublié tout tissu ! Je sens une toison douce, vraisemblablement taillée avec soin, tant en longueur que dans sa forme (C'est ce que j'adore : je ne suis pas de ceux qu'un sexe imberbe fait délirer, loin de là ! J'aime qu'une belle toison, soignée, dévoile peu à peu les secrets qui s'y cachent). J'ai hâte de voir ça ! Ses lèvres sont chaudes et déjà gonflées de désir...

F. a saisi mon sexe, tendu à l'extrême dans mon pantalon fin. J'ai un caleçon qui ne cache rien de ma virilité et F. semble satisfaite d'avoir ce bâton de chair dans la main. Elle s'active sur ma braguette, ma ceinture et ce maudit bouton, avant de faire jaillir ma queue dressée devant elle...

 

Elle la prend en main, fait quelques allers-retours dans le fourreau doux de sa main et joue avec la petite goutte de sperme translucide qui perle sur le gland. Elle me dit d'une voix douce :

 

- J'adore ça !

 

Avant de plonger sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Elle suce divinement bien (J'en étais sûr, depuis longtemps déjà !), alternant longues succions et coups de langue. Elle joue avec mes couilles aussi, les prenant dans la main, les griffant de ses ongles... Elle est ainsi à genoux en travers de moi et j'ai pu faire remonter sa jupe sur ses hanches.

Elle m'exhibe son magnifique cul strié par les jarretelles noires qui tendent ses bas Cette image est reflétée par la glace qui est sur le mur et elle est tellement abandonnée que ses fesses sont très légèrement écartées, laissant apparaître une délicieuse rosette (On est à Lyon !). Moi qui adore les feuilles de rose, je m'en délecte d'avance !

 

Je masse ses fesses, ses seins aussi, qui jaillissent d'un balconnet ajusté (Elle a quitté prestement sa veste de tailleur, ne voulant pas la tacher de sperme quand elle s'est jetée sur moi pour m'emboucher) et la fais pivoter. Un de ses genoux m'enjambe et nous nous retrouvons en 69. Elle a des jambes magnifiques et j'aime à faire crisser les bas sous mes caresses.

Je lui bouffe littéralement la chatte, en écartant ses lèvres pour y plonger ma langue dardée. Je titille son petit bouton d'amour qui a jailli de son capuchon, tantôt avec mes doigts trempés de sa mouille, tantôt avec ma langue ou la pointe de mon nez. Je passe ma langue, inquisitrice, de son mont de Vénus au périnée, en venant titiller son anus. La belle me pompe de plus belle, tout en poussant de petits gémissements quand ma langue vient humidifier sa raie et la jolie corolle, qui se contracte parfois à quelques centimètres de mes yeux. Je darde mon pouce dans sa chatte trempée et, avec le plat, entreprend de lui masser le pourtour de l'anus... Un « Hohhh, c'est boooon » me laisse à penser que F. est aussi très anale...

Me sentant venir et ne voulant pas m'arrêter aussi vite, je lui demande de ralentir sa cadence... Elle comprend et me dit :

 

- Viens, baise-moi, j'ai envie de ta queue dans mon ventre...

 

Elle se couche sur le dos.

Je lui fais face, la surplombant. Elle est belle, avec de beaux seins qui magnifient son buste, une petite toison effectivement taillée avec soin en un triangle parfait. Je m'approche et glisse ma queue entre ses seins, qu'elle saisit immédiatement pour les refermer sur ce sexe qui va et qui vient à quelques centimètres de sa gorge. Elle malaxe ses seins, titille ses pointes qui sont turgescentes. Elle voudrait que je vienne :

 

- Gicle sur mes seins, sur mon visage... J'ai envie de lécher ton sperme, de l'étaler sur mon ventre...

 

Nous ne sommes plus de deux bêtes assoiffées de sexe et du plaisir qu'il procure...

 

Je me glisse vers le bas, venant effleurer son mont de Vénus de mon sexe. Je caresse son sexe avec le mien. Elle saisit mon chibre pour se caresser le clitoris avec mon gland. Elle gémit... Je suis aux anges ! Que c'est beau, une femme qui se donne du plaisir !

Et puis, un peu brutale, elle dirige ce sexe vers sa grotte et s'y empale vigoureusement, d'un fort mouvement du bassin.

Je la besogne et nous prenons tous les deux beaucoup de plaisir. Je lui demande si elle aime la levrette. Elle me dit que oui et me demande si j'ai envie...

 

Elle se retourne, la tête dans l'oreiller, les fesses tendues vers moi. J'ai, une fois encore, une vue magnifique sur son cul qui, cette fois, est humide de ses secrétions... La peau est luisante, recouverte de mouille... Je ne peux résister et, empoignant les deux hanches, je plonge mon visage. Cette fois, je lui bouffe le cul. Tendrement d'abord, puis vigoureusement, je lui humidifie le pourtour de l'anus avec ma langue, je la darde et ne tarde pas à sentir le sphincter se relâcher. Ma belle gémit de plus belle et maintenant ma langue fait des allers-retours de quelques millimètres au sein même de ce joli cul, en assouplissant sa circonférence. Je me délecte à l'idée que je vais enculer ma partenaire. Remplaçant ma langue par mon pouce, je continue à assouplir le pourtour de l'anis puis j'essaie un doigt...

Quelle n'est pas ma surprise de sentir F. se contracter, brusquement ! Elle me dit :

 

- Vas-y doucement, c'est la première fois...

 

Je suis touché par cet aveu, par cette virginité à laquelle il y avait longtemps que je n'avais pas été confronté... Aussi je lui fais répéter !

Elle m'explique :

 

- J'ai déjà essayé, avec mon mari, mais chaque fois, cela m'a fait mal, alors je n'ai plus cédé... Mais cette fois, c'est différent, je te sens plus doux et plus attentionné...

 

Elle me pose des questions sur mes autres partenaires. Tout en continuant à lui masser l'anus et, cette fois-ci en réussissant à lui glisser l'index, je lui parle de ma femme, qui a découvert, après beaucoup de réticences, le plaisir anal, de la douceur avec laquelle cette relation doit être menée, de la volonté des deux partenaires, dans une recherche de vrai plaisir et non pas simplement pour satisfaire l'autre...

Elle me dit :

 

- Je veux essayer, avec toi...

 

Quel honneur, mon orgueil de mâle en est flatté, mais quelle responsabilité aussi...

Je m'accroupis à nouveau devant elle pour bien l'humidifier de ma langue et de ma salive et puis reviens doucement frotter mon gland contre son sexe, l'humidifiant entre ses lèvres, pour le faire remonter en plusieurs va-et-vient sur sa raie. Je marque d'un appui plus prononcé chaque passage sur l'anus. F. gémit doucement. Je remarque, à deux ou trois légères griffures sur mes couilles, qu'elle a glissé une main entre ses cuisses et qu'elle est en train de se masturber avec frénésie. J'adore...

Je m'avance sur les genoux, derrière elle et viens effectuer quelques va-et-vient dans la chatte trempée. J'approche mon gland de sa rondelle... Coquine et, vraisemblablement, un peu peureuse, c'est de sa main enserrant mon sexe qu'elle va imprimer la pression sur son muscle...

Je le sens se relâcher, je sens que son cul va bientôt s'ouvrir à mon gland... Ca y est, j'ai le gland fiché dans son anus... Nous ne bougeons plus... Je lui demande si je lui fais mal. Elle me dit :

 

- Ca tire, mais c'est bon aussi !

 

Je lui demande si elle veut que je me retire... Sa réponse fuse :

 

- Non, j'ai envie de te sentir, je sens que l'appréhension passée, ça va être bon... Apprends-moi !

 

Alors, doucement, je reprends ma poussée. Mon sexe s'enfonce lentement dans son fourreau. Elle a tourné la tête vers moi et se mord la lèvre supérieure... L'image est torride.

Quand je suis enfoncé à fond, je lui caresse le dos, remontant jusqu'à la nuque et lui demande comment ça va :

 

- Huuum, bien... me répond-elle.

- Veux-tu que je continue ?

- Oui, vas-y bourre-moi, bourre-moi bien, fais-moi jouir du cul...

 

Ces mots, cet encouragement, me font la reprendre par les hanches et entamer lentement, mais bientôt puissamment, un aller-retour contre son cul... A la fin, nous ne sommes que deux bêtes en rut et la chambre est ponctuée de nos râles et des claquements que font mes cuisses sur sa croupe...

Elle gémit de plus en fort, des « Ouiiii, aaaahhh, ouiiiii... Ohhh c'est boooon ».

F. est une femelle en chaleur qui se lâche, oubliant mari et enfants, toute à son plaisir...

Elle me dit :

 

- J'aime tes couilles qui battent contre ma chatte...

 

Et effectivement, la main qui était en train de la caresser vient les emprisonner pour les frotter contre sa vulve...

 

Bientôt, c'est dans un ultime râle qu'elle s'écroule sous moi, les jambes lâchant et poussant un cri « Aaaahhhh ». Je la suis, ne voulant pas sortir de cette emprise si douce et, après deux ou trois va-et-vient, me libère aussi dans son anus... Elle me dit :

 

- C'est bon, je sens les jets de foutre chaud dans mon cul, ohhhh je sens battre ta belle queue au fond de moi !

 

Nous nous embrassons, elle se retourne... Son sphincter, en se refermant, fait entendre le petit bruit caractéristique qui gène toutes celles qui découvrent ce plaisir... Elle est comme une chatte dans mes bras, pleurant et riant en même temps.

 

- Merci de m'avoir faite jouir ainsi, de m'avoir fait découvrir combien c'est bon par-là aussi...

 

Je lui dis qu'elle pourra ainsi s'offrir à son mari sans plus de craintes... Elle n'en est pas sûre, doutant de la nécessaire tendresse que celui-ci mettrait aux préliminaires...

 

C'est alors qu'on écoute des coups dans la paroi et une voix de femme nous interpelle :

 

- Voilà, maintenant que vous avez bien pris votre pied, on pourrait peut être dormir !?

 

Nous éclatons de rire, et lui souhaitons bonne nuit, la remerciant de sa compréhension... Il est près de 4:00 du matin !

 

(Très vite, mais il était déjà trop tard, je me suis reproché d'avoir manqué d'à-propos... Nul doute que cette femme avait été « chauffée à blanc », peut être même s'était-elle masturbée en nous entendant... J'aurais dû lui proposer de nous rejoindre... Après tout, qui ne demande rien n'a rien !)

 

Après un câlin réparateur et une douche que nous essayons de prendre le plus discrètement possible, F. doit repartir... Non sans m'avoir resucé comme une reine, à genoux devant la douche, après m'avoir vigoureusement nettoyé la verge avec des gestes qui ressemblaient plus à une branlette, pour me faire reprendre forme. Elle fait vite, et je n'atteins pas le point de non-retour... Elle se relève et me dit :

 

- J'en garde pour la prochaine fois...

 

Nous ne savons si et quand nous nous reverrons.

 

Le plus cocasse est qu'elle est partie en m'empruntant un slip, craignant que quelques écoulements malheureux ne viennent tacher la jupe de son tailleur (D'habitude les hommes sont friands de récupérer culotte ou string de Madame. Là c'est le contraire qui s'est produit...)

 

Quelques heures après, je prenais l'avion et rentrais. F. était sur le salon, un peu « dans les nuages », m'a-t-elle dit, en ayant « un peu mal au cul » aussi, m'a-t-elle avoué de sa plus jolie voix. Ce terme cru dans sa bouche, en-dehors du contexte de nos ébats de la nuit, m'a fait rebander instantanément !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 00:00
Bonjour,

je ne peux que vous inciter à découvrir Revebebe (cf liens), pour ceux qui ne connaissent pas ... Vous y découvrirez nbre de récits délicieux, de ceux qui vous font vibrer dans votre boxer short (valable pour filles et garçons, il n'y a pas de sexisme dans ceci :!)

J'ai particulièrement apprécié le recit de Viviane, n° 8857,; a qui j'ai adressé le mail suivant ... N'hésitez pas à le commenter, à elle comme à moi

Bisous coquins

******************************

Bonjour Virginie

Vous dites ne pas être experte dans l’art de l’écriture ! Je puis vous
dire en revanche combien j’ai apprécié votre texte, duquel il ressort
une très grande sincérité, ainsi qu’un bel érotisme !

Je ne fais pas partie de celles à qui vous demandez leur avis.
Permettez toutefois de vous livrer mes réflexions à la lecture de
votre si joli texte : vous avez bien fait ! N’ayez pas de remords,
mais continuez à croquer la vie et à vous faire plaisir …

Vous vous décrivez si bien, comme tant d’autres, ayant vouées leurs
dernières années à un mix entre vie professionnelle, enfants, mari …
et vous oubliant, toute occupée à ces multiples occupations. En
revanche, vous avez fait cette analyse et avez relevé ce défi pour
vous-même.

Nous sommes tous beaucoup trop imprégné de notre morale
judéo-chrétienne, quelles que soient nos foi et croyances. Cette
éducation est imprégnée en chacun de nous, fruit de décennies, de
siècles de cette culture. Il est une culture du non-dit, du plaisir
interdit ou nié (cf la masturbation, que mon épouse a mis longtemps à
pratiquer alors que c’est la pratique qui permet de se découvrir soi
même, ses zones érogènes … de ressentir du plaisir, et ensuite de
finement guider son partenaire si besoin. Vous-même parlez de ‘’ ne
pas revenir à des pratiques de collégienne’’, avant de vous y
abandonner dans une débauche de sensations que vous décrivez si bien …
Je n’ai pas honte de dire que, quand je suis seul, je me livre parfois
à de très bonnes et intenses sessions de plaisir dit solitaire).

Par ailleurs, notre vie est ainsi faite que nous sommes en permanence
confrontés à la tentation, nous sommes dans une société de
consommation où l’on jette ou zappe, …parfois même enfants et femme
(parfois mari) … c’est une tendance ‘in’ mais inquiétante, si on juge
la multitude de divorces qui nous entourent, parfois pas très glorieux
… Le manque de dialogue entre époux, absorbés dans une routine qui
nous ‘’bouffe’’ semble être une des grandes cause de cette
désaffection entre des êtres qui se sont aimés … L’abandon de soi-même
et l’oubli d’attention envers l’autre sont d’autres écueils …

Par ailleurs, il semble indéniable que l’Amour, non pas seulement les
sentiments mais les actes sexuels soit crucial dans notre bien être.
On commence à le reconnaître ! Faire l’Amour libère des hormones
bénéfiques tant pour le moral que la santé en général … certaines
études tendent maintenant à le prouver, cautionnant scientifiquement
l’adage du ‘’mal baisé(e)’’pour désigner le ronchon de service, qui ne
sait jamais apprécier les bons cotés de la vie.

Vous avez choisie, ressentant la solitude, vos grands enfants partis,
votre mari trop souvent parti ou absorbé dans sa vie professionnelle,
de prendre soin de vous … Continuez.

Je vous imagine, très belle femme (intérieurement comme votre texte le
prouve, quand à votre plastique, je m’en remet au jugement d’Alexandre
tel que vous le reportez !), soucieuse de votre image pour les autres
(merci pour eux !) comme pour vous : combien de femmes – et d’hommes –
oublient si facilement cet important facteur de bien être, pour eux
même comme pour leurs conjoints, amis, amants … Vous parlez lingerie
fine, dentelle, porte jarretelles .. ; hummm, …

Sachez que les femmes comme vous sont terriblement séduisantes,
mélange de féminité et d’assurance.

Je sais que vous exprimez clairement ne pas vouloir de propositions
d’hommes, toutefois je me permettrai d’en faire une.
Comme vous, je ne recherche pas les couchailleries (mignon le terme,
je ne la connaissais pas !). Si vous souhaitez me découvrir un peu
plus, je vous invite à me lire dans le texte 8852 … après, je vous
ferais une confidence !
J’ai 38 ans, marié, trois enfants, une femme merveilleuse et que
j’adore, un peu moins coquine que moi peut être (bien que elle soit
avide de découverte, et puisse se laisser aller de manière torride
quand la situation s’y prète) ; ni Apollon surmusclé, ni petit, gras,
bedonnant … on me dit assez mignon (ma modestie dusse en souffrir), je
travaille à l’export et ai moi aussi une activité assez prenante … et
me délecte des histoires érotiques de Revebebe quand je me retrouve
seul en déplacement …

J’aimerais beaucoup lier une amitié, même virtuelle via la dans un
premier temps avec une femme comme vous assumant pleinement ses désirs
et sa sexualité (courageux, comme cela de faire appel à un escort …
quand il eu été certainement plus ‘’facile’’ de draguer un homme …
mais vous en expliquez si bien les raisons …
Si nous devions le souhaiter, ensemble, alors ensuite peut être
pourrions nous nous appeler, prélude peut être à une rencontre autour
d’un verre, pour un déjeuner en terrasse (l’été arrive …) ou un dîner
au gré de vos disponibilités et de mes passage sur Paris (j’habite
dans l’Ouest de la France) …
Et puis peut être (mais je vous assure que ce n’est pas mon but
premier ; en revanche, il serait hypocrite de ne pas en parler, c’est
une suite possible et … excitante), aurions nous envie d’aller plus
loin …
Je vous le répète, sentez vous bien … une réponse n’engage en rien, si
ce n’est à mieux se connaître… rien ne sera jamais que librement
consenti entre nous ….

Et puis, si la gratuité vous effraie, nous pourrons toujours nous
arranger … au restaurant et ailleurs ! (j’espère que cette touche
d’humour sera prise comme telle et ne viendra pas nuire à l’image que
vous avez peut être pu commercer à vous forger à la lecture de cette
réponse, comme de mon histoire érotique …)

A bientôt ! Permettez-moi d’espérer.

Je vous embrasse tendrement, comme on le ferait à une amie de toujours
(c’est sincèrement l’impression qu’à fait naître la façon que vous
avez eu de raconter votre histoire ! Bizarre non ?)

Libertin49


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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