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Echanges libertins

Mercredi 15 août 3 15 /08 /Août 11:26

Bonjour les coquins,

de retour de vacances (et oui, il faut bien reprendre !), nous sommes allés faire un tour sur nos sites favoris, embrasser virtuellement nos ami(e)s ... et nous en somme revenus "gonflés à bloc", au propre comme au figuré ... lol !

Ce post sera consacré comme son nom l'indique, à la compil de l'été que nous ont concocté David et Véro … vous vous rappelez d’eux ? Peut être pas … de Véro, surement si je vous dis Vertige ! Re-balayez nos post, ou mieux, leur site et vous verrez que vous ne l’oublierez plus ... lol !

Bref, les coquins trouvant qu’on ne vote plus assez ces temps ci, nous ont préparé une compil que vous pouvez découvrir, en extrait, sur leur site … et ils nous, ils VOUS demandent de voter (nous, c’est fait ! Nous avons le sens civique !).

 

N’oubliez pas de le faire, AVANT le 31 Août … car après il sera trop tard !

 

Pour vous donner une idée …

 

Video 1

Video 2

Video 3

 

 Bisous coquins à nos amis David et Véro … vous nous comblez ! Continuez

 

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 19 juillet 4 19 /07 /Juil 18:34

Vraisemblablement une histoire rédigée par une coquine de la belle province … Qu’elle ne nous en veuille pas, nous avons légérément retouché le texte, pour le faire correspondre à nous, nos fantasmes, nos style de récit … qu’elle en soit ici remerciée !

 

La journée au bureau se termine;  Tu te diriges vers la galerie marchande. Tu n’as pas vraiment quelquechose à acheter mais si tu pars tout de suite, tu sais que tu seras bloquée dans les interminables bouchons liés aux départs en vacances.

Alors tu flânes entre les boutiques ;  Elles sont pleine à craquer.

 

Tu te promènes ici et là sans but particulier, juste pour tuer le temps.

En sortant du magasin de musique où tu es allé voire les guitares, tu remarques un jeune homme qui, assit sur les canapés qui parsèment la galerie, t’observe en silence. Vos regards se croisent ;  un peu gênée, sans vraiment savoir pourquoi, tu lui souris.

Il te retourne un sourire rapide avant que tu ne détournes le regard.

 

Il est plus jeune que toi, mi vingtaine, peut-être un peu plus mais sûrement pas trente ans.

Sa barbe est courte et bien taillée, ses cheveux bruns sont bien coiffés, il est habillé d’un beau costume, et ses pieds portent de très belles chaussures.

En un mot, tu le trouves élégant, même séduisant.

 

Un peu troublé par ce regard perçant, tu passes ton chemin et continue ta visite, au gré des envies, des choses aperçues en vitrine.

Sans que tu ne le remarque vraiment, tu le croises deux ou trois fois au détour des couloirs et des magasins. Tu te feras la remarque après. Chaque fois, ses yeux se sont posés sur toi.

A ce moment, tu n’y prête pas attention : C’est sûrement le hasard, son trajet doit être semblable au tien, te dis-tu.

Tu le remarques enfin, quand dans un magasin de lingerie, tu t’aperçois qu’il t’épie entre les rayons.

Maintenant tu ne crois plus au hasard.

À bonne distance, il ne te quitte pas des yeux. Il suit chacun de tes mouvements. Rien ne lui échappe. Malgré une pseudo gêne, sa présence calme ne te dérange pas vraiment.

Il dégage une sorte de charme silencieux qui, sans que tu n’y prennes garde, commence à t’envoûter.

Tu lui souris, sans gêne cette fois.

À son tour il te souri, mêlant sont regard au tien.

Tu ne peux supporter très longtemps son regard profond et posé.

Tu as l’impression qu’il fouille ton âme de ces yeux, voire même qu’il te deshabille.

Te sentant légèrement rougir, tu détournes la tête. Il fait un pas vers toi.

 

Sans comprendre tu vas te réfugier dans une autre boutique. Mais lentement, il te suit d’abord des yeux avant de marcher une fois de plus en ta direction, te suivant.

Dans la boutique suivante, tu fais mine de t’intéresser à une robe, mais dans le fond tu tentes par tout les moyen de voir s’il est la ou non.

Tu ne le vois plus. Il semble nulle part, mais tu sens sa présence, comme si la boutique rapetissait. Tu es sure qu’il est là, quelque part, à te contempler.

Voulez-vous essayer cette robe  te demande une vendeuse, interrompant ta rêverie.

heuuu… heeuuu … oui bien sur  t’entends tu lui répondre presque automatiquement tant ton esprit était concentré ailleurs.

Tu entres dans la cabine, et te déshabilles.

Quand soudain, sous la porte, tu distingue des jambes avec pantalon anthracite et des belles chaussures de cuir noir. Les chaussures, tu les reconnais : Tu sais que c’est lui.

Il tourne en rond devant la cabine comme s’il attendait patiemment que tu sortes pour approuver cette nouvelle tenue. L’air de la cabine se fait plus chaud. Toujours en sous-vêtement, tu te surprends à espérer qu’il entre dans la cabine. Comme dans un rêve, ta main s’avance pour ouvrir le verrou. Tu vas entrouvrir la porte … et on verra bien

TOC TOC … ton cœur arrête de battre !

Madame avez-vous besoin d’aide pour essayer la robe ? demande la vendeuse.

 

Reprenant tes esprits, tu affirmes, un peu maladroitement, que non, que tout va bien.

Au contraire ça ne va pas du tout! Tu es à moitié nue dans une cabine d’essayage à attendre qu’un homme, bien plus jeune que toi, ouvre la porte  … qu’espères tu ? qu’il te fasse l’amour, certainement. À cette pensée, tu remarques que tes mamelons sont durs et passant ta main sur ta toison et tes lèvres, que ton sexe est déjà humide de désirs.

Chassant ses images de ta tête, tu te rhabilles en vitesse, te convaincant qu’il faut chasser ses folies de ton imagination.

Car enfin ! Tu ne là pas vraiment vu, dans cette boutique ! Tu espérais le voir mais rationnellement, tu te dis que non, qu’il ne t’a pas suivi.

Prenant une grande respiration, tu sors de la cabine.

Et là  … Il est là à moins de dix mètres de toi.

Son sourire est large et franc, son regard toujours aussi perçant comme s’il savait ce que tu ressens.

Tu rougies, une fois de plus sous son regard que tu vois maintenant distinctement, de beaux yeux bleu gris. Baissant la tête pour cacher ton désarroi, tu balaie sa veste, son pantalon et ses chaussure ; sans aucun doute, c’était lui !

Ta tête s’enflamme. Des idées et des images érotiques t’envahissent. Tu te vois nue,  te donner à lui. Tu sens son membre entrer en toi. Tu sens son souffle sur ta peau. Tu n’as plus le contrôle de ton corps, seul le plaisir compte désormais.

Troublée, tu tentes de relever la tête, et de lui faire face.

Mais s’est sans espoir ! Tu ne quand même pas peux rester là, comme si de rien n’était.

 

Lorsqu’il avance d’un pas, tu sens tes genoux faiblir, ton cœur s’accélère.

Son silence ajoute une touche de mystère. Sachant que c’est la seule chose qu’il te reste à faire, tu te retournes et t’en va. Evidemment il te suit, de sa démarche sure, assurée et calme. Tu entends le bruit de ses pas

Tu ne sais pas alors si s’est lui ou toi-même que tu fuis. Il s’est un peu rapproché, tes fantasmes remontent. Tu imagines ses mains caressant ton corps. Tu te vois appuie contre le mur tandis qu’il te prend. Tu sens sa bouche venir se collée sur ton sexe. Tu rêves de prendre sa verge au creux de ta bouche. Sans arrêter de marcher, tu sens toutes ces sensations qui t’envahissent, tranquillement mais sûrement tu perds contact avec la réalité.

Tes pas te conduisent sans but, à travers le dédale de la galerie … sans t’en rendre compte, tu arrives à une des extrémités :  il y a de moins en moins de monde dans ce coin.

Tes pensées te font complètement oublier où tu es.

Tu n’as que seule envie, que cet inconnu te prenne … tu le sens viril, fort mais distingué. Bizarrement, tu redoutes les instants que tu devines, mais ne le crains pas vraiment.

Un couloir vide, faiblement éclairé, qui va vers le parking.

Sans même réfléchir, tu l’empruntes. Sans courir, tu accélères le pas, mais plus que tu ne fuis, c’est l’excitation qui guide le rythme.

Dans un des recoins, deux portes : une, les toilettes Hommes et l’autre, marquée Service.

Sans réfléchir, tu choisis de pousser la seconde porte. Tu entres dans un entrepôt, vraisemblablement des agents de service . Bizarre que ce ne soit pas fermé.

 

Autour de toi, s’éparpillent divers objets, caisses, outils, …. Tu t’arrêtes, et lui tiens la porte. Il est presque collé à toi. Il souffle doucement sur ta nuque. Ce premier contact est une décharge dans tout ton corps. Les images que tu vois sont pleine de sensualité et de désir.

Ton dos se cabre sous l’intensité du désir qui t’assiège.

Tremblante d’excitation, tu te retournes vers lui. Fermant les yeux, tu lui offre alors tes lèvres. Une main glisse sous ton cou, prend ta nuque et t’attire à lui.

Sa bouche se pose sur la tienne. Lorsque sa langue passe sur tes lèvres, tu t’effondres dans ses bras ;  le nez enfoui sur son torse, tu sens son odeur qui t’enivre. Ton corps brûle de l’intérieur. Ton esprit est rempli de fantasmes, il met une main au creux de tes reins et te colle à lui.

Tu sens son sexe qui forme une bosse dans son pantalon ; il va à l’encontre de ton ventre.

Tu le saisi d’une main sans cesser de l’embrasser. Au travers du tissu, tu masses son pénis qui continue de grandir dans ta main. Il prend un de tes seins et le pétrit avec force. La tête renversée en arrière, tu savoures cette première caresse. Ses lèvres partent de ta bouche et parcourent ton cou en direction de ta poitrine. Chacun de ses baisers sont un feu agréable sur ta peau, c’est un mélange de douceur et de fermeté.

Ce mélange de délicatesse et d’autorité te fait chavirer. Ton esprit ne t’appartient plus, tu lui offres ton corps sans aucune retenue. D’un seul mouvement rapide, il ouvre ton chemisier. D’une main, il sort un de tes seins de ton soutien gorge. Il prend ta poitrine plantureuse et généreuse de ses deux mains. Ses caresses sont fortes et précises sur tes seins. Alors que sa bouche lèche le sein sorti, s’attardant sur le mamelon, une main plonge sur vers ton entrejambes. Sa main prend ton sexe à travers la jupe. Et le serre. Sa poigne est comme un étau et ne se relâche pas. Tu sens ton sexe être écrasé dans sa paume. Cette pression prolongée sur ton Mont de Venus, allant jusqu’à presser sur le clitoris t’excite au plus haut point. Le plaisir est tel que tes jambes deviennent molles. Sans desserrer sa prise, l’autre main dans ton dos, il accompagne ta chute en douceur pour t’allonger sur le sol. Ton corps est à lui.

Relevant les hanches, tu l’invites à te dévêtir. Il accède à ta demande, et te retire jupe ainsi que sous-vêtements. Il remonte tes jambes. Partant de tes chevilles ses mains parcourent tes mollets. Avec une lenteur infinie, ses caresses parcourent tes cuisses. Ses doigts s’arrêtent juste avant ton sexe qui ruisselle de désir.

Il se penche vers toi, et sa bouche se pose sur ton sexe.

 

Il te déguste, d’abord tendrement, dans tous les coins de ton intimité.

Oui, sa langue se fais plus forte. Il te mange avec plus de vigueur, aspirant, bécotant ton clito. Et finalement, il te dévore. Ses mains se joignent à sa bouche. Il enfonce ses doigts en toi. Il fait des allers retour ultra rapides avec sa main tandis que qu’il garde ton clito prisonnier de ses lèvres.

Tu sens que tu vas bientôt jouir. Tu cabres les reins, tenant tes seins de te mains, tu pousses un long soupir. Ses doigts enfouis dans ton sexe te poussent vers l’orgasme. Puis quittant ton sexe, il se relève devant toi. Tu sais très bien que c’est maintenant ton tour de s’occuper de lui.

Tu te relèves sur les genoux. Ton visage est au niveau de son sexe, fébrilement tu défais sa ceinture et ouvres sa braguette. Son pantalon tombe à ses chevilles. Son sexe est dur et droit devant toi. Tu ouvres la bouche pour commencer à le sucer. Mais il t’empêche, au lieu d’enfoncer son pénis au fond de ta gorge, il fait passer son sexe sur tes joues et tes lèvres Tu aimes cette nouvelle sensation de soumission, tu sens que tu ne te contrôles plus, seul son plaisir importe maintenant. Tu prends son sexe fermement. Tout en le masturbant, tu fais glisser son gland sur ton visage. Il doux et chaud, cette caresse ta peau te fais frémir. Tu passes et repasses son sexe sans relâche sur ta figure.

Tu as le goût de lui faire plaisir, mais tu sais aussi pouvoir être surprise ainsi, sans équivoque, toi les fesses et les jambes nues, le chemisier ouvert, à genoux devant un homme au pantalon baissé. Bizaremment, tu te rends compte que ceci semble décupler ton excitation. Au diable, le "Qu’en Dira t’On" !

Tu ouvres la bouche et l’avale au plus profond de ta gorge. Tandis que tu le suces avec un plaisir évident, lui commence à se déshabiller. Il laisse tomber sa cravate, sa chemise et son veston à tes cotés. Son torse est sculpté au couteau, sa peau doré par le soleil, un régal pour tes yeux. Ses mains massent tes épaules et tes seins. Puis prenant ta tête, il t’impose un rythme plus rapide.. En fait, il est en train de se branler entre tes lèvres … Tu aimes te soumettre à son plaisir, et t’applique du mieux possible, creusant les lèvres, caressant le gland de ta langue qui l’entoure, qui va titiller le méat et en récolter les délicieuses gouttes qui y perlent.


D’une poigne de fer, il te saisit soudain les poignet, et te guide avec délicatesse : en fait, il te relève. Debout devant lui, tu retires ton chemisier et fait valser ton soutien gorge qui vont rejoindre le reste de vos vêtements sur le sol.

Te tenant une main, il te fait tourner devant lui, comme si tu étais une partenaire de rock. Il t’admire sur tous tes angles. Satisfait, il sourit et te tire à lui. Sa peau est chaude contre la tienne. Vous vous découvrez mutuellement, ses mains dansent sur ton corps, les tiennes caressent son torse, son dos, ses fesses puis enfin son sexe.

Sans que tu t’en aperçoives, tu te retrouves le dos contre une pile de boîte de carton. D’un geste sans équivoque, il écarte tes cuisses. Enfin il va te prendre.

Tu retiens ton souffle. D’un seul coup de rein, il entre en toi et se loge au fond de sexe.

Tu laisse échapper un cri de plaisir. Son sexe rempli tes entrailles. Ses mains caressent tes seins, il t’embrasse langoureusement.

Puis il commence des lent va et viens en toi. Son pieu de chair te fait trembler de plaisir, un feu te brûle te plus en plus. Ses mains sont descendues sur tes fesses qu’il malaxe maintenant vigoureusement … tu adores ces caresses, ses mains fines et musclées qui te massent, qui resserrent tes globes mais aussi les écartent parfois … tu as l’impression qu’il offre ton cul … aux cartons sur lesquels tu es appuyée. Tu deviens folle, et ton esprit part dans des idées les plus folles … tu te plais à imaginer ton gode ventouse … comme tu aimerais l’avoir fixé là, se baladant entre tes fesses ….

Tu montes et descends ton bassin à un rythme effréné, tes jambes passent autour de ses hanches. Tu accroches à ses épaules, lui te soutiens par les fesses … tu sens ses doigts se faire plus coquins. Tu subis ses assauts sans relâche.

Tu ne touches plus au sol, tant ses coups de reins sont puissants. Il ahane en même temps, tu sens qu’il prend du plaisir lui aussi.

Puis en douceur, il repose, il te retourne. Son torse collé contre ton dos, tu sens son membre glisser entre tes fesses, et se positionner … devant l’entrée de ton sexe. Tu prends appuie sur les cartons devant et pousses ton cul vers l’arrière. Tu aurais presque voulu qu’il tente une sodomie, tellement tu es excitée.

Tu sens son pénis entrer en toi. Ses mains sur tes hanches, il commence à te pilonner.

Ta respiration ce fait rapide, ton corps se couvre de sueur. Tu sens des gouttes perler sur ton dos et couler le long de ta colonne vertébrale.

Pour la troisième fois maintenant, ton sexe se contracte avant d’exploser dans un puissant orgasme. Les coups de butoir de ton amant se maintiennent, lents et profonds. Il te colle contre lui. Quand tu sens des spasmes parcourir son dos.

Dans un dernier coup de rein, il sort de ton ventre et éjacule sur ton ventre ; la chaleur de sa semence te procure un dernier moment de bonheur. Il s’excuse, bredouille qu’il n’avait pas de capote … tu n’y avais même pas pensé … les pires idées te traversent alors la tête … tu t’es laissée aller avec un inconnu ! Qui te dit ?

Mais non, il a l’air gentlemen, non seulement dans son allure mais dans la façon dont il t’a fait l’Amour.

Blottie contre lui, son sexe qui bat toujours sur ton ventre, comblée, tu sais qu’à partir de maintenant … tu lui appartiens.


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 5 juillet 4 05 /07 /Juil 01:12

Depuis quelques jours, je ressens une douleur sur la verge ... C. me pousse à aller voir un médecin ... je retarde ce moment, et puis finalement prend un rendez-vous.

 

La secrétaire médicale ne m’a pas dit que le Dr .... est en congés, aussi je suis particulièrement surpris quand la porte s'ouvre et que s'avance vers moi une superbe créature blonde.


C'est la fin de journée, il a fait une chaleur étouffante ... tout en saisissant la main qu'elle me tend pour me faire entrer, je la détaille rapidement : grande, élancée, un carré mi long blond, dont les cheveux sont négligemment passés derrière l’oreille, un chemisier généreusement ouvert sur une poitrine qui semble charmante, par-dessus une blouse blanche … de beaux escarpins noirs … un mélange très séduisant d'austérité professionnelle et de grande féminité.

 

Elle me fait rentrer, et m’asseoir. Je lui explique ces picotement et brulures que je ressens parfois. Elle me demande de me lever, de me déshabiller  

 

Je vais regarder, dit-elle !

 

Je découvre mon torse, ouvrant ma chemise, dégrafe ma ceinture, fait tomber mon pantalon et mon boxer tandis qu’elle fait le tour de son bureau et se rapproche de moi …

 

Pfouhh, la situation n’est pas simple, car cette toubib est un canon …

 

Elle s’approche … je suis là, torse et verge à l’air … elle me dit en souriant, tout en se frottant les mains :

 

J’espère que cela ne sera pas trop froid, j’essaie de me réchauffer les mains.

 

Je sens sa main se poser sur ma verge … ouahou … non, ce n’est pas trop froid, mais très doux … se doigts sont de velours, et elle est là, à me palper … je tente de rester concentrer, mais mes yeux sont attirés par l’ouverture du décolleté …

 

 

 

Elle sourit et me dit :

 

Restez sage, et calme … comment voulez-vous que je mène à bien mon examen … ?

 

Elle termine sa phrase en relevant la tête et en venant pointer la flamme de ses yeux dans les miens … elle est féline à cet instant, comme si elle allait fondre sur sa proie.

Elle tient mon regard, tandis que j’ai de la peine à faire de peine … je sens son souffle s’accélérer, plus exactement il me semble que les amplitudes de sa poitrine sont plus fortes … un léger rougissement vient colorer ses pommettes …

 

La suite … vous l’imaginez … à vos plumes maintenant.

Sera-t-elle cohérente avec la série de photos que nous avons ? Dans le cas contraire, nous le ferons …

Bisous

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 13:57

Petit à petit, nous tissons une toile d'Ami(e)s coquin(e)s, qui même s'ils restent souvent virtuels, partagent les mêmes valeurs que celles qui nous animent.

C'est ainsi que nous souhaitons vous faire découvrir Sand et Eric, un très joli couple qui nous ravi par la qualité de leurs photos ...
Allez leur rendre visite, ils sont mimi comme tout, Sand est à croquer (et C. confirme que Eric est tout à fait à son gout !!!)

C’est ici !

 

Et puis, un couple Angevin que nous découvrons … et que nous ne résistons pas à l’envie de vous inciter à faire de même … Ils semblent tout aussi cérébraux et coquins que nous le sommes, vraisemblablement plus initiés … Leur book est sympa à regarder et ne demande qu’à être agrémenté de photos de Justine …. Et peut être de Jacques pour satisfaire la curiosité de nos ‘’moitiés’’ !

 

Bisous


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 12 juin 2 12 /06 /Juin 01:59
Bonjour

nous vous livrons cette belle histoire qui nous a bien plu à tous les deux. Espérant qu'il en soit de même pour vous ...
Bonne lecture

F&C

Mélodie s'est levée tôt ce matin, réveillée par le soleil qui traçait déjà de grandes zones de lumière sur le parquet du séjour.

Elle déguste un grand bol de céréales au lait, assise sur un tabouret haut, une cuisse sur le bois verni, l'autre jambe pendante. Elle a négligemment enfilé une courte nuisette, histoire de ne pas être complètement nue. Elle rêve encore, ses cuisses écartées, légèrement engluées d’une fine pellicule qui marbre sa peau , encore douloureuses de la nuit passée. Matthieu dort encore, d'un sommeil récupérateur...

 

Mélodie travaille dans un labo de la ville, elle est grande, brune au teint mat et affiche avec assurance et fierté ses 26 ans. Matthieu est visiteur médical et passe très régulièrement au labo afin de s'assurer d'une logistique parfaite.

 

La veille, en ce bel après-midi de juin, Mélodie lui semblait comme une déesse, elle avait osé sa jupe ultra courte et un chemisier suggestif drapé de soie à reflets dorés lui sublimant sa silhouette et ses jambes halées. Il en était dingue, fou dingue ; qui n'eut pu l'être ?

Depuis quelques semaines déjà, il s'installait entre eux une certaine complicité. Ce n'était plus un démarcheur lambda, mais une personne attachante. Elle prêtait de plus en plus attention à ce beau jeune homme élégamment vêtu d'un costume sombre de grande marque.

Leurs regards se croisent, quelque chose de coquin larmoyait dans ses yeux. Mélodie desserra les lèvres qui s'entrouvrent laissant darder le bout de sa langue. Les yeux de braise, Matthieu avait saisi ce signe ; ils étaient sur la même longueur d'onde. Elle, conquise, respirait une grande bouffée qui lui gonflait les seins, dont les pointes marquaient l'étoffe.

- Puis-je te retenir ce soir ?  lui suggéra-t-il

Ce regard, ce tutoiement, Mélodie fondit, ne sachant que répondre, elle acquiesça d'un clignement des yeux...

- 19h au Maharadjah...

Et il s'en allait. Elle le regarda partir... qu'il était beau.

Le reste de l'après-midi lui sembla affreusement long, les secondes sur la pendule s'égrènent trop lentement. Elle quitta enfin le labo, passa faire deux, trois courses et s'arrêta devant sa parfumerie préférée. Son amie Sylvie saurait sûrement la conseiller sur un parfum sensuel, celui qui dope et fait craquer les hommes. Elle se rendit au restaurant. Matthieu était déjà assis à une table un peu à l'écart des autres. Un baisemain presque ringard apportait une touche très voluptueuse à ce début de soirée. Le repas se déroula merveilleusement, l'ambiance orientale, des épices inconnues achevèrent de transporter Mélodie dans un autre monde qui la fit littéralement flotter... que lui arrive-t-il ? Ils ne pouvaient se quitter comme cela... le rêve ne pouvait s'arrêter ainsi et elle l'invita chez elle.

La porte de l'appartement se referma, Matthieu la suivait, la collant presque. Il la prit délicatement par les hanches, dégageant la soie de son épaule droite et posa ses lèvres dans le bas du cou. Mélodie surprise, bascula la tête pour mieux apprécier cette attention. Son parfum le subjugua, il ferma les yeux, frotta lascivement sa joue contre son cou. Il bandait, droit comme un i dans son string de coton léger et tout naturellement se cala dans la raie qui sépare le postérieur de Mélodie.

Elle glissa sa main le long de son corps, de ses fesses à la rencontre de cette virilité pour en apprécier la forme, descendit et massa très délicatement ses bourses. Matthieu enserra la taille de ses deux mains puis remonta doucement vers les seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge, la coquine. Cette caresse lui transmit un frisson de bonheur. Elle gonfla sa poitrine. Il lui massait ces deux pamplemousses, puis délicatement entre les index et majeurs il lui pinçait les bouts qui s'érigeaient fièrement. La respiration se fit haletante. Une rapide volte-face les plaça face à face, yeux dans les yeux qui en dirent long sur leur désir. Elle leva les bras. D'un mouvement ascendant, tout en frôlant sa poitrine Matthieu enleva cette étole qui ne la rendit que plus désirable.

Mélodie avec grande délicatesse lui ouvrit la chemise, glissa sa main douce bien à plat puis lui retira cet écran. Elle défit la ceinture, ouvrit les boutons et laissa choir le pantalon à ses pieds

Il fit glisser le zip de sa jupe. Elle portait un string de dentelle mauve qui contrastait à merveille sur sa peau halée. Ils s'enlacèrent, et s'étreignirent de manière fusionnelle. Elle lui griffa les fesses ; en réaction il contractait ses biceps et ses abdos, qui la firent fondre. Elle se sentait bien, protégée par cet homme fort et viril, lui malaxant ses bras musclés. De ses mains puissantes, il pétrissait doucement le postérieur de Mélodie. Un doigt jouait avec l'élasticité de la dentelle, faisant rayonner des ondes de volupté. Sa queue lui faisait mal, à l'étroit, coincé contre le ventre plat de la belle. Elle avait gardé ses escarpins sachant très bien qu'un homme fond à la simple vue du galbe fuselé d'un mollet tendu. Un baiser profond unit leurs langues et leurs salives leur faisant oublier ce monde pour un temps.

Doucement, en écartant les cuisses dans un exercice reptilien elle se glissa, tout en gardant le contact de sa peau avec le corps musclé ; ses ongles lui rayent le thorax puis les abdominaux. Inconsciemment Matthieu écarta légèrement les jambes d'aise et de stabilité. La bouche de la belle était maintenant à la hauteur de son membre. De sa main, au travers du rideau de coton, délicatement elle apprécia sa longueur, sa vigueur. Elle inclina la tête et mordit la bête à travers le tissu.

Ses mains s'agrippaient à l'arrière des genoux de Matthieu puis remontèrent le long des cuisses musclées ; elles épousèrent la forme concave de ses fesses et glissèrent sous l'élastique du string qu'elle tira vers le bas. La verge restait coincée dans l'étoffe puis bondit à la figure de Mélodie tel un boomerang. Matthieu se sent libéré, fier et tendu dans un garde à vous respectueux devant la belle.

Elle fit de ses lèvres un rond d'admiration qui mimait la satisfaction. Deux doigts cerclèrent le membre à la base du gland puis d'un lent mouvement en arrière, elle le serra et coulissa vers la base décalottant ce gland tant désiré. La tête jaillit hors de son fourreau. Les lèvres goulûment prirent le relais. Matthieu banda ses muscles fessiers, ce qui n'avait pour effet que de projeter plus en avant ce membre partiellement englouti. Une main de la belle glissa sous les bourses lourdes et pleines qu'elle empoigna, soupesa, et glissa un doigt vers l'anus qu'elle titilla. Elle glissa son autre main le long de son ventre plat puis dans son petit triangle de dentelle, la plaquait sur cette zone élargie par le compas ouvert de ses cuisses. De son majeur, elle excitait son clitoris protubérant puis s'engouffra dans son antre avide et moite. La belle se donna du plaisir tout comme ses lèvres serrées sur la hampe transcendaient Matthieu. Elle se délectait de ce membre qui coulissait plus et moins entre ses lèvres voluptueuses. Matthieu n'en pouvait plus, sa verge palpitait au rythme de son cœur, il était au bord de l'effondrement. Il sentait sa jouissance proche et se plia en deux. La belle en profita pour extraire les doigts de sa chatte dégoulinante et les introduisit dans la bouche de Matthieu qui les suça avidement. Elle continua de manière beaucoup plus effrénée le va-et-vient, ouvrant sa bouche salivante pour reprendre sa respiration. Elle sortit la verge dure dans un bruit de succion, lécha la veine bleue qui palpitait et prit une à une ses bourses pleines dans sa bouche, des figues mûres qu'elle dégusta. De sa main droite tantôt lente tantôt rapide, elle secouait le membre érigé. Matthieu haletait à ne plus pouvoir respirer, et brusquement lâcha un premier jet de semence sur le visage et les seins de Mélodie. Gloutonne, elle s'empressa d'introduire le membre dans sa bouche pour n'en perdre aucune goutte. Elle pompa jusqu'à la dernière semence ; le nectar lui coulait par les commissures des lèvres. Lui se sentit flotter, les jambes molles, il allait s'évanouir.

Mélodie se leva brusquement pour le retenir, étreignit ce corps désarticulé, plaquant sa poitrine gluante contre son thorax et lui offrit un baiser divin. La semence se mélangeait à la salive, les langues virevoltaient, se délectèrent. Puis les deux s'affalèrent sur le tapis velouteux du séjour, cuisses entremêlées comme si ces deux corps n'en faisaient qu'un.

La nuit était tombée et la lampe du salon sublima la scène. Matthieu glissa le long du corps de la belle. Il explora chaque partie, léchant les traces de son jus, mordillant par parcelles les chairs nues. Il suça ses seins un par un arrachant à la belle un râle évocateur, il glissa plus bas, caressa de sa paume cet entrejambe large et accueillant. Sa main droite glissa le long du ventre puis le l'index et le majeur pénétrèrent la cavité humide. Elle cambra ses fesses laissant le mâle lui retirer le dernier rempart de dentelle. De ses doigts effilés aux ongles soigneusement vernis elle écarta ses lèvres d'où la cyprine s'écoulait abondamment. La langue très doucement touche le bouton d'amour qui darde puis lui offre un baiser. Sa langue fit de légères arabesques tout autour de la zone puis, d'un mouvement fellateur, le suça. La belle se déhancha de manière incontrôlée, ses fesses tressautaient, la respiration se faisait rapide, la poitrine gonfla au rythme du bonheur que lui offrit Matthieu. Les doigts écartèrent plus largement encore cette vulve qui offrit l'antre béant à sa langue, à sa bouche. Il s'y perdit, le visage maculé. Le mordillement des petites lèvres excitées et du bouton dilaté et décapuchonné arrachait un cri long et profond de la gorge de la belle, sa tête oscillant de gauche à droite.

Matthieu se redressa sur ces genoux observant Mélodie gisante à demi inconsciente le visage irradié de jouissance. Dieu qu'il était tendre et qu'il savait s'y prendre pensera-t-elle par la suite.

- J'en veux encore, donne-moi tout, pénètre-moi... je t'appartiens...

Plus rien ne paraissait important que l'aboutissement à l'extase, et elle se coucha sur le ventre en offrant la vue de sa croupe sublime. Matthieu se pencha, prit les globes dans ses mains et les pétrit. De sa bouche, il les embrassa, de ses dents, il les mordilla, de ses mains, il lui infligea des tapes qui la portait dans une volupté incontrôlée.

- Que c'est bon, touche-moi, masse-moi, j'adore, j'aime, je te veux...

Elle glissa une main dans son dos à la rencontre de l'organe du mâle qui à sa grande satisfaction avait repris toute sa vigueur, mais quel homme ne le put en telle présence ! Le pouvoir excitant de son parfum mêlé aux effluves de l'amour eut un effet catalyseur sur sa vigueur. Toujours dans un état quasi second, elle se cambra en levrette sa tête reposant sur le tapis, la croupe largement ouverte, prête à tous les assauts :

- Matthieu, prends-moi, prends-moi par derrière, encule-moi, enfonce-toi, enfonce-la, laisse-moi la sentir, écartèle-moi, vite, vite...

Surpris par ces propos crus, ses index et majeur avaient tôt fait de se frayer un passage dans son petit trou inondé par les jus mélangés.

- Oui, ta queue, oui ... mon amour... supplia-t-elle.

Il approcha sa hampe puissante et conquérante. Une légère pression sur la rosette l'entrouvrit. Il poussa jusqu'au passage du gland, sa forme conique écartait puissamment le fourreau juste qu'à son introduction complète. La belle pousse râle, mélange de douleur et de bonheur, puis :

- Ooh oui, tu es bon, elle est si bonne... pousse, mets-la-moi bien, fais-moi jouir, jouir ...

Matthieu pousse, il s'agrippe aux hanches de la belle, son grain de peau le subjuguait, quel bonheur ; cette femelle en voulait, il y avait un rien d'animal, de rut... ses bourses cognaient contre sa vulve. Extase absolue ; il se retira pour l'entendre supplier :

- Non, pilonne-moi fort, serre-moi, fais-moi mal, déchire-moi tu es trop bon...

Il la limait profondément et à chaque pénétration ces bourses frappaient ses lèvres et irradiaient son clitoris. Elle était anale, clitoridienne, jouisseuse ; une femme une vraie femme, avide. Ses va-et-vient ardents se poursuivirent de longues minutes, ses hanches étaient griffées de ses prises. Toute son âme, tout son corps ne se concentraient plus que sur cette volupté ... Elle était prête à jouir et lui fait savoir :

- ... Matthieu, mon salaud, je viens, je viens, vite un dernier coup et ... Aaah

Matthieu se cambra pour une dernière et puissante poussée et expédia dans l'anus de la belle de longs et puissants jets. Son sphincter se serra comme un étau pour en extraire toute la richesse.

Il se retira et se coucha à côté de la belle laborantine tout inondée et gluante ; la lampe reflétait sur son visage illuminé de bonheur. Ils s'endormirent d'un sommeil profond, jusqu'au prochain assaut ...


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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